ou es jean-francois?
je sais pas ce qui se passe mais mon autres section ,a disparu.je voulais savoir se qui se passe avec jf et il avait un liens pour rentrer sur son site.
https://prise2.tv/emissions/chambresenv ... n4/concept" onclick="window.open(this.href);return false;
un gros merci kelly_05 pour le lien.
https://prise2.tv/emissions/chambresenv ... n4/concept" onclick="window.open(this.href);return false;
Jean-François Bastien livrera son premier gros show à la salle J.-Antonio-Thompson le samedi 22 janvier
Liberté et fébrilité pour 2005
LINDA CORBO
Le Nouvelliste
Trois-Rivières
Le mot circulait depuis un moment déjà, Jean-François Bastien le confirme maintenant, il a bel et bien mis fin à son contrat avec les Productions J et s'apprête maintenant à gagner les rangs d'une nouvelle écurie. La rupture s'est faite en 2004 et c'est dans un vent de liberté retrouvée qu'il amorce 2005, non sans enthousiasme. Il commence d'ailleurs l'année avec une représentation qui lui tient particulièrement à coeur. Le samedi 22 janvier, c'est à la salle J.-Antonio-Thompson qu'il présentera son premier grand show au sein de la région, pour sonner le départ de l'événement «Trois-Rivières en chansons».
À ce jour, le jeune auteur-compositeur et interprète originaire de Saint-Boniface demeure prudent sur les motifs qui l'ont incité à quitter les Productions J et Star Académie. Il parle sans ambages d'une différence de vision de carrière entre les promoteurs et l'artiste, mais préfère attendre les conseils de sa nouvelle équipe avant d'élaborer davantage.
Les hésitations se transforment toutefois en une salve de mots lorsque Jean-François Bastien aborde la soirée du 22 janvier sur la scène trifluvienne. Pour l'occasion, il s'en promet toute une, histoire de révéler sa pleine identité artistique, comme il n'a pas eu l'occasion de le faire aussi librement jusqu'à présent, fait-il valoir. Il a vérifié les ventes à la billetterie et a été surpris de constater que tous les billets du parterre étaient vendus, ce qui lui assure un auditoire de 500 personnes minimum, se réjouit-il.
Au cours des derniers mois, il a effectué quelques représentations ici et là pour jauger la réaction des différents publics. Il en sort rassuré. «Ce que j'ai surtout compris, c'est que si tu restes vraiment toi et si tu es connecté avec le monde, les gens sont prêts à accepter beaucoup de choses, mêmes plus crues. J'ai un côté un peu plus grinçant que je n'ai pas montré à Star Académie et je sais aujourd'hui que je peux me le permettre et c'est bien tant mieux!»
Mais il veut donner beaucoup plus. Ce qu'il veut offrir au public, c'est une soirée teintée des ambiances les plus variées. «Je veux les amener autant dans ce qui est très niaiseux que dans ce qui est très profond, du plus léger pour rire au plus musical ou au plus engagé. Je veux provoquer, je veux faire rire et faire réfléchir.»
Pour ce faire, il mise sur plusieurs de ses compositions, mais laissera aussi beaucoup de places aux interprétations de chansons connues, dont Quand les hommes vivront d'amour et L'Hymne à l'amour, les deux chansons interprétées à Star Académie les fois où il a été mis en danger. «Il n'était pas question que je fasse seulement des compositions... Une soirée de nouvelles chansons, c'est bien trop lourd pour un public.»
Le 22 janvier, il sera accompagné de Jacques (Coco) Livernoche à la batterie, de Samuel Cournoyer à la basse et à la contrebasse, de Guillaume Jodoin aux claviers et aussi d'une violoniste électrique, instrument qu'il préférait nettement à la guitare électrique. Son focus à lui sera toutefois les quelque 500 paires d'yeux qu'il cherchera du regard.
Cette perspective le rend nerveux, mais il adore la sensation. Il connaît bien cette fébrilité qui, dans son cas, fait figure de puissant carburant. «J'aime ça le trac. Les moments où j'ai trippé le plus à Star Académie, c'est lorsque j'ai été mis en danger, à la pause commerciale juste avant d'aller chanter... Plus on me met de la pression, plus j'aime ça. Quand tu es un hyperactif et que tu te retrouves dans un endroit calme, tu deviens un élément perturbateur, mais dans des moments comme ça, là ça marche.»
Et hyperactif, il est. En entrevue, les gestes ne suffisent plus. Il doit se lever, il doit bouger. «À l'école, les profs se moquaient de celui qui m'avait dans sa classe», sourit-il. Or, la scène n'a résolument rien de la salle de classe. «Quand j'étais plus jeune, je devais me retenir pour ne pas prendre trop de place, mais sur scène, tant pis pour vous, je la prends toute!»
Liberté et fébrilité pour 2005
LINDA CORBO
Le Nouvelliste
Trois-Rivières
Le mot circulait depuis un moment déjà, Jean-François Bastien le confirme maintenant, il a bel et bien mis fin à son contrat avec les Productions J et s'apprête maintenant à gagner les rangs d'une nouvelle écurie. La rupture s'est faite en 2004 et c'est dans un vent de liberté retrouvée qu'il amorce 2005, non sans enthousiasme. Il commence d'ailleurs l'année avec une représentation qui lui tient particulièrement à coeur. Le samedi 22 janvier, c'est à la salle J.-Antonio-Thompson qu'il présentera son premier grand show au sein de la région, pour sonner le départ de l'événement «Trois-Rivières en chansons».
À ce jour, le jeune auteur-compositeur et interprète originaire de Saint-Boniface demeure prudent sur les motifs qui l'ont incité à quitter les Productions J et Star Académie. Il parle sans ambages d'une différence de vision de carrière entre les promoteurs et l'artiste, mais préfère attendre les conseils de sa nouvelle équipe avant d'élaborer davantage.
Les hésitations se transforment toutefois en une salve de mots lorsque Jean-François Bastien aborde la soirée du 22 janvier sur la scène trifluvienne. Pour l'occasion, il s'en promet toute une, histoire de révéler sa pleine identité artistique, comme il n'a pas eu l'occasion de le faire aussi librement jusqu'à présent, fait-il valoir. Il a vérifié les ventes à la billetterie et a été surpris de constater que tous les billets du parterre étaient vendus, ce qui lui assure un auditoire de 500 personnes minimum, se réjouit-il.
Au cours des derniers mois, il a effectué quelques représentations ici et là pour jauger la réaction des différents publics. Il en sort rassuré. «Ce que j'ai surtout compris, c'est que si tu restes vraiment toi et si tu es connecté avec le monde, les gens sont prêts à accepter beaucoup de choses, mêmes plus crues. J'ai un côté un peu plus grinçant que je n'ai pas montré à Star Académie et je sais aujourd'hui que je peux me le permettre et c'est bien tant mieux!»
Mais il veut donner beaucoup plus. Ce qu'il veut offrir au public, c'est une soirée teintée des ambiances les plus variées. «Je veux les amener autant dans ce qui est très niaiseux que dans ce qui est très profond, du plus léger pour rire au plus musical ou au plus engagé. Je veux provoquer, je veux faire rire et faire réfléchir.»
Pour ce faire, il mise sur plusieurs de ses compositions, mais laissera aussi beaucoup de places aux interprétations de chansons connues, dont Quand les hommes vivront d'amour et L'Hymne à l'amour, les deux chansons interprétées à Star Académie les fois où il a été mis en danger. «Il n'était pas question que je fasse seulement des compositions... Une soirée de nouvelles chansons, c'est bien trop lourd pour un public.»
Le 22 janvier, il sera accompagné de Jacques (Coco) Livernoche à la batterie, de Samuel Cournoyer à la basse et à la contrebasse, de Guillaume Jodoin aux claviers et aussi d'une violoniste électrique, instrument qu'il préférait nettement à la guitare électrique. Son focus à lui sera toutefois les quelque 500 paires d'yeux qu'il cherchera du regard.
Cette perspective le rend nerveux, mais il adore la sensation. Il connaît bien cette fébrilité qui, dans son cas, fait figure de puissant carburant. «J'aime ça le trac. Les moments où j'ai trippé le plus à Star Académie, c'est lorsque j'ai été mis en danger, à la pause commerciale juste avant d'aller chanter... Plus on me met de la pression, plus j'aime ça. Quand tu es un hyperactif et que tu te retrouves dans un endroit calme, tu deviens un élément perturbateur, mais dans des moments comme ça, là ça marche.»
Et hyperactif, il est. En entrevue, les gestes ne suffisent plus. Il doit se lever, il doit bouger. «À l'école, les profs se moquaient de celui qui m'avait dans sa classe», sourit-il. Or, la scène n'a résolument rien de la salle de classe. «Quand j'étais plus jeune, je devais me retenir pour ne pas prendre trop de place, mais sur scène, tant pis pour vous, je la prends toute!»
Bravo Mylène et bonne chance parce que tu peux réussir. Continue ton beau travail. Go la gang de Star ACadémie 2005 parce que vous êtes vraiment bons et vous pouvez tous réussir.