Article tiré de la revue "Dernière heure" du 13 novembre 2004



À la suite de la publication du livre "La vraie vie de Julie Bureau" LES PARENTS RÉPONDENT AUX ACCUSATIONS DE LEUR FILLE

La jeune fugueuse Julie Bureau n'a pas fini de faire parler d'elle. Elle disait vouloir vivre en toute tranquilité à la campagne, mais elle a choisi d'exposer sa vie privée au grand jour. Elle a multiplié les entrevues et les conférences de presses au cours des dernières semaines. Maintenant, son livre, La vraie vie de Julie Bureau, est mis en vente dans les librairies du Québec. Accablée par sa fille, Francine Poulin a accepté de donner sa version des faits. Notre journaliste a rencontré les parents de celle par qui le scandale arrive.

Pour Michel Bureau et FRancine Poulin, leur douce fille Julie s'est littéralement transformée au cours de sa deuxième secondaire à la polyvalente de Lac-Mégantic. "Elle n'était pas comme ça avant son secondaire II. C'était une fille douce, affectueuse et aimante. Elle a changé du tout au tout quand elle a commencé à se droguer au secondaire II, disent ses parents.

"Julie traverse une période noire qui la porte à nous blâmer parce que tout ne va pas comme elle le voudrait,mentionne sa mère. Elle désirait mettre un terme à ses études à l'âge de 14 ans. Elle voulait travailler. Elle aurait aimer le faire dans une boutique de vêtements comme moi. Mais la loi du travail jouait contre elle. Aucun employeur ne peut engager une personne ayant moins de 16 ans. DE plus, la loi sur l'instruction publique oblige nos enfants à étudier jusqu'à l'âge de 16 ans. Julie s'est alors révoltée et s'est adonnée à la consommation de drogue. ELle nous tenait responsable du fait qu'elle ne pouvait pas travailler. Nos relations sont devenues plus tendues"

DANS LE BOIS

"Les vacances suivant la fin de son secondaire II n'ont pas été de tout repos, explique Francine Poulin, estomacquée par les nombreuses révélations de sa fille, qui, dans le livre écrit par André Mathieu, la fait passer pour une mârâtre. Un midi, j'ai demandé à mon mari de l'emmener avec lui dans le bois, parce que je n'en pouvais plus, j'étais à bout."
Je l'ai emmené dans le bois, poursuit Michel Bureau. Elle est restée près de moi pendant que je bûchais. Elle n'étais jamais bien loin. C'est faux de prétendre qu'on l'a abandonnée là. J'aurais peut-être dû arrêter de bûcher et m'asseoir avec elle pour lui parler."
LE LIVRE

Puis, Michel Bureau a parlé de la publication du livre. "Pourquoi Julie a-t-elle accepté de sortir un livre? N'avait-elle pas dit aux journalistes à la fin de sa conférence de presse qu'Elle voulait aller vivre à Beauceville en toute tranquilité et mener sa vie comme elle le voulait? Qui est André Mathieu pour prétendre que la publication de son histoire sera la thérapie idéale pour Julie et que ça lui permettra de tourner la page? Est-il un psychologue? Voyez ce qu'elle fait de sa thérapie! Ce M. Mathieu nous reproche dans son livre de ne pas avoir collaboré avec lui. Si nous l'avions fait, nous aurions encore subi un blâme de la part de Julie, qui nous reprochait justement de trop vouloir contrôler sa vie. C'Est ce qu'elle nous a dit au cours de notre première rencontre, après qu'elle a été reconnue à Beauceville par une des anciennes collègues de travail de mon épouse. Si nous avions voulu contrôler sa vie, nous l'aurions confiée à la DPJ jusqu'à ses 18 ans. Au lieu de ça, nous avons accepté de la laisser aller à Beauceville. Curieusement, elle se retrouve dans le même décor que celui qu'elle trouvait ici, soit une maison avec une grande propriété boisée."

Quelle opinion ont-ils du livre? Il contient des vérités, des demi-vérités et des faussetés. Nous laissons le soin aux lecteurs de départager le tout. Nous n'Avons pas l'intention de faire cet exercice", répond sans hésitation Michel Bureau. Francine Poulin ajoute: "André Mathieu a écrit des choses cruelles à notre endroit, parce que nous avons refusé de participer à l'écriture du livre. Nous voulions éviter que Julie pense que nous désirions contrôler sa vie. Nous avons préféré nous abstenir. C'est très maladroit d'oser me comparer à la mère d'Aurore!" (Rappelons qu'André Mathieu est l'Auteur d'un livre portant sur cette enfant martyre, Aurore, la vraie histoire.)

L'EAU DE JAVEL

Ce commentaire de Francine Poulin nous amène à parler d'un épisode particuleir du livre, celui où de l'Eau de javel a été versée dans le bain de Julie. La mère de famille nous raconte que sa fille a été opérée pour une verrue plantaire alors qu'elle était en sixième année. "Le médecin m'a dit de faire tremper son pied dans un bol contenant une pinte d'eau bouillie et deux cuillèrée d'eau de javel pour aider sa guérison. Julie confond cet épisode avec celui des vers; je tiens un certain traitement de ma mère et d'un naturopathe. Je ne mettais jamais plus que quelques gouttes de peroxyde dans le bain. C'était suffisant."

LES 92 LETTRES

Les révélations que Julie a faites au sujet des 92 lettres adressées à son amie Josianne n'ont pas laissé ses parents indifférents. "Si cette histoire là est vraie, pourquoi Josianne n'a t-elle pas informé les policiers de ce qu'Elle savait? Elle n'Avait pas besoin de notre permission" tranche d'entrée de jeu le père de famille quand nous lui demandons son opinion sur le sujet. "Au moment de la disparition de Julie, nous avons donné tous les noms de ses amis et amies aux policiers, déclare à son tour Francine Poulin. Celui de Josianne figurait sur la liste. Pourquoi ne leur a t-elle pas parlé des 92 lettres? Je ne suis pas encore rendue à ce passage du livre. Je vais le lire. Ensuite, je vais téléphoner à Josianne pour connaître le fond de cette histoire."

LES RECHERCHES

En entrevue, Julie Bureau a dit que sa mère ne voulait pas la retrouver. Son père répond à cette affirmation: Nous avons vécu sa fugue difficilement. La première année a été terrible pour nous. Nous la recherchions partout. Avec le temps, nos espoirs se sont mis à disapraître. Mais nous n'Avons jamais abandonné pour autant. Un an environ après sa disparition, nous avons reçuu un message par internet: "Bonjour, c'est bien moi, Julie Bureau, Je vais bien et je n'En dis pas plus." Nous avons immédiatement téléphoner aux enquêteurs. Ces derniers nous ont dit de ne plus toucher à l'ordinateur et d'Attendre. Ils sont venus. Ils ont pris les informations et ont obtenu un mandat de perquisition chez sympatico afin de trouver les auteures du message. C'était deux filles de Joliette qui voulaient faire un blague. Elles ont dû attraper leur air quand les policiers sont allés les voir. Nous n'avons jamais cessé de chercher Julie"

LES SOULIERS ET LES VÊTEMENTS

Julie écrit dans son livre que sa mère a piqué une sainte colère devant ses compagnes de classe parce qu'elle était partie avec ses souliers. Elle ajoute même que sa mère refusait de lui acheter des vêtements neufs. "C'est partiellement vrai, explique Francine Poulin. L'année de son secondaire II, Julie était lambine et avait toujours quelque chose à faire avant de se rendre à l'arrêt d'autobus: se maquiller, se brosser les dents...Je lui répétais continuellement que je n'irais pas la conduire si elle manquait son autobus scolaire. Un matin pluvieux, l'autobus est arrivé alors que Julie n'était pas prête. Elle a couru et a pris la première paire de soulier sur son chemin. C'était les miens. Nous avions des souliers qui se ressemblaient. Elle n'a pas pris la peine del es mettre. Elle a couru jusqu'à l'autobus en pied de bas, en passant dans la boue. C'est ça qui m'A enragée noir. Je suis allée à l'école pour lui dire mon mécontentement et reprendre mes souliers. Elle m'Avait assuré qu'Elle avait enlevé ses bas avant de mettre mes chaussures. Je lui ai fait comprendre que ça ne se faisait pas de marcher dans la boue en bas"

Pour ce qui est des habits, elle précise: " Julie a toujorus été bien habillée. Elle pensait qu'Elle pouvait avoir tous les vêtements qu'elel voulit parce que je travaillais dans une boutique. Une fois, nous avons acheté deux paires de pantalons: une beige et une bleue. Elle a porté les pantalons beiges, mais elle n'a jamais mis les bles. Elle possédait des vêtements qu'elle n'avait jamais portés et qui avaient encore leur étiquette. Je lui ai dit qu'Elle aurait d'autres habits neufs quand elle aurait mis tous ceux qu'elle n'Avait pas encore enfilés."

UNE THÉRAPIE

L'adolescente, qui aura 18 ans le mois prochain, dit que sa mère lui ferait le plus beau cadeau qui soit si elle acceptait de suivre une thérapie. Mais Michel Bureau, qui, rappelons-le, se blâme de ne pas avoir parler beaucoup avec sa fille, prend la parole. Sur un ton sans équivoque, il déclare: "Pendant les vacances de son secondaire II, j'ai proposé à Julie que toute la famille suive une thérapie. FRancien, Dany et moi étions prêts à rencontrer un psychologue. J'ai  même dit que la personne qui avait besoin d'aide, selon le psychologue, poursuivrait la thérapie. Julie a refusé

LE COLLÈGE PRIVÉ

Julie explique que son envoi à un collège privé a été la goutte qui a fait déborder le vase. Dès cet instant, elle a songé à éviter le contrôle parental. Julie n'était pas chaude à l'idée de faire son secondaire III dans un pensionnat. Mais nous n'avions plus le choix, avoue Michel Bureau. Les vacances avaient été difficiles à cause de son problème de drogue. Mon épouse et moi lui avons expliqué nos raisons. Nous lui avons offert de choisir elle-même son collège sur internet. Elle a choisi Rivier de Coaticook."

"Nous avons respecté son choix, enchaîne Francine Poulin. Nous aurions pu l'obliger à aller à Waterville qui est moins loin et qui est entièrement cloturé. On a pas le droit de faire des sorties à Waterville, alors qu'on peut le faire à Coaticook. Nous n'avions pas les moyens de l'envoyer à un collège privé. Mais nous nous sommes serré la ceinture pour le lui permettre."

"Peu de temps avant son départ pour Coaticook,reprend le père, Julie a rejeté l'idée d'Aller à un collège privé. je l'ai serré dans mes bras et je lui ai offert de tout laisser tomber si elle le désirait. Elle m'a répondu non et elle m'A dit que'elle essaierait un mois" On connait maintenant la suite. Julie a profité d'une soirée au McDonald's de Coaticook pour fuguer pendant 34 mois.

SON PÈRE NE MET PAS SES CULOTTES

Julie reproche à son père de ne pas mettre ses culottes. Mais Francine Poulin souligne que, bien avant la naissance de leurs enfants, son conjoint et elle s'étaient entendus sur une chose: Ils se soutiendraient toujours quand l'un prendrait une décision. "Nous avions convenu que, lorsque l'un de nous deux trancherait pour une chose, l'autre ne reviendrait pas là-dessus. Quand Julie me demandait la permission de faire une chose et que je refusais, elle allait voir son père. Michel me consultait alors pour connaître ma décision. Il ne la changeait jamais. J'agissais de la même façon en ce qui la concernait. Notre solidarité ne plaisait pas à Julie. C'est pour ça qu'elle a dit qu'il ne mettait pas ses culottes."

LE MOT DE LA FIN

Au terme de deux heures d'Entretiens, Francine Poulin et Michel Bureau, visiblement épuisés par les révélations et les insinuations de leur fille, ne pensaient qu'à retrouver leur tranquilité dans leur maison de Milan. Le mot de la fin, c'est Michel Bureau qui l'a prononcé. "Je souhaite que tout ça se termine pour que nous retrouvions notre vie calme et paisible. SI Julie veut continuer à faire un bout de chemin avec nous, chez nous, elle est la bienvenue. Elle devra faire comme nous autres, tirer un trait sur le passé et foncer vers l'avenir"

QUESTIONNÉS A L'ÉMISSION DE PAUL ARCAND SUR CE QU'ILS PENSAIENT DE LA RELATION QUE JULIE ENTRETIENT AVEC JEAN-PAUL BERNARD, MICHEL BUREAU ET FRANCINE POULIN ONT RÉPONDU QU'ILS NE SE MÊLAIENT PAS DES AFFAIRES DE LEUR FILLE. ILS NE SOUHAITENT QUE SON BONHEUR


Le lancement du livre de Julie Bureau, tenu dans la région de Lac-Mégantic le dimanche 31 octobre, n'a pas remporté le succès escompté par son auteur, André Mathieu. L'adolescente de 17 ans a réclamé une somme de 10$ aux 50 personnes venues l'entendre raconter sa fugue. Pour sa part, André Mathieu n'a pas caché son amertume à la journaliste Isabelle Dorais, de TVA Sherbrooke. "Je pensais qu'on était assez important pour faire déplacer plus de gens" a mentionné André Mathieu, qui a mis 8000 livres sur le marché. Dans le discour qu'il a adressé à la cinquantaine de personnes réunies dans une salle trop grande, il a souligné que 25% de la population comprend Julie, alors que 75% la condamne. Le voeu de Michel Bureau et de Francine Poulin, qui souhaitent que le livre ne se vende pas, se réalisera-t-il? --Message edité par annouk le 2004-11-15 12:12:24--

Je trouves ça tellement dommage pour les parents et Julie de laver leur linge sale devant le public et l'auteur qui s'en fou, il veut juste l'argent que le livre va lui procurer.
Tant qu'a moi, c'est un auteur médiocre avec une histoire médiocre.
Les gens heureux n'ont pas d'histoire et ces parents là n'en voulaient pas d'histoire.

merci pour l'article.  Déjà en le lisant, on ne rescent pas la même haine que lorsque on écoute ou lit Julie Bureau.  

merci pour l'article ...  

Merci pour l'article .......hum ça donne un autre son de cloche.....

Toute cette histoire devant public.......ouff......

Merci pour l'article Annouk


Je trouvais que c'était une fille capricieuse et je vais continuer de le croire

merci pour l'article.

je ne voudrais pas prendre la place de ses parents..
mon dieu sa doit etre tres difficile.

Merci beaucoup pour l'article,ça confirme ce que je pensais de tout celà d'après ce que j'avais pu en lire.
Heureusement que tous les ados ne réagissent pas aussi mal,et vraiment cette fille aurait besoin d'un suivi psy. elle n'a pas l'air de digérer sa jeunesse chez ses parents,ce qui est le parcours normal,grandir mentalement,il n'a pas l'air se se faire,puisqu'elle reste coincée sans faire l'analyse de ses "éventuels" manquements,rien n'est de sa faute....
Mais peut-être cet adulte inconscient qui l'a "hébergé"(c'est quand même pas net cette histoire) y est-il pour quelque chose !!!!

Merci pour l'article c'était très intéressant à lire.

oui bien interessant j'avais pas lu sa....j'ai encore la mpeme opinion, sur cette fille...qui est pas très positive....

que c,est triste aussi cette histoire ,un jour, elle comprendra toute la peine qu»'elle a fait à ses parents et à son petit frère

CRYSTALE-ANGEL  a écritque c,est triste aussi cette histoire ,un jour, elle comprendra toute la peine qu»'elle a fait à ses parents et à son petit frère  


Oui je dit comme toi j'espère qu'elle comprendra.

Membre du Domaine Bleu  a écritJe sas je ressors un vieux sujet...

Mais j'ai empreuté le livre à ma biblio municipal j'achèterai pas ce livre certain!

Je lis ca et je revien avec mes commentaires! Et je vous scannerez peut être quelque passage du livre si ca intérèsse quelqu'un.


Bien sûr Membre du Domaine Bleu    !!!  moi en tout cas ça m'intéresse..... reviens nous dire ce que tu en pense....  

Marylin, c'est très touchant ce que tu dis !

Ne perdez pas espoir et continuer à vivre en pensant à vous deux.

Tellement d'enfant auraient besoins de cet amour!

Marylin  a écritMerci Annouk pour ce bel article.J'ai beaucoup pleuré en le lisant. Comme je comprend bien les parents .Oui c'est très dure à vivre je l'ai moi même vécu.Un enfant peut faire pendre ses parents.Oui moi et mon  mari le père nous avons eu nos défauts ,elle nous a dit qu'on l'avais trop protégé et c'est vrai .Parce que après sa naissance je pouvais plus avoir d'autres enfants.Imaginez vous elle  a été surprotégée et très gâtée.Moi aussi c'est au secondaire que tout c'est mis à mal aller.Elle était super violence après moi et mon mari je ne renterai pas dans les détails.Elle a même été jusqu'à brisée les liens avec une de mes soeurs.Mais si ma soeur aujourd"hui c'est la vérité les liens sont jamais revenus comme avant.Aujourd'hui elle a 25 ans et depuis l'age de 18 ans j'ai jamais eu de ses nouvelles .Mais je sais qu'elle est vivante mais ou je sais pas .J'essai de vivre au jour le jour mais c'est vraiment pas facile .On ne peut pas vivre sans penser à notre enfant que j'ai mis au monde et que le père a fait c'est notre sang.Je ne souhaite pas ça à personne.Jamais que j'en parle ça nous déchirent trop.Excusez moi mais ça m'a fait du bien de pouvoir parler.Moi et mon mari on se dit chaque année qu'on là voit pas une année de perdu avec elle.Et on vieilli on sait jamais ce que l'avenir nous réserve. Assez de négative mon mari et moi on s'aiment ,ça remplace pas notre enfant mais au moins nous sommes deux à se remonter.Parce que avec cette pression on aurait pu se divorcer.Je remercie Dieu d'avoir un si bon mari.

Marylin, j'ai lu ton message et je suis toute secouée.  Je vous souhaite beaucoup de courage à toi et ton mari.  Espérons que votre fille se souviendra, un jour, de tout l'amour que vous avez pour elle.  Lâchez pas, gardez confiance et reviens nous en parler quand ce sera trop dur.  Personne ne mérite un tel traitement.  

Je ne peux même pas imaginer la douleur que toi et ton conjoint doivent ressentir
Mais le temps passant,ne crois-tu pas que ça vaudrait la peine d'essayer de rentrer en contact avec elle ?
Elles ne sont quand même pas toutes comme cette fille qui ne se remets pas en cause une seconde
Sais-tu si elle est en ménage,a-t'elle des enfants,ou alors n'avez vous aucun contact avec des gens qu'elle fréquente ?
Mais peut-être la souffrance est-elle encore trop grande pour entreprendre ces démarches ?
En tous cas,je suis de tout coeur avec toi

Merci pour l'Article!

Ouf Marilyn tu m'as fait venir les larmes aux yeux. Moi qui allait dire que Julie allait comprendre sûremetn en vieillissant, je suis plus sure de voulior dire ça. J'imagine qu'un jour elle aura besoin de se rapprocher de ses parents. J'espère que ça arrivera pour vous, j'espère que ça arrivera poru eux.  

Marylin, mes pensées seront avec toi. Je te souhaite, en ce temps des fêtes, d'être en paix.

Je souhaite à ta fille de prendre conscience que ses parents ne sont pas éternels et que ce qu'ils ont fait pour elle, il l'ont fait avec tout l'amour qu'on peut donner à un enfant.

J'aimerais savoir si quelqu'un a vu dernièrement  à la fin du téléjournal de Radio-Canada, celui de 5hres 30, une entrevue avec Julie et Monsieur Bernard?  J'ai pris juste la fin car j'allais pour programmer mon vidéo.

Ce que j'ai vu et le peu que j'ai entendu m'a étonnée assez.  Je n'ai pas vu la même fille dure de la conférence de presse.  Ça fait environ 10 à 15 jours, il y avait de la neige à Beauceville à ce moment. J'aimerais bien connaître votre avis si vous l'avez vue cette entrevue.  

Moi j'en reveint juste pas de ce qu'elle à fait subbir à ses parents et ce qu'elle leur fait subir encore. J'était très contente pour ses parents quand il l'on retrouvé, mais ce qu'il on retrouver n'est certainement pas la fille qui espairait revoire.
Oui cette fille là c'est une petite incomprisse, je sais pas ce qu'elle essaie de prouver ou justifier avec ces propos incoréant, mais ya vraiment quelque chose qui cloche dans son aventure de fugueusse.