tipet a écrit
Ah ouin? Crime dans "Un tueur si proche" c'était pas vraiment comme ça qu'ils en avaient parlé...C'était plus genre, le gars paranoye des affaires qui ne se sont jamais passées.
Il y avait ça aussi... Le gars était vraiment paranoïaque et voyait partout des complots qui n'existaient pas (il a renvoyé ses avocats les uns après les autres, notamment). Mais il y avait quand même du vrai dans les reproches qu'il adressait à ses collègues.
Escapade: le cas Fabrikant, pour moi, c'est un cas de conflit de travail, si on peut dire. Donc, il reste deux tueries qui visaient vraiment des écoles.
Il y a quand même presque 17 ans entre les deux crimes.
Qui est Jan Wong?
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Boule à mites
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- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
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Boule à mites
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Fabine: en fait, ce que tu dis là n'est même pas si irrationnel, à mon avis.
Tous les militaires ne sont pas militaires parce qu'ils sont attirés par les armes. Mais l'armée est probablement susceptible d'attirer un plus grand nombre de personnes fascinées par les armes que d'autres types d'organisations. Donc, le lien entre l'armée et ces tueurs n'est probablement pas dû au hasard.
Évidemment, c'est une toute autre chose que de dire que l'armée en est la cause, mais enfin, vous voyez mon point.
Tous les militaires ne sont pas militaires parce qu'ils sont attirés par les armes. Mais l'armée est probablement susceptible d'attirer un plus grand nombre de personnes fascinées par les armes que d'autres types d'organisations. Donc, le lien entre l'armée et ces tueurs n'est probablement pas dû au hasard.
Évidemment, c'est une toute autre chose que de dire que l'armée en est la cause, mais enfin, vous voyez mon point.
Boule à mites a écritFabine: en fait, ce que tu dis là n'est même pas si irrationnel, à mon avis.
Tous les militaires ne sont pas militaires parce qu'ils sont attirés par les armes. Mais l'armée est probablement susceptible d'attirer un plus grand nombre de personnes fascinées par les armes que d'autres types d'organisations. Donc, le lien entre l'armée et ces tueurs n'est probablement pas dû au hasard.
Évidemment, c'est une toute autre chose que de dire que l'armée en est la cause, mais enfin, vous voyez mon point.
Je vois très bien ton point.
J'avais lu en quelque part que Marc Lépine avait été très ulcéré et ne s'en serait jamais remis d'avoir été expulsé de l'armée.
Il faut quand même convenir que les forces armées avaient détecté dans ces deux cas, Lépine et Gill, un problème de conportement.
Tous les militaires ne sont pas militaires parce qu'ils sont attirés par les armes. Mais l'armée est probablement susceptible d'attirer un plus grand nombre de personnes fascinées par les armes que d'autres types d'organisations. Donc, le lien entre l'armée et ces tueurs n'est probablement pas dû au hasard.
Évidemment, c'est une toute autre chose que de dire que l'armée en est la cause, mais enfin, vous voyez mon point.
Je vois très bien ton point.
J'avais lu en quelque part que Marc Lépine avait été très ulcéré et ne s'en serait jamais remis d'avoir été expulsé de l'armée.
Il faut quand même convenir que les forces armées avaient détecté dans ces deux cas, Lépine et Gill, un problème de conportement.
Jan Wong se dit victime de racisme et de sexisme
Hugo de Grandpré
La Presse
La journaliste du Globe and Mail Jan Wong est déçue de certaines réactions racistes et sexistes ayant découlé de la controverse de la semaine dernière. Elle croit toutefois que le débat ayant entouré la publication de son article est une bonne chose.
"En tant que Canadienne, Québécoise et Montrélaise, je crois que le débat est très sain, a-t-elle déclaré en entrevue hier matin sur les ondes de la radio de la CBC. Mais je suis triste et déçue de certaines méthodes qui ont été utilisées."
Elle cite une caricature de Garnotte parue dans les pages du Devoir. Elle y est représentée avec de longues dents en train d'ouvrir un biscuit chinois. "Vous pouvez attaquer mon style ou ma méthode journalistique, mais d'impliquer des biscuits chinois est d'emmener dans le débat mon ethnicité", a dénoncé la journaliste.
"De me représenter avec des grosses palettes et des grosses lunettes, c'est un stéréotype du Japonais qui date de la Deuxième Guerre mondiale. C'est laid. Si j'avais été juive, je pense qu'ils m'auraient représentée avec un nez crochu."
Un article publié dans les pages du Globe and Mail quelques jours après la fusillade au collège Dawson a provoqué une véritable levée de boucliers essentiellement au Québec. Mme Wong y suggérait que les trois tragédies du même genre survenue dans la province, à Polytechnique, à Concordia et à Dawson, étaient toutes l'oeuvre d'enfants d'immigrés et que cela posait la question de l'aliénation de ceux-ci par les politiques linguistiques québécoises.
Dans la foulée, les premiers ministres Jean Charest et Stephen Harper ont tous deux écrit une lettre de protestation au journal. Une initiative qualifiée d'électoraliste par Jan Wong, qui critique l'implication des politiciens dans la sphère médiatique. "C'était inapproprié", dit-elle.
Elle a aussi défendu son article, disant que la présence de sa photo avant le texte aurait dû faire comprendre aux lecteurs que le texte reflétait en réalité son propre point de vue sur la question.
Pour ce qui est de l'exemple du Devoir, ce n'en est qu'un parmi d'autres, insiste Jan Wong, qui dit avoir reçu plusieurs courriels offensants, dont plusieurs "utilisant des mauvais mots pour la désigner en tant que femme".
Le directeur de l'Information du quotidien montréalais, Jules Richer, a pour sa part défendu le travail de son caricaturiste Garnotte.
"La caricature évoque le fait que le père de Jan Wong a eu un restaurant à Montréal, connu de tous les Montréalais. Et quand Mme Wong se plaint d'être dépeinte de façon raciste dans la caricature, je réponds que c'est une caricature et donc qu'il est normal de grossir les traits d'une personne, comme n'importe quel caricaturiste le fait."
Hugo de Grandpré
La Presse
La journaliste du Globe and Mail Jan Wong est déçue de certaines réactions racistes et sexistes ayant découlé de la controverse de la semaine dernière. Elle croit toutefois que le débat ayant entouré la publication de son article est une bonne chose.
"En tant que Canadienne, Québécoise et Montrélaise, je crois que le débat est très sain, a-t-elle déclaré en entrevue hier matin sur les ondes de la radio de la CBC. Mais je suis triste et déçue de certaines méthodes qui ont été utilisées."
Elle cite une caricature de Garnotte parue dans les pages du Devoir. Elle y est représentée avec de longues dents en train d'ouvrir un biscuit chinois. "Vous pouvez attaquer mon style ou ma méthode journalistique, mais d'impliquer des biscuits chinois est d'emmener dans le débat mon ethnicité", a dénoncé la journaliste.
"De me représenter avec des grosses palettes et des grosses lunettes, c'est un stéréotype du Japonais qui date de la Deuxième Guerre mondiale. C'est laid. Si j'avais été juive, je pense qu'ils m'auraient représentée avec un nez crochu."
Un article publié dans les pages du Globe and Mail quelques jours après la fusillade au collège Dawson a provoqué une véritable levée de boucliers essentiellement au Québec. Mme Wong y suggérait que les trois tragédies du même genre survenue dans la province, à Polytechnique, à Concordia et à Dawson, étaient toutes l'oeuvre d'enfants d'immigrés et que cela posait la question de l'aliénation de ceux-ci par les politiques linguistiques québécoises.
Dans la foulée, les premiers ministres Jean Charest et Stephen Harper ont tous deux écrit une lettre de protestation au journal. Une initiative qualifiée d'électoraliste par Jan Wong, qui critique l'implication des politiciens dans la sphère médiatique. "C'était inapproprié", dit-elle.
Elle a aussi défendu son article, disant que la présence de sa photo avant le texte aurait dû faire comprendre aux lecteurs que le texte reflétait en réalité son propre point de vue sur la question.
Pour ce qui est de l'exemple du Devoir, ce n'en est qu'un parmi d'autres, insiste Jan Wong, qui dit avoir reçu plusieurs courriels offensants, dont plusieurs "utilisant des mauvais mots pour la désigner en tant que femme".
Le directeur de l'Information du quotidien montréalais, Jules Richer, a pour sa part défendu le travail de son caricaturiste Garnotte.
"La caricature évoque le fait que le père de Jan Wong a eu un restaurant à Montréal, connu de tous les Montréalais. Et quand Mme Wong se plaint d'être dépeinte de façon raciste dans la caricature, je réponds que c'est une caricature et donc qu'il est normal de grossir les traits d'une personne, comme n'importe quel caricaturiste le fait."
Elle peut aller se faire foutre, quant à moi. Quelle étroitesse d'esprit chez Mme Wong! (Pardonnez-moi cet écart de langage, mesdames/messsieurs les modérateurs). Mme Wong ne s'attire pas beaucoup de respect en rédigeant des articles aussi bas de gamme.
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!