Tout le monde en parle
Modérateur : Elise-Gisèle
Vogue a écrit : J'ai écouter Magalie quelque chose, la fille qui murmure tous ses textes......ensuite j'ai écouter ce qu'avait à dire Rambo Gauthier....
Et bien, si ca n'avait été du regard méprisant de Magalie envers Rambo, possiblement que je n'aurais pas écouter ce qu'il avait à dire......par son regard à elle, Rambo a su capter mon attention et même s'il s'exprimait en language "ordinaire" et sur des sujets trop peu approfondis, c'était quand même intéressant ce qu'il racontait....mais pas pour Magalie Susurreuse !!
Mais quelle condescendance cette fille!!et pour un "couple" de comédiens venu parler de District 31, ils paraissaient tout sauf collègues de travail, sur la même série en plus et jouer collés ensemble dans à peu près 2½ pi de décor........Bref, y'ont pas d'l'air à s'aimer......
Et y'a des fois où je trouve Guy-A particulièrement nono avec ses "cartrons" et son air piteux.....il se fait une drôle de face, comme s'il était pour poser LA question du siècle.....et c'est tjrs une question super banale que moi je m'attends à un gros pétard quand c'est tjrs un ptit pétard mouillé......lolll
je n'aime pas magalie..je trouve qu'elle a dlair froide et snob
Ca prendrait du changement ds cette émission...ca s'en vient plate.....
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Les invités de ce dimanche 29 janvier 2017 sont:
- Caroline Néron et Éric Lapointe pour la collection de bijoux Néron-Lapointe
- Karine Vanasse et Podz pour la télésérie Cardinal
- La comédienne et auteure Florence Longpré pour la comédie Like moi et la pièce Sylvie aime Maurice
- Alexandre Taillefer pour la semaine nationale de prévention du suicide
- L'intelligence artificielle avec le chercheur Yoshua Bengio.
- Caroline Néron et Éric Lapointe pour la collection de bijoux Néron-Lapointe
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-
Rose-des-bois
- Immortel du Domaine
- Messages : 12974
- Inscription : sam. sept. 02, 2006 12:00 am
Je trouve que cet article concerne beaucoup les invités de Tout le monde en parle.
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UNE TRANCHE DE VIE DE LISE DION POUR 66 $]MARIO GIRARD
LA PRESSE
Est-ce que les artistes qui viennent promouvoir un produit ou un évènement à la télé ou à la radio devraient recevoir un cachet ? Cette question est au cœur d’une nouvelle entente conclue en décembre dernier entre l’Union des artistes (UDA) et Radio-Canada.
Pour bien comprendre cet enjeu, il faut savoir qu’un membre de l’UDA reçoit systématiquement un cachet lorsqu’il est invité à la télévision ou à la radio publique pour offrir son talent. Une zone grise existait toutefois depuis des années au sujet des « entrevues promotionnelles ». Parfois on payait les artistes, parfois non. La signature de la plus récente entente collective* entre la société d’État et l’UDA vient clarifier cet aspect.
Depuis quelques semaines, les artistes qui viennent promouvoir un produit (disque, film, émission de télé, etc.) ou un évènement (production théâtrale, festival, etc.) reçoivent maintenant 66 $ pour leur passage à la radio ou 110 $ à la télé. Ce tarif est valable pour un segment n’excédant pas 10 minutes.
C’est Sophie Prégent, la patronne de l’UDA, qui m’a démêlé tout cela. La fougueuse présidente est très heureuse de cette entente. Pour elle, il s’agit d’une victoire importante. Et symbolique.
Autre nouveauté de l’entente : elle touche RDI. Beaucoup d’artistes, invités aux émissions du week-end, étaient mécontents de ne pas être rémunérés pour des entrevues au cours desquelles on mélangeait allègrement promotion, confidences et commentaires sur l’actualité.
110 $
Somme que les artistes recevront dorénavant pour leur passage à RDI
Cette entente est intéressante à bien des égards, mais contient aussi ses revers. Comment Radio-Canada se retrouve-t-elle à devoir payer un artiste qui vient « vendre » son spectacle d’humour ou le salon machin-truc dont il est le porte-parole ? Précisons que les radios privées et les journaux ne payent pas les artistes qui font de la promo.
Cette rétribution ne devrait-elle pas être assurée par les producteurs de films, de disques, de spectacles ou d’évènements qui engagent les artistes ? Il existe un énorme flou autour de cela. On m’a expliqué que dans certains cas, le contrat signé par l’artiste et le producteur stipule que le cachet comprend le « service après-vente », c’est-à-dire la promo dudit évènement ou produit. Sophie Prégent a été catégorique : un artiste n’est jamais payé pour faire cela, m’a-t-elle dit.
Cette rétribution aura-t-elle un impact sur le contenu ? J’ai discuté avec quelques réalisateurs de la radio publique qui œuvrent à Montréal et en région. Selon eux, cela les obligera à faire des choix. Au lieu de recevoir deux ou trois comédiens d’une production cinématographique pour créer un moment vivant en ondes, ils ne vont en recevoir qu’un seul, m’a dit l’un d’eux. Ce sont les artistes moins connus qui vont écoper, m’a dit un autre. Ajoutons à cela qu’une entrevue qui autrefois pouvait s’étirer sur 20 ou 25 minutes devra maintenant être emballée en moins de 15 minutes, sinon un surplus devra être payé.
L’autre impact non négligeable touche les régions. Les stations régionales de Radio-Canada qui vivent avec des budgets microscopiques devront faire face à un certain défi.
À tarifs égaux, qui favorisera-t-on entre un « talent local » et une « vedette de Montréal » ? « C’est la créativité qui en souffrira », m’a dit une réalisatrice.
Les cinq compagnies théâtrales de Québec (La Bordée, Le Périscope, Le Trident, Premier Acte et Les Gros Becs) ont rapidement manifesté leurs inquiétudes après avoir essuyé des refus d’entrevues de la part de recherchistes de Radio-Canada. Une rencontre a eu lieu avec la direction de la station à Québec. « On s’est fait rassurant avec nous, m’a dit Marc Gourdeau, directeur général de Premier Acte. On verra pour la suite des choses. »
J’ai voulu savoir comment la direction de Radio-Canada, à Montréal, entrevoyait les effets de cette entente. On a répondu prudemment (dans deux courriels) à mes questions. Marc Pichette, directeur des relations publiques de Radio-Canada, n’a pas voulu me donner une estimation des coûts reliés à cette nouvelle clause pour l’ensemble des stations de Radio-Canada. « Il est prématuré de parler d’impact ou de spéculer là-dessus », s’est-il contenté de m’écrire.
Cette entente suscite par ailleurs une réaction chez les auteurs dont les droits sont protégés par l’Union des écrivaines et des écrivains (UNEQ) et non par l’UDA. De moins en moins invités aux émissions culturelles, les auteurs ne reçoivent pas de cachet quand ils sont invités à venir parler de leur livre, m’a confirmé Réjeanne Bougé, présidente de l’UNEQ. « Les comiques qui vont promouvoir leur grosse tournée lucrative ont droit à un cachet et pas nous. C’est profondément injuste », m’a également dit un auteur, ulcéré par la situation.
Cela dit, je comprends tout à fait que nous en soyons là. Je comprends les doléances des artistes et la bataille que l’UDA a menée. Notre obsession pour l’infospectacle nous a guidés directement vers cette situation. On invite les artistes à venir parler d’un disque sur lequel ils ont travaillé pendant deux ans et après trois questions sur le processus de création, on passe à quelque chose de plus sexy, de plus « crunchy », de plus accrocheur.
On demande aux artistes de venir parler de leur production théâtrale ou de leur émission de télé, mais ceux-ci se retrouvent finalement à commenter l’actualité, à parler de la première dent de leur enfant, du cancer qu’ils ont combattu ou de leur restaurant préféré.
Les artistes en ont marre et ils ont raison. Il est donc normal qu’ils demandent à être rémunérés pour offrir des tranches de leur quotidien. Au fond, ils vont recevoir 66 $ pour faire de la promo. La promo de leur vie.
Et 66 $ pour obtenir une tranche de vie de Lise Dion, c’est une aubaine !
* Cette entente collective touche également les émissions produites par les membres de l’Association de la production médiatique (AQPM) et diffusées sur les autres chaînes de télévision. La plupart des maisons de production québécoises font partie de cette association.
Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.[/nouvelle]
Ou suivre ce lien : http://plus.lapresse.ca/screens/ee0825c ... %7C_0.html" onclick="window.open(this.href);return false;
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UNE TRANCHE DE VIE DE LISE DION POUR 66 $]MARIO GIRARD
LA PRESSE
Est-ce que les artistes qui viennent promouvoir un produit ou un évènement à la télé ou à la radio devraient recevoir un cachet ? Cette question est au cœur d’une nouvelle entente conclue en décembre dernier entre l’Union des artistes (UDA) et Radio-Canada.
Pour bien comprendre cet enjeu, il faut savoir qu’un membre de l’UDA reçoit systématiquement un cachet lorsqu’il est invité à la télévision ou à la radio publique pour offrir son talent. Une zone grise existait toutefois depuis des années au sujet des « entrevues promotionnelles ». Parfois on payait les artistes, parfois non. La signature de la plus récente entente collective* entre la société d’État et l’UDA vient clarifier cet aspect.
Depuis quelques semaines, les artistes qui viennent promouvoir un produit (disque, film, émission de télé, etc.) ou un évènement (production théâtrale, festival, etc.) reçoivent maintenant 66 $ pour leur passage à la radio ou 110 $ à la télé. Ce tarif est valable pour un segment n’excédant pas 10 minutes.
C’est Sophie Prégent, la patronne de l’UDA, qui m’a démêlé tout cela. La fougueuse présidente est très heureuse de cette entente. Pour elle, il s’agit d’une victoire importante. Et symbolique.
Autre nouveauté de l’entente : elle touche RDI. Beaucoup d’artistes, invités aux émissions du week-end, étaient mécontents de ne pas être rémunérés pour des entrevues au cours desquelles on mélangeait allègrement promotion, confidences et commentaires sur l’actualité.
110 $
Somme que les artistes recevront dorénavant pour leur passage à RDI
Cette entente est intéressante à bien des égards, mais contient aussi ses revers. Comment Radio-Canada se retrouve-t-elle à devoir payer un artiste qui vient « vendre » son spectacle d’humour ou le salon machin-truc dont il est le porte-parole ? Précisons que les radios privées et les journaux ne payent pas les artistes qui font de la promo.
Cette rétribution ne devrait-elle pas être assurée par les producteurs de films, de disques, de spectacles ou d’évènements qui engagent les artistes ? Il existe un énorme flou autour de cela. On m’a expliqué que dans certains cas, le contrat signé par l’artiste et le producteur stipule que le cachet comprend le « service après-vente », c’est-à-dire la promo dudit évènement ou produit. Sophie Prégent a été catégorique : un artiste n’est jamais payé pour faire cela, m’a-t-elle dit.
Cette rétribution aura-t-elle un impact sur le contenu ? J’ai discuté avec quelques réalisateurs de la radio publique qui œuvrent à Montréal et en région. Selon eux, cela les obligera à faire des choix. Au lieu de recevoir deux ou trois comédiens d’une production cinématographique pour créer un moment vivant en ondes, ils ne vont en recevoir qu’un seul, m’a dit l’un d’eux. Ce sont les artistes moins connus qui vont écoper, m’a dit un autre. Ajoutons à cela qu’une entrevue qui autrefois pouvait s’étirer sur 20 ou 25 minutes devra maintenant être emballée en moins de 15 minutes, sinon un surplus devra être payé.
L’autre impact non négligeable touche les régions. Les stations régionales de Radio-Canada qui vivent avec des budgets microscopiques devront faire face à un certain défi.
À tarifs égaux, qui favorisera-t-on entre un « talent local » et une « vedette de Montréal » ? « C’est la créativité qui en souffrira », m’a dit une réalisatrice.
Les cinq compagnies théâtrales de Québec (La Bordée, Le Périscope, Le Trident, Premier Acte et Les Gros Becs) ont rapidement manifesté leurs inquiétudes après avoir essuyé des refus d’entrevues de la part de recherchistes de Radio-Canada. Une rencontre a eu lieu avec la direction de la station à Québec. « On s’est fait rassurant avec nous, m’a dit Marc Gourdeau, directeur général de Premier Acte. On verra pour la suite des choses. »
J’ai voulu savoir comment la direction de Radio-Canada, à Montréal, entrevoyait les effets de cette entente. On a répondu prudemment (dans deux courriels) à mes questions. Marc Pichette, directeur des relations publiques de Radio-Canada, n’a pas voulu me donner une estimation des coûts reliés à cette nouvelle clause pour l’ensemble des stations de Radio-Canada. « Il est prématuré de parler d’impact ou de spéculer là-dessus », s’est-il contenté de m’écrire.
Cette entente suscite par ailleurs une réaction chez les auteurs dont les droits sont protégés par l’Union des écrivaines et des écrivains (UNEQ) et non par l’UDA. De moins en moins invités aux émissions culturelles, les auteurs ne reçoivent pas de cachet quand ils sont invités à venir parler de leur livre, m’a confirmé Réjeanne Bougé, présidente de l’UNEQ. « Les comiques qui vont promouvoir leur grosse tournée lucrative ont droit à un cachet et pas nous. C’est profondément injuste », m’a également dit un auteur, ulcéré par la situation.
Cela dit, je comprends tout à fait que nous en soyons là. Je comprends les doléances des artistes et la bataille que l’UDA a menée. Notre obsession pour l’infospectacle nous a guidés directement vers cette situation. On invite les artistes à venir parler d’un disque sur lequel ils ont travaillé pendant deux ans et après trois questions sur le processus de création, on passe à quelque chose de plus sexy, de plus « crunchy », de plus accrocheur.
On demande aux artistes de venir parler de leur production théâtrale ou de leur émission de télé, mais ceux-ci se retrouvent finalement à commenter l’actualité, à parler de la première dent de leur enfant, du cancer qu’ils ont combattu ou de leur restaurant préféré.
Les artistes en ont marre et ils ont raison. Il est donc normal qu’ils demandent à être rémunérés pour offrir des tranches de leur quotidien. Au fond, ils vont recevoir 66 $ pour faire de la promo. La promo de leur vie.
Et 66 $ pour obtenir une tranche de vie de Lise Dion, c’est une aubaine !
* Cette entente collective touche également les émissions produites par les membres de l’Association de la production médiatique (AQPM) et diffusées sur les autres chaînes de télévision. La plupart des maisons de production québécoises font partie de cette association.
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Mamie vous aime mes petits amours !!!
Oh, surtout n'éteignez pas la lumière en l'enfant!!!
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kakaouette
- Caïd de la Causette
- Messages : 853
- Inscription : mer. févr. 18, 2004 1:00 am
Ça doit être pour ça que Marjo avait dit je suis ici pour parler de mon album Turquoise quand Guy A lui avait demandé qu'est ce qu'elle pensait de la comparaison entre elle et Marie-Chantal Toupin. ça m'a vraiment marqué parce qu'elle l'a dit plus qu'une fois. Elle revenait toujours à Turquoise.Rose-des-bois a écrit : Je trouve que cet article concerne beaucoup les invités de Tout le monde en parle.
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Me semble que c'est encore la même affaire !!! Il est venu en parler il n'y a pas longtemps ...Anya a écrit : Les invités de ce dimanche 29 janvier 2017 sont:
- Caroline Néron et Éric Lapointe pour la collection de bijoux Néron-Lapointe
- Karine Vanasse et Podz pour la télésérie Cardinal
- La comédienne et auteure Florence Longpré pour la comédie Like moi et la pièce Sylvie aime Maurice
- Alexandre Taillefer pour la semaine nationale de prévention du suicide - L'intelligence artificielle avec le chercheur Yoshua Bengio.
Roxy l'amour de ma vie !! R.I.P. Ti-Mé !!
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lorraine48
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8240
- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: Tout le monde en parle
en effet il y a pas longtemps qu il est passé
Les invités de ce Dimanche 5 février 2017 à Tout le monde en parle:
- On revient sur l'attentat de Québec avec plusieurs invités dont le premier ministre du Québec Philippe Couillard et Mohamed Labidi du Centre islamique de Québec.
- On reçoit également Paul Piché qui célèbre ses 40 ans de carrière lors d'un spectacle au Centre Bell
- India Desjardins pour son roman "La mort d'une princesse" et Patrick Charlebois qui a couru sept marathons en sept jours sur sept continents.
- On revient sur l'attentat de Québec avec plusieurs invités dont le premier ministre du Québec Philippe Couillard et Mohamed Labidi du Centre islamique de Québec.
- On reçoit également Paul Piché qui célèbre ses 40 ans de carrière lors d'un spectacle au Centre Bell
- India Desjardins pour son roman "La mort d'une princesse" et Patrick Charlebois qui a couru sept marathons en sept jours sur sept continents.
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lorraine48
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8240
- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: Tout le monde en parle
La mosquée il y a trop d émissions sur ce sujet, c est triste mais quand il arrive qielque chose cela s éternise sur le sujet
Les invités de ce dimanche 12 février 2017
-Georges St-Pierre et Steve Bégin pour ChallengeU, une plateforme techno-éducative qui permet aux personnes de 16 ans et + d’obtenir leur diplôme d’études secondaires sans avoir à retourner à l’école.
-L’ancien joueur de hockey Eric Lindros pour le documentaire Lindros revisité.
-L’animatrice Alexandra Diaz et la nutritionniste Geneviève O’Gleman de l’émission Cuisine futée, parents pressés et auteures des livres Famille futée 1 et 2.
-Martine Ouellet, députée de Vachon et candidate à la chefferie du Bloc Québécois.
-Le comédien François Papineau pour la pièce Ne m'oublie pas, le film Iqaluit et la série Unité 9.
-Une discussion sur le vivre-ensemble après l'attentat dans une mosquée à Québec avec Rachida Azdouz, Nadia El-Mabrouk et Dalila Awada
-Georges St-Pierre et Steve Bégin pour ChallengeU, une plateforme techno-éducative qui permet aux personnes de 16 ans et + d’obtenir leur diplôme d’études secondaires sans avoir à retourner à l’école.
-L’ancien joueur de hockey Eric Lindros pour le documentaire Lindros revisité.
-L’animatrice Alexandra Diaz et la nutritionniste Geneviève O’Gleman de l’émission Cuisine futée, parents pressés et auteures des livres Famille futée 1 et 2.
-Martine Ouellet, députée de Vachon et candidate à la chefferie du Bloc Québécois.
-Le comédien François Papineau pour la pièce Ne m'oublie pas, le film Iqaluit et la série Unité 9.
-Une discussion sur le vivre-ensemble après l'attentat dans une mosquée à Québec avec Rachida Azdouz, Nadia El-Mabrouk et Dalila Awada
Dimanche passé, j'ai passé un jugement sur Paul Piché.......
Il parlait de politique, la conversation est venue sur Trump, personnage qu'il n'aime pas particulièrement parce qu'il est grossier et va jusqu'à toucher la..... ( hésitation de Piché, semblait chercher le mot et a dit
.....la chatte des femmes en public !....... 
Faique Paul Piché dénonce un geste grossier en utilisant un mot qu'il a réfléchi mais tout autant grossier : "chatte" !!
Piché = 0
Trump = 0
Il parlait de politique, la conversation est venue sur Trump, personnage qu'il n'aime pas particulièrement parce qu'il est grossier et va jusqu'à toucher la..... ( hésitation de Piché, semblait chercher le mot et a dit
.....la chatte des femmes en public !....... Faique Paul Piché dénonce un geste grossier en utilisant un mot qu'il a réfléchi mais tout autant grossier : "chatte" !!
Piché = 0
Trump = 0
« Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. »
Toucher la chatte = Grab by the Pussy . C'est donc une traduction littérale de l'expression utilisée par le très (des)honorable président des États-Unis lui-même en personne...Vogue a écrit : Dimanche passé, j'ai passé un jugement sur Paul Piché.......
Il parlait de politique, la conversation est venue sur Trump, personnage qu'il n'aime pas particulièrement parce qu'il est grossier et va jusqu'à toucher la..... ( hésitation de Piché, semblait chercher le mot et a dit
Faique Paul Piché dénonce un geste grossier en utilisant un mot qu'il a réfléchi mais tout autant grossier : "chatte" !!
Piché = 0
Trump = 0
Re: Tout le monde en parle
Tant qu'à moi, dénoncer un geste aussi grossier ne sera jamais pire que le geste lui-même, peu importe le mot utilisé. Et comme dit Nikki, c'est sûrement juste à cause de la traduction libre.
Ah ok....tout s'explique alors...si je comprends bien, Paul Piché a utiliser la traduction libre de Trump.....Nikki a écrit : [...]
Toucher la chatte = Grab by the Pussy . C'est donc une traduction littérale de l'expression utilisée par le très (des)honorable président des États-Unis lui-même en personne...
J'étais un peu comme ca devant ma tv
quand Paul Piché a parler comme celà......Tout est bien qui finit bien.....
« Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. »
Les invités de ce dimanche 19 février 2017 :
-Véronique Cloutier pour Véro.TV et Votre beau programme
-L'humoriste André Sauvé pour son spectacle en collaboration avec l’Orchestre symphonique de Montréal au Festival Juste pour rire
-Jean-Charles Lajoie, Enrico Ciccone et Dany Dubé pour parler du changement d’entraîneur chez le Canadien de Montréal
-Erik Guay, médaillé d'or et d'argent des Championnats du monde de ski alpin
-René Richard Cyr et Benoît McGinnis pour les pièces Caligula et Demain matin Montréal m'attend
-Véronique Cloutier pour Véro.TV et Votre beau programme
-L'humoriste André Sauvé pour son spectacle en collaboration avec l’Orchestre symphonique de Montréal au Festival Juste pour rire
-Jean-Charles Lajoie, Enrico Ciccone et Dany Dubé pour parler du changement d’entraîneur chez le Canadien de Montréal
-Erik Guay, médaillé d'or et d'argent des Championnats du monde de ski alpin
-René Richard Cyr et Benoît McGinnis pour les pièces Caligula et Demain matin Montréal m'attend
Les invités de ce dimanche 26 février :
-L'animateur de Salut Bonjour, Gino Chouinard
-L'ancienne procureure en chef de la Commission Charbonneau Sonia LeBel qui rejoint la CAQ
-Les comédiennes de Lâcher prise, Sophie Cadieux et Sylvie Léonard
-Le chef David McMillan du restaurant Joe Beef et les chroniqueuses Marie-Claude Lortie (La Presse) et Lesley Chesterman (The Gazette) pour parler de L'Atelier de Joël Robuchon au Casino de Montréal.
-Robert Lamontagne et Marie-Ève Naud de l'Institut de recherche sur les exoplanètes à l'Université de Montréal
-L'animateur de Salut Bonjour, Gino Chouinard
-L'ancienne procureure en chef de la Commission Charbonneau Sonia LeBel qui rejoint la CAQ
-Les comédiennes de Lâcher prise, Sophie Cadieux et Sylvie Léonard
-Le chef David McMillan du restaurant Joe Beef et les chroniqueuses Marie-Claude Lortie (La Presse) et Lesley Chesterman (The Gazette) pour parler de L'Atelier de Joël Robuchon au Casino de Montréal.
-Robert Lamontagne et Marie-Ève Naud de l'Institut de recherche sur les exoplanètes à l'Université de Montréal
Les invités de ce dimanche 5 mars :
-Le joueur de football Laurent Duvernay-Tardif pour son contrat avec les Chiefs de Kansas City,
-Lisa LeBlanc pour son spectacle au Festival Montréal en lumière et son dernier album Why You Wanna Leave, Runaway Queen,
-Adib Alkhalidey pour la tournée de son spectacle Ingénu,
-Sylvain Bellemare, gagnant de l’Oscar du meilleur montage sonore pour le film Arrival de Denis Villeneuve,
-Sylvain Martel, du Laboratoire de nanorobotique de Polytechnique Montréal, est la Découverte de l'année 2016 du magazine Québec Science,
-L'aide médicale à mourir avec Chloé Sainte-Marie, Jean-Robert Bisaillon et Yvon Cournoyer.
-Le joueur de football Laurent Duvernay-Tardif pour son contrat avec les Chiefs de Kansas City,
-Lisa LeBlanc pour son spectacle au Festival Montréal en lumière et son dernier album Why You Wanna Leave, Runaway Queen,
-Adib Alkhalidey pour la tournée de son spectacle Ingénu,
-Sylvain Bellemare, gagnant de l’Oscar du meilleur montage sonore pour le film Arrival de Denis Villeneuve,
-Sylvain Martel, du Laboratoire de nanorobotique de Polytechnique Montréal, est la Découverte de l'année 2016 du magazine Québec Science,
-L'aide médicale à mourir avec Chloé Sainte-Marie, Jean-Robert Bisaillon et Yvon Cournoyer.
Les invités de ce dimanche 12 mars 2017:
- Le directeur artistique et chef principal de l’Orchestre Métropolitain de Montréal, directeur musical des orchestres de Rotterdam et de Philadelphie et directeur
musical du Metropolitan Orchestra de New York, Yannick Nézet-Séguin
- Julie Le Breton pour la pièce « Vol au-dessus d'un nid de coucou »
- Gabriel Nadeau-Dubois
- Caroline Ouellette, Ann-Sophie Bettez et Lisa-Marie Breton-Lebreux de l'équipe de hockey Les Canadiennes de Montréal qui a remporté la coupe Clarkson
- Le parfumeur de Guerlain, Thierry Wasser.
- Le directeur artistique et chef principal de l’Orchestre Métropolitain de Montréal, directeur musical des orchestres de Rotterdam et de Philadelphie et directeur
musical du Metropolitan Orchestra de New York, Yannick Nézet-Séguin
- Julie Le Breton pour la pièce « Vol au-dessus d'un nid de coucou »
- Gabriel Nadeau-Dubois
- Caroline Ouellette, Ann-Sophie Bettez et Lisa-Marie Breton-Lebreux de l'équipe de hockey Les Canadiennes de Montréal qui a remporté la coupe Clarkson
- Le parfumeur de Guerlain, Thierry Wasser.
Les invités de ce dimanche 26 mars 2017:
-Éric Duhaime pour son livre La fin de l'homosexualité et le dernier gay
-La veuve de Jean Béliveau Élise Béliveau, le comédien Pierre-Yves Cardinal et le réalisateur François Gingras pour la série Béliveau
-L'animatrice Pénélope McQuade pour Les échangistes
-Le comédien Marc Beaupré pour la pièce Hamlet_director's cut
-Annie Trudel, ex-analyste, ministère des Transports du Québec
-Éric Duhaime pour son livre La fin de l'homosexualité et le dernier gay
-La veuve de Jean Béliveau Élise Béliveau, le comédien Pierre-Yves Cardinal et le réalisateur François Gingras pour la série Béliveau
-L'animatrice Pénélope McQuade pour Les échangistes
-Le comédien Marc Beaupré pour la pièce Hamlet_director's cut
-Annie Trudel, ex-analyste, ministère des Transports du Québec