ce villanueva devrait être retourné daredare dans son pays, des bandits comme lui on en a pas besoin chez nous, que ceux qui émigrent respecte nos lois nos coutumes ou qu on les retourne chez eux, cabrel a dit la france aux francais nous on dit le quebec aux quebecois le canada aux canadiens , à moins que vous respectiez nos lois nos coutumes nos femmes nos enfants notre religion et tout et tout

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Publié le 14 avril 2011 à 13h46 | Mis à jour à 13h46
Déportation: une exception pour Dany Villanueva serait inéquitable
Yves Claudé
L'auteur est sociologue.

Le pays d'origine de Dany Villanueva, le Honduras, est, après le Salvador, le pays d'Amérique centrale le plus touché par le problème des gangs criminalisés que sont la Mara Salvatrucha 13 et la Pandilla 18 (gangs également présents à Montréal...). Les appréhensions de Dany Villanueva à ce sujet, dans le cas où il serait déporté, sont certes très sérieuses (tentatives probables de recrutement), mais pas différentes de celles de tous les autres individus déportés par l'État canadien en raison de leurs activités criminelles.

Dans cette situation, si les normes qui guident le processus de déportation sont inadéquates, elles doivent être changées pour tous, et il serait inéquitable de faire une exception pour Dany Villanueva en particulier, parce que son cas a été plus médiatisé et dramatisé que d'autres.

Cependant, un argument valable pour une éventuelle révision du processus de déportation est que les criminels déportés, possédant expérience et contacts, deviennent souvent des acteurs majeurs des réseaux criminels de leur pays d'origine. Ainsi, les membres de gangs déportés des États-Unis au Salvador ont largement contribué au développement et à la radicalisation des réseaux criminels salvadoriens (la MS 13 et la P 18).

On peut déplorer le fait que Dany Villanueva ait été fort mal conseillé par des individus qui ont tenté de faire de son frère Fredy un «martyr» d'une police intrinsèquement «criminelle», par des démagogues qui occultent délibérément les problèmes sociaux (victimisation de la population, violences de toutes sortes, esclavage prostitutionnel, etc.) posés par l'intégration de jeunes aux comportements déviants dans des structures du crime organisé telles que celle de la Blood Mafia Family (BMF) de Montréal-Nord.

En effet, l'affaire Villanueva a été amplement instrumentalisée aux dépens de cette famille, qui n'a pas su se démarquer des entreprises de récupération du drame qu'elle a vécu avec le décès de Fredy Villanueva.

Dans ce contexte, Dany Villanueva a pu se percevoir comme étant tout puissant, hors d'atteinte de la loi et de ses représentants, conforté dans cette perception par quelques dizaines d'individus clamant que «la rue est à eux» et que «la police ne devrait pas y être présente», que «tant qu'il y aura de l'injustice, il y aura de l'insécurité», etc. Mais face au constat d'un expert de la police témoignant à la Commission de l'immigration, qui affirme qu'il «fait toujours partie du gang des rouges» (BMF), il lui est manifestement difficile de démontrer qu'il a réellement changé de trajectoire.

Dany Villanueva aurait pu se départir d'une figure de «victime du système» maladroitement élaborée pour lui par ses partisans, et reconnaître les faits pour entreprendre un réel processus de réhabilitation. En se démarquant clairement des manipulateurs, des criminels habiles à recruter des jeunes d'une part, et des démagogues «antipoliciers» d'autre part, il aurait pu s'amender pour rendre plus crédible une demande de sursis à sa déportation, et aussi pour rendre service à d'autres jeunes susceptibles de se fourvoyer dans le même type de parcours erratique.

Malheureusement, Dany Villanueva, après avoir joué les «héros gangstas» en s'impliquant dans des entreprises criminelles, n'a manifestement pas compris qu'en se mettant en valeur dans les vidéoclips promotionnels de la Blood Mafia Family (diffusés sur internet en 2008 et 2009), il se présentait, dans une situation éventuelle de déportation, comme un membre potentiel de la Pandilla 18 du Honduras, du fait de l'alliance des Bloods et des 18! Il lui faut maintenant faire face à la réalité!

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lorraine48 a écrit : ce villanueva devrait être retourné daredare dans son pays, des bandits comme lui on en a pas besoin chez nous, que ceux qui émigrent respecte nos lois nos coutumes ou qu on les retourne chez eux, cabrel a dit la france aux francais nous on dit le quebec aux quebecois le canada aux canadiens , à moins que vous respectiez nos lois nos coutumes nos femmes nos enfants notre religion et tout et tout

Montréal
Dany Villanueva : le père s’effondre
Agence QMI
Jean-Marc Gilbert
14/04/2011 20h23

MONTRÉAL – Le père de Dany Villanueva était appelé à témoigner, jeudi, lors de la troisième journée d’audiences devant la Section d’appel de l’immigration, concernant la mesure de renvoi du jeune homme vers le Honduras.

Questionné sur le sort réservé à son fils s’il était renvoyé dans son pays natal, Gilberto Villanueva a fondu en larmes.

«Si on l’expulse vers le Honduras, il va perdre la vie», a lancé le témoin qui s’est immédiatement mis à pleurer. L’avocat de la famille, Stéphane Handfield, a voulu poser une autre question, mais Gilberto Villanueva était incapable de répondre, ce qui a forcé la commissaire Marie-Claude Paquette à suspendre l’audience pendant quelques minutes.

À la reprise, avec l’aide d’une interprète, le témoin a parlé des menaces dont certains membres de sa famille ont fait l’objet, et a exhorté le tribunal à ne pas expulser son fils du Canada.

«Avant nous étions sept. Maintenant, nous sommes six (Fredy Villanueva, le frère de Dany, est décédé en 2008) et si Dany est expulsé du Canada, nous ne serons plus que cinq», est-il parvenu à dire, en essuyant quelques larmes.

Une dernière chance ?

Lors de son témoignage, en après-midi, une des sœurs de Dany Villanueva, Wendy, a aussi demandé la clémence de la commissaire. «Ce serait trop injuste pour la famille. Les jeunes commettent tous des erreurs. Pourquoi ne pas lui donner une dernière chance ?»

Elle souhaite que son frère puisse poursuivre ses études, trouver un emploi au Canada et que ses parents puissent finalement «avoir la paix».

Rapports

Plus tôt en matinée, le tribunal a passé en revue les des deux rapports rédigés concernant les mesures de renvoi.

Le premier, rédigé en 2007, faisait état d’un interdit de territoire qui pourrait s’appliquer contre Dany Villanueva pour des raisons de «grande criminalité». Une décision liée à une sentence de 11 mois de prison à laquelle il a été condamné en 2006, pour un vol qualifié.

En juillet 2008, une lettre envoyée à Dany Villanueva l’invitait à communiquer avec l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) s’il voulait leur faire part de «renseignements supplémentaires susceptibles de permettre à l’ASFC de ne pas prendre de mesure de renvoi à son égard». Or, cette lettre serait restée sans réponse.

En août 2009, un deuxième rapport, dans lequel on lui reprochait les mêmes faits, a été rédigé, afin d’«apporter des précisions quant à la condamnation de 2006, sans en changer les informations essentielles».

Vendredi, la Commission devrait entendre la mère de Dany Villanueva, Lilian, et le sergent-détective Jean-Claude Gauthier, si le temps le permet.

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Pourquoi lui ne retournerait t-il pas dans son pays et qu'une famille ayant une enfant handicapée sont menacé d'explusion au mois de Juillet car supposément la petite fille est un cas trop lourd ?

Exactement! Ce serait un grande injustice! C'est le monde à l'envers! Cette famille devrait pouvoir rester alors que c'est à ce membre de gang de rue qu'on ferait exeption et qu'on ouvrirait nos portes?

Procès
Dany Villanueva serait toujours un Blood
Agence QMI
Jean-Marc Gilbert
19/04/2011 16h37

MONTRÉAL – Le sergent-détective Jean-Claude Gauthier de la police de Montréal est formel: Dany Villanueva est toujours «considéré un membre d’un gang de rue d’allégeance rouge».

C’est ce qu’il a tenté de prouver, mardi, lors de son témoignage devant la Section d’appel de l’immigration, chargée d’entendre l’appel sur la mesure de renvoi de Dany Villanueva vers le Honduras.

Se référant constamment au profil produit au sujet de Dany Villanueva, un document de 25 pages, M. Gauthier affirme que l’appelant «répond à trois des six critères pouvant permettre au SPVM de le considérer comme membre de gang de rue, ce qui est suffisant pour prouver son appartenance». Ces trois critères sont: avoir été en contact ou en relation avec des membres de gang, avoir commis un crime de gang directement ou indirectement, et avoir des accessoires (vêtements, bijoux, tatouages…) prouvant que la personne fait partie d’un gang.

Le détective conclut donc dans son rapport que «le sujet est connu de notre Service de police depuis 2003. Ce dernier est considéré d'un membre d’un gang de rue d’allégeance rouge "Bloods"».

Dany Villanueva a été impliqué dans 17 événements policiers entre septembre 2003 et avril 2010.

Il assure ne plus faire partie d’un gang depuis sa sortie de prison en 2007, des propos corroborés par les membres de sa famille appelés à témoigner.

Crédibilité attaquée

En contre-interrogatoire, l’avocat de Villanueva, Stéphane Handfield, a tenté de s’attaquer à maintes reprises à la crédibilité du témoin, remettant notamment en doute certaines parties de son récit.

Par exemple, dans un vidéoclip du groupe Mobsterz, où l’on voit Dany Villanueva avec d'autres gens considérés comme membre de gangs de rue, M. Gauthier a témoigné que «tout le monde portait du rouge». Or, il a dû reconnaître que ce n’était finalement pas le cas.

De plus, M. Gauthier a reconnu «qu’il se peut qu’il y ait certaines coquilles» ou omissions dans son curriculum vitae, en raison du grand nombre de causes dans lesquelles il a témoigné à titre de témoin expert.

Les plaidoiries auront lieu mercredi, après quoi la commissaire Marie-Claude Paquette prendra la cause en délibéré. La décision d’accueillir l’appel, de le rejeter ou d’accorder un sursis à l’appelant pourrait n’être rendue que dans quelques mois.

En cas de rejet de l’appel, Dany Villanueva aura toujours l’option de porter sa cause en Cour fédérale ou de demander un examen des risques avant renvoi.

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Prostitution juvénile — Des Bloods arrêtés à Montréal et Sainte-Julie
Écrit par Vincent Larouche
Mise à jour le Vendredi, 22 avril 2011 09:33

À la suite d’une enquête sur des cas de prostitution de jeunes filles mineures, la police a mené une série de perquisitions mercredi à Montréal et dans la paisible municipalité de Sainte-Julie, sur la Rive-Sud, pour arrêter six suspects qu’elle croit affiliés aux gangs de rue de la famille des Bloods (rouges).

Trois perquisitions ont eu lieu dans l’est de Montréal, notamment à Rivière-des-Prairies et Pointe-aux-Trembles, et trois autres à Sainte-Julie. Les suspects arrêtés sont âgés de 17 à 26 ans.

« L’enquête a débuté en décembre 2010 lorsque nos enquêteurs ont reçu des informations confidentielles sur une jeune fille d’âge mineur qui s’adonnait à la prostitution dans des établissements licenciés de Longueuil », explique l’agent Gaétan Durocher, porte-parole de la police de Longueuil.

Les enquêteurs spécialisés dans la lutte à l’exploitation sexuelle des jeunes filles ont alors remonté la filière pour identifier les gens autour de la jeune fille, qui se prostituait dans des bars de danseuses.

Faux billets, armes et drogue

La police a saisi 3 000 $ en faux billets de 50 et de 100 $, 3 000 $ en vrais billets de 20 $, un fusil de calibre .12 avec des munitions, 11 téléphones cellulaires, 130 grammes de cannabis, cinq roches de crack et un véhicule Nissan Maxima.

« D’autres arrestations sont prévues. Les suspects pourraient faire face à des accusations allant de proxénétisme, traite de personnes, incitation d’une mineure à se prostituer, trafic de stupéfiants, bris d’engagement, bris de condition, possession d’armes, fraude et vol qualifié », dit M. Durocher, selon qui tous ces crimes font partie des activités de prédilection des gangs de rue.

Il est plutôt inusité de retrouver des membres des Bloods à Sainte-Julie. La municipalité fait rarement les manchettes pour des histoires de criminalité, et elle a remporté trois fois en cinq ans le titre de ville la plus heureuse selon le classement de l’Indice relatif du bonheur.

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Oh.... les noms ne sont pas sortis.

Je suis prêt à parier que ça va être uniquement des Ménard, des Caron et, surtout, des Tremblay, cette famille de dangereux criminels d'origine inconnue et dont plusieurs membres sont menacés d'expulsion. Il est temps que le véritable Québec, celui des Villanueva, des El-Ibrahim et des Dieudonnés se débarasse de ces parasites à ceinture fléchée!

Consult1 a écrit : Oh.... les noms ne sont pas sortis.

Je suis prêt à parier que ça va être uniquement des Ménard, des Caron et, surtout, des Tremblay, cette famille de dangereux criminels d'origine inconnue et dont plusieurs membres sont menacés d'expulsion. Il est temps que le véritable Québec, celui des Villanueva, des El-Ibrahim et des Dieudonnés se débarasse de ces parasites à ceinture fléchée!

Est bonne!

Publié le 25 avril 2011 à 22h00 | Mis à jour à 22h00
Dany Villanueva condamné à sept jours de prison
Caroline Touzin
La Presse

Alors que Dany Villanueva se bat pour rester au Canada, une juge de la Cour municipale de Montréal vient d'ajouter sa voix à celles des gens qui ne croient pas que le jeune homme ait repris le droit chemin.

Dans une décision rendue jeudi dernier, la juge Sophie Beauchemin condamne Dany Villanueva à purger sept jours de prison pour un bris d'engagement. Il devra également payer une amende de 300$ pour un vol à l'étalage.

«L'accusé ne semble pas s'être réhabilité: il n'a fait aucune démarche personnelle et n'occupe toujours pas d'emploi; rien n'indique qu'il soit soutien de famille», écrit la juge Beauchemin.

«Bien sûr, il est au coeur de lourdes procédures judiciaires qui sont sans doute extrêmement exigeantes et préoccupantes. Mais le Tribunal considère qu'il doit être encadré afin de réduire le risque de récidive et de protéger la société», poursuit la magistrate.

Dany Villanueva a passé la semaine dernière devant la Section d'appel de l'immigration pour tenter d'éviter l'expulsion vers son pays d'origine, le Honduras. Son expulsion pour des motifs de «grande criminalité» a été ordonnée en avril 2010.

Au terme d'un procès, le jeune homme de 24 ans a été reconnu coupable d'un vol de marchandises d'une valeur de 54,70$ dans un Canadian Tire de Montréal-Nord commis le 28 juin 2008 en complicité avec Jeffrey Sagor Metellus. Villanueva a également été reconnu coupable d'un bris d'engagement ainsi que d'un bris de probation.

Jeffrey Sagor Metellus est un ami de Dany Villanueva. Il faisait partie du groupe qui jouait aux dés le 9 août 2008 dans un parc de Montréal-Nord. Ce jour-là, un policier a abattu le frère de Dany, Fredy, en plus de blesser par balle Jeffrey Sagor Metellus et Denis Meas.

L'avocat de Dany Villanueva, Me Gunar Dubé, avait plutôt recommandé une absolution conditionnelle pour éviter de lui porter préjudice dans le cadre de son dossier d'immigration. Il a d'ailleurs porté en appel le verdict de culpabilité devant la Cour supérieure.

La juge a tenu compte des antécédents judiciaires en matière de vol de l'accusé. En 2006, Villanueva a été condamné à une peine de 11 mois d'emprisonnement pour un vol qualifié (crime qui lui a valu l'ordre d'expulsion). Puis, il a été condamné de nouveau, en 2007, à 100$ d'amende pour un vol d'une bouteille d'alcool à la SAQ.

Dany Villanueva aurait dû prendre le chemin de la prison jeudi dernier. Mais son avocat, Me Dubé, a obtenu sa remise en liberté provisoire, d'ici à ce que la Cour supérieure se penche sur la cause.

Concernant sa cause en immigration, le jeune homme de 24 ans ne saura pas avant plusieurs semaines si l'ordre de renvoi est maintenu puisque la commissaire Marie-Claude Paquette a pris la cause en délibéré. Ces audiences ont notamment permis d'apprendre qu'un cousin de Dany Villanueva, Jose Luis Diaz Madrid, a lui-même été expulsé du Canada vers le Honduras en 2006. Sa demande de statut de réfugié lui a été refusée en raison de son appartenance à un groupe criminalisé, les Mara 18. Ce gang de rue, originaire de Los Angeles, est l'un des plus puissants en Amérique latine.

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Mais voyons, si il a volé chez Canadian Tire, c'est surement que sa mère lourdement malade avait besoin d'une pièce d'équipement essentiel que le méchant gouvernement refusait de lui payer pour se venger l'enquète sur la mort de St-Fredy. ;-)

Expulsion vers le Honduras
Dany Villanueva débouté en Cour d'appel
Première publication 3 août 2011 à 13h50



Dany Villanueva a été débouté en Cour d'appel. Il tentait d'éviter son expulsion vers son Honduras natal. Il y a un an, la Commission avait décidé d'expulser Dany Villanueva du Canada en raison de sa «grande criminalité».

La Cour d'appel a jugé que les motifs humanitaires invoqués n'étaient pas suffisants pour éviter son expulsion.

Le jeune homme, originaire du Honduras, est résident permanent. Il vit au Québec depuis 12 ans. Il a été poursuivi pour quatre accusations, dont une pour conduite avec les facultés affaiblies.

Dany Villanueva, 24 ans, de Repentigny, a été arrêté le 15 avril 2010 par la Sûreté municipale de la ville. Outre l'accusation de conduite avec les facultés affaiblies, il a fait également face à des chefs de conduite avec plus de 80 milligrammes d'alcool, possession simple de stupéfiant et bris d'engagement.

Dany Villanueva est le frère de Freddy Villanueva qui avait été tué par des policiers à Montréal en 2008 à Montréal-Nord. Dany Villanueva a été un témoin-clé dans l'enquête publique sur la mort de son frère.

Plus de détails à venir.

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Annie Guillemette,journaliste et Stephane Handfield,avocat de Dany Villanueva:Renvoi vers le Honduras,Dany Villanueva débouté en appel
Intervenants : Benoît Dutrizac
Durée : 7:17
Date : 03/08/2011
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J’espère juste que ca nous feras pas une Nouvelle émeute ca fait maintenant 3 ans le 9 aout que son Frère est décedé dont j’espère que ci il font encore une Marche cette Anné ca déborderas pas mais pour le reste il étais temps qui soit déporter

Bravo pour cette décision de déporter Dany Villanueva! Ça fait du bien se tenir debout! On n'est pas une terre d'accueil pour les criminels, on a assez des nôtres!

Alexandre Popovick,membre de la CRAP:Il avait organisé des événements pour empêcher la déportation de Dany Villanueva et tribune sur Dany Villanueva
Intervenants : Benoît Dutrizac
Durée : 12:24
Date : 03/08/2011
http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=107929" onclick="window.open(this.href);return false;

Thewinneris a écrit : Bravo pour cette décision de déporter Dany Villanueva! Ça fait du bien se tenir debout! On n'est pas une terre d'accueil pour les criminels, on a assez des nôtres!

Y'en a tellement de gens honnêtes à qui ont refuse l'accès à notre pays, qui seraient prêts à redonner en centuple ce qu'on leur donne. Lui, il fait des vols qualifiés et fait partie de gang de rue... On est tu supposé avoir pitié de lui ?

Consult1 a écrit : Mais voyons, si il a volé chez Canadian Tire, c'est surement que sa mère lourdement malade avait besoin d'une pièce d'équipement essentiel que le méchant gouvernement refusait de lui payer pour se venger l'enquète sur la mort de St-Fredy. ;-)

Un vol pour des couches, du lait, des vêtements pour enfants, ça peut passer( je ne dis pas que tout le monde doit faire ça, mais je pense qu'un juge serait peut-être plus clément dans le cas d'une première offense) , mais tsé, le Canadian Tire