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Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:41 am
par **Miranda
En effet, merci  

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:41 am
par tipet
Amy  a écrit

Hum j'ai défendu la mère dans mes précédents messages, mais de penser qu'un bébé naissant a véritablement été tué...    

Je ne pense pas que tu as "défendu" la mère, tu te questionnais sur les circonstances, et c'est tout à ton honneur.

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:42 am
par Mirianne
J'ai hate d'avoir plus de détails, c'était une nouvelle de "dernière minute"...

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:43 am
par pasmel
tiens maintenant c'est vraiment différent    eh oui ! elle l'aurait tué. Je n'entend plus parler de maladie mentale ou autre... En tk

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:45 am
par **Miranda
Et qu'est-ce que ça aurait donné de la condamner avant même de savoir?  Comme Tipet l'a dit, nous nous questionnions, car semblerait qu'ici au Canada, nous sommes innoncents jusqu'à preuve du contraire...

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:46 am
par tipet
pasmel  a écrittiens maintenant c'est vraiment différent    eh oui ! elle l'aurait tué. Je n'entend plus parler de maladie mentale ou autre... En tk

Et pourquoi elle ne pourrait aps être malade mentale parce qu'elle l'a tué?

Ça ne change rien au fait qu'elle ait pu être en détresse ou quoi que ce soit. Je pense au cas de la jeune ado de 16 ans qui est allé porté son bébé naissant dans le bois derrière chez-elle, elle était seule, vulnérable et en détresse psychologique. Il me semble que ça epxlique un peu le geste...Non?

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:48 am
par tipet
Je remt l,article sur la jeuen ado qui a tué son bébé naissant:

Le mardi 08 juillet 2008


Histoire d'un infanticide: «Je m'excuse, j'ai sali partout»






Michèle Ouimet

La Presse

Dans la nuit du 5 novembre 2006, Marie, 16 ans, a accouché seule. Paniquée, elle a déposé son bébé dans un bois. Il est mort d'hypothermie. Marie a plaidé coupable à une accusation d'homicide involontaire. Le 30 juin dernier, elle a été condamnée à 18 mois de garde fermée, suivis de neuf mois en liberté surveillée. Notre journaliste Michèle Ouimet a rencontré la mère de Marie. Alors que le ministère de la Santé du Québec dévoile aujourd'hui le contenu d'un rapport très attendu sur les homicides intrafamiliaux, voici le récit troublant d'un infanticide.

 


Lorsque France* est entrée dans la maison au milieu de la nuit, elle s'est doutée que quelque chose clochait. Sa fille de 16 ans, Marie, était enfermée dans la salle de bains, et une tache sombre barbouillait le tapis.

Marie est finalement sortie des toilettes et s'est écroulée sur le lit, pâle, épuisée. «Ses jambes étaient couvertes de sang séché, raconte France. Il y avait une tache rouge sur le plancher de la salle de bains. C'était du sang.»

France était au bord de la panique. «Je me demandais ce qui se passait. J'ai dit à ma fille: «Raconte-moi la vérité, je ne te chicanerai pas.» Mais Marie était confuse. Elle ne cessait de répéter: «Je m'excuse, j'ai sali partout.» «

Marie a fini par avouer. «J'ai accouché dans les toilettes», a-t-elle dit à sa mère. France était bouleversée: elle ignorait que sa fille était enceinte.

Le bébé était viable, il avait entre 34 et 36 semaines. Marie a accouché en 10 minutes, à 4h du matin, assise sur le linoléum blanc, le dos appuyé à la baignoire. Elle était seule dans le modeste bungalow du compagnon de sa mère, dans un quartier planté au milieu de la forêt, à quelques kilomètres au nord de Sainte-Sophie.

Le bébé, un garçon, était couvert de sang. Il ne pleurait pas. Marie l'a pris dans ses bras, est allée dans la cuisine et a coupé le cordon ombilical avec des ciseaux. Elle a ensuite enveloppé le nouveau-né dans une serviette, puis elle a traversé la rue en courant, à moitié nue. Elle a déposé l'enfant dans le sous-bois en face de la maison. C'était en novembre, et le sol était couvert de frimas.

Le bébé est mort d'hypothermie. Il y avait des traces d'ecstasy dans son sang.

Marie n'avait qu'une idée en tête: tout nettoyer avant que sa mère et son amoureux reviennent à la maison.

«Marie ne veut pas déplaire, précise France. C'était la première fois qu'elle venait chez mon chum.»

Sa mère a appelé l'ambulance. Marie délirait. «Elle me disait: «J'ai mis ça dehors», raconte France. Je n'ai pas compris qu'elle me parlait du bébé.»

À l'hôpital, c'est le choc. «Un médecin est venu me voir et il m'a dit: «Il y a un cordon ombilical, donc un bébé. Il faut le trouver.»«

La nouvelle l'a assommée. Elle s'est écroulée au milieu du couloir. «Je pleurais. Je n'avais rien vu, rien compris. Ma fille avait accouché! Je me suis dit: Ça ne se peut pas!»

La veille, elles avaient passé la soirée ensemble. Marie avait mal au ventre. France pensait que c'était une gastro. Elle lui avait donné des Advil.

Vers 23h30, France est sortie avec son amoureux. Sa fille somnolait sur le sofa. Elle ne se doutait pas que le ciel lui tomberait sur la tête quelques heures plus tard.

Marie a passé deux jours à l'hôpital. À sa sortie, les policiers l'attendaient. «Ils l'ont embarquée et ils lui ont lu ses droits, dit France. Je l'ai suivie jusqu'au quartier général de la Sûreté du Québec. C'est là que j'ai su qu'elle était accusée de meurtre. Je trouvais ça insensé.»

Marie est menue. Ses cheveux fins flottent sur ses épaules. Le lundi 30 juin, elle a lu une lettre au juge Normand Lafond quelques minutes avant qu'il prononce la peine.

«Je veux vous expliquer comment je me sens à l'intérieur. J'avoue que je n'ai pas montré beaucoup de remords, mais il ne se passe pas une journée sans que je voie dans ma tête toute cette tragédie.»

Marie a pleuré. Doucement. Le juge l'a écoutée. Après lui avoir imposé une peine de 18 mois en garde fermée, il l'a prévenue. «Ça ne sera pas facile, il faut que tu tiennes le coup. On te voit un peu comme une victime de ton milieu familial.»



Un milieu rock'n'roll



Tout allait bien pour Marie jusqu'au jour où ses parents ont divorcé. Un divorce dur, déchirant, rempli de menaces et d'insultes. Marie avait 14 ans. Sa mère l'a envoyée vivre chez sa grand-mère, le temps que la poussière retombe.

Marie s'est retrouvée sans encadrement. Libre. À 14 ans. «L'âge des folies», dit sa mère.

C'est pendant cette période un peu folle que Marie a rencontré Olivier, le père de son bébé. «Elle était en amour par-dessus la tête», se rappelle France.

Marie a séché ses cours à l'école, elle a fumé du pot, pris de l'ec-stasy, fait l'amour.

Pendant ce temps, ses parents se déchiraient. France a fait faillite, la maison familiale a été saisie. Le stress était énorme. Elle a fait une dépression. Elle était incapable de voir que sa fille dérapait.

Le père de Marie a passé de nombreuses années en prison et il a souvent tenté de se suicider. Le jour où France lui a dit qu'elle le quittait, il a menacé de se tuer avec une arbalète.

Ses relations avec sa fille étaient tendues. Après le divorce, il a essayé de reprendre contact avec elle. Il lui a écrit une lettre.

«Je suis un rock'n'roll. Je passe pour un dur, un Harley, j'écoute du rock, je me gèle, mais je suis loin d'être une personne méchante et rough and tough. () J'aimais ta mère à la folie. Il ne se passe pas une heure sans que je verse une larme.»

Marie baignait dans les problèmes de ses parents. Elle leur a caché sa grossesse. «Elle trouvait que j'en avais assez sur les épaules, elle ne voulait pas m'accabler», croit France.

Marie a tenté de trouver du réconfort auprès d'Olivier, le père du bébé. Elle s'est heurtée à un mur d'indifférence. Le 4 novembre 2006, 24 heures avant l'accouchement, Marie a senti les premières contractions. Elle était chez Olivier. Elle lui a demandé de l'emmener à l'hôpital. Il a refusé. Pas question non plus de lui payer un taxi. Trop cher. Il lui a dit de prendre des Advil et un bain chaud. Il voulait dormir en paix.

La suite de l'histoire est connue: l'accouchement, la solitude, le bébé abandonné, les accusations de meurtre, la condamnation.

Olivier, lui, n'a pas été accusé ni traîné en cour. Marie est la seule à payer pour leur erreur.

*Tous les noms sont fictifs.

Publié : jeu. juil. 17, 2008 10:55 am
par lélou
pasmel  a écrittiens maintenant c'est vraiment différent    eh oui ! elle l'aurait tué. Je n'entend plus parler de maladie mentale ou autre... En tk



Ce n'est pas ici une gueguerre à savoir qui a raison ou tord, sans ajouter qu'on ne connaît toujours pas l'histoire, à part qu'elle ait malheureusement tué son bébé.

Je suis très heureuse d'avoir lu ici des commentaires de gens qui attendaient de savoir ce qui s'était passé avant d'établir un jugement sans appel. Je trouve malheureux de savoir qu'elle a pausé cet acte, mais j'attends toujours de savoir dans quelles circonstances ceci est arrivé avant de me faire une idée complète, maladie mentale ou non. Et je n'ai lu nulle part que la maladie mentale était écartée... Et honnêtement, même si elle avait posé cet acte de sang froid, aux dernières nouvelles, dans notre société, on ne condamne pas une personne avant d'avoir établi la preuve de sa culpabilité.

En passant, un meurtre au deuxième degré, c'est un meurtre sans préméditation. --Message edité par lélou le 2008-07-17 16:57:42--

Publié : jeu. juil. 17, 2008 11:04 am
par Son Excellence
Peut importe l histoire dans cette affaire la réalité est qu un bébé est mort.....................

Publié : jeu. juil. 17, 2008 11:10 am
par **Miranda
Son Excellence  a écritPeut importe l histoire dans cette affaire la réalité est qu un bébé est mort.....................

Ça, tout le monde le sait, et le fait d'avoir cherché à comprendre le geste de la mère, ne nous enlève pas notre compassion pour le bébé et l'horreur que nous ressentons à la pensée de ce petit corps dans le container... --Message edité par Amy le 2008-07-17 17:14:32--

Publié : jeu. juil. 17, 2008 11:12 am
par lélou
Amy  a écrit

Ça, tout le monde le sait, et le fait de chercher à comprendre le geste de la mère, ne nous enlève pas notre compassion pour le bébé et l'horreur que nous ressentons à la pensée de ce petit corps dans le container...

Publié : jeu. juil. 17, 2008 11:13 am
par Oliver
Citation :Nouveau-né retrouvé sans vie à Québec : la mère accusée de meurtre
Le 17 juillet 2008 - 17:02  |  Olivier Caron
 
La jeune mère du nouveau-né retrouvé sans vie dans un conteneur à déchets lundi, à Québec, fera finalement face à des accusations de meurtre au deuxième degré. Les résultats de l'autopsie du poupon ont donc révélé que le poupon est décédé des suites de son abandon.

L'accusée ne fera donc pas face à une accusation d'infanticide. L'infanticide lui aurait fait encourir une peine de prison de cinq ans, alors que l'accusation de meurtre pourrait lui valoir une peine de détention à vie.

Lors de sa comparution ce jeudi après-midi au Palais de justice de Québec, la jeune femme de 22 ans a aussi été accusée d'avoir fait disparaître le cadavre d'un enfant pour cacher le fait qu'elle avait accouché.

L'accusée demeure détenue et sera de retour en cour le 22 septembre, pour son enquête sur remise en liberté.

Rappelons que la macabre découverte a été faite lundi. Vers 15h30, le nouveau-né a été retrouvé sans vie dans un conteneur à déchets de l'avenue Saint-Pascal à Limoilou. C'est un proche de la future mère qui avait averti les autorités de son inquiétude, n'ayant pas eu de nouvelles de la jeune femme alors qu'elle devait accoucher incessamment.

Source : http://www.matin.qc.ca/articles/2008071 ... urtre.html


Publié : jeu. juil. 17, 2008 11:18 am
par brunetta
Amy  a écrit

Ça, tout le monde le sait, et le fait d'avoir cherché à comprendre le geste de la mère, ne nous enlève pas notre compassion pour le bébé et l'horreur que nous ressentons à la pensée de ce petit corps dans le container...  
Voilà

Publié : jeu. juil. 17, 2008 11:34 am
par lélou
Oliver  a écritCitation :Nouveau-né retrouvé sans vie à Québec : la mère accusée de meurtre
Le 17 juillet 2008 - 17:02  |  Olivier Caron
 
La jeune mère du nouveau-né retrouvé sans vie dans un conteneur à déchets lundi, à Québec, fera finalement face à des accusations de meurtre au deuxième degré. Les résultats de l'autopsie du poupon ont donc révélé que le poupon est décédé des suites de son abandon.

L'accusée ne fera donc pas face à une accusation d'infanticide. L'infanticide lui aurait fait encourir une peine de prison de cinq ans, alors que l'accusation de meurtre pourrait lui valoir une peine de détention à vie.

Lors de sa comparution ce jeudi après-midi au Palais de justice de Québec, la jeune femme de 22 ans a aussi été accusée d'avoir fait disparaître le cadavre d'un enfant pour cacher le fait qu'elle avait accouché.

L'accusée demeure détenue et sera de retour en cour le 22 septembre, pour son enquête sur remise en liberté.

Rappelons que la macabre découverte a été faite lundi. Vers 15h30, le nouveau-né a été retrouvé sans vie dans un conteneur à déchets de l'avenue Saint-Pascal à Limoilou. C'est un proche de la future mère qui avait averti les autorités de son inquiétude, n'ayant pas eu de nouvelles de la jeune femme alors qu'elle devait accoucher incessamment.

Source : http://www.matin.qc.ca/articles/2008071 ... urtre.html




Ouf, quelle horreur... le bébé est mort, donc, dans la benne à ordure après avoir été abandonné là    

Je me demandais aussi pourquoi elle était accusée de meurtre au second degré et pas d'infanticide. Ça l'explique.
Reste à savoir ce qui lui a pris de faire ça  

Publié : jeu. juil. 17, 2008 12:23 pm
par Ely
Je croyais qu'elle serait accusé au premier degré, de la façon qu'elle agissait avant son accouchement, selon ce que ces voisins ont dit aux nouvelles (elle aurait passer par une fenêtre du 2eme étage pour ouvrir la porte de la voisine, mettons que c'est très risqué pour une femme enceinte de 8 ou 9 mois!), elle paraissait déjà pas trop en vouloir de cet enfant

Publié : jeu. juil. 17, 2008 3:13 pm
par Soleil47
pasmel  a écrit

exact, rien ne le prouve mais est-ce qu'on a de la compassion pour lui au cas ou il serait malade mentale ? Non pas du tout. Pourquoi qu'une femme qui vient d'accoucher devrait l'avoir ? Il est là mon jugement.
Ben pour te dire la vraie vérité: un homme ou une femme atteint de maladie mentale a tout autant ma compassion.

Quand tu as dans ta famille quelqu'un atteint de déficience, tu peux comprendre ce qu'est la maladie mentale ou une personne atteinte de déficience, tu la vis chaque maudit jour de ta vie.

Pi, qu'on en ait ou pas dans sa famille, c'est du pareil au même, on peut facilement comprendre, pas besoin d'en avoir un ou une dans la famille.

Publié : jeu. juil. 17, 2008 3:29 pm
par Gin*
Mon opinion:


Un autre cas qui va probablement passer aux oubiettes à cause de la compassion.

L'avocat de l'accusée va trouver des psychiâtres qui vont assurer au juge qu'elle était en détresse ou en pshychose ou n'importe quoi qui concerne la maladie mentale....et ça va trainer jusqu'à ce qu'elle ne fasse que...le tier de sa peine    



J'ai assité à un colloque de psychiâtres et psychologues à l'extérieur de la ville il y a 6 ans et les opinions diffèrent justement parce que la moitié des médecins croient que la maladie mentale soudaine ou suite à un choc ne devrait pas servir comme mode de défense. --Message edité par gin* le 2008-07-17 21:33:26--

Publié : jeu. juil. 17, 2008 3:32 pm
par Gin*
Soleil47  a écrit Ben pour te dire la vraie vérité: un homme ou une femme atteint de maladie mentale a tout autant ma compassion.

Quand tu as dans ta famille quelqu'un atteint de déficience, tu peux comprendre ce qu'est la maladie mentale ou une personne atteinte de déficience, tu la vis chaque maudit jour de ta vie.

Pi, qu'on en ait ou pas dans sa famille, c'est du pareil au même, on peut facilement comprendre, pas besoin d'en avoir un ou une dans la famille.[g]



Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.


Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens.  Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille  

Publié : jeu. juil. 17, 2008 3:43 pm
par Beppo
Gin*  a écrit


Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.


Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens.  Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille    

Ah ouin! J'ai hâte de lire tes explications alors sur l'augmentation du nombre d'homicides (des jeunes qui tuent leurs parents) faits par justement des gens atteints de maladie mentale et qui sont suivis rigoureusement. J'entendais justement Hugues Boisvenue commenter le phénomène dernièrement.

Et pour avoir de la compassion depuis quand faut-il connaître la maladie? Étant donné que je ne connais pas la maladie mentale, je ne peux compatir d'aucune façon. Je trouve que tu pousses fort.


Publié : jeu. juil. 17, 2008 3:54 pm
par Gin*
Beppo  a écrit

Ah ouin! J'ai hâte de lire tes explications alors sur l'augmentation du nombre d'homicides (des jeunes qui tuent leurs parents) faits par justement des gens atteints de maladie mentale et qui sont suivis rigoureusement. J'entendais justement Hugues Boisvenue commenter le phénomène dernièrement.

Et pour avoir de la compassion depuis quand faut-il connaître la maladie? Étant donné que je ne connais pas la maladie mentale, je ne peux compatir d'aucune façon. Je trouve que tu pousses fort.



Je ne dit pas qu'on n'en perd pas par exemple.

Mais là on mélangera pas des pommes pis des bananes parce qu'il y a différentes maladies mentales et différents stages.  Y en a que même si on était avec eux 24 hres sur 24 ils feraient des choses pareil...un moment donné la priorité est qu'ils n'attaquent pas leur familles ou autres et il y a des fuites quand même.


Et, pourquoi on n'entend jamais parlé de ceux qui sont sauvés par exemple???



Je ne m'étend pas plus sur ce sujet, non pas parce que je ne peux répondre mais bien parce que j'ai juste pas le goût de me réembarquer là dedans. --Message edité par gin* le 2008-07-17 21:55:38--