Sophie Trudeau donne du sang pour des recherches sur la COVID-19

En ces temps de pandémie, plusieurs personnes n'hésitent pas à aider leur prochain comme elles le peuvent et c'est le cas de Sophie Grégoire Trudeau. La première dame du Canada a récemment fait don de son sang pour aider aux recherches sur la COVID-19.

L'épouse du premier ministre Justin Trudeau a publié sur son profil Instagram une photo d'elle où on la voit faire un don de plasma. Masque au visage, le pouce ganté levé en l'air, Sophie a l'air de ne pas trouver trop désagréable le fait d'avoir une aiguille plantée dans son bras.


« Si vous avez contracté la COVID-19 et vous vous en êtes remis, vous pourriez faire une différence en faisant un don de plasma de convalescent pour la recherche sur le virus. Ça pourrait sauver des vies! », écrit-elle sous sa publication, en français comme en anglais. On espère que ce message encouragera ceux qui ont été malades à aider la science.

Il faut dire que Sophie Grégoire Trudeau a déjà contracté la COVID-19. En revenant d'un séjour à Londres, elle avait commencé à souffrir d'une faible fièvre et de symptômes semblables à ceux de la grippe.

Le 12 mars dernier, on avait la confirmation que la première dame était malade, même si elle n'éprouvait que des symptômes bénins.

Heureusement, environ deux semaines plus tard, la première dame avait ensuite annoncé sa guérison sur les réseaux sociaux.


« Je voulais vous donner des nouvelles : je me sens tellement mieux et j’ai reçu un bilan de santé positif de mon médecin et de Santé publique Ottawa, avait-elle alors écrit sur Facebook.

On sait que plusieurs tests sont en cours pour venir à bout de la COVID-19, mais aucun vaccin ni traitement n'est actuellement disponible pour faire face à la maladie, qui a déjà fait plus de 350 000 morts dans le monde, dont plus de 4 500 au Québec seulement.

On espère que le plasma de Sophie et celui d'autres survivants à la pneumonie virale sera utile aux chercheurs, qui trouveront finalement un remède et un vaccin!

En attendant, continuez à respecter les consignes de distanciation sociale et du port du masque. Et n'oubliez surtout pas de vous laver les mains régulièrement!

Le maire Labeaume a besoin d'une coupe de cheveux.


Des rues festives et partagées permises partout à Québec cet été



La Ville de Québec permettra des fermetures de rue temporaires pour des fêtes de quartier tout l'été et est ouverte à créer des rues partagées partout sur le territoire.

Le maire de Québec, Régis Labeaume, a poursuivi vendredi ses annonces pour «se tricoter un été» et combler le «déficit d'espace et de socialisation» que vivent les citoyens depuis le début de la pandémie.

Ainsi, sur le modèle de la Fête des voisins, qui se déroule chaque mois de juin sur une fin de semaine, les citoyens qui veulent fermer leur rue pendant une journée, une soirée ou une fin de semaine pourront en faire la demande à la Ville.

Cette possibilité sera étendue à toute la période estivale, jusqu'au 15 octobre. La rue sera sécurisée et on pourra y danser, chanter, faire du karaoké et jouer jusqu'à 23h, a illustré le maire. Cela doit cependant faire consensus parmi les voisins, avise-t-il. Les demandes devront être faites au 311 à partir du 19 juin.

Rues partagées

D'autre part, la Ville a choisi 12 rues, deux par arrondissement, qui pourraient devenir partagées si les citoyens le souhaitent. Le maire ne les a pas nommées, voulant d'abord consulter les citoyens concernés.

Par ailleurs, toute rue peut devenir partagée si les citoyens en font la demande et si la rue satisfait aux critères (pas de circuits de bus, pas de bornes de stationnement et un débit réduit). On peut en aménager «tant que les gens en demandent. On ne s'est pas donné de limite. L'intention, c'est de l'offrir à la population. Ce sont les gens qui vont décider s'ils en veulent chez eux», a exprimé le maire.

Une rue partagée le reste tout l'été, jusqu'au 15 octobre. Il s'agit d'une rue où les piétons et les cyclistes ont priorité absolue. Elle est limitée à 20 km/h pour les automobilistes: une signalisation claire les en avise quand ils veulent l'emprunter. «Les enfants peuvent jouer dans la rue, les piétons n'ont pas besoin d'attendre l'intersection pour traverser», a expliqué la directrice générale adjointe Chantale Giguère.

«C'est une rue apaisée, où la vitesse est diminuée, où le temps est quasiment arrêté. Les automobilistes qui passent sont des locaux, généralement», a ajouté le maire. Encore là, le consensus des voisins est recherché.

Alcool dans les rues

Par ailleurs, à la demande des sociétés de développement commercial, la Ville a adopté une permission spéciale pour permettre la consommation d'alcool dans les rues piétonnières, le temps que la Régie des alcools, des courses et des jeux reçoive, de la santé publique, l'autorisation de délivrer des permis aux SDC qui en feront la demande.

D'ici le 15 juin, les gens pourront apporter leurs consommations dans les rues piétonnes, avec un repas, mais, par la suite, on leur demandera de consommer localement.

https://www.journaldequebec.com/2020/06 ... ec-cet-ete

Au moins on sait qu'il n'a pas triché

Anya a écrit : Le maire Labeaume a besoin d'une coupe de cheveux.

Mets-en que ça ne ferait pas tort de passer chez le coiffeur Je l'avais vu à la télé et j'ai donc ri. Et là, ta photo me fait encore rire. Le complet va avec la couleur des cheveux. Cré Régis! Je l'aime pareil avec son gros voyage de foin.

Fabi a écrit : Le Doc Mailloux affirme que la 2e vague va s'attaquer aux grosses «Vous allez y goûter solide!»

Le Doc Mailloux n'a jamais eu peur de créer de la controverse et il l'a prouvé une fois de plus, jeudi, dans une étrange vidéo publiée sur Facebook où il affirme que la deuxième vague de contagion touchera particulièrement « Les grosses et les gros. »

La vidéo, mise en ligne jeudi, montre le Doc Mailloux aux côtés de Josey Arsenault, qui semble un peu dépassée par les propos de son controversé collègue. Dans un monologue plus ou moins cohérent, celui dont le vrai nom est Pierre Mailloux affirme:

« Qu'est-ce qu'on va faire? On va protéger les grosses et les gros. Graduellement, on va retirer les femmes - pour les hommes on établira des poids plus tard, j'utilise les femmes parce que c'est plus facile - pour comprendre l'idée. Fait que crissez-moi la paix à matin avec la grossophobie. On essaie d'être intelligent.

On va, graduellement... ça va venir, la deuxième vague, ça va venir des grosses dans le système scolaire, de l'éducation et des garderies, ainsi que dans le système de la santé.

Les grosses, vous allez y goûter. Ça ne sera pas drôle la deuxième vague pour vous autres. Et ça va se répandre par une traînée de poudre parce que ça va être propagé par les enfants, les adolescents et vos collègues de travail du même âge que vous. Mais qui sont pas grosses. Elles vont le faire la grippe, elles vont l'avoir la grippe.

Beaucoup moins de complications, beaucoup de moins de soins intensifs et beaucoup moins de morts. Vous allez y goûter. La deuxième vague, d'après moi, va vous frapper. Solide! D'où l'importance de vous protéger. »

Jugée obèse, elle est exclue de la formation des nouveaux préposés aux bénéficiaires



Une jeune femme de 20 ans s’est vu refuser la formation comme préposée aux bénéficiaires offerte par Québec puisqu’elle est jugée obèse selon son indice de masse corporelle (IMC).

Melina Dubois Sorgente, une jeune mère désireuse d’offrir son aide en CHSLD en période de pandémie, pèse 200 livres et mesure 4 pieds 11 pouces et présente un IMC de 40,4, jugé trop élevé pour l’emploi.

Mme Dubois Sorgente et trois autres candidats ont été écartés du programme de formation du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal en raison de leur poids, ce que la jeune femme déplore vivement.

«J’ai vraiment été déçue, parce que ce n’était pas une question de salaire. Ça fait longtemps que je veux faire la formation et c’est une opportunité pour moi. Ça a un peu pété ma bulle!», a dit Melina Dubois Sorgente en entrevue à Salut Bonjour Week-end.

«Pour 0,4, je trouve ça très discriminatoire. La formation est trois mois. J’aurais pu perdre du poids d’ici le mois de septembre. (...) Quand tu es préposé aux bénéficiaires tu es debout, tu bouges et tu es actif. Je ne vois pas comment je n’aurais pas pu faire ça toute la journée comme je le fais avec mon enfant qui a un an et demi.

La santé publique estime qu’un indice de masse corporelle égal ou supérieur à 40 met plus à risque le candidat de contracter la COVID-19 au même titre que le diabète ou d’autres problèmes de santé.

Les responsables du programme de formation ont proposé à Mme Dubois Sorgente d’appliquer à nouveau en septembre prochain.
https://www.tvanouvelles.ca/2020/06/13/ ... eficiaires

Sur cette dernière nouvelle, je pense que le ou la journaliste a mal fait son travail, car le risque pour les personnes dites vulnérables (dont l'obésité fait partie) ce n'est pas qu'elles peuvent davantage l'attraper mais plutôt qu'elles sont plus susceptibles de développer des complications graves, voire mortelles.

Comme les travailleurs de la santé en CHSLD sont davantage exposés au virus, je trouve logique, surtout qu'ils ont le choix des candidats, de prendre d'abord les candidats qui sont a priori moins à risque d'en mourir s'ils l'attrapent. C'est même une attitude responsable de la part d'un employeur.

DePassage a écrit : Sur cette dernière nouvelle, je pense que le ou la journaliste a mal fait son travail, car le risque pour les personnes dites vulnérables (dont l'obésité fait partie) ce n'est pas qu'elles peuvent davantage l'attraper mais plutôt qu'elles sont plus susceptibles de développer des complications graves, voire mortelles.

Comme les travailleurs de la santé en CHSLD sont davantage exposés au virus, je trouve logique, surtout qu'ils ont le choix des candidats, de prendre d'abord les candidats qui sont a priori moins à risque d'en mourir s'ils l'attrapent. C'est même une attitude responsable de la part d'un employeur.

Et avec ce surplus de poids, comment ces gens pensent-ils pouvoir courir dans les corridors en cas d'urgence ? Soulever et soutenir des résidents durant le transfert lit/fauteuil ou " simplement " placer une bassine sous eux ?

C'est vraiment dénoncer pour le plaisir de dénoncer ... C'est pas un 15-20 livres en trop là ...

liz a écrit : [...]



Et avec ce surplus de poids, comment ces gens pensent-ils pouvoir courir dans les corridors en cas d'urgence ? Soulever et soutenir des résidents durant le transfert lit/fauteuil ou " simplement " placer une bassine sous eux ?

C'est vraiment dénoncer pour le plaisir de dénoncer ... C'est pas un 15-20 livres en trop là ...

De plus, hormis son poids qui est un facteur de risque à ne pas négliger, elle mesure 4' 11'' et c'est plutôt rare d'avoir une force physique importante à cette grandeur là, même si la personne est mince, alors que la nature même de l'emploi l'exige. C'était un peu mal connaître ses limites dès le départ pour poser sa candidature.

Je pèse 97lbs pour 5p2. Alors mon IMC est sous mon poids santé. Et je ne le prendrais vraiment pas mal si on me refusait pour un travail pareil vu mon physique. Comme les policiers ont des examens physiques. Ça va avec la job! En ayant un IMC haut d'obésité morbide, c'est ridicule qu'elle s'insurge de la sorte. En plus en entrevue elle disait être limite et qu'elle aurait pu perdre quelques livres cet été.

Les chambres sont souvent étroites, surtout s'il y a beaucoup de matériel. 2 lits, une machine à soluté, appareil à signes vitaux, chaises, table, rideau.. sérieusement même avec un poids santé on circule difficilement, donc je n'imagine pas avec un si grand surpoids.. et courir sur un code.. aider au déplacement des patients.. Beaucoup porte des souliers de course\gym pour travailler, ce n'est pas pour rien!

C'est certain qu'avec un échantillonnage de 91,000 personnes pour un besoin de 10,000, ils vont prendre ceux qui sont le plus en santé. Et l'histoire de maigrir pendant la formation c'est un peu ridicule, ils ne peuvent pas compter là-dessus... Pour avoir déjà travaillé avec un préposé obèse, je peux affirmer que c'est loin d'être facile pour eux et le fait qu'il s'épuisait facilement donnait plus de travail aux autres. Je comprends que la dame soit déçue mais c'est probablement mieux pour elle et pour les autres.

Sur la photo du cours commencé ce matin à Fierbourg, il y en a 2 qui semblent obèses à les voir. Elles sont peut-être plus grandes, on ne peut voir elles sont assises. Sur le site de R.C.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/17 ... -fierbourg" onclick="window.open(this.href);return false;

Un test olfactif simple pour savoir si l'on pourrait être atteint de la COVID-19

La neuroscientifique et psychologue spécialiste de l'odorat Rachel Herz recommande aux gens de sentir chaque matin un pot de beurre d'arachide, de surveiller la qualité et l'intensité de l'odeur, et de passer un test de dépistage de la COVID-19 si elles changent. Elle explique que de nombreuses personnes développent comme seul symptôme de la maladie une perte de l'odorat, qu'il est important de surveiller.

Rachel Herz discute également de l’importance sous-estimée de l’odorat et de sa grande influence sur différents aspects de nos vies, de nos rencontres amoureuses à notre longévité.

Entrevue:
https://ici.radio-canada.ca/premiere/em ... achel-herz

Contente de voir que les complotistes commencent à avoir de la résistance. Ils risquent de moins s'imposer sur la sphère publique et laisser les gens faire leur propre choix sans imposer les leur. Ok tu ne veux pas le porter le masque bingo, tu ne le portes pas, mais traites pas les autres de moutons en espérant que tu vas les convaincre d'abandonner le masque alors que finalement les moutons te protègent contre toi même.

Moi j'aimerais que le Ministre Legault oblige le masque dans tous les endroits publics, c'est effrayant de voir combien peu de gens le porte, ce n'est même pas 30%.

Dans plusieurs pays, le masque est obligatoire et les gens s'y habituent.

Et que dire de ce qui s'est passé à Rawdon ce week-end!!!

Je déplore ça moi aussi. Mon fils fait mes commissions et les caissières n'en portent plus, les marques sur le plancher sont enlevées. Les gens sont inconscients de croire que la pandémie est terminée. Les porteurs de masques sont à compter sur les doigts. Ça va faire dur bientôt, la 2ème vague n'attendra pas à l'automne pour se manifester.

Et les églises qui ouvrent, je vais devoir sortir de mon confinement, ma soeur est décédée le 12 mars et elle n'a pas eu de funérailles et ça va se faire dans une église. Ce sera pas mal intéressant de voir la parenté et de devoir se parler à 2 mètres de distance. Quelle affaire! J'avais espéré que ça se fasse à l'automne pour faire ce voyage .

Ce matin à notre IgA les caissières et les autres employés ainsi que le boss ,avaient toute un masque. Ce qui n'était pas le cas les dernières semaines.

Les gens devraient respecter les consignes. J'ai entendu aux nouvelles que l'Allemagne est en train de se confiner de nouveau, c'est reparti. C'est ce qui va se produire partout où les gens partent en peur dans leurs rassemblements. Je regarde dans mon coin, tout semble revenu au rapprochement comme avant.Je me demande à quoi ça pense. Je peux bien être craintive de me déconfiner. J'en suis à 102 jours sans aller dans les endroits publiques.

Oh! l'orage qui commence, le tonnerre avec ça.

joanna a écrit : Les gens devraient respecter les consignes. J'ai entendu aux nouvelles que l'Allemagne est en train de se confiner de nouveau, c'est reparti. C'est ce qui va se produire partout où les gens partent en peur dans leurs rassemblements. Je regarde dans mon coin, tout semble revenu au rapprochement comme avant.Je me demande à quoi ça pense. Je peux bien être craintive de me déconfiner. J'en suis à 102 jours sans aller dans les endroits publiques.

Oh! l'orage qui commence, le tonnerre avec ça.

Personnellement, j'ai fait le choix de me foutre un peu des autres et de me soucier un peu plus de moi en portant le masque dans les endroits publics et je limite au minimum mes sorties en priorisant les endroits où j'ai vraiment besoin d'aller. Sans totalement me priver pour autant, ma session chez la coiffeuse a été plus que bénéfique pour moi. Jusqu'à maintenant il m'a été possible d'éviter les grandes surfaces, mais si j'avais besoin d'y aller j'irais en respectant la distanciation autant que possible et en portant un masque. C'est sûr que ça vaut ce que ça vaut, sauf qu'on ne peut pas être confiné ad vitam aeternam non plus. Mais je pense que si on est prudent, il est possible de retrouver un semblant de vie normale même si on est à risque. En plus les cas testés positifs diminuent drastiquement actuellement, donc c'est le bon temps pour sortir de chez soi maintenant, soit avant que la deuxième vague vienne nous envahir à voir comment ils sont nombreux à ne pas croire à ce virus et tout faire pour le propager.