Question nationale
Une solution du peuple, par le peuple, pour le peuple
Le Point: Entrevue avec Jean-Pierre Charbonneau, qui décrit les vues du collectif.
Un collectif appelé Québec-Plus Démocratie demande la tenue d'une vaste consultation publique sur la question nationale. Les membres du collectif, dont le député péquiste Jean-Pierre Charbonneau et le cofondateur de l'ADQ Jean Allaire, dénoncent le cul-de-sac dans lequel se trouverait l'avenir politique du Québec.
Pour dénouer l'impasse, ils proposent que le Québec s'engage dans un vaste exercice de consultation démocratique dont l'organisation serait confiée à un « organisme non partisan ou transpartisan ». L'exercice de démocratie participative, financé à même les fonds publics, permettrait au plus grand nombre de voix de s'exprimer à travers une multitude de forums, définis pour l'occasion, où toutes les options seront envisagées.
Les activités du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) et celles de l'Institut du Nouveau Monde (INM) sont notamment évoquées comme modèles de consultations populaires.
L'exercice pourrait autant résulter en la tenue d'un nouveau référendum sur la souveraineté qu'en une approche favorisant l'autonomie du Québec. Le statu quo serait aussi possible, si telle était la volonté populaire.
Si cette dernière option indispose certains députés péquistes, les libéraux réclament pour leur part que le chef du PQ, André Boisclair, se prononce à ce sujet.
Le chef péquiste n'a pas voulu commenter les conclusions du collectif. Toutefois, dans une entrevue accordée au Point, Jean-Pierre Charbonneau affirme qu'André Boisclair, qui a lu la déclaration du collectif, semble d'accord: « Il a été informé et, ce que j'en sais, c'est qu'il est assez d'accord avec cette façon de voir les choses. »
En début de soirée, le bureau du chef du PQ a assuré que M. Boisclair n'avait pas l'intention de retarder la tenue d'un référendum s'il est élu et que ce n'est pas Jean-Pierre Charbonneau qui va dicter son programme.
On retrouve parmi les membres du collectif Québec-Plus Démocratie trois députés péquistes, plusieurs adéquistes, ainsi que des personnalités issues de Québec solidaire, du Parti vert et de Projet Montréal. Sont aussi au nombre des signataires l'avocat Julius Grey, l'ex-présidente de la CSQ Lorraine Pagé et des membres de l'Observatoire québécois de la démocratie.
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... crat.shtml --Message edité par tuberale le 2006-06-13 09:16:46--
Une solution du peuple, par le peuple, pour le peuple
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Blanche Neige
- Caïd de la Causette
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tuberale a écritBizarre......j,aurais pensé que ça aurait soulevé les discussions cet article......
Bah... je suis blasé de la question nationale. On dirait que les souverainistes savent plus comment la présenter pour la rendre "acceptable". On est vraiment dans une période "noire" pour la souveraineté.
On dirait que je suis désabusée, que ça me tente plus. J,aimerais donc ça qu'on regarde tous dans la même direction, qu'il n'y ait pas de divisement, pas de guerre. Qu'on soit comme les américains (juste pour cette question là ), fiers avec notre drapeau tsé....Bref, je suis triste.
Ça me fait chier fait que j'en parle pas bon!
Bah... je suis blasé de la question nationale. On dirait que les souverainistes savent plus comment la présenter pour la rendre "acceptable". On est vraiment dans une période "noire" pour la souveraineté.
On dirait que je suis désabusée, que ça me tente plus. J,aimerais donc ça qu'on regarde tous dans la même direction, qu'il n'y ait pas de divisement, pas de guerre. Qu'on soit comme les américains (juste pour cette question là ), fiers avec notre drapeau tsé....Bref, je suis triste.
Ça me fait chier fait que j'en parle pas bon!
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Red Ketchup
- Seigneur de la Causerie
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tuberale a écritQuestion nationale
Une solution du peuple, par le peuple, pour le peuple
Le Point: Entrevue avec Jean-Pierre Charbonneau, qui décrit les vues du collectif.
Un collectif appelé Québec-Plus Démocratie demande la tenue d'une vaste consultation publique sur la question nationale. Les membres du collectif, dont le député péquiste Jean-Pierre Charbonneau et le cofondateur de l'ADQ Jean Allaire, dénoncent le cul-de-sac dans lequel se trouverait l'avenir politique du Québec.
Pour dénouer l'impasse, ils proposent que le Québec s'engage dans un vaste exercice de consultation démocratique dont l'organisation serait confiée à un « organisme non partisan ou transpartisan ». L'exercice de démocratie participative, financé à même les fonds publics, permettrait au plus grand nombre de voix de s'exprimer à travers une multitude de forums, définis pour l'occasion, où toutes les options seront envisagées.
Les activités du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) et celles de l'Institut du Nouveau Monde (INM) sont notamment évoquées comme modèles de consultations populaires.
L'exercice pourrait autant résulter en la tenue d'un nouveau référendum sur la souveraineté qu'en une approche favorisant l'autonomie du Québec. Le statu quo serait aussi possible, si telle était la volonté populaire.
Si cette dernière option indispose certains députés péquistes, les libéraux réclament pour leur part que le chef du PQ, André Boisclair, se prononce à ce sujet.
Le chef péquiste n'a pas voulu commenter les conclusions du collectif. Toutefois, dans une entrevue accordée au Point, Jean-Pierre Charbonneau affirme qu'André Boisclair, qui a lu la déclaration du collectif, semble d'accord: « Il a été informé et, ce que j'en sais, c'est qu'il est assez d'accord avec cette façon de voir les choses. »
En début de soirée, le bureau du chef du PQ a assuré que M. Boisclair n'avait pas l'intention de retarder la tenue d'un référendum s'il est élu et que ce n'est pas Jean-Pierre Charbonneau qui va dicter son programme.
On retrouve parmi les membres du collectif Québec-Plus Démocratie trois députés péquistes, plusieurs adéquistes, ainsi que des personnalités issues de Québec solidaire, du Parti vert et de Projet Montréal. Sont aussi au nombre des signataires l'avocat Julius Grey, l'ex-présidente de la CSQ Lorraine Pagé et des membres de l'Observatoire québécois de la démocratie.
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... crat.shtml
Disons que je ne suis pas très sûr de comprendre.
Bon, ils proposent une vaste consultation non partisane sur la question nationale.
Mais, comment un chef peut commenter des conclusions si la consultation n'a pas encor été faite????
Perso, je trouve cette initiative des plus démocratiques et je verrais d'un bon oeil qu'elle se fasse.
À nous, le peuple, de parler.
Une solution du peuple, par le peuple, pour le peuple
Le Point: Entrevue avec Jean-Pierre Charbonneau, qui décrit les vues du collectif.
Un collectif appelé Québec-Plus Démocratie demande la tenue d'une vaste consultation publique sur la question nationale. Les membres du collectif, dont le député péquiste Jean-Pierre Charbonneau et le cofondateur de l'ADQ Jean Allaire, dénoncent le cul-de-sac dans lequel se trouverait l'avenir politique du Québec.
Pour dénouer l'impasse, ils proposent que le Québec s'engage dans un vaste exercice de consultation démocratique dont l'organisation serait confiée à un « organisme non partisan ou transpartisan ». L'exercice de démocratie participative, financé à même les fonds publics, permettrait au plus grand nombre de voix de s'exprimer à travers une multitude de forums, définis pour l'occasion, où toutes les options seront envisagées.
Les activités du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) et celles de l'Institut du Nouveau Monde (INM) sont notamment évoquées comme modèles de consultations populaires.
L'exercice pourrait autant résulter en la tenue d'un nouveau référendum sur la souveraineté qu'en une approche favorisant l'autonomie du Québec. Le statu quo serait aussi possible, si telle était la volonté populaire.
Si cette dernière option indispose certains députés péquistes, les libéraux réclament pour leur part que le chef du PQ, André Boisclair, se prononce à ce sujet.
Le chef péquiste n'a pas voulu commenter les conclusions du collectif. Toutefois, dans une entrevue accordée au Point, Jean-Pierre Charbonneau affirme qu'André Boisclair, qui a lu la déclaration du collectif, semble d'accord: « Il a été informé et, ce que j'en sais, c'est qu'il est assez d'accord avec cette façon de voir les choses. »
En début de soirée, le bureau du chef du PQ a assuré que M. Boisclair n'avait pas l'intention de retarder la tenue d'un référendum s'il est élu et que ce n'est pas Jean-Pierre Charbonneau qui va dicter son programme.
On retrouve parmi les membres du collectif Québec-Plus Démocratie trois députés péquistes, plusieurs adéquistes, ainsi que des personnalités issues de Québec solidaire, du Parti vert et de Projet Montréal. Sont aussi au nombre des signataires l'avocat Julius Grey, l'ex-présidente de la CSQ Lorraine Pagé et des membres de l'Observatoire québécois de la démocratie.
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... crat.shtml
Disons que je ne suis pas très sûr de comprendre.
Bon, ils proposent une vaste consultation non partisane sur la question nationale.
Mais, comment un chef peut commenter des conclusions si la consultation n'a pas encor été faite????
Perso, je trouve cette initiative des plus démocratiques et je verrais d'un bon oeil qu'elle se fasse.
À nous, le peuple, de parler.
PQ
La souveraineté avant tout
Une solution du peuple, par le peuple, pour le peuple (nouvelle du 12 juin)
L'adhésion de trois députés du Parti québécois à un collectif qui remet en question l'idée d'un référendum hâtif et a suscité d'énormes critiques au sein de l'aile parlementaire du PQ.
Plusieurs députés n'ont pas digéré le geste de Jonathan Valois, de Daniel Turp et de Jean-Pierre Charbonneau, qui ont discuté pendant environ un an, dans le plus grand secret, avec des gens de l'ADQ, de Québec solidaire ainsi que certains fédéralistes. Le collectif propose de mener une vaste consultation sur la question nationale qui pourrait notamment exclure la tenue d'un référendum rapide sur la souveraineté.
Le chef du parti, André Boiclair, a tenu à remettre les pendules à l'heure, mardi soir, tout juste avant le caucus du parti. « S'il y a une consultation populaire qui a lieu, elle se fera sur la question de la souveraineté. Pour le reste, c'est de la science-fiction. Ce n'est pas M. Charbonneau qui va dicter ce qui se passe au Parti québécois. C'est moi qui en est le chef. C'est moi qui est dépositaire du programme et nous sommes clairs sur une chose, je l'ai dit, je l'ai répété, c'est écrit dans le programme du Parti québécois: la consultation populaire se fera sur la question de la souveraineté. »
Pendant le caucus, Daniel Turp a pris ses distances avec les propos de Jean-Pierre Charbonneau sur la possibilité qu'une vaste consultation aboutisse au rejet de la souveraineté. Dans une déclaration écrite, le député de Mercier affirme que « cet exercice et cette démarche ne doivent [...] pas être une voie d'évitement pour un référendum sur la souveraineté [...] et doivent au contraire conduire à une consultation sur le projet de pays ».
Élections partielles en été
Par ailleurs, Radio-Canada a appris que le bureau du premier ministre déclenchera des élections partielles dans Pointe-aux-Trembles et dans Taillon en plein coeur de l'été. La première fenêtre étudiée est celle du 17 juillet. Si c'est le cas, Jean Charest annoncerait des élections partielles dès mercredi. Le Parti libéral ne présentera pas de candidat contre André Boisclair, dans Pointe-aux-Trembles.
La souveraineté avant tout
Une solution du peuple, par le peuple, pour le peuple (nouvelle du 12 juin)
L'adhésion de trois députés du Parti québécois à un collectif qui remet en question l'idée d'un référendum hâtif et a suscité d'énormes critiques au sein de l'aile parlementaire du PQ.
Plusieurs députés n'ont pas digéré le geste de Jonathan Valois, de Daniel Turp et de Jean-Pierre Charbonneau, qui ont discuté pendant environ un an, dans le plus grand secret, avec des gens de l'ADQ, de Québec solidaire ainsi que certains fédéralistes. Le collectif propose de mener une vaste consultation sur la question nationale qui pourrait notamment exclure la tenue d'un référendum rapide sur la souveraineté.
Le chef du parti, André Boiclair, a tenu à remettre les pendules à l'heure, mardi soir, tout juste avant le caucus du parti. « S'il y a une consultation populaire qui a lieu, elle se fera sur la question de la souveraineté. Pour le reste, c'est de la science-fiction. Ce n'est pas M. Charbonneau qui va dicter ce qui se passe au Parti québécois. C'est moi qui en est le chef. C'est moi qui est dépositaire du programme et nous sommes clairs sur une chose, je l'ai dit, je l'ai répété, c'est écrit dans le programme du Parti québécois: la consultation populaire se fera sur la question de la souveraineté. »
Pendant le caucus, Daniel Turp a pris ses distances avec les propos de Jean-Pierre Charbonneau sur la possibilité qu'une vaste consultation aboutisse au rejet de la souveraineté. Dans une déclaration écrite, le député de Mercier affirme que « cet exercice et cette démarche ne doivent [...] pas être une voie d'évitement pour un référendum sur la souveraineté [...] et doivent au contraire conduire à une consultation sur le projet de pays ».
Élections partielles en été
Par ailleurs, Radio-Canada a appris que le bureau du premier ministre déclenchera des élections partielles dans Pointe-aux-Trembles et dans Taillon en plein coeur de l'été. La première fenêtre étudiée est celle du 17 juillet. Si c'est le cas, Jean Charest annoncerait des élections partielles dès mercredi. Le Parti libéral ne présentera pas de candidat contre André Boisclair, dans Pointe-aux-Trembles.