Le Lundi 20 juin 2011 | Mise en ligne à 14h20
V cherche des agriculteurs célibataires
Richard Therrien

V diffusera cet hiver l’émission de téléréalité L’amour est dans le pré et se lance à la recherche d’agriculteurs célibataires.

Il s’agit de la version québécoise de The Farmer Wants a Wife, adaptée dans une vingtaine de pays, dont la France, où l’émission est arrivée numéro un au palmarès de la chaîne M6. Premiers extraits de la sixième saison plus haut.

Pour trouver l’amour, les candidates devront savoir traire les vaches et nettoyer l’étable. On ne parle pas nécessairement de grandes beautés et d’agriculteurs toujours fins et subtils.

On dit qu’en Allemagne, l’émission a formé 20 couples, engendré cinq mariages et six naissances!

Décidément, V souhaite offrir des alternatives à Occupation double la saison prochaine, avec Opération séduction et ce nouveau concept. L’amour est dans le pré sera tournée cet automne.

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Wow ! J'aime bien le concept.

Le gars dans la vidéo, Fabien est vraiment cute !

J'ai hâte de voir ça

Publié le 15 août 2011 à 14h18 | Mis à jour à 14h18
Marie-Ève Janvier animera L'amour est dans le pré



La Presse Canadienne
Montréal

Marie-Ève Janvier jouera les entremetteuses sur les ondes de V cet hiver.

La chanteuse portera le chapeau d'animatrice à l'émission L'amour est dans le pré, une téléréalité dont l'objectif est d'aider des agriculteurs célibataires à trouver l'amour.

L'émission, qui sera diffusée à l'hiver 2012, est la version québécoise de The Farmer Wants a Wife. Le concept de cette série a été adapté dans plus d'une vingtaine de pays, selon V.

Le tournage devrait débuter en septembre. Les hommes, âgés entre 21 et 48 ans, ont déjà été sélectionnés - leur profil est disponible sur le site internet de la chaîne télévisée. L'équipe cherche maintenant à recruter des agricultrices esseulées.

«L'amour est dans le pré» est produit par La Presse Télé.

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genre que j'en connnais un !
Bryan ! le frère dune ancienne-amie collègue de l'autre tecnhique que javais fait au cégep
et Marie qui animera sa lol ! jai hate de voir hihi

Je suis allée fouiner pour voir... et je trouve que Alexandre et Benjamin sont plus de mon gout, mais trop jeunes

Moi j'en ai aucuns qui physiquement a première vue m'attire !

J'ai regardé un épisode de la version française de L'amour est dans le pré quand j'étais en France il y a quelques jours.

Ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. En lisant le résumé du concept cet été, je pensais que le ton serait très très léger, un peu dans le genre de la téléréalité avec Paris Hilton. J'étais complètement dans le champ. Ce n'est pas ça du tout, c'est plutôt sérieux comme concept. Du moins, évidemment, si les producteurs québécois font comme en France.

Dans la version que j'ai vue, ils tentent de matcher les agriculteurs avec des femmes avec qui ça pourrait fonctionner. Le but est de former le plus de couple et non de tenter de créer des situations drôles en forçant des matches incompatibles (par exemple en prenant une fille qui n'est pas vraiment intéressée par ce type de mode de vie, mais qui s'est tout de même inscrite aux auditions pour passer à la télé). Dans le casting français, tous les participants que j'ai vus étaient sérieux dans leur démarche. Ça fait changement des castings d'Occupation Double, mettons.

En tout cas, j'ai bien hâte de voir comment l'émission sera adaptée ici.

L'amour est dans le pré et Star Académie décollent
17 janvier 2012



Danièle L. Gauthier
La Presse Canadienne

Téléréalité déjà très populaire dans une vingtaine de pays, L'amour est dans le pré, animée par Marie-Ève Janvier, prend l'affiche à V, le jeudi 26 janvier, 21h, pour 12 semaines. Talons aiguilles et robes cocktail seront remplacés par le jean et le coton ouaté tout-confort. L'amour à la campagne affiche des couleurs bien différentes de l'amour à la ville mais assurément, dans ce cas-ci, plus authentiques.

Les cinq candidats retenus, Ludger, Alexandre, Benjamin, Maxime et Simon, âgés entre 21 et 29 ans, ont un emploi du temps réglé au gré des saisons, des besoins des animaux et à la bonne marche de leur entreprise. Rares sont les occasions de rencontrer l'âme soeur et pourtant, ils n'aspirent qu'à fonder un foyer et vivre une vie de famille épanouie. On aura sélectionné 25 candidates qui partageront les activités des agriculteurs et ainsi, évalueront les chances de pouvoir former un couple et vivre en milieu rural.

On raconte qu'en Allemagne comme en France, cette série suscite non seulement beaucoup d'intérêt auprès des téléspectateurs mais fut initiatrice de plusieurs unions et naissances. De toutes les téléréalités ayant l'amour pour objectif, il semble que L'amour est dans le pré détienne la formule gagnante.

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Candidats
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Y a un des candidats qui a sorti pas trop longtemps avec une fille que je connais l'an passé.. et ca s'est terminé parce qu'il l'a trompée.

je serai des votres pour commenter ben hate de voir quelle pitoune va se rendre compte qu'elle n,est pas faite pour ça...

Je vais écouter aussi, mais j'espère que le concept sera comme celui que Zarmela décrit pour la France. Je trouve qu'on a le ''léger'' un peu trop facile au Québec dans ce genre de téléréalité. Pourtant, il y aurait vraiment de quoi d'intéressant à faire avec ce concept, de trouver des couples compatibles et complémentaires. J'espère vraiment que nous n'aurons pas droit à une Opération séduction version rurale. J'ai rapidement décroché !

L'AMOUR EST DANS LE PRÉ
Les valeurs traditionnelles à l'honneur
Geneviève Raymond
23-01-2012



MONTRÉAL – Cinq agriculteurs passionnés cherchent l'âme sœur dans L'amour est dans le pré, adaptation québécoise de la populaire téléréalité The Farmer Wants a Wife, qui est à l'origine de plus de 25 naissances à travers le monde.

L'émission débute ce jeudi, à 21 h, sur les ondes de V, et est en rediffusion chaque dimanche, à 18 h.

«Marie-Ève Janvier représente bien les valeurs traditionnelles, elle vient de la région et aime les pick-up», a dit en riant la productrice Hélène Charest.

«Je suis contente qu'on mette de l'avant le métier d'agriculteur, je suis tombée sous le charme des gars», a raconté l'animatrice en couple avec Jean-François Brault depuis plus de 10 ans.

Qui prend mari, prend pays

Dans leur région éloignée respective, Alexandre (22 ans), Benjamin (24 ans), Ludger (21 ans), Maxime (23 ans) et Simon (29 ans) peinent à rencontrer des femmes avec leur emploi du temps chargé, dicté par les aléas de la nature.

Les cinq célibataires souhaitent plus que tout prendre la relève de l'entreprise familiale et bientôt fonder une famille. Ils cherchent alors la perle rare, qui épousera leur mode de vie.« Toi, laisserais-tu ton travail pour venir vivre avec moi?», a demandé Simon à une de ses prétendantes.

Au départ, les cinq agriculteurs ont diffusé sur le web un portait d'eux, les candidates intéressées devaient leur écrire une lettre. Ils ont ensuite sélectionné chacun cinq filles qu'ils ont rencontrées au domaine de l'île Ronde lors du premier épisode. Au terme de cette journée, ils en ont choisi trois qui ont été parachutées sur la ferme familiale.

Les participantes ont dû prouver qu'elles sont capables de vivre en symbiose avec la campagne.« Les filles sont concentrées et sont contentes d'être sales», a lancé Benjamin, heureux de peinturer la grange avec ses trois prétendantes. Fait cocasse, l'infirmière Stéphanie n'avait pas encore perdu ses habitudes d'urbaine au premier matin. Elle a retardé le clan de Maxime parce qu'elle se coiffait avec son fer plat.

L'amour, l'unique prix

Certes, les intentions des participants de cette téléréalité sont nobles. Les candidats ne cherchent pas à lancer une carrière ou à gagner de l'argent, leur seul objectif demeurant l'amour. N'empêche que la jalousie et la compétition se pointent à l'horizon.

À Chester, dans le Centre-du-Québec, Audrey ne fait pas l'unanimité dans la maisonnée. Cette dernière a choisi de se lever avant les autres pour aller à l'étable avec les parents d'Alexandre. Une de ses concurrentes n'hésite pas à la critiquer. «Elle fait de l'attitude, elle est plate et a une face de “bœuf”», a dit Krystale.

«L'amour est au rendez-vous», nous a assuré en visionnement de presse la vice-présidente de la programmation chez V, Lucie Quenneville.

The Farmer Wants a Wife est l'émission numéro 1 dans plusieurs pays, dont en France, en Belgique et en Australie. Plusieurs fiançailles, mariages et union de fait en ont découlé.

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J'ai vu un reportage dernièrement qui parlait justement de ce grave problème dans le milieu de l'agriculture au Québec; le manque de relève. C'est pleins de jeunes hommes célibaires qui ont reprit en main la ferme familiale mais qui ont de la difficulté à rencontrer une femme qui est prête à accepter ce mode de vie pour fonder une famille.

Pour une fois qu'une téléréalité aura une utilité sociale et ne sera pas totallement insignifiante. Même si c'est plus ou moins mon genre d'émission, je suis tout à fait pour

au moins il n'y a pas un gros lot de 1000000$ en bout de ligne.

Publié le 24 janvier 2012 à 07h27 | Mis à jour à 07h27

Pas d'humour vache à L'amour est dans le pré

Hugo Dumas
La Presse

La téléréalité, et la télévision en général, s'intéresse pas mal plus aux célibataires «urbains et branchés» qu'aux agriculteurs esseulés. Vrai. Mais tout ça changera dès jeudi à 21h sur les ondes de V avec la présentation de L'amour est dans le pré, où cinq producteurs agricoles dans la vingtaine tenteront de trouver la perle rare (dans une botte de foin).

Dans cette nouveauté adaptée de l'émission britannique Farmer Wants a Wife, pas de voyage exotique à remporter, pas de condo au DIX30 à partager et pas de cagnotte à rafler lors de l'émission finale. Le but de cette aventure romantico-agricole? Rencontrer l'amour. Le vrai. Celui qui dure et qui se lève aux aurores pour traire les vaches.

Les cinq agriculteurs proviennent d'un peu partout au Québec. Il y a Alexandre, 22 ans, de Chester-Est; Benjamin, 24 ans, de Beauharnois; Ludger, 21 ans, de Saint-Paul-de-Montminy; Maxime, 23 ans, de Tingwick et Simon, 29 ans, de Dixville, en Estrie. Tous travaillent dans la production laitière, sauf Benjamin, dont la famille se spécialise dans la culture du maïs et du soya. «Ils sont tous là pour les bonnes raisons», précise la productrice de L'amour est dans le pré, Nancy Charest, de La Presse Télé, qui a aussi travaillé sur les premières éditions d'Occupation double.

Mais contrairement à Loft Story ou Occupation double, une présélection sur les affinités entre les participants a été effectuée en amont. Au début du processus, les candidates qui s'inscrivaient devaient tout de suite déclarer lequel des cinq candidats l'intéressait. Chacun des cinq gars a ensuite choisi trois prétendantes pour s'installer à la ferme avec lui, question de vérifier si la vie rurale conviendrait aux demoiselles. Pas de chicane dans la basse-cour, donc. Alexandre, Ludger, Benjamin, Maxime et Simon courtisent tous des filles différentes.

Ce qui frappe, d'abord, c'est la beauté des images de L'amour est dans le pré. C'est superbe. Ensuite, les valeurs très traditionnelles des cinq candidats surprennent: ils veulent tous fonder une famille rapidement, ils adorent travailler avec leurs parents et la ruralité les comble sur tous les plans.

Bien sûr, le contraste entre l'urbanité et la campagne occupe beaucoup de temps d'antenne. Une des filles de la ville se lisse les cheveux au fer plat le matin et retarde considérablement le déroulement de la journée. Une autre enfile un manteau de cuir pour aller peindre... une grange. Il faut aussi voir le visage inquiet des candidates quand leur conjoint potentiel annonce le programme du jour: «On gratte la marde et on l'envoie dans le dalot». Très drôle.

Heureusement, L'amour est dans le pré évite de basculer dans le gros cliché à la Jacynthe et Anne-Marie Losique de La vie rurale. La plupart du temps, les participantes s'acquittent très bien de leurs tâches à la ferme sans passer pour des nunuches.

Par contre, les méthodes de séduction sont pas mal différentes en région que dans une buvette du Mile-End. Alexandre, l'air coquin, demandera à ses prétendantes: «Ça vous tente-tu de venir voir mon nouveau bécyk?»

En France, m6 diffusera la septième saison de L'amour est dans le pré. Cette téléréalité passe dans une vingtaine de pays et 25 enfants sont nés des couples formés un peu partout dans le monde. Bref, ça fonctionne aussi bien que Réseau Contact. La version québécoise a aussi joué les Cupidon. «On a eu de belles histoires d'amour», avance Lucie Quenneville. «Je suis en couple avec Jean-François (Breau), mais je suis tombée sous le charme de ces gars-là», glisse l'animatrice Marie-Ève Janvier, qui chante aussi au générique d'ouverture.

Par contre, certains segments de L'amour est dans le pré s'étirent inutilement et le rythme aurait pu être grandement accéléré. C'est probablement le plus gros défaut de la série: l'idée de départ est formidable, oui, mais ça manque d'action et de rebondissements. Au troisième épisode, trois filles s'obstinent dans la cuisine sur la meilleure façon de couper des tomates cerises. Vraiment?

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Source : http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... le-pre.php" onclick="window.open(this.href);return false;

J'ai vraiment hâte que ça commence

MsPontchartrain a écrit : J'ai vraiment hâte que ça commence

Moi aussi.

J'ai bien hâte de voir cette émission. Je viens de programmer mon enregistreur à distance pour être certaine de ne pas manquer l'émission

Jadomo a écrit : J'ai bien hâte de voir cette émission. Je viens de programmer mon enregistreur à distance pour être certaine de ne pas manquer l'émission

Mon presque voisin est dans l'émission...