C’est logique car le pourcentage 28 jours est 50% si tu inclus les 14 premiers joursPlaceress a écrit : [...]
C’est encore à l’étude au niveau du % de gens qui peuvent le contracter quand même à ce que j’ai compris mais le vaccin agit 14 jours après son injection, donc il est indiqué qu’ils ont attrapé le COVID dans les 28 jours suivants, ce qui veut dire que les 14 premières jours ils n’étaient pas encore couverts
Coronavirus
Triage avancé: qui sera soigné, dans le pire des scénarios?
Comment les équipes médicales pourraient-elles choisir les patients à traiter si un débordement complet des
hôpitaux se concrétisait et qu’un manque de ressources empêchait que l'on soigne tous ceux qui en ont besoin?
Le scénario appelé «Protocole de priorisation aux soins intensifs», qu’on ne pensait jamais devoir utiliser au Québec,
est prêt à être mis en application, mais ultimement, pas avant quelques semaines, et ce, seulement si
la situation dans les hôpitaux se dégrade encore.
Lorsque le taux de saturation dans les hôpitaux de la province atteindra 200%, le protocole se mettra en place.
À 150%, on se préparera à ce triage avancé.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... -scenarios
Comment les équipes médicales pourraient-elles choisir les patients à traiter si un débordement complet des
hôpitaux se concrétisait et qu’un manque de ressources empêchait que l'on soigne tous ceux qui en ont besoin?
Le scénario appelé «Protocole de priorisation aux soins intensifs», qu’on ne pensait jamais devoir utiliser au Québec,
est prêt à être mis en application, mais ultimement, pas avant quelques semaines, et ce, seulement si
la situation dans les hôpitaux se dégrade encore.
Lorsque le taux de saturation dans les hôpitaux de la province atteindra 200%, le protocole se mettra en place.
À 150%, on se préparera à ce triage avancé.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... -scenarios
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Chirurgies annulées, mais pas celle d’une meurtrière trans
Au moment où des milliers de chirurgies sont annulées dans les hôpitaux à cause de la pandémie, le gouvernement
fédéral a déployé l’artillerie lourde pour des opérations de réassignation sexuelle sur deux détenues, dont une
meurtrière qui s’est déjà évadée.
Le Service correctionnel du Canada a dépêché une dizaine d’agents la semaine dernière au Centre métropolitain
de chirurgie (CMC), un établissement privé spécialisé dans ce type de chirurgies.
Les interventions ont été prises en charge par les autorités carcérales, qui ont payé toutes les dépenses, incluant la
procédure elle-même et la sécurité.
«La majorité des hôpitaux au Québec, en ce moment, se situent au niveau maximum de délestage», a soutenu
la sous-ministre adjointe à la Santé, la Dre Lucie Opatrny, qui participait au point de presse des autorités lundi.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... iere-trans
Au moment où des milliers de chirurgies sont annulées dans les hôpitaux à cause de la pandémie, le gouvernement
fédéral a déployé l’artillerie lourde pour des opérations de réassignation sexuelle sur deux détenues, dont une
meurtrière qui s’est déjà évadée.
Le Service correctionnel du Canada a dépêché une dizaine d’agents la semaine dernière au Centre métropolitain
de chirurgie (CMC), un établissement privé spécialisé dans ce type de chirurgies.
Les interventions ont été prises en charge par les autorités carcérales, qui ont payé toutes les dépenses, incluant la
procédure elle-même et la sécurité.
«La majorité des hôpitaux au Québec, en ce moment, se situent au niveau maximum de délestage», a soutenu
la sous-ministre adjointe à la Santé, la Dre Lucie Opatrny, qui participait au point de presse des autorités lundi.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... iere-trans
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Re: Coronavirus
Où ou à qui doit-on s'informer pour avoir une information sur les règles à suivre? La mère de mon beau-fils travaille le soir quelques jours en semaine et habituellement il allait chez sa grand-maman mais là c'est pas possible donc il y avait une gardienne mais des fois c'est mon chum qui va chez elle, passer la soirée avec leur garçon avant qu'elle revienne du travail (21h et quelques) quand le petit dort. C'est à 45 min de métro de chez lui. Là il a décider de dormir là-bas ce jour là mais c'est pas idéal mettons car c'est plus loin de son travail. Me semble que c'est bin mieux son père qu'une gardienne (elle peut pas le garder now car elle a eu le covid et sa mère l'a là). Ça fait un contact de moins dans nos vies. Mais tsé des fois la logique du gouvernement... Pis c'est pas possible d'amener son gars ici en semaine car le lendemain l'école c'est tôt + le travail à mon chum tôt aussi... ça match juste pas du tout. On ne s'est pas pantoute où avoir l'info. Ya des questions sur radio-canada. Je l'ai posée mais bon, ça veut pas dire qu'ils vont prendre ma question. Je lui ai dit que s'il a des textos de son ex relatif à la soirée avec son fil ça devrait être ok mais bon... Pis là je vois que les parents monoparentaux qui ont des enfants ne sont plus considérés comme étant des personnes seules donc il a surement même pas le droit d'être chez elle... mais logiquement ça change pas grand chose si le garçon vient ici plusieurs jours (car ça c'est permis (garde partagée)).
Oublions-nous pour vaincre ensemble
Le Québec est une des sociétés les plus humainement développées qui soient. Nous nous préoccupons d’inclusion, d’égalité, de justice. Nous sommes, en raison de ces préoccupations, une nation heureuse, libre et fière. Mais aussi très centrée sur l’individu, ses droits et ses libertés. La pandémie aura éclairé cet autre versant de la réalité de son jour cru.
Vivre et laisser vivre est devenu le cri de ralliement d’une génération. Nous devrions parler moins fort. Un moment.
Le temps de constater notre rapport à l’autre plutôt qu’à nous-mêmes. Les gestes anodins que nous posions il n’y a pas si longtemps sont devenus les vecteurs d’une pandémie qui n’en finit plus de finir. Les permissions que nous nous accordons, par une causalité pas assez évidente à tous, deviennent la prison des autres.
La solution de la distance
Dans un monde idéal, nous aurions tous compris qu’une maladie qui se transmet par proximité ne trouve sa solution que par la distance. Plus étanche est cette distance, plus décisivement elle agit. Les Chinois l’ont imposée, les Néo-Zélandais et les Sud-Coréens l’ont acceptée.
Nous avons été plus modérés. Comme nous le sommes habituellement. Souvent pour le mieux. Nous avons fait confiance au jugement de chacun en suggérant plus qu’en imposant une nouvelle normalité et ses contraintes.
Beaucoup ont compris d’eux-mêmes et n’ont pas attendu une discipline imposée pour poser les bons gestes. Je les en félicite. D’autres n’ont pas persisté. Nous sommes tous fatigués. Certains autres ont cru au complot. Ils nous ont fait réfléchir.
Les plus inquiétants
Ceux qui m’inquiètent le plus sont ceux qui s’en sont fiché. Ils ont exigé les compromis au nom de leur liberté. Absolue. Intraitable. Égoïste.
Nous les avons écoutés. Nous sommes ainsi. Et en d’autres circonstances, c’est très bien. Mais pas maintenant.
Après des mois de demi-mesures conciliantes, nous en sommes à annuler des chirurgies et à envisager de trier ceux d’entre nous qui auront accès aux soins intensifs.
Nous ne voulions pas en arriver là. Mais nous y sommes. Tous.
Alors il faut porter un grand coup. Un dernier coup. Avant le vaccin, le printemps et la fin annoncée de ce cauchemar éveillé. Mais il faut le faire tous ensemble.
Cessons de dénoncer
Restons chez nous, dans nos bulles avec nos plus proches. Oublions-nous pour penser aux autres. Ceux qui attendent avec un cancer dans le corps l’annonce de la chirurgie qui les délivrera. Ceux qui voient des années d’efforts se diluer dans leurs restaurants vides. Oublions-nous un long instant pour vaincre. Ensemble.
Et cessons de décrier confinement, fermetures et couvre-feu. Nos gouvernements ont dû faire des choix difficiles pour pallier ceux que nous n’avons pas faits. Au contraire, reconnaissons que nous en sommes là et qu’eux comme nous n’avaient plus beaucoup d’options. Une société qui désire demeurer libre considère ses devoirs avant ses droits.
Le bonheur et la liberté se gagnent chèrement. S’affranchir de la misère, de la violence, de la faim et de la maladie demande un effort collectif immense. Nous l’avions oublié. Faisons le choix de sortir de cette pandémie. Plus sages. Plus conscients. Plus unis. Plus forts.
Dr Mathieu Simon MD FRCPC
Pneumologue – Intensiviste
Chef – Soins intensifs IUCPQ
Professeur agrégé de Médecine à l'Université Laval
https://www.journaldequebec.com/2021/01 ... e-ensemble
Le Québec est une des sociétés les plus humainement développées qui soient. Nous nous préoccupons d’inclusion, d’égalité, de justice. Nous sommes, en raison de ces préoccupations, une nation heureuse, libre et fière. Mais aussi très centrée sur l’individu, ses droits et ses libertés. La pandémie aura éclairé cet autre versant de la réalité de son jour cru.
Vivre et laisser vivre est devenu le cri de ralliement d’une génération. Nous devrions parler moins fort. Un moment.
Le temps de constater notre rapport à l’autre plutôt qu’à nous-mêmes. Les gestes anodins que nous posions il n’y a pas si longtemps sont devenus les vecteurs d’une pandémie qui n’en finit plus de finir. Les permissions que nous nous accordons, par une causalité pas assez évidente à tous, deviennent la prison des autres.
La solution de la distance
Dans un monde idéal, nous aurions tous compris qu’une maladie qui se transmet par proximité ne trouve sa solution que par la distance. Plus étanche est cette distance, plus décisivement elle agit. Les Chinois l’ont imposée, les Néo-Zélandais et les Sud-Coréens l’ont acceptée.
Nous avons été plus modérés. Comme nous le sommes habituellement. Souvent pour le mieux. Nous avons fait confiance au jugement de chacun en suggérant plus qu’en imposant une nouvelle normalité et ses contraintes.
Beaucoup ont compris d’eux-mêmes et n’ont pas attendu une discipline imposée pour poser les bons gestes. Je les en félicite. D’autres n’ont pas persisté. Nous sommes tous fatigués. Certains autres ont cru au complot. Ils nous ont fait réfléchir.
Les plus inquiétants
Ceux qui m’inquiètent le plus sont ceux qui s’en sont fiché. Ils ont exigé les compromis au nom de leur liberté. Absolue. Intraitable. Égoïste.
Nous les avons écoutés. Nous sommes ainsi. Et en d’autres circonstances, c’est très bien. Mais pas maintenant.
Après des mois de demi-mesures conciliantes, nous en sommes à annuler des chirurgies et à envisager de trier ceux d’entre nous qui auront accès aux soins intensifs.
Nous ne voulions pas en arriver là. Mais nous y sommes. Tous.
Alors il faut porter un grand coup. Un dernier coup. Avant le vaccin, le printemps et la fin annoncée de ce cauchemar éveillé. Mais il faut le faire tous ensemble.
Cessons de dénoncer
Restons chez nous, dans nos bulles avec nos plus proches. Oublions-nous pour penser aux autres. Ceux qui attendent avec un cancer dans le corps l’annonce de la chirurgie qui les délivrera. Ceux qui voient des années d’efforts se diluer dans leurs restaurants vides. Oublions-nous un long instant pour vaincre. Ensemble.
Et cessons de décrier confinement, fermetures et couvre-feu. Nos gouvernements ont dû faire des choix difficiles pour pallier ceux que nous n’avons pas faits. Au contraire, reconnaissons que nous en sommes là et qu’eux comme nous n’avaient plus beaucoup d’options. Une société qui désire demeurer libre considère ses devoirs avant ses droits.
Le bonheur et la liberté se gagnent chèrement. S’affranchir de la misère, de la violence, de la faim et de la maladie demande un effort collectif immense. Nous l’avions oublié. Faisons le choix de sortir de cette pandémie. Plus sages. Plus conscients. Plus unis. Plus forts.
Dr Mathieu Simon MD FRCPC
Pneumologue – Intensiviste
Chef – Soins intensifs IUCPQ
Professeur agrégé de Médecine à l'Université Laval
https://www.journaldequebec.com/2021/01 ... e-ensemble
Re: Coronavirus
Très bon texte!
De nombreux cas de COVID-19 sur deux vols en provenance d'Haïti
Les passagers de deux vols d'Air Transat arrivés à Montréal les 10 et 13 janvier en partance de Port-au-Prince pourraient avoir été largement exposés à la COVID-19.
L'Agence de la santé publique du Canada a confirmé que des passagers porteurs du coronavirus étaient présents à bord de ces avions et qu'il y a avait au moins une personne infectée par rangée.
Lorsqu'il y a un cas de COVID-19 à bord d’un avion, la santé publique fédérale procède habituellement à son analyse et demande qu'on libère quelques rangées devant et quelques-unes derrière les porteurs du coronavirus. Or, dans le cas de ces deux vols d'Air Transat, ce sont toutes les rangées qui ont été jugées "à risque".
Le nombre total de passagers contaminés n'est pas connu, mais les avions qui les transportaient sont de type Airbus 330 et peuvent accueillir plus de 300 personnes.
Les passagers en provenance d'Haïti ne sont pas tenus pour le moment de présenter un résultat négatif de test à la COVID-19.
En effet, Ottawa impose le dépistage pour tous les voyageurs revenant de l'étranger depuis le 7 janvier, sauf pour Haïti qui a été exemptée de cette mesure jusqu'au 21 janvier. Une exception qui concerne aussi les habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Une situation qui soulève la question de la surveillance des voyageurs en quarantaine obligatoire, puisque même si le gouvernement a augmenté ses ressources, plusieurs questionnent leur efficacité.
Surveillance des voyageurs en quarantaine
Selon les données officielles, les voyageurs représentent environ 1 % à 2 % des cas de COVID-19, mais la cheffe du département de santé publique et de médecine préventive du CHUM, la Dre Marie-France Raynault, croit plutôt que leur impact est sous-estimé. Elle émet notamment des doutes quant aux informations données par les personnes lors des enquêtes.
"Les voyageurs ont aussi une incidence sur l'introduction des variants qu’on ne souhaite pas avoir", dit-elle
Depuis le début de la pandémie, l’Agence de la santé publique du Canada, qui s’assure du respect de la Loi sur la mise en quarantaine, a rapporté 126 contraventions, 8 infractions sommaires, 196 avertissements verbaux et 22 écrits.
Ce portrait est toutefois loin d’être complet puisque les forces de police locales ne sont pas tenues de fournir l’information à l’ASPC Agence de la santé publique du Canada.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/17 ... vols-haiti
Les passagers de deux vols d'Air Transat arrivés à Montréal les 10 et 13 janvier en partance de Port-au-Prince pourraient avoir été largement exposés à la COVID-19.
L'Agence de la santé publique du Canada a confirmé que des passagers porteurs du coronavirus étaient présents à bord de ces avions et qu'il y a avait au moins une personne infectée par rangée.
Lorsqu'il y a un cas de COVID-19 à bord d’un avion, la santé publique fédérale procède habituellement à son analyse et demande qu'on libère quelques rangées devant et quelques-unes derrière les porteurs du coronavirus. Or, dans le cas de ces deux vols d'Air Transat, ce sont toutes les rangées qui ont été jugées "à risque".
Le nombre total de passagers contaminés n'est pas connu, mais les avions qui les transportaient sont de type Airbus 330 et peuvent accueillir plus de 300 personnes.
Les passagers en provenance d'Haïti ne sont pas tenus pour le moment de présenter un résultat négatif de test à la COVID-19.
En effet, Ottawa impose le dépistage pour tous les voyageurs revenant de l'étranger depuis le 7 janvier, sauf pour Haïti qui a été exemptée de cette mesure jusqu'au 21 janvier. Une exception qui concerne aussi les habitants de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Une situation qui soulève la question de la surveillance des voyageurs en quarantaine obligatoire, puisque même si le gouvernement a augmenté ses ressources, plusieurs questionnent leur efficacité.
Surveillance des voyageurs en quarantaine
Selon les données officielles, les voyageurs représentent environ 1 % à 2 % des cas de COVID-19, mais la cheffe du département de santé publique et de médecine préventive du CHUM, la Dre Marie-France Raynault, croit plutôt que leur impact est sous-estimé. Elle émet notamment des doutes quant aux informations données par les personnes lors des enquêtes.
"Les voyageurs ont aussi une incidence sur l'introduction des variants qu’on ne souhaite pas avoir", dit-elle
Depuis le début de la pandémie, l’Agence de la santé publique du Canada, qui s’assure du respect de la Loi sur la mise en quarantaine, a rapporté 126 contraventions, 8 infractions sommaires, 196 avertissements verbaux et 22 écrits.
Ce portrait est toutefois loin d’être complet puisque les forces de police locales ne sont pas tenues de fournir l’information à l’ASPC Agence de la santé publique du Canada.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/17 ... vols-haiti
Facile de réserver à l’hôtel pour faire le party
Des établissements n’osent pas refuser de locations pour des fêtards, même ceux qui réservent sans se cacher
Des hôteliers pris à la gorge à cause de la baisse d’achalandage ferment les yeux sur des partys dans leurs
chambres malgré le resserrement des mesures sanitaires et l’imposition d’un couvre-feu.
Le Dr François Marquis, chef des soins intensifs à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, a vivement dénoncé les
«petits stratagèmes» des hôteliers pour contourner le couvre-feu alors qu’il y a tant «de gens qui font beaucoup de sacrifices».
Au cours de la dernière semaine, nous avons donc appelé plus d’une quarantaine d’établissements à travers
la province en prétextant vouloir organiser une petite fête pour le 30e anniversaire d’un ami d’ici la fin du mois.
Nous leur disions vouloir réunir jusqu’à une dizaine de convives et vérifier si on pouvait réserver des chambres
pour le groupe. On mentionnait alors que les fêtards se réuniraient sans doute dans une chambre, en
demandant si cela posait problème.
Résultat : le quart des hôteliers contactés ont indiqué qu’ils accepteraient les réservations en prévenant que les
réunions de groupe n’étaient pas souhaitables, mais en glissant qu’on ne procédait à aucune vérification.
En fait, le malaise de l’employé était souvent perceptible au bout du fil, mais la possibilité de louer cinq
chambres d’un coup semblait parfois l’emporter.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... e-le-party
Des établissements n’osent pas refuser de locations pour des fêtards, même ceux qui réservent sans se cacher
Des hôteliers pris à la gorge à cause de la baisse d’achalandage ferment les yeux sur des partys dans leurs
chambres malgré le resserrement des mesures sanitaires et l’imposition d’un couvre-feu.
Le Dr François Marquis, chef des soins intensifs à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, a vivement dénoncé les
«petits stratagèmes» des hôteliers pour contourner le couvre-feu alors qu’il y a tant «de gens qui font beaucoup de sacrifices».
Au cours de la dernière semaine, nous avons donc appelé plus d’une quarantaine d’établissements à travers
la province en prétextant vouloir organiser une petite fête pour le 30e anniversaire d’un ami d’ici la fin du mois.
Nous leur disions vouloir réunir jusqu’à une dizaine de convives et vérifier si on pouvait réserver des chambres
pour le groupe. On mentionnait alors que les fêtards se réuniraient sans doute dans une chambre, en
demandant si cela posait problème.
Résultat : le quart des hôteliers contactés ont indiqué qu’ils accepteraient les réservations en prévenant que les
réunions de groupe n’étaient pas souhaitables, mais en glissant qu’on ne procédait à aucune vérification.
En fait, le malaise de l’employé était souvent perceptible au bout du fil, mais la possibilité de louer cinq
chambres d’un coup semblait parfois l’emporter.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... e-le-party
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Ce qui est défendu devient attirant. La prohibition a généré un trafic d'alcool extrêmement lucratif. Cependant, cette fois, il s'agit d'une question cruciale pour tous, un système de santé fragilisé qui coûtera la vie pas qu'aux malades-covid mais en plus à des dizaines sinon des centaines de malades atteints de d'autres affections qui voient leur accès aux soins réduit sérieusement. Alors, les tits partys deviennent quasiment des négligences criminelles.nancy31f a écrit : Facile de réserver à l’hôtel pour faire le party
Des établissements n’osent pas refuser de locations pour des fêtards, même ceux qui réservent sans se cacher
Des hôteliers pris à la gorge à cause de la baisse d’achalandage ferment les yeux sur des partys dans leurs
chambres malgré le resserrement des mesures sanitaires et l’imposition d’un couvre-feu.
Le Dr François Marquis, chef des soins intensifs à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, a vivement dénoncé les
«petits stratagèmes» des hôteliers pour contourner le couvre-feu alors qu’il y a tant «de gens qui font beaucoup de sacrifices».
Au cours de la dernière semaine, nous avons donc appelé plus d’une quarantaine d’établissements à travers
la province en prétextant vouloir organiser une petite fête pour le 30e anniversaire d’un ami d’ici la fin du mois.
Nous leur disions vouloir réunir jusqu’à une dizaine de convives et vérifier si on pouvait réserver des chambres
pour le groupe. On mentionnait alors que les fêtards se réuniraient sans doute dans une chambre, en
demandant si cela posait problème.
Résultat : le quart des hôteliers contactés ont indiqué qu’ils accepteraient les réservations en prévenant que les
réunions de groupe n’étaient pas souhaitables, mais en glissant qu’on ne procédait à aucune vérification.
En fait, le malaise de l’employé était souvent perceptible au bout du fil, mais la possibilité de louer cinq
chambres d’un coup semblait parfois l’emporter.
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... e-le-party
Destinations soleil La liste de cas de COVID-19 dans les avions s’allonge
shit regarder la liste pis c juste une partie ciboire yattende quoi
https://www.lapresse.ca/actualites/2021 ... llonge.php
shit regarder la liste pis c juste une partie ciboire yattende quoi
https://www.lapresse.ca/actualites/2021 ... llonge.php
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Et les tests de dépistage exigés avant l'embarquement ne sont vraiment pas fiables. Y'a des endroits où ils prennent le prélèvement juste sur le bord des narines du nez pour augmenter les chances que le résultat soit négatif. Sans oublier toutes les autres magouilles possibles et impossibles qu'il doit y avoir. Donc, cette mesure ne sert à rien, sinon en décourager quelques-un(e)s de voyager.nancy31f a écrit : Destinations soleil La liste de cas de COVID-19 dans les avions s’allonge
shit regarder la liste pis c juste une partie ciboire yattende quoi
https://www.lapresse.ca/actualites/2021 ... llonge.php
Données sur la COVID-19 au Québec
Le nombre de cas, d'hospitalisations etc. ainsi que les scénarios de l'évolution de la COVID-19 :
https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... ec/#c50210
Le nombre de cas, d'hospitalisations etc. ainsi que les scénarios de l'évolution de la COVID-19 :
https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... ec/#c50210
très intéressant, merci pour tout AnyaAnya a écrit : Données sur la COVID-19 au Québec
Le nombre de cas, d'hospitalisations etc. ainsi que les scénarios de l'évolution de la COVID-19 :
https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... ec/#c50210
Ça me fait plaisir bouquet.À 107 ans, cette Lévisienne survit à la COVID!
Yvette Gingras a célébré son 107e anniversaire mercredi dans son CHSLD. La Lévisienne a combattu la COVID durant les Fêtes et c’est avec le sourire qu’elle prend la vie.
«Je ne pensais pas me rendre aussi loin», dit la centenaire avec enthousiasme. C'est probablement son secret de longévité: être positive et ricaneuse.
«Agacer un peu, j'aime ça», rit Yvette Gingras qui est un vrai rayon de soleil aux dires de tous.
Pandémie oblige, les visites sont limitées. Les fils de Mme Gingras ont trouvé un moyen de souligner cette journée spéciale. Ils se sont présentés à l’extérieur de son CHSLD avec une pancarte et des vœux.
«J'aimerais ça la voir, parce que c'est ma mère», fait savoir l’un des fils, Raynald Lemieux.
Sa mère est en forme aujourd'hui, mais elle a été transférée durant une dizaine de jours dans un centre désigné COVID, après avoir été déclarée positive au virus. Les symptômes étaient légers.
«Tout le monde est resté surpris. Passer à travers ça à 106 ans. On n'en revient pas!, ajoute Michel Lemieux, l’autre fils de la vénérable centenaire.
«Elle a tout le temps eu une force intérieure, elle est passée au travers de bien des affaires», informe Raynald Lemieux.
Même si ce n'est pas la journée que tous imaginaient pour célébrer le 107e anniversaire de leur mère, le sourire de leur maman au travers de la vitre de la résidence est un réconfort.
«On t'aime!», ont lancé ses deux fils.
Vidéo:
https://www.journaldequebec.com/2021/01 ... la-covid-1
Yvette Gingras a célébré son 107e anniversaire mercredi dans son CHSLD. La Lévisienne a combattu la COVID durant les Fêtes et c’est avec le sourire qu’elle prend la vie.
«Je ne pensais pas me rendre aussi loin», dit la centenaire avec enthousiasme. C'est probablement son secret de longévité: être positive et ricaneuse.
«Agacer un peu, j'aime ça», rit Yvette Gingras qui est un vrai rayon de soleil aux dires de tous.
Pandémie oblige, les visites sont limitées. Les fils de Mme Gingras ont trouvé un moyen de souligner cette journée spéciale. Ils se sont présentés à l’extérieur de son CHSLD avec une pancarte et des vœux.
«J'aimerais ça la voir, parce que c'est ma mère», fait savoir l’un des fils, Raynald Lemieux.
Sa mère est en forme aujourd'hui, mais elle a été transférée durant une dizaine de jours dans un centre désigné COVID, après avoir été déclarée positive au virus. Les symptômes étaient légers.
«Tout le monde est resté surpris. Passer à travers ça à 106 ans. On n'en revient pas!, ajoute Michel Lemieux, l’autre fils de la vénérable centenaire.
«Elle a tout le temps eu une force intérieure, elle est passée au travers de bien des affaires», informe Raynald Lemieux.
Même si ce n'est pas la journée que tous imaginaient pour célébrer le 107e anniversaire de leur mère, le sourire de leur maman au travers de la vitre de la résidence est un réconfort.
«On t'aime!», ont lancé ses deux fils.
Vidéo:
https://www.journaldequebec.com/2021/01 ... la-covid-1
Re: Coronavirus
Déjà, d'avoir 107 ans c'est quelque chose!
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
« Percée majeure » Une vaste étude montre l’efficacité de la colchicine pour traiter la COVID-19
https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-0 ... vid-19.php" onclick="window.open(this.href);return false;
