LE DOMAINE BLEU

lucide a écrit : J'écoutais les leaders étudiants hier et je les sentais a bout de souffle, a bout d'arguments.
En fait une contreproposition qui est bien loin de la hausse des frais de scolarité ou de l,accesibilité une contre proposition vient dire aux recteurs, aux administrateurs et au gouvernement comment gerer sa business

Mais ils sont coincés, tellement ils ont crié que la victoire était acquise, tellement ils ont cru que la majorité des citoyens se rangerait devant eux, tellement ils ont cru que le gouvernement cederait sous la pression populaire.

Le reveil sera brutal pour certains étudiants et s'en est bien bien triste Apres 10 semaines sur l’adrenaline, certains auront maille a retrouver la motivation de terminer la session et certains sont surement épuisés intellectuellement face a toute cette insécurité.

Mais plus grande sera la désillusion face a leur leaders qui leur ont promis la lune et surtout la victoire. Ils avaient gagné la création d’un comité qui est une bonne chose, ils auraient du proposer d’ accepter la hausse pour une année ou deux, ainsi le gouvernement aurait été mal vu des les accuser de rester sur la position du gel …. Dans deux ans le gouvernement aurait pu etre un autre, les études des comités apportés, ils auraient été écouté par une majorité de Quebecois.

Outre le fait qu’ils ont permis aux Anti Charest de se défouler, eux personnellement ont perdu beaucoup…

lucide a écrit : J'écoutais les leaders étudiants hier et je les sentais a bout de souffle, a bout d'arguments.
En fait une contreproposition qui est bien loin de la hausse des frais de scolarité ou de l,accesibilité une contre proposition vient dire aux recteurs, aux administrateurs et au gouvernement comment gerer sa business

Mais ils sont coincés, tellement ils ont crié que la victoire était acquise, tellement ils ont cru que la majorité des citoyens se rangerait devant eux, tellement ils ont cru que le gouvernement cederait sous la pression populaire.

Le reveil sera brutal pour certains étudiants et s'en est bien bien triste Apres 10 semaines sur l’adrenaline, certains auront maille a retrouver la motivation de terminer la session et certains sont surement épuisés intellectuellement face a toute cette insécurité.

Mais plus grande sera la désillusion face a leur leaders qui leur ont promis la lune et surtout la victoire. Ils avaient gagné la création d’un comité qui est une bonne chose, ils auraient du proposer d’ accepter la hausse pour une année ou deux, ainsi le gouvernement aurait été mal vu des les accuser de rester sur la position du gel …. Dans deux ans le gouvernement aurait pu etre un autre, les études des comités apportés, ils auraient été écouté par une majorité de Quebecois.

Outre le fait qu’ils ont permis aux Anti Charest de se défouler, eux personnellement ont perdu beaucoup…

lucide a écrit : J'écoutais les leaders étudiants hier et je les sentais a bout de souffle, a bout d'arguments.
En fait une contreproposition qui est bien loin de la hausse des frais de scolarité ou de l,accesibilité une contre proposition vient dire aux recteurs, aux administrateurs et au gouvernement comment gerer sa business

Mais ils sont coincés, tellement ils ont crié que la victoire était acquise, tellement ils ont cru que la majorité des citoyens se rangerait devant eux, tellement ils ont cru que le gouvernement cederait sous la pression populaire.

Le reveil sera brutal pour certains étudiants et s'en est bien bien triste Apres 10 semaines sur l’adrenaline, certains auront maille a retrouver la motivation de terminer la session et certains sont surement épuisés intellectuellement face a toute cette insécurité.

Mais plus grande sera la désillusion face a leur leaders qui leur ont promis la lune et surtout la victoire. Ils avaient gagné la création d’un comité qui est une bonne chose, ils auraient du proposer d’ accepter la hausse pour une année ou deux, ainsi le gouvernement aurait été mal vu des les accuser de rester sur la position du gel …. Dans deux ans le gouvernement aurait pu etre un autre, les études des comités apportés, ils auraient été écouté par une majorité de Quebecois.

Outre le fait qu’ils ont permis aux Anti Charest de se défouler, eux personnellement ont perdu beaucoup…

pucinette a écrit : [...]


Charest et Beauchamp aussi On en parle depuis un bout : c'est une guerre d'usure ...

Qu'est-ce qui te fait croire que tout est terminé pour le mouvement? (curiosité)

GI.Joe a écrit : [...]


Le gouvernement aurait pu faire la même chose, c'est à dire proposer une hausse sur 1-2 ans et ouvrir la porte à une vraie réflexion plutôt que d'imposer la même recette rechauffée sur 7 ans.

pucinette a écrit : [...]


Charest et Beauchamp aussi On en parle depuis un bout : c'est une guerre d'usure ...

Qu'est-ce qui te fait croire que tout est terminé pour le mouvement? (curiosité)

Décidément, pour paraphraser Shakespeare, il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Québec.

Prenez ce qui s’est passé au cégep Maisonneuve.

LA LOI NE TIENT PLUS

Des étudiants qui veulent étudier (quelle idée, non mais, ce qu’ils ne vont pas inventer, ces jeunes…) se sont rendus devant les tribunaux pour obtenir une injonction leur permettant de franchir les piquets ILLÉGAUX qui les empêchent d’entrer dans leur classe et d’avoir droit aux services qu’ils ont PAYÉS.

La justice leur a accordé cette injonction.

« Il est INTERDIT à la Société générale des étudiants du Collège Maisonneuve (l’association étudiante du cégep) d’empêcher l’accès, d’intimider ou de menacer tout étudiant, de même que de manifester de quelque manière que ce soit, à l’intérieur ou à l’extérieur de tout établissement du Collège Maisonneuve », a statué la Cour Supérieure du Québec.

La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) et la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) ont publié hier ce qu'elles appellent une «alternative globale» à la proposition présentée vendredi par le gouvernement.

Essentiellement, ces leaders étudiants prétendent dire au gouvernement comment gérer les universités de façon à économiser des millions et ainsi rendre inutile la hausse des droits de scolarité. Il fallait un sacré culot pour affirmer qu'il s'agit là d'une contre-offre. Mais, on le sait, ces jeunes n'en manquent pas, pour le meilleur et pour le pire.

L'UdeS dénonce les propos erronés de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) à propos du Campus de Longueuil. Selon les dires de la FEUQ, la construction du campus de Longueuil avait entrainé un déficit budgétaire à l'UdeS. Cette affirmation vise à justifier la demande de moratoire sur la construction de nouveaux campus.

Or, le déficit accumulé de l'université de Sherbrooke est passé de 15 M$ à 13,2 M$ entre 2006-2007 et 2010-2011, période au cours de laquelle le nouveau campus a été construit selon les délais et le budget approuvés par le conseil d'administration.

La société québécoise fait face à un choix assez simple, mais qui semble difficile à accepter pour certains: devons-nous rehausser le financement de nos universités en demandant aux étudiants de payer une part raisonnable de leur coût de formation?

Pour une forte majorité de Québécois, et pour les deux tiers des étudiants, la réponse est oui.

Une société distincte fortement minoritaire en Amérique du Nord ne pourra se développer que si nous avons accès à des travailleurs hautement qualifiés ayant reçu une formation de première qualité. Les Québécois ont compris qu'il faut trouver un équilibre entre l'effort fourni par l'ensemble des contribuables et celui demandé aux étudiants.

Les deux associations étudiantes modérées ont déposé hier une contre-offre au gouvernement Charest pour résoudre le conflit des droits de scolarité. Elle est surréaliste. Ce n'est pas vraiment une contre-offre, elle ne constitue pas une piste de solution, elle ne permet pas de négociation. On s'attendait à une ouverture, même modeste. On a plutôt droit à un braquage.

L'offre de la FEUQ et de la FECQ se décline en sept points. Mais elle consiste essentiellement à proposer au gouvernement de maintenir le gel des droits de scolarité à leur niveau actuel.

Dans le processus de discussion qui s'est amorcé il y a quelques semaines, le gouvernement a mis de l'eau dans son vin pour atténuer les effets des hausses et donc pour réduire le fardeau exigé des étudiants. Et la réponse des étudiants consiste essentiellement à rester sur leurs positions initiales. Ils acceptent les concessions gouvernementales, mais refusent d'en faire de leur côté.

Anya a écrit :

Tout lire >>Les valeurs libérales 
En entendant Jean Charest dire, la semaine dernière, qu'il refusait de négocier avec Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de la CLASSE, parce que cette organisation ne respecte pas les valeurs de son gouvernement, je n'ai pu m'empêcher de penser (et d'écrire sur mon blogue) que certains de ses collègues ne sont pas si scrupuleux quand vient le temps de remplir les coffres électoraux.

lucide a écrit : http://www.lapresse.ca/actualites/dossi ... ticle_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;

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désoler mais pour moi c'est anti démocratique sa car le respect du vote de la majorité même si peut de monde ont voté est important

il était temps .....