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Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 5:39 pm
par Earendil
ceux qui sont pour le gaz de schiste selon moi ont aucun respect pour l'environnement et pour les générations futures

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 5:43 pm
par Beppo
Earendil a écrit : ceux qui sont pour le gaz de schiste selon moi ont aucun respect pour l'environnement et pour les générations futures
Je n'aime pas lire de telles affirmations. Je trouve ça très catégorique en soi étant donné que présentement nous sommes tous à la recherche de la vérité. N'étant pas un spécialiste des questions environnementales, je me permets de lire à gauche et à droite des informations pertinentes sur le sujet. Je ne suis ni pour, ni contre mais à la recherche et si un jour mon opinion se clarifiait en étant pour, j'aurais le même respect pour l'environnement que présentement. La communauté scientifique ne me semble pas aussi branchée et catégorique à ce propos.

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 5:52 pm
par Annouk
Beppo a écrit : [...]


Je n'aime pas lire de telles affirmations. Je trouve ça très catégorique en soi étant donné que présentement nous sommes tous à la recherche de la vérité. N'étant pas un spécialiste des questions environnementales, je me permets de lire à gauche et à droite des informations pertinentes sur le sujet. Je ne suis ni pour, ni contre mais à la recherche et si un jour mon opinion se clarifiait en étant pour, j'aurais le même respect pour l'environnement que présentement. La communauté scientifique ne me semble pas aussi branchée et catégorique à ce propos.
:jap:

On doit juste attendre que des études plus poussées soient faites. Perso, je ne rejette pas tout de suite :)

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 5:54 pm
par Earendil
beppo tu oublis ils font ca sauvagement ils peuvent aller chez vous sur ton terrain sans ton autorisation pour voir si il y a du gaz de schiste

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 6:12 pm
par lucide
Beppo a écrit : [...]


Je n'aime pas lire de telles affirmations. Je trouve ça très catégorique en soi étant donné que présentement nous sommes tous à la recherche de la vérité. N'étant pas un spécialiste des questions environnementales, je me permets de lire à gauche et à droite des informations pertinentes sur le sujet. Je ne suis ni pour, ni contre mais à la recherche et si un jour mon opinion se clarifiait en étant pour, j'aurais le même respect pour l'environnement que présentement. La communauté scientifique ne me semble pas aussi branchée et catégorique à ce propos.
En plus de l'impact sur l'environnement ou je m'interroge, si c'est une solution si interessante et payante .... pourquoi avoir vendu les permis de forage a des compagnies étrangères, pourquoi ne pas avoir développer un plan pour l'exploiter nous autres mêmes et garder les profits....

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 6:22 pm
par Nikki
Earendil a écrit : ceux qui sont pour le gaz de schiste selon moi ont aucun respect pour l'environnement et pour les générations futures
Faut faire attention. Je pense que les gens qui ne sont pas contre ont leurs raisons, qu'elles soient vraies ou faussse, mais je ne crois pas que leur intention première soit de scrapper l'environnement. ils ne croient juste pas que c'est aussi grave qu'on le dit...

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 6:38 pm
par Earendil
voici ce qu'une fille de 13 ans en pense

http://schiste-st-liboire.blogspot.com/ ... ns-au.html

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 8:09 pm
par nicki
J'ai signé la pétition mais je n'ai pas noté le nombre où on est rendus.

Je ne crois pas que cette pétition aura un impact direct mais ça m'a fait un petit plaisir de signer pour demander la démission de Jean Charest. Pu capable... :shock:

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 8:31 pm
par Placeress
Voici le décompte en direct des signatures de la pétition:

http://petition.escale.net/index.php" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 9:09 pm
par Beppo
Earendil a écrit : beppo tu oublis ils font ca sauvagement ils peuvent aller chez vous sur ton terrain sans ton autorisation pour voir si il y a du gaz de schiste
J'ai un terrain de 50x100. Je serais bien surpris qu'on vienne y monter une tente. D'ailleurs, une servitude de Bell est déjà en place. mdr

Trève de plaisanterie, je crois qu'on a diminué sur ces invasions barbares là, non?

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 9:17 pm
par Earendil
beppo je parle sur ceux qui ont des terrains agricoles pas des terrains privés de tit bungalow la

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 9:30 pm
par Beppo
Earendil a écrit : beppo je parle sur ceux qui ont des terrains agricoles pas des terrains privés de tit bungalow la
Je sais bien. Mais il faut savoir aussi que sur ces terres agricoles, le proprio n'est pas plus intéressé par l'exploitation du gaz de schiste que l'éolienne, on s'entend. À un moment donné à ne rien vouloir, on va finir comment?

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 9:32 pm
par Placeress
Earendil a écrit : beppo je parle sur ceux qui ont des terrains agricoles pas des terrains privés de tit bungalow la

De toute manière, c'est sur que ce n'est pas dans la cours de monsieur madame tout le monde, mais ce n'est pas parce que cela se passe dans la cours du voisin ou la nôtre que ce n'est pas grave.

Perso, je trouve ça vraiment épouvantable qu'il n'y ait aucune réglementation et que ces compagnies de forages puissent impunément venir dans la cours des gens pour forer est exploiter le tout à leur guise, et ce, même si ce n'est pas dans la mienne.

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 11:19 pm
par Anya
Image
Beaudet

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : mer. nov. 17, 2010 11:28 pm
par Placeress
Anya a écrit : Image
Beaudet

:rofl: :rofl:

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : jeu. nov. 18, 2010 12:31 am
par Jasmin
Anya a écrit : Image
Beaudet
:lol: :lol: :lol: :cartelol: :rofl2: :rofl2: :rofl2: :rofl2:

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : jeu. nov. 18, 2010 11:42 am
par .anthurium.
Placeress a écrit : [...]



De toute manière, c'est sur que ce n'est pas dans la cours de monsieur madame tout le monde, mais ce n'est pas parce que cela ne se passe pas dans la cours du voisin que ce n'est pas grave.

Perso, je trouve ça vraiment épouvantable qu'il n'y ait aucune réglementation et que ces compagnies de forages puissent impunément venir dans la cours des gens pour forer est exploiter le tout à leur guise.
C'est ça nous devons mettre des règles sévères, avec des amendes salées.

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : jeu. nov. 18, 2010 1:10 pm
par Gillo
Publié le 18 novembre 2010 à 06h46 | Mis à jour à 06h46

Pendant ce temps, aux USA...


Patrick Lagacé
La Presse

Le Québec, on le sait, est béni des dieux: ses politiciens ne se font à peu près jamais passer des menottes. Aux États-Unis, les politiciens ne sont pas aussi chanceux (ou propres): le FBI arrête régulièrement des élus pour des crimes de corruption. Ralph Marra, ancien District Attorney fédéral, a passé sa vie à poursuivre des représentants publics corrompus.

«Mon premier cas était assez classique, raconte-t-il en entrevue. Un fournisseur de biens devait donner une ristourne de 10% à des élus en échange de contrats municipaux...»

Au bout du fil, de son bureau au New Jersey Sports and Exhibition Authority, où il est depuis peu vice-président aux affaires juridiques, je sens le profond dédain de Ralph Marra pour ces «public officials» qui osent solliciter du fric afin d'influencer des décisions ou des contrats.

«Écoutez, il n'y a aucune excuse! Ils n'ont pas droit à cet argent. C'est une trahison de leur lien avec le public. S'il y a un dilemme, il est du côté des fournisseurs à qui on dit qu'ils doivent payer, que ce soit sous forme de pot-de-vin ou de ristourne, pour faire affaire avec un organisme public.»

Ralph Marra a ainsi poursuivi, au fil des années, au terme d'enquêtes du FBI, le maire de Newark (la plus grande ville de l'État), celui de la ville de Hoboken, la mairesse adjointe de Jersey City, un juge qui promettait à des femmes d'annuler des constats d'infraction en échange de faveurs sexuelles, un ancien sénateur de l'Assemblée législative qui avait fait du trafic d'influence pour un hôpital en recherche de financement de l'État... Bref, Ralph Marra a passé sa carrière à chasser le filou.

* * *

En 2009, le FBI et le US Attorney's Office (USAO) du New Jersey ont annoncé l'arrestation de 60 personnes dans le cadre de l'opération «Bid Rig», après sept ans d'enquête dans des affaires de pots-de-vin et de ristournes versés à des représentants publics. La moitié des gens qui se sont fait passer les menottes par le FBI étaient des fonctionnaires ou des politiciens, maires, conseillers municipaux, state senators.

Même pour un État comme le New Jersey, abonné aux scandales du genre, surnommé le «Soprano State» du nom de la série télévisée, l'opération Bid Rig a décoiffé l'opinion publique. C'est Ralph Marra, au cours de l'été 2009, qui a expliqué aux citoyens de l'État l'ampleur de la magouille révélée dans cette opération.

Il y a plusieurs façons de coincer des élus et des fonctionnaires véreux, dit Ralph Marra. On peut lancer une enquête sur une dénonciation, on peut aller fouiller dans les documents internes d'une ville, d'une université, d'un comté. Mais un des meilleurs outils d'enquête reste un délateur.

«Pour Bid Rig, nous avions un agent source, quelqu'un que nous avions arrêté pour une autre affaire criminelle. Il disait avoir des contacts avec des représentants publics prêts à accepter de l'argent. Il a accepté de coopérer pour recevoir une peine moins lourde.»

Le FBI a donc pu filmer des échanges entre cet informateur et des représentants publics. Des demandes précises ont été enregistrées. Des échanges de fric ont été immortalisés à l'insu des élus et fonctionnaires corrompus.

«La meilleure preuve, c'est toujours l'enregistrement audio ou vidéo! C'est la preuve la plus forte qu'on puisse présenter devant les tribunaux: mettre les accusés devant leurs actes.»

Une des constantes dans les cas de corruption qui sont passés dans les griffes du procureur Marra, pendant 25 ans, c'est l'usage de cash. L'argent comptant, dans les affaires d'une ville, d'un comté ou de l'État, c'est toujours louche, dit-il.

«C'est hautement suspect. Je ne peux pas penser à une seule situation impliquant du comptant qui ne serait pas suspecte. Il n'y a aucune raison de demander du comptant, de payer comptant. Les gens qui utilisent du comptant espèrent une chose: ne pas laisser de traces. C'est LA façon de ne pas laisser de traces.»

Son meilleur conseil, si un élu, un fonctionnaire ou quiconque vous demande de l'argent pour lubrifier vos rapports avec un organisme public.

«Appelez la police. La corruption, c'est comme la mauvaise herbe dans un jardin. Il faut l'arracher.»

* * *

Ce que je retiens de ma conversation avec Ralph Marra, c'est qu'aux États-Unis, il y a une volonté politique de traquer les salopards qui travaillent dans le secteur public pour s'en mettre plein les poches.

«Ce qui est crucial, croit M. Marra, c'est qu'ici, aux États-Unis, le USAO possède une division entièrement consacrée à la corruption de représentants publics. Le FBI aussi. Nous mettons ainsi au point une expertise spéciale, nous partageons de l'information. Ceux qui travaillent à combattre ce genre de corruption le font par vocation, je vous dirais.»

C'est peut-être pourquoi, chez nos voisins du Sud, un élu ou un fonctionnaire qui se fait passer des menottes, ce n'est pas de la science-fiction. Le système est-il sans faille? Non. Mais le FBI et le US Attorney's Office ont institutionnalisé la lutte contre les pommes pourries.

Mais bon, ça, c'est aux States! Heureusement, au Québec, nos moeurs politiques virginales font en sorte que nous n'avons besoin, pour surveiller les représentants publics, que d'une escouade policière créée à la va-vite dans la foulée de révélations médiatiques probablement sensationnalistes...

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... ECRAN1POS2" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : jeu. nov. 18, 2010 1:59 pm
par Thewinneris
C'est vrai qu'aux États-Unis les politiciens ne sont pas intouchables et la voix des gens peut faire la différence, ils tiennent compte des pétitions, du poulx des gens! Ils ont une vrai démocratie, comparé à ici ou le peuple n'est jamais entendu!

Re: Pétition : Demande de démission du premier ministre du Québe

Publié : jeu. nov. 18, 2010 3:32 pm
par Anya
Le courage et l’entêtement
Michel David
Le Devoir
jeudi 18 novembre 2010

Plutôt que de débattre de l’opportunité d’une enquête publique sur la corruption dans l’industrie de la construction, les délégués au dernier conseil général du PLQ ont tenté encore une fois de se convaincre que Jean Charest est une réincarnation de Robert Bourassa. Cette exploitation de la mémoire l’ancien premier ministre pour mieux encenser son successeur devient même indécente.

Parmi les thuriféraires invités, l’ancien chef de cabinet de M. Bourassa, Mario Bertrand, a vanté le courage et la détermination dont il a fait preuve durant sa longue carrière. Alors que tout le monde le tenait pour politiquement mort en 1976, son retour en 1985 tenait véritablement de l’exploit.

On conviendra volontiers que M. Charest aussi a fait preuve d’une remarquable capacité de rebondir. Que ce soit au pouvoir ou dans l’opposition, à Ottawa ou à Québec, il n’a jamais eu froid aux yeux, y compris dans ses erreurs.

Il ne faut cependant pas confondre détermination et entêtement. M. Bourassa savait très bien à quel moment il lui fallait lâcher prise, non seulement dans son propre intérêt, mais aussi dans celui de l’État dont il avait la responsabilité. Il y a même des moments où reculer peut être un acte de courage.

Avec la volte-face spectaculaire de la FTQ, on semble en être arrivé au point où l’ensemble de la société québécoise estime qu’une enquête publique est devenue indispensable, que ce soit avec ou sans M. Charest. Cela devra se faire sans lui.

***

Hier après-midi, il était un peu surréaliste d’entendre les partis d’opposition spéculer sur la composition et le mandat d’une éventuelle commission. Si la FTQ semble être arrivée à la conclusion qu’elle a plus à perdre à voir les allégations se multiplier sans qu’il soit possible de distinguer le vrai du faux, le premier ministre ne veut toujours rien savoir d’une enquête publique qui, dans son esprit, se transformerait à coup sûr en un inextricable marécage, dans lequel le PLQ demeurerait empêtré, peu importe qu’il gagne ou perde les prochaines élections.

Au cours d’un débat de fin de journée sur une motion présentée par le PQ, le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, n’a pas manifesté la moindre ouverture. Il s’en est tenu strictement au discours qu’il tient depuis des semaines : le gouvernement se contentera d’enquêtes policières.

Jean Cournoyer, qui était ministre du Travail quand le gouvernement Bourassa a institué la commission Cliche sur la violence dans l’industrie de la construction et la Commission d’enquête sur le crime organisée (CECO) au début des années 1970, évoquait hier la fable du chêne et du roseau. M. Bourassa avait du courage, mais aussi la sagesse de plier pour ne pas rompre.

M. Charest est ce genre d’homme que l’adversité a plutôt pour effet de braquer.

Dès le départ, il a fait le pari que l’indignation n’aurait qu’un temps. Précisément parce qu’il a souvent connu des moments difficiles dans sa carrière et s’en est toujours sorti, il pouvait légitimement croire que l’opinion publique finirait par se lasser, pour peu que lui-même refuse de se laisser infléchir.

Il ne changera pas d’idée parce qu’une pétition réclame sa démission. Déjà en mai 2006, 65 % des Québécois et 41 % des électeurs libéraux souhaitaient son départ. Trois francophones sur quatre se disaient insatisfaits de son gouvernement. Il a pourtant été réélu à deux reprises depuis. Il y a cependant une différence de taille : les reproches qu’on lui adressait à l’époque n’avaient rien à voir avec l’intégrité.

***

Comme la plupart des libéraux, qui se sont toujours gaussés de l’idéalisme du PQ, il a également parié que l’économie primerait tout. Le tableau qu’il a brossé en fin de semaine dernière devant le conseil général de son parti reflétait une indéniable réalité : le Québec s’est mieux sorti de la crise que n’importe qui en Amérique du Nord et son potentiel énergétique lui permet d’entrevoir l’avenir avec optimisme.

« Ça, c’est la réalité qui compte pour des millions de Québécois dans toutes les régions. Parce qu’on a pris les bonnes décisions, il y a une paye qui rentre », a déclaré M. Charest. Le discours inaugural qu’il prononcera quand l’Assemblée nationale entreprendra une nouvelle session, en février 2011, poursuivra sur cette lancée. Qu’une autre réalité puisse compter davantage aux yeux de la population lui apparaît tout simplement inconcevable.

Les événements des derniers jours vont donner une nouvelle signification à l’élection partielle qui sera tenue le 29 novembre dans Kamouraska-Témiscouata. Une très possible victoire libérale dans l’ancienne circonscription de Claude Béchard aurait pour effet de conforter M. Charest dans son refus de déclencher une enquête.

D’ici là, le débat devra malheureusement se poursuivre en l’absence du premier ministre, qui effectuera la semaine prochaine une visite officielle à Paris et à Strasbourg, avant de se rendre à Cancún pour participer à la conférence sur le climat. La fréquentation du président Sarkozy ne risque malheureusement pas de l’inciter à une plus grande souplesse.

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