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Le vendredi 06 août 2004
Cassini découvre une nouvelle ceinture de radiations autour de Saturne
Associated Press
Los Angeles
La sonde américano-européenne Cassini-Huygens, en orbite autour de Saturne, a découvert une nouvelle ceinture de radiations et observé un nouveau comportement des orages sur la planète aux célèbres anneaux.
La sonde s'est mise en orbite au début du mois de juillet autour de la deuxième planète du système solaire par la taille, située actuellement à 1,5 milliard de kilomètres de la Terre. Le module orbital, fabriqué par la Nasa, doit effectuer une mission de quatre ans autour de Saturne.
Selon les responsables de la mission, la ceinture de radiations s'étend beaucoup plus près de Saturne qu'on ne l'avait imaginé. Cette ceinture de radiations, symétrique, est invisible. Elle concentre des particules de haute énergie (ions, électrons) confinés par le champ magnétique de la planète.
À long terme, ces ceintures de radiations ont un rôle important dans l'évolution de l'atmosphère d'une planète et de ses satellites naturels, selon Donald Mitchell, chercheur chargé de l'exploitation d'un des instruments de Cassini.
La sonde a par ailleurs «mis en évidence les changements intervenus dans les orages qui se produisent sur Saturne depuis nos premières mesures il y a plus de 20 ans», d'après Bill Kurth, le scientifique chargé des instruments de détection radio.
Dans les années 80, explique-t-il, les orages, qui provoquent comme sur Terre des parasites dans les émissions radio, étaient détectés de façon très régulière, alors qu'ils apparaissent aujourd'hui plus sporadiquement. Ces perturbations mettent également plus de temps à faire le tour de la planète géante, environ 10 h 45, environ 40 minutes de plus que dans les années 80.
D'après Bill Kurth, cela pourrait provenir du fait que les orages se forment dans des latitudes plus élevées, où la vitesse du vent est moindre.
Cassini découvre une nouvelle ceinture de radiations autour de Saturne
Associated Press
Los Angeles
La sonde américano-européenne Cassini-Huygens, en orbite autour de Saturne, a découvert une nouvelle ceinture de radiations et observé un nouveau comportement des orages sur la planète aux célèbres anneaux.
La sonde s'est mise en orbite au début du mois de juillet autour de la deuxième planète du système solaire par la taille, située actuellement à 1,5 milliard de kilomètres de la Terre. Le module orbital, fabriqué par la Nasa, doit effectuer une mission de quatre ans autour de Saturne.
Selon les responsables de la mission, la ceinture de radiations s'étend beaucoup plus près de Saturne qu'on ne l'avait imaginé. Cette ceinture de radiations, symétrique, est invisible. Elle concentre des particules de haute énergie (ions, électrons) confinés par le champ magnétique de la planète.
À long terme, ces ceintures de radiations ont un rôle important dans l'évolution de l'atmosphère d'une planète et de ses satellites naturels, selon Donald Mitchell, chercheur chargé de l'exploitation d'un des instruments de Cassini.
La sonde a par ailleurs «mis en évidence les changements intervenus dans les orages qui se produisent sur Saturne depuis nos premières mesures il y a plus de 20 ans», d'après Bill Kurth, le scientifique chargé des instruments de détection radio.
Dans les années 80, explique-t-il, les orages, qui provoquent comme sur Terre des parasites dans les émissions radio, étaient détectés de façon très régulière, alors qu'ils apparaissent aujourd'hui plus sporadiquement. Ces perturbations mettent également plus de temps à faire le tour de la planète géante, environ 10 h 45, environ 40 minutes de plus que dans les années 80.
D'après Bill Kurth, cela pourrait provenir du fait que les orages se forment dans des latitudes plus élevées, où la vitesse du vent est moindre.
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Le mercredi 04 août 2004
Photo AFP
Image du trou noir dans la constellation du Sagittaire
Spectaculaire découverte de la différence matière/antimatière
Agence France-Presse
Paris
Une différence spectaculaire de comportement entre matière et antimatière, qui constitue un nouveau pas dans l'«explication» de la disparition de l'antimatière, vient d'être découverte par les physiciens de l'expérience BaBar, au Centre de l'Accélérateur Linéaire de Stanford (SLAC), en Californie, a annoncé mardi le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS).
Ces résultats, signés par les quelque 600 physiciens de la collaboration BaBar, parmi lesquels des Français, devraient être publiés ces jours-ci par la revue Physical Review Letters.
Si notre Univers n'est fait que de matière - aucune expérience n'a en effet jamais détecté d'antimatière - et si les antiparticules n'existent que sur Terre (créées artificiellement), à son «origine», matière et antimatière ont existé en quantités identiques : chaque particule est apparue accompagnée de son antiparticule, aux mêmes caractéristiques mais de charge électrique opposée. Moins d'une seconde après le Big-Bang, toutes les antiparticules (tout l'antimonde) avaient disparu, sans avoir laissé de trace.
Comme les particules et les antiparticules s'annihilent en se transformant en énergie, une légère asymétrie a donc dû apparaître très tôt pour que la matière prenne le dessus sur l'antimatière, très légèrement mais suffisamment pour donner naissance à notre monde. Alors que l'une semble être le reflet exact de l'autre, il pourrait donc ne pas en être tout à fait ainsi ; c'est ce que les physiciens tentent de mettre en évidence depuis plusieurs décennies.
Photo AFP
Image du trou noir dans la constellation du Sagittaire
Spectaculaire découverte de la différence matière/antimatière
Agence France-Presse
Paris
Une différence spectaculaire de comportement entre matière et antimatière, qui constitue un nouveau pas dans l'«explication» de la disparition de l'antimatière, vient d'être découverte par les physiciens de l'expérience BaBar, au Centre de l'Accélérateur Linéaire de Stanford (SLAC), en Californie, a annoncé mardi le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS).
Ces résultats, signés par les quelque 600 physiciens de la collaboration BaBar, parmi lesquels des Français, devraient être publiés ces jours-ci par la revue Physical Review Letters.
Si notre Univers n'est fait que de matière - aucune expérience n'a en effet jamais détecté d'antimatière - et si les antiparticules n'existent que sur Terre (créées artificiellement), à son «origine», matière et antimatière ont existé en quantités identiques : chaque particule est apparue accompagnée de son antiparticule, aux mêmes caractéristiques mais de charge électrique opposée. Moins d'une seconde après le Big-Bang, toutes les antiparticules (tout l'antimonde) avaient disparu, sans avoir laissé de trace.
Comme les particules et les antiparticules s'annihilent en se transformant en énergie, une légère asymétrie a donc dû apparaître très tôt pour que la matière prenne le dessus sur l'antimatière, très légèrement mais suffisamment pour donner naissance à notre monde. Alors que l'une semble être le reflet exact de l'autre, il pourrait donc ne pas en être tout à fait ainsi ; c'est ce que les physiciens tentent de mettre en évidence depuis plusieurs décennies.
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États-Unis/Chine : nouvelle course à la Lune ou coopération ?
Au moment où la NASA essaie d'imaginer comment envoyer des hommes sur la Lune et sur Mars, les Etats-Unis vont devoir faire un choix : soit rentrer en compétition avec la Chine dans une course à l'espace rappelant celle des années 60, soit les inviter à devenir partenaires de cette nouvelle initiative au coté des anciens partenaires de l'ISS et de pays comme l'Inde.
Ni la NASA, ni le gouvernement ne veut se prononcer sur le sujet. Sean O'Keefe a répondu que "cela soulevait d'intéressantes questions" et qu'il pensait que "cela serait une possibilité". La décision du niveau de coopération internationale de la nouvelle initiative aura des conséquences importantes sur le plan de la politique internationale mondiale. Les Russes et les Européens ne s'opposeront probablement pas à une coopération avec les Chinois, mais les militaires et les politiques américains, qui ont peur que la chine ait accès aux technologies américaines sensibles, se feront entendre.
Un deuxième vol habité chinois pour 2005
Le module chinois Shenzhou, qui a emmené le premier chinois dans l'espace cette année, a été construit sur le modèle du Soyouz russe et pourrait facilement s'arrimer avec l'ISS. La Chine dépense environ 2 milliard de dollars (environ 1,6 milliard d'euros) dans le secteur spatial chaque année. Un deuxième vol habité est prévu pour 2005.
Entre temps, la Chine a demandé aux Nations Unis de dénoncer la volonté des Etats-Unis de mettre en place des missiles dans l'espace ainsi qu'une défense antimissile. D'après le DoD, la Chine développe actuellement ses propres satellites espions ainsi que des armes pouvant mettre hors service les satellites espions américains. Inviter les Chinois à participer à des programmes de coopération permettrait aux Américains de connaître plus en détails les avancées des programmes chinois et obligerait les Chinois à diriger des ressources vers le spatial civil, les forçant à diminuer leurs dépenses militaires.
De toute façon, déclarait un analyste spatial de Washington, John Pike, et qui résume bien la situation de la coopération internationale dans l'espace, "si les Européens et les Japonais veulent construire des laboratoires spatiaux, c'est très bien. Mais nous ne laisserons jamais travailler des étrangers sur des projets situés sur le chemin critique. Et tout est critique quand vous voulez aller sur la lune." --Message edité par acrux le 2004-08-15 12:22:11--
Au moment où la NASA essaie d'imaginer comment envoyer des hommes sur la Lune et sur Mars, les Etats-Unis vont devoir faire un choix : soit rentrer en compétition avec la Chine dans une course à l'espace rappelant celle des années 60, soit les inviter à devenir partenaires de cette nouvelle initiative au coté des anciens partenaires de l'ISS et de pays comme l'Inde.
Ni la NASA, ni le gouvernement ne veut se prononcer sur le sujet. Sean O'Keefe a répondu que "cela soulevait d'intéressantes questions" et qu'il pensait que "cela serait une possibilité". La décision du niveau de coopération internationale de la nouvelle initiative aura des conséquences importantes sur le plan de la politique internationale mondiale. Les Russes et les Européens ne s'opposeront probablement pas à une coopération avec les Chinois, mais les militaires et les politiques américains, qui ont peur que la chine ait accès aux technologies américaines sensibles, se feront entendre.
Un deuxième vol habité chinois pour 2005
Le module chinois Shenzhou, qui a emmené le premier chinois dans l'espace cette année, a été construit sur le modèle du Soyouz russe et pourrait facilement s'arrimer avec l'ISS. La Chine dépense environ 2 milliard de dollars (environ 1,6 milliard d'euros) dans le secteur spatial chaque année. Un deuxième vol habité est prévu pour 2005.
Entre temps, la Chine a demandé aux Nations Unis de dénoncer la volonté des Etats-Unis de mettre en place des missiles dans l'espace ainsi qu'une défense antimissile. D'après le DoD, la Chine développe actuellement ses propres satellites espions ainsi que des armes pouvant mettre hors service les satellites espions américains. Inviter les Chinois à participer à des programmes de coopération permettrait aux Américains de connaître plus en détails les avancées des programmes chinois et obligerait les Chinois à diriger des ressources vers le spatial civil, les forçant à diminuer leurs dépenses militaires.
De toute façon, déclarait un analyste spatial de Washington, John Pike, et qui résume bien la situation de la coopération internationale dans l'espace, "si les Européens et les Japonais veulent construire des laboratoires spatiaux, c'est très bien. Mais nous ne laisserons jamais travailler des étrangers sur des projets situés sur le chemin critique. Et tout est critique quand vous voulez aller sur la lune." --Message edité par acrux le 2004-08-15 12:22:11--
Des nouvelles lunes pour Saturne
Les images envoyées par sonde américaine Cassini ont permis d'identifier deux nouvelles lunes à Saturne. Elles pourraient être les plus petites jamais repérées autour de cette planète. Les satellites naturels ont un diamètre respectif de trois et quatre kilomètres. Elles sont situées à 194 000 km et 211 000 km de Saturne.
Elles ont provisoirement été nommées S/2004 S1 et S/2004 S2.
La première aurait pu être prise en photo par la sonde Voyager de la Nasa il y a 23 ans, mais les astronomes n'avaient pas pu confirmer son existence.
Les lunes ont été identifiées par le Français Sébastien Charnoz, spécialiste de la dynamique des planètes auprès de André Brahic, de l'Université de Paris, qui fait partie de l'équipe d'imagerie de la mission,
La mission Cassini-Huygens est un projet conjoint de la Nasa, de l'Agence spatiale européenne (ESA) et de l'Agence spatiale italienne.
Les images envoyées par sonde américaine Cassini ont permis d'identifier deux nouvelles lunes à Saturne. Elles pourraient être les plus petites jamais repérées autour de cette planète. Les satellites naturels ont un diamètre respectif de trois et quatre kilomètres. Elles sont situées à 194 000 km et 211 000 km de Saturne.
Elles ont provisoirement été nommées S/2004 S1 et S/2004 S2.
La première aurait pu être prise en photo par la sonde Voyager de la Nasa il y a 23 ans, mais les astronomes n'avaient pas pu confirmer son existence.
Les lunes ont été identifiées par le Français Sébastien Charnoz, spécialiste de la dynamique des planètes auprès de André Brahic, de l'Université de Paris, qui fait partie de l'équipe d'imagerie de la mission,
La mission Cassini-Huygens est un projet conjoint de la Nasa, de l'Agence spatiale européenne (ESA) et de l'Agence spatiale italienne.
Trois nouvelles exoplanètes
Mathieu Perreault
La Presse
Des astrophysiciens européens et américains ont annoncé la découverte de trois nouvelles planètes situées dans d'autres systèmes solaires. Il s'agit d'une nouvelle classe de «planètes extrasolaires», d'une taille beaucoup plus proche de celle de la Terre, et donc davantage susceptibles d'abriter la vie. «Nous découvrons des planètes de plus en plus petites, a déclaré l'astrophysicien Geoffrey Marcy, de l'Université de Californie à Berkeley, en conférence de presse à la NASA à Washington. La prochaine étape, c'est de découvrir des planètes de la taille de la Terre.»
Jusqu'à maintenant, plus de 120 planètes extrasolaires, aussi appelées «exoplanètes», ont été découvertes depuis 1995. La plupart ont une taille plusieurs centaines de fois supérieure à celle de la Terre. Les trois planètes découvertes dernièrement ont entre 10 et 20 fois la taille de la Terre.
Cette petite taille signifie qu'elles pourraient être constituées de roc, condition essentielle à l'apparition de la vie. Les planètes très grosses sont gazeuses.
Les deux planètes décrites hier par l'équipe de M. Marcy sont situées à environ 35 années-lumière de la Terre, et possèdent une orbite de quelques jours seulement. La planète présentée la semaine dernière par une équipe d'astrophysiciens européens est située à 50 années-lumière, et a une orbite d'une dizaine de jours. Cela signifie qu'elles sont toutes très proches de leur étoile, et donc très chaudes, probablement trop pour abriter la vie. --Message edité par rénatane le 2004-09-01 09:05:36--
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Acrux a écritAhhhh je rêve du jour où on aura trouvé un type d'énergie qui nous permettra de voyager plus rapidement dans l'espace-temps pour ainsi pouvoir envoyer des sondes un peu partout dans d'autres systèmes solaires... Dommage car nous ne serons probablement plus de ce monde à ce moment là...
a moin qu'on vive 200 ans , on sait jamais avec la technologie ;)
a moin qu'on vive 200 ans , on sait jamais avec la technologie ;)
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Bilan satisfaisant pour la sonde Huygens autour de Saturne
Agence France-Presse
Paris
Le premier bilan de santé de la sonde européenne Huygens depuis sa mise sur orbite autour de Saturne est satisfaisant, a annoncé jeudi l'Agence spatiale européenne (ESA).
«Nous avons confirmation que la sonde est en parfaite santé, tout est nominal», a déclaré dans un communiqué le chef de projet scientifique d'Huygens, Jean-Pierre Lebreton.
La sonde américano-européenne Cassini-Huygens s'est mise sur orbite autour de Saturne en juillet après un voyage de sept ans, et Huygens se détachera de l'ensemble en décembre pour finalement plonger le 14 janvier dans l'atmosphère de Titan, la plus grosse lune de la planète.
«En fait, nous avons effectué des vérifications de l'état de santé de la sonde tous les six mois depuis le lancement et ce dernier bilan est le 14e en sept ans», a précisé de son côté Anne-Marie Schipper, responsable du programme Huygens chez Alcatel Space.
À la suite de ce bilan de santé, les ingénieurs vont commencer à «réveiller» la sonde dans quelques jours, remettant en route ses équipements et réactivant ses batteries.
L'équipe mettra également en action un «minuteur», chargé d'activer les instruments à bord de la sonde vingt jours après son largage et quelques heures avant qu'elle n'aborde l'atmosphère de Titan.
Huygens a pour mission de traverser et d'analyser l'atmosphère de Titan, qui pourrait être très similaire à celle de la Terre à la veille de l'apparition de la vie, et de se poser sur cette lune de Saturne.
Depuis sa mise sur orbite autour de Saturne, Cassini-Huygens a déjà survolé Titan le 3 juillet à 339 000 km de distance, recueillant des mesures concernant notamment les températures régnant dans l'atmosphère australe. Cette première moisson a permis de réaliser une carte de la vitesse des vents dans la haute atmosphère, marquée par des pointes pouvant atteindre 500 km/h.
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Mauvais fonctionnement des parachutes
La capsule Genesis s'est écrasée
Agence France-Presse
Washington
La mission américaine Genesis devant rapporter sur Terre des poussières de Soleil pour en savoir plus sur la formation du système solaire s'est achevée mercredi par un crash en plein désert, après la défaillance des parachutes devant permettre de récupérer la capsule en vol.
Plantée sur la tranche en plein désert de l'Utah, la capsule contenant 10 à 20 micro-grammes des premiers matériaux extraterrestres jamais collectés au-delà de l'orbite lunaire s'est écrasée sous les yeux des pilotes des hélicoptères censés l'attraper en plein vol.
«La capsule a souffert d'énormes dégâts, elle est brisée, posée en plein désert», a déclaré Chris Jones, responsable de l'exploration du système solaire au Jet Propulsion Laboratory de la Nasa à Pasadena (Californie), qui dirigeait la mission.
M. Jones a estimé qu'elle avait heurté le sol à environ 310 km/h, révisant sa précédente estimation lors d'une conférence de presse sur la base aérienne de Dugway Proving Grounds, dans l'Utah.
La capsule «a pénétré dans le sol jusqu'à la moitié de son diamètre» et «il apparaît que le récipient contenant les échantillons scientifiques est brisé sur plusieurs centimètres», a précisé Roy Haggard, pilote de l'hélicoptère devant attraper la capsule en vol, qui s'est rendu sur le site du crash.
Néanmoins, «les échantillons sont en notre possession, ils sont au sol, et il y a encore un espoir de tirer un résultat scientifique de cette mission», a déclaré son responsable, Don Sweetnam, lors d'une conférence de presse.
Les caméras de la Nasa ont permis de suivre la capsule dès sa rentrée dans l'atmosphère à 15h55 GMT. Cette coquille a pris l'apparence d'une soucoupe volante affectée d'un fort roulis, fonçant vers le sol alors que ni son parachute stabilisateur devant s'ouvrir à 33 km d'altitude, ni son parachute principal devant s'ouvrir à 6,1 km, ne se déployaient.
Les images aériennes ont ensuite montré la capsule plantée dans le sol, des projections de terre rouge tout autour d'elle. Le personnel de la Nasa est arrivé sur les lieux quelques minutes après le crash qui ne pose «aucun danger pour le public», selon M. Jones.
«Nous espérons trouver assez d'éléments pour déterminer les raisons de l'échec. Reste à savoir si nous pourrons récupérer le contenu scientifique», a poursuivi la même source.
Le crash met un terme à un voyage de 32 millions de km, dans le cadre d'une mission de 260 millions de dollars qui avait parfaitement fonctionné jusqu'à la dernière correction de trajectoire opérée lundi alors que la sonde passait dans l'orbite de la Lune. «Elle est exactement là où nous avons prévu qu'elle soit, tout est OK», déclarait alors le patron de la mission, M. Sweetnam.
La sonde lancée en août 2001 de Cap Canaveral était allée se placer sur une orbite idéale entre Terre et Soleil, pour attraper ces poussières solaires.
Pour récolter sa moisson, la sonde avait été placée par la Nasa au point dit de Lagrange L1, ou les attractions gravitationnelles de la Terre et du Soleil se compensent exactement, une position offrant une vision ininterrompue du Soleil et se trouvant au-delà de la magnétosphère terrestre, qui perturbe les vents solaires.
La sonde de 494 kg comportait des capteurs composés de diamant, d'or, de silicium et de saphir, conçus pour prendre au piège les particules ionisées.
La mission devait s'achever par une scène digne des plus grands films d'action avec la récupération de la capsule en plein vol par deux hélicoptères conduits par des pilotes rompus aux acrobaties des tournages hollywoodiens, pour éviter qu'un impact au sol ne perturbe les particules collectées.
Les échantillons scientifiques retrouvés seront transportés au centre spatial Johnson de la Nasa près de Houston où ils seront analysés.
Le jeudi 09 septembre 2004
Genesis
La Nasa croit pouvoir sauver des poussières solaires
Agence France-Presse
Washington
Un responsable scientifique de la mission Genesis à la Nasa s'est déclaré confiant jeudi dans les chances de sauver des échantillons de vents solaires dans les débris de la capsule qui s'est écrasée mercredi à son retour sur Terre.
«Nous sommes très confiants dans la possibilité de récupérer des éléments» d'étude, a déclaré David Lindstrom au siège de la Nasa en ajoutant que «la communauté scientifique est optimiste parce que les particules (solaires) sont implantées dans les collecteurs» en céramique qui ont été récupérés.
La cartouche contenant les échantillons «a été éventrée sur environ 20 centimètres» et «une partie de son contenu en est sorti», se mélangeant aux éléments du sol désertique de l'Utah. «Mais nous avons de la chance, c'est seulement de la terre et un peu de boue collante», a poursuivi M. Lindstrom lors d'une conférence de presse par téléphone.
Les échantillons ont été transportés à la base de Dugway Proving Ground, non loin du site du crash, et placés en zone stérile pour y être nettoyés. M. Lindstrom a estimé qu'il faudrait environ 48 heures pour déterminer avec certitude si ces échantillons sont utilisables par les chercheurs.
Ils seront alors transportés au centre spatial Johnson près de Houston où ils doivent être conservés et étudiés. Les particules ionisées invisibles sont fixées sur des capteurs composés de diamant, d'or, de silicium et de saphir, conçus pour prendre au piège les vents solaires.
La capsule Genesis s'est écrasée après le non fonctionnement des parachutes censés la ralentir pour être cueillie en vol par un hélicoptère.
La mission de 260 millions de dollars avait débuté en août 2001 avec le lancement de la sonde Genesis, placée sur une orbite idéale entre Terre et Soleil pour attraper ces poussières. Elles pourraient fournir des réponses sur le processus de formation du système solaire.
Genesis
La Nasa croit pouvoir sauver des poussières solaires
Agence France-Presse
Washington
Un responsable scientifique de la mission Genesis à la Nasa s'est déclaré confiant jeudi dans les chances de sauver des échantillons de vents solaires dans les débris de la capsule qui s'est écrasée mercredi à son retour sur Terre.
«Nous sommes très confiants dans la possibilité de récupérer des éléments» d'étude, a déclaré David Lindstrom au siège de la Nasa en ajoutant que «la communauté scientifique est optimiste parce que les particules (solaires) sont implantées dans les collecteurs» en céramique qui ont été récupérés.
La cartouche contenant les échantillons «a été éventrée sur environ 20 centimètres» et «une partie de son contenu en est sorti», se mélangeant aux éléments du sol désertique de l'Utah. «Mais nous avons de la chance, c'est seulement de la terre et un peu de boue collante», a poursuivi M. Lindstrom lors d'une conférence de presse par téléphone.
Les échantillons ont été transportés à la base de Dugway Proving Ground, non loin du site du crash, et placés en zone stérile pour y être nettoyés. M. Lindstrom a estimé qu'il faudrait environ 48 heures pour déterminer avec certitude si ces échantillons sont utilisables par les chercheurs.
Ils seront alors transportés au centre spatial Johnson près de Houston où ils doivent être conservés et étudiés. Les particules ionisées invisibles sont fixées sur des capteurs composés de diamant, d'or, de silicium et de saphir, conçus pour prendre au piège les vents solaires.
La capsule Genesis s'est écrasée après le non fonctionnement des parachutes censés la ralentir pour être cueillie en vol par un hélicoptère.
La mission de 260 millions de dollars avait débuté en août 2001 avec le lancement de la sonde Genesis, placée sur une orbite idéale entre Terre et Soleil pour attraper ces poussières. Elles pourraient fournir des réponses sur le processus de formation du système solaire.
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Rénatane a écritLe jeudi 09 septembre 2004
Genesis
La Nasa croit pouvoir sauver des poussières solaires
Agence France-Presse
Washington
Un responsable scientifique de la mission Genesis à la Nasa s'est déclaré confiant jeudi dans les chances de sauver des échantillons de vents solaires dans les débris de la capsule qui s'est écrasée mercredi à son retour sur Terre.
«Nous sommes très confiants dans la possibilité de récupérer des éléments» d'étude, a déclaré David Lindstrom au siège de la Nasa en ajoutant que «la communauté scientifique est optimiste parce que les particules (solaires) sont implantées dans les collecteurs» en céramique qui ont été récupérés.
La cartouche contenant les échantillons «a été éventrée sur environ 20 centimètres» et «une partie de son contenu en est sorti», se mélangeant aux éléments du sol désertique de l'Utah. «Mais nous avons de la chance, c'est seulement de la terre et un peu de boue collante», a poursuivi M. Lindstrom lors d'une conférence de presse par téléphone.
Les échantillons ont été transportés à la base de Dugway Proving Ground, non loin du site du crash, et placés en zone stérile pour y être nettoyés. M. Lindstrom a estimé qu'il faudrait environ 48 heures pour déterminer avec certitude si ces échantillons sont utilisables par les chercheurs.
Ils seront alors transportés au centre spatial Johnson près de Houston où ils doivent être conservés et étudiés. Les particules ionisées invisibles sont fixées sur des capteurs composés de diamant, d'or, de silicium et de saphir, conçus pour prendre au piège les vents solaires.
La capsule Genesis s'est écrasée après le non fonctionnement des parachutes censés la ralentir pour être cueillie en vol par un hélicoptère.
La mission de 260 millions de dollars avait débuté en août 2001 avec le lancement de la sonde Genesis, placée sur une orbite idéale entre Terre et Soleil pour attraper ces poussières. Elles pourraient fournir des réponses sur le processus de formation du système solaire.
Hier ils ont confirmés que les données sont vraiment intactes, j'ai hâte de voir s'ils vont vraiment pouvoir éclaircir un peu le mystère sur l'origine de notre système solaire, savoir de quelle nébuleuse nous venons, par exemple...
Genesis
La Nasa croit pouvoir sauver des poussières solaires
Agence France-Presse
Washington
Un responsable scientifique de la mission Genesis à la Nasa s'est déclaré confiant jeudi dans les chances de sauver des échantillons de vents solaires dans les débris de la capsule qui s'est écrasée mercredi à son retour sur Terre.
«Nous sommes très confiants dans la possibilité de récupérer des éléments» d'étude, a déclaré David Lindstrom au siège de la Nasa en ajoutant que «la communauté scientifique est optimiste parce que les particules (solaires) sont implantées dans les collecteurs» en céramique qui ont été récupérés.
La cartouche contenant les échantillons «a été éventrée sur environ 20 centimètres» et «une partie de son contenu en est sorti», se mélangeant aux éléments du sol désertique de l'Utah. «Mais nous avons de la chance, c'est seulement de la terre et un peu de boue collante», a poursuivi M. Lindstrom lors d'une conférence de presse par téléphone.
Les échantillons ont été transportés à la base de Dugway Proving Ground, non loin du site du crash, et placés en zone stérile pour y être nettoyés. M. Lindstrom a estimé qu'il faudrait environ 48 heures pour déterminer avec certitude si ces échantillons sont utilisables par les chercheurs.
Ils seront alors transportés au centre spatial Johnson près de Houston où ils doivent être conservés et étudiés. Les particules ionisées invisibles sont fixées sur des capteurs composés de diamant, d'or, de silicium et de saphir, conçus pour prendre au piège les vents solaires.
La capsule Genesis s'est écrasée après le non fonctionnement des parachutes censés la ralentir pour être cueillie en vol par un hélicoptère.
La mission de 260 millions de dollars avait débuté en août 2001 avec le lancement de la sonde Genesis, placée sur une orbite idéale entre Terre et Soleil pour attraper ces poussières. Elles pourraient fournir des réponses sur le processus de formation du système solaire.
Hier ils ont confirmés que les données sont vraiment intactes, j'ai hâte de voir s'ils vont vraiment pouvoir éclaircir un peu le mystère sur l'origine de notre système solaire, savoir de quelle nébuleuse nous venons, par exemple...
Est-ce une exoplanète ?
Des astronomes pensent que cette photographie montrant un point brillant à côté d'une étoile pourrait être la première observation directe d'une planète extrasolaire.
Une équipe de l'ESO (European Southern Observatory ) a repéré ce faible point lumineux grâce au télescope Yupen du Very Large Telescope installé au Chili. La planète, en orbite autour d'une étoile de type naine brune, aurait une masse équivalente à cinq fois celle de Jupiter et l'étude de son spectre révèle la présence de molécules d'eau.
Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d'une étoile autre que notre soleil. Elles sont habituellement des objets très peu lumineux et difficiles à observer directement. D'ordre général, ces planètes sont détectées indirectement par les perturbations qu'elles provoquent lorsqu'elles passent devant leur étoile.
D'autres observations seront nécessaires afin de s'assurer qu'il s'agit bien d'une exoplanète. Les astronomes vont étudier les mouvements des deux objets et détailler le spectre de la possible exoplanète. La réponse pourrait nous parvenir d'ici deux ans.
Des astronomes pensent que cette photographie montrant un point brillant à côté d'une étoile pourrait être la première observation directe d'une planète extrasolaire.
Une équipe de l'ESO (European Southern Observatory ) a repéré ce faible point lumineux grâce au télescope Yupen du Very Large Telescope installé au Chili. La planète, en orbite autour d'une étoile de type naine brune, aurait une masse équivalente à cinq fois celle de Jupiter et l'étude de son spectre révèle la présence de molécules d'eau.
Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d'une étoile autre que notre soleil. Elles sont habituellement des objets très peu lumineux et difficiles à observer directement. D'ordre général, ces planètes sont détectées indirectement par les perturbations qu'elles provoquent lorsqu'elles passent devant leur étoile.
D'autres observations seront nécessaires afin de s'assurer qu'il s'agit bien d'une exoplanète. Les astronomes vont étudier les mouvements des deux objets et détailler le spectre de la possible exoplanète. La réponse pourrait nous parvenir d'ici deux ans.
Acrux a écritEst-ce une exoplanète ?
Des astronomes pensent que cette photographie montrant un point brillant à côté d'une étoile pourrait être la première observation directe d'une planète extrasolaire.
Une équipe de l'ESO (European Southern Observatory ) a repéré ce faible point lumineux grâce au télescope Yupen du Very Large Telescope installé au Chili. La planète, en orbite autour d'une étoile de type naine brune, aurait une masse équivalente à cinq fois celle de Jupiter et l'étude de son spectre révèle la présence de molécules d'eau.
Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d'une étoile autre que notre soleil. Elles sont habituellement des objets très peu lumineux et difficiles à observer directement. D'ordre général, ces planètes sont détectées indirectement par les perturbations qu'elles provoquent lorsqu'elles passent devant leur étoile.
D'autres observations seront nécessaires afin de s'assurer qu'il s'agit bien d'une exoplanète. Les astronomes vont étudier les mouvements des deux objets et détailler le spectre de la possible exoplanète. La réponse pourrait nous parvenir d'ici deux ans.
Si on installait un gros télescope *derrière la lune* on pourait en voir de plus en plus ,en direct de ces exoplanêtes...
Des astronomes pensent que cette photographie montrant un point brillant à côté d'une étoile pourrait être la première observation directe d'une planète extrasolaire.
Une équipe de l'ESO (European Southern Observatory ) a repéré ce faible point lumineux grâce au télescope Yupen du Very Large Telescope installé au Chili. La planète, en orbite autour d'une étoile de type naine brune, aurait une masse équivalente à cinq fois celle de Jupiter et l'étude de son spectre révèle la présence de molécules d'eau.
Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d'une étoile autre que notre soleil. Elles sont habituellement des objets très peu lumineux et difficiles à observer directement. D'ordre général, ces planètes sont détectées indirectement par les perturbations qu'elles provoquent lorsqu'elles passent devant leur étoile.
D'autres observations seront nécessaires afin de s'assurer qu'il s'agit bien d'une exoplanète. Les astronomes vont étudier les mouvements des deux objets et détailler le spectre de la possible exoplanète. La réponse pourrait nous parvenir d'ici deux ans.
Si on installait un gros télescope *derrière la lune* on pourait en voir de plus en plus ,en direct de ces exoplanêtes...
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Panne du générateur d'oxygène à bord de l'ISS
Le principal générateur d'oxygène à bord de la Station spatiale internationale (ISS) est tombé en panne, ce qui signifie que les deux spationautes à bord pourraient devoir utiliser la semaine prochaine des réserve d'air de sauvegarde en attendant la réparation du système, a annoncé jeudi l'agence spatiale américaine, la NASA.
Selon la NASA, le cosmonaute russe Guennadi Padalka et l'astronaute américain, Michael Fincke, disposent de plusieurs réserves supplémentaires d'oxygène et ne sont donc pas en danger immédiat.
Le générateur d'oxygène -un énorme système russe qui tombe souvent en panne- a arrêté de fonctionner un peu plus tôt cette semaine. D'habitude, il semble gêné par intermittance par des bulles d'air, mais cette fois, le système semble complètement bloqué.
Les deux spationautes sont arrivés à bord de la station le 21 avril dernier pour une mission de six mois. Depuis l'explosion de la navette américaine Columbia en février 2003, la Russie et les Etats-Unis partagent les coûts de l'envoi d'hommes et de matériels sur l'ISS, mais les voyages vers l'ISS sont uniquement effectués par des engins russes.
Le principal générateur d'oxygène à bord de la Station spatiale internationale (ISS) est tombé en panne, ce qui signifie que les deux spationautes à bord pourraient devoir utiliser la semaine prochaine des réserve d'air de sauvegarde en attendant la réparation du système, a annoncé jeudi l'agence spatiale américaine, la NASA.
Selon la NASA, le cosmonaute russe Guennadi Padalka et l'astronaute américain, Michael Fincke, disposent de plusieurs réserves supplémentaires d'oxygène et ne sont donc pas en danger immédiat.
Le générateur d'oxygène -un énorme système russe qui tombe souvent en panne- a arrêté de fonctionner un peu plus tôt cette semaine. D'habitude, il semble gêné par intermittance par des bulles d'air, mais cette fois, le système semble complètement bloqué.
Les deux spationautes sont arrivés à bord de la station le 21 avril dernier pour une mission de six mois. Depuis l'explosion de la navette américaine Columbia en février 2003, la Russie et les Etats-Unis partagent les coûts de l'envoi d'hommes et de matériels sur l'ISS, mais les voyages vers l'ISS sont uniquement effectués par des engins russes.
Le nouvel équipage de l'ISS présente le programme de sa mission
Le nouvel équipage de la Station spatiale internationale (ISS) a annoncé jeudi qu'il effectuerait deux sorties extravéhiculaires durant son séjour en orbite et qu'il conduirait des expériences qui pourraient aider la recherche d'un vaccin contre le SIDA. Le cosmonaute russe Salijan Charipov et l'astronaute américain Leroy Chiao donnaient leur dernière conférence de presse avant le lancement du vaisseau Soyouz le 11 octobre prochain à Baïkonour (Kazakhstan).
Ils prendront la relève de Guennady Padalka et Mike Fincke qui auront passé six mois à bord de l'ISS. Le cosmonaute Youri Charguine accompagnera Charipov et Chiao le 11 octobre mais redescendra sur Terre neuf jours plus tard avec Padalka et Fincke. Salijan Charipov a expliqué jeudi qu'il effectuerait deux sorties dans l'espace avec son co-équipier américain. La première est prévue à la fin de cette année: ils doivent installer des antennes et des caméras à l'extérieur de la station. Durant la seconde, en février 2005, ils devront préparer l'arrivée du vaisseau européen Jules Verne, le premier ATV (véhicule de transfert automatique).
Leroy Chiao a ajouté que les deux spationautes mèneraient des expériences médicales pour aider les scientifiques qui recherchent un vaccin contre le SIDA. Ils devraient aussi commencer à tester un nouveau véhicule spatial qui pourrait être utilisé dans de futures missions.
Le nouvel équipage de la Station spatiale internationale (ISS) a annoncé jeudi qu'il effectuerait deux sorties extravéhiculaires durant son séjour en orbite et qu'il conduirait des expériences qui pourraient aider la recherche d'un vaccin contre le SIDA. Le cosmonaute russe Salijan Charipov et l'astronaute américain Leroy Chiao donnaient leur dernière conférence de presse avant le lancement du vaisseau Soyouz le 11 octobre prochain à Baïkonour (Kazakhstan).
Ils prendront la relève de Guennady Padalka et Mike Fincke qui auront passé six mois à bord de l'ISS. Le cosmonaute Youri Charguine accompagnera Charipov et Chiao le 11 octobre mais redescendra sur Terre neuf jours plus tard avec Padalka et Fincke. Salijan Charipov a expliqué jeudi qu'il effectuerait deux sorties dans l'espace avec son co-équipier américain. La première est prévue à la fin de cette année: ils doivent installer des antennes et des caméras à l'extérieur de la station. Durant la seconde, en février 2005, ils devront préparer l'arrivée du vaisseau européen Jules Verne, le premier ATV (véhicule de transfert automatique).
Leroy Chiao a ajouté que les deux spationautes mèneraient des expériences médicales pour aider les scientifiques qui recherchent un vaccin contre le SIDA. Ils devraient aussi commencer à tester un nouveau véhicule spatial qui pourrait être utilisé dans de futures missions.
Soyouz est de retour sur Terre
Les responsables du Centre russe des vols spatiaux ont annoncé que le vaisseau Soyouz a atterri à l'heure prévue, dimanche, au Kazakhstan. La capsule transportait deux cosmonautes russes et un astronaute américain, qui revenaient d'un séjour de plusieurs mois dans la Station spatiale internationale (ISS).
L'Américain Michael Fincke et les Russes Guennadi Padalka et Iouri Charguine sont sortis de Soyouz TMA-4 avec le sourire aux lèvres. Padalka et Fincke ont ramené les résultats et les échantillons de la quarantaine d'expériences qu'ils ont menées pendant leur séjour dans l'ISS, tandis que Charguine a pris une série de photos de haute qualité de la Terre devant permettre aux scientifiques de mieux appréhender les cataclysmes naturels.
Ils ont été remplacés par le Russe Salijan Charipov et l'Américain Leroy Chiao, qui resteront 180 jours dans l'espace. Le nouvel équipage de l'ISS doit mener 41 expériences scientifiques, médicales, biologiques et techniques, dont une consacrée à la recherche d'un vaccin contre le virus du sida.
Les deux astronautes doivent aussi faire deux sorties dans l'espace, l'une en décembre et l'autre en février. Ces sorties sont destinées à préparer l'arrimage du futur cargo spatial européen ATV à l'ISS, prévu pour l'an prochain .
Chiao et Charipov sont le 10e équipage de longue durée embarqué sur l'ISS depuis le lancement de son premier module, le 20 novembre 1998.
Les responsables du Centre russe des vols spatiaux ont annoncé que le vaisseau Soyouz a atterri à l'heure prévue, dimanche, au Kazakhstan. La capsule transportait deux cosmonautes russes et un astronaute américain, qui revenaient d'un séjour de plusieurs mois dans la Station spatiale internationale (ISS).
L'Américain Michael Fincke et les Russes Guennadi Padalka et Iouri Charguine sont sortis de Soyouz TMA-4 avec le sourire aux lèvres. Padalka et Fincke ont ramené les résultats et les échantillons de la quarantaine d'expériences qu'ils ont menées pendant leur séjour dans l'ISS, tandis que Charguine a pris une série de photos de haute qualité de la Terre devant permettre aux scientifiques de mieux appréhender les cataclysmes naturels.
Ils ont été remplacés par le Russe Salijan Charipov et l'Américain Leroy Chiao, qui resteront 180 jours dans l'espace. Le nouvel équipage de l'ISS doit mener 41 expériences scientifiques, médicales, biologiques et techniques, dont une consacrée à la recherche d'un vaccin contre le virus du sida.
Les deux astronautes doivent aussi faire deux sorties dans l'espace, l'une en décembre et l'autre en février. Ces sorties sont destinées à préparer l'arrimage du futur cargo spatial européen ATV à l'ISS, prévu pour l'an prochain .
Chiao et Charipov sont le 10e équipage de longue durée embarqué sur l'ISS depuis le lancement de son premier module, le 20 novembre 1998.
- Blanche Neige
- Caïd de la Causette
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- Inscription : lun. janv. 26, 2004 1:00 am
Je ne le sais pas si je suis dans le bon sujet mais ce Mercredi, vers 21:15 p.m. commencera une éclipse Lunaire. C'est la terre qui passera entre le soleil et la lune. Vers 22:15 p.m. l'éclipse sera à son maximun, la lune sera de couleur rougeatre et ce n'est pas dommageable pour les yeux. La terre va bloquer environs 90% des rayons du soleil sauf pour les rouge, ce qui va expliquer la teinte rougeatre de la lune. Et comme la nature est majestueuse, depuis quelque semaine, le matin se lève toujours avec le ciel bleu et le colorie des arbres.Quel beauté la nature nous offres dans les jours d'automne.
Les vertus, la sagesse, le bonheur s'acquièrent par l'éducation. L'art de vivre s'apprend. Aristote.