Heath Ledger décédé
babychoux a écritj'aime bien celle là......il semble dire....ok...tout va bien aller...faites vous en pas.....
Il ressemble à sa fille là-dessus.
--Message edité par Paradoxale le 2008-01-25 23:23:38--
Il ressemble à sa fille là-dessus.
--Message edité par Paradoxale le 2008-01-25 23:23:38--
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C'est fou! Je ne réalise toujours pas qu'il est... mort.
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Jamais sans....
Janvier 2007
Michelle Williams
"Nous nous somme rencontrés pendant le tournage de Brokeback Mountain. Elle est mon âme soeur, et nous nous aimons plus que tout. Nous nous entendons à merveille!"
Ma fille Matilda
"La paternité me comble, c'est merveilleux, et Matilda est tout à fait adorable. Michelle s'est inspiré du personnage du livre de Roald Dahl pour son joli prénom. Être présent à l'accouchement m'a permis d'admirer cette force intrinsèque et tout cette détermination qui envahissent la femme lorsqu'elle pousse son bébé."
Les enfants
"Michelle et moi voulons avoir six enfants, c'est notre chiffre magique!"
Le métier d'acteur
"C'est une manière de m'exprimer qui m'est essentielle, car je suis tellement bien sur un plateau que je n'ai pas l'impression que c'est un boulot."
Le traitement de star
"J'adore ça! Tellement que les 2 premiers jours après un tournage, je suis comme dans un état second."
Le cheminement
"C'est de trouver au fil du temps une certaine sagesse et compréhension de soi. C'est aussi d'être en équilibre avec son corps et sa vie dans l'optique que la Terre, le soleil et la lune sont les seules vérités."
L'australie
"Je vis aux États-unis maintenant, mais je rends visite à ma famille en Australie 2 fois par année. La ville de Perth, ou je suis née, est un des lieux de retraite les plus luxueux du monde avec ses km de ciel bleu clair et d'océan cristallin. C'est un paradis sur terre."
La musique
"J'aime tous les styles. Je collectionne des centaines de vyniles; j'adore leur son chaleureux. Je joue du didgeridoo, un instrument à vent des aborigènes d'australie qui ressemble à une longue tige de bamboo. J'adore aussi danser"
Les mantras
"Mon préféré est: Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent; aime comme si tu n'avais jamais été blessé; et danse comme si personne ne te regardait."
--Message edité par seniorita le 2008-01-26 01:06:09--
Janvier 2007
Michelle Williams
"Nous nous somme rencontrés pendant le tournage de Brokeback Mountain. Elle est mon âme soeur, et nous nous aimons plus que tout. Nous nous entendons à merveille!"
Ma fille Matilda
"La paternité me comble, c'est merveilleux, et Matilda est tout à fait adorable. Michelle s'est inspiré du personnage du livre de Roald Dahl pour son joli prénom. Être présent à l'accouchement m'a permis d'admirer cette force intrinsèque et tout cette détermination qui envahissent la femme lorsqu'elle pousse son bébé."
Les enfants
"Michelle et moi voulons avoir six enfants, c'est notre chiffre magique!"
Le métier d'acteur
"C'est une manière de m'exprimer qui m'est essentielle, car je suis tellement bien sur un plateau que je n'ai pas l'impression que c'est un boulot."
Le traitement de star
"J'adore ça! Tellement que les 2 premiers jours après un tournage, je suis comme dans un état second."
Le cheminement
"C'est de trouver au fil du temps une certaine sagesse et compréhension de soi. C'est aussi d'être en équilibre avec son corps et sa vie dans l'optique que la Terre, le soleil et la lune sont les seules vérités."
L'australie
"Je vis aux États-unis maintenant, mais je rends visite à ma famille en Australie 2 fois par année. La ville de Perth, ou je suis née, est un des lieux de retraite les plus luxueux du monde avec ses km de ciel bleu clair et d'océan cristallin. C'est un paradis sur terre."
La musique
"J'aime tous les styles. Je collectionne des centaines de vyniles; j'adore leur son chaleureux. Je joue du didgeridoo, un instrument à vent des aborigènes d'australie qui ressemble à une longue tige de bamboo. J'adore aussi danser"
Les mantras
"Mon préféré est: Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent; aime comme si tu n'avais jamais été blessé; et danse comme si personne ne te regardait."
--Message edité par seniorita le 2008-01-26 01:06:09--
"Mon préféré est: Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent; aime comme si tu n'avais jamais été blessé; et danse comme si personne ne te regardait."
Parti bien trop jeune ce gars-la...
Merci beaucoup pour les articles!
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Le vendredi 25 janvier 2008
Bye bye mon cowboy
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PHOTO: archives
La Presse Nathalie Petrowski
La Presse
Il était beau. Il était jeune. Il avait du sex-appeal. Mais surtout il avait du talent. À 28 ans, avec à peine une dizaine d'années de métier dans le corps, Heath Ledger avait déjà accédé à un niveau de jeu et d'intériorité que des acteurs deux fois plus vieux n'ont jamais atteint. Son avenir était des plus prometteurs et, pourtant, il a pris fin abruptement, mardi.
Ce jour-là, Heath Ledger, le cowboy tourmenté et ombrageux de Brokeback Mountain, est entré dans la même triste légende inventée par James Dean et rejouée en boucle, génération après génération, par une longue liste de jeunes désespérés dont l'ascension fut aussi fulgurante que la chute prématurée.
Sa mort, d'un impossible cocktail de médicaments, a pris tout le monde au dépourvu. Un peu comme si Ledger avait coupé la file et battu à la ligne d'arrivée toutes les causes perdues et célèbres dont on a mille fois rédigé la chronique nécrologique.
Pourtant, avec sa virilité rugueuse mais vulnérable, avec son sourire timide, ses manières tranquilles et discrètes et sa répugnance à nourrir le monstre médiatique, Heath Ledger ne présentait aucun des signes avant-coureurs permettant de croire qu'il était au bord du désespoir, et qu'il allait bientôt en crever.
On ne l'a jamais vu errer en sang et en haillons dans la rue comme Amy Winehouse, ni conduire en état d'ébriété ou tituber jusqu'à la première clinique de désintox. Alors quoi? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes et il est mort paisiblement dans son sommeil comme l'affirmait son père dans un communiqué?
Non évidemment. Depuis sa mort, des rumeurs ont commencé à filtrer, toutes pointant vers un mal de vivre, des tourments intérieurs, une vie privée en lambeaux et des peurs amplifiées par la pression du succès qu'il fuyait dans les paradis artificiels de l'alcool et de l'héroïne.
Peut-être ces rumeurs ne sont-elles que les fabulations d'une presse en mal de sensations. Chose certaine, on ne meurt pas à 28 ans dans un chic loft de SoHo de façon purement accidentelle. On ne voulait peut-être pas mourir, on ne l'avait peut-être pas planifié, mais si on finit par trouver la mort, c'est qu'on la cherchait. Une force nous poussait obstinément vers elle.
Pour tout dire, la mort de Heath Ledger n'a rien de mystérieux. Ce qui l'a tué, dans le fond, ce ne sont pas tant les médicaments, la drogue, l'anxiété, l'insomnie et l'épuisement. Le vrai tueur, c'est la machine qui l'a mené à ce cocktail: la machine qui produit du rêve à la chaîne, mais surtout celle qui fait vendre ce rêve, qu'il l'amplifie, qui le démultiplie, qui le «défuntifise».
La machine qui brouille les frontières entre le rêve et la réalité, entre le public et le privé et qui force les acteurs d'aujourd'hui à jouer 24 heures sur 24, sous le regard de caméras qui n'ont rien à voir avec le cinéma et tout avec la surveillance.
Cette machine-là se déploie aujourd'hui dans toute sa formidable horreur sur le Net, où même pas une heure après que Heath Ledger eut été trouvé sans vie par sa femme de ménage, sa mort était annoncée en exclusivité sur TMZ, le site des vautours et des fossoyeurs de stars.
Depuis mardi soir 18 h 30, sur le même site mais aussi sur tous les autres, on peut voir ad nauseam le vidéo du corps de Ledger, triste paquet enveloppé dans un sac noir qui sort sur une civière au son assourdissant des flashs qui crépitent, alors que la meute médiatique se bouscule et se pousse en criant «Body, Body, Body.» «Combien tu crois qu'on peut faire de fric avec ça?» demande un photographe à son voisin.
Et quand ce n'est pas la vidéo de son cadavre, c'est celui des entrevues perdues et subitement retrouvées où Ledger apparaît confus, agité, où il se trémousse sur sa chaise et se gratte les bras comme un junkie. Cette machine-là, que Ledger avait plus ou moins réussi à contrôler de son vivant, est déchaînée maintenant qu'il est mort.
Dans une entrevue réalisée pendant le tournage de The Patriot, il y a près de 10 ans, Mel Gibson se disait épaté par la force de caractère de son jeune camarade de jeu. «Il a vraiment les pieds sur terre et une maturité que je n'avais jamais à son âge. Je ne suis vraiment pas inquiet pour lui», disait-il.
Mel s'est trompé. Heath Ledger avait peut-être une grande force de caractère, mais elle cachait une extrême vulnérabilité. Son drame, c'est de s'être aventuré dans la machine à fabriquer des stars sans savoir que c'était aussi une machine à broyer la sensibilité.
Bye bye mon cowboy
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La Presse Nathalie Petrowski
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Il était beau. Il était jeune. Il avait du sex-appeal. Mais surtout il avait du talent. À 28 ans, avec à peine une dizaine d'années de métier dans le corps, Heath Ledger avait déjà accédé à un niveau de jeu et d'intériorité que des acteurs deux fois plus vieux n'ont jamais atteint. Son avenir était des plus prometteurs et, pourtant, il a pris fin abruptement, mardi.
Ce jour-là, Heath Ledger, le cowboy tourmenté et ombrageux de Brokeback Mountain, est entré dans la même triste légende inventée par James Dean et rejouée en boucle, génération après génération, par une longue liste de jeunes désespérés dont l'ascension fut aussi fulgurante que la chute prématurée.
Sa mort, d'un impossible cocktail de médicaments, a pris tout le monde au dépourvu. Un peu comme si Ledger avait coupé la file et battu à la ligne d'arrivée toutes les causes perdues et célèbres dont on a mille fois rédigé la chronique nécrologique.
Pourtant, avec sa virilité rugueuse mais vulnérable, avec son sourire timide, ses manières tranquilles et discrètes et sa répugnance à nourrir le monstre médiatique, Heath Ledger ne présentait aucun des signes avant-coureurs permettant de croire qu'il était au bord du désespoir, et qu'il allait bientôt en crever.
On ne l'a jamais vu errer en sang et en haillons dans la rue comme Amy Winehouse, ni conduire en état d'ébriété ou tituber jusqu'à la première clinique de désintox. Alors quoi? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes et il est mort paisiblement dans son sommeil comme l'affirmait son père dans un communiqué?
Non évidemment. Depuis sa mort, des rumeurs ont commencé à filtrer, toutes pointant vers un mal de vivre, des tourments intérieurs, une vie privée en lambeaux et des peurs amplifiées par la pression du succès qu'il fuyait dans les paradis artificiels de l'alcool et de l'héroïne.
Peut-être ces rumeurs ne sont-elles que les fabulations d'une presse en mal de sensations. Chose certaine, on ne meurt pas à 28 ans dans un chic loft de SoHo de façon purement accidentelle. On ne voulait peut-être pas mourir, on ne l'avait peut-être pas planifié, mais si on finit par trouver la mort, c'est qu'on la cherchait. Une force nous poussait obstinément vers elle.
Pour tout dire, la mort de Heath Ledger n'a rien de mystérieux. Ce qui l'a tué, dans le fond, ce ne sont pas tant les médicaments, la drogue, l'anxiété, l'insomnie et l'épuisement. Le vrai tueur, c'est la machine qui l'a mené à ce cocktail: la machine qui produit du rêve à la chaîne, mais surtout celle qui fait vendre ce rêve, qu'il l'amplifie, qui le démultiplie, qui le «défuntifise».
La machine qui brouille les frontières entre le rêve et la réalité, entre le public et le privé et qui force les acteurs d'aujourd'hui à jouer 24 heures sur 24, sous le regard de caméras qui n'ont rien à voir avec le cinéma et tout avec la surveillance.
Cette machine-là se déploie aujourd'hui dans toute sa formidable horreur sur le Net, où même pas une heure après que Heath Ledger eut été trouvé sans vie par sa femme de ménage, sa mort était annoncée en exclusivité sur TMZ, le site des vautours et des fossoyeurs de stars.
Depuis mardi soir 18 h 30, sur le même site mais aussi sur tous les autres, on peut voir ad nauseam le vidéo du corps de Ledger, triste paquet enveloppé dans un sac noir qui sort sur une civière au son assourdissant des flashs qui crépitent, alors que la meute médiatique se bouscule et se pousse en criant «Body, Body, Body.» «Combien tu crois qu'on peut faire de fric avec ça?» demande un photographe à son voisin.
Et quand ce n'est pas la vidéo de son cadavre, c'est celui des entrevues perdues et subitement retrouvées où Ledger apparaît confus, agité, où il se trémousse sur sa chaise et se gratte les bras comme un junkie. Cette machine-là, que Ledger avait plus ou moins réussi à contrôler de son vivant, est déchaînée maintenant qu'il est mort.
Dans une entrevue réalisée pendant le tournage de The Patriot, il y a près de 10 ans, Mel Gibson se disait épaté par la force de caractère de son jeune camarade de jeu. «Il a vraiment les pieds sur terre et une maturité que je n'avais jamais à son âge. Je ne suis vraiment pas inquiet pour lui», disait-il.
Mel s'est trompé. Heath Ledger avait peut-être une grande force de caractère, mais elle cachait une extrême vulnérabilité. Son drame, c'est de s'être aventuré dans la machine à fabriquer des stars sans savoir que c'était aussi une machine à broyer la sensibilité.
formule a écritLe vendredi 25 janvier 2008
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Il était beau. Il était jeune. Il avait du sex-appeal. Mais surtout il avait du talent. À 28 ans, avec à peine une dizaine d'années de métier dans le corps, Heath Ledger avait déjà accédé à un niveau de jeu et d'intériorité que des acteurs deux fois plus vieux n'ont jamais atteint. Son avenir était des plus prometteurs et, pourtant, il a pris fin abruptement, mardi.
Ce jour-là, Heath Ledger, le cowboy tourmenté et ombrageux de Brokeback Mountain, est entré dans la même triste légende inventée par James Dean et rejouée en boucle, génération après génération, par une longue liste de jeunes désespérés dont l'ascension fut aussi fulgurante que la chute prématurée.
Sa mort, d'un impossible cocktail de médicaments, a pris tout le monde au dépourvu. Un peu comme si Ledger avait coupé la file et battu à la ligne d'arrivée toutes les causes perdues et célèbres dont on a mille fois rédigé la chronique nécrologique.
Pourtant, avec sa virilité rugueuse mais vulnérable, avec son sourire timide, ses manières tranquilles et discrètes et sa répugnance à nourrir le monstre médiatique, Heath Ledger ne présentait aucun des signes avant-coureurs permettant de croire qu'il était au bord du désespoir, et qu'il allait bientôt en crever.
On ne l'a jamais vu errer en sang et en haillons dans la rue comme Amy Winehouse, ni conduire en état d'ébriété ou tituber jusqu'à la première clinique de désintox. Alors quoi? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes et il est mort paisiblement dans son sommeil comme l'affirmait son père dans un communiqué?
Non évidemment. Depuis sa mort, des rumeurs ont commencé à filtrer, toutes pointant vers un mal de vivre, des tourments intérieurs, une vie privée en lambeaux et des peurs amplifiées par la pression du succès qu'il fuyait dans les paradis artificiels de l'alcool et de l'héroïne.
Peut-être ces rumeurs ne sont-elles que les fabulations d'une presse en mal de sensations. Chose certaine, on ne meurt pas à 28 ans dans un chic loft de SoHo de façon purement accidentelle. On ne voulait peut-être pas mourir, on ne l'avait peut-être pas planifié, mais si on finit par trouver la mort, c'est qu'on la cherchait. Une force nous poussait obstinément vers elle.
Pour tout dire, la mort de Heath Ledger n'a rien de mystérieux. Ce qui l'a tué, dans le fond, ce ne sont pas tant les médicaments, la drogue, l'anxiété, l'insomnie et l'épuisement. Le vrai tueur, c'est la machine qui l'a mené à ce cocktail: la machine qui produit du rêve à la chaîne, mais surtout celle qui fait vendre ce rêve, qu'il l'amplifie, qui le démultiplie, qui le «défuntifise».
La machine qui brouille les frontières entre le rêve et la réalité, entre le public et le privé et qui force les acteurs d'aujourd'hui à jouer 24 heures sur 24, sous le regard de caméras qui n'ont rien à voir avec le cinéma et tout avec la surveillance.
Cette machine-là se déploie aujourd'hui dans toute sa formidable horreur sur le Net, où même pas une heure après que Heath Ledger eut été trouvé sans vie par sa femme de ménage, sa mort était annoncée en exclusivité sur TMZ, le site des vautours et des fossoyeurs de stars.
Depuis mardi soir 18 h 30, sur le même site mais aussi sur tous les autres, on peut voir ad nauseam le vidéo du corps de Ledger, triste paquet enveloppé dans un sac noir qui sort sur une civière au son assourdissant des flashs qui crépitent, alors que la meute médiatique se bouscule et se pousse en criant «Body, Body, Body.» «Combien tu crois qu'on peut faire de fric avec ça?» demande un photographe à son voisin.
Et quand ce n'est pas la vidéo de son cadavre, c'est celui des entrevues perdues et subitement retrouvées où Ledger apparaît confus, agité, où il se trémousse sur sa chaise et se gratte les bras comme un junkie. Cette machine-là, que Ledger avait plus ou moins réussi à contrôler de son vivant, est déchaînée maintenant qu'il est mort.
Dans une entrevue réalisée pendant le tournage de The Patriot, il y a près de 10 ans, Mel Gibson se disait épaté par la force de caractère de son jeune camarade de jeu. «Il a vraiment les pieds sur terre et une maturité que je n'avais jamais à son âge. Je ne suis vraiment pas inquiet pour lui», disait-il.
Mel s'est trompé. Heath Ledger avait peut-être une grande force de caractère, mais elle cachait une extrême vulnérabilité. Son drame, c'est de s'être aventuré dans la machine à fabriquer des stars sans savoir que c'était aussi une machine à broyer la sensibilité.
Je crois qu'elle dit tout...
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Il était beau. Il était jeune. Il avait du sex-appeal. Mais surtout il avait du talent. À 28 ans, avec à peine une dizaine d'années de métier dans le corps, Heath Ledger avait déjà accédé à un niveau de jeu et d'intériorité que des acteurs deux fois plus vieux n'ont jamais atteint. Son avenir était des plus prometteurs et, pourtant, il a pris fin abruptement, mardi.
Ce jour-là, Heath Ledger, le cowboy tourmenté et ombrageux de Brokeback Mountain, est entré dans la même triste légende inventée par James Dean et rejouée en boucle, génération après génération, par une longue liste de jeunes désespérés dont l'ascension fut aussi fulgurante que la chute prématurée.
Sa mort, d'un impossible cocktail de médicaments, a pris tout le monde au dépourvu. Un peu comme si Ledger avait coupé la file et battu à la ligne d'arrivée toutes les causes perdues et célèbres dont on a mille fois rédigé la chronique nécrologique.
Pourtant, avec sa virilité rugueuse mais vulnérable, avec son sourire timide, ses manières tranquilles et discrètes et sa répugnance à nourrir le monstre médiatique, Heath Ledger ne présentait aucun des signes avant-coureurs permettant de croire qu'il était au bord du désespoir, et qu'il allait bientôt en crever.
On ne l'a jamais vu errer en sang et en haillons dans la rue comme Amy Winehouse, ni conduire en état d'ébriété ou tituber jusqu'à la première clinique de désintox. Alors quoi? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes et il est mort paisiblement dans son sommeil comme l'affirmait son père dans un communiqué?
Non évidemment. Depuis sa mort, des rumeurs ont commencé à filtrer, toutes pointant vers un mal de vivre, des tourments intérieurs, une vie privée en lambeaux et des peurs amplifiées par la pression du succès qu'il fuyait dans les paradis artificiels de l'alcool et de l'héroïne.
Peut-être ces rumeurs ne sont-elles que les fabulations d'une presse en mal de sensations. Chose certaine, on ne meurt pas à 28 ans dans un chic loft de SoHo de façon purement accidentelle. On ne voulait peut-être pas mourir, on ne l'avait peut-être pas planifié, mais si on finit par trouver la mort, c'est qu'on la cherchait. Une force nous poussait obstinément vers elle.
Pour tout dire, la mort de Heath Ledger n'a rien de mystérieux. Ce qui l'a tué, dans le fond, ce ne sont pas tant les médicaments, la drogue, l'anxiété, l'insomnie et l'épuisement. Le vrai tueur, c'est la machine qui l'a mené à ce cocktail: la machine qui produit du rêve à la chaîne, mais surtout celle qui fait vendre ce rêve, qu'il l'amplifie, qui le démultiplie, qui le «défuntifise».
La machine qui brouille les frontières entre le rêve et la réalité, entre le public et le privé et qui force les acteurs d'aujourd'hui à jouer 24 heures sur 24, sous le regard de caméras qui n'ont rien à voir avec le cinéma et tout avec la surveillance.
Cette machine-là se déploie aujourd'hui dans toute sa formidable horreur sur le Net, où même pas une heure après que Heath Ledger eut été trouvé sans vie par sa femme de ménage, sa mort était annoncée en exclusivité sur TMZ, le site des vautours et des fossoyeurs de stars.
Depuis mardi soir 18 h 30, sur le même site mais aussi sur tous les autres, on peut voir ad nauseam le vidéo du corps de Ledger, triste paquet enveloppé dans un sac noir qui sort sur une civière au son assourdissant des flashs qui crépitent, alors que la meute médiatique se bouscule et se pousse en criant «Body, Body, Body.» «Combien tu crois qu'on peut faire de fric avec ça?» demande un photographe à son voisin.
Et quand ce n'est pas la vidéo de son cadavre, c'est celui des entrevues perdues et subitement retrouvées où Ledger apparaît confus, agité, où il se trémousse sur sa chaise et se gratte les bras comme un junkie. Cette machine-là, que Ledger avait plus ou moins réussi à contrôler de son vivant, est déchaînée maintenant qu'il est mort.
Dans une entrevue réalisée pendant le tournage de The Patriot, il y a près de 10 ans, Mel Gibson se disait épaté par la force de caractère de son jeune camarade de jeu. «Il a vraiment les pieds sur terre et une maturité que je n'avais jamais à son âge. Je ne suis vraiment pas inquiet pour lui», disait-il.
Mel s'est trompé. Heath Ledger avait peut-être une grande force de caractère, mais elle cachait une extrême vulnérabilité. Son drame, c'est de s'être aventuré dans la machine à fabriquer des stars sans savoir que c'était aussi une machine à broyer la sensibilité.
Je crois qu'elle dit tout...
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formule a écritLe vendredi 25 janvier 2008
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Il était beau. Il était jeune. Il avait du sex-appeal. Mais surtout il avait du talent. À 28 ans, avec à peine une dizaine d'années de métier dans le corps, Heath Ledger avait déjà accédé à un niveau de jeu et d'intériorité que des acteurs deux fois plus vieux n'ont jamais atteint. Son avenir était des plus prometteurs et, pourtant, il a pris fin abruptement, mardi.
Ce jour-là, Heath Ledger, le cowboy tourmenté et ombrageux de Brokeback Mountain, est entré dans la même triste légende inventée par James Dean et rejouée en boucle, génération après génération, par une longue liste de jeunes désespérés dont l'ascension fut aussi fulgurante que la chute prématurée.
Sa mort, d'un impossible cocktail de médicaments, a pris tout le monde au dépourvu. Un peu comme si Ledger avait coupé la file et battu à la ligne d'arrivée toutes les causes perdues et célèbres dont on a mille fois rédigé la chronique nécrologique.
Pourtant, avec sa virilité rugueuse mais vulnérable, avec son sourire timide, ses manières tranquilles et discrètes et sa répugnance à nourrir le monstre médiatique, Heath Ledger ne présentait aucun des signes avant-coureurs permettant de croire qu'il était au bord du désespoir, et qu'il allait bientôt en crever.
On ne l'a jamais vu errer en sang et en haillons dans la rue comme Amy Winehouse, ni conduire en état d'ébriété ou tituber jusqu'à la première clinique de désintox. Alors quoi? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes et il est mort paisiblement dans son sommeil comme l'affirmait son père dans un communiqué?
Non évidemment. Depuis sa mort, des rumeurs ont commencé à filtrer, toutes pointant vers un mal de vivre, des tourments intérieurs, une vie privée en lambeaux et des peurs amplifiées par la pression du succès qu'il fuyait dans les paradis artificiels de l'alcool et de l'héroïne.
Peut-être ces rumeurs ne sont-elles que les fabulations d'une presse en mal de sensations. Chose certaine, on ne meurt pas à 28 ans dans un chic loft de SoHo de façon purement accidentelle. On ne voulait peut-être pas mourir, on ne l'avait peut-être pas planifié, mais si on finit par trouver la mort, c'est qu'on la cherchait. Une force nous poussait obstinément vers elle.
Pour tout dire, la mort de Heath Ledger n'a rien de mystérieux. Ce qui l'a tué, dans le fond, ce ne sont pas tant les médicaments, la drogue, l'anxiété, l'insomnie et l'épuisement. Le vrai tueur, c'est la machine qui l'a mené à ce cocktail: la machine qui produit du rêve à la chaîne, mais surtout celle qui fait vendre ce rêve, qu'il l'amplifie, qui le démultiplie, qui le «défuntifise».
La machine qui brouille les frontières entre le rêve et la réalité, entre le public et le privé et qui force les acteurs d'aujourd'hui à jouer 24 heures sur 24, sous le regard de caméras qui n'ont rien à voir avec le cinéma et tout avec la surveillance.
Cette machine-là se déploie aujourd'hui dans toute sa formidable horreur sur le Net, où même pas une heure après que Heath Ledger eut été trouvé sans vie par sa femme de ménage, sa mort était annoncée en exclusivité sur TMZ, le site des vautours et des fossoyeurs de stars.
Depuis mardi soir 18 h 30, sur le même site mais aussi sur tous les autres, on peut voir ad nauseam le vidéo du corps de Ledger, triste paquet enveloppé dans un sac noir qui sort sur une civière au son assourdissant des flashs qui crépitent, alors que la meute médiatique se bouscule et se pousse en criant «Body, Body, Body.» «Combien tu crois qu'on peut faire de fric avec ça?» demande un photographe à son voisin.
Et quand ce n'est pas la vidéo de son cadavre, c'est celui des entrevues perdues et subitement retrouvées où Ledger apparaît confus, agité, où il se trémousse sur sa chaise et se gratte les bras comme un junkie. Cette machine-là, que Ledger avait plus ou moins réussi à contrôler de son vivant, est déchaînée maintenant qu'il est mort.
Dans une entrevue réalisée pendant le tournage de The Patriot, il y a près de 10 ans, Mel Gibson se disait épaté par la force de caractère de son jeune camarade de jeu. «Il a vraiment les pieds sur terre et une maturité que je n'avais jamais à son âge. Je ne suis vraiment pas inquiet pour lui», disait-il.
Mel s'est trompé. Heath Ledger avait peut-être une grande force de caractère, mais elle cachait une extrême vulnérabilité. Son drame, c'est de s'être aventuré dans la machine à fabriquer des stars sans savoir que c'était aussi une machine à broyer la sensibilité.
Pour une des rares fois que je suis en accord avec Petrowski.
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La Presse Nathalie Petrowski
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Il était beau. Il était jeune. Il avait du sex-appeal. Mais surtout il avait du talent. À 28 ans, avec à peine une dizaine d'années de métier dans le corps, Heath Ledger avait déjà accédé à un niveau de jeu et d'intériorité que des acteurs deux fois plus vieux n'ont jamais atteint. Son avenir était des plus prometteurs et, pourtant, il a pris fin abruptement, mardi.
Ce jour-là, Heath Ledger, le cowboy tourmenté et ombrageux de Brokeback Mountain, est entré dans la même triste légende inventée par James Dean et rejouée en boucle, génération après génération, par une longue liste de jeunes désespérés dont l'ascension fut aussi fulgurante que la chute prématurée.
Sa mort, d'un impossible cocktail de médicaments, a pris tout le monde au dépourvu. Un peu comme si Ledger avait coupé la file et battu à la ligne d'arrivée toutes les causes perdues et célèbres dont on a mille fois rédigé la chronique nécrologique.
Pourtant, avec sa virilité rugueuse mais vulnérable, avec son sourire timide, ses manières tranquilles et discrètes et sa répugnance à nourrir le monstre médiatique, Heath Ledger ne présentait aucun des signes avant-coureurs permettant de croire qu'il était au bord du désespoir, et qu'il allait bientôt en crever.
On ne l'a jamais vu errer en sang et en haillons dans la rue comme Amy Winehouse, ni conduire en état d'ébriété ou tituber jusqu'à la première clinique de désintox. Alors quoi? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes et il est mort paisiblement dans son sommeil comme l'affirmait son père dans un communiqué?
Non évidemment. Depuis sa mort, des rumeurs ont commencé à filtrer, toutes pointant vers un mal de vivre, des tourments intérieurs, une vie privée en lambeaux et des peurs amplifiées par la pression du succès qu'il fuyait dans les paradis artificiels de l'alcool et de l'héroïne.
Peut-être ces rumeurs ne sont-elles que les fabulations d'une presse en mal de sensations. Chose certaine, on ne meurt pas à 28 ans dans un chic loft de SoHo de façon purement accidentelle. On ne voulait peut-être pas mourir, on ne l'avait peut-être pas planifié, mais si on finit par trouver la mort, c'est qu'on la cherchait. Une force nous poussait obstinément vers elle.
Pour tout dire, la mort de Heath Ledger n'a rien de mystérieux. Ce qui l'a tué, dans le fond, ce ne sont pas tant les médicaments, la drogue, l'anxiété, l'insomnie et l'épuisement. Le vrai tueur, c'est la machine qui l'a mené à ce cocktail: la machine qui produit du rêve à la chaîne, mais surtout celle qui fait vendre ce rêve, qu'il l'amplifie, qui le démultiplie, qui le «défuntifise».
La machine qui brouille les frontières entre le rêve et la réalité, entre le public et le privé et qui force les acteurs d'aujourd'hui à jouer 24 heures sur 24, sous le regard de caméras qui n'ont rien à voir avec le cinéma et tout avec la surveillance.
Cette machine-là se déploie aujourd'hui dans toute sa formidable horreur sur le Net, où même pas une heure après que Heath Ledger eut été trouvé sans vie par sa femme de ménage, sa mort était annoncée en exclusivité sur TMZ, le site des vautours et des fossoyeurs de stars.
Depuis mardi soir 18 h 30, sur le même site mais aussi sur tous les autres, on peut voir ad nauseam le vidéo du corps de Ledger, triste paquet enveloppé dans un sac noir qui sort sur une civière au son assourdissant des flashs qui crépitent, alors que la meute médiatique se bouscule et se pousse en criant «Body, Body, Body.» «Combien tu crois qu'on peut faire de fric avec ça?» demande un photographe à son voisin.
Et quand ce n'est pas la vidéo de son cadavre, c'est celui des entrevues perdues et subitement retrouvées où Ledger apparaît confus, agité, où il se trémousse sur sa chaise et se gratte les bras comme un junkie. Cette machine-là, que Ledger avait plus ou moins réussi à contrôler de son vivant, est déchaînée maintenant qu'il est mort.
Dans une entrevue réalisée pendant le tournage de The Patriot, il y a près de 10 ans, Mel Gibson se disait épaté par la force de caractère de son jeune camarade de jeu. «Il a vraiment les pieds sur terre et une maturité que je n'avais jamais à son âge. Je ne suis vraiment pas inquiet pour lui», disait-il.
Mel s'est trompé. Heath Ledger avait peut-être une grande force de caractère, mais elle cachait une extrême vulnérabilité. Son drame, c'est de s'être aventuré dans la machine à fabriquer des stars sans savoir que c'était aussi une machine à broyer la sensibilité.
Pour une des rares fois que je suis en accord avec Petrowski.
La rousse est douce.
Myrica a écrit
moi non plus... le choc est passé...
la campagne de promotion du dernier Batman , je sais pas comment ils vont organisé ça...mais ça va être bizzard et y'aura un grand trou....
Imagine! Aujourd'hui a la télévision, y'ont décidé de passer un film avec lui dedans. J'ai pas été capable de le regarder.. ça faisait bizarre
moi non plus... le choc est passé...
la campagne de promotion du dernier Batman , je sais pas comment ils vont organisé ça...mais ça va être bizzard et y'aura un grand trou....
Imagine! Aujourd'hui a la télévision, y'ont décidé de passer un film avec lui dedans. J'ai pas été capable de le regarder.. ça faisait bizarre
Melsy4 a écrit
Imagine! Aujourd'hui a la télévision, y'ont décidé de passer un film avec lui dedans. J'ai pas été capable de le regarder.. ça faisait bizarre
Ben voyons!!
J'ai pas regardé la télé aujourdhui, mais j'ai écouter 10 chose que je déteste de toi...et je suis venu toute mal quand , vers la fin du film , ils se chicane avec Julia Stiles ( je me souviens pu du nom de son perso.)..
Bref..j'arrive pas à le croire...
Imagine! Aujourd'hui a la télévision, y'ont décidé de passer un film avec lui dedans. J'ai pas été capable de le regarder.. ça faisait bizarre
Ben voyons!!
J'ai pas regardé la télé aujourdhui, mais j'ai écouter 10 chose que je déteste de toi...et je suis venu toute mal quand , vers la fin du film , ils se chicane avec Julia Stiles ( je me souviens pu du nom de son perso.)..
Bref..j'arrive pas à le croire...
Melsy4 a écrit
Imagine! Aujourd'hui a la télévision, y'ont décidé de passer un film avec lui dedans. J'ai pas été capable de le regarder.. ça faisait bizarre
C'est TQS qui a voulu lui rendre hommage... Mais c'est vrai
que ca fait bizarre.
Ils auraient du attendre un peu avant de passer ses films...
Imagine! Aujourd'hui a la télévision, y'ont décidé de passer un film avec lui dedans. J'ai pas été capable de le regarder.. ça faisait bizarre
C'est TQS qui a voulu lui rendre hommage... Mais c'est vrai
que ca fait bizarre.
Ils auraient du attendre un peu avant de passer ses films...
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
Heath Ledger Died of Natural Causes?
Sources connected with the Heath Ledger investigation tell TMZ it’s possible the actor died of natural causes.
It’s now appearing that the level of toxicity (from medication) in Ledger’s system was low enough that it may not have caused his death. These sources say Heath’s heart stopped. It could have been a heart attack but it’s not certain, at least not yet. Although it’s bizarre that a 28-year-old could die of natural causes, it happens.
Authorities do not believe the housekeeper heard Ledger snoring when she walked in his bedroom at around 1:00 PM. Sources tell, a fireman observed rigor mortis in Ledger’s jaw shortly after arriving on scene at around 3:30PM. Sources say they now believe Ledger was dead for around three hours prior to their arrival, so they don’t believe the masseuse could have heard snoring.
Authorities are also annoyed at news reports that there may have been a sinister plot to remove illegal drugs from Ledger’s apartment before cops and firemen arrived. There are reports out there that the masseuse called Mary Kate Olsen and a plot was hatched to have her bodyguard remove certain drugs. Authorities tell us that’s impossible, because the cops were there the entire time the bodyguard was present and there would have been no opportunity to carry out such a plan. They say it’s a made up story.
Sources connected with the Heath Ledger investigation tell TMZ it’s possible the actor died of natural causes.
It’s now appearing that the level of toxicity (from medication) in Ledger’s system was low enough that it may not have caused his death. These sources say Heath’s heart stopped. It could have been a heart attack but it’s not certain, at least not yet. Although it’s bizarre that a 28-year-old could die of natural causes, it happens.
Authorities do not believe the housekeeper heard Ledger snoring when she walked in his bedroom at around 1:00 PM. Sources tell, a fireman observed rigor mortis in Ledger’s jaw shortly after arriving on scene at around 3:30PM. Sources say they now believe Ledger was dead for around three hours prior to their arrival, so they don’t believe the masseuse could have heard snoring.
Authorities are also annoyed at news reports that there may have been a sinister plot to remove illegal drugs from Ledger’s apartment before cops and firemen arrived. There are reports out there that the masseuse called Mary Kate Olsen and a plot was hatched to have her bodyguard remove certain drugs. Authorities tell us that’s impossible, because the cops were there the entire time the bodyguard was present and there would have been no opportunity to carry out such a plan. They say it’s a made up story.