Élections fédérales 2006
NetRoll a écritMoi ce que je déduis de tout celà, c'est que les sondages sont néfastes pour la démocratie. Les gens ne votent plus pour leurs convictions, mais soit selon la tendance, soit pour "le moins pire qui a des chances"...
Je crois qu'il devrait y avoir une loi empêchant la parution de sondages sur les élections pendant la campagne.
entierement d'accord avec toi il y a trop de suiveux
Je crois qu'il devrait y avoir une loi empêchant la parution de sondages sur les élections pendant la campagne.
entierement d'accord avec toi il y a trop de suiveux
vivre et laisser vivre
Le mercredi 18 janvier 2006
Agrandir l'image
Photo PC
BAISSE DES APPUIS AU BLOC
Duceppe met un bémol au sondage
Lia Lévesque
Presse Canadienne
Montréal
Un sondage CROP a beau donner 39 % au Bloc québécois, son résultat le plus bas depuis le début de la campagne électorale, son chef Gilles Duceppe souligne que les autres sondages récents lui ont accordé davantage.
«Il n'y a qu'un sondage, alors qu'il y en a quatre ou cinq autres qui sont tous en haut de 44 %», a-t-il répliqué aux journalistes qui l'interrogeaient au sujet de ce sondage CROP-La Presse-CKAC-Info 690-98,5, qui paraît mercredi matin.
Plus tôt cette semaine, un sondage Decima donnait au Bloc 45 %, par exemple. D'autres sondages ont déjà accordé au Bloc 50, voire 52 %, en début de campagne.
M. Duceppe a aussi nié qu'un tel sondage ait un effet démobilisateur pour ses militants et bénévoles, à quelques jours du scrutin du 23 janvier.
Au contraire, a-t-il soutenu, «quand les militants se disent «ça va être serré», c'est d'autant plus le temps de travailler plus fort et ça mobilise plus».
Au scrutin de juin 2004, le Bloc avait recueilli 48,9 % du suffrage exprimé, ce qui lui avait accordé 54 des 75 sièges du Québec à la Chambre des communes.
M. Duceppe affirme que dans la présente campagne, il a toujours dit qu'il voulait «améliorer la performance du Bloc», c'est-à-dire récolter plus que 54 sièges et 48,9 % du suffrage exprimé. «L'objectif, c'est de faire mieux que la dernière fois», a-t-il répété mercredi.
Il a toutefois admis que la possibilité de récolter plus de 50 % serait un seuil empreint de symbole, pour un parti souverainiste, et que cela le rendrait «heureux», comme tout autre chef de parti.
Le plus récent sondage interne du Bloc lui accorde 47 %. Il donne aussi 22 % au Parti conservateur, 20 % au Parti libéral, 8 % au NPD et 2 % au Parti vert.
Un vrai garde-fou
Par ailleurs, M. Duceppe s'est dit étonné des propos du chef conservateur Stephen Harper, qui a tenté de rassurer les Québécois qui ont peur de lui en leur disant que même si les conservateurs étaient majoritaires à la Chambre des communes, le Sénat, les tribunaux et la haute fonction publique leur feraient contrepoids et qu'ils n'auraient donc pas de pouvoir absolu.
«Je n'ai jamais entendu (avant M. Harper) un chef nous dire «n'ayez pas peur, parce qu'il y a des gens qui peuvent nous stopper» «, s'est exclamé M. Duceppe.
«Moi, je vous dis que les meilleurs garde-fous pour les Québécois, ce sont des députés élus à la Chambre des communes, non pas des sénateurs nommés par le parti au pouvoir, ni des juges nommés par le premier ministre et encore moins des fonctionnaires qui n'ont pas à intervenir politiquement, normalement.»
Jeunes
M. Duceppe a participé, mercredi, à une émission sur l'élection fédérale à la chaîne MusiquePlus. Il y a été question d'environnement, de mondialisation, d'éthique, d'éducation post-secondaire, d'aide internationale, de mariage entre conjoints de même sexe et de violence.
L'émission sera diffusée samedi et comprendra des segments avec les quatre chefs, a expliqué M. Robert Beaulieu, de MusiquePlus. La chaîne de télévision souhaite inciter les jeunes à exercer leur droit de vote, le 23 janvier. «On a une campagne en ondes sur le thème «le lundi 23, pète pas ta coche, coche' «, a expliqué M. Beaulieu.
Agrandir l'image
Photo PC
BAISSE DES APPUIS AU BLOC
Duceppe met un bémol au sondage
Lia Lévesque
Presse Canadienne
Montréal
Un sondage CROP a beau donner 39 % au Bloc québécois, son résultat le plus bas depuis le début de la campagne électorale, son chef Gilles Duceppe souligne que les autres sondages récents lui ont accordé davantage.
«Il n'y a qu'un sondage, alors qu'il y en a quatre ou cinq autres qui sont tous en haut de 44 %», a-t-il répliqué aux journalistes qui l'interrogeaient au sujet de ce sondage CROP-La Presse-CKAC-Info 690-98,5, qui paraît mercredi matin.
Plus tôt cette semaine, un sondage Decima donnait au Bloc 45 %, par exemple. D'autres sondages ont déjà accordé au Bloc 50, voire 52 %, en début de campagne.
M. Duceppe a aussi nié qu'un tel sondage ait un effet démobilisateur pour ses militants et bénévoles, à quelques jours du scrutin du 23 janvier.
Au contraire, a-t-il soutenu, «quand les militants se disent «ça va être serré», c'est d'autant plus le temps de travailler plus fort et ça mobilise plus».
Au scrutin de juin 2004, le Bloc avait recueilli 48,9 % du suffrage exprimé, ce qui lui avait accordé 54 des 75 sièges du Québec à la Chambre des communes.
M. Duceppe affirme que dans la présente campagne, il a toujours dit qu'il voulait «améliorer la performance du Bloc», c'est-à-dire récolter plus que 54 sièges et 48,9 % du suffrage exprimé. «L'objectif, c'est de faire mieux que la dernière fois», a-t-il répété mercredi.
Il a toutefois admis que la possibilité de récolter plus de 50 % serait un seuil empreint de symbole, pour un parti souverainiste, et que cela le rendrait «heureux», comme tout autre chef de parti.
Le plus récent sondage interne du Bloc lui accorde 47 %. Il donne aussi 22 % au Parti conservateur, 20 % au Parti libéral, 8 % au NPD et 2 % au Parti vert.
Un vrai garde-fou
Par ailleurs, M. Duceppe s'est dit étonné des propos du chef conservateur Stephen Harper, qui a tenté de rassurer les Québécois qui ont peur de lui en leur disant que même si les conservateurs étaient majoritaires à la Chambre des communes, le Sénat, les tribunaux et la haute fonction publique leur feraient contrepoids et qu'ils n'auraient donc pas de pouvoir absolu.
«Je n'ai jamais entendu (avant M. Harper) un chef nous dire «n'ayez pas peur, parce qu'il y a des gens qui peuvent nous stopper» «, s'est exclamé M. Duceppe.
«Moi, je vous dis que les meilleurs garde-fous pour les Québécois, ce sont des députés élus à la Chambre des communes, non pas des sénateurs nommés par le parti au pouvoir, ni des juges nommés par le premier ministre et encore moins des fonctionnaires qui n'ont pas à intervenir politiquement, normalement.»
Jeunes
M. Duceppe a participé, mercredi, à une émission sur l'élection fédérale à la chaîne MusiquePlus. Il y a été question d'environnement, de mondialisation, d'éthique, d'éducation post-secondaire, d'aide internationale, de mariage entre conjoints de même sexe et de violence.
L'émission sera diffusée samedi et comprendra des segments avec les quatre chefs, a expliqué M. Robert Beaulieu, de MusiquePlus. La chaîne de télévision souhaite inciter les jeunes à exercer leur droit de vote, le 23 janvier. «On a une campagne en ondes sur le thème «le lundi 23, pète pas ta coche, coche' «, a expliqué M. Beaulieu.
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
L'allié circonstanciel de Paul Martin éclipse le chef libéral - Harper est un séparatiste, dit Buzz Hargrove
Le syndicaliste invite les Québécois à voter pour le Bloc québécois afin de barrer la route aux conservateurs
Hélène Buzzetti
Édition du jeudi 19 janvier 2006
London, Ont. -- Les appels au vote stratégique prennent des allures de plus en plus insolites dans cette campagne électorale. Paul Martin en est rendu à courtiser le vote vert tandis que Buzz Hargrove, le syndicaliste néo-démocrate converti au Parti libéral, considère désormais Stephen Harper comme un «séparatiste» que les Québécois doivent arrêter à tout prix, quitte à voter... pour le parti séparatiste de Gilles Duceppe.
Paul Martin a eu la désagréable surprise d’entendre son allié circonstanciel, Buzz Hargrove, traiter le chef conservateur de séparatiste et inviter les Québécois à voter pour le Bloc québécois.
Le puissant syndicaliste ontarien a totalement éclipsé le chef libéral Paul Martin, aux côtés de qui il faisait pourtant campagne hier dans la petite ville de Strathroy, dans le Sud-Ouest ontarien. M. Hargrove était venu livrer son message, assassin pour le NPD, dont il se réclame toujours : les électeurs doivent localement appuyer le parti en mesure de défaire le candidat conservateur. Dans sa région de Mississauga, ce sera un libéral. Et au Québec, ce sera le plus souvent un bloquiste.
«Je crois que la dévolution de pouvoirs aux provinces, pas seulement au Québec, relâchera les liens qui font de nous une nation, et quiconque fait la promotion de cela adopte le discours des séparatistes», a déclaré aux journalistes M. Hargrove, en multipliant les déclarations étonnantes sur Stephen Harper. «Ce sont les conditions gagnantes que les séparatistes du Québec attendent.» Selon lui, les Québécois «vont d'un séparatiste à l'autre aux élections. C'est ce qu'ils font en ce moment. Ils voient en lui [Stephen Harper] un séparatiste.»
Interrogé pour savoir s'il fallait voter pour le Bloc québécois au Québec, M. Hargrove s'est borné à dire que les Québécois devraient «suivre leur conscience». «Je les implore de voter de n'importe quelle façon possible [pour arrêter les conservateurs].»
La réaction de Paul Martin ne s'est pas fait attendre. Il a déclaré qu'il ne partageait «pas du tout» cette lecture de la situation. «J'ai de profondes divisions avec M. Harper, mais je n'ai jamais mis en doute son patriotisme. M. Hargrove a corrigé le tir.» En effet, quelques minutes plus tard, voyant le tumulte qu'il venait de déclencher, M. Hargrove a diffusé un communiqué dans lequel il assure que M. Harper «est un fédéraliste», mais qu'il «joue le jeu des séparatistes» avec son plan de décentralisation.
Le premier intéressé a demandé à son rival libéral de rappeler à l'ordre Buzz Hargrove. «Je ne pense pas qu'aucun fédéraliste ne devrait demander aux gens de voter pour des séparatistes. M. Martin devrait se distancier de M. Hargrove parce que ce genre de commentaires est mauvais pour le pays», a déclaré Stephen Harper. Ainsi, le message de M. Martin s'est retrouvé une fois de plus obscurci par une gaffe, cette fois commise par un supposé allié.
Le chef libéral a lui aussi étonné en appelant les électeurs tentés par le Parti vert à se rallier à lui. «Le vote progressiste que nous représentons est divisé entre nous, le NPD, les [anciens] progressistes-conservateurs, le Parti vert. Si nous voulons arrêter Stephen Harper, nous devons nous rallier. Nous ne pouvons pas être divisés», a-t-il lancé dans le comté de Kitchener-Conestoga. En 2004, Lynn Myers avait emporté ce comté par moins de 3000 voix. Le Parti vert y avait récolté 6,7 % des votes. Il a réutilisé cet appel devant les militants de Halton, où les verts avaient obtenu environ 5 %.
Harper et le Québec
M. Martin a reconnu pour la première fois l'intérêt que suscite Stephen Harper au Québec et a mis en garde les Québécois contre cet engouement. «Un certain nombre de Québécois veulent voter pour Stephen Harper. Quand ils prendront le crayon pour marquer leur bulletin de vote, ils doivent se rappeler exactement ce pour quoi ils votent», a dit M. Martin, en rappelant l'appui de Stephen Harper à la guerre en Irak, au bouclier antimissile américain ou encore sa promesse d'abolir le futur programme national de garderies. Il a même soutenu que M. Harper voulait remettre l'avortement à l'ordre du jour. «Il n'y a absolument rien que le Bloc peut faire pour l'empêcher. Rien.»
Ainsi, M. Martin a complètement mis de côté sa rhétorique référendaire du début de la campagne, par laquelle il invitait tous les fédéralistes du Québec à se rallier derrière lui, alors en deuxième place, pour battre le Bloc québécois. Le Parti conservateur a remplacé le PLC au second rang au Québec. Le dernier coup de sonde de la maison CROP réalisé pour le compte de La Presse place le Bloc québécois à 39 %, les conservateurs à 25 % et les libéraux à 20 % seulement.
Signe des difficultés de la campagne libérale, M. Martin a utilisé sa journée d'hier pour sillonner la périphérie torontoise, en particulier quatre circonscrïptions où les libéraux l'avaient emporté aux dernières élections par de courtes majorités. M. Martin a choisi de consolider ses appuis alors que son rival conservateur s'est aventuré en territoire auparavant hostile, les centres-villes torontois et montréalais. Les seuls encouragements seront venus du Toronto Star, qui a donné son appui en éditorial à Paul Martin, et du premier ministre ontarien Dalton McGuinty, qui a fait de même.
M. Martin a répété que seul lui ou son rival Stephen Harper avaient de réelles chances de devenir premier ministre et qu'il fallait donc choisir entre ces deux options. Puis, curieusement, il s'en est pris au chef néo-démocrate, Jack Layton, qui a dit pouvoir s'accommoder d'un gouvernement conservateur. M. Martin a donné l'impression qu'il se battait pour la seconde place. Il a même parlé, lors d'une visite éclair du conseil municipal de London, du «gouvernement Harper».
Le syndicaliste invite les Québécois à voter pour le Bloc québécois afin de barrer la route aux conservateurs
Hélène Buzzetti
Édition du jeudi 19 janvier 2006
London, Ont. -- Les appels au vote stratégique prennent des allures de plus en plus insolites dans cette campagne électorale. Paul Martin en est rendu à courtiser le vote vert tandis que Buzz Hargrove, le syndicaliste néo-démocrate converti au Parti libéral, considère désormais Stephen Harper comme un «séparatiste» que les Québécois doivent arrêter à tout prix, quitte à voter... pour le parti séparatiste de Gilles Duceppe.
Paul Martin a eu la désagréable surprise d’entendre son allié circonstanciel, Buzz Hargrove, traiter le chef conservateur de séparatiste et inviter les Québécois à voter pour le Bloc québécois.
Le puissant syndicaliste ontarien a totalement éclipsé le chef libéral Paul Martin, aux côtés de qui il faisait pourtant campagne hier dans la petite ville de Strathroy, dans le Sud-Ouest ontarien. M. Hargrove était venu livrer son message, assassin pour le NPD, dont il se réclame toujours : les électeurs doivent localement appuyer le parti en mesure de défaire le candidat conservateur. Dans sa région de Mississauga, ce sera un libéral. Et au Québec, ce sera le plus souvent un bloquiste.
«Je crois que la dévolution de pouvoirs aux provinces, pas seulement au Québec, relâchera les liens qui font de nous une nation, et quiconque fait la promotion de cela adopte le discours des séparatistes», a déclaré aux journalistes M. Hargrove, en multipliant les déclarations étonnantes sur Stephen Harper. «Ce sont les conditions gagnantes que les séparatistes du Québec attendent.» Selon lui, les Québécois «vont d'un séparatiste à l'autre aux élections. C'est ce qu'ils font en ce moment. Ils voient en lui [Stephen Harper] un séparatiste.»
Interrogé pour savoir s'il fallait voter pour le Bloc québécois au Québec, M. Hargrove s'est borné à dire que les Québécois devraient «suivre leur conscience». «Je les implore de voter de n'importe quelle façon possible [pour arrêter les conservateurs].»
La réaction de Paul Martin ne s'est pas fait attendre. Il a déclaré qu'il ne partageait «pas du tout» cette lecture de la situation. «J'ai de profondes divisions avec M. Harper, mais je n'ai jamais mis en doute son patriotisme. M. Hargrove a corrigé le tir.» En effet, quelques minutes plus tard, voyant le tumulte qu'il venait de déclencher, M. Hargrove a diffusé un communiqué dans lequel il assure que M. Harper «est un fédéraliste», mais qu'il «joue le jeu des séparatistes» avec son plan de décentralisation.
Le premier intéressé a demandé à son rival libéral de rappeler à l'ordre Buzz Hargrove. «Je ne pense pas qu'aucun fédéraliste ne devrait demander aux gens de voter pour des séparatistes. M. Martin devrait se distancier de M. Hargrove parce que ce genre de commentaires est mauvais pour le pays», a déclaré Stephen Harper. Ainsi, le message de M. Martin s'est retrouvé une fois de plus obscurci par une gaffe, cette fois commise par un supposé allié.
Le chef libéral a lui aussi étonné en appelant les électeurs tentés par le Parti vert à se rallier à lui. «Le vote progressiste que nous représentons est divisé entre nous, le NPD, les [anciens] progressistes-conservateurs, le Parti vert. Si nous voulons arrêter Stephen Harper, nous devons nous rallier. Nous ne pouvons pas être divisés», a-t-il lancé dans le comté de Kitchener-Conestoga. En 2004, Lynn Myers avait emporté ce comté par moins de 3000 voix. Le Parti vert y avait récolté 6,7 % des votes. Il a réutilisé cet appel devant les militants de Halton, où les verts avaient obtenu environ 5 %.
Harper et le Québec
M. Martin a reconnu pour la première fois l'intérêt que suscite Stephen Harper au Québec et a mis en garde les Québécois contre cet engouement. «Un certain nombre de Québécois veulent voter pour Stephen Harper. Quand ils prendront le crayon pour marquer leur bulletin de vote, ils doivent se rappeler exactement ce pour quoi ils votent», a dit M. Martin, en rappelant l'appui de Stephen Harper à la guerre en Irak, au bouclier antimissile américain ou encore sa promesse d'abolir le futur programme national de garderies. Il a même soutenu que M. Harper voulait remettre l'avortement à l'ordre du jour. «Il n'y a absolument rien que le Bloc peut faire pour l'empêcher. Rien.»
Ainsi, M. Martin a complètement mis de côté sa rhétorique référendaire du début de la campagne, par laquelle il invitait tous les fédéralistes du Québec à se rallier derrière lui, alors en deuxième place, pour battre le Bloc québécois. Le Parti conservateur a remplacé le PLC au second rang au Québec. Le dernier coup de sonde de la maison CROP réalisé pour le compte de La Presse place le Bloc québécois à 39 %, les conservateurs à 25 % et les libéraux à 20 % seulement.
Signe des difficultés de la campagne libérale, M. Martin a utilisé sa journée d'hier pour sillonner la périphérie torontoise, en particulier quatre circonscrïptions où les libéraux l'avaient emporté aux dernières élections par de courtes majorités. M. Martin a choisi de consolider ses appuis alors que son rival conservateur s'est aventuré en territoire auparavant hostile, les centres-villes torontois et montréalais. Les seuls encouragements seront venus du Toronto Star, qui a donné son appui en éditorial à Paul Martin, et du premier ministre ontarien Dalton McGuinty, qui a fait de même.
M. Martin a répété que seul lui ou son rival Stephen Harper avaient de réelles chances de devenir premier ministre et qu'il fallait donc choisir entre ces deux options. Puis, curieusement, il s'en est pris au chef néo-démocrate, Jack Layton, qui a dit pouvoir s'accommoder d'un gouvernement conservateur. M. Martin a donné l'impression qu'il se battait pour la seconde place. Il a même parlé, lors d'une visite éclair du conseil municipal de London, du «gouvernement Harper».
des hommes daffaires du comté jonquiiere alma veulent bloquer le bloc et et disent aux souverainsite de voté conservateur car ils veulent blackburn car selon eux il a des chances detre ministre et il ferait de quoi pour le comté qui est dans une certaine morosité
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Earendil a écritdes hommes daffaires du comté jonquiiere alma veulent bloquer le bloc et et disent aux souverainsite de voté conservateur car ils veulent blackburn car selon eux il a des chances detre ministre et il ferait de quoi pour le comté qui est dans une certaine morosité
Tu pourrais dire aux hommes d'affaires de Jonquière que j'ai un premier ministre dans mon comté et je ne vois pas la différence... Ça fait déjà deux ans que nous attendons la manne et rien ne se passe de plus qu'ailleurs. Tu leur diras aussi que l'estrie n'a jamais été aussi représenté au conseil de ministres et que nous en sommes toujours à attendre les bienfaits d'un ministrable... Charest, Gagnon-Tremblay, Reid, Couillard (un ancien directeur de CHUS), Vallière, etc...
--Message edité par Beppo le 2006-01-19 14:33:31--
Tu pourrais dire aux hommes d'affaires de Jonquière que j'ai un premier ministre dans mon comté et je ne vois pas la différence... Ça fait déjà deux ans que nous attendons la manne et rien ne se passe de plus qu'ailleurs. Tu leur diras aussi que l'estrie n'a jamais été aussi représenté au conseil de ministres et que nous en sommes toujours à attendre les bienfaits d'un ministrable... Charest, Gagnon-Tremblay, Reid, Couillard (un ancien directeur de CHUS), Vallière, etc...
--Message edité par Beppo le 2006-01-19 14:33:31--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Earendil a écritdes hommes daffaires du comté jonquiiere alma veulent bloquer le bloc et et disent aux souverainsite de voté conservateur car ils veulent blackburn car selon eux il a des chances detre ministre et il ferait de quoi pour le comté qui est dans une certaine morosité
Blackburn passera pas..et même si il passait il ne sera jamais ministre... Harper s'en c**** de lui, lors de sa visite a Jonquière il ne l'a même pas rencontré
Blackburn passera pas..et même si il passait il ne sera jamais ministre... Harper s'en c**** de lui, lors de sa visite a Jonquière il ne l'a même pas rencontré

C'est bobépine ou bépine SVP

selon rdi les conservateurs pensent déjà a des candidats comme ministres et l'ouest serait beaucoup representé surtout l'alberta
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
le candidat pour le parti libéral dans jonquiere-alma avoue quil battera pas le candidat conservateur le 23 janvier car maintnsnt meme son propre conseiller laquitté pour aller rejoindre le candidat conservateur
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
J'ai assisté à un débat ce midi avec les 5 candidats à Rimouski. Ca fessait pitié un peu
Le gars du parti vert était vraiment arrogant, la bloquiste a vraiment mauvais caractère, le gars du NPD et le Conservateur ne se sont pas lâchés du débat, et le libéral ne disait rien. Je suis vraiment sorti grandi de ce débat --Message edité par Raven le 2006-01-19 20:02:57--
Le gars du parti vert était vraiment arrogant, la bloquiste a vraiment mauvais caractère, le gars du NPD et le Conservateur ne se sont pas lâchés du débat, et le libéral ne disait rien. Je suis vraiment sorti grandi de ce débat --Message edité par Raven le 2006-01-19 20:02:57--
- fleurtropicale
- Magicien des Mots
- Messages : 2267
- Inscription : mar. nov. 04, 2003 1:00 am
fleurtropicale a écritGilles Savard ( Jonquière - alma ) candidat libéral, incite les gens à voter conservateur..
Je ne comprend pu rien de rien à cette campagne
Et son organisateur de campagne qui s'en va travailler pour Blackburn
Moi ce que je ne comprend pas, c'est que parmi les hommes d'affaires qui appui Blackburn, ce sont tous en majorité des souverainistes Coudon ils se souviennent pas que lorsque André Harvey et Jean-Pierre Blackburn était député dans le gouvernement Mulroney, y ont rien foutu pour la région
Je ne comprend pu rien de rien à cette campagne
Et son organisateur de campagne qui s'en va travailler pour Blackburn
Moi ce que je ne comprend pas, c'est que parmi les hommes d'affaires qui appui Blackburn, ce sont tous en majorité des souverainistes Coudon ils se souviennent pas que lorsque André Harvey et Jean-Pierre Blackburn était député dans le gouvernement Mulroney, y ont rien foutu pour la région

C'est bobépine ou bépine SVP

- fleurtropicale
- Magicien des Mots
- Messages : 2267
- Inscription : mar. nov. 04, 2003 1:00 am
bobépine a écrit
Et son organisateur de campagne qui s'en va travailler pour Blackburn
Moi ce que je ne comprend pas, c'est que parmi les hommes d'affaires qui appui Blackburn, ce sont tous en majorité des souverainistes Coudon ils se souviennent pas que lorsque André Harvey et Jean-Pierre Blackburn était député dans le gouvernement Mulroney, y ont rien foutu pour la région
Pfff ça s'peut-tu ..Plus ça change, plus c'est pareil
Pas gâtés-gâtés les bleuets.
Et son organisateur de campagne qui s'en va travailler pour Blackburn
Moi ce que je ne comprend pas, c'est que parmi les hommes d'affaires qui appui Blackburn, ce sont tous en majorité des souverainistes Coudon ils se souviennent pas que lorsque André Harvey et Jean-Pierre Blackburn était député dans le gouvernement Mulroney, y ont rien foutu pour la région
Pfff ça s'peut-tu ..Plus ça change, plus c'est pareil
Pas gâtés-gâtés les bleuets.
fleurtropicale a écrit
Pfff ça s'peut-tu ..Plus ça change, plus c'est pareil
Pas gâtés-gâtés les bleuets.
Pas toujours
La mémoire est une faculté qui oublie...sinon ils se rappelleraient que dans l'ère Mulroney...le Sag-Lac avait un taux de chomage aussi sinon plus élevé que présentement
Et Mulroney lui était québecois la c'est Mini-Bush qui est chef
Pfff ça s'peut-tu ..Plus ça change, plus c'est pareil
Pas gâtés-gâtés les bleuets.
Pas toujours
La mémoire est une faculté qui oublie...sinon ils se rappelleraient que dans l'ère Mulroney...le Sag-Lac avait un taux de chomage aussi sinon plus élevé que présentement
Et Mulroney lui était québecois la c'est Mini-Bush qui est chef

C'est bobépine ou bépine SVP

- fleurtropicale
- Magicien des Mots
- Messages : 2267
- Inscription : mar. nov. 04, 2003 1:00 am
Je suis trèssss néophyte pour la politique. Pourtant, j'ai beau lire et relire et encore lire, en parler , faire des recherches..Niet ça ne me rentre pas dans la tête.
Je suis toujours mélangée entre le bloc..le parti québécois. Le fédéral..le libéral.
Quand j'ai comprit et qu'enfin je réussi à tout démêler, c'est pas long avant que je redevienne de plus en plus mêlée et que j'oublie tout.
Exemple...Là on parle qu'il ne faudrait pas que le bloc entre majoritairement. Ben pourquoi alors avoir déclanché des élections si c'est pour ré-élire le libéral? Ou si c'est pour se retrouver avec un parti-clône-busch?
Par chance que je n'ai jamais oublié que je suis souverainiste et j'ai du sang bleu qui me coule dans les veines .
Je n'oublie pas non plus ce qui se passe dans ma région..Ouf par chance
Sté je comprend vite-vite, mais me faut des tits-dessins
Quelqu'un peut m'aider?
Je suis toujours mélangée entre le bloc..le parti québécois. Le fédéral..le libéral.
Quand j'ai comprit et qu'enfin je réussi à tout démêler, c'est pas long avant que je redevienne de plus en plus mêlée et que j'oublie tout.
Exemple...Là on parle qu'il ne faudrait pas que le bloc entre majoritairement. Ben pourquoi alors avoir déclanché des élections si c'est pour ré-élire le libéral? Ou si c'est pour se retrouver avec un parti-clône-busch?
Par chance que je n'ai jamais oublié que je suis souverainiste et j'ai du sang bleu qui me coule dans les veines .
Je n'oublie pas non plus ce qui se passe dans ma région..Ouf par chance
Sté je comprend vite-vite, mais me faut des tits-dessins
Quelqu'un peut m'aider?
fleurtropicale a écritJe suis trèssss néophyte pour la politique. Pourtant, j'ai beau lire et relire et encore lire, en parler , faire des recherches..Niet ça ne me rentre pas dans la tête.
Je suis toujours mélangée entre le bloc..le parti québécois. Le fédéral..le libéral.
Quand j'ai comprit et qu'enfin je réussi à tout démêler, c'est pas long avant que je redevienne de plus en plus mêlée et que j'oublie tout.
Exemple...Là on parle qu'il ne faudrait pas que le bloc entre majoritairement. Ben pourquoi alors avoir déclanché des élections si c'est pour ré-élire le libéral? Ou si c'est pour se retrouver avec un parti-clône-busch?
Par chance que je n'ai jamais oublié que je suis souverainiste et j'ai du sang bleu qui me coule dans les veines .
Je n'oublie pas non plus ce qui se passe dans ma région..Ouf par chance
Sté je comprend vite-vite, mais me faut des tits-dessins
Quelqu'un peut m'aider?
Raven
Je suis toujours mélangée entre le bloc..le parti québécois. Le fédéral..le libéral.
Quand j'ai comprit et qu'enfin je réussi à tout démêler, c'est pas long avant que je redevienne de plus en plus mêlée et que j'oublie tout.
Exemple...Là on parle qu'il ne faudrait pas que le bloc entre majoritairement. Ben pourquoi alors avoir déclanché des élections si c'est pour ré-élire le libéral? Ou si c'est pour se retrouver avec un parti-clône-busch?
Par chance que je n'ai jamais oublié que je suis souverainiste et j'ai du sang bleu qui me coule dans les veines .
Je n'oublie pas non plus ce qui se passe dans ma région..Ouf par chance
Sté je comprend vite-vite, mais me faut des tits-dessins
Quelqu'un peut m'aider?
Raven

C'est bobépine ou bépine SVP

- fleurtropicale
- Magicien des Mots
- Messages : 2267
- Inscription : mar. nov. 04, 2003 1:00 am
c'est plutot les conservateurs qui doivent pas etre majoritaire
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
-
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1509
- Inscription : jeu. nov. 20, 2003 1:00 am
Fédérales 2006
Stephen Harper toujours en tête dans les intentions de vote au pays
Les conservateurs ont repris jeudi les deux points qu'ils avaient échappés la veille au profit des libéraux.
Selon un sondage Ekos-La Presse-Toronto Star, publié ce vendredi matin, la formation de Stephen Harper recueille 37% de la faveur populaire, après répartition des indécis, contre 27% pour le Parti libéral du Canada.
Le Nouveau Parti démocratique obtient 21%, 10% pour le Bloc québécois, et 4% pour le Parti vert.
À trois jours du scrutin, le nombre d'indécis ne diminue pas. Ceux-ci représentent toujours 16% des répondants.
L'enquête a été menée jeudi auprès de 835 personnes. La marge d'erreur est de 3,4 points de pourcentage.
Stephen Harper toujours en tête dans les intentions de vote au pays
Les conservateurs ont repris jeudi les deux points qu'ils avaient échappés la veille au profit des libéraux.
Selon un sondage Ekos-La Presse-Toronto Star, publié ce vendredi matin, la formation de Stephen Harper recueille 37% de la faveur populaire, après répartition des indécis, contre 27% pour le Parti libéral du Canada.
Le Nouveau Parti démocratique obtient 21%, 10% pour le Bloc québécois, et 4% pour le Parti vert.
À trois jours du scrutin, le nombre d'indécis ne diminue pas. Ceux-ci représentent toujours 16% des répondants.
L'enquête a été menée jeudi auprès de 835 personnes. La marge d'erreur est de 3,4 points de pourcentage.