jumbo a écrit : À lire ce topic, je pense que je vais finir mes jours dans ma belle Abitibi natale.

Autre ex: Mon beau-père est déclaré cancer de la vessie le 18 mars et opéré le 23 et de retour chez lui le 27 et grâce au bon soin reçu, il se porte très bien.

Un gros Bravo aux hopitaux de Vald'or et de Rouyn-Noranda pour leur bon service.

Et à celle d'Amos aussi

Soleil47 a écrit : [...]
Et à celle d'Amos aussi

C'est vrai, dernièrement j'ai eu un examen pour les artères à Amos. Je suis entré à 10.45 hres et à midi c'était terminé, très bon service aussi.

Est du Québec
Des infirmières rejettent les dernières offres
Mise à jour : 29/03/2010 19h54

Le Syndicat des infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes de l'Est du Québec (SIIIEQ) dénonce les dernières offres du gouvernement.

Selon la présidente, Micheline Barriault : «jamais auparavant un gouvernement n'aura été si effronté et si irrespectueux envers ses employés. Nous travaillons déjà dans des conditions difficiles où la pénurie de personnel, la surcharge de travail, le temps supplémentaire obligatoire, sont monnaie courante et là, pour régler les problèmes, le gouvernement nous propose d'étaler la semaine de travail sur sept jours, qu'il n'y ait plus 16 heures entre les quarts de travail, de couper dans nos congés de maladie... Voilà les remerciements de notre bon gouvernement!»

Le syndicat craint que, plutôt de garder les jeunes dans la profession, de garder à l'emploi les 55 ans et plus et d'arrêter le glissement vers les agences privées, ces offres précipitent le réseau de la santé dans le chaos.

«Est-ce que la population va accepter de se faire soigner par du personnel qui n'aurait réussi à dormir que trois à quatre heures à longueur de semaine? Que l'on puisse travailler 10-12 jours en ligne sans repos, ça n'a pas de sens et en plus, si l'on s'épuise, nous ne bénéficierons que de seulement 60% ou même 50% de notre salaire en congé de maladie. Nous mettons déjà beaucoup de notre vie dans ce réseau en faisant du temps supplémentaire, mais de surcroît, le gouvernement veut qu'on le fasse gratuitement, fini le taux et demi» s'indigne Mme Barriault.

Avec les autres syndicats, le SIIIEQ maintient son objectif d'un règlement négocié le 31 mars.

«Nous avons des solutions intéressantes qui pourraient régler bien des problèmes, entre autres, par l'aménagement du temps de travail, par la formation du personnel, par la reconnaissance des inconvénients reliés au travail, par des postes à temps complet. Nous n'avons aucune écoute. Faudra-t-il en venir à des moyens d'action lourds? Nous aussi, nous serons prêts!», ajoute la présidente.

Affilié à la CSQ, le Syndicat des infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes de l'Est du Québec représente 1600 membres répartis sur le territoire du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.

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''Chronique de Christopher Hall
Infirmières... super!

Christopher Hall
26/03/2010 05h08

Finalement! Après des années de fixation sur la situation des médecins, on s'attarde enfin sur le sort de nos infirmières.

Pas besoin d'être un expert pour savoir que ce sont les infirmières et infirmiers (je ne vous oublie pas les boys, mais pour le reste de la chronique, laissons le féminin l'emporter sur le masculin!) qui sont la colonne vertébrale de notre système de santé.

Que ce soit pour un accouchement, un bras cassé, un traitement de chimio, ou une simple écharde dans un pied du plus jeune, ce sont les infirmières qui sont aux premières lignes. Elles ne sont peut-être pas omnipraticiennes, mais elles sont omniprésentes.

Malgré des journées de travail interminables, elles sont toujours au combat... avec un sourire compatissant en bonus. Et que reçoivent nos infirmières en bonus? Des salaires indignes, des conditions de travail imposées par décrets, et des heures supplémentaires obligatoires (le fameux TSO).

J'ai toujours cru que les heures supplémentaires étaient quelque chose qu'on choisissait de faire... pour se payer un voyage dans le sud, une pension alimentaire, ou des rénovations dans sa salle de bain (quoique pour ça, c'est le gros lot du 6/49 qu'il faut gagner!).

Normalement, le temps supplémentaire devrait être à ta discrétion, tu devrais être en mesure de choisir entre: rester au travail et faire huit heures de plus, ou aller chercher ton enfant à la garderie. Évidemment, n'importe qui choisirait son enfant.

Eh bien pour les infirmières, ce n'est pas le cas. On leur impose le temps supplémentaire afin que l'hôpital respecte le nombre minimum de personnes requises par le Code déontologique, dont l'ultime responsabilité échoit aux infirmières.

Ainsi, les infirmières font régulièrement des quarts de travail de 12, voire 16 heures. Si ça continue, elles seront toutes à l'hôpital 24 heures sur 24... mais sur une civière à l'urgence. Le métier d'infirmière est devenu un sport extrême!

Malgré cette situation de plus en plus ardue, nos infirmières continuent de nous soigner, inlassablement, comme des petits lapins roses Energizer. Et tout ça, avec professionnalisme, altruisme, et un sourire communicatif.

Voilà qui pourrait bien inspirer nos médecins, qui trop souvent agissent comme si tout leur était dû. Ils entrent dans la chambre comme des dieux en sarrau. Sans se présenter, sans sourire et souvent sans intérêt. Je ne dis pas que nos médecins sont désintéressés, mais trop souvent, ils nous font sentir que nous sommes inintéressants. Quand nos facultés de médecine offriront-elles un cours intitulé Comportements en chambre de patient 101, donné par une infirmière?

Malheureusement, leurs qualités si valorisées sont également leur plus gros handicap. Trop fines et trop gentilles, on tient nos infirmières pour acquises. Le sa-chant, le gouvernement peut se permettre de les négliger.

De plus, sans nommer personne, je dirais qu'elles ont beaucoup moins de poids médiatique que les médecins. Et sachez, Monsieur Charest, que contrairement au dossier constitutionnel: «Le fruit est mûr», celui des infirmières est plus que mûr.

D'ailleurs, vous devriez le cueillir avant qu'il ne pourrisse et vous empoisonne la vie. Je vous rappelle que 15000 d'entre elles sont admissibles à la retraite. Après le TSO, peut-être songez-vous à imposer la NRO; la non-retraite obligatoire?

Je vous suggère plutôt, Monsieur le Premier Ministre, de nommer une infirmière comme ministre de la Santé. On a eu des médecins ministres sans que notre système de santé s'améliore. Pourquoi pas une infirmière-ministre? Elle ne réglerait probablement pas tous les problèmes, mais au moins ça nous ferait une ministre professionnelle, altruiste, et souriante.''

à l'article que maya a mis.

Je vous lève mon chapeau toutes les infirmières pour la job pas évidente que vous faites.. En fait pour les conditions pas évidantes. Ce n'est pas joyeux, mais je vous admire.

Primes et temps supplémentaire
Les coûts explosent
Mise à jour : 07/04/2010 19h26


Les primes en tous genres versées aux infirmières et leurs heures supplémentaires coûtent de plus en plus cher. TVA Nouvelles a obtenu des chiffres qui en disent long.

Nos hôpitaux manquent d’infirmières. Voilà pourquoi elles doivent faire de plus en plus d’heures supplémentaires. Et voilà pourquoi on leur paye des primes de toutes sortes en été, ou encore des primes pour travailler aux soins intensifs.

Selon des chiffres obtenus par Mathieu Belhumeur de TVA Nouvelles, les coûts de ces différentes mesures ont explosé depuis quatre ans.

Les heures supplémentaires ont coûté 34,1 millions $ en 2005-2006. Trois ans plus tard, cette somme avait augmenté à 55,4 millions. C’est 62% de plus.

Les primes ont entraîné des dépenses de 27,6 millions $ en 2005-2006. Pour 2008-2009, elles ont atteint 44,7 millions $. C’est une augmentation de 63%.

Plus de détails plus tard au TVA Nouvelles de 22h et sur notre site.

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Négociations
500 infirmières manifestent à Québec
Mise à jour : 08/04/2010 13h59



Les négociations sont rompues, au niveau sectoriel, entre le ministère de la Santé le la FIQ, qui regroupe 58 000 infirmières, infirmières auxiliaires, et inhalothérapeutes. Devant cela, 500 déléguées de la FIQ sont allées manifester leur mécontentement, ce midi devant le bureau-chef du ministère, chemin Sainte-Foy, à Québec.

Au centre du litige, les horaires de travail. La présidente de la FIQ, Régine Laurent, accuse le gouvernement de vouloir éliminer les horaires fixes pour pouvoir trimbaler les infirmières d'une case horaire à l'autre et d'une semaine à l'autre pour, ultimement, les épuiser. Autres points litigieux : les primes pour le travail de nuit et dans des secteurs névralgiques.

Présentement, alors qu'on parle de pénurie de main-d'oeuvre, 40 % des infirmières et 60 % des auxiliaires sont titulaires de postes à temps partiel, selon la FIQ. Pour éviter le temps supplémentaire et le recours aux agences privées, la FIQ propose de donner des postes à temps plein à toutes les infirmières et d'instituer la semaine de quatre jours.

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Santé
De plus en plus d'infirmières proches de la retraite
Kathryne Lamontagne
Agence QMI
09/04/2010 04h02

QUÉBEC - Les départs à la retraite constituent un enjeu majeur pour les infirmières, puisqu'une sur cinq est actuellement âgée de 55 ans et plus, soit le moment précis où elle peut cesser de travailler.

C'est ce que dévoile une étude statistique commandée par l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec.

Selon ces résultats, 15000 infirmières pourraient accéder à la retraite immédiatement, alors que plus de 11000 autres seraient autorisées à la prendre d'ici les cinq prochaines années.

Uniquement dans le réseau public, le nombre d'infirmières de 54 ans et plus est passé de 4100 au début des années 2000 à 10 300 cette année. Une augmentation de 150%, en moins de dix ans.

Situation préoccupante

Les secteurs de la santé mentale, de la géronto-gériatrie et des soins préopératoires sont les plus touchés par cette nouvelle réalité, alors que la proportion des infirmières âgées de 55 ans et plus varie entre 22,1 et 24,5 %. La situation est des plus préoccupante, du fait que le vieillissement de la population tend à faire croître la demande pour ce type d'infirmières.

Une situation qui ne semble pas vouloir s'améliorer, puis-que 10 % des infirmières en mesure de prendre leur retraite le font. Une proportion qui double chez les infirmières de 60 ans et plus.

Plus de 1900 infirmières devraient cesser de travailler au cours des prochaines années, en plus des 1700 à 2200 autres qui quitteront la profession pour différentes raisons.

Reste à voir si l'arrivée attendue de 2400 à 2800 nouvelles infirmières au cours des prochaines années ainsi que les primes proposées depuis l'été 2009 par le ministère de la Santé et des Services sociaux pour encourager les infirmières à repousser le moment de leur retraite pourront pallier le problème.

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Santé
L'Ordre des infirmières poursuivi pour 400 000$
Éric Yvan Lemay
Le Journal de Montréal
09/04/2010 04h20 - Mise à jour 09/04/2010 04h00


Une agence privée d'infirmières poursuit l'Ordre des infirmières du Québec pour un montant de 400000$. On lui reproche d'avoir retiré les publicités d'agences dans les pages de sa revue Perspective infirmière.

Le recours a été lancé en juin dernier contre l'Ordre deux mois après qu'elle ait cessé de publier les publicités d'agences privées. À l'époque, l'Ordre professionnel avait justifié ainsi sa décision : «En adoptant une telle politique, l'OIIQ veut lever toute ambiguïté quant à sa position en faveur du réseau public de soins de santé.»

Les agences avaient placé pour 275 000 $ d'annonces dans la revue l'année précédente.

Or, dans l'édition de juin, une agence du nom de Regroupement des infirmières et infirmiers en pratique autonome du Québec (R. I.I.P.A.Q.) a réussi à faire passer son annonce dans la revue.

Il n'en fallait pas plus pour que l'agence Girafe Santé entame des procédures, s'estimant lésée. Ainsi, elle demande 400 764,63 $ de dédommagement.

Une publicité = 17 infirmières

Le calcul fait par l'agence est plutôt simple. Elle indique dans son recours que chaque parution de publicité dans la revue entraînait l'embauche de 17 infirmières. Le taux horaire moyen de facturation pour ces infirmières était alors de 66,36 $ de l'heure. Chaque embauche équivalait à une durée moyenne de 49 semaines à temps plein (36,35 heures/semaine).

On indique que la marge bénéficiaire brute était de 20 %. C'est donc en calculant cette marge «potentielle» qu'on a établi le montant de dommages.

L'OIIQ a admis son erreur en indiquant qu'on a avisé le R.I.I.P.A. Q. que sa publicité serait retirée des publications suivantes. Dans les documents en cour, on lit que l'Ordre croyait qu'il s'agissait d'un mouvement associatif et non de recrutement.

Publicité pour la Suisse acceptée

L'Ordre a toutefois continué d'accepter les publicités d'Euro-Care Consulting qui recrute pour la Suisse. On juge qu'elles sont confor mes aux changements de politique qui permettent aux entreprises de l'extérieur du pays et du reste du Canada de s'afficher.

Dans sa défense, l'Ordre dit que l'agence n'a pas été discriminée et que l'erreur ne s'est produite qu'à une seule reprise. On juge également les allégations abusives et sans fondements.

L'Agence peut continuer d'afficher sa publicité sur le site Web de l'Ordre et lors des événements corporatifs.

*

En plus du dédommagement, l'Agence Girafe Santé réclame l'abolition de la politique sur les publicités d'agences privées.

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«J’ai comme subi une lobotomie émotionnelle par rapport à mon poste. Je
suis allé faire de la santé avant de faire de la politique. J’accepte
de jouer le jeu politique avec les gens pour améliorer la santé. Pour
moi, la politique est temporaire et un jour, je vais revenir ici en
médecin », a souligné Yves Bolduc.


REVUE DE PRESSE - Le ministre Yves Bolduc à Alma
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Je suis crampée, une personne a ajouté comme commentaire ''Redevient vite médecin, tu nous seras plus utile!!''

Pétition contre la taxe sur la santé, pour ceux que ça intéresse:


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maya213 a écrit : «J’ai comme subi une lobotomie émotionnelle par rapport à mon poste. Je
suis allé faire de la santé avant de faire de la politique. J’accepte
de jouer le jeu politique avec les gens pour améliorer la santé. Pour
moi, la politique est temporaire et un jour, je vais revenir ici en
médecin », a souligné Yves Bolduc.


REVUE DE PRESSE - Le ministre Yves Bolduc à Alma
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Je suis crampée, une personne a ajouté comme commentaire ''Redevient vite médecin, tu nous seras plus utile!!''

Mets-en...... la politique n'est pas sa tasse de thé..... en espérant qu'il est meilleur médecin.

Placeress a écrit : [...]




Mets-en...... la politique n'est pas sa tasse de thé..... en espérant qu'il est meilleur médecin.

Il est un excellent médecin/coroner et il a été un très bon directeur des services professionnels
Dans un petit hôpital vous me direz mais justement, dans un hôpital ou il n'y a qu'un seul médecin de garde et ou on a jamais vu une civière dans un corridor aux urgences

Il a aussi été président de l'Association des conseils des médecins

Je ne partage pas ses opinions politiques mais il faut tout de même lui reconnaitre ce qu'il a accompli. J'admet que le ministère de la santé semble le dépasser mais cela n'efface pas ce qu'il a accompli avant

Annouk a écrit : [...]


Il est un excellent médecin/coroner et il a été un très bon directeur des services professionnels
Dans un petit hôpital vous me direz mais justement, dans un hôpital ou il n'y a qu'un seul médecin de garde et ou on a jamais vu une civière dans un corridor aux urgences

Il a aussi été président de l'Association des conseils des médecins

Je ne partage pas ses opinions politiques mais il faut tout de même lui reconnaitre ce qu'il a accompli. J'admet que le ministère de la santé semble le dépasser mais cela n'efface pas ce qu'il a accompli avant

Cela s'appelle le principe de Peter: Chaque individu a un champ d'activité dans lequel il excelle, et lorsqu'on lui donne de nouvelles attributions, il atteint ce qu'on appelle son niveau d'incompétence. C'est pas rare en politique, on peut juste penser à Paul Martin... Paul Martin était bon dans son domaine, comme ministre des finances, mais comme PM, il a atteint son niveau d'incompétence...

Nikki a écrit : [...]


Cela s'appelle le principe de Peter: Chaque individu a un champ d'activité dans lequel il excelle, et lorsqu'on lui donne de nouvelles attributions, il atteint ce qu'on appelle son niveau d'incompétence. C'est pas rare en politique, on peut juste penser à Paul Martin... Paul Martin était bon dans son domaine, comme ministre des finances, mais comme PM, il a atteint son niveau d'incompétence...

Nikki a écrit : [...]


Cela s'appelle le principe de Peter: Chaque individu a un champ d'activité dans lequel il excelle, et lorsqu'on lui donne de nouvelles attributions, il atteint ce qu'on appelle son niveau d'incompétence. C'est pas rare en politique, on peut juste penser à Paul Martin... Paul Martin était bon dans son domaine, comme ministre des finances, mais comme PM, il a atteint son niveau d'incompétence...

Je ne peux que

Il retourne quand donc comme médecin?

Placeress en passant, vous travaillez en jeans vous?? Ils veulent qu'on commence à le faire, mais c'est tellement tout sauf confo

maya213 a écrit : [...]


Je ne peux que

Il retourne quand donc comme médecin?

Placeress en passant, vous travaillez en jeans vous?? Ils veulent qu'on commence à le faire, mais c'est tellement tout sauf confo

Bien, pas vraiment non... perso de toute manière, je trouve ça vraiment dégeu de me mettre en jean pour travailler... travailler dans des soins aux malades avec mon linge que je mets pour autre chose ou pour sortir, je sais pas... y'a un truc qui me turn off de un, de deux, je ne trouve pas ça professionnel pour les patients.... le gouvernement s'en fiche total qu'on porte des jeans pour le boulot... c'est nous que ça fait chie..... bref... je sais pas.. si le reste de la gang le fait à la clinique, je vais suivre.. mais pas pour le moment.

Par contre, j'ai un uniforme avec des pantalons noirs, il faut s'habiller en noir le mercredi, donc, je fais ça.. mais pas les jeans pour le moment...

Placeress a écrit : [...]



Bien, pas vraiment non... perso de toute manière, je trouve ça vraiment dégeu de me mettre en jean pour travailler... travailler dans des soins aux malades avec mon linge que je mets pour autre chose ou pour sortir, je sais pas... y'a un truc qui me turn off de un, de deux, je ne trouve pas ça professionnel pour les patients.... le gouvernement s'en fiche total qu'on porte des jeans pour le boulot... c'est nous que ça fait chie..... bref... je sais pas.. si le reste de la gang le fait à la clinique, je vais suivre.. mais pas pour le moment.

Par contre, j'ai un uniforme avec des pantalons noirs, il faut s'habiller en noir le mercredi, donc, je fais ça.. mais pas les jeans pour le moment...

Publié le 22 avril 2010 à 13h21 | Mis à jour à 13h25
Cancer: le Dr Barrette réclame une meilleure gouvernance

Sara Champagne
La Presse

Le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ), Dr Gaétan Barrette, demande plus de gouvernance en cancérologie. Selon lui, s'il y a un reproche global à faire au gouvernement en la matière, c'est que les spécialistes ne sont pas consultés. Dans un contexte où le dernier budget provincial limite la croissance, le Dr Barrette a fait part des inquiétudes de ses membres «qui ne voient pas le bout du tunnel», a-t-il dit.

En conséquence, Dr Barrette demande notamment au gouvernement Charest de créer un organisme dans lequel les spécialistes seraient «partie prenante», avec les autres intervenants de la santé et les bénévoles. Le président de la FMSQ ajoute que le cancer est au coeur des demandes auprès de Québec, et que pour offrir de meilleurs soins, il faut aussi former plus d'infirmières praticiennes spécialisées.

Plus de détails dans La Presse de demain.
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... rnance.php" onclick="window.open(this.href);return false;

Québec
Bientôt un registre d'erreurs médicales
Mise à jour : 22/04/2010 21h44

Les erreurs médicales des établissements québécois de santé seront compilées dès cet automne dans un registre national, selon des informations obtenues par TVA Nouvelles.

L’établissement de ce registre ne date pas d’hier. En juin 1998, le jeune Sébastien Martel meurt à l’hôpital du Sacré-Cœur. Il a été littéralement noyé: les infirmières lui avaient donné sept fois la dose normale de soluté. Quelques mois plus tard, Isabel Perreault succombe à une surdose de médicaments dans le même établissement.

Ces décès ont incité le gouvernement péquiste de l’époque à lancer une vaste enquête. Les conséquences de celle-ci suivent en 2002, alors qu’une loi est instaurée pour obliger les hôpitaux et les professionnels de la santé à dévoiler leurs erreurs. Un registre national est également promis à ce moment.

Huit ans plus tard, le projet sera finalement mis sur pied. Le gouvernement investira 3 millions de dollars pour mettre en place le système informatique, qui coûtera ensuite environ un demi-million par année. «Ce sont des dépenses qui s'autofinancent, parce que ça nous évite des coûts de santé par la suite», minimise le ministre de la Santé, Yves Bolduc.

Le registre cumulera l’ensemble des erreurs du réseau, dont la plupart des membres font déjà le bilan. Par exemple, à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, 3588 incidents ont été rapportés en 2006-2007. Ce nombre a grimpé à presque 6000 l’an dernier, dont au moins 4 très graves qui ont pu causer des décès. «On peut dire qu'il y a beaucoup d'erreurs, commente le docteur Éric Gagnon, urgentologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosement. Il y en a des petites et des insignifiantes, entre guillemets, jusqu'à des beaucoup plus graves qui ont une conséquence pour les patients.»

Même si ces chiffres peuvent parfois faire peur, la directrice des liens avec la clientèle de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, Diane Arcand, est persuadée que compiler les erreurs médicales est positif. «Pour nous, de déclarer, ça veut dire que les gens font confiance qu'on ne cherche pas de coupable, mais qu'on veut améliorer nos systèmes.»

Certains hôpitaux traînent cependant de la patte C'est le cas de l’hôpital du Sacré-Coeur, où l’on rapporte 273 cas en 2008-2009 et 722 depuis le début de cette année. De ce nombre, 21 seraient des accidents graves.

Chose certaine, la mentalité qui entoure les erreurs médicales est en train de changer au Québec. Par exemple, l’omerta qui frappait ce genre de cas est de moins en moins présente. «Les jeunes médecins sont beaucoup plus ouverts à l'autocritique», explique Éric Gagnon.

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