LE DOMAINE BLEU

Le Quotidien
Commentaire, lundi 14 février 2005, p. 8
Un drame individuel qui épargne l'économie

Tremblay, Bertrand

Avec une belle unanimité, nos personnages publics ont énergiquement dénoncé Wal-Mart, le méchant loup du commerce au détail. Du maire Jean Tremblay à la ministre Françoise Gauthier, au chef de l'Opposition péquiste Bernard Landry, en passant par leader parlementaire bloquiste, Michel Gauthier; ils ont tous déchiré leur chemise sur la place publique. Ils gagneront ou préserveront bien des votes mais sans sauvegarder un seul emploi.

Tous sont en faveur de la vertu. C'est donc une attitude bien inutile, si personne ne passe des paroles aux actes et persiste à pratiquer le vice en retournant acheter systématiquement chez Wal-Mart. On sait fort bien que si le citoyen, respectueux des lois et sensible aux obligations sociales, est outré de voir la plus grande entreprise de la planète résister à la syndicalisation, le consommateur recherchera néanmoins toujours le meilleur rapport qualité-prix. Et c'est chez les multinationales du commerce qu'il a la conviction de le trouver.

Des "killers" bien accueillis

Les autorités municipales se scandalisent aujourd'hui des méthodes de Wal-Mart et des autres géants qui dévorent la concurrence, exploitent leurs salariés, exportent des milliers d'emplois en Asie en achetant une multitude de produits fabriqués par une main-d'oeuvre abondante, payée bien en-deça du plus faible salaire minimun. Ce sont pourtant elles qui ont invité ces grandes chaînes à faire des affaires chez nous. Elles ont même facilité leur installation en leur versant des subventions indirectes.

En Californie et dans d'autres États américains, des dirigeants politiques perçoivent plus d'inconvénients que d'avantages à accueillir de nouvelles succursales. Wal-Mart continue néanmoins de progresser: 100 000 employés s'ajouteront au cours de la présente année à son personnel qui atteint présentement 1200 000 salariés. La fermeture de la succursale de Jonquière n'affectera pas cette progression puisque la clientèle se déplacera, après le 5 mai, vers les magasins de Chicoutimi et Alma.

L'économie régionale ne sera pas affectée par cette décision brutale. Dans le secteur commercial, les naissances comme les décès ne réduisent pas le pouvoir d'achat. Ils produisent simplement des déplacements d'argent. C'est généralement une réduction de la production industrielle qui provoque un appauvrissement. La fermeture définitive de la papeterie Port-Alfred, par exemple, soustrait 640 emplois et des retombées annuelles de quelque 40 millions de dollars. Une véritable catastrophe sociale et économique.

Wal-Mart se défend

En mettant la clé sur la porte de son magasin tout neuf de Jonquière, Wal-Mart rejette sur le carreau 186 employés qui s'étaient placés sous l'aile protectrice d'une puissante organisation syndicale, avec l'espoir d'améliorer progressivement leurs conditions de travail au sein de l'entreprise de distribution la plus fortunée du monde.

Même si les observateurs la pressentaient après l'amorce laborieuse des négociations pour un premier contrat de travail, la fermeture du Wal-Mart de Jonquière a l'effet d'un coup de massue. D'abord, parce que la rentabilité était au rendez-vous comme le suppose l'enquête maison menée par la rédaction de CJPM-TV. Et aussi parce que la multinationale a entrepris aux États-Unis une campagne de charme pour refaire son image de gros méchant antisyndical. "Les consommateurs pourraient commencer à se sentir coupables de venir chez nous", confiait la porte-parole, Mona Williams, au magazine Fortune, pour expliquer le sens des nouveaux messages publicitaires. On ne montrait plus une bonne madame "contente, contente" de ses achats, mais le patron, Lee Scott, proclamer la contribution de son empire à la prospérité américaine.

Le mois dernier, l'entreprise a même publié une page de publicité dans une centaine de quotidiens pour dire simplement : "Wal-Mart travaille pour tous, certains de nos détracteurs ne travaillent que pour eux-mêmes". Et dans tous ses nouveaux messages, elle montre des employés souriants, heureux, répondant avec empressement aux demandes des clients.

Au Québec, malheureusement, ce sont des physionomies ravagées par un drame que la majorité croyait avoir évité et que les médias nationaux exhibent depuis presque une semaine. Le syndicat devra apporter à ces victimes une autre aide que celle de l'indignation rageuse.

Bravo Muskary pour les références, tout particulièrement celui de Michel Venne du Devoir.

Eh! que j'aime lire des textes bien foutus qui traduisent exactement ce que je pense et que je n'ai pu exprimer par mes écrits.

Acrux  a écritAvez-vous vu la page entière de chiasse que Wal Mart c'est payé dans la presse?! Non mais, ils prennent vraiment leurs employés pour des cons!!      

J'espère juste qu'ils ne digèreront pas cette chiasse
Je suis certaine que certains se sont fait attendrir par ça

Ce matin je n'ai pu manquer cette grande page dans La Presse. Je l'ai lu quelque peu la bouche ouverte. Hannnn!

Un beau morceau d'anthologie à garder. Trop c'est comme pas assez. Je l'ai pris comme une insulte à mon intelligence.

Wal-Mart s'imagine peut-être que le Québec n'est habité que par des aveugles analphabètes. Il ne manquait qu'un petit coeur avec un cupidon.

Point de vue de 7 employés du Wal-Mart de Sainte-Foy

Journal de Québec

Mardi, le 15 février 2005

"Associés" et fiers de l’être

« On n’en veut pas de syndicat.  On est bien traités », plaident à l’unisson 7 employés du Wal-Mart de Sainte-Foy qui ont choisi de briser le silence dans la tourmente.

Ils disent en avoir assez d’être traités d’illettrés qui se contentent de miettes.  Ils comptent entre 3 et 11 ans de service chez Wal-Mart et ne tolèrent plus d’être intimidés par 5 pro-syndicat qui maraudent depuis le printemps pour obtenir l’accréditation.
« Il n’y a pas de vérité dans ce qui se dit actuellement par rapport à la fermeture de succursale de Jonquière.  On veut montrer les avantages qu’on a.  On a plus que le salaire minimum.  Et ça se négocie.  Ce ne sont pas des sans-cœur » clame Lise, une gérante de rayon qui préfère garder l’anonymat, de peur de représailles du clan syndical.

« Il y en a qui signent les cartes (du syndicat) simplement parce qu’ils ont peur, surtout les temps partiel », affirme Nancy (nom fictif) employée de bureau qui détient un diplôme d’études collégiales.

« C’est grâce à Wal-Mart si j’ai une auto et une maison, argue-t-elle.  C’est pas des salaires de crève-faim.  C’est la seule compagnie qui voit ton potentiel et qui peut te faire monter à gérant même si tu laves les planchers ».

«  Je suis heureuse chez Wal-Mart et si je ne l’étais pas, je donnerais ma démission, renréchit Sylvie, caissière et commis à l’accueil.  Ils ne comprennent pas (les syndicalistes) qu’ils ne travaillent pas dans un bureau mais plutôt dans un magasin.  Il faut travailler les soirs et les fins de semaine. »

Au mérite

Jonquière, pour eux, c’est une autre histoire.  Le magasin n’était pas « performant ».  Des camions de marchandise non écoulée ont d’ailleurs abouti à leur succursale.  

À Sainte-Foy, le salaire des associés varie entre 12 000$ et 27 000 » annuellement, incluant les bonus de rendement régulier.  Le tarif horaire minimum est de 7,85$ avec une augmentation annuelle maximale de 50 cents.  Les gérants de rayon gagnent, pour leur part, 90 cents l’heure de plus que l’échelon atteint, sans pour autant qu’il y ait une véritable échelle salariale.

Début de la fin

Pour ces 7 employés, la syndicalisation rime avec perte d’acquis, comme les assurances collectives gratuites, l’escompte de 10% sur tout, le fond de pension sans frais pour les temps plein et les congés de maladie payés. Pour eux, le syndicat, c’est le début de la fin.

« Ce n’est pas que nous qui va perdre si Wal-Mart ferme », conclut Geneviève (nom fictif), en pensant aux fournisseurs canadiens et aux concessions qui se greffent au géant.

Nounou1  a écritPoint de vue de 7 employés du Wal-Mart de Sainte-Foy

Journal de Québec

Mardi, le 15 février 2005

"Associés" et fiers de l’être

« On n’en veut pas de syndicat.  On est bien traités », plaident à l’unisson 7 employés du Wal-Mart de Sainte-Foy qui ont choisi de briser le silence dans la tourmente.

Ils disent en avoir assez d’être traités d’illettrés qui se contentent de miettes.  Ils comptent entre 3 et 11 ans de service chez Wal-Mart et ne tolèrent plus d’être intimidés par 5 pro-syndicat qui maraudent depuis le printemps pour obtenir l’accréditation.
« Il n’y a pas de vérité dans ce qui se dit actuellement par rapport à la fermeture de succursale de Jonquière.  On veut montrer les avantages qu’on a.  On a plus que le salaire minimum.  Et ça se négocie.  Ce ne sont pas des sans-cœur » clame Lise, une gérante de rayon qui préfère garder l’anonymat, de peur de représailles du clan syndical.

« Il y en a qui signent les cartes (du syndicat) simplement parce qu’ils ont peur, surtout les temps partiel », affirme Nancy (nom fictif) employée de bureau qui détient un diplôme d’études collégiales.

« C’est grâce à Wal-Mart si j’ai une auto et une maison, argue-t-elle.  C’est pas des salaires de crève-faim.  C’est la seule compagnie qui voit ton potentiel et qui peut te faire monter à gérant même si tu laves les planchers ».

«  Je suis heureuse chez Wal-Mart et si je ne l’étais pas, je donnerais ma démission, renréchit Sylvie, caissière et commis à l’accueil.  Ils ne comprennent pas (les syndicalistes) qu’ils ne travaillent pas dans un bureau mais plutôt dans un magasin.  Il faut travailler les soirs et les fins de semaine. »

Au mérite

Jonquière, pour eux, c’est une autre histoire.  Le magasin n’était pas « performant ».  Des camions de marchandise non écoulée ont d’ailleurs abouti à leur succursale.  

À Sainte-Foy, le salaire des associés varie entre 12 000$ et 27 000 » annuellement, incluant les bonus de rendement régulier.  Le tarif horaire minimum est de 7,85$ avec une augmentation annuelle maximale de 50 cents.  Les gérants de rayon gagnent, pour leur part, 90 cents l’heure de plus que l’échelon atteint, sans pour autant qu’il y ait une véritable échelle salariale.

Début de la fin

Pour ces 7 employés, la syndicalisation rime avec perte d’acquis, comme les assurances collectives gratuites, l’escompte de 10% sur tout, le fond de pension sans frais pour les temps plein et les congés de maladie payés. Pour eux, le syndicat, c’est le début de la fin.

« Ce n’est pas que nous qui va perdre si Wal-Mart ferme », conclut Geneviève (nom fictif), en pensant aux fournisseurs canadiens et aux concessions qui se greffent au géant.


Rael aussi peut faire monter ses disciples dans la hiéarchie  

pucinette  a écrit

Rael aussi peut faire monter ses disciples dans la hiéarchie  



Quel est le rapport avec Raël?

Nounou quand bien même les employés défendrais leur employeur ça changerais rien ... ont aime ça les victimes exploité par le méchand employeur américain   ...

jaimerai bien que quelqu'un m'explique en quoi les employés Wal mart font aussi pitié jai eu beau tout lire des deux topics je n'ai rien lu qui démontre de l'exploitation  :/

les conditions de travail m'apparraisse raisonnable quand ont compare avec certain autre emploi syndiqué ... et de plus ceux que je connais et qui y travail sont eux contre le fait de se syndiqué  :/

"Ils comptent entre 3 et 11 ans de service chez Wal-Mart et ne tolèrent plus d’être intimidés par 5 pro-syndicat qui maraudent depuis le printemps pour obtenir l’accréditation."


Moi, c'est contre ça que j'en ai.  Pourquoi personne n'en parle de ce fait.  Sans oublier que les employés de Jonquière avait dit NON pour le syndicat la première fois.

De plus, la dernière fois que j'ai entendu Henri Massé parlé, il a bien mentionné qu'ils allaient continuer leurs pressions afin de syndiquer les employés de Wal-Mart et avoir la fierté ensuite de dire que le syndicat chez Wal-Mart a démarré au Québec.  Ils s'en crissent des employés, ils veulent la renommé, point.

Nounou1  a écrit


Quel est le rapport avec Raël?

Tu sembles être une femme très intelligente , cherche un peu  ;)

pucinette  a écrit

Tu sembles être une femme très intelligente , cherche un peu  ;)



J'aimerais beaucoup mieux que tu expliques ton point de vue!

Nounou1  a écrit


J'aimerais beaucoup mieux que tu expliques ton point de vue!

Mon point de vue est que les employés de wal-mart sont complètement brainwashés voilà le lien avec la secte de Rael  ;)

La petite toune Leurs associés
Le fort sentiment d'appartenance
La manipulation émotive ( la page dans le journal d'hier)

Et j'ai vraiment pitié de la femme qui a dit : "C'est grâce à wal-mart que j'ai une voiture et une maison"
Elle travaillerait ailleurs et elle l'aurait sa voiture et sa maison ..
Je connais un paquet de gens qui ont des maisons et des voitures et ils travaillent pas chez wal-mart .

Oh wal mart tout puissant vient me sauver !!

pucinette  a écrit

Mon point de vue est que les employés de wal-mart sont complètement brainwashés voilà le lien avec la secte de Rael  ;)

La petite toune Leurs associés
Le fort sentiment d'appartenance
La manipulation émotive ( la page dans le journal d'hier)

Et j'ai vraiment pitié de la femme qui a dit : "C'est grâce à wal-mart que j'ai une voiture et une maison"
Elle travaillerait ailleurs et elle l'aurait sa voiture et sa maison ..
Je connais un paquet de gens qui ont des maisons et des voitures et ils travaillent pas chez wal-mart .

Oh wal mart tout puissant vient me sauver !!


tu vois ce que tu décrit comme du brainwash je pourrait le décrire également dans ma vision du syndicat les ptite tounne so so so le fort sentiment d'appartenance et tout le sentiment de victimisation face a lemployeur

nic30  a écrit
tu vois ce que tu décrit comme du brainwash je pourrait le décrire également dans ma vision du syndicat les ptite tounne so so so le fort sentiment d'appartenance et tout le sentiment de victimisation face a lemployeur



Tu le vois comme tu veux

pucinette  a écrit

Mon point de vue est que les employés de wal-mart sont complètement brainwashés voilà le lien avec la secte de Rael  ;)

La petite toune Leurs associés
Le fort sentiment d'appartenance
La manipulation émotive ( la page dans le journal d'hier)

Et j'ai vraiment pitié de la femme qui a dit : "C'est grâce à wal-mart que j'ai une voiture et une maison"
Elle travaillerait ailleurs et elle l'aurait sa voiture et sa maison ..
Je connais un paquet de gens qui ont des maisons et des voitures et ils travaillent pas chez wal-mart .

Oh wal mart tout puissant vient me sauver !!


Donc, selon toi, un employé de Wal-Mart qui aime sa job et qui ne veut pas être syndiqué, c'est un brainwashé!

Selon toi qui n'a jamais travaillé chez Wal-Mart, une personne qui travaille là et qui se dit heureuse d'y travailler et ne veut pas être syndiquée, ne sait pas que ce qu'elle dit!  Toi, tu sais plus qu'elle ce qu'elle vit et ce qu'elle endure?

Donc, tu sais plus qu'eux, ce qui est bon pour eux?

Es-tu voyante? --Message edité par Nounou1 le 2005-02-15 13:30:47--

Citation :Donc, selon toi, un employé de Wal-Mart qui aime sa job et qui ne veut pas être syndiqué, c'est un brainwashé!

OU un ou une amie du boss   Sérieusement WAl-mart prone la mentalité familiale pas pour rien !Tsé on est une grande famille .. il dise ça dans les sectes !

Citation :Selon toi qui n'a jamais travaillé chez Wal-Mart, une personne qui travaille là et qui se dit heureuse d'y travailler et ne veut pas être syndiquée, ne sait pas que ce qu'elle dit!  Toi, tu sais plus qu'elle ce qu'elle vit et ce qu'elle endure?

Elle sait très bien ce qu'elle dit ,on lui a tellement répété de fois  ;)

Citation :Donc, tu sais plus qu'eux, ce qui est bon pour eux?
Non et je crois que c'est à chaque personne de se responsabiliser sauf que la majorité à accepté la syndicalisation alors je considère que cette majorité considérait que Wal-Mart n'était pas si bon pour eux !

ECitation :s-tu voyante?

Peut-être, mais j'ai pas encore découvert mes pouvoirs  ;) --Message edité par pucinette  le 2005-02-15 13:35:57--

Citation :

Citation :Donc, tu sais plus qu'eux, ce qui est bon pour eux?
Non et je crois que c'est à chaque personne de se responsabiliser sauf que la majorité à accepté la syndicalisation alors je considère que cette majorité considérait que Wal-Mart n'était pas si bon pour eux !

ECitation :s-tu voyante?

Peut-être, mais j'ai pas encore découvert mes pouvoirs  ;)  


Pour toi, c'est la majorité qui a accepté (démocratiquement) la syndicalisation?

Ils comptent entre 3 et 11 ans de service chez Wal-Mart et ne tolèrent plus d’être intimidés par 5 pro-syndicat qui maraudent depuis le printemps pour obtenir l’accréditation

Nounou1  a écrit


Pour toi, c'est la majorité qui a accepté (démocratiquement) la syndicalisation?

Ils comptent entre 3 et 11 ans de service chez Wal-Mart et ne tolèrent plus d’être intimidés par 5 pro-syndicat qui maraudent depuis le printemps pour obtenir l’accréditation

C'est ce qu'ils disent ça  ;)
Et c'est pas selon moi que la majorité a été acceptée ..c'est selon la loi , une accréditation ne peut etre possible sans la majorité absolue et sans vote secret ..
Et si ces gens les sont trop chickens pour exercer leur droit( qui demeure secret en plus) de vote , et dire qu'ils ne veulent pas se syndiquer .. c'est leur choix .
D'habitude ce sont les pro-syndicats qui ont des menaces des boss , pas l'inverse ..
C'est vraiment pathétique et triste cette "histoire" là . --Message edité par pucinette  le 2005-02-15 13:47:45--

pucinette  a écrit

C'est ce qu'ils disent ça  ;)
Et c'est pas selon moi que la majorité a été acceptée ..c'est selon la loi , une accréditation ne peut etre possible sans la majorité absolue et sans vote secret ..
Et si ces gens les sont trop chickens pour exercer leur droit( qui demeure secret en plus) de vote , et dire qu'ils ne veulent pas se syndiquer .. c'est leur choix .
D'habitude ce sont les pro-syndicats qui ont des menaces des boss , pas l'inverse ..
C'est vraiment pathétique et triste cette "histoire" là .  

Les employés du Wal-Mart dont il est question ici n'ont pas encore eux l'accréditation est-ce que je me trompe ?

Ce qui est triste, c'est de voir que le Québec a peur des investisseurs étrangers, s'ils ne veulent pas de syndicats alors, ils ne sont pas les bienvenues.
Économiquement, touts les pays courent après des investisseurs étrangers pour augmenter leur économie sauf le Québec.

Mieux vos avoir un Québec faible et syndiqué qu'un Québec fort et privé.

Bel héritage pour les générations qui vont suivres.