tuberale a écritLe commentaire d'un bloquiste sur Frulla jugé raciste et sexiste
Presse Canadienne
Un porte-parole de la communauté italo-québécoise est indigné par les propos du candidat bloquiste Thierry Saint-Cyr rapportés dans un journal communautaire, à l'effet que la candidate libérale Liza Frulla n'a rien d'autre à apporter au débat public que sa recette de sauce à spaghetti.
Giuliano D'Andrea qualifie ces propos de sexistes et de racistes. Il craint que par leur teneur, M.Saint-Cyr veuille aussi dire que la place de Mme Frulla est dans sa cuisine, à l'instar d'autres femmes faisant de la politique.
L'an dernier, Mme Frulla avait fait paraître une recette de sauce à spaghetti sur le calendrier qu'elle a fait distribuer dans sa circonscrïption de Jeanne-Le-Ber, dans le sud-ouest de Montréal. L'initiative avait déplu à son adversaire Thierry Saint-Cyr parce qu'elle avait été financée par les contribuables.
L'organisation électorale de Liza Frulla n'a pas commenté les récentes déclarations de Thierry Saint-Cyr.
Giuliano D'Andrea, un ancien dirigeant d'Alliance-Québec, déplore que ce commentaire du candidat bloquiste entretienne des stéréotypes à l'endroit de la communauté iralienne qui a peine à se relever de toutes les allégations mafieuses du scandale des commandites.
Aux élections de 2004, Mme Frulla n'a défait M.Saint-Cyr que par 72 votes sur quelque 40 000 voix exprimées dans Jeanne-Le-Ber.
Franchement
On ne fait plus de jokes avec le spaghetti ou la lasagne maintenant, c'est racisme
Élections fédérales 2006
Duceppe veut obtenir une majorité absolue
PC
Édition du samedi 10 et du dimanche 11 décembre 2005
Saguenay -- Toujours aussi dominant dans les sondages, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a ouvert son jeu, hier, et a évoqué pour la première fois de la campagne électorale la possibilité de remporter une majorité absolue des voix, le 23 janvier.
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, croit aujourd’hui possible d’obtenir une majorité absolue des voix lors des élections fédérales.
Jacques Nadeau
«C'est un peu normal que je dise qu'on veuille avoir plus de députés et un meilleur pourcentage», a déclaré M. Duceppe lors d'un point de presse au Saguenay-Lac-Saint-Jean, une région où le Bloc cherche à conserver sa mainmise.
«Obtenir le 50 % plus un, dans tout défi, c'est obtenir la majorité absolue, a-t-il souligné. C'est bien sûr qu'à ce moment-là, on dit "il y a une majorité absolue de gens qui nous appuie". C'est drôlement important. Et pour le mouvement souverainiste, ça serait la première fois. Fait que je ne suis pas pour cacher que, bien sûr, on serait très fiers de franchir la barre du 50 % plus un.»
Quand un journaliste a demandé au chef bloquiste si une majorité absolue des voix donnerait un élan au projet souverainiste, il n'a pas complètement nié.
«L'élan, ça se travaille tous les jours et, vous savez, il faut pratiquer pour ça, a-t-il illustré. Si je prends le baseball pour exemple, il ne suffit pas d'avoir l'élan, il faut frapper la balle. Il y a des gens qui ont des beaux élans et qui passent à côté. [...] On va prendre ça étape par étape, lancer par lancer.»
Le chef libéral, Paul Martin, qui tente de faire de la question référendaire l'enjeu central de la campagne au Québec, n'a pas tardé à s'emparer des propos optimistes de Gilles Duceppe.
«C'est clair que les séparatistes sont là pour élire des députés pour faire la séparation», a-t-il affirmé à Windsor, en Ontario.
Le Bloc, qui existe depuis 1990, n'a jamais recueilli plus de 50 % des suffrages. En 1993, il a obtenu son meilleur résultat historique, soit 49,3 % et 54 sièges. En 2004, malgré la colère engendrée par le scandale des commandites, le parti souverainiste fédéral a aussi fait élire 54 députés, avec 48,9 % des voix.
Lors du référendum de 1995 sur l'avenir du Québec, le OUI avait obtenu l'appui de 49,4 % des électeurs.
Après le Saguenay-Lac-Saint-Jean, hier, le chef du Bloc fera campagne aujourd'hui à Lebel-sur-Quévillon et à Val-d'Or.
PC
Édition du samedi 10 et du dimanche 11 décembre 2005
Saguenay -- Toujours aussi dominant dans les sondages, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a ouvert son jeu, hier, et a évoqué pour la première fois de la campagne électorale la possibilité de remporter une majorité absolue des voix, le 23 janvier.
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, croit aujourd’hui possible d’obtenir une majorité absolue des voix lors des élections fédérales.
Jacques Nadeau
«C'est un peu normal que je dise qu'on veuille avoir plus de députés et un meilleur pourcentage», a déclaré M. Duceppe lors d'un point de presse au Saguenay-Lac-Saint-Jean, une région où le Bloc cherche à conserver sa mainmise.
«Obtenir le 50 % plus un, dans tout défi, c'est obtenir la majorité absolue, a-t-il souligné. C'est bien sûr qu'à ce moment-là, on dit "il y a une majorité absolue de gens qui nous appuie". C'est drôlement important. Et pour le mouvement souverainiste, ça serait la première fois. Fait que je ne suis pas pour cacher que, bien sûr, on serait très fiers de franchir la barre du 50 % plus un.»
Quand un journaliste a demandé au chef bloquiste si une majorité absolue des voix donnerait un élan au projet souverainiste, il n'a pas complètement nié.
«L'élan, ça se travaille tous les jours et, vous savez, il faut pratiquer pour ça, a-t-il illustré. Si je prends le baseball pour exemple, il ne suffit pas d'avoir l'élan, il faut frapper la balle. Il y a des gens qui ont des beaux élans et qui passent à côté. [...] On va prendre ça étape par étape, lancer par lancer.»
Le chef libéral, Paul Martin, qui tente de faire de la question référendaire l'enjeu central de la campagne au Québec, n'a pas tardé à s'emparer des propos optimistes de Gilles Duceppe.
«C'est clair que les séparatistes sont là pour élire des députés pour faire la séparation», a-t-il affirmé à Windsor, en Ontario.
Le Bloc, qui existe depuis 1990, n'a jamais recueilli plus de 50 % des suffrages. En 1993, il a obtenu son meilleur résultat historique, soit 49,3 % et 54 sièges. En 2004, malgré la colère engendrée par le scandale des commandites, le parti souverainiste fédéral a aussi fait élire 54 députés, avec 48,9 % des voix.
Lors du référendum de 1995 sur l'avenir du Québec, le OUI avait obtenu l'appui de 49,4 % des électeurs.
Après le Saguenay-Lac-Saint-Jean, hier, le chef du Bloc fera campagne aujourd'hui à Lebel-sur-Quévillon et à Val-d'Or.
Le Québec survit grâce à Ottawa, dit Hélène Sherrer
PC
Édition du samedi 10 et du dimanche 11 décembre 2005
Québec -- Plutôt que d'évoquer un faux déséquilibre fiscal, les Québécois doivent réaliser qu'ils vivent dans «une province très pauvre», dépendante de la générosité du fédéralisme canadien, a estimé hier l'ex-ministre et candidate libérale dans la région de Québec, Hélène Chalifour Sherrer.
«Contrairement à la croyance populaire, la province de Québec est une province qui est très pauvre», a fait valoir Mme Chalifour Sherrer, lors d'un point de presse à Québec, à l'occasion du lancement officiel de la campagne des libéraux de Paul Martin dans la capitale.
«Les gens ont encore l'impression que la province de Québec est la vache à lait de l'ensemble du Canada. Ce n'est pas le cas. La province de Québec a besoin de la péréquation et de vivre de l'argent de l'Alberta, de l'Ontario et de la Colombie-Britannique, faute de quoi, elle n'arriverait pas», a-t-elle ajouté.
Seule membre du cabinet Martin présente au lancement, la ministre des Affaires intergouvernementales, Lucienne Robillard, a acquiescé aux propos de Mme Chalifour Sherrer.
«Heureusement que le gouvernement du Canada est là pour faire la répartition de la richesse», a-t-elle mentionné.
De même, le déséquilibre fiscal unanimement évoqué par l'Assemblée nationale pour expliquer les difficultés financières de l'État n'est qu'un mythe, pensent les deux femmes.
«J'ai toujours dit que nous ne croyons pas qu'il y ait un déséquilibre fiscal vertical [entre les provinces et Ottawa] dans ce pays. Nous avons un problème horizontal, certaines provinces sont plus riches que d'autres», a dit Mme Robillard.
Et pour corriger ce phénomène et faire progresser les dossiers chers au Québec, le Bloc québécois n'est d'aucune utilité, a renchéri Mme Chalifour Sherrer.
Les députés du Bloc, a-t-elle insisté, «n'ont pas d'entrées» dans les cercles du pouvoir.
«Ou alors ils ne souhaitent pas que cela fonctionne. C'est bien plus facile de dire que le gouvernement fédéral n'est pas utile ici.»
À son avis, l'élection d'un seul candidat libéral dans tout l'est du Québec au scrutin de 2004 a eu indubitablement un impact négatif sur le développement de la grande région de Québec.
«Il y a sept députés bloquistes qui ont promis, aux dernières élections, de représenter les intérêts de la région. Seize mois plus tard, la seule chose qu'ils ont à fêter ces gens-là, ce sont des fermetures. [...] La région de Québec n'a pas eu de champion pour mener de l'avant certains dossiers», a-t-elle affirmé.
Saisissant la balle au bond, la ministre Robillard a rappelé qu'il valait mieux, pour améliorer son sort, siéger au Conseil des ministres plutôt que dans l'opposition. «Il y a beaucoup de décisions qui se prennent à la table du conseil des ministres, a-t-elle dit.
Vive le temps de Duplessis....voter du bon bord.....
PC
Édition du samedi 10 et du dimanche 11 décembre 2005
Québec -- Plutôt que d'évoquer un faux déséquilibre fiscal, les Québécois doivent réaliser qu'ils vivent dans «une province très pauvre», dépendante de la générosité du fédéralisme canadien, a estimé hier l'ex-ministre et candidate libérale dans la région de Québec, Hélène Chalifour Sherrer.
«Contrairement à la croyance populaire, la province de Québec est une province qui est très pauvre», a fait valoir Mme Chalifour Sherrer, lors d'un point de presse à Québec, à l'occasion du lancement officiel de la campagne des libéraux de Paul Martin dans la capitale.
«Les gens ont encore l'impression que la province de Québec est la vache à lait de l'ensemble du Canada. Ce n'est pas le cas. La province de Québec a besoin de la péréquation et de vivre de l'argent de l'Alberta, de l'Ontario et de la Colombie-Britannique, faute de quoi, elle n'arriverait pas», a-t-elle ajouté.
Seule membre du cabinet Martin présente au lancement, la ministre des Affaires intergouvernementales, Lucienne Robillard, a acquiescé aux propos de Mme Chalifour Sherrer.
«Heureusement que le gouvernement du Canada est là pour faire la répartition de la richesse», a-t-elle mentionné.
De même, le déséquilibre fiscal unanimement évoqué par l'Assemblée nationale pour expliquer les difficultés financières de l'État n'est qu'un mythe, pensent les deux femmes.
«J'ai toujours dit que nous ne croyons pas qu'il y ait un déséquilibre fiscal vertical [entre les provinces et Ottawa] dans ce pays. Nous avons un problème horizontal, certaines provinces sont plus riches que d'autres», a dit Mme Robillard.
Et pour corriger ce phénomène et faire progresser les dossiers chers au Québec, le Bloc québécois n'est d'aucune utilité, a renchéri Mme Chalifour Sherrer.
Les députés du Bloc, a-t-elle insisté, «n'ont pas d'entrées» dans les cercles du pouvoir.
«Ou alors ils ne souhaitent pas que cela fonctionne. C'est bien plus facile de dire que le gouvernement fédéral n'est pas utile ici.»
À son avis, l'élection d'un seul candidat libéral dans tout l'est du Québec au scrutin de 2004 a eu indubitablement un impact négatif sur le développement de la grande région de Québec.
«Il y a sept députés bloquistes qui ont promis, aux dernières élections, de représenter les intérêts de la région. Seize mois plus tard, la seule chose qu'ils ont à fêter ces gens-là, ce sont des fermetures. [...] La région de Québec n'a pas eu de champion pour mener de l'avant certains dossiers», a-t-elle affirmé.
Saisissant la balle au bond, la ministre Robillard a rappelé qu'il valait mieux, pour améliorer son sort, siéger au Conseil des ministres plutôt que dans l'opposition. «Il y a beaucoup de décisions qui se prennent à la table du conseil des ministres, a-t-elle dit.
Vive le temps de Duplessis....voter du bon bord.....
Moi quand on m'arrive avec des photos d'un chef avec des enfants....je rage! Ou quand il embrasse sa femme à n'en plus finir.....
On voit Martin dans une garderie......Merde! Il n'y a probablement jamais mis les pieds là et dans aucune d'ailleurs. Si j'étais Libérale, il perdrait mon vote aussitôt.
C'est comme aux élections entre Bush et Gore: on a vu Gore danser avec sa femme et à la fin, la pencher beaucoup et l'embrasser et le baiser n'en finissait plus. Je regrette mais ça ne prend pas avec moi ce genre de choses. J'aurais voté Bush....même si évidemment, comme on sait, ce choix a été désastreux.
Mais qu'on présente les chefs comme ils sont dans la vie de tous les jours....pas des scènes inventées.
On voit Martin dans une garderie......Merde! Il n'y a probablement jamais mis les pieds là et dans aucune d'ailleurs. Si j'étais Libérale, il perdrait mon vote aussitôt.
C'est comme aux élections entre Bush et Gore: on a vu Gore danser avec sa femme et à la fin, la pencher beaucoup et l'embrasser et le baiser n'en finissait plus. Je regrette mais ça ne prend pas avec moi ce genre de choses. J'aurais voté Bush....même si évidemment, comme on sait, ce choix a été désastreux.
Mais qu'on présente les chefs comme ils sont dans la vie de tous les jours....pas des scènes inventées.
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
mariami a écrit
Mais qu'on présente les chefs comme ils sont dans la vie de tous les jours....pas des scènes inventées.
Ilss ne seraient pas présentables.
Tous leurs discours devraient se faire avec un détecteur de mensonge.
On manquerait de politiciens.
Mais qu'on présente les chefs comme ils sont dans la vie de tous les jours....pas des scènes inventées.
Ilss ne seraient pas présentables.
Tous leurs discours devraient se faire avec un détecteur de mensonge.
On manquerait de politiciens.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
mariami a écritMoi quand on m'arrive avec des photos d'un chef avec des enfants....je rage! Ou quand il embrasse sa femme à n'en plus finir.....
On voit Martin dans une garderie......Merde! Il n'y a probablement jamais mis les pieds là et dans aucune d'ailleurs. Si j'étais Libérale, il perdrait mon vote aussitôt.
C'est comme aux élections entre Bush et Gore: on a vu Gore danser avec sa femme et à la fin, la pencher beaucoup et l'embrasser et le baiser n'en finissait plus. Je regrette mais ça ne prend pas avec moi ce genre de choses. J'aurais voté Bush....même si évidemment, comme on sait, ce choix a été désastreux.
Mais qu'on présente les chefs comme ils sont dans la vie de tous les jours....pas des scènes inventées.
Tu voterais pour un fou extrémiste par que l'autre embrasse sa femme ? Personellement j'aime mieux me baser sur les idées du parti que sur de tels détails
On voit Martin dans une garderie......Merde! Il n'y a probablement jamais mis les pieds là et dans aucune d'ailleurs. Si j'étais Libérale, il perdrait mon vote aussitôt.
C'est comme aux élections entre Bush et Gore: on a vu Gore danser avec sa femme et à la fin, la pencher beaucoup et l'embrasser et le baiser n'en finissait plus. Je regrette mais ça ne prend pas avec moi ce genre de choses. J'aurais voté Bush....même si évidemment, comme on sait, ce choix a été désastreux.
Mais qu'on présente les chefs comme ils sont dans la vie de tous les jours....pas des scènes inventées.
Tu voterais pour un fou extrémiste par que l'autre embrasse sa femme ? Personellement j'aime mieux me baser sur les idées du parti que sur de tels détails
Raven, avant que Bush soit élu, tu n'aurais pas pensé qu'il était fou........ alors, c'est sûr qu'avoir su ça dès le départ et un gars qui embrasse sa femme pour aller chercher des votes, j'aurais voté pour le 2e.
Faudra-t-il que j'explique tout en détail? Et expliquer mes choix dans chaque situation? Je ne suis pas une imbécile et je ne voterais jamais pour uine personne dangeureuse telle Bush ...... QUAND JE SAIS
Faudra-t-il que j'explique tout en détail? Et expliquer mes choix dans chaque situation? Je ne suis pas une imbécile et je ne voterais jamais pour uine personne dangeureuse telle Bush ...... QUAND JE SAIS
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
mariami a écritRaven, avant que Bush soit élu, tu n'aurais pas pensé qu'il était fou........ alors, c'est sûr qu'avoir su ça dès le départ et un gars qui embrasse sa femme pour aller chercher des votes, j'aurais voté pour le 2e.
Faudra-t-il que j'explique tout en détail? Et expliquer mes choix dans chaque situation? Je ne suis pas une imbécile et je ne voterais jamais pour uine personne dangeureuse telle Bush ...... QUAND JE SAIS
Il y avait deux indices qui nous disaient que ça tournerait peut-être mal Bush au pouvoir:
1= Il est républicain
2= Son père est Georges Bush senior
Faudra-t-il que j'explique tout en détail? Et expliquer mes choix dans chaque situation? Je ne suis pas une imbécile et je ne voterais jamais pour uine personne dangeureuse telle Bush ...... QUAND JE SAIS
Il y avait deux indices qui nous disaient que ça tournerait peut-être mal Bush au pouvoir:
1= Il est républicain
2= Son père est Georges Bush senior
Merci tipet. Oui je suis passionnée et je pense n'avoir jamais dit ici (???) que j'écrivais avant pour moi et pour 18 personnes dans les journaux.....même dans le Bas-du-Fleuve....
J'ai écrit dans les Journaux en France, aux USA...... Pour expliquer pourquoi on veut la séparation et j'ai même eu des réponses très positives de gens qui ont envoyé leur letetre au journal pour qu'on me l'envoie..... J'en ai même reçu de professeurs qui ont utilisé mes écrits, mes livres (eh oui) mes documents, pour apprendre à leurs élèves ce qu'est le Québec et le pourquoi de nos luttes.
Je ne le fais plus car j'y ai mis tellement d'énergie pour en arriver à perdre encore en 95... Comme m'a dit M. Parizeau: Mme..... Je suis tellement découragé, tellement déçu qu'on n'ait pas encore compris........!
J'en parle autant que je peux, mais je n'écris plus sauf en de rares occasions. Mais, on me faisait remarqué au Bureau de mon député (en 95) que j'étais chanceuse que mes lettres passent toujours et pas les leurs. Mais j'ai dit que j'écrivais tout simplement, sans recherche de grands mots pour que tous comprennent....... Je parlais juste avec mon coeur, mes tripes..... et j'ai souvent convaincu.....même mon père en 80 et crois-moi je partais de loin........
Pour mon père, Les Libéraux étaient tous des voleurs et René Lévesque en avait fait partie alors...c'était le pire! Pourtant, c'est moi qui était allé le chercher à l'hôpital pour qu'il vienne voter et je suis entrée dans l'urne et là encore , pour respecter son choix j'ai dit: Papa, je mets le crochet à "OUI" ou à "NON". Il a répondu:
J'ai toujours voulu le bien de mes enfants et j'ai confiance en toi alors, si tu dis que c'est ce qui serait bon pour vous autres et les petits-enfants alors je dis "OUI"
J'en braillais!
J'ai écrit dans les Journaux en France, aux USA...... Pour expliquer pourquoi on veut la séparation et j'ai même eu des réponses très positives de gens qui ont envoyé leur letetre au journal pour qu'on me l'envoie..... J'en ai même reçu de professeurs qui ont utilisé mes écrits, mes livres (eh oui) mes documents, pour apprendre à leurs élèves ce qu'est le Québec et le pourquoi de nos luttes.
Je ne le fais plus car j'y ai mis tellement d'énergie pour en arriver à perdre encore en 95... Comme m'a dit M. Parizeau: Mme..... Je suis tellement découragé, tellement déçu qu'on n'ait pas encore compris........!
J'en parle autant que je peux, mais je n'écris plus sauf en de rares occasions. Mais, on me faisait remarqué au Bureau de mon député (en 95) que j'étais chanceuse que mes lettres passent toujours et pas les leurs. Mais j'ai dit que j'écrivais tout simplement, sans recherche de grands mots pour que tous comprennent....... Je parlais juste avec mon coeur, mes tripes..... et j'ai souvent convaincu.....même mon père en 80 et crois-moi je partais de loin........
Pour mon père, Les Libéraux étaient tous des voleurs et René Lévesque en avait fait partie alors...c'était le pire! Pourtant, c'est moi qui était allé le chercher à l'hôpital pour qu'il vienne voter et je suis entrée dans l'urne et là encore , pour respecter son choix j'ai dit: Papa, je mets le crochet à "OUI" ou à "NON". Il a répondu:
J'ai toujours voulu le bien de mes enfants et j'ai confiance en toi alors, si tu dis que c'est ce qui serait bon pour vous autres et les petits-enfants alors je dis "OUI"
J'en braillais!
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C'est grand la mort...il y a plein de vie là
tipet a écrit
Il y avait deux indices qui nous disaient que ça tournerait peut-être mal Bush au pouvoir:
1= Il est républicain
2= Son père est Georges Bush senior
Je ne me fie pas à ça: Le père peut être croche et le fils honnête! Mais, évidemment, je ne votais pas alors, je n'ai pas été plus loin dans ma recherche........
Il y avait deux indices qui nous disaient que ça tournerait peut-être mal Bush au pouvoir:
1= Il est républicain
2= Son père est Georges Bush senior
Je ne me fie pas à ça: Le père peut être croche et le fils honnête! Mais, évidemment, je ne votais pas alors, je n'ai pas été plus loin dans ma recherche........
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
Et le fait d'être rpublicain ne veut rien dire. Réponds franchement: Étais-tu content quand Bouchard a fondé le Bloc? Étais-tu content quand il est venu au PQ?
Y a-t-il des personnes chez les Libéraux que tu aimerais au PQ? Mo oui en tout cas. alors..... Et celui qui se présente dans mon comté pour les Conservateurs, merde....il est formidable! Et je déteste celui qui se présente pour le Bloc. Bien des gens lors des élections, poru la 1ère fois de leur vie, ont annulé leur vote plutôt que de voter pour lui. Avant lui nous avions Ghislain Lebel.
Mais là, j'ai pas le choix je devrai voter Bloc mais POUR LA CAUSE UNIQUEMENT. Et j'avoue que je vais faire un X avec regret de rejeter l'autre car il est bien et son père, avant lui, s'est battu pour les travailleurs....
C'est un maudit cas de conscience...... OUI! D'un côté y'a la cause et quelqu'un que je déteste........ de l'autre, un homme sincère, qui défend les travailleurs comme son père, qui défend nos droits mais..... d'un parti différent.
Oui j'ai mal au coeur de voter pour l'autre mais ai-je vraiment le choix?
Y a-t-il des personnes chez les Libéraux que tu aimerais au PQ? Mo oui en tout cas. alors..... Et celui qui se présente dans mon comté pour les Conservateurs, merde....il est formidable! Et je déteste celui qui se présente pour le Bloc. Bien des gens lors des élections, poru la 1ère fois de leur vie, ont annulé leur vote plutôt que de voter pour lui. Avant lui nous avions Ghislain Lebel.
Mais là, j'ai pas le choix je devrai voter Bloc mais POUR LA CAUSE UNIQUEMENT. Et j'avoue que je vais faire un X avec regret de rejeter l'autre car il est bien et son père, avant lui, s'est battu pour les travailleurs....
C'est un maudit cas de conscience...... OUI! D'un côté y'a la cause et quelqu'un que je déteste........ de l'autre, un homme sincère, qui défend les travailleurs comme son père, qui défend nos droits mais..... d'un parti différent.
Oui j'ai mal au coeur de voter pour l'autre mais ai-je vraiment le choix?
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Martin tombe à bras raccourci sur le Bloc qu'il accuse d'intolérance
Presse Canadienne
Après "arrogant" et "étroit d'esprit", le chef libéral Paul Martin a ajouté le qualificatif "intolérant" à sa litanie d'épithètes qu'il utilise pour donner du mordant à ses attaques contre le Bloc québécois.
M. Martin a toutefois prudemment évité de dire qu'il souhaitait la disparition du Bloc au Québec, bien que ses explications permettent de comprendre qu'il espère que le Parlement sera constitué de députés "qui veulent que le Canada progresse".
Ce n'est pas la première fois depuis le début de cette campagne que le chef des libéraux tombe à bras raccourcis sur le Bloc québécois qu'il tente de dépeindre comme un obstacle au succès du Québec au sein de la fédération.
"Le Parlement du Canada, qui veut faire des progrès, mérite d'avoir de la part de tous les Canadiens de toutes les provinces, incluant le Québec, des députés qui sont là pour bâtir le Canada, pas pour le détruire, des députés qui sont là pour faire progresser les dossiers pas pour les bloquer", a déclaré M. Martin, lors d'un point de presse.
Ce n'est pas l'objectif des députés bloquistes, a poursuivi le leader libéral. "M. Duceppe a dit qu'il voulait que moi, je disparaisse."
Il s'insurge aussi contre les commentaires de Michel Gauthier, un député du Bloc de la première heure, qui affirmait dans un discours que le candidat André Harvey, dans Chicoutimi-Le Fjord, était "un homme mort".
"Ca démontre à quel point l'intolérance existe" dans ce parti, a argué M. Martin.
Presse Canadienne
Après "arrogant" et "étroit d'esprit", le chef libéral Paul Martin a ajouté le qualificatif "intolérant" à sa litanie d'épithètes qu'il utilise pour donner du mordant à ses attaques contre le Bloc québécois.
M. Martin a toutefois prudemment évité de dire qu'il souhaitait la disparition du Bloc au Québec, bien que ses explications permettent de comprendre qu'il espère que le Parlement sera constitué de députés "qui veulent que le Canada progresse".
Ce n'est pas la première fois depuis le début de cette campagne que le chef des libéraux tombe à bras raccourcis sur le Bloc québécois qu'il tente de dépeindre comme un obstacle au succès du Québec au sein de la fédération.
"Le Parlement du Canada, qui veut faire des progrès, mérite d'avoir de la part de tous les Canadiens de toutes les provinces, incluant le Québec, des députés qui sont là pour bâtir le Canada, pas pour le détruire, des députés qui sont là pour faire progresser les dossiers pas pour les bloquer", a déclaré M. Martin, lors d'un point de presse.
Ce n'est pas l'objectif des députés bloquistes, a poursuivi le leader libéral. "M. Duceppe a dit qu'il voulait que moi, je disparaisse."
Il s'insurge aussi contre les commentaires de Michel Gauthier, un député du Bloc de la première heure, qui affirmait dans un discours que le candidat André Harvey, dans Chicoutimi-Le Fjord, était "un homme mort".
"Ca démontre à quel point l'intolérance existe" dans ce parti, a argué M. Martin.
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Les libéraux s'excusent pour leur premier faux pas de la campagne
le dimanche 11 décembre 2005 - 00 h 00
MONTREAL(PC) - Les libéraux fédéraux ont dû se démener, dimanche, pour limiter les dégâts engendrés par leur première grosse gaffe de la campagne électorale, quand un des principaux conseillers de Paul Martin a laissé entendre que les parents flamberaient l'argent qu'ils recevraient d'Ottawa au titre de l'allocation pour la garde des enfants pour s'acheter "de la bière et du maïs soufflé".
Scott Reid, le directeur des communications du premier ministre, s'est empressé de s'excuser pour ses commentaires retransmis à la télévision, tandis que son patron se hâtait de dire qu'il ne partage pas le point de vue selon lequel on ne peut pas faire confiance aux familles pour que celles-ci donnent ce qu'il y a de mieux à leurs enfants.
M. Martin, qui faisait campagne à Beamsville, en Ontario, a affirmé avoir la certitude que les gens feraient ce qu'il faut avec l'argent qui leur serait remis, selon le plan mis de l'avant par le leader du Parti conservateur Stephen Harper. "Il n'y a pas de doute dans mon esprit que les gens vont s'en servir pour le bénéfice de leur famille. Ils vont utiliser cet argent d'une façon responsable (...)."
Pour sa part, M. Reid a admis avoir choisi une façon "idiote" d'exprimer son point de vue au cours d'un débat retransmis dimanche matin.
Entre-temps, toutefois, un autre conseiller de M. Martin, John Duffy, avait renchéri et insinué que les parents pourraient dépenser les allocations pour la garde des enfants promises par M. Harper pour s'acheter "de la bière, du maïs soufflé ou une nouvelle voiture (...)."
La controverse représente un cadeau inespéré pour les conservateurs, qui ont eu du mal à augmenter leurs appuis auprès des électeurs au cours des deux premières semaines de la campagne, malgré une série d'annonces très bien orchestrées. Selon le plus récent sondage de la maison Decima, le soutien aux libéraux demeure à 36 pour cent à l'échelle nationale, à 27 pour cent pour les conservateurs et à 20 pour cent aux néo-démocrates.
Au Québec, le sondage montre que le Bloc québécois obtient 54 pour cent des voix, contre 24 pour cent pour les libéraux, dans ce qui constitue en fait une course à deux.
Réagissant aux propos controversés, les conservateurs ont affirmé que des libéraux haut placés ont "insulté les parents canadiens". "Ces propos insultants révèlent ce que les libéraux pensent vraiment des parents; on ne peut pas leur faire confiance pour (faire) ce qu'il y a de mieux pour leurs propres enfants. Cette arrogance explique pourquoi les libéraux refusent d'offrir un soutien direct à tous les parents pour leur permettre de faire les choix de garde les mieux adaptés à leur famille", a dit la députée conservatrice Rona Ambrose.
"(M.) Reid peut dire que ses propos étaient idiots, ça ne change rien à ce qu'il pense vraiment - les politiciens et les bureaucrates savent mieux que les parents ce qui convient à leurs enfants."
Le Bloc québécois a réagi aux propos de M. Reid en affirmant que ce n'était qu'un exemple de plus du mépris libéral. Il a rappelé qu'en avril 1994, Jean Chrétien avait proposé de réformer l'assurance-emploi "pour faire échec au chômeur 'qui reste assis chez lui à boire sa bière"'.
Au Nouveau Parti démocratique, on a dénoncé les propos de M. Reid en affirmant que "l'arrogance libérale n'a aucune limite". Même si le NPD n'est pas convaincu par le plan des conservateurs sur les services de garde, il juge que "M. Reid ne devrait pas s'en prendre au jugement et à l'intégrité des Canadiens individuels".
Le Parti conservateur propose de fournir des crédits d'impôt valant 250 millions $ par an, sur cinq ans, à des entreprises privées et des organismes à but non lucratif pour créer de nouvelles places en garderie, tout en versant directement aux parents 1200 $ par an pour tout enfant de moins de six ans.
Les libéraux, eux, veulent tabler sur les ententes fédérales-provinciales existantes en matière de services de garde, doubler les dépenses engendrées par la création de places en garderie à 11 milliards $ et prolonger le programme jusqu'en 2015.
le premier???????......ils ont pas écouté les cassettes de lapierre encore c,est comme rien.
le dimanche 11 décembre 2005 - 00 h 00
MONTREAL(PC) - Les libéraux fédéraux ont dû se démener, dimanche, pour limiter les dégâts engendrés par leur première grosse gaffe de la campagne électorale, quand un des principaux conseillers de Paul Martin a laissé entendre que les parents flamberaient l'argent qu'ils recevraient d'Ottawa au titre de l'allocation pour la garde des enfants pour s'acheter "de la bière et du maïs soufflé".
Scott Reid, le directeur des communications du premier ministre, s'est empressé de s'excuser pour ses commentaires retransmis à la télévision, tandis que son patron se hâtait de dire qu'il ne partage pas le point de vue selon lequel on ne peut pas faire confiance aux familles pour que celles-ci donnent ce qu'il y a de mieux à leurs enfants.
M. Martin, qui faisait campagne à Beamsville, en Ontario, a affirmé avoir la certitude que les gens feraient ce qu'il faut avec l'argent qui leur serait remis, selon le plan mis de l'avant par le leader du Parti conservateur Stephen Harper. "Il n'y a pas de doute dans mon esprit que les gens vont s'en servir pour le bénéfice de leur famille. Ils vont utiliser cet argent d'une façon responsable (...)."
Pour sa part, M. Reid a admis avoir choisi une façon "idiote" d'exprimer son point de vue au cours d'un débat retransmis dimanche matin.
Entre-temps, toutefois, un autre conseiller de M. Martin, John Duffy, avait renchéri et insinué que les parents pourraient dépenser les allocations pour la garde des enfants promises par M. Harper pour s'acheter "de la bière, du maïs soufflé ou une nouvelle voiture (...)."
La controverse représente un cadeau inespéré pour les conservateurs, qui ont eu du mal à augmenter leurs appuis auprès des électeurs au cours des deux premières semaines de la campagne, malgré une série d'annonces très bien orchestrées. Selon le plus récent sondage de la maison Decima, le soutien aux libéraux demeure à 36 pour cent à l'échelle nationale, à 27 pour cent pour les conservateurs et à 20 pour cent aux néo-démocrates.
Au Québec, le sondage montre que le Bloc québécois obtient 54 pour cent des voix, contre 24 pour cent pour les libéraux, dans ce qui constitue en fait une course à deux.
Réagissant aux propos controversés, les conservateurs ont affirmé que des libéraux haut placés ont "insulté les parents canadiens". "Ces propos insultants révèlent ce que les libéraux pensent vraiment des parents; on ne peut pas leur faire confiance pour (faire) ce qu'il y a de mieux pour leurs propres enfants. Cette arrogance explique pourquoi les libéraux refusent d'offrir un soutien direct à tous les parents pour leur permettre de faire les choix de garde les mieux adaptés à leur famille", a dit la députée conservatrice Rona Ambrose.
"(M.) Reid peut dire que ses propos étaient idiots, ça ne change rien à ce qu'il pense vraiment - les politiciens et les bureaucrates savent mieux que les parents ce qui convient à leurs enfants."
Le Bloc québécois a réagi aux propos de M. Reid en affirmant que ce n'était qu'un exemple de plus du mépris libéral. Il a rappelé qu'en avril 1994, Jean Chrétien avait proposé de réformer l'assurance-emploi "pour faire échec au chômeur 'qui reste assis chez lui à boire sa bière"'.
Au Nouveau Parti démocratique, on a dénoncé les propos de M. Reid en affirmant que "l'arrogance libérale n'a aucune limite". Même si le NPD n'est pas convaincu par le plan des conservateurs sur les services de garde, il juge que "M. Reid ne devrait pas s'en prendre au jugement et à l'intégrité des Canadiens individuels".
Le Parti conservateur propose de fournir des crédits d'impôt valant 250 millions $ par an, sur cinq ans, à des entreprises privées et des organismes à but non lucratif pour créer de nouvelles places en garderie, tout en versant directement aux parents 1200 $ par an pour tout enfant de moins de six ans.
Les libéraux, eux, veulent tabler sur les ententes fédérales-provinciales existantes en matière de services de garde, doubler les dépenses engendrées par la création de places en garderie à 11 milliards $ et prolonger le programme jusqu'en 2015.
le premier???????......ils ont pas écouté les cassettes de lapierre encore c,est comme rien.