Fabine a écritPourquoi seulement 20 cégeps. N'ont-ils pas tous le même syndicat? Avons-nous aussi la liste de ces 20 cégeps?
Il me semble avoir entendu aux nouvelles que ce sont 20 Cégeps Aujourd'hui puis le reste le 29 aout.. Je suis pas sur mais il me semble avoir entendu ca!
Future Grèves
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Mimichouette
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- Inscription : jeu. févr. 10, 2005 1:00 am
Mimichouette a écritC'est une forme de grève rotative j'imagine comme y en a eu au printemps dans les écoles mes neveux et mon plus jeune avait pas eu d'école les mêmes jours.
En fait que ce soit au cegep, au secondaire ou au primaire, la premiere journée de grève se fait la journée de la rentrée des élèves. Ainsi certains cegeps qui ont fait du rattrapage et terminer plus tard devait allouer les vacances à leurs enseignants et commencait que le 29 aout.
Meme chose pour les étudiants du primaire et secondaire, si l'entrée était prévue le 30, la greve sera le 30, si le 31 la greve sera le 31.
En fait que ce soit au cegep, au secondaire ou au primaire, la premiere journée de grève se fait la journée de la rentrée des élèves. Ainsi certains cegeps qui ont fait du rattrapage et terminer plus tard devait allouer les vacances à leurs enseignants et commencait que le 29 aout.
Meme chose pour les étudiants du primaire et secondaire, si l'entrée était prévue le 30, la greve sera le 30, si le 31 la greve sera le 31.
lélé a écritMise à jour: 21/08/2005 17h
LCN
Grève dans les cégeps
Québec demande aux enseignants de franchir les piquets de grève
Le ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, demande aux enseignants et aux étudiants de franchir les piquets de grève qui seront dressés par les employés de soutien du réseau de l'éducation à compter de lundi.
Le ministre tient pour acquis que les cours se donneront normalement, malgré la série d'arrêts de travail d'un jour prévus au cours des prochaines semaines dans les écoles et collèges du Québec.
Je trouve tres maladroit et meprisant de la part du gouvernement d'inciter les gens a passer un piquet de grève. Cette greve n'est pas illégale et a été inscrite en bonne forme aupres des employeurs. C'est une tactique que je pense personne embarquera.
Ils aimeraient qu'ils aient de la casse et ainsi pouvoir se presenter comme desvredresseurs de tort.
LCN
Grève dans les cégeps
Québec demande aux enseignants de franchir les piquets de grève
Le ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, demande aux enseignants et aux étudiants de franchir les piquets de grève qui seront dressés par les employés de soutien du réseau de l'éducation à compter de lundi.
Le ministre tient pour acquis que les cours se donneront normalement, malgré la série d'arrêts de travail d'un jour prévus au cours des prochaines semaines dans les écoles et collèges du Québec.
Je trouve tres maladroit et meprisant de la part du gouvernement d'inciter les gens a passer un piquet de grève. Cette greve n'est pas illégale et a été inscrite en bonne forme aupres des employeurs. C'est une tactique que je pense personne embarquera.
Ils aimeraient qu'ils aient de la casse et ainsi pouvoir se presenter comme desvredresseurs de tort.
Fabine a écritPourquoi seulement 20 cégeps. N'ont-ils pas tous le même syndicat? Avons-nous aussi la liste de ces 20 cégeps?
Voici la liste des CEGEPS en grève aujourd'hui...
Mise à jour: 22/08/2005 08h08
Moyens de pression
Grève de 24 heures: la liste des cégeps touchés
Vingt cégeps sont touchés par une grève de 24 heures des employés de soutien aujourd'hui.
Enseignants et étudiants peuvent en théorie se rendre à leurs cours, mais beaucoup d'entre eux ont décidé de ne pas franchir les piquets de grève.
Voici la liste des cégeps touchés:
- Beauce-Appalaches
- Alma
- Carleton
- Joliette et Terrebonne
- Centre spécialisé en pêches de Grande-Rivière
- Jonquière
- Gaspésie-et-des-Îles aux Îles-de-la-Madeleine
- La Pocatière
- Limoilou
- Matane
- Rimouski
- Sept-Îles
- Thetford-Mines
- Trois-Rivières
- Lévis-Lauzon
- L'Assomption
- Sorel-Tracy
- Gérald-Godin
- Héritage
- Shawinigan
Voici la liste des CEGEPS en grève aujourd'hui...
Mise à jour: 22/08/2005 08h08
Moyens de pression
Grève de 24 heures: la liste des cégeps touchés
Vingt cégeps sont touchés par une grève de 24 heures des employés de soutien aujourd'hui.
Enseignants et étudiants peuvent en théorie se rendre à leurs cours, mais beaucoup d'entre eux ont décidé de ne pas franchir les piquets de grève.
Voici la liste des cégeps touchés:
- Beauce-Appalaches
- Alma
- Carleton
- Joliette et Terrebonne
- Centre spécialisé en pêches de Grande-Rivière
- Jonquière
- Gaspésie-et-des-Îles aux Îles-de-la-Madeleine
- La Pocatière
- Limoilou
- Matane
- Rimouski
- Sept-Îles
- Thetford-Mines
- Trois-Rivières
- Lévis-Lauzon
- L'Assomption
- Sorel-Tracy
- Gérald-Godin
- Héritage
- Shawinigan
La ronde des moyens de pression débute par le soutien dans les cégeps
PAR LIA LÉVESQUE
Presse Canadienne
MONTREAL (PC) - La ronde appréhendée des moyens de pression dans le secteur public, cet automne, a finalement débuté dans le calme lundi, avec une journée de débrayage des employés de soutien dans une vingtaine de cégeps du Québec.
Néanmoins, le premier ministre Jean Charest a déploré cette journée de grève qui a eu cours alors que les négociations se poursuivent aux tables.
Les employés de soutien qui ont débrayé lundi sont affectés aux services techniques, à l'entretien et à l'administration. D'autres employés de soutien débraieront au cours des prochains jours.
Pour le moment, les professeurs ne débraient toutefois pas.
N'en déplaise au ministre de l'Education Jean-Marc Fournier, les professeurs qui enseignent dans les cégeps qui ont été touchés par la journée de débrayage, lundi, n'ont pas franchi les piquets de grève.
"Nous, on a dit que s'il y avait des lignes de piquetage, on ne les franchirait pas", a expliqué en entrevue M. Ronald Cameron, président de la Fédération nationale des enseignants du Québec, (FNEEQ) affiliée à la CSN, qui représente les deux tiers des enseignants.
"On n'ira pas rendre plus difficile la situation. Il pourrait y avoir des accrochages" si les enseignants franchissaient les piquets de grève de collègues de travail et ça porterait atteinte à la solidarité syndicale, a expliqué M. Cameron.
Le mot d'ordre aux professeurs était quand même de se présenter au travail.
Une deuxième journée de grève des employés de soutien doit être éventuellement tenue.
Pour les professeurs de cégep syndiqués à la CSN, l'heure n'est pas encore au débrayage, du moins pas isolément. La Fédération nationale des enseignants songe plutôt à harmoniser son action avec le reste du secteur public de la CSN et de la FTQ, incluant la santé.
Or, une réunion conjointe est prévue à la fin de septembre pour discuter de ce plan d'action selon le degré d'avancement de la négociation du secteur public et parapublic. C'est à ce moment qu'on sera mieux fixé.
Du côté gouvernemental, le ministre de l'Education Jean-Marc Fournier a répété que le portefeuille était vide et que le gouvernement ne pouvait faire davantage.
Le gouvernement offre 12,6 pour cent d'augmentation sur six ans, incluant les ajustements pour l'équité salariale, alors que les centrales demandent 12,5 pour cent sur trois ans, sans compter l'équité salariale.
Le premier ministre Charest, de son côté, a accusé les centrales syndicales de chercher l'affrontement. Il a déploré les moyens de pression qui ont été amorcés pendant que les négociations se poursuivent.
Du côté des deux autres organisations syndicales représentant les professeurs de cégep, à savoir la Fédération autonome du collégial et la Fédération des enseignants de cégep de la Centrale des syndicats du Québec, on a déploré les propos du ministre Fournier et appuyé les collègues en grève.
"Que le ministre Fournier se le tienne pour dit: nous serons toujours solidaires des revendications du personnel des collèges. Si le ministre ne comprend pas cela, il n'est pas le bienvenu dans quelque cégep que ce soit au Québec. S'il se pointe le nez, il trouvera un comité d'accueil qui lui rappellera que ce n'est pas nous qui prenons la population en otage, mais bien son gouvernement qui défend des positions dogmatiques et qui génère l'affrontement par des propos totalement irresponsables", ont critiqué les deux présidents Alain Dion et Réginald Sorel.
Chez les professeurs du primaire et du secondaire, à la Fédération des syndicats de l'enseignement de la CSQ, on n'en est pas rendu non plus aux débrayages.
Pour la rentrée, les professeurs du primaire et du secondaire se contenteront de moyens de pression qui viseront l'administration et leurs tâches connexes, mais pas l'enseignement ni l'encadrement des élèves dans la classe, a-t-on indiqué.
PAR LIA LÉVESQUE
Presse Canadienne
MONTREAL (PC) - La ronde appréhendée des moyens de pression dans le secteur public, cet automne, a finalement débuté dans le calme lundi, avec une journée de débrayage des employés de soutien dans une vingtaine de cégeps du Québec.
Néanmoins, le premier ministre Jean Charest a déploré cette journée de grève qui a eu cours alors que les négociations se poursuivent aux tables.
Les employés de soutien qui ont débrayé lundi sont affectés aux services techniques, à l'entretien et à l'administration. D'autres employés de soutien débraieront au cours des prochains jours.
Pour le moment, les professeurs ne débraient toutefois pas.
N'en déplaise au ministre de l'Education Jean-Marc Fournier, les professeurs qui enseignent dans les cégeps qui ont été touchés par la journée de débrayage, lundi, n'ont pas franchi les piquets de grève.
"Nous, on a dit que s'il y avait des lignes de piquetage, on ne les franchirait pas", a expliqué en entrevue M. Ronald Cameron, président de la Fédération nationale des enseignants du Québec, (FNEEQ) affiliée à la CSN, qui représente les deux tiers des enseignants.
"On n'ira pas rendre plus difficile la situation. Il pourrait y avoir des accrochages" si les enseignants franchissaient les piquets de grève de collègues de travail et ça porterait atteinte à la solidarité syndicale, a expliqué M. Cameron.
Le mot d'ordre aux professeurs était quand même de se présenter au travail.
Une deuxième journée de grève des employés de soutien doit être éventuellement tenue.
Pour les professeurs de cégep syndiqués à la CSN, l'heure n'est pas encore au débrayage, du moins pas isolément. La Fédération nationale des enseignants songe plutôt à harmoniser son action avec le reste du secteur public de la CSN et de la FTQ, incluant la santé.
Or, une réunion conjointe est prévue à la fin de septembre pour discuter de ce plan d'action selon le degré d'avancement de la négociation du secteur public et parapublic. C'est à ce moment qu'on sera mieux fixé.
Du côté gouvernemental, le ministre de l'Education Jean-Marc Fournier a répété que le portefeuille était vide et que le gouvernement ne pouvait faire davantage.
Le gouvernement offre 12,6 pour cent d'augmentation sur six ans, incluant les ajustements pour l'équité salariale, alors que les centrales demandent 12,5 pour cent sur trois ans, sans compter l'équité salariale.
Le premier ministre Charest, de son côté, a accusé les centrales syndicales de chercher l'affrontement. Il a déploré les moyens de pression qui ont été amorcés pendant que les négociations se poursuivent.
Du côté des deux autres organisations syndicales représentant les professeurs de cégep, à savoir la Fédération autonome du collégial et la Fédération des enseignants de cégep de la Centrale des syndicats du Québec, on a déploré les propos du ministre Fournier et appuyé les collègues en grève.
"Que le ministre Fournier se le tienne pour dit: nous serons toujours solidaires des revendications du personnel des collèges. Si le ministre ne comprend pas cela, il n'est pas le bienvenu dans quelque cégep que ce soit au Québec. S'il se pointe le nez, il trouvera un comité d'accueil qui lui rappellera que ce n'est pas nous qui prenons la population en otage, mais bien son gouvernement qui défend des positions dogmatiques et qui génère l'affrontement par des propos totalement irresponsables", ont critiqué les deux présidents Alain Dion et Réginald Sorel.
Chez les professeurs du primaire et du secondaire, à la Fédération des syndicats de l'enseignement de la CSQ, on n'en est pas rendu non plus aux débrayages.
Pour la rentrée, les professeurs du primaire et du secondaire se contenteront de moyens de pression qui viseront l'administration et leurs tâches connexes, mais pas l'enseignement ni l'encadrement des élèves dans la classe, a-t-on indiqué.
Hum... j'enrage.... moi qui n'avait en 15 ans jamais mis les pieds dans une assemblée syndicale....
J'enrage face à cette manipulation de l'opinion publique...
Monsieur Charest se tape la g.... que l'on a pas d'argent... mais il ne parle pas de la réforme scolaire qu'il a instauré
(pas que ce soit un mauvais projet mais quand on a pas d'argent, on a pas d'argent pour rien), est ce qu'il dit à la population le cout d'une telle réforme? ( Subventions aux maisons d'éditions pour pondre du matériel éducatif, libération d'enseignants pour former pour la réforme, comité gouvernemental pour approbation du matériel, des tonnes et des tonnes de documents envoyés partout dans les écoles,achat de nouveaux manuels dans chaque matière, renovations pour créer des laboratoires technologiques dans les écoles (argent donné pour les rénovations, mais aucun argent pour du personnel supplémentaire, à mon école les 2 concierges et moi même ont du écourter leurs vacances d'une semaine pour tout vider, nettoyer, trier, classer et vendre le matériel qui servaient plus parce qu'il l'aurait jeté naturellement si on ne s'en était pas occupé)) Il a pris l'argent où?
Est ce qu'il parle des couts juste en études pour l'implatation du CHUL ou de la fusion des services sociaux.... et rien n'est fait encore et des millions ont été dépensés et notre service de santé ne se porte pas mieux. Il a pris l'argent où?
Non il ne parle que de mon salaire et j'en ai vraiment assez qui me fasse porter l'odieux de sa mauvaise gestion, de ses cachotteries.
J'enrage aussi de voir une partie de la population nous reprocher nos soi disant conditions de travail et nos salaires en nous accusant de tout les maux.
Pourtant je les vois rarement s'élever contre le fait que les policiers mettent de l'essence super dans les voitures ce qui augmentent les dépenses ( au frais des contribuables aussi). Ils prennent l'argent ou pour payer????
J'ai vu peu de gens s'élever quand la société d'état ( qui est les taxes et les impôts des contribuables) on a donné 250,000 de salaire à Madame France Beaudoin ( je n'ai rien contre elle personnellement) pour animer une émission quotidienne. Personne ne boycotte l'émission. Ils prennent l'argent ou pour le salaire d'une seule personne????
Et pourtant on s'occupe de la santé, des soins et de l'éducation de vos enfants et de votre famille!!!!
En passant je suis en congé aujourd,hui parce que depuis deux ans on a coupé mon poste de 35 heures a 28 heures en ajoutant en plus des charges de travail et que mon patron (un chic type) trouve inadmissible que je laisse aller à chaque année plus de 50 heures de temps compensatoire.
J'enrage face à cette manipulation de l'opinion publique...
Monsieur Charest se tape la g.... que l'on a pas d'argent... mais il ne parle pas de la réforme scolaire qu'il a instauré
(pas que ce soit un mauvais projet mais quand on a pas d'argent, on a pas d'argent pour rien), est ce qu'il dit à la population le cout d'une telle réforme? ( Subventions aux maisons d'éditions pour pondre du matériel éducatif, libération d'enseignants pour former pour la réforme, comité gouvernemental pour approbation du matériel, des tonnes et des tonnes de documents envoyés partout dans les écoles,achat de nouveaux manuels dans chaque matière, renovations pour créer des laboratoires technologiques dans les écoles (argent donné pour les rénovations, mais aucun argent pour du personnel supplémentaire, à mon école les 2 concierges et moi même ont du écourter leurs vacances d'une semaine pour tout vider, nettoyer, trier, classer et vendre le matériel qui servaient plus parce qu'il l'aurait jeté naturellement si on ne s'en était pas occupé)) Il a pris l'argent où?
Est ce qu'il parle des couts juste en études pour l'implatation du CHUL ou de la fusion des services sociaux.... et rien n'est fait encore et des millions ont été dépensés et notre service de santé ne se porte pas mieux. Il a pris l'argent où?
Non il ne parle que de mon salaire et j'en ai vraiment assez qui me fasse porter l'odieux de sa mauvaise gestion, de ses cachotteries.
J'enrage aussi de voir une partie de la population nous reprocher nos soi disant conditions de travail et nos salaires en nous accusant de tout les maux.
Pourtant je les vois rarement s'élever contre le fait que les policiers mettent de l'essence super dans les voitures ce qui augmentent les dépenses ( au frais des contribuables aussi). Ils prennent l'argent ou pour payer????
J'ai vu peu de gens s'élever quand la société d'état ( qui est les taxes et les impôts des contribuables) on a donné 250,000 de salaire à Madame France Beaudoin ( je n'ai rien contre elle personnellement) pour animer une émission quotidienne. Personne ne boycotte l'émission. Ils prennent l'argent ou pour le salaire d'une seule personne????
Et pourtant on s'occupe de la santé, des soins et de l'éducation de vos enfants et de votre famille!!!!
En passant je suis en congé aujourd,hui parce que depuis deux ans on a coupé mon poste de 35 heures a 28 heures en ajoutant en plus des charges de travail et que mon patron (un chic type) trouve inadmissible que je laisse aller à chaque année plus de 50 heures de temps compensatoire.
lucide a écritHum... j'enrage.... moi qui n'avait en 15 ans jamais mis les pieds dans une assemblée syndicale....
J'enrage face à cette manipulation de l'opinion publique...
Monsieur Charest se tape la g.... que l'on a pas d'argent... mais il ne parle pas de la réforme scolaire qu'il a instauré
(pas que ce soit un mauvais projet mais quand on a pas d'argent, on a pas d'argent pour rien), est ce qu'il dit à la population le cout d'une telle réforme? ( Subventions aux maisons d'éditions pour pondre du matériel éducatif, libération d'enseignants pour former pour la réforme, comité gouvernemental pour approbation du matériel, des tonnes et des tonnes de documents envoyés partout dans les écoles,achat de nouveaux manuels dans chaque matière, renovations pour créer des laboratoires technologiques dans les écoles (argent donné pour les rénovations, mais aucun argent pour du personnel supplémentaire, à mon école les 2 concierges et moi même ont du écourter leurs vacances d'une semaine pour tout vider, nettoyer, trier, classer et vendre le matériel qui servaient plus parce qu'il l'aurait jeté naturellement si on ne s'en était pas occupé)) Il a pris l'argent où?
Est ce qu'il parle des couts juste en études pour l'implatation du CHUL ou de la fusion des services sociaux.... et rien n'est fait encore et des millions ont été dépensés et notre service de santé ne se porte pas mieux. Il a pris l'argent où?
Non il ne parle que de mon salaire et j'en ai vraiment assez qui me fasse porter l'odieux de sa mauvaise gestion, de ses cachotteries.
J'enrage aussi de voir une partie de la population nous reprocher nos soi disant conditions de travail et nos salaires en nous accusant de tout les maux.
Pourtant je les vois rarement s'élever contre le fait que les policiers mettent de l'essence super dans les voitures ce qui augmentent les dépenses ( au frais des contribuables aussi). Ils prennent l'argent ou pour payer????
J'ai vu peu de gens s'élever quand la société d'état ( qui est les taxes et les impôts des contribuables) on a donné 250,000 de salaire à Madame France Beaudoin ( je n'ai rien contre elle personnellement) pour animer une émission quotidienne. Personne ne boycotte l'émission. Ils prennent l'argent ou pour le salaire d'une seule personne????
Et pourtant on s'occupe de la santé, des soins et de l'éducation de vos enfants et de votre famille!!!!
En passant je suis en congé aujourd,hui parce que depuis deux ans on a coupé mon poste de 35 heures a 28 heures en ajoutant en plus des charges de travail et que mon patron (un chic type) trouve inadmissible que je laisse aller à chaque année plus de 50 heures de temps compensatoire.
Tu aurais pu aussi ajouter que le même Charest avait hâte qu'on de la ferme au sujet d'une certaine nomination qui coûte aux contribuables la modique somme de 19 millions par année pour une fonction qu'on nous dit qui ne vaut pas grand chose... Me semble que c'est payer cher pour pas grand chose...
J'enrage face à cette manipulation de l'opinion publique...
Monsieur Charest se tape la g.... que l'on a pas d'argent... mais il ne parle pas de la réforme scolaire qu'il a instauré
(pas que ce soit un mauvais projet mais quand on a pas d'argent, on a pas d'argent pour rien), est ce qu'il dit à la population le cout d'une telle réforme? ( Subventions aux maisons d'éditions pour pondre du matériel éducatif, libération d'enseignants pour former pour la réforme, comité gouvernemental pour approbation du matériel, des tonnes et des tonnes de documents envoyés partout dans les écoles,achat de nouveaux manuels dans chaque matière, renovations pour créer des laboratoires technologiques dans les écoles (argent donné pour les rénovations, mais aucun argent pour du personnel supplémentaire, à mon école les 2 concierges et moi même ont du écourter leurs vacances d'une semaine pour tout vider, nettoyer, trier, classer et vendre le matériel qui servaient plus parce qu'il l'aurait jeté naturellement si on ne s'en était pas occupé)) Il a pris l'argent où?
Est ce qu'il parle des couts juste en études pour l'implatation du CHUL ou de la fusion des services sociaux.... et rien n'est fait encore et des millions ont été dépensés et notre service de santé ne se porte pas mieux. Il a pris l'argent où?
Non il ne parle que de mon salaire et j'en ai vraiment assez qui me fasse porter l'odieux de sa mauvaise gestion, de ses cachotteries.
J'enrage aussi de voir une partie de la population nous reprocher nos soi disant conditions de travail et nos salaires en nous accusant de tout les maux.
Pourtant je les vois rarement s'élever contre le fait que les policiers mettent de l'essence super dans les voitures ce qui augmentent les dépenses ( au frais des contribuables aussi). Ils prennent l'argent ou pour payer????
J'ai vu peu de gens s'élever quand la société d'état ( qui est les taxes et les impôts des contribuables) on a donné 250,000 de salaire à Madame France Beaudoin ( je n'ai rien contre elle personnellement) pour animer une émission quotidienne. Personne ne boycotte l'émission. Ils prennent l'argent ou pour le salaire d'une seule personne????
Et pourtant on s'occupe de la santé, des soins et de l'éducation de vos enfants et de votre famille!!!!
En passant je suis en congé aujourd,hui parce que depuis deux ans on a coupé mon poste de 35 heures a 28 heures en ajoutant en plus des charges de travail et que mon patron (un chic type) trouve inadmissible que je laisse aller à chaque année plus de 50 heures de temps compensatoire.
Tu aurais pu aussi ajouter que le même Charest avait hâte qu'on de la ferme au sujet d'une certaine nomination qui coûte aux contribuables la modique somme de 19 millions par année pour une fonction qu'on nous dit qui ne vaut pas grand chose... Me semble que c'est payer cher pour pas grand chose...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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Spirullette
- Immortel du Domaine
- Messages : 14815
- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
lucide a écritHum... j'enrage.... moi qui n'avait en 15 ans jamais mis les pieds dans une assemblée syndicale....
J'enrage face à cette manipulation de l'opinion publique...
Monsieur Charest se tape la g.... que l'on a pas d'argent... mais il ne parle pas de la réforme scolaire qu'il a instauré
(pas que ce soit un mauvais projet mais quand on a pas d'argent, on a pas d'argent pour rien), est ce qu'il dit à la population le cout d'une telle réforme? ( Subventions aux maisons d'éditions pour pondre du matériel éducatif, libération d'enseignants pour former pour la réforme, comité gouvernemental pour approbation du matériel, des tonnes et des tonnes de documents envoyés partout dans les écoles,achat de nouveaux manuels dans chaque matière, renovations pour créer des laboratoires technologiques dans les écoles (argent donné pour les rénovations, mais aucun argent pour du personnel supplémentaire, à mon école les 2 concierges et moi même ont du écourter leurs vacances d'une semaine pour tout vider, nettoyer, trier, classer et vendre le matériel qui servaient plus parce qu'il l'aurait jeté naturellement si on ne s'en était pas occupé)) Il a pris l'argent où?
Est ce qu'il parle des couts juste en études pour l'implatation du CHUL ou de la fusion des services sociaux.... et rien n'est fait encore et des millions ont été dépensés et notre service de santé ne se porte pas mieux. Il a pris l'argent où?
Non il ne parle que de mon salaire et j'en ai vraiment assez qui me fasse porter l'odieux de sa mauvaise gestion, de ses cachotteries.
J'enrage aussi de voir une partie de la population nous reprocher nos soi disant conditions de travail et nos salaires en nous accusant de tout les maux.
Pourtant je les vois rarement s'élever contre le fait que les policiers mettent de l'essence super dans les voitures ce qui augmentent les dépenses ( au frais des contribuables aussi). Ils prennent l'argent ou pour payer????
J'ai vu peu de gens s'élever quand la société d'état ( qui est les taxes et les impôts des contribuables) on a donné 250,000 de salaire à Madame France Beaudoin ( je n'ai rien contre elle personnellement) pour animer une émission quotidienne. Personne ne boycotte l'émission. Ils prennent l'argent ou pour le salaire d'une seule personne????
Et pourtant on s'occupe de la santé, des soins et de l'éducation de vos enfants et de votre famille!!!!
En passant je suis en congé aujourd,hui parce que depuis deux ans on a coupé mon poste de 35 heures a 28 heures en ajoutant en plus des charges de travail et que mon patron (un chic type) trouve inadmissible que je laisse aller à chaque année plus de 50 heures de temps compensatoire.
Tu devrais retranscrire ton message dans l'autre topic ou certains bitch à qui mieux mieux les fonctionnaires!
J'enrage face à cette manipulation de l'opinion publique...
Monsieur Charest se tape la g.... que l'on a pas d'argent... mais il ne parle pas de la réforme scolaire qu'il a instauré
(pas que ce soit un mauvais projet mais quand on a pas d'argent, on a pas d'argent pour rien), est ce qu'il dit à la population le cout d'une telle réforme? ( Subventions aux maisons d'éditions pour pondre du matériel éducatif, libération d'enseignants pour former pour la réforme, comité gouvernemental pour approbation du matériel, des tonnes et des tonnes de documents envoyés partout dans les écoles,achat de nouveaux manuels dans chaque matière, renovations pour créer des laboratoires technologiques dans les écoles (argent donné pour les rénovations, mais aucun argent pour du personnel supplémentaire, à mon école les 2 concierges et moi même ont du écourter leurs vacances d'une semaine pour tout vider, nettoyer, trier, classer et vendre le matériel qui servaient plus parce qu'il l'aurait jeté naturellement si on ne s'en était pas occupé)) Il a pris l'argent où?
Est ce qu'il parle des couts juste en études pour l'implatation du CHUL ou de la fusion des services sociaux.... et rien n'est fait encore et des millions ont été dépensés et notre service de santé ne se porte pas mieux. Il a pris l'argent où?
Non il ne parle que de mon salaire et j'en ai vraiment assez qui me fasse porter l'odieux de sa mauvaise gestion, de ses cachotteries.
J'enrage aussi de voir une partie de la population nous reprocher nos soi disant conditions de travail et nos salaires en nous accusant de tout les maux.
Pourtant je les vois rarement s'élever contre le fait que les policiers mettent de l'essence super dans les voitures ce qui augmentent les dépenses ( au frais des contribuables aussi). Ils prennent l'argent ou pour payer????
J'ai vu peu de gens s'élever quand la société d'état ( qui est les taxes et les impôts des contribuables) on a donné 250,000 de salaire à Madame France Beaudoin ( je n'ai rien contre elle personnellement) pour animer une émission quotidienne. Personne ne boycotte l'émission. Ils prennent l'argent ou pour le salaire d'une seule personne????
Et pourtant on s'occupe de la santé, des soins et de l'éducation de vos enfants et de votre famille!!!!
En passant je suis en congé aujourd,hui parce que depuis deux ans on a coupé mon poste de 35 heures a 28 heures en ajoutant en plus des charges de travail et que mon patron (un chic type) trouve inadmissible que je laisse aller à chaque année plus de 50 heures de temps compensatoire.
Tu devrais retranscrire ton message dans l'autre topic ou certains bitch à qui mieux mieux les fonctionnaires!
Pas de grève dans les CPE la semaine prochaine
Mise à jour le vendredi 26 août 2005 à 14 h 57
Même si la menace d'une grève générale illimitée dans les Centres de la petite enfance n'est pas écartée, elle ne sera pas déclenchée la semaine prochaine.
Une soixantaine de délégués syndicaux de la CSN sont réunis à Québec, vendredi, afin d'élaborer un plan d'action qui sera rendu public mercredi prochain, après consultation de toutes les régions du Québec.
La centrale a accueilli favorablement l'intervention de l'Association des centres de la petite enfance. La présidente de l'organisation patronale, Hélène Poitvin, a affirmé qu'elle ne souhaitait pas l'option de la grève pour régler le litige entre les syndicats et le gouvernement dans le réseau des CPE.
L'association a adressé une lettre à la ministre de la Famille, Carole Théberge, et à la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, pour demander le retour à la table des négociations et la désignation d'un facilitateur.
Mme Potvin a reconnu par ailleurs que tous les dossiers en litige, y compris les montants à consacrer à l'équité salariale, avaient progressé de manière positive il y a quelques semaines, et a demandé des efforts à toutes les parties.
Même s'il se dit d'accord, le responsable du dossier à la CSN, Jeff Begley, refuse de retirer la menace de grève.
Négocier sous deux conditions
Mme Poitvin a admis cependant que les négociations ne pourront reprendre sereinement que si deux conditions sont réunies :
Le syndicat doit initialement lever sa menace de grève, une condition remplie.
Le gouvernement doit accepter de revoir son cadre et accepter de reconnaître que le réseau des CPE est privé.
La présidente de l'association a estimé que « intégrer le secteur des CPE dans la négociation du secteur public, comme ça semble être le cas actuellement, alors qu'il n'en fait pas partie et qu'il n'en possède ni la structure ni le mode de fonctionnement, rend plus difficile l'atteinte d'un règlement ».
C'est pourquoi Mme Poitvin a conclu que l'enjeu des négociations à venir dans le réseau des CPE consiste à éviter le piège et l'amalgame avec celles en cours dans le secteur public, car dit-elle: « nos employées ne sont pas celles de l'État ».
L'enjeu: l'équité salariale
L'écart qui séparait les deux parties au mois de juin est énorme. Le gouvernement offre une compensation de 6,5 % pour l'équité salariale, au coeur des négociations, alors que les syndiqués demandent plutôt 17 %.
Les parties ne s'entendent pas sur le comparatif masculin qui devrait être utilisé pour fixer la hausse de salaire requise pour atteindre l'équité.
La dernière correction salariale offerte par Québec faisait passer la rémunération maximale des éducatrices de 18,36 $ à 19,55 $, alors que la CSN exige 21,78 $. L'écart financier entre les parties représente environ 300 millions de dollars.
La date de mise en application du futur règlement constitue une autre pomme de discorde. La CSN réclame que les réajustements soient rétroactifs au 21 novembre 2001.
Si elle est déclenchée, la grève illimitée pourrait toucher près de 25 000 parents.
Mise à jour le vendredi 26 août 2005 à 14 h 57
Même si la menace d'une grève générale illimitée dans les Centres de la petite enfance n'est pas écartée, elle ne sera pas déclenchée la semaine prochaine.
Une soixantaine de délégués syndicaux de la CSN sont réunis à Québec, vendredi, afin d'élaborer un plan d'action qui sera rendu public mercredi prochain, après consultation de toutes les régions du Québec.
La centrale a accueilli favorablement l'intervention de l'Association des centres de la petite enfance. La présidente de l'organisation patronale, Hélène Poitvin, a affirmé qu'elle ne souhaitait pas l'option de la grève pour régler le litige entre les syndicats et le gouvernement dans le réseau des CPE.
L'association a adressé une lettre à la ministre de la Famille, Carole Théberge, et à la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, pour demander le retour à la table des négociations et la désignation d'un facilitateur.
Mme Potvin a reconnu par ailleurs que tous les dossiers en litige, y compris les montants à consacrer à l'équité salariale, avaient progressé de manière positive il y a quelques semaines, et a demandé des efforts à toutes les parties.
Même s'il se dit d'accord, le responsable du dossier à la CSN, Jeff Begley, refuse de retirer la menace de grève.
Négocier sous deux conditions
Mme Poitvin a admis cependant que les négociations ne pourront reprendre sereinement que si deux conditions sont réunies :
Le syndicat doit initialement lever sa menace de grève, une condition remplie.
Le gouvernement doit accepter de revoir son cadre et accepter de reconnaître que le réseau des CPE est privé.
La présidente de l'association a estimé que « intégrer le secteur des CPE dans la négociation du secteur public, comme ça semble être le cas actuellement, alors qu'il n'en fait pas partie et qu'il n'en possède ni la structure ni le mode de fonctionnement, rend plus difficile l'atteinte d'un règlement ».
C'est pourquoi Mme Poitvin a conclu que l'enjeu des négociations à venir dans le réseau des CPE consiste à éviter le piège et l'amalgame avec celles en cours dans le secteur public, car dit-elle: « nos employées ne sont pas celles de l'État ».
L'enjeu: l'équité salariale
L'écart qui séparait les deux parties au mois de juin est énorme. Le gouvernement offre une compensation de 6,5 % pour l'équité salariale, au coeur des négociations, alors que les syndiqués demandent plutôt 17 %.
Les parties ne s'entendent pas sur le comparatif masculin qui devrait être utilisé pour fixer la hausse de salaire requise pour atteindre l'équité.
La dernière correction salariale offerte par Québec faisait passer la rémunération maximale des éducatrices de 18,36 $ à 19,55 $, alors que la CSN exige 21,78 $. L'écart financier entre les parties représente environ 300 millions de dollars.
La date de mise en application du futur règlement constitue une autre pomme de discorde. La CSN réclame que les réajustements soient rétroactifs au 21 novembre 2001.
Si elle est déclenchée, la grève illimitée pourrait toucher près de 25 000 parents.
La rentrée scolaire sera une nouvelle fois perturbée ce lundi
Colette Cyr [AgenceNews]
À l’instar de leurs collègues qui ont manifesté la semaine dernière, les employés de soutien de onze collèges du Québec amorcent ce lundi une grève de 24 heures pour faire pression sur le gouvernement. Considérant que la semaine dernière étudiants et professeurs ont respecté les lignes de piquetage de leurs collègues, la rentrée des établissements visés aujourd’hui pourrait être perturbée.
Ainsi les collèges André-Laurendeau, Outaouais, Rivière-du-Loup, Rosemont, Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Jérôme, Vieux-Montréal, Saint-Laurent, Maisonneuve, de l'Abitibi et Marie-Victorin sont concernés par cette grève. Quelque 73 000 étudiants sont touchés par ces journées de débrayage annoncées par les syndicats.
Certains établissements du primaire et du secondaire seront aussi touchés par une demi-journée de grève ce lundi. Il s'agit des écoles des commissions scolaires Charlevoix, de l'Estuaire et Moyenne-Côte-Nord. Pour sa part la Commission scolaire de Montréal reporte sa rentrée d'une journée. La rentrée de ces étudiants s’effectuera donc mercredi au lieu de mardi.
Colette Cyr [AgenceNews]
À l’instar de leurs collègues qui ont manifesté la semaine dernière, les employés de soutien de onze collèges du Québec amorcent ce lundi une grève de 24 heures pour faire pression sur le gouvernement. Considérant que la semaine dernière étudiants et professeurs ont respecté les lignes de piquetage de leurs collègues, la rentrée des établissements visés aujourd’hui pourrait être perturbée.
Ainsi les collèges André-Laurendeau, Outaouais, Rivière-du-Loup, Rosemont, Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Jérôme, Vieux-Montréal, Saint-Laurent, Maisonneuve, de l'Abitibi et Marie-Victorin sont concernés par cette grève. Quelque 73 000 étudiants sont touchés par ces journées de débrayage annoncées par les syndicats.
Certains établissements du primaire et du secondaire seront aussi touchés par une demi-journée de grève ce lundi. Il s'agit des écoles des commissions scolaires Charlevoix, de l'Estuaire et Moyenne-Côte-Nord. Pour sa part la Commission scolaire de Montréal reporte sa rentrée d'une journée. La rentrée de ces étudiants s’effectuera donc mercredi au lieu de mardi.
Mise à jour: 29/08/2005 17h32
LCN
Éducation
Les moyens de pression ne cesseront pas
(D'après PC)- Dans le domaine de l'éducation, les employés de soutien de la CSN ne comptent pas du tout cesser leurs moyens de pression, voir changer leur stratégie pour ne pas perturber les services aux élèves.
C'est ce qu'affirme la présidente de la Fédération des employés des services publics de la CSN, Ginette Guérin, réagissant à l'appel lancé ce matin par les commissions scolaires, les parents et le ministre de l'Education Jean-Marc Fournier à l'occasion de la rentrée scolaire.
Selon Mme Guérin, les syndiqués n'ont tout simplement plus le choix puisqu'on ne les a pas écouté le printemps dernier alors que leurs moyens de pression étaient plus légers.
Enfin, Mme Guérin salue la décision des commissions scolaires qui ont choisi de repporter la rentrée scolaire en raison des débrayages, ce qui évite, selon elle, toute confusion à la rentrée.
LCN
Éducation
Les moyens de pression ne cesseront pas
(D'après PC)- Dans le domaine de l'éducation, les employés de soutien de la CSN ne comptent pas du tout cesser leurs moyens de pression, voir changer leur stratégie pour ne pas perturber les services aux élèves.
C'est ce qu'affirme la présidente de la Fédération des employés des services publics de la CSN, Ginette Guérin, réagissant à l'appel lancé ce matin par les commissions scolaires, les parents et le ministre de l'Education Jean-Marc Fournier à l'occasion de la rentrée scolaire.
Selon Mme Guérin, les syndiqués n'ont tout simplement plus le choix puisqu'on ne les a pas écouté le printemps dernier alors que leurs moyens de pression étaient plus légers.
Enfin, Mme Guérin salue la décision des commissions scolaires qui ont choisi de repporter la rentrée scolaire en raison des débrayages, ce qui évite, selon elle, toute confusion à la rentrée.
Voici la liste des Cegeps qui étaient touchés aujourd'hui. Alors c'est peut-être la raison pour laquelle le cegep Edouard Montpetit n'était pas touché
La rentrée perturbée dans 11 collèges
La rentrée scolaire est une nouvelle fois perturbée aujourd'hui.
Comme plusieurs de leurs collègues la semaine dernière, les employés de soutien de 11 collèges tiennent une grève de 24 heures pour faire pression sur le gouvernement Charest.
Les établissements risquent donc d'être fermés puisque la semaine dernière, étudiants et professeurs ont respecté les lignes de piquetage de leurs collègues.
Les collèges concernés par cette grève sont André-Laurendeau, Outaouais, Rivière-du-Loup, Rosemont, Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Jérôme, Vieux-Montréal, Saint-Laurent, Maisonneuve, de l'Abitibi et Marie-Victorin.
Au total, 73 000 étudiants sont touchés par ces journées de débrayage annoncées par les syndicats.
Par ailleurs, une demi-journée de grève doit aussi perturber la rentrée dans quelques établissements du primaire et du secondaire. Il s'agit des écoles des commissions scolaires Charlevoix, de l'Estuaire et Moyenne-Côte-Nord.
La Commission scolaire de Montréal a quant à elle décidé de reporter sa rentrée d'une journée. Les étudiants retourneront à l'école mercredi au lieu de mardi.
La rentrée perturbée dans 11 collèges
La rentrée scolaire est une nouvelle fois perturbée aujourd'hui.
Comme plusieurs de leurs collègues la semaine dernière, les employés de soutien de 11 collèges tiennent une grève de 24 heures pour faire pression sur le gouvernement Charest.
Les établissements risquent donc d'être fermés puisque la semaine dernière, étudiants et professeurs ont respecté les lignes de piquetage de leurs collègues.
Les collèges concernés par cette grève sont André-Laurendeau, Outaouais, Rivière-du-Loup, Rosemont, Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Jérôme, Vieux-Montréal, Saint-Laurent, Maisonneuve, de l'Abitibi et Marie-Victorin.
Au total, 73 000 étudiants sont touchés par ces journées de débrayage annoncées par les syndicats.
Par ailleurs, une demi-journée de grève doit aussi perturber la rentrée dans quelques établissements du primaire et du secondaire. Il s'agit des écoles des commissions scolaires Charlevoix, de l'Estuaire et Moyenne-Côte-Nord.
La Commission scolaire de Montréal a quant à elle décidé de reporter sa rentrée d'une journée. Les étudiants retourneront à l'école mercredi au lieu de mardi.
lélé a écritMise à jour: 29/08/2005 17h32
LCN
Éducation
Les moyens de pression ne cesseront pas
(D'après PC)- Dans le domaine de l'éducation, les employés de soutien de la CSN ne comptent pas du tout cesser leurs moyens de pression, voir changer leur stratégie pour ne pas perturber les services aux élèves.
C'est ce qu'affirme la présidente de la Fédération des employés des services publics de la CSN, Ginette Guérin, réagissant à l'appel lancé ce matin par les commissions scolaires, les parents et le ministre de l'Education Jean-Marc Fournier à l'occasion de la rentrée scolaire.
Selon Mme Guérin, les syndiqués n'ont tout simplement plus le choix puisqu'on ne les a pas écouté le printemps dernier alors que leurs moyens de pression étaient plus légers.
Enfin, Mme Guérin salue la décision des commissions scolaires qui ont choisi de repporter la rentrée scolaire en raison des débrayages, ce qui évite, selon elle, toute confusion à la rentrée.
Chez nous, la rentrée scolaire a lieu le 31 août. Les élèves seront en congé forcé le 1er sept et auront de l'école le lendemain.
LCN
Éducation
Les moyens de pression ne cesseront pas
(D'après PC)- Dans le domaine de l'éducation, les employés de soutien de la CSN ne comptent pas du tout cesser leurs moyens de pression, voir changer leur stratégie pour ne pas perturber les services aux élèves.
C'est ce qu'affirme la présidente de la Fédération des employés des services publics de la CSN, Ginette Guérin, réagissant à l'appel lancé ce matin par les commissions scolaires, les parents et le ministre de l'Education Jean-Marc Fournier à l'occasion de la rentrée scolaire.
Selon Mme Guérin, les syndiqués n'ont tout simplement plus le choix puisqu'on ne les a pas écouté le printemps dernier alors que leurs moyens de pression étaient plus légers.
Enfin, Mme Guérin salue la décision des commissions scolaires qui ont choisi de repporter la rentrée scolaire en raison des débrayages, ce qui évite, selon elle, toute confusion à la rentrée.
Chez nous, la rentrée scolaire a lieu le 31 août. Les élèves seront en congé forcé le 1er sept et auront de l'école le lendemain.
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L' allure du mois de septembre dans les écoles.
Pour le personnel de soutien, une autre demie-journée et une journée complète de grève sont prévues d'ici la fin septembre.
Pour l'instant, les enseignants eux se limitent à ne pas accomplir des tâches autres que tâches éducatives. Et si je me fie aux réactions des parents que j'ai rencontré hier pour la remise du demi costume, c'est cette partie qui chatouille le plus quand ton enfant va dans une école active.
En fait ma soirée d'hier était plutôt réconfortante. Plusieurs personnes sont venues s'informer en quoi consistait l'équité salariale, nos derniers contrats etc...
Peut-etre que si les médias cessaient de faire parler les gros méchants du gouvernement qui font pitié, qui ont pas d'argent et qui étirent dans le but de mettre la population en rogne et les gros méchants du syndicat qui déblatèrent sur tous les patrons en général et souvent se bornent sur des clauses dont tout le monde se fout simplement pour avoir raison au lieu de s'en tenir à l'essentiel des revendications ont finiraient par avancer.
Pour le personnel de soutien, une autre demie-journée et une journée complète de grève sont prévues d'ici la fin septembre.
Pour l'instant, les enseignants eux se limitent à ne pas accomplir des tâches autres que tâches éducatives. Et si je me fie aux réactions des parents que j'ai rencontré hier pour la remise du demi costume, c'est cette partie qui chatouille le plus quand ton enfant va dans une école active.
En fait ma soirée d'hier était plutôt réconfortante. Plusieurs personnes sont venues s'informer en quoi consistait l'équité salariale, nos derniers contrats etc...
Peut-etre que si les médias cessaient de faire parler les gros méchants du gouvernement qui font pitié, qui ont pas d'argent et qui étirent dans le but de mettre la population en rogne et les gros méchants du syndicat qui déblatèrent sur tous les patrons en général et souvent se bornent sur des clauses dont tout le monde se fout simplement pour avoir raison au lieu de s'en tenir à l'essentiel des revendications ont finiraient par avancer.
lucide a écritL' allure du mois de septembre dans les écoles.
Pour le personnel de soutien, une autre demie-journée et une journée complète de grève sont prévues d'ici la fin septembre.
Pour l'instant, les enseignants eux se limitent à ne pas accomplir des tâches autres que tâches éducatives. Et si je me fie aux réactions des parents que j'ai rencontré hier pour la remise du demi costume, c'est cette partie qui chatouille le plus quand ton enfant va dans une école active.
En fait ma soirée d'hier était plutôt réconfortante. Plusieurs personnes sont venues s'informer en quoi consistait l'équité salariale, nos derniers contrats etc...
Peut-etre que si les médias cessaient de faire parler les gros méchants du gouvernement qui font pitié, qui ont pas d'argent et qui étirent dans le but de mettre la population en rogne et les gros méchants du syndicat qui déblatèrent sur tous les patrons en général et souvent se bornent sur des clauses dont tout le monde se fout simplement pour avoir raison au lieu de s'en tenir à l'essentiel des revendications ont finiraient par avancer.
J'avoue, on dirait que les médias essaient de rendre ça plus grave que c'est. Voyons, au lieu de s'épauler et de se soutenir on déblatère et on chiale.
Ça fera pas mourir personne, une journée pas d'école ou bien des activités parascolaires paralysées
À l'école de mon fils, à chaque rentrée, ils font une grosse journée plein air, où on présente les profs et où il y a des activités d'organisées ( pique-nique, jeux ect). Mais à cause des moyens de pression, les professeurs ont refusés de faire cette journée spéciale. Je jasais avec des parents la semaine dernière quand il y a eu rencontre pour expliquer les différents moyens de pression, et il y avait la moitié qui braillait: Ben là, c'est pas correct, pas de journée d'activité. Ils prennent nos enfants en otage blablabla! Ben voyons donc! Faut tu être une société gâtée pourrie pour chialer parce que nos enfants auront pas de pique-nique à la rentrée.
Que les conditions de travail de ceux qui s'occupent de nos enfants soit les pires en amérique, ça on s'en fout, mais qu'il n'y ait pas de pique-nique par exemple, wo! On rie pu là!
Moi, je soutien les professeurs et tout les employés de soutien dans leurs moyens de pression. Leur lutte est aussi celle des parents et si on s'épaulait au lieu de se tirer dans le dos, le gouvernement n'aurait pas le choix de revenir sur-terre.
Pour le personnel de soutien, une autre demie-journée et une journée complète de grève sont prévues d'ici la fin septembre.
Pour l'instant, les enseignants eux se limitent à ne pas accomplir des tâches autres que tâches éducatives. Et si je me fie aux réactions des parents que j'ai rencontré hier pour la remise du demi costume, c'est cette partie qui chatouille le plus quand ton enfant va dans une école active.
En fait ma soirée d'hier était plutôt réconfortante. Plusieurs personnes sont venues s'informer en quoi consistait l'équité salariale, nos derniers contrats etc...
Peut-etre que si les médias cessaient de faire parler les gros méchants du gouvernement qui font pitié, qui ont pas d'argent et qui étirent dans le but de mettre la population en rogne et les gros méchants du syndicat qui déblatèrent sur tous les patrons en général et souvent se bornent sur des clauses dont tout le monde se fout simplement pour avoir raison au lieu de s'en tenir à l'essentiel des revendications ont finiraient par avancer.
J'avoue, on dirait que les médias essaient de rendre ça plus grave que c'est. Voyons, au lieu de s'épauler et de se soutenir on déblatère et on chiale.
Ça fera pas mourir personne, une journée pas d'école ou bien des activités parascolaires paralysées
À l'école de mon fils, à chaque rentrée, ils font une grosse journée plein air, où on présente les profs et où il y a des activités d'organisées ( pique-nique, jeux ect). Mais à cause des moyens de pression, les professeurs ont refusés de faire cette journée spéciale. Je jasais avec des parents la semaine dernière quand il y a eu rencontre pour expliquer les différents moyens de pression, et il y avait la moitié qui braillait: Ben là, c'est pas correct, pas de journée d'activité. Ils prennent nos enfants en otage blablabla! Ben voyons donc! Faut tu être une société gâtée pourrie pour chialer parce que nos enfants auront pas de pique-nique à la rentrée.
Que les conditions de travail de ceux qui s'occupent de nos enfants soit les pires en amérique, ça on s'en fout, mais qu'il n'y ait pas de pique-nique par exemple, wo! On rie pu là!
Moi, je soutien les professeurs et tout les employés de soutien dans leurs moyens de pression. Leur lutte est aussi celle des parents et si on s'épaulait au lieu de se tirer dans le dos, le gouvernement n'aurait pas le choix de revenir sur-terre.
Moi, ce qui m'écoeure au plus haut point c'est pourquoi pénaliser les enfants? Je sais qu'un des moyens de pression qui sera utilisé est de ne plus faire d'activités, genre aller aux pommes.
Pouvez-vous bien me dire qui est puni là-dedans, le gouvernement ou les enfants?
Et qu'est-ce qu'on dit aux enfants?
Ou encore, un enfant qui entre à la maternelle est très impatient, il a hâte, la date est encerclée sur le calendrier, tu lui expliques comment que finalement la rentrée sera retardée?
Pouvez-vous bien me dire qui est puni là-dedans, le gouvernement ou les enfants?
Et qu'est-ce qu'on dit aux enfants?
Ou encore, un enfant qui entre à la maternelle est très impatient, il a hâte, la date est encerclée sur le calendrier, tu lui expliques comment que finalement la rentrée sera retardée?