LE DOMAINE BLEU

Diane a écrit : [...]



les gens se desinteressent à la politique municipale
car une fois qu'ils sont assis conseillers ou maire,
ils ne vont pas vers le monde.

Les campagnes manquent de challenger
qu'entendons lors de debat des chicanes
et non leur vrai programme avec un debat d'idees

Souvent les medias qui ont une influence sur le vote
ne parlent que du candidat sortant et pas grand chose
sur les autres Exemple Québec , Labeaume Labeaume que lui dans les medias pourtant il avait 6 candidats
Plusieurs devaient penser que seul Labeaume etait candidat

Ça ne serait pas plutôt au monde d'aller vers le maire/conseillers? On est bien bon pour se plaindre, mais on s'effoire quand c'est vraiment le temps d'agir? Ou bien j'ai une vision bien utopiste de la politique...

Et ce n'est pas plutôt la faute des médias qu'on n'entende parler que des chicanes? Les pamphlets des partis ne suffisent vraiment pas, je suis certaine que pas mal tout le monde les jette sans les lire (dont moi-même )

qui a besoin de l'appui pas la population mais le maire et ces conseillers
S'ils sont sinceres c'est à eux de voir leur population
Lorsqu'il a campagne personnellement le candidat qui fait du porte à porte
pour se presenter, pour parler de son programme , j'ai confiance à
cette personne et je mettrai mon X pour lui

Fait le tour de ton quartier et demande aux gens qui est ton conseiller
et pas grand monde qui connaisse le nom

quand tu veux te faire elire , tu fais les efforts pour

Marisopa a écrit : [...]


Ben tu vois, moi j'ai voté pour Tremblay et je me garde le droit de chialer contre le déneigement cet hiver. On vote pour un maire, pour l'ensemble de ce qu'il est, pas juste pour le déneigement.

Et bien pour l'ensemble de l'oeuvre, on passera, il n'a rien fait en 8 ans pour la ville de Montréal. Anyway, ce n'est pas pour rien que je vis en banlieu.

Bonne continuation!

Galena a écrit : [...]


Sache que je ne suis pas du tout contre ton opinion ma chère!

Je me suis toujours foutu de la politique auparavant, mais je commence à trouver ça désolant que les gens ne se donnent même plus la peine de voter, c'est sûr que les choses vont continuer de se détériorer si on continue de s'en foutre.

Donc là j'essaye de m'y intéresser plus, c'est en partie pourquoi j'ai commencé ce (futur?) débat

Il n'y a pas de problèmes, je disais ça en riant!

C'est quand même drôle que Labeaume, un souverainiste aie été élu avec une si forte majorité dans la Capitale fortement adéquiste et conservateur....et qu' Harel, dans la région de Montréal, bastion souverainiste. ne l'a pas été

tuberale a écrit : C'est quand même drôle que Labeaume, un souverainiste aie été élu avec une si forte majorité dans la Capitale fortement adéquiste et conservateur....et qu' Harel, dans la région de Montréal, bastion souverainiste. ne l'a pas été

Probablement plusieurs facteurs, mais je ne pense pas que le taux de personnes dont la langue maternelle soit non-francophones à Québec soit aussi élevé que le 47% de Montréal.

Par ailleurs, avez-vous une idée de ce taux ?

tuberale a écrit : C'est quand même drôle que Labeaume, un souverainiste aie été élu avec une si forte majorité dans la Capitale fortement adéquiste et conservateur....et qu' Harel, dans la région de Montréal, bastion souverainiste. ne l'a pas été

Montréal n'est pas qu'un bastion souverainiste. Il y a plusieurs comtés anglophones qui font pencher la balance dans une élection où le taux de participation est bas. Il ne suffit qu'à penser aux majorités ronflantes qu'obtiennent les candidats libéraux élus dans les comtés anglophones lors d'élections fédérale ou provinciale.

Si j'ai bien compris aussi, la machine péquiste était divisée également sur le terrain. Si le vote francophone ne sort pas... Il est arrivé la même chose à Diane Lemieux.

Labeaume n'avait pas d'opposition valable et solide lors de cette élection-ci. Pas difficile dans ce temps-là d'obtenir des votes.

Beppo a écrit : [...]


Montréal n'est pas qu'un bastion souverainiste. Il y a plusieurs comtés anglophones qui font pencher la balance dans une élection où le taux de participation est bas. Il ne suffit qu'à penser aux majorités ronflantes qu'obtiennent les candidats libéraux élus dans les comtés anglophones lors d'élections fédérale ou provinciale.

Si j'ai bien compris aussi, la machine péquiste était divisée également sur le terrain. Si le vote francophone ne sort pas... Il est arrivé la même chose à Diane Lemieux.

Labeaume n'avait pas d'opposition valable et solide lors de cette élection-ci. Pas difficile dans ce temps-là d'obtenir des votes.

Oui je comprends mais depuis le début Labeaume n'attire pas la foudre de la hargne des fédéralistes comme Harel l'a fait. Le moulin à paroles lui oui l'a fait...on leur disait même assez sauvagement de retourner à Montréal mais jamais on associe à Labeaume la survivance ou la mort du mouvement souverainiste. C'est vrai que ce n'est pas aussi évident que pour Harel, ancienne ministre mais quand même je me demande ce qui compose le personnage de Labeaume pour qu'il flotte ainsi au-dessus de cette hargne plus forte que jamais. Pour Diane Lemieux c'était plus évident car en plus des fédéralistes, elle est très mal vue de la part des souverainistes eux-mêmes mais ceux-ci ne sont pas allés voter pour Harel quand même.....c'est difficile d'analyser le tout

tuberale a écrit : [...]



Oui je comprends mais depuis le début Labeaume n'attire pas la foudre de la hargne des fédéralistes comme Harel l'a fait. Le moulin à paroles lui oui l'a fait...on leur disait même assez sauvagement de retourner à Montréal mais jamais on associe à Labeaume la survivance ou la mort du mouvement souverainiste. C'est vrai que ce n'est pas aussi évident que pour Harel, ancienne ministre mais quand même je me demande ce qui compose le personnage de Labeaume pour qu'il flotte ainsi au-dessus de cette hargne plus forte que jamais. Pour Diane Lemieux c'était plus évident car en plus des fédéralistes, elle est très mal vue de la part des souverainistes eux-mêmes mais ceux-ci ne sont pas allés voter pour Harel quand même.....c'est difficile d'analyser le tout

Harel s'est compromise davantage que Labeaume dans l'histoire politique québécoise. Il suffit de penser aux fusions municipales pour s'en rendre compte. Le jour où les gens vont comprendre que c'est un mal nécessaire n'est pas arrivé. Tout le temps qu'elle a été ministre, Harel a pris des décisions qui n'ont pas toujours été populaires et les gens s'en rappellent. C'est à se demander si on ne préfère pas quelqu'un qui ne fout rien, qui ne voit rien et qui ne dérange pas trop comme Tremblay. Depuis son arrivée au pouvoir, il nous faut admettre que la métropole perd de son lustre en pas pour rire. Pour moi, Labeaume ne porte pas le passé impliquant et engageant des deux autres.