Dire qu'elle fait sa campagne électorale sur le PQ = parti rassembleur.lucide a écrit : Aujourd'hui encore on dit ... et on dedit..
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Dire qu'elle fait sa campagne électorale sur le PQ = parti rassembleur.lucide a écrit : Aujourd'hui encore on dit ... et on dedit..
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Comment on appelle ça quelqu'un qui ne dit pas la vérité?lucide a écrit : Aujourd'hui encore on dit ... et on dedit.. Il d oit avoir quelques candidats qui ont hate que le vote est lieu... et qu'elle cesse d'etre interrogée par les journalistes.
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Et plus encore: elle relèvera les impôts de 1 milliard.Nous n'augmenterons pas le fardeau fiscal, et je crois que pour les conservateurs, c'est une préoccupation». Notons que le programme du PQ prévoit une hausse des impôts pour ceux qui gagnent plus de 130 000$ par année.
Les riches? Les moins riches s'en balancent pas mal! Qu'ils payent encore plus, n'est-ce pas?Cette mesure sera financée en augmentant de quatre points de pourcentage l'impôt des particuliers qui gagnent plus de 130 000 $ par année et de sept points de pourcentage pour ceux qui gagnent plus de 250 000 $.
Ainsi, à terme, dans cinq ans, les contribuables qui gagnent plus de 130 000 $ vont envoyer 610 millions $ de plus dans les coffres de l'État.
L'autre tranche de 395 millions $ sera assumée par des changements aux déductions fiscales pour les gains capital et une réduction de moitié des crédits d'impôt pour dividendes.
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La question est bonne. J'ai trouvé ce texte pour le gouvernement fédéral. Il est possible que la même chose s'applique au Québec.lolilou a écrit : J'ai une question qui me trotte dans la tête depuis plusieurs jours.
Qu'est-ce qui arrivera si 2 partis obtiennent le même nombre de députés élus?C'est possible non? Avec 3 partis en lice.
http://www.parl.gc.ca/Content/LOP/Resea ... tm#former4" onclick="window.open(this.href);return false;4. Que se passe t il lorsque deux partis obtiennent un nombre égal de sièges à la Chambre des communes?
Si deux partis obtiennent un nombre égal de sièges après une élection, le premier ministre doit prendre une décision. Il pourrait essayer d’obtenir l’appui des autres partis – soit officiellement ou officieusement (un gouvernement de coalition ou une entente; voir la prochaine question). Si cela s’avérait impossible, il pourrait toujours tenter de former un gouvernement et d’obtenir l’appui de la Chambre. Il semble qu’un premier ministre en poste ait le droit d’essayer de former un gouvernement en premier. S’il était clair qu’aucun autre parti n’était prêt à appuyer le premier ministre, le gouverneur général serait confronté à une question constitutionnelle délicate, mais il laisserait probablement le premier ministre tenter de former un gouvernement.
S’il essayait de former un gouvernement, le premier ministre devrait faire assermenter de nouveaux ministres. Il demanderait alors au gouverneur général de rappeler le Parlement et présenterait un discours du Trône, qui serait suivi inévitablement d’un vote de confiance.
S’il était défait lors de ce vote, le premier ministre devrait remettre sa démission au gouverneur général. Il pourrait conseiller à celui-ci la dissolution et la tenue d’une élection générale, ou recommander que le chef de l’autre parti soit appelé à former un gouvernement. (La première éventualité soulèverait bon nombre des mêmes questions que la controverse King-Byng; voir la question 9 sous la rubrique « Le gouverneur général ».) Le gouverneur général devrait tenir compte de nombreux facteurs : le nombre de sièges des deux partis (et des autres partis), le fait qu’il y a eu des offres officielles ou officieuses d’appui à l’autre parti, etc. Si une telle situation se produisait peu de temps après une élection et que l’autre parti avait une chance raisonnable de former un gouvernement et d’obtenir la confiance de la Chambre, il est probable que le gouverneur général inviterait le chef de ce parti à former le gouvernement.
Bien là, on a 2 options: ou bedon on nomme lolilou présidente de la chambre et elle tranchera, ou bedon on fait un RIP.tuberale a écrit : Ouin mais qui serait premier ministre si l'égalité disons entre la CAQ et le PQ bat par le nombre celui des libéraux?.....il semble logique de penser que le pourcentage reçu pourrait à ce moment-là décider entre Pauline ou Legault qui serait premier ministre mais on reste pris avec un nombre égal de député pareil.....
En gros c'est que le rendement du Fonds est de 2.2% par année, tandis que les intérêts de la dette sont à 4%. Bref tant qu'à mettre un peu d'argent de côté chaque année pour faire un gros versement en 2025, le PQ se dit que ça serait mieux de rembourser chaque année pour ainsi ralentir la croissance du taux de l'intérêt. Il y a aussi que c'est plus sécuritaire, car parfois le Fonds peut terminer l'année avec un déficit comme en 2008. Je ne suis pas expert sur la question, mais c'est en gros l'argument du PQ.Placeress a écrit : [...]
Je cite ce post même si c'est pas le bon parce que je suis trop paresseuse pour remonter![]()
Personnellement j'avoue aussi que je ne comprend pas le point de vu de toucher au fond des générations, c'est un des rares truc avec lequel j'ai été en accord avec le choix du PLQ. Raven ne répondra pas tout de suite mais j'aimerais si tu peux que tu expliques quel est selon toi le but derrière ça, la philosophie derrière cet objectif, car pour l'instant, je comprend pas trop l'affaire.
Je trouve ça un peu gros comme explication de la part du PQ.Raven a écrit : [...]
En gros c'est que le rendement du Fonds est de 2.2% par année, tandis que les intérêts de la dette sont à 4%. Bref tant qu'à mettre un peu d'argent de côté chaque année pour faire un gros versement en 2025, le PQ se dit que ça serait mieux de rembourser chaque année pour ainsi ralentir la croissance du taux de l'intérêt. Il y a aussi que c'est plus sécuritaire, car parfois le Fonds peut terminer l'année avec un déficit comme en 2008. Je ne suis pas expert sur la question, mais c'est en gros l'argument du PQ.
Au diable la richesse!
Le Parti québécois a pour ambition de faire du Québec province un Québec pays. Compte tenu des énormes défis que cela suppose pour une province endettée et abonnée chronique à la péréquation, on s'attendrait à ce que ce parti offre aux Québécois une stratégie solide en matière de développement économique.
Or, c'est au contraire exact d'une telle stratégie que l'on a droit en 2012. Derrière les habituels et prévisibles slogans d'affirmation nationale, on sent plus que jamais dans la plateforme du PQ l'expression d'un immense «au diable la richesse!». La richesse? En avons-nous seulement besoin?
Pour commencer, ces créateurs de richesse qu'une certaine croyance populaire aime imaginer «riches» de droit divin, le Parti québécois a l'intention de les taxer davantage. Pourtant, le Québec les taxe déjà plus que dans le reste du pays où ils sont proportionnellement plus nombreux. Peu importe. Deux nouveaux paliers d'imposition à taux plus élevés seront créés, et les dividendes ainsi que les gains en capitaux seront eux aussi taxés davantage.
Le résultat est prévisible. Les gens qui prennent des risques en lançant leur propre entreprise y penseront à deux fois avant de le faire, ou alors le feront ailleurs qu'au Québec. Ceux qui trouvent qu'ils travaillent déjà trop en échange de leur revenu de «riche» se paieront le «luxe» d'un peu plus de loisirs non taxable. La tarte à partager sera forcément plus petite, au détriment de l'ensemble des Québécois.
Le pire, c'est que cette volonté de taxer davantage les «riches» ne repose sur aucun diagnostic d'un problème de distribution des revenus au Québec. Au contraire, depuis 1976, il n'y a eu aucune croissance des inégalités de revenus après impôts et transferts. Le Parti québécois veut donc prendre le risque d'un rétrécissement de la tarte collective des revenus pour combattre un mal imaginaire. Qu'importe la réalité, c'est le symbole Occupy Wall Street qui compte. Au diable la richesse!
Les choses ne vont guère mieux en matière de redevances minières. Le PQ fonde beaucoup d'espoir sur un nouveau régime de redevances qu'il veut aussi gourmand, sinon plus gourmand, que celui de l'Australie. Or, le Québec n'est pas l'Australie. Les métaux y coûtent beaucoup plus cher à extraire et il faut souvent procéder à leur concentration. Ils coûtent aussi beaucoup plus cher à transporter vers la Chine. Le prix net de transport du fer exporté vers la Chine depuis le port de Sept-Îles a chuté de près de 45% depuis un an et rien ne laisse actuellement présager une remontée. Les prix actuels sont dangereusement proches des coûts marginaux, lesquels sont incommensurablement plus élevés qu'en Australie.
Ce n'est donc nullement exagéré que de dire que la politique de redevances préconisée par le PQ pourrait provoquer une forte diminution de l'investissement minier et coûter beaucoup d'emplois dans des régions comme la Côte-Nord et l'Abitibi. On peut toujours hausser le taux des redevances, mais si en définitive on extrait moins de minerai, les revenus chuteront au lieu d'augmenter. Qu'importent les faits, c'est le symbole nationaliste qui compte. Au diable la richesse!
Devant une attitude aussi cavalière vis-à-vis de la richesse, on ne sera pas surpris de voir le PQ préconiser des mesures coûteuses comme le gel des frais de garde ou celui des droits de scolarité universitaires. La perle des mesures coûteuses reste toutefois l'intention de rapatrier la caisse d'assurance emploi alors que nous en retirons actuellement de 600 à 800 millions de dollars de plus que nous y cotisons chaque année. Mais qu'importent les chiffres, c'est le geste de gouvernance souverainiste qui compte.
Pour le PQ en 2012, que vivent les symboles et au diable la richesse!
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Les francophones de l'Ouest du Québec feraient de même.The poll suggests the nightmare scenario for the Liberals where even non-francophone support – traditional bedrock for the Liberals – starts to slip.
The Léger Marketing poll done for the QMI agency pegged support for the Parti Quebecois at 33 per cent, support for Legault’s Coalition Avenir Québec at 28 per cent and support for the Liberals at 27 per cent.
Liberal support among francophones is down to 18 per cent (the PQ has 38) while the non-francophone support for the party plunged from 81 per cent at the start of the campaign to 62 per cent. Some of those voters have gone to the CAQ.
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Mécontentement
Les citoyens de l'Outaouais déplorent devoir aller se faire soigner dans les hôpitaux d'Ottawa, où les délais d'attente sont beaucoup plus courts. Un mois d'attente pour une résonnance magnétique à une épaule contre six mois dans un hôpital de Gatineau, a signalé un homme dans la cinquantaine.
La Régie d'assurance maladie du Québec a dû verser plus de 100 millions de dollars l'an dernier au ministère de la Santé de l'Ontario pour couvrir les frais des soins prodigués à des citoyens de l'Outaouais. «Il y a aussi des familles de l'Ontario qui viennent s'établir ici parce que les maisons et l'électricité coûte moins cher, il y a les services de garde, les allocations familiales. Une jeunes famille de l'Ontario qui vient vivre ici paie moins d'impôt», a fait remarquer Jean Charest ce matin.
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Appui de taille pour Françoise David: une imposante brochette d'artistes de tout acabit appelle les électeurs de la circonscription de Gouin à envoyer la co-porte-parole de Québec Solidaire au Salon Bleu le 4 septembre.
Comédiens, chanteurs, auteurs et réalisateurs s'étaient réunis à la librairie indépendante Raffin, sur la Plaza Saint-Hubert, où la politicienne dévoilait dimanche matin ses engagements en terme de culture.
Un à un, Geneviève Rochette, Olivier Choinière, Louise Turcot, Émile Proulx-Cloutier et sa conjointe Anais Barbeau-Lavalette, Catherine De Léan, Thomas Hellman, Bïa et Brigitte Haentjens se sont succédé au micro afin d'expliquer pourquoi, eux, voteront Québec Solidaire aux prochaines élections.
Leur message aux citoyens: laissez tomber le votre stratégique et élisez Françoise David. Cette dernière espère que l'aide des artistes, alliés à son succès au débat, lui permettra de gagner. «Plus on a des appuis, plus ça frappe l'imaginaire», dit-elle.
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Françoise David galvanise ses troupes à Québec
La co-porte-parole de Québec solidaire fait campagne à Québec vendredi. Depuis sa performance au débat des chefs, Françoise David a espoir de faire élire une demi-douzaine de députés, dont Serge Roy, dans la circonscription de Taschereau.
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Raven a écrit : [...]
En gros c'est que le rendement du Fonds est de 2.2% par année, tandis que les intérêts de la dette sont à 4%. Bref tant qu'à mettre un peu d'argent de côté chaque année pour faire un gros versement en 2025, le PQ se dit que ça serait mieux de rembourser chaque année pour ainsi ralentir la croissance du taux de l'intérêt. Il y a aussi que c'est plus sécuritaire, car parfois le Fonds peut terminer l'année avec un déficit comme en 2008. Je ne suis pas expert sur la question, mais c'est en gros l'argument du PQ.