LE DOMAINE BLEU

Ti-radis  a écrit Il y a 30 ans les gens mourraient de toute façon plus jeune qu'aujourd'hui, donc ils avaient moins le temps de développer des cancers, il y a 30 ans la cigarette ne comportait pas tous les produits toxiques ajoutés, il y a 30 ans l'air n'était pas si propre que cela car plus de gens chauffaient au bois et le chauffage au bois est plus polluant que le chauffage électrique  ;)  


Ti-radis, tu ne vas tout de même pas nier que l'air était jadis, plus respirable qu'aujourd'hui ! Tu ne vas tout de même pas nier non plus que chauffer un char, est bcp plus polluant que chauffer un poêle à bois !     --Message edité par Fleur de Jasmin le 2006-06-21 15:34:53--

Fleur de Jasmin  a écrit

Ti-radis, tu ne vas tout de même pas nier que l'air était jadis, moins respirable qu'aujourd'hui ! Tu ne vas tout de même pas nier non plus que chauffer un char, est bcp plus polluant que chauffer un poêle à bois !    



Non mais l'monde ben y mangeait pluss de beans faqu'y pètait pluss pis tout l'monde sait que les dinosaures y'ont été exterminés par leu pets. Donc ç'ta ben pire pis met ça dans ta pipe qui fume pis qui tue du monde ma fleur en acajou d'ébène que j'aime en fleur fleurit. --Message edité par Berk le 2006-06-21 02:31:52--

Fleur de Jasmin  a écrit

Ti-radis, tu ne vas tout de même pas nier que l'air était jadis, moins respirable qu'aujourd'hui ! Tu ne vas tout de même pas nier non plus que chauffer un char, est bcp plus polluant que chauffer un poêle à bois !    





Honnêtement, je ne sais pas comment te répondre, parfois tu fais tellement d'ironie que la conversation est impossible, comme là tu dis : "tu ne vas tout de même pas nier que l'air était jadis, moins respirable qu'aujourd'hui !"  alors que tu veux sans doute dire qu'autrefois l'air était plus respirable...

ça me tente tout simplement pu de m'obstiner dans ce topic...  

mais pour conclure:

http://www.mddep.gouv.qc.ca/air/chauf-bois/

Selon Environnement Canada, un poêle à bois non certifié émet autant de particules fines dans l'atmosphère en neuf heures qu'un poêle certifié fonctionnant soixante heures ou une automobile de type intermédiaire parcourant 18 000 km en un an.

Le chauffage au bois représente une source importante de contaminants dans l’atmosphère : monoxyde de carbone (CO), composés organiques volatils (COV), particules fines (PM2,5), oxydes d’azote (NOx) et hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). La fumée dégagée par la combustion du bois est présente à l’extérieur comme à l’intérieur des maisons.

Dans les quartiers où le chauffage au bois est répandu, l'exposition aux contaminants provenant de la fumée des cheminées peut avoir des effets néfastes sur la santé des résidents.

La situation au Québec

Sources de particules fines d'origine humaine au Québec

Source : Environnement Canada, 2000

La combustion du bois s’ajoute aux autres sources de pollution tels le transport et les industries. Elle contribue à augmenter les concentrations de contaminants toxiques dans l’air.

Au Québec, le chauffage au bois résidentiel est responsable de la moitié des émissions de particules fines provenant des activités humaines. Sur le plan local, la contribution à la pollution causée par ce type de combustion peut être beaucoup plus importante. À titre d’exemple, une campagne d’échantillonnage sur le chauffage au bois réalisée en 1999 sur l’île de Montréal par la Communauté urbaine de Montréal (CUM) a montré qu’en hiver, dans un quartier résidentiel, les concentrations de COV, de particules fines et de HAP étaient souvent supérieures à celles mesurées dans le centre-ville de Montréal.

Sous certaines conditions météorologiques, les concentrations de contaminants dans l’air ambiant peuvent atteindre des niveaux élevés dans certains quartiers. Ce genre de situation peut survenir dans de nombreux endroits au Québec.

Le nombre d’installations de chauffage au bois est en progression au Québec. Les données de Statistique Canada montrent que le nombre de logements dans lesquels on a recours au chauffage au bois a augmenté d’environ 60 % de 1987 à 2000. Durant cette même période, l’augmentation du nombre de logements était de moins de 20 %.





Qu'il est romantique de s'asseoir devant un feu enflammé par un soir frisquet d'hiver, mais à moins d'être doté d'un poêle à bois à combustion avancée ou d'un poêle encastrable, d'importantes quantités de plus de 100 polluants liés à la fumée de bois peuvent être libérées dans votre logis et à l'extérieur. Plusieurs de ces produits chimiques sont cancérogènes et posent des risques pour la santé humaine et l'environnement.

L'utilisation du bois de chauffage en milieu résidentiel contribue largement à la pollution atmosphérique au Canada selon un inventaire des émissions de 1995 qui a été publié par Environnement Canada et d'autres membres d'un groupe de travail fédéral-provincial. L'inventaire indique que la combustion du bois de chauffage en milieu résidentiel compte pour environ 25 p. 100 des fines particules relevées dans la pollution atmosphérique au Canada, 15 p. 100 des composés organiques volatils (COV) et 10 p. 100 du monoxyde de carbone. http://www.ec.gc.ca/science/sandejan99/article1_f.html --Message edité par Ti-Radis le 2006-06-21 08:35:10--

Ti-radis  a écrit Honnêtement, je ne sais pas comment te répondre, parfois tu fais tellement d'ironie que la conversation est impossible, comme là tu dis : "tu ne vas tout de même pas nier que l'air était jadis, moins respirable qu'aujourd'hui !"  alors que tu veux sans doute dire qu'autrefois l'air était plus respirable...
ça me tente tout simplement pu de m'obstiner dans ce topic...  

mais pour conclure:

http://www.mddep.gouv.qc.ca/air/chauf-bois/

Selon Environnement Canada, un poêle à bois non certifié émet autant de particules fines dans l'atmosphère en neuf heures qu'un poêle certifié fonctionnant soixante heures ou une automobile de type intermédiaire parcourant 18 000 km en un an.

Le chauffage au bois représente une source importante de contaminants dans l’atmosphère : monoxyde de carbone (CO), composés organiques volatils (COV), particules fines (PM2,5), oxydes d’azote (NOx) et hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). La fumée dégagée par la combustion du bois est présente à l’extérieur comme à l’intérieur des maisons.

Dans les quartiers où le chauffage au bois est répandu, l'exposition aux contaminants provenant de la fumée des cheminées peut avoir des effets néfastes sur la santé des résidents.

La situation au Québec

Sources de particules fines d'origine humaine au Québec

Source : Environnement Canada, 2000

La combustion du bois s’ajoute aux autres sources de pollution tels le transport et les industries. Elle contribue à augmenter les concentrations de contaminants toxiques dans l’air.

Au Québec, le chauffage au bois résidentiel est responsable de la moitié des émissions de particules fines provenant des activités humaines. Sur le plan local, la contribution à la pollution causée par ce type de combustion peut être beaucoup plus importante. À titre d’exemple, une campagne d’échantillonnage sur le chauffage au bois réalisée en 1999 sur l’île de Montréal par la Communauté urbaine de Montréal (CUM) a montré qu’en hiver, dans un quartier résidentiel, les concentrations de COV, de particules fines et de HAP étaient souvent supérieures à celles mesurées dans le centre-ville de Montréal.

Sous certaines conditions météorologiques, les concentrations de contaminants dans l’air ambiant peuvent atteindre des niveaux élevés dans certains quartiers. Ce genre de situation peut survenir dans de nombreux endroits au Québec.

Le nombre d’installations de chauffage au bois est en progression au Québec. Les données de Statistique Canada montrent que le nombre de logements dans lesquels on a recours au chauffage au bois a augmenté d’environ 60 % de 1987 à 2000. Durant cette même période, l’augmentation du nombre de logements était de moins de 20 %.





Qu'il est romantique de s'asseoir devant un feu enflammé par un soir frisquet d'hiver, mais à moins d'être doté d'un poêle à bois à combustion avancée ou d'un poêle encastrable, d'importantes quantités de plus de 100 polluants liés à la fumée de bois peuvent être libérées dans votre logis et à l'extérieur. Plusieurs de ces produits chimiques sont cancérogènes et posent des risques pour la santé humaine et l'environnement.

L'utilisation du bois de chauffage en milieu résidentiel contribue largement à la pollution atmosphérique au Canada selon un inventaire des émissions de 1995 qui a été publié par Environnement Canada et d'autres membres d'un groupe de travail fédéral-provincial. L'inventaire indique que la combustion du bois de chauffage en milieu résidentiel compte pour environ 25 p. 100 des fines particules relevées dans la pollution atmosphérique au Canada, 15 p. 100 des composés organiques volatils (COV) et 10 p. 100 du monoxyde de carbone. http://www.ec.gc.ca/science/sandejan99/article1_f.html  

Effectivement, c'est bien ce que j'ai voulue dire. D'ailleurs, j'ai éditée pour corriger ma faute.

Pour le reste, mon message n'était en rien ironique. Seulement humoristique.
De plus, il ne contient aucune matière à réponse. Si j'avais souhaiter le contraire, j'aurais mis des points d'intérrogation et non pas des points d'exclamation au bout de mes phrases.  

Il n'y a aucune matière à obstination non plus. Car veut veut pas, l'air était plus respirable dans l'temps qu'aujourd'hui et veut veut pas, ca restera toujours moins dangereux de chauffer un poêle à bois qu'une voiture.  
Ce qui ne me fait pas pour autant, contester les dangers, causer par la fumée de bois. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2006-06-21 16:12:41--

Berk  a écrit

Non mais l'monde ben y mangeait pluss de beans faqu'y pètait pluss pis tout l'monde sait que les dinosaures y'ont été exterminés par leu pets. Donc ç'ta ben pire pis met ça dans ta pipe qui fume pis qui tue du monde ma fleur en acajou d'ébène que j'aime en fleur fleurit.  

   

Aujourd'hui, le monde qui mangent des bines sont chanceux. Ils n'ont qu'à passer chez Mr. Muffler et il va leur arranger le tire-pet avant qu'ils ne détruisent la planète.  

De toute façon, c'est bien à veille d'être exigé par la loi.     --Message edité par Fleur de Jasmin le 2006-06-21 16:01:22--

Loi anti-pète # 2006:

Il est strictement interdit de pèter partout même dans les fleurs... sous peine d'une amende qui va vous lever le coeur....


Alor retenez-vous et sauvons notre pauvre palnète Terre.  

On rit ben des pets, mais j'ai lu quelque part que les flatulences des animaux de boucherie utilisés par les grandes chaines de Fast Food serait parmis les grands générateurs de gas à effets de serre.

Spirullette  a écritOn rit ben des pets, mais j'ai lu quelque part que les flatulences des animaux de boucherie utilisés par les grandes chaines de Fast Food serait parmis les grands générateurs de gas à effets de serre.  c'est pas une farce en effet
http://www.organicagcentre.ca/ResearchD ... ane_f.html

Ti-radis  a écrit c'est pas une farce en effet
http://www.organicagcentre.ca/ResearchD ... ane_f.html

Merci!  

c'est quasiment décourageant, si quasiment tout devient dansgereux pour la planète, ça veux dire qu'on a pas beaucoup d,espoir pour l,avenir ça

Éric Lapointe au show !    C'était trop drôle de le voir avec sa cigarette.

Bien hâte de voir, si les journaux vont en parler.

Loi antitabac - Les tenanciers de bars menacent de réclamer une injonction


L'interdiction de fumer dans les bars leur aurait fait perdre 30 % de leurs revenus


Fabien Deglise
Édition du samedi 24 et du dimanche 25 juin 2006



Près de trois semaines après l'entrée en vigueur de la nouvelle loi qui a chassé le tabac des bars et restaurants du Québec, plusieurs tenanciers prétendent vivre désormais des temps difficiles. Délaissés par leur clientèle de fumeurs -- que de nouveaux clients non-fumeurs n'ont pas remplacés --, enregistrant des revenus en baisse, ils enjoignent le gouvernement d'amender rapidement sa loi. Faute de quoi, une demande d'injonction pour suspendre son application sera déposée devant la justice début juillet, menacent-ils.

tuberale  a écritLoi antitabac - Les tenanciers de bars menacent de réclamer une injonction


L'interdiction de fumer dans les bars leur aurait fait perdre 30 % de leurs revenus


Fabien Deglise
Édition du samedi 24 et du dimanche 25 juin 2006



Près de trois semaines après l'entrée en vigueur de la nouvelle loi qui a chassé le tabac des bars et restaurants du Québec, plusieurs tenanciers prétendent vivre désormais des temps difficiles. Délaissés par leur clientèle de fumeurs -- que de nouveaux clients non-fumeurs n'ont pas remplacés --, enregistrant des revenus en baisse, ils enjoignent le gouvernement d'amender rapidement sa loi. Faute de quoi, une demande d'injonction pour suspendre son application sera déposée devant la justice début juillet, menacent-ils.


C'était à prévoir.

Dans les réserves amérindiennes, il paraît que cette loi ne s'applique pas.

Des entendus dire: Dans un village près de chez moi, il y a une réserve annexée.  Dans cette réserve, il n'y a pas de bar.  Les Amérindiens se rendent à celui du village.  Alors ils veulent ouvrir un bar dans leur réserve où les clients pourront fumer... des cigarettes de contre-bande.

jaskab  a écritDans les réserves amérindiennes, il paraît que cette loi ne s'applique pas.

Des entendus dire: Dans un village près de chez moi, il y a une réserve annexée.  Dans cette réserve, il n'y a pas de bar.  Les Amérindiens se rendent à celui du village.  Alors ils veulent ouvrir un bar dans leur réserve où les clients pourront fumer... des cigarettes de contre-bande.


pourquoi je suis pas surprise moi la   ont peut toujours compter sur les amérindiens pour défier l'autorité   --Message edité par nic30 le 2006-06-26 19:29:23--

Est-ce que c'est juste les amérindiens qui peuvent aller là ? Si oui, je demande mon statut tout de suite !!!

la loi ne s'applique pas car c'est un territoire fédéral et que c'est une loi provinciale.  Je travaille sur une réserve et le proprio du resto a choisi que son établissement serait non-fumeur mais il aurait le droit de décider fumeur ou non.   C'est comme le centre d'achat qui est dans ma ville il est sur un territoire fédéral alors au lieu de garder le fumoir et d'en interdire l'accès aux clients et d'autoriser l'accès employés fumeurs ; ils ont décidé de le fermer pour éviter des conflits....

Fleur de Jasmin  a écrit

 


Tu ne trouveras jamais une personne aussi calme que moi.  

Tu sais, il y a 30 ans j'allais dans les bars, mais pas pour fumer cela même si je fumais déjà. J'y allais pour m'amuser. D'ailleurs, comme aujourd'hui encore.    Aussi, il y a 30 ans on ne mourrait pas du cancer de la cigarette.    Nos poumons étaient forts dans ce temps là, car l'air était respirable et non pollué par les cochonneries qui se dégagent des usines, des voitures etc.
Cela dit, je suis heureuse de cette loi. Ne serait-ce que pour empêcher un non-fumeur de sortir d'un endroit emboucanné pour aller respirer à plein poumons ce bon air pur.  



Vi, vi....   moua !!!!!!!!!!!!!!  

Loi antitabac

Les tenanciers de bars veulent obtenir une injonction

L'Union des tenanciers de bars du Québec veut suspendre la nouvelle loi antitabac.
Le regroupement s'adressera à la Cour supérieure, mardi prochain, afin d'obtenir une injonction.

Les propriétaires de bars demandent au tribunal de suspendre l'application de cette loi dans les établissements licenciés, en attendant que la cour tranche le litige sur le fond.

Les 1500 membres de l'association souhaitent carrément le retour de la cigarette dans leur bar.

Ils prétendent qu'ils ont subi des baisses de revenus de 20 à 60% depuis l'entrée en vigueur de cette loi, le 31 mai.

Les bars qui ne sont pas dotés de terrasses écopent de façon plus sévère.

478 emplois auraient été supprimés jusqu'à maintenant, à la suite de mises à pied ou de départs volontaires.

Les régions sont les plus touchées et il pourrait y avoir plusieurs fermetures.

En effet, les bars par chez moi ont subit une méchante perte de clientèle...

50% moins de monde selon les dires d'un ami de mon chum qui est propriétaire d'un restaurant-bar