Capuchino a écrit : [...]
C'est vrai que TVA cherche toujours à avoir du crousti à se mettre sous la dent. Là y'a l'air plus épais qu'autre chose.
Tsé faut le dire.. y'a l'air cave en crime là..... quand même


Placeress a écrit : [...]
Tsé faut le dire.. y'a l'air cave en crime là..... quand même![]()
Danie a écrit : Une donnée supplémentaire pour l'analyse de la situation.
Il y a environ 30 000 étudiants étrangers au Québec et ceux-ci sont membre des associations étudiantes.
Ils ont donc le droit de vote aux assemblées.
Lundi. il y aura une réunion des étudiants étrangers.
Dans leurs revendications, L'ASSÉ et la CLASSE demandent également la gratuité scolaire pour les étudiants étrangers.
J'aimerais connaître l'impact du vote des étudiants étrangers lorsque les étudiants vont en assemblée générale .
Danie a écrit : Je ne vois pas pourquoi de toute façon le travailleur de la classe moyenne ici devrait payer les études des étudiants étrangers.
Déjà, prévoir pour ses propres enfants ça peut être un défi pour certains.
Effectivement les étudiants étrangers paient le cout réel d'une année d'université. Mais notre grand économiste GND veut couper dans les publicités et les voyages des dirigeants a l'étranger qui vont présenter nos programmes et nos recherches pour attirer ces étudiants....Danie a écrit : [...]
30 000 étudiants à un coût moyen de 27 000$/an/étudiant ça fait presque un milliard par année.
Quand j'écrivais "30 000 étudiants à un coût moyen de 27 000$/an/étudiant ça fait presque un milliard par année",lucide a écrit : [...]
Effectivement les étudiants étrangers paient le cout réel d'une année d'université. Mais notre grand économiste GND veut couper dans les publicités et les voyages des dirigeants a l'étranger qui vont présenter nos programmes et nos recherches pour attirer ces étudiants....
lucide a écrit : Voila la démocratie version association étudiante:
Ici la semaine passée le vote de grève des étudiants n'a pas reconduit la grève, c'était la rentrée scolaire hier....
Et aujourd'hui.... referendum..... ça l'air qu'un vote majoritaire contre la grève est moins clair qu'un vote de grève pour la grève.
Et évidemment que l'on choisit le vendredi, ou beaucoup d'élèves n'ont pas de cours et en profite pour travailler...
Réunis en Assemblée générale mercredi le 9 mai, les membres de l'AGECSJR ont décidé, compte tenu du contexte qui est constamment en évolution, de consulter les étudiantes et étudiants du Cégep par voie référendaire, vendredi le 11 mai, pour savoir ci ceux et celles-ci souhaitent réellement retourner en classe, ou s'ils/elles souhaitent plutôt continuer la grève contre la hausse des frais de scolarité.
Venez voter vendredi le 11 mai, toute la journée, au local de la mobilisation étudiante (près de la cafétéria, le même qu'au premier référendum) , et faites valoir votre voix!
OÙ: Local de la mobilisation étudiante, près de la cafétéria
QUAND: Vendredi le 11 mai, de 9h à 16h
POURQUOI? (Re) déclencher une grève contre la hausse des frais de scolarité
« Le temps ne respecte pas ce qui est fait sans lui », me disait il y a plus de cinquante ans un vieillard sur son lit de mort. Cette leçon de vie m’a toujours guidé depuis. Le temps que l’on prend pour tenir compte les uns des autres n’est jamais perdu et se nomme sagesse. Et cela s’applique ici. Permettons aux étudiants de reprendre leurs cours, non avec le sentiment qu’ils ont de se faire rouler dans la farine (propos tenus par divers commentateurs) ou se faire « passer un sapin rouge », mais en étant convaincus que le processus à venir sera ouvert, juste et équitable pour tous. Que tous les politiciens fassent acte d’humilité en reconnaissant qu’ils n’ont pas en main maintenant une solution féconde et acceptable à court terme, autre que de décréter sans condition un temps d’arrêt.
Chacun doit être rassuré qu’il ne sera pas un perdant. Pour cela, il nous semble qu’une seule voie reste ouverte, soit que notre premier ministre agisse en véritable rassembleur et chef d’État en décrétant une trêve, la suspension temporaire de la hausse des droits de scolarité et la mise en place d’un forum dédié à l’avenir et au financement des collèges et universités québécoises. Une telle solution devient, au-delà du rêve, révélateur de maturité individuelle et collective.
S'ils ont pris la peine de signer l'entente après l'avoir négociée pendant plus de 22 heures, il me semble que tu peux exprimer ton avis sur la question. Se cacher sous le couvert de la démocratie peut exprimer aussi la fragilité des membres qui ont à se prononcer sur la dite entente. Je ne vois nullement dans ce geste une plus grande protection de la démocratie.plt a écrit : [...]
Simple précision, ce n'était pas par une incapacité de leur part qu'ils n'ont rien recommandé aux membres, mais bien parce que c'était une volonté. Ils ne voulaient pas se prononcer, car ils ont jugé que c'était aux étudiants eux-mêmes à se prononcer en AG et ce dans une perspective des plus démocratiques.
Avec tous les avis qu'ils recevaient et toutes les consultations possibles à leur disposition, s'ils se sont faits flouer ils dormaient au gaz rare. Ça ne prenait pas une capacité de compréhension très élevée pour se rendre compte que dans l'entente le fardeau de la preuve reposait sur eux et de plus qu'ils venaient de laisser de côté le gel des frais de scolarité.bouquet a écrit : [...]
ce serait pas les premiers jeunes à se faire fourrer devant de beaux parleurs, habituellement tu t'en rends compte juste après.
exact, mais ceux qui les conseillait ont pour la plupart tout à gagner par la continuation de la crise. Les conseillers savaient très bien que cette entente avait de grosses chances d'être rejetée et bingo le bordel continue, et le parti libéral en a jusqu'aux oreilles, et la population trouve que Jean Charest n'a pas ce qu'il faut pour diriger le Québec et Pauline la dame de béton est élue aux prochaines élections. Et les conseillers/groupes de pression/syndicats sont heureux de l'arrivée d'une social démocrate au gouvernement. Et vive les déficits.Beppo a écrit : [...]
Avec tous les avis qu'ils recevaient et toutes les consultations possibles à leur disposition, s'ils se sont faits flouer ils dormaient au gaz rare. Ça ne prenait pas une capacité de compréhension très élevée pour se rendre compte que dans l'entente le fardeau de la preuve reposait sur eux et de plus qu'ils venaient de laisser de côté le gel des frais de scolarité.
Les leaders étudiants n'ont ni le pouvoir ni le mandat de prendre cette décision sans consulter les étudiants. D'ailleurs, le texte de l'entente est très clair à ce sujet.Beppo a écrit : [...]
S'ils ont pris la peine de signer l'entente après l'avoir négociée pendant plus de 22 heures, il me semble que tu peux exprimer ton avis sur la question. Se cacher sous le couvert de la démocratie peut exprimer aussi la fragilité des membres qui ont à se prononcer sur la dite entente. Je ne vois nullement dans ce geste une plus grande protection de la démocratie.
7. Autres dispositions
Les représentants des fédérations, table de concertation et associations étudiantes
s’engagent à référer l’entente de principe pour qu’elle soit soumise à la consultation parleurs membres. Si elle était adoptée, cela constituerait un cadre de sortie de crise et favoriserait le retour en classe.