Une ex-lofteuse dénonce
Modérateur : Elise-Gisèle
Julie Lemay, gagnante de l’émission Loft Story, en 2003, vient de publier un essai-choc, L’Envers de la téléréalité, qui dénonce les traitements qui seraient réservés aux participants de ces shows.
Ceux qui ont suivi Loft Story à TQS se rappellent peut-être de LA Julie, une petite blonde frisée qui était enseignante au primaire.
Après Un automne au loft, le journal de son expérience quotidienne derrière les caméras de Loft Story, elle nous revient avec L’Envers de la téléréalité, publié aux Intouchables et dans lequel elle livre les témoignages de quelques participants de Loft Story, Star Académie et Occupation double.
Paroles de stars-kleenex
Les propos tenus dans cet ouvrage incriminent le phénomène de stars instantanées, que l’auteure appelle stars-kleenex, une expression empruntée aux Français. Son but : mettre à jour des secrets de plateaux et dissuader la relève de s’inscrire aux auditions.
Il y a notamment ce passage qui révèle le présumé comportement de Guy Cloutier : « R., mon ex, artiste (qui fréquente maintenant une Bougon), m’avait confié être allé nous voir dans notre aquarium. Qui plus est, selon R., Guy Cloutier invitait ses bons « chums à venir zieuter les lofteuses à l’heure des douches le matin… », peut-on lire.
Où sont les gagnants ?
Quoique savoureux et léger à lire pour les innombrables potins qui en découlent, on se demande si un tel essai aurait la même couleur si Julie Lemay était allée interviewer Marie-Élaine Thibert, de Star Académie, ou encore Isabelle Rochon, vainqueure de la première cuvée d’Occupation double.
L’auteure ne rapporte que les propos de ceux qui se sont le moins bien illustrés dans leur aventure respective. Un bon travail journalistique aurait présenté les points de vue des gagnants comme des perdants.
Quel crédit y accorder, donc ? Sans remettre en question la douleur et les témoignages de certains participants, qui comme elle semblent en sortir blessés, on comprend à travers cet ouvrage qu’il est plus question d’un règlement de comptes que d’une réelle enquête journalistique.
Ceux qui ont suivi Loft Story à TQS se rappellent peut-être de LA Julie, une petite blonde frisée qui était enseignante au primaire.
Après Un automne au loft, le journal de son expérience quotidienne derrière les caméras de Loft Story, elle nous revient avec L’Envers de la téléréalité, publié aux Intouchables et dans lequel elle livre les témoignages de quelques participants de Loft Story, Star Académie et Occupation double.
Paroles de stars-kleenex
Les propos tenus dans cet ouvrage incriminent le phénomène de stars instantanées, que l’auteure appelle stars-kleenex, une expression empruntée aux Français. Son but : mettre à jour des secrets de plateaux et dissuader la relève de s’inscrire aux auditions.
Il y a notamment ce passage qui révèle le présumé comportement de Guy Cloutier : « R., mon ex, artiste (qui fréquente maintenant une Bougon), m’avait confié être allé nous voir dans notre aquarium. Qui plus est, selon R., Guy Cloutier invitait ses bons « chums à venir zieuter les lofteuses à l’heure des douches le matin… », peut-on lire.
Où sont les gagnants ?
Quoique savoureux et léger à lire pour les innombrables potins qui en découlent, on se demande si un tel essai aurait la même couleur si Julie Lemay était allée interviewer Marie-Élaine Thibert, de Star Académie, ou encore Isabelle Rochon, vainqueure de la première cuvée d’Occupation double.
L’auteure ne rapporte que les propos de ceux qui se sont le moins bien illustrés dans leur aventure respective. Un bon travail journalistique aurait présenté les points de vue des gagnants comme des perdants.
Quel crédit y accorder, donc ? Sans remettre en question la douleur et les témoignages de certains participants, qui comme elle semblent en sortir blessés, on comprend à travers cet ouvrage qu’il est plus question d’un règlement de comptes que d’une réelle enquête journalistique.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
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Quel crédit y accorder? Aucun d'après moi....
J'avais entendu dire qu'elle n'avait pas été capable, par la suite, de retrouver unemploi d'enseignante et je comprend ça...Elle s'est jsute levé le chandail à plusieurs reprises devant tout le Québec en plus de frencher avec partiquement tout ce qu'il y avait de filles et de gars au loft...
C'est sur que si elle s'attendait à devenir une vedette avec¸loft story, elle doit être très désillusionnée, comme quelqu'un d'autre que je ne nommerai pas ici Julie a au moins eu un prix de consolation de 50 000$ pour l'aider à avaler sa désillusion
J'avais entendu dire qu'elle n'avait pas été capable, par la suite, de retrouver unemploi d'enseignante et je comprend ça...Elle s'est jsute levé le chandail à plusieurs reprises devant tout le Québec en plus de frencher avec partiquement tout ce qu'il y avait de filles et de gars au loft...
C'est sur que si elle s'attendait à devenir une vedette avec¸loft story, elle doit être très désillusionnée, comme quelqu'un d'autre que je ne nommerai pas ici Julie a au moins eu un prix de consolation de 50 000$ pour l'aider à avaler sa désillusion
- Spirullette
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- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
Annouk a écritQuel crédit y accorder? Aucun d'après moi....
J'avais entendu dire qu'elle n'avait pas été capable, par la suite, de retrouver unemploi d'enseignante et je comprend ça...Elle s'est jsute levé le chandail à plusieurs reprises devant tout le Québec en plus de frencher avec partiquement tout ce qu'il y avait de filles et de gars au loft...
C'est sur que si elle s'attendait à devenir une vedette avec¸loft story, elle doit être très désillusionnée, comme quelqu'un d'autre que je ne nommerai pas ici Julie a au moins eu un prix de consolation de 50 000$ pour l'aider à avaler sa désillusion
Faut dire qu'il me semble que dans le temps du Loft, elle en était étudiante en enseignement (1 ou 2e année d'un programme de 4 ans) et non enseignante comme elle aimant tant le dire. Je sais même pas si elle a terminé son bac, alors si c'est le cas, c'est normal qu'elle rush pour toruver un emploi! ;)
J'avais entendu dire qu'elle n'avait pas été capable, par la suite, de retrouver unemploi d'enseignante et je comprend ça...Elle s'est jsute levé le chandail à plusieurs reprises devant tout le Québec en plus de frencher avec partiquement tout ce qu'il y avait de filles et de gars au loft...
C'est sur que si elle s'attendait à devenir une vedette avec¸loft story, elle doit être très désillusionnée, comme quelqu'un d'autre que je ne nommerai pas ici Julie a au moins eu un prix de consolation de 50 000$ pour l'aider à avaler sa désillusion
Faut dire qu'il me semble que dans le temps du Loft, elle en était étudiante en enseignement (1 ou 2e année d'un programme de 4 ans) et non enseignante comme elle aimant tant le dire. Je sais même pas si elle a terminé son bac, alors si c'est le cas, c'est normal qu'elle rush pour toruver un emploi! ;)
Spirullette a écrit
Faut dire qu'il me semble que dans le temps du Loft, elle en était étudiante en enseignement (1 ou 2e année d'un programme de 4 ans) et non enseignante comme elle aimant tant le dire. Je sais même pas si elle a terminé son bac, alors si c'est le cas, c'est normal qu'elle rush pour toruver un emploi! ;)
T'es sure? Il me semble bien qu'elle avait son back moi mais remarque que je ne peux rien jurer
Faut dire qu'il me semble que dans le temps du Loft, elle en était étudiante en enseignement (1 ou 2e année d'un programme de 4 ans) et non enseignante comme elle aimant tant le dire. Je sais même pas si elle a terminé son bac, alors si c'est le cas, c'est normal qu'elle rush pour toruver un emploi! ;)
T'es sure? Il me semble bien qu'elle avait son back moi mais remarque que je ne peux rien jurer
Elle porte pourtant bien le titre de professeure
http://www.infoculture.ca/?page=6&view=2&numero=4192
Citation :
Un automne au Loft. Le journal de la gagnante de Loft Story :
Les mémoires d’une souris de laboratoire (**)
Un automne au Loft
Le journal de la gagnante de Loft Story
Julie Lemay
Les intouchables
Que savons-nous de Julie Lemay? Pour la majorité des gens, Julie, c'est cette jolie lofteuse un peu à part qui pleurait tout le temps et ne croyait pas vraiment en ses chances de devenir la première gagnante de la téléréalité Loft Story.
" Je considère qu'il est temps que l'image qui nous a été collée disparaisse parce que Loft Story, ce n'est que deux mois dans une vie. Je suis une fille de 24 ans et j'ai 23 ans et 10 mois de vie qui n'ont pas été montrés à la télé. Il est temps que les gens puisse se rendre compte que les lofteurs ont d'autres facettes, qui n'ont pas été véhiculées à la télé, " nous confie-t-elle.
Un automne au Loft propose donc un voyage dans les pensées de Julie, un journal commenté sur ce qui se cache derrière cette jeune femme aux yeux pétillants. Ses impressions sur ces 63 jours passés au loft avec son analyse et ses opinions sur cette téléréalité dont elle a été une observatrice privilégiée.
Et s'il y a des sceptiques, comme disait Le Capitaine, ils seront confondus puisque c'est vraiment Julie qui a écrit son livre. C'est sûrement une surprise pour ceux qui ne croyaient pas que les lofteurs savaient écrire, ni même lire.
" Je pense que les gens ont eu une perception très en surface de tout le monde dans le loft. On n'en a vu que le côté quotidien. " Julie, par exemple, a fait des études universitaires en éducation après avoir lorgné quelque temps vers les communications. Professeure, elle a aussi travaillé auprès des jeunes en difficulté. Elle avoue avoir toujours écrit. " L'écriture fait partie intégrante de ma vie depuis que j'ai 10 ans. J'écris quotidiennement." Elle travaille actuellement à un roman et se prépare à parcourir le Québec pour présenter son premier ouvrage dans les Salons du livre.
Un automne au Loft n'est pas au sens propre une oeuvre littéraire. Clair, direct et sans style particulier, ce journal a toutefois le mérite d'être honnête, empreint de sincérité - voire parfois même de naïveté. Un témoignage qui s'adresse particulièrement à tous ses supporteurs mais aussi à tous ceux qui sont curieux de connaître ce qui se passe dans la tête d'une participante à une téléréalité, de découvrir ce que la télé n'a jamais montré.
Photo de Julie Lemay : © Normand Caron.
http://www.infoculture.ca/?page=6&view=2&numero=4192
Citation :
Un automne au Loft. Le journal de la gagnante de Loft Story :
Les mémoires d’une souris de laboratoire (**)
Un automne au Loft
Le journal de la gagnante de Loft Story
Julie Lemay
Les intouchables
Que savons-nous de Julie Lemay? Pour la majorité des gens, Julie, c'est cette jolie lofteuse un peu à part qui pleurait tout le temps et ne croyait pas vraiment en ses chances de devenir la première gagnante de la téléréalité Loft Story.
" Je considère qu'il est temps que l'image qui nous a été collée disparaisse parce que Loft Story, ce n'est que deux mois dans une vie. Je suis une fille de 24 ans et j'ai 23 ans et 10 mois de vie qui n'ont pas été montrés à la télé. Il est temps que les gens puisse se rendre compte que les lofteurs ont d'autres facettes, qui n'ont pas été véhiculées à la télé, " nous confie-t-elle.
Un automne au Loft propose donc un voyage dans les pensées de Julie, un journal commenté sur ce qui se cache derrière cette jeune femme aux yeux pétillants. Ses impressions sur ces 63 jours passés au loft avec son analyse et ses opinions sur cette téléréalité dont elle a été une observatrice privilégiée.
Et s'il y a des sceptiques, comme disait Le Capitaine, ils seront confondus puisque c'est vraiment Julie qui a écrit son livre. C'est sûrement une surprise pour ceux qui ne croyaient pas que les lofteurs savaient écrire, ni même lire.
" Je pense que les gens ont eu une perception très en surface de tout le monde dans le loft. On n'en a vu que le côté quotidien. " Julie, par exemple, a fait des études universitaires en éducation après avoir lorgné quelque temps vers les communications. Professeure, elle a aussi travaillé auprès des jeunes en difficulté. Elle avoue avoir toujours écrit. " L'écriture fait partie intégrante de ma vie depuis que j'ai 10 ans. J'écris quotidiennement." Elle travaille actuellement à un roman et se prépare à parcourir le Québec pour présenter son premier ouvrage dans les Salons du livre.
Un automne au Loft n'est pas au sens propre une oeuvre littéraire. Clair, direct et sans style particulier, ce journal a toutefois le mérite d'être honnête, empreint de sincérité - voire parfois même de naïveté. Un témoignage qui s'adresse particulièrement à tous ses supporteurs mais aussi à tous ceux qui sont curieux de connaître ce qui se passe dans la tête d'une participante à une téléréalité, de découvrir ce que la télé n'a jamais montré.
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Annouk a écritElle porte pourtant bien le titre de professeure
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Citation :
Un automne au Loft. Le journal de la gagnante de Loft Story :
Les mémoires d’une souris de laboratoire (**)
Un automne au Loft
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Julie Lemay
Les intouchables
Que savons-nous de Julie Lemay? Pour la majorité des gens, Julie, c'est cette jolie lofteuse un peu à part qui pleurait tout le temps et ne croyait pas vraiment en ses chances de devenir la première gagnante de la téléréalité Loft Story.
" Je considère qu'il est temps que l'image qui nous a été collée disparaisse parce que Loft Story, ce n'est que deux mois dans une vie. Je suis une fille de 24 ans et j'ai 23 ans et 10 mois de vie qui n'ont pas été montrés à la télé. Il est temps que les gens puisse se rendre compte que les lofteurs ont d'autres facettes, qui n'ont pas été véhiculées à la télé, " nous confie-t-elle.
Un automne au Loft propose donc un voyage dans les pensées de Julie, un journal commenté sur ce qui se cache derrière cette jeune femme aux yeux pétillants. Ses impressions sur ces 63 jours passés au loft avec son analyse et ses opinions sur cette téléréalité dont elle a été une observatrice privilégiée.
Et s'il y a des sceptiques, comme disait Le Capitaine, ils seront confondus puisque c'est vraiment Julie qui a écrit son livre. C'est sûrement une surprise pour ceux qui ne croyaient pas que les lofteurs savaient écrire, ni même lire.
" Je pense que les gens ont eu une perception très en surface de tout le monde dans le loft. On n'en a vu que le côté quotidien. " Julie, par exemple, a fait des études universitaires en éducation après avoir lorgné quelque temps vers les communications. Professeure, elle a aussi travaillé auprès des jeunes en difficulté. Elle avoue avoir toujours écrit. " L'écriture fait partie intégrante de ma vie depuis que j'ai 10 ans. J'écris quotidiennement." Elle travaille actuellement à un roman et se prépare à parcourir le Québec pour présenter son premier ouvrage dans les Salons du livre.
Un automne au Loft n'est pas au sens propre une oeuvre littéraire. Clair, direct et sans style particulier, ce journal a toutefois le mérite d'être honnête, empreint de sincérité - voire parfois même de naïveté. Un témoignage qui s'adresse particulièrement à tous ses supporteurs mais aussi à tous ceux qui sont curieux de connaître ce qui se passe dans la tête d'une participante à une téléréalité, de découvrir ce que la télé n'a jamais montré.
Photo de Julie Lemay : © Normand Caron.
En partant c'est biaiser...si elle a effectivement un Bacc en enseignement présco-primaire..elle devrait porter le titre d'enseignante!!! Puisque celui de professeur est réservé au poste universitaire!!! ;) Touka!! j'pense bien!!!
http://www.infoculture.ca/?page=6&view=2&numero=4192
Citation :
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Que savons-nous de Julie Lemay? Pour la majorité des gens, Julie, c'est cette jolie lofteuse un peu à part qui pleurait tout le temps et ne croyait pas vraiment en ses chances de devenir la première gagnante de la téléréalité Loft Story.
" Je considère qu'il est temps que l'image qui nous a été collée disparaisse parce que Loft Story, ce n'est que deux mois dans une vie. Je suis une fille de 24 ans et j'ai 23 ans et 10 mois de vie qui n'ont pas été montrés à la télé. Il est temps que les gens puisse se rendre compte que les lofteurs ont d'autres facettes, qui n'ont pas été véhiculées à la télé, " nous confie-t-elle.
Un automne au Loft propose donc un voyage dans les pensées de Julie, un journal commenté sur ce qui se cache derrière cette jeune femme aux yeux pétillants. Ses impressions sur ces 63 jours passés au loft avec son analyse et ses opinions sur cette téléréalité dont elle a été une observatrice privilégiée.
Et s'il y a des sceptiques, comme disait Le Capitaine, ils seront confondus puisque c'est vraiment Julie qui a écrit son livre. C'est sûrement une surprise pour ceux qui ne croyaient pas que les lofteurs savaient écrire, ni même lire.
" Je pense que les gens ont eu une perception très en surface de tout le monde dans le loft. On n'en a vu que le côté quotidien. " Julie, par exemple, a fait des études universitaires en éducation après avoir lorgné quelque temps vers les communications. Professeure, elle a aussi travaillé auprès des jeunes en difficulté. Elle avoue avoir toujours écrit. " L'écriture fait partie intégrante de ma vie depuis que j'ai 10 ans. J'écris quotidiennement." Elle travaille actuellement à un roman et se prépare à parcourir le Québec pour présenter son premier ouvrage dans les Salons du livre.
Un automne au Loft n'est pas au sens propre une oeuvre littéraire. Clair, direct et sans style particulier, ce journal a toutefois le mérite d'être honnête, empreint de sincérité - voire parfois même de naïveté. Un témoignage qui s'adresse particulièrement à tous ses supporteurs mais aussi à tous ceux qui sont curieux de connaître ce qui se passe dans la tête d'une participante à une téléréalité, de découvrir ce que la télé n'a jamais montré.
Photo de Julie Lemay : © Normand Caron.
En partant c'est biaiser...si elle a effectivement un Bacc en enseignement présco-primaire..elle devrait porter le titre d'enseignante!!! Puisque celui de professeur est réservé au poste universitaire!!! ;) Touka!! j'pense bien!!!
C'est aussi ça la vie!!!
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Annouk a écritElle porte pourtant bien le titre de professeure
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Un automne au Loft. Le journal de la gagnante de Loft Story :
Les mémoires d’une souris de laboratoire (**)
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Que savons-nous de Julie Lemay? Pour la majorité des gens, Julie, c'est cette jolie lofteuse un peu à part qui pleurait tout le temps et ne croyait pas vraiment en ses chances de devenir la première gagnante de la téléréalité Loft Story.
" Je considère qu'il est temps que l'image qui nous a été collée disparaisse parce que Loft Story, ce n'est que deux mois dans une vie. Je suis une fille de 24 ans et j'ai 23 ans et 10 mois de vie qui n'ont pas été montrés à la télé. Il est temps que les gens puisse se rendre compte que les lofteurs ont d'autres facettes, qui n'ont pas été véhiculées à la télé, " nous confie-t-elle.
Un automne au Loft propose donc un voyage dans les pensées de Julie, un journal commenté sur ce qui se cache derrière cette jeune femme aux yeux pétillants. Ses impressions sur ces 63 jours passés au loft avec son analyse et ses opinions sur cette téléréalité dont elle a été une observatrice privilégiée.
Et s'il y a des sceptiques, comme disait Le Capitaine, ils seront confondus puisque c'est vraiment Julie qui a écrit son livre. C'est sûrement une surprise pour ceux qui ne croyaient pas que les lofteurs savaient écrire, ni même lire.
" Je pense que les gens ont eu une perception très en surface de tout le monde dans le loft. On n'en a vu que le côté quotidien. " Julie, par exemple, a fait des études universitaires en éducation après avoir lorgné quelque temps vers les communications. Professeure, elle a aussi travaillé auprès des jeunes en difficulté. Elle avoue avoir toujours écrit. " L'écriture fait partie intégrante de ma vie depuis que j'ai 10 ans. J'écris quotidiennement." Elle travaille actuellement à un roman et se prépare à parcourir le Québec pour présenter son premier ouvrage dans les Salons du livre.
Un automne au Loft n'est pas au sens propre une oeuvre littéraire. Clair, direct et sans style particulier, ce journal a toutefois le mérite d'être honnête, empreint de sincérité - voire parfois même de naïveté. Un témoignage qui s'adresse particulièrement à tous ses supporteurs mais aussi à tous ceux qui sont curieux de connaître ce qui se passe dans la tête d'une participante à une téléréalité, de découvrir ce que la télé n'a jamais montré.
Photo de Julie Lemay : © Normand Caron.
Je la croisais régulièrement à l'université l'an passé. Je suis certaine que pendant le loft elle avait pas son bac. Je pense qu'elle a fait des stages en enseignement d'ou l'interprétion que je qualifie de douteuse qu'elle serait enseignante.
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Un automne au Loft. Le journal de la gagnante de Loft Story :
Les mémoires d’une souris de laboratoire (**)
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Julie Lemay
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Que savons-nous de Julie Lemay? Pour la majorité des gens, Julie, c'est cette jolie lofteuse un peu à part qui pleurait tout le temps et ne croyait pas vraiment en ses chances de devenir la première gagnante de la téléréalité Loft Story.
" Je considère qu'il est temps que l'image qui nous a été collée disparaisse parce que Loft Story, ce n'est que deux mois dans une vie. Je suis une fille de 24 ans et j'ai 23 ans et 10 mois de vie qui n'ont pas été montrés à la télé. Il est temps que les gens puisse se rendre compte que les lofteurs ont d'autres facettes, qui n'ont pas été véhiculées à la télé, " nous confie-t-elle.
Un automne au Loft propose donc un voyage dans les pensées de Julie, un journal commenté sur ce qui se cache derrière cette jeune femme aux yeux pétillants. Ses impressions sur ces 63 jours passés au loft avec son analyse et ses opinions sur cette téléréalité dont elle a été une observatrice privilégiée.
Et s'il y a des sceptiques, comme disait Le Capitaine, ils seront confondus puisque c'est vraiment Julie qui a écrit son livre. C'est sûrement une surprise pour ceux qui ne croyaient pas que les lofteurs savaient écrire, ni même lire.
" Je pense que les gens ont eu une perception très en surface de tout le monde dans le loft. On n'en a vu que le côté quotidien. " Julie, par exemple, a fait des études universitaires en éducation après avoir lorgné quelque temps vers les communications. Professeure, elle a aussi travaillé auprès des jeunes en difficulté. Elle avoue avoir toujours écrit. " L'écriture fait partie intégrante de ma vie depuis que j'ai 10 ans. J'écris quotidiennement." Elle travaille actuellement à un roman et se prépare à parcourir le Québec pour présenter son premier ouvrage dans les Salons du livre.
Un automne au Loft n'est pas au sens propre une oeuvre littéraire. Clair, direct et sans style particulier, ce journal a toutefois le mérite d'être honnête, empreint de sincérité - voire parfois même de naïveté. Un témoignage qui s'adresse particulièrement à tous ses supporteurs mais aussi à tous ceux qui sont curieux de connaître ce qui se passe dans la tête d'une participante à une téléréalité, de découvrir ce que la télé n'a jamais montré.
Photo de Julie Lemay : © Normand Caron.
Je la croisais régulièrement à l'université l'an passé. Je suis certaine que pendant le loft elle avait pas son bac. Je pense qu'elle a fait des stages en enseignement d'ou l'interprétion que je qualifie de douteuse qu'elle serait enseignante.
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nancy31f a écritJulie Lemay, gagnante de l’émission Loft Story, en 2003, vient de publier un essai-choc, L’Envers de la téléréalité, qui dénonce les traitements qui seraient réservés aux participants de ces shows.
Ceux qui ont suivi Loft Story à TQS se rappellent peut-être de LA Julie, une petite blonde frisée qui était enseignante au primaire.
Après Un automne au loft, le journal de son expérience quotidienne derrière les caméras de Loft Story, elle nous revient avec L’Envers de la téléréalité, publié aux Intouchables et dans lequel elle livre les témoignages de quelques participants de Loft Story, Star Académie et Occupation double.
Paroles de stars-kleenex
Les propos tenus dans cet ouvrage incriminent le phénomène de stars instantanées, que l’auteure appelle stars-kleenex, une expression empruntée aux Français. Son but : mettre à jour des secrets de plateaux et dissuader la relève de s’inscrire aux auditions.
Il y a notamment ce passage qui révèle le présumé comportement de Guy Cloutier : « R., mon ex, artiste (qui fréquente maintenant une Bougon), m’avait confié être allé nous voir dans notre aquarium. Qui plus est, selon R., Guy Cloutier invitait ses bons « chums à venir zieuter les lofteuses à l’heure des douches le matin… », peut-on lire.
Où sont les gagnants ?
Quoique savoureux et léger à lire pour les innombrables potins qui en découlent, on se demande si un tel essai aurait la même couleur si Julie Lemay était allée interviewer Marie-Élaine Thibert, de Star Académie, ou encore Isabelle Rochon, vainqueure de la première cuvée d’Occupation double.
L’auteure ne rapporte que les propos de ceux qui se sont le moins bien illustrés dans leur aventure respective. Un bon travail journalistique aurait présenté les points de vue des gagnants comme des perdants.
Quel crédit y accorder, donc ? Sans remettre en question la douleur et les témoignages de certains participants, qui comme elle semblent en sortir blessés, on comprend à travers cet ouvrage qu’il est plus question d’un règlement de comptes que d’une réelle enquête journalistique.
Elle en interviewée une gagnante, elle-même a gagné Loft Story 1 me semble
Ceux qui ont suivi Loft Story à TQS se rappellent peut-être de LA Julie, une petite blonde frisée qui était enseignante au primaire.
Après Un automne au loft, le journal de son expérience quotidienne derrière les caméras de Loft Story, elle nous revient avec L’Envers de la téléréalité, publié aux Intouchables et dans lequel elle livre les témoignages de quelques participants de Loft Story, Star Académie et Occupation double.
Paroles de stars-kleenex
Les propos tenus dans cet ouvrage incriminent le phénomène de stars instantanées, que l’auteure appelle stars-kleenex, une expression empruntée aux Français. Son but : mettre à jour des secrets de plateaux et dissuader la relève de s’inscrire aux auditions.
Il y a notamment ce passage qui révèle le présumé comportement de Guy Cloutier : « R., mon ex, artiste (qui fréquente maintenant une Bougon), m’avait confié être allé nous voir dans notre aquarium. Qui plus est, selon R., Guy Cloutier invitait ses bons « chums à venir zieuter les lofteuses à l’heure des douches le matin… », peut-on lire.
Où sont les gagnants ?
Quoique savoureux et léger à lire pour les innombrables potins qui en découlent, on se demande si un tel essai aurait la même couleur si Julie Lemay était allée interviewer Marie-Élaine Thibert, de Star Académie, ou encore Isabelle Rochon, vainqueure de la première cuvée d’Occupation double.
L’auteure ne rapporte que les propos de ceux qui se sont le moins bien illustrés dans leur aventure respective. Un bon travail journalistique aurait présenté les points de vue des gagnants comme des perdants.
Quel crédit y accorder, donc ? Sans remettre en question la douleur et les témoignages de certains participants, qui comme elle semblent en sortir blessés, on comprend à travers cet ouvrage qu’il est plus question d’un règlement de comptes que d’une réelle enquête journalistique.
Elle en interviewée une gagnante, elle-même a gagné Loft Story 1 me semble
Chico_Fan a écritElle en a pas déjà écrit un livre Avec sa recette de sauce à spaghetti.
Etre un enseignant ou futur enseignant, il faut vraiment manquer de jugement pour s'inscrire à une télé-realité. Quel directeur d'école voudrait engager Julie de Loft Story.
Faut dire que la plupart ne devaient pas trop savoir dans quoi ils s'embarquaient, surtout s'ils croyaient que ça allait ressembler aux autres shows de télé-réalité qui avaient été diffusé au Québec, donc SA et les émmisions de Vrak
Etre un enseignant ou futur enseignant, il faut vraiment manquer de jugement pour s'inscrire à une télé-realité. Quel directeur d'école voudrait engager Julie de Loft Story.
Faut dire que la plupart ne devaient pas trop savoir dans quoi ils s'embarquaient, surtout s'ils croyaient que ça allait ressembler aux autres shows de télé-réalité qui avaient été diffusé au Québec, donc SA et les émmisions de Vrak
Citation :Chico_Fan a dit :
Etre un enseignant ou futur enseignant, il faut vraiment manquer de jugement pour s'inscrire à une télé-realité. Quel directeur d'école voudrait engager Julie de Loft Story.
Comme j'étais en fin de Bac en enseignement lors de la diffusion de l'émission j'étais particulièrement curieuse des propos qu'elle disait souvent quant à son métier d'enseignante. Elle parlait des enfants dans ses groupes souvent et bla bla bla. Une fois, elle a lancé qu'elle faisait de la suppléance. Il ne s'agissait donc pas de ses groupes comme elle le prétendait si souvent. Elle devait donc être simplement étudiante au Bac en enseignement en 2e année ou plus pour pouvoir ainsi faire de la suppléance.
Je partage donc ton point de vue, être un enseignant en poste et tout lâcher pour participer à ce genre d'émission me laisse perplexe. Après tout, tu as une responsabilité envers tes élèves et je n'apprécie pas vraiment l'idée qu'un enseignant laisse tomber son groupe pour une telle raison qui risque que de lui coûter ses prochaines années de carrière. Or, comme elle n'était pas en poste c'est peut-être une autre histoire quant à sa responsabilité face à ses élèves. Mais, personnellement ce n'était pas la place d'un enseignant. Je me souviens encore d'un élève où j'effectuais de la suppléance à long terme qui m'a soudainement demandé si moi aussi j'embrassais des filles comme Julie .
Etre un enseignant ou futur enseignant, il faut vraiment manquer de jugement pour s'inscrire à une télé-realité. Quel directeur d'école voudrait engager Julie de Loft Story.
Comme j'étais en fin de Bac en enseignement lors de la diffusion de l'émission j'étais particulièrement curieuse des propos qu'elle disait souvent quant à son métier d'enseignante. Elle parlait des enfants dans ses groupes souvent et bla bla bla. Une fois, elle a lancé qu'elle faisait de la suppléance. Il ne s'agissait donc pas de ses groupes comme elle le prétendait si souvent. Elle devait donc être simplement étudiante au Bac en enseignement en 2e année ou plus pour pouvoir ainsi faire de la suppléance.
Je partage donc ton point de vue, être un enseignant en poste et tout lâcher pour participer à ce genre d'émission me laisse perplexe. Après tout, tu as une responsabilité envers tes élèves et je n'apprécie pas vraiment l'idée qu'un enseignant laisse tomber son groupe pour une telle raison qui risque que de lui coûter ses prochaines années de carrière. Or, comme elle n'était pas en poste c'est peut-être une autre histoire quant à sa responsabilité face à ses élèves. Mais, personnellement ce n'était pas la place d'un enseignant. Je me souviens encore d'un élève où j'effectuais de la suppléance à long terme qui m'a soudainement demandé si moi aussi j'embrassais des filles comme Julie .
- laeticia_29
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J'avoue ne pas avoir été trop trop fan de Julie (elle parlait trop comme une maitresse a la petite ecole et ca me rappellait des mauvais souvenirs )
Malgré tout, j'ai son livre entre les mains en ce moment meme. Je vous dirai si ca vaut la peine de lire ca... La potineuse que je suis n'a pas pu résister
Malgré tout, j'ai son livre entre les mains en ce moment meme. Je vous dirai si ca vaut la peine de lire ca... La potineuse que je suis n'a pas pu résister
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