Démisssion du ministre Maxime Bernier
mais faut se rapeller aussi que bernier a resisté aux pressions et a dit non
pour influencé pour le contrat
pour influencé pour le contrat
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
- topazebleu
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- Manitou de la Parlotte
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topazebleu a écritPour moi, l'affaire Couillard-Bernier c'est comme un épisode de DALLAS. JR connaissait quelques femmes avec qui il faisait affaire pour mettre ses adversaires dans la marde ou encore pour obtenir des informations confidentielles ou un contrat...
Y'a-t-il y JR derrière Julie Couillard?
Ou un autre parti politique..............
Y'a-t-il y JR derrière Julie Couillard?
Ou un autre parti politique..............
Comité parlementaire
Julie Couillard refuse de témoigner
La Presse Canadienne Isabelle Rodrigue
16/06/2008 16h20 - Mise à jour 16/06/2008 18h26
Encore récemment, Julie Couillard recherchait la compagnie des ministres et députés fédéraux, mais ce temps semble bel et bien révolu. Lundi, par la voix de son avocat, celle par qui le scandale est arrivé a décliné l'invitation de témoigner devant le comité des Communes sur la sécurité publique.
Et tout porte à croire que, à cause du manque de temps puisque les Communes doivent ajourner leurs travaux d'ici vendredi pour la pause estivale, elle risque fort d'éviter de devoir se prêter à l'exercice, du moins d'ici l'automne.
Au terme d'une rencontre à huis clos, les députés ne sont pas parvenus à s'entendre sur la marche à suivre pour forcer Mme Couillard à comparaître dès cette semaine. Mardi, le comité entendra donc des fonctionnaires du Conseil privé, et mercredi ce sera le retour des officiers de la Gendarmerie royale du Canada.
«On a l'intention de la (Julie Couillard) faire venir, a soutenu le député du Bloc québécois, Serge Ménard. Comme elle refuse de venir volontairement, nous allons suivre les procédures qu'il faut pour la forcer à venir, de même que les autres témoins aussi, qui actuellement refusent de venir et pensent qu'ils ont des immunités.»
Outre Mme Couillard, l'ex ministre Maxime Bernier, le ministre de la Sécurité publique, Stockwell Day, et le premier ministre Stephen Harper ont refusé l'invitation du comité.
Lundi, l'avocat de Mme Couillard a fait parvenir une lettre au comité parlementaire de la sécurité publique dans laquelle il précise que sa cliente n'a pas l'intention de se présenter devant les députés.
Me Jean-Claude Hébert y fait valoir que non seulement le comité n'offrait pas assez de temps à sa cliente pour s'expliquer, mais qu'il serait injuste, en vertu du principe d'égalité devant la loi, de contraindre Mme Couillard à témoigner sans en faire de même pour M. Bernier, l'autre témoin clé de toute cette affaire.
Comme député, M. Bernier dispose d'une immunité parlementaire qui lui permet de refuser de témoigner devant un comité, ce qui «lui vaut un avantage stratégique important», écrit Me Hébert.
«Un traitement bancal par le comité des deux principaux témoins, M. Bernier et Mme Couillard, créerait une sérieuse entorse à l'exigence d'égalité de tous devant la loi», poursuit l'avocat, qui craint aussi les impacts négatifs que tout cela pourrait avoir sur un éventuel procès ou une enquête policière.
A la fin mai, M. Bernier a perdu son poste de ministre des Affaires étrangères après avoir laissé trainer des documents confidentiels du gouvernement au domicile de Mme Couillard, qui a fréquenté jusqu'à tout récemment des membres des motards criminels. Les députés craignent que Mme Couillard ait tenté d'infiltrer le gouvernement pour le compte du crime organisé.
Devant la réponse négative de Mme Couillard, le comité pourrait décider d'adopter une motion pour la forcer à témoigner en demandant à la Chambre des communes d'émettre une citation à comparaître. Or, les députés des partis d'opposition, qui forment la majorité au comité, ne s'entendent pas sur le contenu de cette motion.
«Pour le moment, on ne s'entend pas sur qui on devrait regrouper dans cette motion, a expliqué M. Ménard. Autrement dit, il n'y a pas que Mme Couillard qui refuse de venir. On s'est quitté en pensant qu'on pourrait peut-être voir si on peut regrouper» tous ceux qui ont refusé l'invitation.
En point de presse, lundi, le député libéral Ujjal Dosanjh a insisté pour dire que les libéraux refuseraient d'appuyer une motion ne visant que Mme Couillard. Les libéraux estiment qu'il faudrait forcer l'ancien ministre Bernier à témoigner, par mesure d'égalité.
«Pourquoi on forcerait un Canadien ordinaire à témoigner alors qu'on ne peut le faire pour les ministres? (...) Je veux lui envoyer une citation à comparaître autant que je souhaite le faire pour M. Bernier», a indiqué M. Dosanjh.
Mais le temps risque de manquer aux députés, qui retournent dans leurs circonscrïptions au plus tard vendredi. Quant à la possibilité que le comité siège pendant la pause estivale, c'est une option mais les députés n'ont pas encore adopté de motion en ce sens.
http://www.canoe.com/archives/infos/que ... 62057.html
Julie Couillard refuse de témoigner
La Presse Canadienne Isabelle Rodrigue
16/06/2008 16h20 - Mise à jour 16/06/2008 18h26
Encore récemment, Julie Couillard recherchait la compagnie des ministres et députés fédéraux, mais ce temps semble bel et bien révolu. Lundi, par la voix de son avocat, celle par qui le scandale est arrivé a décliné l'invitation de témoigner devant le comité des Communes sur la sécurité publique.
Et tout porte à croire que, à cause du manque de temps puisque les Communes doivent ajourner leurs travaux d'ici vendredi pour la pause estivale, elle risque fort d'éviter de devoir se prêter à l'exercice, du moins d'ici l'automne.
Au terme d'une rencontre à huis clos, les députés ne sont pas parvenus à s'entendre sur la marche à suivre pour forcer Mme Couillard à comparaître dès cette semaine. Mardi, le comité entendra donc des fonctionnaires du Conseil privé, et mercredi ce sera le retour des officiers de la Gendarmerie royale du Canada.
«On a l'intention de la (Julie Couillard) faire venir, a soutenu le député du Bloc québécois, Serge Ménard. Comme elle refuse de venir volontairement, nous allons suivre les procédures qu'il faut pour la forcer à venir, de même que les autres témoins aussi, qui actuellement refusent de venir et pensent qu'ils ont des immunités.»
Outre Mme Couillard, l'ex ministre Maxime Bernier, le ministre de la Sécurité publique, Stockwell Day, et le premier ministre Stephen Harper ont refusé l'invitation du comité.
Lundi, l'avocat de Mme Couillard a fait parvenir une lettre au comité parlementaire de la sécurité publique dans laquelle il précise que sa cliente n'a pas l'intention de se présenter devant les députés.
Me Jean-Claude Hébert y fait valoir que non seulement le comité n'offrait pas assez de temps à sa cliente pour s'expliquer, mais qu'il serait injuste, en vertu du principe d'égalité devant la loi, de contraindre Mme Couillard à témoigner sans en faire de même pour M. Bernier, l'autre témoin clé de toute cette affaire.
Comme député, M. Bernier dispose d'une immunité parlementaire qui lui permet de refuser de témoigner devant un comité, ce qui «lui vaut un avantage stratégique important», écrit Me Hébert.
«Un traitement bancal par le comité des deux principaux témoins, M. Bernier et Mme Couillard, créerait une sérieuse entorse à l'exigence d'égalité de tous devant la loi», poursuit l'avocat, qui craint aussi les impacts négatifs que tout cela pourrait avoir sur un éventuel procès ou une enquête policière.
A la fin mai, M. Bernier a perdu son poste de ministre des Affaires étrangères après avoir laissé trainer des documents confidentiels du gouvernement au domicile de Mme Couillard, qui a fréquenté jusqu'à tout récemment des membres des motards criminels. Les députés craignent que Mme Couillard ait tenté d'infiltrer le gouvernement pour le compte du crime organisé.
Devant la réponse négative de Mme Couillard, le comité pourrait décider d'adopter une motion pour la forcer à témoigner en demandant à la Chambre des communes d'émettre une citation à comparaître. Or, les députés des partis d'opposition, qui forment la majorité au comité, ne s'entendent pas sur le contenu de cette motion.
«Pour le moment, on ne s'entend pas sur qui on devrait regrouper dans cette motion, a expliqué M. Ménard. Autrement dit, il n'y a pas que Mme Couillard qui refuse de venir. On s'est quitté en pensant qu'on pourrait peut-être voir si on peut regrouper» tous ceux qui ont refusé l'invitation.
En point de presse, lundi, le député libéral Ujjal Dosanjh a insisté pour dire que les libéraux refuseraient d'appuyer une motion ne visant que Mme Couillard. Les libéraux estiment qu'il faudrait forcer l'ancien ministre Bernier à témoigner, par mesure d'égalité.
«Pourquoi on forcerait un Canadien ordinaire à témoigner alors qu'on ne peut le faire pour les ministres? (...) Je veux lui envoyer une citation à comparaître autant que je souhaite le faire pour M. Bernier», a indiqué M. Dosanjh.
Mais le temps risque de manquer aux députés, qui retournent dans leurs circonscrïptions au plus tard vendredi. Quant à la possibilité que le comité siège pendant la pause estivale, c'est une option mais les députés n'ont pas encore adopté de motion en ce sens.
http://www.canoe.com/archives/infos/que ... 62057.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
La thèse du vol de documents est examinée
L'affaire Bernier-Couillard prend une nouvelle tangente ce matin.
Le journal La Presse nous apprend que la thèse du vol de documents est examinée par les enquêteurs. Les documents confidentiels ont été laissés chez Julie Couillard vers la mi-avril.
Ils concernaient le sommet de l'OTAN en Roumanie, qui avait eu lieu auparavant, du 2 au 4 avril.
Dans la pratique, les ministres lisent les documents pertinents à leur travail avant de participer à une réunion, et non après.
En fin de semaine, le Globe and Mail rapportait que Maxime Bernier avait confié ne pas se souvenir d'avoir oublié des documents chez Julie Couillard.
L'affaire Bernier-Couillard prend une nouvelle tangente ce matin.
Le journal La Presse nous apprend que la thèse du vol de documents est examinée par les enquêteurs. Les documents confidentiels ont été laissés chez Julie Couillard vers la mi-avril.
Ils concernaient le sommet de l'OTAN en Roumanie, qui avait eu lieu auparavant, du 2 au 4 avril.
Dans la pratique, les ministres lisent les documents pertinents à leur travail avant de participer à une réunion, et non après.
En fin de semaine, le Globe and Mail rapportait que Maxime Bernier avait confié ne pas se souvenir d'avoir oublié des documents chez Julie Couillard.
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- Seigneur de la Causerie
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Affaire Couillard: la thèse du vol fait surface
Joël-Denis Bellavance
La Presse
Ottawa
Les enquêteurs chargés de faire la lumière sur les documents confidentiels laissés chez Julie Couillard par l'ancien ministre Maxime Bernier examinent la thèse du vol.
Selon des informations obtenues par La Presse hier, les enquêteurs retenus par le ministère des Affaires étrangères ont ainsi décidé de fouiller la piste du vol des documents après avoir pris connaissance de la chronologie des événements.
Les documents confidentiels laissés à la résidence de Mme Couillard vers la mi-avril concernaient le sommet de l'OTAN qui a eu lieu à Bucarest, en Roumanie, du 2 au 4 avril. Ils contenaient de l'information au sujet des leaders participant au sommet et de la mission des pays membres de l'OTAN en Afghanistan, dont le Canada.
Or, la pratique veut que tous les ministres lisent les documents pertinents à leur travail avant de participer à une réunion, et non après. On a donc décidé d'examiner la piste du vol des documents, puisqu'on juge anormal que M. Bernier ait senti le besoin de consulter à nouveau des documents concernant l'OTAN quelques jours après la tenue du sommet de Bucarest.
«Il serait un peu étrange qu'un ministre prenne le temps de lire des documents au sujet d'une réunion importante après la tenue de cette réunion», a-t-on expliqué à La Presse hier.
En fin de semaine, The Globe and Mail rapportait que M. Bernier avait confié à son entourage qu'il ne se souvenait pas d'avoir oublié des documents chez Mme Couillard. «Il ne s'est jamais rendu compte qu'il avait oublié des documents chez elle jusqu'au moment où elle les a renvoyés», a affirmé une source au quotidien torontois.
Dans une entrevue accordée à TVA le 26 mai, Mme Couillard semblait par ailleurs peu encline à discuter des événements entourant «l'oubli» des documents. Elle a déclaré: «Le document a été oublié chez moi, je vous dirais, près de la mi-avril, peut-être avant». Elle ajoutait: Maxime Bernier «est venu chez moi, il est reparti, il y a eu un document qui est resté chez moi».
Mme Couillard a eu les documents confidentiels en sa possession pendant au moins cinq semaines avant d'informer l'ancien ministre Bernier. La Presse a tenté en vain, hier, d'obtenir les commentaires de Mme Couillard.
M. Bernier a remis sa démission au premier ministre Stephen Harper le 26 mai, après avoir appris la veille qu'un avocat représentant Mme Couillard avait informé son chef de cabinet qu'il avait laissé des documents à la résidence de son ancienne amie de coeur.
La démission est survenue quelques heures seulement avant que le réseau TVA diffuse l'entrevue réalisée par le journaliste Paul Larocque avec Mme Couillard.
Les enquêteurs ont commencé leur examen quelques jours après la démission de M. Bernier. Ce dernier devrait les rencontrer au cours des prochains jours afin de raconter sa version des faits. On ignore pour le moment si ces mêmes enquêteurs comptent rencontrer aussi Mme Couillard afin de l'interroger sur le fil des événements.
Mme Couillard semble peu encline à vouloir répondre aux nombreuses questions qui demeurent sans réponse dans cette affaire. Hier, son avocat, Jean-Claude Hébert, a fait parvenir une lettre de trois pages dans laquelle il explique que sa cliente décline l'invitation de témoigner devant le comité de la sécurité publique de la Chambre des communes.
Me Hébert a invoqué le refus de Maxime Bernier de comparaître devant ce comité pour justifier la décision de sa cliente de ne pas témoigner.
Mme Couillard avait préalablement indiqué qu'elle était disposée à livrer sa version des faits devant le comité
Joël-Denis Bellavance
La Presse
Ottawa
Les enquêteurs chargés de faire la lumière sur les documents confidentiels laissés chez Julie Couillard par l'ancien ministre Maxime Bernier examinent la thèse du vol.
Selon des informations obtenues par La Presse hier, les enquêteurs retenus par le ministère des Affaires étrangères ont ainsi décidé de fouiller la piste du vol des documents après avoir pris connaissance de la chronologie des événements.
Les documents confidentiels laissés à la résidence de Mme Couillard vers la mi-avril concernaient le sommet de l'OTAN qui a eu lieu à Bucarest, en Roumanie, du 2 au 4 avril. Ils contenaient de l'information au sujet des leaders participant au sommet et de la mission des pays membres de l'OTAN en Afghanistan, dont le Canada.
Or, la pratique veut que tous les ministres lisent les documents pertinents à leur travail avant de participer à une réunion, et non après. On a donc décidé d'examiner la piste du vol des documents, puisqu'on juge anormal que M. Bernier ait senti le besoin de consulter à nouveau des documents concernant l'OTAN quelques jours après la tenue du sommet de Bucarest.
«Il serait un peu étrange qu'un ministre prenne le temps de lire des documents au sujet d'une réunion importante après la tenue de cette réunion», a-t-on expliqué à La Presse hier.
En fin de semaine, The Globe and Mail rapportait que M. Bernier avait confié à son entourage qu'il ne se souvenait pas d'avoir oublié des documents chez Mme Couillard. «Il ne s'est jamais rendu compte qu'il avait oublié des documents chez elle jusqu'au moment où elle les a renvoyés», a affirmé une source au quotidien torontois.
Dans une entrevue accordée à TVA le 26 mai, Mme Couillard semblait par ailleurs peu encline à discuter des événements entourant «l'oubli» des documents. Elle a déclaré: «Le document a été oublié chez moi, je vous dirais, près de la mi-avril, peut-être avant». Elle ajoutait: Maxime Bernier «est venu chez moi, il est reparti, il y a eu un document qui est resté chez moi».
Mme Couillard a eu les documents confidentiels en sa possession pendant au moins cinq semaines avant d'informer l'ancien ministre Bernier. La Presse a tenté en vain, hier, d'obtenir les commentaires de Mme Couillard.
M. Bernier a remis sa démission au premier ministre Stephen Harper le 26 mai, après avoir appris la veille qu'un avocat représentant Mme Couillard avait informé son chef de cabinet qu'il avait laissé des documents à la résidence de son ancienne amie de coeur.
La démission est survenue quelques heures seulement avant que le réseau TVA diffuse l'entrevue réalisée par le journaliste Paul Larocque avec Mme Couillard.
Les enquêteurs ont commencé leur examen quelques jours après la démission de M. Bernier. Ce dernier devrait les rencontrer au cours des prochains jours afin de raconter sa version des faits. On ignore pour le moment si ces mêmes enquêteurs comptent rencontrer aussi Mme Couillard afin de l'interroger sur le fil des événements.
Mme Couillard semble peu encline à vouloir répondre aux nombreuses questions qui demeurent sans réponse dans cette affaire. Hier, son avocat, Jean-Claude Hébert, a fait parvenir une lettre de trois pages dans laquelle il explique que sa cliente décline l'invitation de témoigner devant le comité de la sécurité publique de la Chambre des communes.
Me Hébert a invoqué le refus de Maxime Bernier de comparaître devant ce comité pour justifier la décision de sa cliente de ne pas témoigner.
Mme Couillard avait préalablement indiqué qu'elle était disposée à livrer sa version des faits devant le comité
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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Mise à jour: 18/06/2008 09:05
La mère de Julie Couillard
Une nomination qui fait jaser
Mathieu Bélanger
Le Journal de Montréal
C'est maintenant au tour de la mère de Julie Couillard de mettre le gouvernement Harper dans l'embarras.
La nomination de Diane Bellemare, l'ancienne belle-mère du ministre déchu des Affaires étrangères, Maxime Bernier, au poste de présidente des conseils arbitraux pour le district de Saint-Jérôme donne de nouvelles armes aux adversaires politiques de Stephen Harper.
Cette nomination du ministre des Ressources humaines, Monte Solberg, a dû passer par le Conseil des ministres et le bureau du lieutenant québécois, Lawrence Cannon, a révélé La Presse, hier.
Libéraux et bloquistes ont tenté, en vain, de savoir quel rôle a joué Maxime Bernier dans cette nomination. Fidèle à son habitude pour tout ce qui touche de près ou de loin Julie Couillard, le gouvernement a refusé de répondre à cette question précise.
«Pour nous, ça veut dire que M. Bernier était présent lorsque cette nomination a été présentée au Conseil des ministres et à ce moment-là, on parle d'un conflit d'intérêts direct», a affirmé le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe.
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 90500.html
La mère de Julie Couillard
Une nomination qui fait jaser
Mathieu Bélanger
Le Journal de Montréal
C'est maintenant au tour de la mère de Julie Couillard de mettre le gouvernement Harper dans l'embarras.
La nomination de Diane Bellemare, l'ancienne belle-mère du ministre déchu des Affaires étrangères, Maxime Bernier, au poste de présidente des conseils arbitraux pour le district de Saint-Jérôme donne de nouvelles armes aux adversaires politiques de Stephen Harper.
Cette nomination du ministre des Ressources humaines, Monte Solberg, a dû passer par le Conseil des ministres et le bureau du lieutenant québécois, Lawrence Cannon, a révélé La Presse, hier.
Libéraux et bloquistes ont tenté, en vain, de savoir quel rôle a joué Maxime Bernier dans cette nomination. Fidèle à son habitude pour tout ce qui touche de près ou de loin Julie Couillard, le gouvernement a refusé de répondre à cette question précise.
«Pour nous, ça veut dire que M. Bernier était présent lorsque cette nomination a été présentée au Conseil des ministres et à ce moment-là, on parle d'un conflit d'intérêts direct», a affirmé le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe.
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 90500.html
Lison de Gatineau
Julie Couillard
Bernier dit qu'il ne savait pas
La Presse Canadienne Martin Ouellet
25/06/2008 18h48
Pendant toute la durée de leur relation amoureuse, l'ancien ministre fédéral Maxime Bernier n'a jamais eu la moindre connaissance du passé trouble de Julie Couillard.
C'est ce que M. Bernier a affirmé ce soir dans une allocution prononcée devant des militants de sa circonscrïption à Saint-Georges, en Beauce, durant laquelle il a aussi indiqué son intention de poursuivre sa carrière politique.
«Est-ce que Mme Couillard m'a informé de ses liens passés avec des personnes impliquées dans le crime organisé? La réponse est non. Elle ne m'en a pas informé, et jamais personne d'autre ne l'a fait, et ce, à quelque niveau que ce soit. Je ne savais de son passé que ce qu'elle avait bien voulu m'en dire», a relaté l'ex-ministre des Affaires étrangères.
M. Bernier commentait pour la première fois en public les événements qui ont mené à sa démission, le 26 mai dernier.
L'ancien chef de la diplomatie canadienne a soutenu que ce n'est que le 20 avril - alors qu'il avait rompu avec Mme Couillard - qu'il a eu vent «de rumeurs concernant le passé» de cette femme.
Un mois plus tard, le 25 mai en soirée, à la veille de sa démission, il apprenait qu'il avait laissé des documents classés confidentiels à la résidence de son ex-amie de coeur.
Il s'agissait, a-t-il dit, de notes d'information préparatoires, en vue du sommet de l'OTAN, tenu les 2 et 3 avril dernier à Bucarest.
«Le seul moment où je me trouvais au domicile de Mme Couillard en possession de ces documents, c'est à mon retour de Bucarest, le 4 avril dernier. Le niveau d'importance de ces notes d'information ne justifiait pas qu'elles soient numérotées pour qu'on puisse les suivre à la trace et, ainsi, déceler leur disparition», a raconté le ministre démissionnaire.
Conséquemment, aucun signal d'alarme n'a été déclenché au sein du ministère concernant la disparition des documents. M. Bernier lui-même n'avait pas remarqué qu'ils étaient manquants.
«Je n'ai aucun souvenir de les avoir égarés», a-t-il déclaré.
Qu'importe, comme il s'agissait d'un manquement aux principes de confidentialité qui s'appliquent aux membres du conseil des ministres, il a «accepté les conséquences qui s'imposaient en démissionnant» de son poste de ministre.
Depuis, une enquête interne a été instituée au sein du ministère des Affaires étrangères pour le lever le voile sur cette affaire de documents perdus. M. Bernier a précisé avoir rencontré lundi les responsables de cet examen et qu'il a répondu à «toutes leurs questions».
Si les dernières semaines ont été difficiles pour lui sur le plan professionnel et humain, elles ne lui ont pas enlevé le goût de la politique. Après une période de réflexion, dans ses terres, le député fédéral a conclu qu'il désirait poursuivre sa carrière aux Communes.
«Je fais le choix de poursuivre ma mission: représenter avec passion les Beaucerons au Parlement comme député conservateur. Dans la culture entrepreneuriale qui est la nôtre, lorsqu'on subit un dur coup, on se retrousse les manches et on reprend le travail», a-t-il illustré.
Le député se dit convaincu que l'épreuve qu'il vient de traverser a fait de lui «une personne meilleure». Mais, a-t-il pris soin de nuancer, «je ne peux pas vous promettre de devenir parfait».
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 84816.html
Bernier dit qu'il ne savait pas
La Presse Canadienne Martin Ouellet
25/06/2008 18h48
Pendant toute la durée de leur relation amoureuse, l'ancien ministre fédéral Maxime Bernier n'a jamais eu la moindre connaissance du passé trouble de Julie Couillard.
C'est ce que M. Bernier a affirmé ce soir dans une allocution prononcée devant des militants de sa circonscrïption à Saint-Georges, en Beauce, durant laquelle il a aussi indiqué son intention de poursuivre sa carrière politique.
«Est-ce que Mme Couillard m'a informé de ses liens passés avec des personnes impliquées dans le crime organisé? La réponse est non. Elle ne m'en a pas informé, et jamais personne d'autre ne l'a fait, et ce, à quelque niveau que ce soit. Je ne savais de son passé que ce qu'elle avait bien voulu m'en dire», a relaté l'ex-ministre des Affaires étrangères.
M. Bernier commentait pour la première fois en public les événements qui ont mené à sa démission, le 26 mai dernier.
L'ancien chef de la diplomatie canadienne a soutenu que ce n'est que le 20 avril - alors qu'il avait rompu avec Mme Couillard - qu'il a eu vent «de rumeurs concernant le passé» de cette femme.
Un mois plus tard, le 25 mai en soirée, à la veille de sa démission, il apprenait qu'il avait laissé des documents classés confidentiels à la résidence de son ex-amie de coeur.
Il s'agissait, a-t-il dit, de notes d'information préparatoires, en vue du sommet de l'OTAN, tenu les 2 et 3 avril dernier à Bucarest.
«Le seul moment où je me trouvais au domicile de Mme Couillard en possession de ces documents, c'est à mon retour de Bucarest, le 4 avril dernier. Le niveau d'importance de ces notes d'information ne justifiait pas qu'elles soient numérotées pour qu'on puisse les suivre à la trace et, ainsi, déceler leur disparition», a raconté le ministre démissionnaire.
Conséquemment, aucun signal d'alarme n'a été déclenché au sein du ministère concernant la disparition des documents. M. Bernier lui-même n'avait pas remarqué qu'ils étaient manquants.
«Je n'ai aucun souvenir de les avoir égarés», a-t-il déclaré.
Qu'importe, comme il s'agissait d'un manquement aux principes de confidentialité qui s'appliquent aux membres du conseil des ministres, il a «accepté les conséquences qui s'imposaient en démissionnant» de son poste de ministre.
Depuis, une enquête interne a été instituée au sein du ministère des Affaires étrangères pour le lever le voile sur cette affaire de documents perdus. M. Bernier a précisé avoir rencontré lundi les responsables de cet examen et qu'il a répondu à «toutes leurs questions».
Si les dernières semaines ont été difficiles pour lui sur le plan professionnel et humain, elles ne lui ont pas enlevé le goût de la politique. Après une période de réflexion, dans ses terres, le député fédéral a conclu qu'il désirait poursuivre sa carrière aux Communes.
«Je fais le choix de poursuivre ma mission: représenter avec passion les Beaucerons au Parlement comme député conservateur. Dans la culture entrepreneuriale qui est la nôtre, lorsqu'on subit un dur coup, on se retrousse les manches et on reprend le travail», a-t-il illustré.
Le député se dit convaincu que l'épreuve qu'il vient de traverser a fait de lui «une personne meilleure». Mais, a-t-il pris soin de nuancer, «je ne peux pas vous promettre de devenir parfait».
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 84816.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritJulie Couillard
Bernier dit qu'il ne savait pas
La Presse Canadienne Martin Ouellet
25/06/2008 18h48
Pendant toute la durée de leur relation amoureuse, l'ancien ministre fédéral Maxime Bernier n'a jamais eu la moindre connaissance du passé trouble de Julie Couillard.
C'est ce que M. Bernier a affirmé ce soir dans une allocution prononcée devant des militants de sa circonscrïption à Saint-Georges, en Beauce, durant laquelle il a aussi indiqué son intention de poursuivre sa carrière politique.
«Est-ce que Mme Couillard m'a informé de ses liens passés avec des personnes impliquées dans le crime organisé? La réponse est non. Elle ne m'en a pas informé, et jamais personne d'autre ne l'a fait, et ce, à quelque niveau que ce soit. Je ne savais de son passé que ce qu'elle avait bien voulu m'en dire», a relaté l'ex-ministre des Affaires étrangères.
M. Bernier commentait pour la première fois en public les événements qui ont mené à sa démission, le 26 mai dernier.
L'ancien chef de la diplomatie canadienne a soutenu que ce n'est que le 20 avril - alors qu'il avait rompu avec Mme Couillard - qu'il a eu vent «de rumeurs concernant le passé» de cette femme.
Un mois plus tard, le 25 mai en soirée, à la veille de sa démission, il apprenait qu'il avait laissé des documents classés confidentiels à la résidence de son ex-amie de coeur.
Il s'agissait, a-t-il dit, de notes d'information préparatoires, en vue du sommet de l'OTAN, tenu les 2 et 3 avril dernier à Bucarest.
«Le seul moment où je me trouvais au domicile de Mme Couillard en possession de ces documents, c'est à mon retour de Bucarest, le 4 avril dernier. Le niveau d'importance de ces notes d'information ne justifiait pas qu'elles soient numérotées pour qu'on puisse les suivre à la trace et, ainsi, déceler leur disparition», a raconté le ministre démissionnaire.
Conséquemment, aucun signal d'alarme n'a été déclenché au sein du ministère concernant la disparition des documents. M. Bernier lui-même n'avait pas remarqué qu'ils étaient manquants.
«Je n'ai aucun souvenir de les avoir égarés», a-t-il déclaré.
Qu'importe, comme il s'agissait d'un manquement aux principes de confidentialité qui s'appliquent aux membres du conseil des ministres, il a «accepté les conséquences qui s'imposaient en démissionnant» de son poste de ministre.
Depuis, une enquête interne a été instituée au sein du ministère des Affaires étrangères pour le lever le voile sur cette affaire de documents perdus. M. Bernier a précisé avoir rencontré lundi les responsables de cet examen et qu'il a répondu à «toutes leurs questions».
Si les dernières semaines ont été difficiles pour lui sur le plan professionnel et humain, elles ne lui ont pas enlevé le goût de la politique. Après une période de réflexion, dans ses terres, le député fédéral a conclu qu'il désirait poursuivre sa carrière aux Communes.
«Je fais le choix de poursuivre ma mission: représenter avec passion les Beaucerons au Parlement comme député conservateur. Dans la culture entrepreneuriale qui est la nôtre, lorsqu'on subit un dur coup, on se retrousse les manches et on reprend le travail», a-t-il illustré.
Le député se dit convaincu que l'épreuve qu'il vient de traverser a fait de lui «une personne meilleure». Mais, a-t-il pris soin de nuancer, «je ne peux pas vous promettre de devenir parfait».
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 84816.html
M. Beppo, le crois-tu? Tant qu'à moi je ne crois pas que tu le crois et moi un peu niaiseuse quelque fois je me dis que peut-être que l'innocent ne le savais pas. Sté le ti-pit qui se retrouve ministre des affaires extérieurs. En fait il était tellement ti-pit et macho qu'il ne voyait que la belle qui pouvait le faire bien paraitre.....????En tout cas, c'est un gars qui vient de l'IEDM.
Bernier dit qu'il ne savait pas
La Presse Canadienne Martin Ouellet
25/06/2008 18h48
Pendant toute la durée de leur relation amoureuse, l'ancien ministre fédéral Maxime Bernier n'a jamais eu la moindre connaissance du passé trouble de Julie Couillard.
C'est ce que M. Bernier a affirmé ce soir dans une allocution prononcée devant des militants de sa circonscrïption à Saint-Georges, en Beauce, durant laquelle il a aussi indiqué son intention de poursuivre sa carrière politique.
«Est-ce que Mme Couillard m'a informé de ses liens passés avec des personnes impliquées dans le crime organisé? La réponse est non. Elle ne m'en a pas informé, et jamais personne d'autre ne l'a fait, et ce, à quelque niveau que ce soit. Je ne savais de son passé que ce qu'elle avait bien voulu m'en dire», a relaté l'ex-ministre des Affaires étrangères.
M. Bernier commentait pour la première fois en public les événements qui ont mené à sa démission, le 26 mai dernier.
L'ancien chef de la diplomatie canadienne a soutenu que ce n'est que le 20 avril - alors qu'il avait rompu avec Mme Couillard - qu'il a eu vent «de rumeurs concernant le passé» de cette femme.
Un mois plus tard, le 25 mai en soirée, à la veille de sa démission, il apprenait qu'il avait laissé des documents classés confidentiels à la résidence de son ex-amie de coeur.
Il s'agissait, a-t-il dit, de notes d'information préparatoires, en vue du sommet de l'OTAN, tenu les 2 et 3 avril dernier à Bucarest.
«Le seul moment où je me trouvais au domicile de Mme Couillard en possession de ces documents, c'est à mon retour de Bucarest, le 4 avril dernier. Le niveau d'importance de ces notes d'information ne justifiait pas qu'elles soient numérotées pour qu'on puisse les suivre à la trace et, ainsi, déceler leur disparition», a raconté le ministre démissionnaire.
Conséquemment, aucun signal d'alarme n'a été déclenché au sein du ministère concernant la disparition des documents. M. Bernier lui-même n'avait pas remarqué qu'ils étaient manquants.
«Je n'ai aucun souvenir de les avoir égarés», a-t-il déclaré.
Qu'importe, comme il s'agissait d'un manquement aux principes de confidentialité qui s'appliquent aux membres du conseil des ministres, il a «accepté les conséquences qui s'imposaient en démissionnant» de son poste de ministre.
Depuis, une enquête interne a été instituée au sein du ministère des Affaires étrangères pour le lever le voile sur cette affaire de documents perdus. M. Bernier a précisé avoir rencontré lundi les responsables de cet examen et qu'il a répondu à «toutes leurs questions».
Si les dernières semaines ont été difficiles pour lui sur le plan professionnel et humain, elles ne lui ont pas enlevé le goût de la politique. Après une période de réflexion, dans ses terres, le député fédéral a conclu qu'il désirait poursuivre sa carrière aux Communes.
«Je fais le choix de poursuivre ma mission: représenter avec passion les Beaucerons au Parlement comme député conservateur. Dans la culture entrepreneuriale qui est la nôtre, lorsqu'on subit un dur coup, on se retrousse les manches et on reprend le travail», a-t-il illustré.
Le député se dit convaincu que l'épreuve qu'il vient de traverser a fait de lui «une personne meilleure». Mais, a-t-il pris soin de nuancer, «je ne peux pas vous promettre de devenir parfait».
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 84816.html
M. Beppo, le crois-tu? Tant qu'à moi je ne crois pas que tu le crois et moi un peu niaiseuse quelque fois je me dis que peut-être que l'innocent ne le savais pas. Sté le ti-pit qui se retrouve ministre des affaires extérieurs. En fait il était tellement ti-pit et macho qu'il ne voyait que la belle qui pouvait le faire bien paraitre.....????En tout cas, c'est un gars qui vient de l'IEDM.
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Fabine a écrit
M. Beppo, le crois-tu? Tant qu'à moi je ne crois pas que tu le crois et moi un peu niaiseuse quelque fois je me dis que peut-être que l'innocent ne le savais pas. Sté le ti-pit qui se retrouve ministre des affaires extérieurs. En fait il était tellement ti-pit et macho qu'il ne voyait que la belle qui pouvait le faire bien paraitre.....????En tout cas, c'est un gars qui vient de l'IEDM.
Pas une seule virgule de ce qu'il a écrit.
Il est soit naïf ou menteur. De plus, s'il n'a pas été mis au courant par la GRC du passé de madame, je suis encore plus découragé du système. C'est à croire que nous sommes protégés, gouvernés et dirigés par une bande d'incompétents.
--Message edité par Beppo le 2008-06-26 08:09:17--
M. Beppo, le crois-tu? Tant qu'à moi je ne crois pas que tu le crois et moi un peu niaiseuse quelque fois je me dis que peut-être que l'innocent ne le savais pas. Sté le ti-pit qui se retrouve ministre des affaires extérieurs. En fait il était tellement ti-pit et macho qu'il ne voyait que la belle qui pouvait le faire bien paraitre.....????En tout cas, c'est un gars qui vient de l'IEDM.
Pas une seule virgule de ce qu'il a écrit.
Il est soit naïf ou menteur. De plus, s'il n'a pas été mis au courant par la GRC du passé de madame, je suis encore plus découragé du système. C'est à croire que nous sommes protégés, gouvernés et dirigés par une bande d'incompétents.
--Message edité par Beppo le 2008-06-26 08:09:17--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Red Ketchup a écritEn tout cas, au moins les deux ont démissionné.
Oups...me suit trompé de Couillard.
Mais, bon, je pense quand même que Julie Couillard est une intriguante de haut niveau et que l'autre a été un peu Couillon en se laissant guider par ses Couilles. C'est c'qu'on appelle avoir le cerveau entre les deux jambes
Oups...me suit trompé de Couillard.
Mais, bon, je pense quand même que Julie Couillard est une intriguante de haut niveau et que l'autre a été un peu Couillon en se laissant guider par ses Couilles. C'est c'qu'on appelle avoir le cerveau entre les deux jambes
«Aimer c'est la moitié de Croire.»
andré arthur comment l,affaire bernier couillard a cpac
http://www.radioego.com/ego/listen/409 pour ecouté le liens audio
http://www.radioego.com/ego/listen/409 pour ecouté le liens audio
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Beppo a écrit
Pas une seule virgule de ce qu'il a écrit.
Il est soit naïf ou menteur. De plus, s'il n'a pas été mis au courant par la GRC du passé de madame, je suis encore plus découragé du système. C'est à croire que nous sommes protégés, gouvernés et dirigés par une bande d'incompétents.
Viens-tu seulement de t'en apercevoir?
Pas une seule virgule de ce qu'il a écrit.
Il est soit naïf ou menteur. De plus, s'il n'a pas été mis au courant par la GRC du passé de madame, je suis encore plus découragé du système. C'est à croire que nous sommes protégés, gouvernés et dirigés par une bande d'incompétents.
Viens-tu seulement de t'en apercevoir?
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??