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Publié : mar. mai 23, 2006 7:34 am
par tuberale
Un homme de grand talent....son porte-folio est très impressionnant.....grosse perte
http://www.sagamie.org/artistes/jeanlaf ... forge.html
Publié : mar. mai 23, 2006 7:41 am
par bobépine
tuberale a écritUn homme de grand talent....son porte-folio est très impressionnant.....grosse perte
http://www.sagamie.org/artistes/jeanlaf ... forge.html
Oui Après Arthur Villeneuve..c'est le peintre régional le plus connu hors-région (dans le monde de la peinture)
Je l'ai rencontré 1 fois
Un de ses fils est le mari d'une amie..ils ont quelques toiles de lui chez eux
Publié : mar. mai 23, 2006 8:59 am
par tuberale
il a de superbes tableaux.......sa cote va monter ...bête et triste à dire mais c,est ce qui arrive à la mort des peintres....
ses titres de tableaux aussi rajoute beaucoup je trouve....il peignait les mots aussi....
Publié : mar. mai 23, 2006 10:21 am
par bobépine
J'ignore ce qui va arriver avec ses oeuvres (qu'il avait chez lui)...
Ses toiles inachevé vont être détruite..à sa demande.
Publié : mar. mai 23, 2006 3:34 pm
par Sabi
Je n'aime pas employer le terme « fait divers » pour ce genre d'événement mais enfin... je me sens concernée plus qu'à l'habitude... c'est épeurant ce qui se passe dans notre coin dernièrement... une telle concentration de meutres-suicides...
LCN - FAITS DIVERS
Gatineau
Trois corps retrouvés dans une résidence
Les corps de trois personnes ont été retrouvés dans une résidence de Gatineau.
À son retour de l'école, un garçon d'une douzaine d'années n'a pu entrer dans la maison et a vu du sang par la fenêtre.
Il s'est alors réfugié chez une voisine, qui a contacté les policiers.
Les agents de Gatineau ont retrouvé les corps d'un homme pendu, d'une femme ligotée et d'une autre qui gisait face contre terre dans la résidence de la rue Davidson.
On ne connaît pas encore les liens entre ces personnes. --Message edité par SABI le 2006-05-23 21:35:35--
Publié : mer. mai 24, 2006 2:36 am
par girlblue
Il ont dit aux nouvelles tantot qu'il s'agirait d'un homme, sa femme et sa belle-mère. Mais j'ai cru comprendre que seule le conjoint saurait enlever la vie aussi qu'il aurait eu plusieurs marques de violence sur les autres victimes. Qu'ils étaient en séparation depuis une dizaine de jours et que l'homme n'acceptait pas la séparation.
Publié : mer. mai 24, 2006 3:05 am
par tuberale
girlblue a écritIl ont dit aux nouvelles tantot qu'il s'agirait d'un homme, sa femme et sa belle-mère. Mais j'ai cru comprendre que seule le conjoint saurait enlever la vie aussi qu'il aurait eu plusieurs marques de violence sur les autres victimes. Qu'ils étaient en séparation depuis une dizaine de jours et que l'homme n'acceptait pas la séparation.
toujours le même scénario.......un homme qui n,accepte pas la séparation....combien de morts de femmes par année.....20-30-40 si on additionne les enfants?........
Publié : mer. mai 24, 2006 3:21 am
par girlblue
Malheureusement dans le journal Le Droit, il confirme 3 victimes,la femme,la belle-mère,et l'homme en question. Le couple avait trois enfants qui n'était pas à la maison lors du drame. Les enfants seront orphelins et on qu'un oncle car le reste de la famille sont au Liban.
Publié : mer. mai 24, 2006 7:02 pm
par tuberale
Drame familial à Gatineau
La thèse du double meurtre suivi d'un suicide est évaluée
Tout laisse croire que le drame familial survenu mardi après-midi à Gatineau et qui a coûté la vie à trois personnes serait bel et bien un double meurtre suivi d'un suicide.
La police ne veut toutefois rien confirmer pour l'instant et attend les résultats de l'autopsie qui sera pratiquée jeudi.
Abdulmasser Chamouri, qui était séparé de sa femme depuis un mois, aurait pénétré à l'intérieur de la résidence où s'est déroulé le drame.
Il aurait barré toute les portes avant de battre les deux femmes à mort. Il s'est ensuite pendu avec une corde dans le salon.
Le fils de la victime, qui découvert des traces de sang à l'extérieur de la résidence, a alerté les autorités.
Les victimes sont Nassima Sarousim, 52 ans, et sa mère de 83 ans, Asife Saroussim.
Il s’agit du deuxième drame familial en quelques semaines à Gatineau.
En vidéo 1, écoutez l'entrevue avec Jean-Pierre Lemay, de la police de Gatineau.
En vidéo 2, écoutez les explications de Justine Lefebvre.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 65401.html
Publié : jeu. mai 25, 2006 4:59 pm
par tuberale
Trois vols à l'étalage
Chantal Pary écope d'une amende de 600$
La chanteuse Chantal Pary, reconnue coupable de trois vols à l'étalage, a été condamnée à 600$ d'amende, jeudi matin, au palais de justice de Laval.
Chantal Pary, de son vrai nom Lucie Bernier, devra aussi se soumettre à une année de probation au cours de laquelle elle ne pourra plus fréquenter les magasins Sears, La Baie et Simmons du Carrefour Laval où elle a commis les vols.
La chanteuse de 55 ans avait volé, en février dernier, une camisole de 49$ au magasin Simons.
Lors du prononcé de la sentence, le juge a été très cinglant à son endroit, car Chantal Pary a toujours nié les vols et prétendait avoir commis ses méfaits pour dénoncer la convergence dans les médias.
À la sortie de la cour, la chanteuse semblait ébranlée et a laissé la parole à son avocat.
En vidéo, écoutez les explications de Joël Goulet
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 13521.html
Publié : ven. mai 26, 2006 6:05 am
par Earendil
Le vendredi 26 mai 2006
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Emiko Wong, vétérinaire au Biodôme, et Joëlle Lapalme, chef de la patrouille de conservation du Centre de la montagne, en plein travail. Les ratons laveurs capturés durant la nuit sont transférés de la cage métallique à un filet de nylon muni d'une longue perche. Ils sont ensuite pesés, vaccinés et relâchés sur place.
Photo Ivanoh Demers, La Presse
VACCINATION PRÉVENTIVE
Chasse aux ratons laveurs au mont Royal
Nicolas Bérubé
La Presse
Le raton laveur prisonnier d'une cage dans un bois du mont Royal ne bouge pas beaucoup. Il se couche en boule dans un coin et ne fait rien de particulier. Quand la vétérinaire approche, il tourne la tête et lève les oreilles. Ses yeux masqués lui donnent l'air du voleur qui s'est fait prendre.
Ces jours-ci, les ratons du mont Royal sont activement recherchés: une dizaine de cages dans lesquelles des sardines servent d'appât sont placées chaque soir dans le Piémont de la montagne, l'espace situé en contrebas du belvédère de la voie Camillien-Houde.
Au petit matin, une équipe formée d'une biologiste et d'une vétérinaire visite les cages. Les ratons laveurs capturés durant la nuit sont transférés de la cage métallique à un filet de nylon muni d'une longue perche. Ils sont ensuite pesés, vaccinés et relâchés sur place.
Les ratons sont vaccinés contre la rage et la maladie de Carré (le distemper canin), une maladie transmise par des chiens qui se promènent sans laisse dans le parc. «Nous faisons tout cela à titre préventif, explique Emiko Wong, vétérinaire au Biodôme qui a été mandatée par la Ville pour vacciner les ratons laveurs du mont Royal. Il n'y a eu aucun cas de rage ou de transmission de maladies à l'homme, mais comme le mont Royal est très visité, nous voulons nous assurer que les animaux sont en santé.»
La vétérinaire insère également une puce électronique sous la peau du raton laveur. À l'aide d'un scanner, les biologistes peuvent identifier chaque raton capturé et le lier à son dossier médical, évitant ainsi de vacciner deux fois le même animal. Les dernières statistiques disponibles, qui datent de 2004, indiquent qu'il y a une quarantaine de ratons laveurs sur le mont Royal.
Hier matin, La Presse a fait la tournée des cages avec l'équipe de vaccination. Les trois premiers ratons laveurs capturés durant la nuit étaient munis d'une puce électronique qui a révélé... qu'ils venaient d'être vaccinés durant les jours précédents.
«Ça arrive qu'on rattrape les mêmes ratons laveurs, explique Joëlle Lapalme, chef de la patrouille de conservation du Centre de la montagne. Ils sentent les sardines et se précipitent dans la cage.» Lorsque les mêmes ratons sont capturés jour après jour, l'équipe se déplace sur une autre portion du mont Royal. Les vaccinations ont commencé la semaine dernière et se poursuivront jusqu'au début du mois de juillet.
Différents parcs nature de la Ville de Montréal ont déjà leur plan de vaccination des ratons laveurs. Mais pour le parc du mont Royal, qui reçoit plus de trois millions de visiteurs par année, la tâche est unique et beaucoup plus délicate, explique Mme Wong. «Il faut bien cacher les cages parce que les sentiers sont très fréquentés. Il faut aussi voir à ce qu'il n'y ait pas de joggeurs ou de chiens sans laisse qui arrivent pendant qu'on vaccine, parce que ça stresse l'animal.»
Une telle campagne de vaccination a eu lieu pour une première fois dans le parc du Mont-Royal en 2004. Le vaccin a une durée de vie de deux ans, c'est pourquoi les biologistes sont en train de refaire le travail. À l'époque, c'est le grand nombre de ratons laveurs infectés par la maladie de Carré qui a poussé la Ville à agir, dit Mme Lapalme. «Il y avait des animaux malades qui se déplaçaient près des visiteurs, et ça créait une certaine panique. Il fallait faire quelque chose.»
Et le nombre de ratons laveurs est sans doute en croissance depuis, soutiennent-elles. «On attrape plus de ratons cette année, explique Emiko Wong. On dirait que les vaccins donnés il y a deux ans ont porté fruit et que les ratons sont plus nombreux. C'est signe que le programme fonctionne et qu'on peut avoir des animaux sauvages en santé, même en plein centre-ville.»
Publié : ven. mai 26, 2006 6:06 am
par Earendil
e vendredi 26 mai 2006
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Les lapins qui ont reçu une greffe de pénis ont réussi à féconder des lapines, qui ont eu des bébés en bonne santé.
DYSFONCTION ÉRECTILE
Après le Viagra, voici le pénis artificiel
Mathieu Perreault
La Presse
Des urologues américains ont greffé avec succès un pénis artificiel à un lapin. Cette première pourrait déboucher sur un nouveau traitement des dysfonctions érectiles.
L'équipe de l'Université Wake Forest, en Caroline du Nord, se spécialise depuis plusieurs années dans la création d'organes de remplacement. En avril, elle avait annoncé des greffes de vessies artificielles sur des humains.
Pour Assaad El-Hakim, professeur adjoint d'urologie à l'hôpital Royal Victoria, ces résultats sont «très prometteurs, mais très très préliminaires».
Le Dr El-Hakim a étudié la technique de régénération tissulaire à Wake Forest. Il fait depuis juillet dernier des tests de greffe de vessies sur des chiens et des cochons, à Montréal.
«La structure anatomique du pénis du lapin est similaire à celle de l'homme, dit le Dr El-Hakim. Par contre, il faut se souvenir qu'il est beaucoup plus court. Avec un organe plus petit, les vaisseaux sanguins sont moins problématiques. Mais chez l'homme, la vascularisation sera plus compliquée.»
Avant des tests chez l'homme, il faudra probablement passer par le chien ou des primates, selon le Dr El-Hakim. À titre de comparaison, la première greffe de vessie artificielle chez le chien a eu lieu en 1999, mais ce n'est que le mois dernier que la technique a été jugée opérationnelle pour l'humain.
L'équipe de Wake Forest est déjà capable de produire des urètres artificiels, la partie du pénis où voyagent sperme et urine.
Le Dr El-Hakim juge aussi que l'utilité thérapeutique des pénis de rechange est moins grande que celle des vessies. «Il existe déjà beaucoup de traitements disponibles pour la dysfonction érectile, note-t-il. Je pense que cette technique deviendra une quatrième option thérapeutique.»
Pour créer le pénis artificiel, les urologues de Wake Forest ont prélevé des cellules de muscles et de vaisseaux sanguins de lapin, qu'ils ont fait pousser sur des matrices de collagène. Les pénis greffés ont une pression sanguine acceptable, et les lapins ont réussi à féconder des lapines, qui ont eu des bébés en bonne santé.
Selon le magazine The New Scientist, qui a rapporté la nouvelle depuis le congrès annuel de l'Association américaine d'urologie, le pénis est un organe plus complexe à faire pousser qu'un vaisseau sanguin, une vessie ou un urètre, à cause du corps caverneux, une section du pénis qui est spongieuse.
Publié : mar. mai 30, 2006 4:26 am
par tuberale
JUSTICE
Anne-Marie Péladeau de retour en prison
Christiane Desjardins
La Presse
Anne-Marie Péladeau a bien de la difficulté à respecter les conditions de mise en liberté que la Cour lui impose. Hier, elle a de nouveau comparu au palais de justice de Montréal pour être accusée d'avoir brisé ses conditions en consommant des stupéfiants à six reprises entre le 12 et le 27 mai.
Cette fois la Couronne s'est opposée à sa remise en liberté. L'héritière déchue de l'empire Péladeau, qui a eu 42 ans récemment, est restée détenue et sera de retour devant le tribunal le 1er juin pour subir son enquête sous cautionnement.
Pas plus tard qu'en avril, lors d'une rechute de consommation de drogue, la Couronne avait accepté de mettre la cadette des Péladeau en liberté, à condition qu'elle réside 24 heures sur 24 à la Maison Jean-Lapointe.
Au début mai, elle est revenue devant le tribunal pour faire modifier ses conditions. Elle devait notamment résider chez sa fille la fin de semaine, condition qu'elle n'aurait pas respectée le samedi 20 mai.
Les déboires d'Anne-Marie Péladeau avec la justice remontent au 12 octobre dernier. Elle avait alors été arrêtée au terme d'une poursuite policière dans les rues de Montréal.
À l'époque, pour recouvrer la liberté, la cadette des Péladeau avait dû accepter de se soumettre à une thérapie fermée à la Maison Jean-Lapointe, qu'elle a menée à bien. De son propre aveu, Anne-Marie Péladeau est aux prises avec des problèmes de consommation de drogue depuis son adolescence.
Publié : mar. mai 30, 2006 6:37 pm
par tuberale
Le prix des métaux monte
Des voleurs s'emparent du cuivre des églises
Presse Canadienne (PC) Ross Marowits
30/05/2006 14h05 - Mise à jour 30/05/2006 14h18
La flambée des prix des métaux incite des voleurs à s'en prendre aux toitures des églises.
Des malfaiteurs ont profité de l'obscurité récemment pour arracher des sections de toitures, de gouttières et de câblage en cuivre sur quatre églises de la ville de Québec.
«C'est audacieux d'utiliser une échelle de 15 ou 20 pieds pour monter et tailler des morceaux de toiture», a commenté l'abbé Raymond Angers, en charge de deux des quatre églises cannibalisées.
Deux hommes ont ainsi récupéré du métal sur les églises des paroisses Saint-Charles-de-Limoilou et Saint-François-d'Assise, tandis que leur complice faisait le guet. Une autre église a aussi été attaquée, de même qu'une ancienne église vendue à une maison funéraire.
Mais répétant pour une troisième nuit consécutive leur larcin, les bandits se sont dispersés avec leur butin quand des témoins ont sonné l'alarme et appelé la police.
Le prix élevé du cuivre volé peut rapporter quelques centaines de dollars aux malfaiteurs.
Toutefois, les réparations coûteront entre 35 000 $ et 50 000 $, a rapporté l'abbé Angers. Les voleurs ont en effet exposé des poutres de bois pourries qui devront aussi être remplacées.
«Ces gens n'ont pas de respect», a affirmé le prêtre dans une entrevue. Même si les assurances paient, une franchise de 2500 $ devra être acquittée pour chacune des deux églises, a-t-il précisé.
Un responsable de l'Assemblée des évêques catholiques du Québec a indiqué que ce type de vol était rare et qu'il s'agissait de cas isolés.
«Ce cas récent ne nous rend pas paranoïaque, a expliqué Germain Tremblay. Si nous constatons une vague de vols d'objets religieux, alors nous évaluerons les mesures à prendre. Mais pour le moment, aucun avertissement spécial n'a été émis à l'attention des paroisses».
Même si les voleurs s'en prennent à un aspect bien profane du bâtiment, les fidèles sont ébranlés puisqu'ils entretiennent un sentiment d'attachement envers leur église, a expliqué M. Tremblay.
«Alors quand quelque chose du genre arrive, ils se sentent violés. Cela les touche et les blesse».
La Conférence canadienne des évêques catholiques a affirmé qu'aucun vol similaire n'avait été rapporté ailleurs au pays.
Mais en Ohio, les feuilles de cuivre d'une église orthodoxe russe ont été subtilisées l'automne dernier.
Le vol de métaux constitue un problème depuis longtemps, a soutenu le directeur exécutif de l'association canadienne du recyclage des métaux, Len Shaw. En raison des prix records de l'acier et des métaux non ferreux, comme le nickel, le cuivre et l'aluminium, «c'est un peu fou en ce moment», a-t-il fait savoir.
À Vancouver, des voleurs se sont emparés d'échelles en aluminium, de buts de soccer et de lampadaires, tandis qu'à Montréal, des plaques d'égout ont été dérobées.
Les grosses quantités de métaux volés sont habituellement mises dans un conteneur et expédiés outre-mer, a-t-il ajouté.
En Chine, en Inde et en Asie en général, la demande en métaux recyclés, nécessaires à la fabrication de produits de consommation, est insatiable, en raison de la croissance économique.
Publié : mer. mai 31, 2006 3:23 am
par tuberale
Violents orages
État d'urgence à La Tuque
Radio-Canada
La ville de La Tuque, en Haute-Mauricie, est sous le coup de mesures d'urgence. Les pluies abondantes de la nuit dernière ont en effet provoqué des affaissements de terrain et de routes.
En entrevue à RDI, le directeur général de la ville, Yves Tousignant, a confirmé qu'un affaissement de terrain était survenu sur le chemin Bourassa, une route de villégiature sur la rive ouest de la rivière Saint-Maurice.
Plusieurs cratères d'une largeur de quelques dizaines de pieds s'y sont formés. Un véhicule stationné est tombé dans l'une de ces immenses crevasses. Des affaissements menacent certaines des résidences permanentes bordant la rivière.
Les autorités ont évacué 13 résidents du secteur, a confirmé M. Tousignant. Selon le directeur général, les dommages s'élèveraient à plusieurs dizaines de milliers de dollars.
La route 25 menant à la réserve autochtone de Weymontachie et au chantier hydroélectrique Rapide-des-Coeurs est impraticable.
Le chemin de la Voie-Ferrée menant au Lac-à-Beauce est également coupé. Selon d'autres informations, près d'un mètre d'eau recouvrirait la route 155, près de l'entrée de la ville.
Plus de 80 millimètres sont tombés en quelques minutes dans la nuit de mardi à mercredi et en matinée. Les prévisions météorologiques font toujours état de risques d'averses ou d'orages cet après-midi et ce soir, quoique moins élevés. Certains craignent d'autres mouvements de sol au cours des prochaines heures.
La foudre aurait provoqué un feu à Laval
Par ailleurs, quatre maisons en construction d'un nouveau secteur résidentiel du quartier Vimont, dans l'ouest de Laval, ont été la proie des flammes, la nuit dernière.
Un témoin a indiqué que la foudre aurait causé l'incendie. Des orages violents s'abattaient sur la région à ce moment. Les pompiers ont indiqué que des ouvriers avaient étendu du vernis dans l'une des maisons brûlées, ce qui pourrait être une autre explication de cet incident. L'hypothèse d'un acte criminel a aussi été évoquée.
Les quatre maisons sont des pertes totales. La valeur des dommages dépasse le million de dollars, selon les premières évaluations.
Deux résidences voisines, habitées celles-là, ont été évacuées par mesure préventive. Le vent propageait en effet les flammes vers les autres habitations, ce qui a compliqué le travail des pompiers.
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/soc ... uque.shtml
Publié : mer. mai 31, 2006 6:37 am
par Earendil
Un chinous née avec 3 bras et un seul rain
selon rdi le bébé chinois a 2 bras gauche et un droit dont un est sur le ventre et a un seul rein
le bébé etait pas naissant sur les ondes de rdi
Publié : mer. mai 31, 2006 4:18 pm
par Skarhet
Judiciarisation des sans-abri
Roger, un itinérant, se vide le coeur
Marie-Noëlle Legault
Le Journal de Montréal
31/05/2006 07h53
Le visage marqué par les épreuves de la vie, un sans-abri a profité de la tribune offerte par une manifestation pour raconter la dure réalité quotidienne de la rue.
Rencontré hier au parc Émilie-Gamelin en marge de la manifestation contre la judiciarisation des sans-abri, Roger Gaudet, un ancien camionneur, a décroché en 1998 de la vie stable qu'il menait et réside depuis deux ans à temps plein dans la rue. «J'ai tout donné ce que je possédais et je suis parti», dit-il sans trop d'amertume. Il explique que ce sont des faillites, autant financière qu'amoureuse, qui l'ont mené dans la rue.
L'homme s'est aussi adressé à la centaine de personnes réunies par le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), qui lançait l'opération Droits devant pour protester contre l'émission massive de contraventions par les autorités policières. Ces contraventions varient de 25 à 140 $. Incapables de payer, les sans-abri sont jugés, puis parfois emprisonnés.
En réaction, Marc Riopel, commandant du poste de quartier 21, a affirmé : «Il faut favoriser un climat harmonieux au centre-ville. En tant que policier, on ne peut pas tomber dans l'autre extrême et ne pas émettre un constat d'infraction à une personne, sachant qu'elle n'a pas d'argent pour le payer.»
J'vas le payer comment, mon ticket ?
Roger Gaudet a lui aussi été emprisonné pour des contraventions impayées. Il y a quelques années, il cumulait environ 6500 $ de constats. «J'ai déjà dit à un policier : J'ai pas d'argent, je vais le payer comment, mon ticket ? C'est toi qui vas finir par le payer avec tes impôts !» lance-t-il, amusé.
L'homme dort à l'extérieur, tout en demeurant dans un endroit visible pour éviter de se faire agresser ; il exhibe certaines marques de brutalité qu'il porte encore. Un coup de coude reçu par un individu mal intentionné lui a récemment coûté une dent. «Dans la rue, c'est la loi du plus fort, mais aussi du plus intelligent.»
Il dit toutefois gagner plus d'argent dans la rue qu'en travaillant 70 heures par semaine. «Mais je ne vole pas de chars, j'vole rien». Le soir venu, il arpente les artères de la ville pour y ramasser les canettes vides qu'il vend par la suite dans les épiceries.
«Avant, je regardais de haut les itinérants en me disant qu'ils ne faisaient rien de leurs journées. Comme quoi on ne sait jamais ce que la vie nous réserve», dit-il en soupirant.
Publié : lun. juin 05, 2006 3:06 am
par tuberale
Justice | VIH
Pas le droit aux femmes
Pierre Richard
Le Journal de Montréal
05/06/2006 07h42
Un ancien joueur des Roughriders de la Saskatchewan, Trevis Lerone Smith, n'a plus le droit de fréquenter une femme adulte au Canada, exception faite de son avocate.
L'athlète de 29 ans sera à Montréal, demain. Mais il aura un séjour pénible.
À Regina, on le considère comme un «danger public» et il n'est pas question de le laisser circuler, même à Montréal, surtout pas dans la rue Sainte-Catherine.
On le considère tellement dangereux pour la santé publique qu'il devra même quitter sa chambre quand la femme de ménage y entrera.
Pour les femmes mineures, de moins de quatorze ans, il n'y a pas de problèmes. Elles peuvent être en présence de Smith.
Ce dernier est accusé de «relations sexuelles aggravées» avec deux jeunes femmes. Tout a commencé en novembre 2005, alors qu'il apprenait qu'il était porteur du VIH.
Par la suite, il se protégeait lors de ses relations avec ces deux femmes mais ne leur disait pas qu'il était contaminé.
On parle ici de relations sexuelles consensuelles, en tenant compte évidemment qu'un des partenaires est ignorant de l'état de santé de l'autre. Une des partenaires de Smith l'a appris et a porté plainte.
«Pour nous, l'affaire est sérieuse», disait hier l'avocate de Smith, Me Marie Hélène Giroux, la seule femme adulte autorisée, au Canada, à se trouver en présence du joueur de football.
«Si on laisse les choses aller, ce sont tous les membres des communautés gaies qui risquent de se retrouver en situation délicate.
«Ce que la poursuite veut faire à Regina, c'est établir l'obligation de divulguer sa situation médicale, même lors de relations protégées et ponctuelles.»
Une aberration, soutient l'avocate, puisque dans un tel cas nombre d'individus ayant des comportements à risques ne prendraient même plus la peine de consulter leur médecin.
Trevis Lerone Smith a eu beaucoup de difficulté à obtenir d'être remis en liberté provisoire. «Il a fallu une enquête de cinq jours pour parvenir à établir des conditions. Et quelles conditions !» disait Me Marie-Hélène Giroux, en entrevue.
Condition brisée
Trevis, arrêté à l'automne, avait brisé une de ses conditions de remise en liberté en revoyant une des femmes avec qui il avait eu des relations sexuelles protégées sans lui dire qu'il était porteur du virus du sida.
Le procureur du ministère public, Bill Burge, a alors tout tenté pour empêcher le joueur de football de reprendre sa liberté, le considérant comme un véritable danger public.
Son procès concernera donc l'obligation pour un individu de dénoncer son infection. «On ne conteste pas l'obligation de se protéger, dit l'avocate. Juste l'obligation de divulguer.»
Toutefois, le tribunal à Regina a laissé à Smith une parenthèse de 72 heures pour venir à Montréal et voir son avocate et des groupes de pression, d'où sa présence parmi nous demain, à Montréal.
Le procès aura lieu à l'automne.
Ce qu'elle a dit ...
«Si on laisse les choses aller, tous les membres de la communauté gaie risquent de se retrouver en situation délicate»
Des conditions exceptionnelles
Outre les conditions de remise en liberté habituelles comme de demeurer à l'adresse indiquée à la cour, ne pas consommer ou posséder de l'alcool, aviser la cour de tout changement d'adresse, d'emploi ou de tout élément pouvant nuire à sa localisation par un agent de la paix, l'accusé s'est vu imposer les conditions suivantes pour rencontrer son avocate pendant son bref séjour à Montréal :
déposer son itinéraire à son superviseur une semaine à l'avance, incluant les numéros et les heures de vols ;
autorisation de séjourner à Montréal pendant trois jours, incluant les heures de vol, afin de rencontrer son avocate ;
se rapporter au bureau de la GRC dès son arrivée et fournir à son superviseur son numéro de chambre ;
interdiction de se rendre à Candiac et ne pas contacter X ;
répondre au téléphone ;
répondre à l'officier de la paix qui se présentera à sa porte ;
se limiter à des contacts «inévitables» avec des femmes de plus de quatorze ans comme lorsqu'il prend l'ascenseur. Quant à la femme de chambre et autres travailleuses domestiques, il doit leur demander de repasser plus tard, pendant son absence ;
de plus, il doit porter un bracelet électronique de repérage, déposer son passeport, s'il en possède un. Et ne pas quitter le Canada.
Des précautions sévères
Pour ne pas répandre le virus du VIH, l'accusé doit user de prudence et suivre les règles sexuelles suivantes :
divulguer à sa partenaire qu'il est atteint du VIH ;
ne pas travailler dans le commerce du sexe ou obtenir du sexe en échange d'argent ou d'autres avantages ;
utiliser un condom de latex ou de polyuréthane ou un condom féminin, de façon adéquate, à chaque relation vaginale ou anale ;
utiliser un condom ou un obstacle buccal lors de relations sexuelles orales.
phrichard@journalmtl.com
Publié : sam. juin 10, 2006 2:12 am
par tuberale
Mort du petit Jeffrey
Une sentence exemplaire
Elva Bottineau et son conjoint Norman Kidman écopent respectivement de 22 et de 20 ans de prison ferme pour leur rôle dans la mort de leur petit-fils Jeffrey Baldwin.
Le juge de la Cour supérieure de l'Ontario affirme qu'il s'agit d'une peine sévère mais juste compte tenu de la souffrance vécue par le petit garçon avant de mourir.
Jeffrey Baldwin est mort de faim en 2002. Il souffrait à ce moment d'une pneumonie. Le garçon vivait dans une pièce non chauffée, au milieu de ses déjections. Il avait 5 ans, mais pesait moins de 10 kilos (21 livres).
Jeffrey Baldwin
Dans sa décision, le juge a qualifié d'inhumain le crime des deux grands-parents. Il explique que la mort de Jeffrey est d'autant plus cruelle qu'elle a été lente et qu'elle s'est produite sous les yeux impuissants de ses frères et soeurs.
Le juge ajoute qu'Elva Bottineau et Norman Kidman ont failli à leur devoir de tuteurs et que leur réhabilitation est impossible, puisqu'ils n'éprouvent aucuns remords.
Il conclut que leur accorder une chance de se racheter serait une faiblesse et juge inutile de leur accorder une libération conditionnelle. Ils pourront tout au plus demander une réduction de leur peine dans 15 ans.
Réactions
« Ils ont eu ce qu'ils méritaient, mais je doute qu'ils aient mesuré l'ampleur de leur geste », a déclaré Susan Dimitriatis, la grand-mère paternelle de Jeffrey, à sa sortie du tribunal.
De son côté, la procureure Beverly Richards ne cachait pas sa joie: « La sentence est exemplaire. De tels actes ne devraient jamais être tolérés. »
La défense rappelle que Mme Bottineau a presque le quotient intellectuel d'une attardée. Elle va porter la sentence et la peine en appel.
Mike Davis, le détective qui a mené l'enquête, regrette de son côté que la province refuse d'ouvrir une enquête publique sur la responsabilité de la Société catholique d'aide à l'enfance de Toronto dans cette affaire. L'organisme avait confié la garde du petit Jeffrey à ses grands-parents en dépit de leur casier judiciaire. M. Davis estime que l'enquête du coroner ne sera pas suffisante pour faire la lumière.
Publié : mar. juin 13, 2006 3:30 am
par tuberale
Mario Morin restera en prison
Mario Morin se présentait en cour, lundi, pour subir son enquête de remise en liberté en attendant son procès.
L'homme de 40 ans, qui avait forcé la fermeture du pont Jacques-Cartier en mai, restera en prison.
Le juge Gérard Girouard, après avoir entendu les témoins et les arguments des avocats, a estimé que M. Morin possède un passé judiciaire trop lourd pour être laissé en liberté.
Mario Morin a déjà été condamné à des peines d'emprisonnement pour vol à main armée et entrave à la justice.
Il reviendra devant le tribunal le 27 juin pour son enquête préliminaire.
Le mois dernier, M. Morin avait fait rager des dizaines de milliers d'automobilistes en paralysant la circulation sur le pont Jacques Cartier, reliant Montréal et Longueuil. Il avait grimpé en haut d'un panneau publicitaire et y était demeuré pendant 26 heures, entraînant la fermeture du pont.
M. Morin accusé d'agression armée, de voies de fait contre un agent de la paix, de méfait public et d'entrave au travail des policiers. Il est emprisonné au Centre de détention de Rivière-des-Prairies, à Montréal.
Mario Morin entretient plusieurs griefs à l'endroit de la Direction de la protection de la jeunesse. Il réclame entre autres la garde de sa fille de 6 ans.
Un rapport attendu
Le ministre de la Sécurité publique du Québec, Jacques Dupuis, a créé le 13 mai dernier un groupe de travail pour tenter de prévenir des événements similaires à celui qui a paralysé la circulation sur le pont Jacques-Cartier.
Le groupe de travail, constitué de représentants du ministère de la Sécurité publique et de plusieurs corps policiers du Québec, doit faire rapport au ministre le 12 juin. M. Dupuis présentera ses commentaires lorsque le rapport sera rendu public.
Le groupe de travail avait le mandat d'évaluer les méthodes d'interventions policières et les modes de coopération entre les différents intervenants. Ils doivent également suggérer des pratiques relatives à la prévention et aux techniques d'intervention.