L'ex-boxeur Dave Hilton sera libéré demain........
Chico_Fan a écrit
Pour avoir lu le livres des filles des Hilton... Effectivement on ne parle pas ici d'un être humain, mais bien d'un être primitif, sans instruction, violent, sans aucune conscience; bref un véritable monstre. Ceux qui trouvent la descrïption exagérée ont juste à lire le livre.
Évidemment avec nos sentences bonbons, il sort après quelques rapides années. Et juste au 2/3, évidemment, il est pas si dangereux après tout, tsé!
On ne peut pas comparer un boxeur avec machininste dans une usine. Un sportif, c'est quelqu'un qui se supporter par une foule pour ses performances. Il n'y a pas quelque chose de profondément dérangeant à payer pour acclamer un tel monstre? Quelqu'un qui travaille dans une usine fait sa job et puis c'est tout.
Évidemment avec nos sentences bonbons, il sort après quelques rapides années. Et juste au 2/3, évidemment, il est pas si dangereux après tout, tsé!
On ne peut pas comparer un boxeur avec machininste dans une usine. Un sportif, c'est quelqu'un qui se supporter par une foule pour ses performances. Il n'y a pas quelque chose de profondément dérangeant à payer pour acclamer un tel monstre? Quelqu'un qui travaille dans une usine fait sa job et puis c'est tout.
je suis entierement en accord avec toi son chien est mort , comme on dit par chez nous
vivre et laisser vivre
Gentil a écrit
T'as raison la boxe est loin d'être morte au Québec....plusieurs personne pense cela p-e a cause que plusieurs boxer ''coloré'' a la Stéphane Ouellette , les Hiltons ect ne sont plus là .....bon débarras !!
Mais bon tjrs surprenant de voir du monde défendre cette pourriture....mais rien ne me surprend maintenant et pour moi les gens qui vont se présenter la face a son combat de boxe ( s'il y en a un ) ben ces personnes là vont baisser grandement dans mon estime.
Je ne défends aucunement Dave Hilton... mais je défends la justice égale pour tous. Il a eu son procès, il a eu sa sentence, il l'a purgé comme tout autre prisonnier. Donc pour moi il a le droit de pratiquer son métier.
Que la sentence soit trop minime pour le crime commis ca rèleve de nos juges, des lois de nos gouvernements, de notre code criminel donc c'est plutôt à eux à s'en prendre.
Citation :
Lucide a dit:
Je ne défends aucunement Dave Hilton... mais je défends la justice égale pour tous. Il a eu son procès, il a eu sa sentence, il l'a purgé comme tout autre prisonnier. Donc pour moi il a le droit de pratiquer son métier.
Que la sentence soit trop minime pour le crime commis ca rèleve de nos juges, des lois de nos gouvernements, de notre code criminel donc c'est plutôt à eux à s'en prendre.
Cet homme est une pourriture, qu'il ait 25 ans de prison, ou 2 semaines ne change rien.
Il a commis l'inacceptable et n'a jamais voulu avouer ses torts et non seulement cela, mais continue à séduire les filles par ses mensonges.
Qu'il veuille pratiquer la boxe, c'est son problème. Il pourra faire ce qu'il veut, mais je n'irai pas encourager un gars qui a couché avec ses filles, c'est un non-sens. Mais si toi tu veux l'encourager, libre à toi et personne ne va t'en empêcher.
Et si il obtient du succès en recommencant à boxer, je me dirai que oui la boxe est bien malade et cela encouragera les criminels à nier l'existence des faits qui leur sont reprochés.
Le gars a couché avec ses filles et tu compares ce délit avec un vol à l'étalage et ensuite tu sers l'incontournable argument qu'il a payé sa dette et qu'on doit s'en prendre au système judiciaire maintenant.
Si ton père avait abusé de toi, lui pardonnerais-tu après qu'il ait payé sa dette comme tu dis?
On ne parle pas d'un gars qui ne pogne pas, on parle d'un gars qui peut avoir les filles qu'il voulait. Ben non, il a couché avec ses filles! Il faut être sale pas à peu près! Tu parles d'une facon d'élever ses enfants?
J'ai connu personnellement des gars qui ont tué. J'ai aucun problème avec cela. Mais coucher avec ses propres filles. Même Guy Cloutier n'aurait jamais fait cela.
Je ne crois pas que tu connais la nature des hommes pour lui pardonner. Etant un hommne, je peux te dire qu'un gars se retient, va voir une prostituée, une fille d'un soir, sa femme, ou bien il se fait une branlette, se passe l'aspirateur ou que sais-je encore. Mais Ii ne viole pas ses propres filles pour assouvir son instinct de reproduction et ses fantasmes. Ca ne se fait tout simplement pas.
C'est que vois-tu son choix en dit long sur le personnage et c'est pour sela qu'on le traite d'immondicité! --Message edité par ploloto le 2006-05-28 21:44:53--
ploloto a écrit
Citation :
Lucide a dit:
Je ne défends aucunement Dave Hilton... mais je défends la justice égale pour tous. Il a eu son procès, il a eu sa sentence, il l'a purgé comme tout autre prisonnier. Donc pour moi il a le droit de pratiquer son métier.
Que la sentence soit trop minime pour le crime commis ca rèleve de nos juges, des lois de nos gouvernements, de notre code criminel donc c'est plutôt à eux à s'en prendre.
Cet homme est une pourriture, qu'il ait 25 ans de prison, ou 2 semaines ne change rien.
Il a commis l'inacceptable et n'a jamais voulu avouer ses torts et non seulement cela, mais continue à séduire les filles par ses mensonges.
Qu'il veuille pratiquer la boxe, c'est son problème. Il pourra faire ce qu'il veut, mais je n'irai pas encourager un gars qui a couché avec ses filles, c'est un non-sens. Mais si toi tu veux l'encourager, libre à toi et personne ne va t'en empêcher.
Et si il obtient du succès en recommencer à boxer, je me dirai que oui la boxe est bien malade et cela encouragera les criminels à nier l'existence des faits qui leur sont reprochés.
Très bien dit rien a rajouter
PRÉDATEURS SEXUELS
La thérapie de la dernière chance
Marie-Claude Malboeuf
La Presse
Le boxeur Dave Hilton sort du pénitencier demain. Emprisonné pour avoir violé ses deux filles pendant des années, le quadragénaire devra suivre un traitement. Une thérapie qu'il a suivie au pénitencier a échoué.
Mais à en croire les experts (qui nous ont parlé des agresseurs sexuels en général), tout n'est pas nécessairement perdu.
C'est un petit bureau beige, caché dans un centre commercial anonyme, en bordure d'une autoroute montréalaise. Ici se réunissent chaque semaine des hommes qui ont longtemps été tout aussi anonymes: camionneurs, professionnels, vendeurs...
Leur point commun: tous ont violé des femmes ou des enfants. Tous ont été enfermés au pénitencier. Et tous en sont ressortis avec l'étiquette «risque élevé de récidive».
À priori, ces hommes ont tout ce qu'il faut pour faire de nouvelles victimes: une thérapie ratée, des antécédents plus lourds que la moyenne ou un profil assez déviant. Plusieurs d'entre eux font même l'objet d'une surveillance intensive.
Pour la Dre Joanne-Lucine Rouleau, sauf exception, il n'est toutefois jamais trop tard pour intervenir. «La vraie prévention se fait dehors», estime la psychologue, qui préfère tendre un ultime filet de sécurité. Dehors, les violeurs et les pédophiles sont de nouveau soumis à la tentation, de nouveau face à leur tristesse, à leur anxiété ou à leur colère, dit-elle.
Depuis 1992, les cas lourds lui sont donc envoyés au CERUM (Centre d'étude et de recherche de l'Université de Montréal), dont le programme, accrédité par des experts internationaux, a aussi été approuvé par les services correctionnels.
Tous les ans, l'équipe de la Dre Rouleau évalue entre 40 et 60 délinquants au moyen de tests et de questionnaires. La moitié d'entre eux se qualifient et s'engagent à se présenter au moins deux heures par semaine pendant 11 mois- 11 mois de «reprogrammation» intensive.
L'objectif: changer leurs fantasmes. Changer leur façon d'interagir avec les autres. Et changer leurs innombrables idées fausses au sujet des femmes et des enfants (qui les ont "provoqués", disent-ils, ou qui avaient besoin d'éducation sexuelle...)
«Je ne crois pas que quelqu'un choisisse d'être déviant, commente la Dre Rouleau. Comme thérapeute, je suis contre ce qu'ils ont fait, pas contre eux. Aux enfants, je dis: Imaginez-vous une tarte. Cette partie-là n'est pas bonne et nous allons l'enlever.»
Mauvaise odeur et cassettes audio
Première étape: une visite au laboratoire. Là, une rondelle de caoutchouc contenant du mercure tient lieu de thermomètre et permet de mesurer l'excitation sexuelle de celui qui l'enfile.
Pendant près de deux heures, les délinquants visionnent ensuite des bandes vidéo, regardent des diapositives d'enfants de tous les âges et écoutent des bandes sonores décrivant des scénarios plus ou moins violents. Dans 80% des cas, leurs intérêts déviants coexistent avec des intérêts normaux.
Les services correctionnels procèdent au même test en prison. «Mais souvent la libido baisse avec l'incarcération et les résultats sont moins précis, souligne la Dre Rouleau. Des résultats précis nous permettent d'offrir un traitement sur mesure.»
Deuxième étape: éliminer la charge érotique des mauvais fantasmes. En groupe, pendant cinq semaines, les délinquants se racontent leur histoire à haute voix. Aux moments clés, les thérapeutes leur font sentir de l'ammoniaque, une odeur très désagréable qui s'imprime fortement dans leur mémoire.
«Avec le temps, cette odeur devient associée à leur fantasme. Quand ils se retrouvent dans une situation similaire, l'odeur revient. C'est un signal d'alarme pour qu'ils s'arrêtent à temps, qu'ils réalisent ce qu'ils sont en train de faire», explique la Dre Rouleau.
Ailleurs, certains thérapeutes utilisent la même odeur pour dégoûter leurs patients au point de leur faire perdre toute érection. «Mais nous n'avons pas besoin d'aller jusque-là, précise la psychologue. Un jour, un de nos patients a voulu utiliser les toilettes d'un garage. Il n'y est jamais parvenu, juste à sentir les produits nettoyants.»
Pendant les cinq semaines suivantes, 20 heures durant, les délinquants se concentrent sur le bref moment qui les excite le plus. Sur des cassettes audio, ils racontent ce moment sans relâche, jusqu'à satiété.
Les autres volets du traitement sont moins spectaculaires. Il s'agit notamment d'associer les actes criminels et leur préparation aux conséquences très négatives qui en découlent.
«La peur doit revenir très vite quand il y aura la tentation. Il faut que le délinquant se souvienne d'avoir souffert, d'avoir été jugé, d'être passé à la télé et d'avoir eu peur de la prison, énumère la Dre Rouleau. Cela les aide à mieux maîtriser leurs pulsions.»
Les délinquants font par ailleurs le compte de leurs fausses croyances et de toutes les excuses qu'ils se donnent pour justifier leurs actes.
Enfin, les agresseurs apprennent à mieux gérer leurs émotions et les conflits, à mieux s'affirmer, à découvrir l'intimité. Un volet très important, aussi utilisé à l'institut psychiatrique montréalais Pinel.
«Si on change leur comportement pour que les délinquants soient plus heureux, plus performants socialement, ils seront moins tentés de récidiver, expose le Dr Benoît Dassylva. En fin de compte, cela représente moins de victimes dans la communauté.»
Lire aussi :
Des taux de récidive variables
Un traitement rare
Un homme à risque
http://www.cyberpresse.ca/article/20060619/CPACTUALITES/606190680/1019/CPACTUALITES
La thérapie de la dernière chance
Marie-Claude Malboeuf
La Presse
Le boxeur Dave Hilton sort du pénitencier demain. Emprisonné pour avoir violé ses deux filles pendant des années, le quadragénaire devra suivre un traitement. Une thérapie qu'il a suivie au pénitencier a échoué.
Mais à en croire les experts (qui nous ont parlé des agresseurs sexuels en général), tout n'est pas nécessairement perdu.
C'est un petit bureau beige, caché dans un centre commercial anonyme, en bordure d'une autoroute montréalaise. Ici se réunissent chaque semaine des hommes qui ont longtemps été tout aussi anonymes: camionneurs, professionnels, vendeurs...
Leur point commun: tous ont violé des femmes ou des enfants. Tous ont été enfermés au pénitencier. Et tous en sont ressortis avec l'étiquette «risque élevé de récidive».
À priori, ces hommes ont tout ce qu'il faut pour faire de nouvelles victimes: une thérapie ratée, des antécédents plus lourds que la moyenne ou un profil assez déviant. Plusieurs d'entre eux font même l'objet d'une surveillance intensive.
Pour la Dre Joanne-Lucine Rouleau, sauf exception, il n'est toutefois jamais trop tard pour intervenir. «La vraie prévention se fait dehors», estime la psychologue, qui préfère tendre un ultime filet de sécurité. Dehors, les violeurs et les pédophiles sont de nouveau soumis à la tentation, de nouveau face à leur tristesse, à leur anxiété ou à leur colère, dit-elle.
Depuis 1992, les cas lourds lui sont donc envoyés au CERUM (Centre d'étude et de recherche de l'Université de Montréal), dont le programme, accrédité par des experts internationaux, a aussi été approuvé par les services correctionnels.
Tous les ans, l'équipe de la Dre Rouleau évalue entre 40 et 60 délinquants au moyen de tests et de questionnaires. La moitié d'entre eux se qualifient et s'engagent à se présenter au moins deux heures par semaine pendant 11 mois- 11 mois de «reprogrammation» intensive.
L'objectif: changer leurs fantasmes. Changer leur façon d'interagir avec les autres. Et changer leurs innombrables idées fausses au sujet des femmes et des enfants (qui les ont "provoqués", disent-ils, ou qui avaient besoin d'éducation sexuelle...)
«Je ne crois pas que quelqu'un choisisse d'être déviant, commente la Dre Rouleau. Comme thérapeute, je suis contre ce qu'ils ont fait, pas contre eux. Aux enfants, je dis: Imaginez-vous une tarte. Cette partie-là n'est pas bonne et nous allons l'enlever.»
Mauvaise odeur et cassettes audio
Première étape: une visite au laboratoire. Là, une rondelle de caoutchouc contenant du mercure tient lieu de thermomètre et permet de mesurer l'excitation sexuelle de celui qui l'enfile.
Pendant près de deux heures, les délinquants visionnent ensuite des bandes vidéo, regardent des diapositives d'enfants de tous les âges et écoutent des bandes sonores décrivant des scénarios plus ou moins violents. Dans 80% des cas, leurs intérêts déviants coexistent avec des intérêts normaux.
Les services correctionnels procèdent au même test en prison. «Mais souvent la libido baisse avec l'incarcération et les résultats sont moins précis, souligne la Dre Rouleau. Des résultats précis nous permettent d'offrir un traitement sur mesure.»
Deuxième étape: éliminer la charge érotique des mauvais fantasmes. En groupe, pendant cinq semaines, les délinquants se racontent leur histoire à haute voix. Aux moments clés, les thérapeutes leur font sentir de l'ammoniaque, une odeur très désagréable qui s'imprime fortement dans leur mémoire.
«Avec le temps, cette odeur devient associée à leur fantasme. Quand ils se retrouvent dans une situation similaire, l'odeur revient. C'est un signal d'alarme pour qu'ils s'arrêtent à temps, qu'ils réalisent ce qu'ils sont en train de faire», explique la Dre Rouleau.
Ailleurs, certains thérapeutes utilisent la même odeur pour dégoûter leurs patients au point de leur faire perdre toute érection. «Mais nous n'avons pas besoin d'aller jusque-là, précise la psychologue. Un jour, un de nos patients a voulu utiliser les toilettes d'un garage. Il n'y est jamais parvenu, juste à sentir les produits nettoyants.»
Pendant les cinq semaines suivantes, 20 heures durant, les délinquants se concentrent sur le bref moment qui les excite le plus. Sur des cassettes audio, ils racontent ce moment sans relâche, jusqu'à satiété.
Les autres volets du traitement sont moins spectaculaires. Il s'agit notamment d'associer les actes criminels et leur préparation aux conséquences très négatives qui en découlent.
«La peur doit revenir très vite quand il y aura la tentation. Il faut que le délinquant se souvienne d'avoir souffert, d'avoir été jugé, d'être passé à la télé et d'avoir eu peur de la prison, énumère la Dre Rouleau. Cela les aide à mieux maîtriser leurs pulsions.»
Les délinquants font par ailleurs le compte de leurs fausses croyances et de toutes les excuses qu'ils se donnent pour justifier leurs actes.
Enfin, les agresseurs apprennent à mieux gérer leurs émotions et les conflits, à mieux s'affirmer, à découvrir l'intimité. Un volet très important, aussi utilisé à l'institut psychiatrique montréalais Pinel.
«Si on change leur comportement pour que les délinquants soient plus heureux, plus performants socialement, ils seront moins tentés de récidiver, expose le Dr Benoît Dassylva. En fin de compte, cela représente moins de victimes dans la communauté.»
Lire aussi :
Des taux de récidive variables
Un traitement rare
Un homme à risque
http://www.cyberpresse.ca/article/20060619/CPACTUALITES/606190680/1019/CPACTUALITES
Dave Hilton est sorti de prison à 5 heures ce matin.
http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-dave_hilton_aurait_ete-15928-2.html
http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-dave_hilton_aurait_ete-15928-2.html
Lison de Gatineau
oui et meme cyberpresse en parle il est surment sorti plus tot pourvevité la ruée des journalistes
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Je ne crois pas à la réussite de ce traitement pour lui, il a toujours nié.
[url=http://lilypie.com][img]http://lilypie.com/pic/090307/N3LF.jpg[/img][img]http://b3.lilypie.com/BWcSm5/.png[/img][/url]
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Soulagé d'être libéré, Dave Hilton se sent quand même "un peu nerveux"
2006-06-19 13:53:00
MONTREAL (PC) - Libéré lundi matin après avoir purgé les deux tiers de sa peine d'emprisonnement pour des agressions sexuelles sur ses deux filles, le boxeur Dave Hilton se sentait "un peu nerveux" et "stressé" de revenir dans la société.
Interrogé lundi midi, alors qu'il était passé voir son père Dave à son Club de boxe Hilton, dans le sud-ouest montréalais, Dave Hilton fils se demandait bien ce que les gens allaient dire en le voyant en liberté.
"Je souhaite que les gens me croient", a-t-il confié, lui qui a toujours nié les agressions et prétendu être victime d'un complot ourdi par son ancienne conjointe. Mais "tout le monde a droit à son opinion", a-t-il concédé.
Il ne sait pas encore s'il va recommencer à s'entraîner pour la boxe, désirant en parler d'abord sérieusement avec son père.
---------------------------------------------
Il a assez de culot, je ne suis pas inquiète pour lui. Il n'aura pas à se sentir nerveux longtemps. Il y aura assez de groupies pour lui enlever sa nervosité.
2006-06-19 13:53:00
MONTREAL (PC) - Libéré lundi matin après avoir purgé les deux tiers de sa peine d'emprisonnement pour des agressions sexuelles sur ses deux filles, le boxeur Dave Hilton se sentait "un peu nerveux" et "stressé" de revenir dans la société.
Interrogé lundi midi, alors qu'il était passé voir son père Dave à son Club de boxe Hilton, dans le sud-ouest montréalais, Dave Hilton fils se demandait bien ce que les gens allaient dire en le voyant en liberté.
"Je souhaite que les gens me croient", a-t-il confié, lui qui a toujours nié les agressions et prétendu être victime d'un complot ourdi par son ancienne conjointe. Mais "tout le monde a droit à son opinion", a-t-il concédé.
Il ne sait pas encore s'il va recommencer à s'entraîner pour la boxe, désirant en parler d'abord sérieusement avec son père.
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Il a assez de culot, je ne suis pas inquiète pour lui. Il n'aura pas à se sentir nerveux longtemps. Il y aura assez de groupies pour lui enlever sa nervosité.
Je lui ai vu la face toute l'heure du souper aux nouvelles
pis ca m'a fait chier... Il arretait pas de se peter les
bretelles... Une vraie vedette...
J'espere que ca va pas etre pareil quand Cloutier va sortir...
pis ca m'a fait chier... Il arretait pas de se peter les
bretelles... Une vraie vedette...
J'espere que ca va pas etre pareil quand Cloutier va sortir...
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
Libération de Dave Hilton
Le boxeur goûte de nouveau à la vie
Après sa première journée de semi-liberté, Dave Hilton est rentré, lundi en milieu d'après-midi, à la maison de transition de l'est de Montréal ou il pourrait loger jusqu'en janvier 2009.
Après avoir purgé cinq ans d'une peine de prison pour agressions sexuelles sur ses deux filles, il est soulagé, mais c'est aussi un choc.
«Quand je suis sorti, puis que j'ai vu les chars et le monde passer, ça m'a fait capoter un peu parce que la vie va vite dehors, et en dedans, c'est tranquille», explique le boxeur.
Il a passé une partie de la journée de lundi au gymnase de son père, d'abord pour renouer avec ses proches.
Il dit que les cinq dernières années l'ont changé, qu'il est sobre et voit plus clair, mais il continue de nier avoir agressé sexuellement ses deux filles.
«J'ai toujours dit que je croyais en la libération conditionnelle, mais j'ai toujours dit aussi qu'une libération conditionnelle, ça se mérite. Et moi, je considère que Dave Hilton n'a rien fait pour mériter sa libération conditionnelle!» dit Yves Thériault, auteur de Tout le monde dehors!
Même s'il appréhende un peu la réaction des gens qu'il croisera, Dave Hilton a l'intention de ne pas se laisser abattre.
Son passage en maison de transition fait maintenant saliver ceux qui rêvent d'un retour dans le ring pour l'ex-champion du monde.
Pour l'instant, les ambitions de Dave Hilton semblent davantage personnelles que professionnelles. Mais pour un homme dont les seuls succès dans la vie ont été obtenus dans le monde de la boxe, rien n'est exclu.
En vidéo, écoutez le reportage de Jean-François Guérin.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2006/06/20060619-183704.html
Le boxeur goûte de nouveau à la vie
Après sa première journée de semi-liberté, Dave Hilton est rentré, lundi en milieu d'après-midi, à la maison de transition de l'est de Montréal ou il pourrait loger jusqu'en janvier 2009.
Après avoir purgé cinq ans d'une peine de prison pour agressions sexuelles sur ses deux filles, il est soulagé, mais c'est aussi un choc.
«Quand je suis sorti, puis que j'ai vu les chars et le monde passer, ça m'a fait capoter un peu parce que la vie va vite dehors, et en dedans, c'est tranquille», explique le boxeur.
Il a passé une partie de la journée de lundi au gymnase de son père, d'abord pour renouer avec ses proches.
Il dit que les cinq dernières années l'ont changé, qu'il est sobre et voit plus clair, mais il continue de nier avoir agressé sexuellement ses deux filles.
«J'ai toujours dit que je croyais en la libération conditionnelle, mais j'ai toujours dit aussi qu'une libération conditionnelle, ça se mérite. Et moi, je considère que Dave Hilton n'a rien fait pour mériter sa libération conditionnelle!» dit Yves Thériault, auteur de Tout le monde dehors!
Même s'il appréhende un peu la réaction des gens qu'il croisera, Dave Hilton a l'intention de ne pas se laisser abattre.
Son passage en maison de transition fait maintenant saliver ceux qui rêvent d'un retour dans le ring pour l'ex-champion du monde.
Pour l'instant, les ambitions de Dave Hilton semblent davantage personnelles que professionnelles. Mais pour un homme dont les seuls succès dans la vie ont été obtenus dans le monde de la boxe, rien n'est exclu.
En vidéo, écoutez le reportage de Jean-François Guérin.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdivers/archives/2006/06/20060619-183704.html
Depuis le 18 mars
Hilton papa de nouveau
Christine Bouthillier
Publié le: mardi 26 mars 2013, 10H30 | Mise à jour: mardi 26 mars 2013, 10H40
MONTRÉAL - L'ex-boxeur Dave Hilton vient tout juste d'avoir un nouvel enfant. Sa femme, prénommée Jamielee, a donné naissance à une petite fille le 18 mars dernier, a annoncé l'ex-pugiliste sur sa page Facebook.
L'enfant s'appellera Alicia Alex-Sandra Maryann Stewart Hilton. Elle pesait 5 lb et 10 oz à la naissance.
Le couple se serait marié le 29 septembre dernier, selon la page de l'ex-boxeur.
Rappelons que Dave Hilton a été condamné à sept ans de prison en 2001 pour agression sexuelle sur ses deux filles, Jeannie et Anne-Marie. Les événements se sont déroulés entre 1995 et 1998. Les deux filles, qui ont aujourd'hui environ 30 ans, ont publié l'ouvrage Le cœur au beurre noir, dans lequel elles racontent ces épisodes d'agression. Dave Hilton est sorti de prison en 2006.
http://www.journaldemontreal.com/2013/0 ... uveau-papa" onclick="window.open(this.href);return false;
Hilton papa de nouveau
Christine Bouthillier
Publié le: mardi 26 mars 2013, 10H30 | Mise à jour: mardi 26 mars 2013, 10H40
MONTRÉAL - L'ex-boxeur Dave Hilton vient tout juste d'avoir un nouvel enfant. Sa femme, prénommée Jamielee, a donné naissance à une petite fille le 18 mars dernier, a annoncé l'ex-pugiliste sur sa page Facebook.
L'enfant s'appellera Alicia Alex-Sandra Maryann Stewart Hilton. Elle pesait 5 lb et 10 oz à la naissance.
Le couple se serait marié le 29 septembre dernier, selon la page de l'ex-boxeur.
Rappelons que Dave Hilton a été condamné à sept ans de prison en 2001 pour agression sexuelle sur ses deux filles, Jeannie et Anne-Marie. Les événements se sont déroulés entre 1995 et 1998. Les deux filles, qui ont aujourd'hui environ 30 ans, ont publié l'ouvrage Le cœur au beurre noir, dans lequel elles racontent ces épisodes d'agression. Dave Hilton est sorti de prison en 2006.
http://www.journaldemontreal.com/2013/0 ... uveau-papa" onclick="window.open(this.href);return false;
Lison de Gatineau
Je ne comprendrai jamais que des femmes puissent vouloir être en couple avec des hommes dans son genre, notoirement violent et qui en plus à abusé de ses deux filles. En plus faire un enfant avec lui, faut être crissement inconsciente et aimer vivre dans la merde. Pauvre fille et pauvre infant. 
Dernière modification par Malike le mer. mars 27, 2013 12:54 pm, modifié 3 fois.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 
-
MsPontchartrain
- Immortel du Domaine
- Messages : 11649
- Inscription : mar. mai 04, 2010 1:55 am
Re: L'ex-boxeur Dave Hilton sera libéré demain........
Je ne comprends pas qu'une personne condamnée pour de tels crimes puisse avoir la garde de cet enfant. Parce qu'il a fait son temps, il a redonné à la société ? Il est maintenant apte à élever une petite fille innocente sans aucun risque de récidive ? 
Ça me dégoûte et j'implique tout autant la nouvelle mère (encore que j'hésite à la qualifier de ce terme qui pour moi renvoie à des images de responsabilité, de tendresse et de souci du bien-être de sa progéniture).
Ça me dégoûte et j'implique tout autant la nouvelle mère (encore que j'hésite à la qualifier de ce terme qui pour moi renvoie à des images de responsabilité, de tendresse et de souci du bien-être de sa progéniture).
MsPontchartrain a écrit : Je ne comprends pas qu'une personne condamnée pour de tels crimes puisse avoir la garde de cet enfant. Parce qu'il a fait son temps, il a redonné à la société ? Il est maintenant apte à élever une petite fille innocente sans aucun risque de récidive ?
