Un tribunal italien convoque en 2010 une plaignante de 98 ans
ROME (Reuters) - Un tribunal italien a demandé à une plaignante de 98 ans de revenir en 2010 à la prochaine audience de son procès pour des droits de propriété, plus de dix ans après le début de sa bataille juridique.
Amalia Cuccioletti, née en 1907, a entamé en 1997 son action justice contre des parents.
Une première audience s'est tenue en 2001 mais le tribunal de Macerata, dans le centre de l'Italie, a fixé la prochaine à 9h30 le 25 mars 2010, rapporte samedi l'agence de presse Ansa.
"Le tribunal de Macerata a établi un nouveau record de lenteur", estiment les avocats de la dame, précisant que la justice avait rejeté leur demande d'accélérer la procédure.
"Très probablement, Madame Cuccioletti ne sera plus là pour entendre le verdict", prévoient ses avocats.
En Italie, il faut en moyenne 3.041 jours pour obtenir une décision de justice définitive dans une affaire civile
Un Monde de Fous...!! (et autres lectures de bol...)
Les Estoniens gagnent encore le championnat de portage de femme
SONKAJARVI, Finlande (Reuters) - L'Estonie a encore remporté le championnat du monde de portage de femme, organisé en Finlande, dans le village reculé de Sonkajarvi, à deux heures du cercle polaire arctique.
Margo Uusorg, 25 ans, chauffeur d'ambassade à Stockholm, a gagné pour la quatrième fois cette compétition réunissant 40 couples de dix pays différents. Dans cette course d'obstacle de 253,5 mètres, un homme doit porter une femme, pas nécessairement son épouse, à travers une piscine et des haies.
La femme doit peser au moins 49 kg et tous les participants ont pour obligation de s'amuser, selon le règlement sommaire.
Uusorg a bouclé la course en 59 secondes, en portant son amie Egle Soll, 23 ans, qui avait les jambes accrochées à son cou, la tête renversée, une façon très estonienne de faire.
Uusorg a gagné le poids de sa partenaire en bière et un téléphone portable sophistiqué, devant un public de 9.000 personnes.
Cette compétition a débuté en 1992 entre Finlandais, s'inspirant d'une légende selon laquelle voler des femmes était autrefois commun dans la région.
SONKAJARVI, Finlande (Reuters) - L'Estonie a encore remporté le championnat du monde de portage de femme, organisé en Finlande, dans le village reculé de Sonkajarvi, à deux heures du cercle polaire arctique.
Margo Uusorg, 25 ans, chauffeur d'ambassade à Stockholm, a gagné pour la quatrième fois cette compétition réunissant 40 couples de dix pays différents. Dans cette course d'obstacle de 253,5 mètres, un homme doit porter une femme, pas nécessairement son épouse, à travers une piscine et des haies.
La femme doit peser au moins 49 kg et tous les participants ont pour obligation de s'amuser, selon le règlement sommaire.
Uusorg a bouclé la course en 59 secondes, en portant son amie Egle Soll, 23 ans, qui avait les jambes accrochées à son cou, la tête renversée, une façon très estonienne de faire.
Uusorg a gagné le poids de sa partenaire en bière et un téléphone portable sophistiqué, devant un public de 9.000 personnes.
Cette compétition a débuté en 1992 entre Finlandais, s'inspirant d'une légende selon laquelle voler des femmes était autrefois commun dans la région.
Accident mortel dans un parc animalier à Taiwan
5-7-2005 13:08
Un gardien a été attaqué et tué par un ours dans un parc safari situé au nord de Taiwan. L'employé a été retrouvé dans une mare de sang ce matin. Selon les premiers éléments, l'homme n'aurait pas respecté les consignes de sécurité. Il travaillait dans le parc depuis une vingtaine d'années. L'an dernier, dans ce même parc, un lion avait tué un employé.
5-7-2005 13:08
Un gardien a été attaqué et tué par un ours dans un parc safari situé au nord de Taiwan. L'employé a été retrouvé dans une mare de sang ce matin. Selon les premiers éléments, l'homme n'aurait pas respecté les consignes de sécurité. Il travaillait dans le parc depuis une vingtaine d'années. L'an dernier, dans ce même parc, un lion avait tué un employé.
Un pêcheur de carpes tombe sur un piranha en Saône-et-Loire ! ! !
Un piranha, poisson des eaux chaudes d'Amérique du Sud, a mordu à l'hameçon d'un pêcheur de carpes de Saint-Firmin (Saône-et-Loire), qui l'a "neutralisé" dans un trou d'eau chez un ami.
Michel Attadémo a été extrêmement surpris samedi dernier, au barrage du Pont du Roi, qu'un poisson à la mâchoire acérée, d'une quarantaine de centimètres et de près d'un kilo, se laisse prendre par des noix tigrées qu'affectionnent habituellement les carpes.
Il a confronté sa prise à des images sur internet et à des livres, et a dû se résoudre à l'improbable: il s'agissait bien d'un piranha, à la peau gris bleuté. Ne sachant que faire de sa prise, il l'a remis à un ami à Saint-Pierre-de-Varennes ayant un trou d'eau dans son jardin.
Laurent Nandrin, qui travaille au Muséum d'histoire naturelle à Paris et à qui des photos du poisson ont été transmises, a reconnu un piranha du genre Collosoma, herbivore et non carnivore. "On peut en retrouver chez des vendeurs de poissons exotiques, ils mesurent alors de 8 à 15 cm. Mais ils peuvent atteindre 1 m et peser 30 kg!", témoigne-t-il. "Des personnes qui ne souhaitent plus s'en occuper tentent de les remettre aux aquariums publics mais cela n'est pas toujours possible pour des raisons sanitaires. En infraction avec la législation, ils les rejettent parfois dans des cours d'eau".
"Ils ne mesurent pas l'impact sur l'écosystème... Ce piranha peut vivre des années ainsi car sa taille le met à l'abri des prédateurs. Un hiver trop rigoureux pourrait seul avoir raison de lui", ajoute-t-il.
Un piranha, poisson des eaux chaudes d'Amérique du Sud, a mordu à l'hameçon d'un pêcheur de carpes de Saint-Firmin (Saône-et-Loire), qui l'a "neutralisé" dans un trou d'eau chez un ami.
Michel Attadémo a été extrêmement surpris samedi dernier, au barrage du Pont du Roi, qu'un poisson à la mâchoire acérée, d'une quarantaine de centimètres et de près d'un kilo, se laisse prendre par des noix tigrées qu'affectionnent habituellement les carpes.
Il a confronté sa prise à des images sur internet et à des livres, et a dû se résoudre à l'improbable: il s'agissait bien d'un piranha, à la peau gris bleuté. Ne sachant que faire de sa prise, il l'a remis à un ami à Saint-Pierre-de-Varennes ayant un trou d'eau dans son jardin.
Laurent Nandrin, qui travaille au Muséum d'histoire naturelle à Paris et à qui des photos du poisson ont été transmises, a reconnu un piranha du genre Collosoma, herbivore et non carnivore. "On peut en retrouver chez des vendeurs de poissons exotiques, ils mesurent alors de 8 à 15 cm. Mais ils peuvent atteindre 1 m et peser 30 kg!", témoigne-t-il. "Des personnes qui ne souhaitent plus s'en occuper tentent de les remettre aux aquariums publics mais cela n'est pas toujours possible pour des raisons sanitaires. En infraction avec la législation, ils les rejettent parfois dans des cours d'eau".
"Ils ne mesurent pas l'impact sur l'écosystème... Ce piranha peut vivre des années ainsi car sa taille le met à l'abri des prédateurs. Un hiver trop rigoureux pourrait seul avoir raison de lui", ajoute-t-il.
Les rats de Pékin... ] - [ Yes @ 08:01:26 ]
Les jeux Olympiques de Pékin menacés par les rats!
Les jeux Olympiques de Pékin sont menacés par le grand nombre de rats présents dans la capitale chinoise qui pourraient présenter un danger pour la santé publique, a rapporté vendredi un quotidien chinois.
"Ces vecteurs de maladie pourraient représenter un danger caché pour la sécurité en matière de santé durant les jeux Olympiques", selon des experts anonymes cités par le quotidien Jinghua Shibao.
Sur certains grands axes comme les boulevards périphériques qui entourent la ville, les enquêteurs ont relevé jusqu'à 80 trous au kilomètre creusés par les rongeurs, précise le journal. Ce nombre dépasse de loin la norme chinoise de trois trous à rats ou autre trace de rongeur par kilomètre, a déclaré à l'AFP un responsable de l'Association patriotique pékinoise pour la Santé.
Le problème posé par les rats est particulièrement grave dans les hôtels, les usines agroalimentaires et les hôpitaux, selon le quotidien qui ne donne aucune raison pour le pullulement de ces animaux à Pékin.
Les jeux Olympiques de Pékin menacés par les rats!
Les jeux Olympiques de Pékin sont menacés par le grand nombre de rats présents dans la capitale chinoise qui pourraient présenter un danger pour la santé publique, a rapporté vendredi un quotidien chinois.
"Ces vecteurs de maladie pourraient représenter un danger caché pour la sécurité en matière de santé durant les jeux Olympiques", selon des experts anonymes cités par le quotidien Jinghua Shibao.
Sur certains grands axes comme les boulevards périphériques qui entourent la ville, les enquêteurs ont relevé jusqu'à 80 trous au kilomètre creusés par les rongeurs, précise le journal. Ce nombre dépasse de loin la norme chinoise de trois trous à rats ou autre trace de rongeur par kilomètre, a déclaré à l'AFP un responsable de l'Association patriotique pékinoise pour la Santé.
Le problème posé par les rats est particulièrement grave dans les hôtels, les usines agroalimentaires et les hôpitaux, selon le quotidien qui ne donne aucune raison pour le pullulement de ces animaux à Pékin.
Triste vie de maman pingouin ! ] - [ Yes @ 08:16:55 ]
Zurita, la dure vie d'une mère célibataire chez les pingouins..
Abandonnée par son compagnon, attaquée par les autres femelles, Zurita était une femelle manchot destinée à une fin de vie solitaire et misérable. Mais elle a réussi ce qu'aucun pingouin n'avait encore réalisé: couver seule un oeuf.Enfin, presque seule puisque Zurita a été soutenue par les biologistes du zoo de Brookfield, près de Chicago (Illinois, nord), pendant les 42 jours de la période d'incubation.
Zurita est considérée comme la première femelle manchot Humboldt à couver son oeuf sans l'aide d'un compagnon. Parce que, habituellement, en milieu sauvage, les oeufs ne peuvent incuber s'ils ne sont pas toujours protégés du froid lorsque la mère ou le père part à la chasse.
C'est pourquoi les manchots forment des couples, souvent pour la vie. Et la raison pour laquelle les mâles participent activement à la phase d'incubation.
La plupart des mâles, s'entend. Car Zurita n'a pas eu de chance avec Gazpacho qui, lorsqu'elle l'a rencontré, était considéré comme trop jeune pour fertiliser un oeuf, explique une gardienne du zoo, Darlene Broniewicz.
Avant de le croiser, Zurita, née dans un zoo de l'Oregon (nord-ouest), avait connu des déboires dans sa quête d'un compagnon. En 1997, elle avait été transférée à Brookfield et s'était unie à Zoro, mort de maladie en 2000 sans lui laisser de descendance.
"Nous n'avions pas de mâle pour elle", explique Patty McGill, qui coordonne le programme de sauvegarde des manchots Humboldt, une espèce originaire du Pérou et du Chili, à Brookfield. "Elle est donc partie à la chasse toute seule".
Mal lui en prend. Zurita se met à dos les autres femelles, qui défendent leur couple. Elle est donc transférée dans une colonie où sont réunis les manchots jeunes et ceux trop vieux pour procréer, où elle continue à tenter de briser les couples.
Pour sa sécurité, elle est finalement placée seule dans un enclos. Comme elle souffre de solitude, le zoo lui donne le jeune Gazpacho qui n'a pas encore perdu son duvet d'enfance. A 16 mois, il n'a pas atteint l'âge normal de procréation.
Lorsque les gardiens, étonnés, voient les deux manchots copuler, ils concluent à d'innocents jeux. Mais deux oeufs apparaissent. Immature, Gazpacho ne comprend pas. Zurita "a vraiment essayé de lui faire couver les oeufs", explique Darlene Bronizwicz. En vain. Il "partait jouer avec ses amis" dans le bassin, témoigne Patty McGill.
Zurita est donc contrainte de couver seule, durant des semaines. Jusqu'au jour où la coquille d'un oeuf se fend, offrant le monde à un bébé femelle.
Un an plus tard, le petit oiseau a grandi et Zurita se retrouve de nouveau seule, Gazpacho ayant déniché une plus jeune compagne.
La solitude n'est pas facile à vivre. Zurita tombe malade, elle boîte.
L'histoire pourrait cependant bien se terminer car Patty McGill pense avoir trouvé le prince charmant: un manchot toujours célibataire d'un zoo du Wisconsin. Mais sera-t-il attiré par Zurita? "Vous pouvez faire le maximum, mais ils n'en font qu'à leur tête lorsqu'il s'agit de choisir un compagnon", constate, fataliste, Darlene Bronizwicz.
Zurita, la dure vie d'une mère célibataire chez les pingouins..
Abandonnée par son compagnon, attaquée par les autres femelles, Zurita était une femelle manchot destinée à une fin de vie solitaire et misérable. Mais elle a réussi ce qu'aucun pingouin n'avait encore réalisé: couver seule un oeuf.Enfin, presque seule puisque Zurita a été soutenue par les biologistes du zoo de Brookfield, près de Chicago (Illinois, nord), pendant les 42 jours de la période d'incubation.
Zurita est considérée comme la première femelle manchot Humboldt à couver son oeuf sans l'aide d'un compagnon. Parce que, habituellement, en milieu sauvage, les oeufs ne peuvent incuber s'ils ne sont pas toujours protégés du froid lorsque la mère ou le père part à la chasse.
C'est pourquoi les manchots forment des couples, souvent pour la vie. Et la raison pour laquelle les mâles participent activement à la phase d'incubation.
La plupart des mâles, s'entend. Car Zurita n'a pas eu de chance avec Gazpacho qui, lorsqu'elle l'a rencontré, était considéré comme trop jeune pour fertiliser un oeuf, explique une gardienne du zoo, Darlene Broniewicz.
Avant de le croiser, Zurita, née dans un zoo de l'Oregon (nord-ouest), avait connu des déboires dans sa quête d'un compagnon. En 1997, elle avait été transférée à Brookfield et s'était unie à Zoro, mort de maladie en 2000 sans lui laisser de descendance.
"Nous n'avions pas de mâle pour elle", explique Patty McGill, qui coordonne le programme de sauvegarde des manchots Humboldt, une espèce originaire du Pérou et du Chili, à Brookfield. "Elle est donc partie à la chasse toute seule".
Mal lui en prend. Zurita se met à dos les autres femelles, qui défendent leur couple. Elle est donc transférée dans une colonie où sont réunis les manchots jeunes et ceux trop vieux pour procréer, où elle continue à tenter de briser les couples.
Pour sa sécurité, elle est finalement placée seule dans un enclos. Comme elle souffre de solitude, le zoo lui donne le jeune Gazpacho qui n'a pas encore perdu son duvet d'enfance. A 16 mois, il n'a pas atteint l'âge normal de procréation.
Lorsque les gardiens, étonnés, voient les deux manchots copuler, ils concluent à d'innocents jeux. Mais deux oeufs apparaissent. Immature, Gazpacho ne comprend pas. Zurita "a vraiment essayé de lui faire couver les oeufs", explique Darlene Bronizwicz. En vain. Il "partait jouer avec ses amis" dans le bassin, témoigne Patty McGill.
Zurita est donc contrainte de couver seule, durant des semaines. Jusqu'au jour où la coquille d'un oeuf se fend, offrant le monde à un bébé femelle.
Un an plus tard, le petit oiseau a grandi et Zurita se retrouve de nouveau seule, Gazpacho ayant déniché une plus jeune compagne.
La solitude n'est pas facile à vivre. Zurita tombe malade, elle boîte.
L'histoire pourrait cependant bien se terminer car Patty McGill pense avoir trouvé le prince charmant: un manchot toujours célibataire d'un zoo du Wisconsin. Mais sera-t-il attiré par Zurita? "Vous pouvez faire le maximum, mais ils n'en font qu'à leur tête lorsqu'il s'agit de choisir un compagnon", constate, fataliste, Darlene Bronizwicz.
Surprise à Rome... ] - [ Yes @ 13:27:16 ]
Topless à la messe!
A Rome, des travaux de rénovation dans une église délabrée ont mis au jour deux statues dont le décolleté était dissimulé depuis plus de 130 ans par des corsets de bronze. Sculptées vers 1660 par Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin, l'un des plus grands artistes du baroque italien, les deux oeuvres avaient été recouvertes sous le coup de la censure à la fin du XIXe siècle. "Nous avons décidé de tout montrer", a expliqué à la presse le responsable de la restauration de l'église. Les deux sculptures en marbre révèlent deux femmes se tenant les seins dans les mains. Les parties couvertes sont restées intactes. Contrairement à un chérubin de marbre, qui une fois retiré le voile posé par les censeurs, a dévoilé un entrejambe dépourvu de sexe.
Topless à la messe!
A Rome, des travaux de rénovation dans une église délabrée ont mis au jour deux statues dont le décolleté était dissimulé depuis plus de 130 ans par des corsets de bronze. Sculptées vers 1660 par Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin, l'un des plus grands artistes du baroque italien, les deux oeuvres avaient été recouvertes sous le coup de la censure à la fin du XIXe siècle. "Nous avons décidé de tout montrer", a expliqué à la presse le responsable de la restauration de l'église. Les deux sculptures en marbre révèlent deux femmes se tenant les seins dans les mains. Les parties couvertes sont restées intactes. Contrairement à un chérubin de marbre, qui une fois retiré le voile posé par les censeurs, a dévoilé un entrejambe dépourvu de sexe.
[ Pourquoi se contenter de quatre ! ! ! ] - [ Yes @ 14:36:09 ]
Un prototype de voiture électrique à huit roues sur les routes du Japon.
Le prototype avancé d'une voiture électrique à huit roues motorisées conçu par des chercheurs de l'université Keio avec le soutien financier de trente-huit entreprises, a silloné pour la première fois mardi les routes du Japon, ont annoncé ses concepteurs.
Baptisée Eliica, (abbréviation de Electric Lithium-Ion battery Car - voiture électrique à batterie Lithium-Ion), cette berline de luxe à huit roues aux allures de DS Citroën nouvelle génération n'avait jusqu'à présent circulé que sur des circuits d'essais.
L'Eliica, qui mesure cinq mètres de long et pèse près de 2,5 tonnes, est censée symboliser la voiture familiale idéale de demain, aussi confortable que robuste, sûre et non polluante.
Elle est totalement alimentée par batteries et mue par un moteur placé dans chaque roue, ce qui élimine tous les problèmes de transmission habituels.
L'ambition des chercheurs est de produire et même de commercialiser un véhicule totalement électrique avec un moteur dans chaque roue qui offre au moins un niveau de performances en conduite supérieur à celui d'une berline à essence, tout en étant nettement plus écologique et économique.
Elle doit pouvoir atteindre la vitesse de 160 km/h en une seconde, rouler à la vitesse de 400 km/h et ne coûter que 100 yens (moins de 1 euro) pour 100 kilomètres de parcours.
Parmi les nombreux partenaires financiers de ce projet figurent Bridgestone, Pioneer, Daiwa House Industry ou encore Japan Airlines
Un prototype de voiture électrique à huit roues sur les routes du Japon.
Le prototype avancé d'une voiture électrique à huit roues motorisées conçu par des chercheurs de l'université Keio avec le soutien financier de trente-huit entreprises, a silloné pour la première fois mardi les routes du Japon, ont annoncé ses concepteurs.
Baptisée Eliica, (abbréviation de Electric Lithium-Ion battery Car - voiture électrique à batterie Lithium-Ion), cette berline de luxe à huit roues aux allures de DS Citroën nouvelle génération n'avait jusqu'à présent circulé que sur des circuits d'essais.
L'Eliica, qui mesure cinq mètres de long et pèse près de 2,5 tonnes, est censée symboliser la voiture familiale idéale de demain, aussi confortable que robuste, sûre et non polluante.
Elle est totalement alimentée par batteries et mue par un moteur placé dans chaque roue, ce qui élimine tous les problèmes de transmission habituels.
L'ambition des chercheurs est de produire et même de commercialiser un véhicule totalement électrique avec un moteur dans chaque roue qui offre au moins un niveau de performances en conduite supérieur à celui d'une berline à essence, tout en étant nettement plus écologique et économique.
Elle doit pouvoir atteindre la vitesse de 160 km/h en une seconde, rouler à la vitesse de 400 km/h et ne coûter que 100 yens (moins de 1 euro) pour 100 kilomètres de parcours.
Parmi les nombreux partenaires financiers de ce projet figurent Bridgestone, Pioneer, Daiwa House Industry ou encore Japan Airlines
Une citation de 63 caractères, plus long nom de site internet
2005-07-01 14:36:35
PARIS (AFP)
Le nom de domaine le plus long jamais enregistré sur internet est une citation de l'écrivain allemand Friedrich Schiller enregistrée par un institut allemand, à l'occasion du 200e anniversaire de la mort de l'auteur de la pièce "Les brigands" et "Don Carlo".
Selon le site domaines.info, spécialisé dans les noms de domaines, qui publie l'information, le nom d'une longueur de 63 caractères, le maximum autorisé, veut approximativement dire "La façon dont un humain traite sa langue maternelle montre à quel point il est humain".
"http://wiemenschlichmenschensindzeigtih ... hefrsch.de" renvoie sur le site qui veut défendre la langue allemande.
2005-07-01 14:36:35
PARIS (AFP)
Le nom de domaine le plus long jamais enregistré sur internet est une citation de l'écrivain allemand Friedrich Schiller enregistrée par un institut allemand, à l'occasion du 200e anniversaire de la mort de l'auteur de la pièce "Les brigands" et "Don Carlo".
Selon le site domaines.info, spécialisé dans les noms de domaines, qui publie l'information, le nom d'une longueur de 63 caractères, le maximum autorisé, veut approximativement dire "La façon dont un humain traite sa langue maternelle montre à quel point il est humain".
"http://wiemenschlichmenschensindzeigtih ... hefrsch.de" renvoie sur le site qui veut défendre la langue allemande.
Un fabricant italien de cercueils lance le modèle "Wojtyla"
2005-07-05 18:21:18
ROME (AFP)
Un fabricant de cercueils du nord de l'Italie a créé un modèle de bière en cyprès identique à celui dans lequel le pape Jean Paul II fut exposé le 8 avril dernier au cours de ses funérailles, et en fait la promotion dans la presse locale.
"Les cercueils en cyprès modèle +Woltyla+ s'arrachent". C'est avec cette publicité, parue dans la "Voce di Romagna" (La voix de l'Emilie-Romagne), qu'une société de Cesena (nord) tente d'attirer de nouveaux clients.
Interrogé par la presse italienne, Amerigo Barbieri, patron de la "Barbieri Fratelli di Primo", a précisé qu'une centaine de modèles de la collection "Wojtyla" avaient été vendus depuis le mois d'avril.
La première fois, "c'est une société de pompes funèbres qui nous a appelés, car une famille voulait savoir s'il était possible d'obtenir le même modèle", a expliqué M. Barbieri, dont l'entreprise familiale travaille sur le secteur depuis 70 ans. "Puis, en quelques jours, beaucoup d'autres demandes nous sont parvenues", a poursuivi M. Barbieri, indiquant que ce modèle ne coûtait "pas plus cher que les autres".
A première vue très austère, le modèle en cyprès de Toscane (centre de l'Italie) n'en est pas moins "fort, résistant et résineux", a précisé le patron de l'entreprise.
La promotion du modèle Wojtyla dans la presse a suscité une certaine émotion dans la Péninsule.
2005-07-05 18:21:18
ROME (AFP)
Un fabricant de cercueils du nord de l'Italie a créé un modèle de bière en cyprès identique à celui dans lequel le pape Jean Paul II fut exposé le 8 avril dernier au cours de ses funérailles, et en fait la promotion dans la presse locale.
"Les cercueils en cyprès modèle +Woltyla+ s'arrachent". C'est avec cette publicité, parue dans la "Voce di Romagna" (La voix de l'Emilie-Romagne), qu'une société de Cesena (nord) tente d'attirer de nouveaux clients.
Interrogé par la presse italienne, Amerigo Barbieri, patron de la "Barbieri Fratelli di Primo", a précisé qu'une centaine de modèles de la collection "Wojtyla" avaient été vendus depuis le mois d'avril.
La première fois, "c'est une société de pompes funèbres qui nous a appelés, car une famille voulait savoir s'il était possible d'obtenir le même modèle", a expliqué M. Barbieri, dont l'entreprise familiale travaille sur le secteur depuis 70 ans. "Puis, en quelques jours, beaucoup d'autres demandes nous sont parvenues", a poursuivi M. Barbieri, indiquant que ce modèle ne coûtait "pas plus cher que les autres".
A première vue très austère, le modèle en cyprès de Toscane (centre de l'Italie) n'en est pas moins "fort, résistant et résineux", a précisé le patron de l'entreprise.
La promotion du modèle Wojtyla dans la presse a suscité une certaine émotion dans la Péninsule.
Naissance de sextuplés au Mexique
=
Agence France-Presse
Une Mexicaine de 25 ans a donné naissance mardi à des sextuplés, six filles, dans une maternité de Monterrey, dans le nord du Mexique, a annoncé le Centre de gynécologie de Monterrey.
Les six filles sont en bonne santé. Elles pèsent entre 1,1 et 1,3 kg et mesurent de 38 à 41 cm.
Il s'agissait de la première grossesse de la jeune femme, qui a dû accoucher par césarienne.
La directrice de la maternité Maria Elena Vazquez a raconté que l'accouchement s'était déroulé sans problème et très rapidement: "La première fillette est née, puis les cinq autres sont sorties à une minute d'intervalle".
Elles ont aussitôt été placées sous surveillance et resteront en couveuse entre cinq et sept semaines.
Les parents, précise la directrice de la maternité, "sont très préoccupés" car ils disposent de faibles ressources. L'hôpital de Monterrey a lancé un appel aux dons pour aider la famille.
=
Agence France-Presse
Une Mexicaine de 25 ans a donné naissance mardi à des sextuplés, six filles, dans une maternité de Monterrey, dans le nord du Mexique, a annoncé le Centre de gynécologie de Monterrey.
Les six filles sont en bonne santé. Elles pèsent entre 1,1 et 1,3 kg et mesurent de 38 à 41 cm.
Il s'agissait de la première grossesse de la jeune femme, qui a dû accoucher par césarienne.
La directrice de la maternité Maria Elena Vazquez a raconté que l'accouchement s'était déroulé sans problème et très rapidement: "La première fillette est née, puis les cinq autres sont sorties à une minute d'intervalle".
Elles ont aussitôt été placées sous surveillance et resteront en couveuse entre cinq et sept semaines.
Les parents, précise la directrice de la maternité, "sont très préoccupés" car ils disposent de faibles ressources. L'hôpital de Monterrey a lancé un appel aux dons pour aider la famille.
Un Japonais champion des mangeurs de hot dogs
Presse Canadienne
NEW YORK (AP) - Il n'a pas battu son record du monde mais il n'a toujours pas d'adversaire à sa taille. Le Japonais Takeru Kobayashi a remporté lundi le concours de mangeurs de hot dogs de Nathan's Famous à Coney Island, la station balnéaire new-yorkaise, pour la cinquième année consécutive, avec 49 sandwichs engloutis en douze minutes.
Le Japonais n'a pas égalé la performance de 53 hot dogs et demi réalisée l'an dernier lors du fameux concours de goinfrerie organisé le jour de la fête nationale américaine.
Agé de 27 ans, le vainqueur, mesurant 1,67 m pour 65 kg, n'a pas un physique hors norme mais le Japon est devenu la patrie des goinfres avec 9 titres remportés dans cette compétition lors des dix dernières années.
Le principal adversaire de Kobayashi a été l'Américaine Sonya Thomas, surnommé la "Veuve noire" par ses concurrents, qui a établi le nouveau record des Etats-Unis avec 37 hot dogs avalés en 12 minutes.
Cette gérante de fast-food a élaboré une technique particulière pour cet exploit: elle sépare pain et saucisse pour les manger séparément et plonge le pain dans l'eau pour éviter de mâcher trop longtemps.
"Je veux être la numéro 1 mondiale, alors je m'entraîne. Je travaille ma rapidité", a-t-elle expliqué à la chaîne CNN après le concours.
Presse Canadienne
NEW YORK (AP) - Il n'a pas battu son record du monde mais il n'a toujours pas d'adversaire à sa taille. Le Japonais Takeru Kobayashi a remporté lundi le concours de mangeurs de hot dogs de Nathan's Famous à Coney Island, la station balnéaire new-yorkaise, pour la cinquième année consécutive, avec 49 sandwichs engloutis en douze minutes.
Le Japonais n'a pas égalé la performance de 53 hot dogs et demi réalisée l'an dernier lors du fameux concours de goinfrerie organisé le jour de la fête nationale américaine.
Agé de 27 ans, le vainqueur, mesurant 1,67 m pour 65 kg, n'a pas un physique hors norme mais le Japon est devenu la patrie des goinfres avec 9 titres remportés dans cette compétition lors des dix dernières années.
Le principal adversaire de Kobayashi a été l'Américaine Sonya Thomas, surnommé la "Veuve noire" par ses concurrents, qui a établi le nouveau record des Etats-Unis avec 37 hot dogs avalés en 12 minutes.
Cette gérante de fast-food a élaboré une technique particulière pour cet exploit: elle sépare pain et saucisse pour les manger séparément et plonge le pain dans l'eau pour éviter de mâcher trop longtemps.
"Je veux être la numéro 1 mondiale, alors je m'entraîne. Je travaille ma rapidité", a-t-elle expliqué à la chaîne CNN après le concours.
Blessé sur la route, un Polonais se jette de l'hélicoptère qui le transportait à l'hôpital
Presse Canadienne
VARSOVIE (AP) - Apparemment mécontent d'avoir été secouru, un Polonais blessé dans un accident de la route a attaqué un infirmier avant de se jeter du haut de l'hélicoptère qui le transportait à l'hôpital.
L'homme, âgé de 43 ans, est mort après une chute de 20 mètres. Le secouriste agressé, resté dans l'hélicoptère, s'en est tiré avec une jambe cassée, selon la police de Sosnowiec, dans le sud du pays.
Une enquête a été lancée pour déterminer les causes de l'incident.
Presse Canadienne
VARSOVIE (AP) - Apparemment mécontent d'avoir été secouru, un Polonais blessé dans un accident de la route a attaqué un infirmier avant de se jeter du haut de l'hélicoptère qui le transportait à l'hôpital.
L'homme, âgé de 43 ans, est mort après une chute de 20 mètres. Le secouriste agressé, resté dans l'hélicoptère, s'en est tiré avec une jambe cassée, selon la police de Sosnowiec, dans le sud du pays.
Une enquête a été lancée pour déterminer les causes de l'incident.
Extermination de chèvres dans des îles mexicaines, pour protéger la flore
Agence France-Presse
Le ministère mexicain de l'Environnement a mis en oeuvre un programme d'extermination des chèvres de plusieurs îles du golfe de Californie, dans le nord-ouest du Mexique, estimant qu'elles menacent la flore, a annoncé lundi le ministère.
"Dans l'île du Saint-Esprit, nous avons déjà exterminé 1.500 des 5.000 chèvres que nous devons abattre", a déclaré un responsable de l'environnement de l'Etat de Basse Californie, Carlos Fernando Aceves.
La Semarnat a ordonné aux habitants de l'île Cerralvo d'abattre le millier de chèvres de l'île, faute de quoi ils seront expropriés, a précisé Carlos Fernando Aceves.
Agence France-Presse
Le ministère mexicain de l'Environnement a mis en oeuvre un programme d'extermination des chèvres de plusieurs îles du golfe de Californie, dans le nord-ouest du Mexique, estimant qu'elles menacent la flore, a annoncé lundi le ministère.
"Dans l'île du Saint-Esprit, nous avons déjà exterminé 1.500 des 5.000 chèvres que nous devons abattre", a déclaré un responsable de l'environnement de l'Etat de Basse Californie, Carlos Fernando Aceves.
La Semarnat a ordonné aux habitants de l'île Cerralvo d'abattre le millier de chèvres de l'île, faute de quoi ils seront expropriés, a précisé Carlos Fernando Aceves.
Un vieux marin nippon probablement mort par fidélité au milieu du Pacifique
Agence France-Presse
Un Américain d'origine nippone de 81 ans, navigateur en solitaire qui avait ramené au Japon les cendres de sa défunte épouse, est très probablement mort au milieu du Pacifique sur le chemin du retour, après avoir accompli son voeu, a indiqué mardi la garde côtière japonaise.
L'an dernier, Sakae Hatashita, né aux Etats-Unis mais élevé au Japon, avait vendu sa maison pour acheter un yacht à moteur, le Miya, et ramener à bord les cendres de son épouse Shizuko, décédée huit ans plus tôt, vers la terre de ses ancêtres.
Après de longues semaines de navigation, il avait finalement atteint les côtes nippones en décembre dernier, blessé au bras après une collision avec un chalutier pendant sa traversée, et avait pu déposer les cendres de sa femme dans le tombeau familial de Nagano (centre du Japon).
Le 15 juin, le veuf décide de reprendre la mer pour rentrer aux Etats-Unis, sourd aux conseils de nombreux marins et fonctionnaires qui voulaient l'en dissuader en raison de son âge et de sa faiblesse physique. Il avait appareillé du port de Miura, au sud de Tokyo, où il avait rencontré son épouse.
Lundi, des pêcheurs croisant à quelque 1.400 km au nord du Japon, ont aperçu le Miya à la dérive avec, gisant sur le pont, un homme inanimé. Le chalutier est resté à proximité du yacht en attendant l'arrivée des garde-côtes.
"On nous dit qu'il y a un homme qui ne bouge pas sur le voilier et qui ne répond pas aux appels du chalutier", a expliqué un porte-parole des garde-côtes.
Agence France-Presse
Un Américain d'origine nippone de 81 ans, navigateur en solitaire qui avait ramené au Japon les cendres de sa défunte épouse, est très probablement mort au milieu du Pacifique sur le chemin du retour, après avoir accompli son voeu, a indiqué mardi la garde côtière japonaise.
L'an dernier, Sakae Hatashita, né aux Etats-Unis mais élevé au Japon, avait vendu sa maison pour acheter un yacht à moteur, le Miya, et ramener à bord les cendres de son épouse Shizuko, décédée huit ans plus tôt, vers la terre de ses ancêtres.
Après de longues semaines de navigation, il avait finalement atteint les côtes nippones en décembre dernier, blessé au bras après une collision avec un chalutier pendant sa traversée, et avait pu déposer les cendres de sa femme dans le tombeau familial de Nagano (centre du Japon).
Le 15 juin, le veuf décide de reprendre la mer pour rentrer aux Etats-Unis, sourd aux conseils de nombreux marins et fonctionnaires qui voulaient l'en dissuader en raison de son âge et de sa faiblesse physique. Il avait appareillé du port de Miura, au sud de Tokyo, où il avait rencontré son épouse.
Lundi, des pêcheurs croisant à quelque 1.400 km au nord du Japon, ont aperçu le Miya à la dérive avec, gisant sur le pont, un homme inanimé. Le chalutier est resté à proximité du yacht en attendant l'arrivée des garde-côtes.
"On nous dit qu'il y a un homme qui ne bouge pas sur le voilier et qui ne répond pas aux appels du chalutier", a expliqué un porte-parole des garde-côtes.
Découverte d'une nouvelle espèce de dauphin en Australie
Presse Canadienne
SYDNEY (AP) - Des chercheurs australiens ont annoncé mardi avoir identifié une nouvelle espèce de dauphin vivant dans les eaux côtières du nord de l'Australie.
L'"Orcaella heinsohni", tel est son nom scientifique, est apparenté aux dauphins de l'Irrawaddy, qui vivent le long des côtes et dans les fleuves en Asie et dans le nord de l'Australie. Il a été formellement identifié grâce à des recherches génétiques menées en Californie, ont précisé des chercheurs de l'Etat australien du Queensland.
"Il y a des différences claires entre les deux populations qui n'avaient pas été reconnues auparavant et elles ont été confirmées par les études d'ADN", a souligné Isabel Beasley, une étudiante en doctorat à l'université James Cook. La chercheuse et Peter Arnold du Musée du Queensland tropical ont examiné les crânes et pris des mesures externes des deux espèces.
Mme Beasley a averti que ces dauphins étaient menacés par l'homme parce qu'ils vivent dans des eaux du littoral peu profondes. "Parce qu'ils vivent dans cet environnement, ils sont exposés à de nombreuses menaces humaines comme une capture accidentelle dans des filets de pêche ou les effets du développement côtier", a-t-elle expliqué.
Le nom scientifique de la nouvelle espèce a été donné en l'honneur de George Heinsohn, chercheur de l'université James Cook, qui a examiné des carcasses de dauphin retrouvées échouées ou prises dans des filets dans les années 60 et 70. Ces analyses ont aidé à identifier l'"Orcaella heinsohni" comme étant une espèce distincte.
Presse Canadienne
SYDNEY (AP) - Des chercheurs australiens ont annoncé mardi avoir identifié une nouvelle espèce de dauphin vivant dans les eaux côtières du nord de l'Australie.
L'"Orcaella heinsohni", tel est son nom scientifique, est apparenté aux dauphins de l'Irrawaddy, qui vivent le long des côtes et dans les fleuves en Asie et dans le nord de l'Australie. Il a été formellement identifié grâce à des recherches génétiques menées en Californie, ont précisé des chercheurs de l'Etat australien du Queensland.
"Il y a des différences claires entre les deux populations qui n'avaient pas été reconnues auparavant et elles ont été confirmées par les études d'ADN", a souligné Isabel Beasley, une étudiante en doctorat à l'université James Cook. La chercheuse et Peter Arnold du Musée du Queensland tropical ont examiné les crânes et pris des mesures externes des deux espèces.
Mme Beasley a averti que ces dauphins étaient menacés par l'homme parce qu'ils vivent dans des eaux du littoral peu profondes. "Parce qu'ils vivent dans cet environnement, ils sont exposés à de nombreuses menaces humaines comme une capture accidentelle dans des filets de pêche ou les effets du développement côtier", a-t-elle expliqué.
Le nom scientifique de la nouvelle espèce a été donné en l'honneur de George Heinsohn, chercheur de l'université James Cook, qui a examiné des carcasses de dauphin retrouvées échouées ou prises dans des filets dans les années 60 et 70. Ces analyses ont aidé à identifier l'"Orcaella heinsohni" comme étant une espèce distincte.
Un couple ayant 14 enfants gagne 500 000 $ à la loterie Atlantic Payday
Presse Canadienne
DIGBY (PC) - Un couple du comté de Digby en Nouvelle-Ecosse a gagné 500 000 $ à la loterie.
Mary et Aaron Cole, de North Range, qui sont à la tête d'une famille de 14 enfants, ont remporté le tirage du 30 juin de la loterie Atlantic Payday.
Les heureux gagnants ont déclaré que leur premier gros achat serait une nouvelle fourgonnette.
Presse Canadienne
DIGBY (PC) - Un couple du comté de Digby en Nouvelle-Ecosse a gagné 500 000 $ à la loterie.
Mary et Aaron Cole, de North Range, qui sont à la tête d'une famille de 14 enfants, ont remporté le tirage du 30 juin de la loterie Atlantic Payday.
Les heureux gagnants ont déclaré que leur premier gros achat serait une nouvelle fourgonnette.
Le mardi 05 juillet 2005
La promesse de récompense n'a pas prouvé l'existence du tigre de Tasmanie
Agence France-Presse
La promesse d'une récompense de 1,25 million de dollars australiens (929.000 USD) n'a pas réussi à prouver qu'il existait encore des tigres de Tasmanie vivants.
Un magazine australien, The Bulletin, avait pris cette initiative en mars car bien que le dernier tigre de Tasmanie, également appelé thylacine, soit officiellement mort dans un zoo d'Hobart en 1936, l'animal aurait été aperçu depuis à de nombreuses reprises.
Comme aucun de ces témoignages n'était assorti d'une preuve concrète, le respectable hebdomadaire avait offert la récompense pour "résoudre l'un des mystères les plus tenaces d'Australie".
Mais le délai a passé et le rédacteur en chef Gary Linnell a reconnu que, malgré un regain d'interêt sans précédent, "pas l'ombre d'une preuve, pas un os, pas une crotte, pas un poil" n'ont été produits.
En début d'année, le Musée australien avait abandonné une tentative de clonage de l'animal à partir de l'ADN d'un spécimen conservé dans l'établissement.
Le thylacine était un marsupial carnivore, dont l'apparence était proche de celle d'un chien, qui a prospéré sur l'île de Tasmanie dans le sud de l'Australie jusqu'à l'arrivée des Européens
La promesse de récompense n'a pas prouvé l'existence du tigre de Tasmanie
Agence France-Presse
La promesse d'une récompense de 1,25 million de dollars australiens (929.000 USD) n'a pas réussi à prouver qu'il existait encore des tigres de Tasmanie vivants.
Un magazine australien, The Bulletin, avait pris cette initiative en mars car bien que le dernier tigre de Tasmanie, également appelé thylacine, soit officiellement mort dans un zoo d'Hobart en 1936, l'animal aurait été aperçu depuis à de nombreuses reprises.
Comme aucun de ces témoignages n'était assorti d'une preuve concrète, le respectable hebdomadaire avait offert la récompense pour "résoudre l'un des mystères les plus tenaces d'Australie".
Mais le délai a passé et le rédacteur en chef Gary Linnell a reconnu que, malgré un regain d'interêt sans précédent, "pas l'ombre d'une preuve, pas un os, pas une crotte, pas un poil" n'ont été produits.
En début d'année, le Musée australien avait abandonné une tentative de clonage de l'animal à partir de l'ADN d'un spécimen conservé dans l'établissement.
Le thylacine était un marsupial carnivore, dont l'apparence était proche de celle d'un chien, qui a prospéré sur l'île de Tasmanie dans le sud de l'Australie jusqu'à l'arrivée des Européens
La voiture d'un mari volage vendue sur Internet
Agence France-Presse
Londres
Une femme s'est vengée de son mari un peu trop dragueur, en vendant sa voiture de sport sur Internet pour quelques centimes.
Le mari, Tim Shaw, âgé de 30 ans, avait fait une déclaration à Jodie Marsh, une pin-up en vogue outre-Manche, pendant une émission qu'il anime sur une radio de Birmingham. Il avait même déclaré qu'il quitterait sur le champ sa femme et ses deux enfants pour la jeune femme que l'on voit souvent peu vêtue dans les quotidiens populaires.
On ne sait pas si l'intéressée a entendu la proposition, en revanche la femme de Tim a bien reçu le message.
Hayley Shaw, 27 ans, a aussitôt mis en vente la rutilante Lotus Esprit Turbo de son mari sur ebay, un site d'enchères sur internet. Elle proposait la voiture qui coûte près de 25 000 livres (56 000 $), pour 50 pence (1,12 $).
Un message décrivant le produit accompagnait cette bonne affaire: «Je dois me débarrasser de cette voiture immédiatement, si possible dans les prochaines deux ou trois heures avant que mon... mari ne rentre à la maison, qu'il ne se rende compte qu'elle a disparu et qu'il ne découvre toutes ses affaires sur le trottoir».
La voiture a été vendue en cinq minutes, le nom de l'heureux acquéreur n'est pas connu.
Agence France-Presse
Londres
Une femme s'est vengée de son mari un peu trop dragueur, en vendant sa voiture de sport sur Internet pour quelques centimes.
Le mari, Tim Shaw, âgé de 30 ans, avait fait une déclaration à Jodie Marsh, une pin-up en vogue outre-Manche, pendant une émission qu'il anime sur une radio de Birmingham. Il avait même déclaré qu'il quitterait sur le champ sa femme et ses deux enfants pour la jeune femme que l'on voit souvent peu vêtue dans les quotidiens populaires.
On ne sait pas si l'intéressée a entendu la proposition, en revanche la femme de Tim a bien reçu le message.
Hayley Shaw, 27 ans, a aussitôt mis en vente la rutilante Lotus Esprit Turbo de son mari sur ebay, un site d'enchères sur internet. Elle proposait la voiture qui coûte près de 25 000 livres (56 000 $), pour 50 pence (1,12 $).
Un message décrivant le produit accompagnait cette bonne affaire: «Je dois me débarrasser de cette voiture immédiatement, si possible dans les prochaines deux ou trois heures avant que mon... mari ne rentre à la maison, qu'il ne se rende compte qu'elle a disparu et qu'il ne découvre toutes ses affaires sur le trottoir».
La voiture a été vendue en cinq minutes, le nom de l'heureux acquéreur n'est pas connu.
Près de 40 millions de numéros de cartes bancaires auraient été dérobés aux États-Unis
lors du piratage d'un prestataire de paiement. Il s'agirait essentiellement de numéros de cartes Visa et Mastercard.
Cela pourrait presque faire rire : tout juste un mois après que le Forum des Droits sur l'Internet se soit ridiculisé en affirmant dans un rapport tartuffe "l'inexistence du piratage de la carte bancaire sur Internet", voilà que disparaissent, sur Internet justement, près de quarante millions de ces mêmes cartes.
L'affaire a été découverte le mois dernier par le service de lutte contre la fraude de la société Mastercard. Après un mois d'enquête, la société a pu déterminer que les numéros avaient été dérobés chez un prestataire de paiement, la société américaine CardSystems Solutions. Bilan des courses : aux 14 millions de numéros de cartes émis par Mastercard viennent s'ajouter 20 millions de numéros Visa et environ quatre millions de numéros American Express et autres cartes locales. Avec au total quarante millions de numéros envolés, il s'agit de la plus grosse affaire de ce type révélée à ce jour.
Selon les premières informations parues dans la presse anglo-saxonne, il s'agirait bien d'un piratage et non d'un vol de disques durs ou de sauvegardes : le pirate aurait profité d'une série de vulnérabilités dans le système d'information de CardSystems pour y naviguer à sa guise et dérober les numéros.
Rappelons que lors d'un paiement en ligne, le numéro de carte bancaire envoyé par l'Internaute peut avoir deux destinations très différentes :
il peut être adressé directement au marchand, qui se charge alors de le soumettre à la banque et éventuellement de le conserver (c'est l'option la plus risquée) ;
à l'inverse, le marchand peut choisir de passer par un prestataire de paiement : il ne voit alors jamais le numéro au complet mais reçoit simplement l'accord de la banque via le prestataire, qui s'est chargé de jouer le rôle d'intermédiaire entre l'Internaute et sa banque.
C'est ce prestataire, ensuite, qui stocke le numéro. En théorie, c'est une approche plus sûre... sauf lorsque c'est le prestataire lui-même qui se fait pirater !
Face à ces risques, il n'y a que deux solutions : ne rien acheter sur Internet ou avoir recours à un service de numéros virtuels à usage unique. Ce n'est bien sûr pas la panacée (quelqu'un peut s'emparer de votre compte ou le service peut être détourné) mais c'est nettement moins risqué : ce service génère un numéro de carte bancaire unique à chaque achat, dont le montant est plafonné. Si le marchand tente de débiter plus, ou si le numéro est volé ultérieurement, l'opération échouera.
Seul vrai risque de cette solution : celui de dépenser beaucoup plus sur Internet une fois mis en confiance !
lors du piratage d'un prestataire de paiement. Il s'agirait essentiellement de numéros de cartes Visa et Mastercard.
Cela pourrait presque faire rire : tout juste un mois après que le Forum des Droits sur l'Internet se soit ridiculisé en affirmant dans un rapport tartuffe "l'inexistence du piratage de la carte bancaire sur Internet", voilà que disparaissent, sur Internet justement, près de quarante millions de ces mêmes cartes.
L'affaire a été découverte le mois dernier par le service de lutte contre la fraude de la société Mastercard. Après un mois d'enquête, la société a pu déterminer que les numéros avaient été dérobés chez un prestataire de paiement, la société américaine CardSystems Solutions. Bilan des courses : aux 14 millions de numéros de cartes émis par Mastercard viennent s'ajouter 20 millions de numéros Visa et environ quatre millions de numéros American Express et autres cartes locales. Avec au total quarante millions de numéros envolés, il s'agit de la plus grosse affaire de ce type révélée à ce jour.
Selon les premières informations parues dans la presse anglo-saxonne, il s'agirait bien d'un piratage et non d'un vol de disques durs ou de sauvegardes : le pirate aurait profité d'une série de vulnérabilités dans le système d'information de CardSystems pour y naviguer à sa guise et dérober les numéros.
Rappelons que lors d'un paiement en ligne, le numéro de carte bancaire envoyé par l'Internaute peut avoir deux destinations très différentes :
il peut être adressé directement au marchand, qui se charge alors de le soumettre à la banque et éventuellement de le conserver (c'est l'option la plus risquée) ;
à l'inverse, le marchand peut choisir de passer par un prestataire de paiement : il ne voit alors jamais le numéro au complet mais reçoit simplement l'accord de la banque via le prestataire, qui s'est chargé de jouer le rôle d'intermédiaire entre l'Internaute et sa banque.
C'est ce prestataire, ensuite, qui stocke le numéro. En théorie, c'est une approche plus sûre... sauf lorsque c'est le prestataire lui-même qui se fait pirater !
Face à ces risques, il n'y a que deux solutions : ne rien acheter sur Internet ou avoir recours à un service de numéros virtuels à usage unique. Ce n'est bien sûr pas la panacée (quelqu'un peut s'emparer de votre compte ou le service peut être détourné) mais c'est nettement moins risqué : ce service génère un numéro de carte bancaire unique à chaque achat, dont le montant est plafonné. Si le marchand tente de débiter plus, ou si le numéro est volé ultérieurement, l'opération échouera.
Seul vrai risque de cette solution : celui de dépenser beaucoup plus sur Internet une fois mis en confiance !