Publié : sam. oct. 20, 2007 4:48 pm
biographie de said jaziri pris sur wikipedia
Citation : Saïd EL Jaziri est un imam malékite (né en Mai 1967 à La Marsa, Tunisie) Il prêche un islam plus orthodoxe que Soheib Bencheikh, mais plus libéral que Abdelkader Bouziane dans la mosquée Al-Qods à Montréal. Au Québec, il est l'imam le plus sollicité par les médias, car il aime répondre aux questions des journalistes sur ses démêlés avec les autorités canadiennes , en plus d'être un des seuls imams à vouloir participer à des débats sur les accommodements raisonnables[1] Il est à noter que les médias québécois le surnomment l'imam controversé et qu'il n'est pas représentatif des Québécois de confession musulmane puisqu'il ne fait parti d'aucune instance religieuse et ou politique.
Sommaire
[masquer]
* 1 Chronologie
o 1.1 1988-1994
o 1.2 1997-2005
o 1.3 2006
o 1.4 2007
* 2 Citations de Saïd Jaziri
* 3 Citations à propos de Saïd Jaziri
* 4 Voir aussi
o 4.1 Articles connexes
o 4.2 Liens et documents externes
* 5 Notes et référence
Chronologie [modifier]
1988-1994 [modifier]
* En 1988, pendant qu'il prépare une licence de mathématique à Nice, il devient chef religieux d'une salle de prière.[2]
* En 1991, il est condamné en Tunisie par contumace à une peine de prison pour appartenance à une organisation illégale et distribution de tracts.[3]
* En 1994, il est condamné par défaut en France à 18 mois de prison ferme avec mandat d'arrêt pour complicité de coups et blessures volontaires et dégradations de biens appartenant à autrui (il a détruit un ordinateur et il a ordonné à ses coreligionnaires d'agresser un bouc émissaire suite à la fermeture d'une salle de prière)[4].
1997-2005 [modifier]
* En 1997, Saïd Jaziri s'installe à Montréal. Un an plus tard il obtient son statut de réfugié. Deux ans plus tard il devient résident permanent.[5]
* En 2000, il fonde la mosquée Al-Qods .
* En 2002, il crée l'organisation islamique du contrôle de la viande halal (OICVH), afin de prendre le contrôle de la viande Halal pour financer des projets communautaires. Ses détracteurs l'accusent de vouloir plutôt s'enrichir voire même financer des activités terroristes. En riposte, l'association musulmane des commerces de viande halal (AMCVH) est créée.[6]
* Le 21 janvier 2004, Saïd Jaziri déclare être convaincu que les mosquées montréalaises sont infiltrés par des espions et qu'ils sont sous haute surveillance.[7]
* Le 23 septembre 2005, il annonce qu'il veut faire construire une grande mosquée au centre-ville de Montréal. [8]Les leaders musulmans se sont opposés à ce projet étant donné qu'il serait financé par des pays théocratiques.
2006 [modifier]
* Anne Morisset, une caméraman, participait une conférence de presse organisée par l’imam Saïd Jaziri dans la mosquée Al-Qods. Quelqu’un lui a refusé l'entrée, car elle ne voulait pas se couvrir la tête. Elle a refusé prétextant que ce n’est pas sa religion. Les responsables de la mosquée n’ont pas cédé. «Et je n’ai jamais reçu d’excuses », dit-elle.[9]
* Le 11 février, il a organisé une manifestation pour protester contre les caricatures de Mahomet et la violence des islamistes, malgré la désapprobation de la plupart des imams montréalais. Que quelques jours plus tôt deux mosquées avaient été vandalisées.La veille un imam avait été poignardé et, Jaziri qualifia immédiatement l'incindent d'acte islamophobe. L'enquête de police a ultérieurement prouvé qu'il s'agissait d'un geste d'un malade mental qui à choisie sa victime au hasard [10] avait été poignardé et que quelques jours plus tôt deux mosquées avaient été vandalisées.
* Le 20 mars, quatre fenêtres de la mosquée Al-Qods ont été fracassées avec au moins sept pierres.
* Le 10 juin, Pierre Brabant un chauffeur-livreur ivre de 34 ans, tente d'agresser l'imam Jaziri avec un couteau.[11]
* Le 22 juin, l'imam Jaziri perd son statut de réfugié parce qu'il avait mentie aux autorités canadiennes, en ne disant pas qu'il avait un dossier criminel en France et qu'il avait été expulsé en Tunisie. Qu'il ait été pardonné ou non, il avait l'obligation légale de le signaler. Cette omission a été considérée comme un mensonge par les autorités canadiennes.[12] Saïd Jaziri prétend avoir été emprisonné et torturé en Tunisie en 1994 pour «association illégale».[13]
2007 [modifier]
* Le 15 janvier, un sondage Léger Marketing révèle que 1 % des Québécois se disent fortement racistes ; 15 % des Québécois se disent moyennement racistes ; 43 % des Québécois se disent faiblement racistes ; 39 % des Québécois se disent pas racistes du tout.
Ce sondage et surtout l'usage qui en a été fait par le journal qui s'en est servi ont été fortement critiqués pour interpréation méthodologiquement fallacieuse des données. Mais plusieurs communautés ont été étonnées d'apprendre qu'elles avaient une si mauvaise réputation. D'autres croient que c'est la preuve que le racisme existe au Québec. «Grâce à ce sondage, on peut enfin prouver qu'il y a du racisme envers les musulmans», lance Saïd Jaziri.[14]
* Le 29 janvier, il réclame le congédiement du policier Philippe Gouin.« C'est normal de le demander, car on doit donner une leçon à cet agent et à tout le corps policier.»:[15]Cet agent-patrouilleur a écrit une chanson «Ça va faire, là» qui a pour but de à la fois encourager l'acculturation des immigrants et de rire des accommodements raisonnables.
* M.Jaziri réagit au code de conduite de Hérouxville en le qualifiant de «code de répression».[16]
* Au cours de l'émission Le 3950,[17] il tient des propos homophobe[18][19][20]
* Le 11 octobre, Saïd Jaziri évoque de la maladie dans sa famille (le diabète comateux de sa femme enceinte).[21] pour annuler sa participation à l'émission Tout le monde en parle[22]
* Le 15 octobre, l'imam Jaziri est arrêté par l'agence des services frontaliers du Canada en infraction avec la loi sur l'immigration et la protection des réfugiés (il n'a plus de statut légal au Canada depuis 2006).[23]Sa détention préventive a pour but d'éviter qu'il ne se présente pas à son audition ou à son renvoi (en 2006, il s'était barricadé dans sa mosquée lorsque son statut de réfugié avait été remis en cause).[24]
* Le 16 octobre, il est hospitalisé suite à sa grève de la faim, alors que paradoxalement, il venait de finir le ramadan sans aucun problème. [25]
* Le 17 octobre, une petite manifestation est organisé par sa femme et Mohamed Alaoui devant le palais de justice pour attirer l'attention des médias.[26]
Son expulsion définitive du territoire canadien en direction de la Tunisie est imminente.
Citations de Saïd Jaziri [modifier]
* «Je peux être imam aux quatre coins du monde, ce n'est pas un problème. Mais j'ai ma femme ici.»[27]
* « Avant des tribunaux, [...] des centres communautaires et de loisirs, des hôpitaux, des écoles »[28](à propos de la charia)
* «Au moins une personne par semaine se convertit dans ma mosquée et près de 90 % d'entre elles sont des femmes.»[29]
* «Il faut se mettre à l'écoute de la communauté musulmane. En se sentant bien traitée, elle intègre la mosaïque du pays. Nous sommes différents, oui, mais dans un même pays, et nous devons tous travailler dans l'intérêt de ce pays.»[30]
* «J'ai donné mes empreintes digitales le jour où je suis entré [au Canada], j'ai donné mes empreintes digitales et ils ont contacté la France. Ils m'ont laissé quatre heures dans l'aéroport. Ils savaient tout. Impossible que le SCRS, la GRC ne connaissent pas mes histoires. Ils savaient tout dès le départ, ils travaillent en collaboration avec les Français. Ils savaient tout !»[31]
* «Si un imam ne te représente pas, alors qui donc te représente ? Aujourd'hui, ce n'est pas le temps de se questionner sur qui nous représente ou pas, mais plutôt sur ce que l'on a fait pour notre religion devant Dieu. Et tu le sais bien que Dieu, le jour du jugement dernier, ne te questionnera pas sur ce que les autres ont fait pour l'islam, mais Il te posera la question: "Qu'est ce que tu a fais toi pour ta religion?"»[32]
Citations à propos de Saïd Jaziri [modifier]
* «Si l'expulsion suit son cours, c'est la torture jusqu'à la mort. Mon mari a encore des marques sur son corps. C'est un gouvernement de dictature (en Tunisie). Les risques ont été établis par Amnistie internationale. Le document que nous avons fourni (à Immigration Canada) montre que des personnes ont subi des représailles sérieuses en Tunisie pour le simple fait d'avoir présenté des demandes d'asile politique à l'étranger.»[33]Nancy Adams, femme de Saïd Jaziri[34]
* «Quand allons-nous envoyer en "éclaireuse" une jeune femme vêtue d'une jupe et d'une chemise à manches courtes qui demandera qu'on la fasse entrer afin qu'elle puisse "urgemment" aller au petit coin au deuxième étage de la mosquée de l'imam Jaziri? J'aimerais bien voir comment elle serait reçue. J'espère qu'elle serait aussi bien reçue que cette dame voilée envoyée à Hérouxville.»[35]Richard Martineau
* «On a interviewé plusieurs personnes au cours des neuf dernières années, aux Francs-Tireurs : des juifs hassidiques, des curés, des cathos anti-avortement, des rabbins, Raël… Mais personne ne nous a demandé de censurer notre émission. Personne, sauf l’imam Jaziri. Et après ça, monsieur parle de respect, d’ouverture, de tolérance, d’acceptation des différences. Mon œil!»[36] Richard Martineau
* «Vous voulez savoir ce que la communauté musulmane pense des accommodements raisonnables? Appelez Saïd Jaziri. Vous voulez savoir ce que la communauté musulmane pense du Super Bowl ou des poêles à combustion lente? Appelez Saïd Jaziri.»[37] Richard Martineau
Citation : Saïd EL Jaziri est un imam malékite (né en Mai 1967 à La Marsa, Tunisie) Il prêche un islam plus orthodoxe que Soheib Bencheikh, mais plus libéral que Abdelkader Bouziane dans la mosquée Al-Qods à Montréal. Au Québec, il est l'imam le plus sollicité par les médias, car il aime répondre aux questions des journalistes sur ses démêlés avec les autorités canadiennes , en plus d'être un des seuls imams à vouloir participer à des débats sur les accommodements raisonnables[1] Il est à noter que les médias québécois le surnomment l'imam controversé et qu'il n'est pas représentatif des Québécois de confession musulmane puisqu'il ne fait parti d'aucune instance religieuse et ou politique.
Sommaire
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* 1 Chronologie
o 1.1 1988-1994
o 1.2 1997-2005
o 1.3 2006
o 1.4 2007
* 2 Citations de Saïd Jaziri
* 3 Citations à propos de Saïd Jaziri
* 4 Voir aussi
o 4.1 Articles connexes
o 4.2 Liens et documents externes
* 5 Notes et référence
Chronologie [modifier]
1988-1994 [modifier]
* En 1988, pendant qu'il prépare une licence de mathématique à Nice, il devient chef religieux d'une salle de prière.[2]
* En 1991, il est condamné en Tunisie par contumace à une peine de prison pour appartenance à une organisation illégale et distribution de tracts.[3]
* En 1994, il est condamné par défaut en France à 18 mois de prison ferme avec mandat d'arrêt pour complicité de coups et blessures volontaires et dégradations de biens appartenant à autrui (il a détruit un ordinateur et il a ordonné à ses coreligionnaires d'agresser un bouc émissaire suite à la fermeture d'une salle de prière)[4].
1997-2005 [modifier]
* En 1997, Saïd Jaziri s'installe à Montréal. Un an plus tard il obtient son statut de réfugié. Deux ans plus tard il devient résident permanent.[5]
* En 2000, il fonde la mosquée Al-Qods .
* En 2002, il crée l'organisation islamique du contrôle de la viande halal (OICVH), afin de prendre le contrôle de la viande Halal pour financer des projets communautaires. Ses détracteurs l'accusent de vouloir plutôt s'enrichir voire même financer des activités terroristes. En riposte, l'association musulmane des commerces de viande halal (AMCVH) est créée.[6]
* Le 21 janvier 2004, Saïd Jaziri déclare être convaincu que les mosquées montréalaises sont infiltrés par des espions et qu'ils sont sous haute surveillance.[7]
* Le 23 septembre 2005, il annonce qu'il veut faire construire une grande mosquée au centre-ville de Montréal. [8]Les leaders musulmans se sont opposés à ce projet étant donné qu'il serait financé par des pays théocratiques.
2006 [modifier]
* Anne Morisset, une caméraman, participait une conférence de presse organisée par l’imam Saïd Jaziri dans la mosquée Al-Qods. Quelqu’un lui a refusé l'entrée, car elle ne voulait pas se couvrir la tête. Elle a refusé prétextant que ce n’est pas sa religion. Les responsables de la mosquée n’ont pas cédé. «Et je n’ai jamais reçu d’excuses », dit-elle.[9]
* Le 11 février, il a organisé une manifestation pour protester contre les caricatures de Mahomet et la violence des islamistes, malgré la désapprobation de la plupart des imams montréalais. Que quelques jours plus tôt deux mosquées avaient été vandalisées.La veille un imam avait été poignardé et, Jaziri qualifia immédiatement l'incindent d'acte islamophobe. L'enquête de police a ultérieurement prouvé qu'il s'agissait d'un geste d'un malade mental qui à choisie sa victime au hasard [10] avait été poignardé et que quelques jours plus tôt deux mosquées avaient été vandalisées.
* Le 20 mars, quatre fenêtres de la mosquée Al-Qods ont été fracassées avec au moins sept pierres.
* Le 10 juin, Pierre Brabant un chauffeur-livreur ivre de 34 ans, tente d'agresser l'imam Jaziri avec un couteau.[11]
* Le 22 juin, l'imam Jaziri perd son statut de réfugié parce qu'il avait mentie aux autorités canadiennes, en ne disant pas qu'il avait un dossier criminel en France et qu'il avait été expulsé en Tunisie. Qu'il ait été pardonné ou non, il avait l'obligation légale de le signaler. Cette omission a été considérée comme un mensonge par les autorités canadiennes.[12] Saïd Jaziri prétend avoir été emprisonné et torturé en Tunisie en 1994 pour «association illégale».[13]
2007 [modifier]
* Le 15 janvier, un sondage Léger Marketing révèle que 1 % des Québécois se disent fortement racistes ; 15 % des Québécois se disent moyennement racistes ; 43 % des Québécois se disent faiblement racistes ; 39 % des Québécois se disent pas racistes du tout.
Ce sondage et surtout l'usage qui en a été fait par le journal qui s'en est servi ont été fortement critiqués pour interpréation méthodologiquement fallacieuse des données. Mais plusieurs communautés ont été étonnées d'apprendre qu'elles avaient une si mauvaise réputation. D'autres croient que c'est la preuve que le racisme existe au Québec. «Grâce à ce sondage, on peut enfin prouver qu'il y a du racisme envers les musulmans», lance Saïd Jaziri.[14]
* Le 29 janvier, il réclame le congédiement du policier Philippe Gouin.« C'est normal de le demander, car on doit donner une leçon à cet agent et à tout le corps policier.»:[15]Cet agent-patrouilleur a écrit une chanson «Ça va faire, là» qui a pour but de à la fois encourager l'acculturation des immigrants et de rire des accommodements raisonnables.
* M.Jaziri réagit au code de conduite de Hérouxville en le qualifiant de «code de répression».[16]
* Au cours de l'émission Le 3950,[17] il tient des propos homophobe[18][19][20]
* Le 11 octobre, Saïd Jaziri évoque de la maladie dans sa famille (le diabète comateux de sa femme enceinte).[21] pour annuler sa participation à l'émission Tout le monde en parle[22]
* Le 15 octobre, l'imam Jaziri est arrêté par l'agence des services frontaliers du Canada en infraction avec la loi sur l'immigration et la protection des réfugiés (il n'a plus de statut légal au Canada depuis 2006).[23]Sa détention préventive a pour but d'éviter qu'il ne se présente pas à son audition ou à son renvoi (en 2006, il s'était barricadé dans sa mosquée lorsque son statut de réfugié avait été remis en cause).[24]
* Le 16 octobre, il est hospitalisé suite à sa grève de la faim, alors que paradoxalement, il venait de finir le ramadan sans aucun problème. [25]
* Le 17 octobre, une petite manifestation est organisé par sa femme et Mohamed Alaoui devant le palais de justice pour attirer l'attention des médias.[26]
Son expulsion définitive du territoire canadien en direction de la Tunisie est imminente.
Citations de Saïd Jaziri [modifier]
* «Je peux être imam aux quatre coins du monde, ce n'est pas un problème. Mais j'ai ma femme ici.»[27]
* « Avant des tribunaux, [...] des centres communautaires et de loisirs, des hôpitaux, des écoles »[28](à propos de la charia)
* «Au moins une personne par semaine se convertit dans ma mosquée et près de 90 % d'entre elles sont des femmes.»[29]
* «Il faut se mettre à l'écoute de la communauté musulmane. En se sentant bien traitée, elle intègre la mosaïque du pays. Nous sommes différents, oui, mais dans un même pays, et nous devons tous travailler dans l'intérêt de ce pays.»[30]
* «J'ai donné mes empreintes digitales le jour où je suis entré [au Canada], j'ai donné mes empreintes digitales et ils ont contacté la France. Ils m'ont laissé quatre heures dans l'aéroport. Ils savaient tout. Impossible que le SCRS, la GRC ne connaissent pas mes histoires. Ils savaient tout dès le départ, ils travaillent en collaboration avec les Français. Ils savaient tout !»[31]
* «Si un imam ne te représente pas, alors qui donc te représente ? Aujourd'hui, ce n'est pas le temps de se questionner sur qui nous représente ou pas, mais plutôt sur ce que l'on a fait pour notre religion devant Dieu. Et tu le sais bien que Dieu, le jour du jugement dernier, ne te questionnera pas sur ce que les autres ont fait pour l'islam, mais Il te posera la question: "Qu'est ce que tu a fais toi pour ta religion?"»[32]
Citations à propos de Saïd Jaziri [modifier]
* «Si l'expulsion suit son cours, c'est la torture jusqu'à la mort. Mon mari a encore des marques sur son corps. C'est un gouvernement de dictature (en Tunisie). Les risques ont été établis par Amnistie internationale. Le document que nous avons fourni (à Immigration Canada) montre que des personnes ont subi des représailles sérieuses en Tunisie pour le simple fait d'avoir présenté des demandes d'asile politique à l'étranger.»[33]Nancy Adams, femme de Saïd Jaziri[34]
* «Quand allons-nous envoyer en "éclaireuse" une jeune femme vêtue d'une jupe et d'une chemise à manches courtes qui demandera qu'on la fasse entrer afin qu'elle puisse "urgemment" aller au petit coin au deuxième étage de la mosquée de l'imam Jaziri? J'aimerais bien voir comment elle serait reçue. J'espère qu'elle serait aussi bien reçue que cette dame voilée envoyée à Hérouxville.»[35]Richard Martineau
* «On a interviewé plusieurs personnes au cours des neuf dernières années, aux Francs-Tireurs : des juifs hassidiques, des curés, des cathos anti-avortement, des rabbins, Raël… Mais personne ne nous a demandé de censurer notre émission. Personne, sauf l’imam Jaziri. Et après ça, monsieur parle de respect, d’ouverture, de tolérance, d’acceptation des différences. Mon œil!»[36] Richard Martineau
* «Vous voulez savoir ce que la communauté musulmane pense des accommodements raisonnables? Appelez Saïd Jaziri. Vous voulez savoir ce que la communauté musulmane pense du Super Bowl ou des poêles à combustion lente? Appelez Saïd Jaziri.»[37] Richard Martineau