Re: Éducation scolaire
Publié : lun. juin 20, 2011 7:51 pm
				
				S’inspirer des immigrants pour diminuer le décrochage scolaire?
Le Lundi 20 juin 2011 | Mise en ligne à 11h06 |Commentaires (17)
François Cardinal
Au Québec, les résultats scolaires des élèves immigrants sont comparables à ceux des autres élèves, «de souche», francophones.
Voilà qui fait réfléchir en lisant le fascinant dossier, le premier texte est ici
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... cueil_POS4" onclick="window.open(this.href);return false;
le second ici
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... ticle_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
publié par la collègue Pascale Breton. Elle y compare les notes obtenues par les enfants de familles allophones et celles des enfants francophones, pour constater que l’écart est minime, voire inexistant à la longue.
Comment expliquer une telle chose? Comment expliquer que des élèves qui n’ont pas nécessairement d’aide parentale lorsqu’ils travaillent à la maison, qui doivent apprendre à maîtriser le français en plus d’avoir à faire leurs devoirs réussissent tout aussi bien que les autres élèves?
En un mot : la valorisation de l’éducation, à la maison.
C’est devenu un cliché à force de le répéter, une formule creuse qui ne veut pas toujours dire grand-chose. Mais il suffit de lire les textes publiés ce matin pour y donner du sens. Les élèves dont les parents sont présents, qui s’intéressent au quotidien à leurs devoirs, qui échangent régulièrement avec les profs, qui répètent l’importance de l’école et de l’effort sont plus susceptibles de rester à l’école. Point.
Marie McAndrew, prof à l’Université de Montréal, le résume bien. La réussite scolaire – et donc la persévérance scolaire – est plus grande «si l’éducation est importante au sein de la famille, si les parents sont éduqués ou ont immigré pour que leurs enfants aient la chance de l’être».
On s’est beaucoup attardé au rôle des enseignants, au cours des dernières années, leur en ajoutant toujours plus sur les épaules. Peut-être serait-il temps qu’on en fasse autant avec les parents?
Vous en pensez quoi? La réduction du décrochage passe-t-elle d’abord et avant tout par les parents? Comment convaincre ces derniers d’être plus présents et attentifs à la réussite de leurs enfants? Comment le faire sans culpabiliser? Y a-t-il des leçons à tirer de l’importance accordée à l’éducation par certaines communautés immigrantes?
http://blogues.cyberpresse.ca/edito/201 ... ECRAN1POS7" onclick="window.open(this.href);return false;
			Le Lundi 20 juin 2011 | Mise en ligne à 11h06 |Commentaires (17)
François Cardinal
Au Québec, les résultats scolaires des élèves immigrants sont comparables à ceux des autres élèves, «de souche», francophones.
Voilà qui fait réfléchir en lisant le fascinant dossier, le premier texte est ici
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... cueil_POS4" onclick="window.open(this.href);return false;
le second ici
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... ticle_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
publié par la collègue Pascale Breton. Elle y compare les notes obtenues par les enfants de familles allophones et celles des enfants francophones, pour constater que l’écart est minime, voire inexistant à la longue.
Comment expliquer une telle chose? Comment expliquer que des élèves qui n’ont pas nécessairement d’aide parentale lorsqu’ils travaillent à la maison, qui doivent apprendre à maîtriser le français en plus d’avoir à faire leurs devoirs réussissent tout aussi bien que les autres élèves?
En un mot : la valorisation de l’éducation, à la maison.
C’est devenu un cliché à force de le répéter, une formule creuse qui ne veut pas toujours dire grand-chose. Mais il suffit de lire les textes publiés ce matin pour y donner du sens. Les élèves dont les parents sont présents, qui s’intéressent au quotidien à leurs devoirs, qui échangent régulièrement avec les profs, qui répètent l’importance de l’école et de l’effort sont plus susceptibles de rester à l’école. Point.
Marie McAndrew, prof à l’Université de Montréal, le résume bien. La réussite scolaire – et donc la persévérance scolaire – est plus grande «si l’éducation est importante au sein de la famille, si les parents sont éduqués ou ont immigré pour que leurs enfants aient la chance de l’être».
On s’est beaucoup attardé au rôle des enseignants, au cours des dernières années, leur en ajoutant toujours plus sur les épaules. Peut-être serait-il temps qu’on en fasse autant avec les parents?
Vous en pensez quoi? La réduction du décrochage passe-t-elle d’abord et avant tout par les parents? Comment convaincre ces derniers d’être plus présents et attentifs à la réussite de leurs enfants? Comment le faire sans culpabiliser? Y a-t-il des leçons à tirer de l’importance accordée à l’éducation par certaines communautés immigrantes?
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   Je crois que peu d'étudiants n'ont pas aimé ce classique, un pur bonheur pour les yeux. Il est donc parfaitement possible de trouver des classiques intéressants et permettant une bonne discussion intellectuelle.
 Je crois que peu d'étudiants n'ont pas aimé ce classique, un pur bonheur pour les yeux. Il est donc parfaitement possible de trouver des classiques intéressants et permettant une bonne discussion intellectuelle.  ou Maria Chapdelaine
 ou Maria Chapdelaine   La troisième fois, je l'ai trouvé moins pire, c'est déjà ça
 La troisième fois, je l'ai trouvé moins pire, c'est déjà ça 
 C'est d'ailleurs un livre que j'ai eu à lire au Cégep
 C'est d'ailleurs un livre que j'ai eu à lire au Cégep 


 
  
  
  
