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Publié : lun. juil. 10, 2006 5:53 am
par brunetta
ZZ_Doc a écrit
C'était des opinions pour faire peur des extrémisses fédéraliste. Je l'ai déjà dit, les pire souteneur de leur cause c'est toujours les extrémiste. Du coté fédéral on parle des Chrétien, Trudeau ect et du coté séparatiste ce sont les Falardeau et Pariseau. On doit aussi se rappeler aussi des déclarations de Paulinne Marois disant elle même que le lendemain d'un vote positif a la souverainté, le Québec aurait un choque économique à absorber. Les déclaration de Marois et Charet se rencontre dans ma tête, On a le pouvoir de le faire, nous serions capable de le supporter même si il y a prix à payer.
Personne ne nous a jamais caché qu'il y aurait un choc économique et Pauline Marois n'a jamais parlé de tragédie économique nuance. Charest s'est mis les deux pieds dans la bouche avec sa déclaration il s'en rend compte et maintenant il essais d'en diminuer l'impact ce qui est bien pour nous souverainistes --Message edité par brunetta le 2006-07-10 11:54:27--
Publié : lun. juil. 10, 2006 6:36 am
par ZZ_Doc
brunetta a écrit
Personne ne nous a jamais caché qu'il y aurait un choc économique et Pauline Marois n'a jamais parlé de tragédie économique nuance. Charest s'est mis les deux pieds dans la bouche avec sa déclaration il s'en rend compte et maintenant il essais d'en diminuer l'impact ce qui est bien pour nous souverainistes
Nuance! Pauline Marois n'a jamais parlé de tragédie économique et moi non plus! On joura pas au téléphone arable là!
Publié : lun. juil. 10, 2006 6:41 am
par ZZ_Doc
Beppo a écrit
Je ne comprends pas ce qu'on reproche à Boisclair pour ses réactions depuis sa nomination. Charest a agi de la même façon du temps de son passage au provincial et qu'il était en attente d'un siège à l'Assemblée nationale. Il ne faut pas oublier que madame Louise Harel agit comme chef de l'opposition présentement. À l'automne, on verra si Boisclair demeure neutre dans les situations... Ça aussi bien servi Charest ce petit manège lors de son entrée en politique provinciale non?
Quant à ton petit cours d'histoire, rappelle-toi que c'est ce qui a enclenché la commission Bélanger-Campeau. Nous avons su dès lors que le Québec pouvait devenir souverain financièrement. Toutefois, plusieurs se sont servis de l'inverse n'est-ce pas? Et là on nous a servi la salade des Rocheuses et du passe-port canadien...
J'imagine que tu dois savoir aussi que tout pays qui accède à sa souveraineté, son indépendance, subit des transformations dans les premières années de sa naissance. Il ne faut pas être devin pour prédire une telle situation. Les changements vont s'opérer au fur et à mesure. Je me rappelle très bien que Pierre Péladeau disait à une question qu'un journaliste lui posait sur la possible souveraineté du Québec au lendemain d'un référendum gagnant. Il lui a répondu : « Je vais continuer de boire de Coke pareil, kissss. » Comme quoi, le grand financier ne voyait pas là matière à s'énerver le poil des jambes.
Mon petit cours d'histoire fesait référence à ton premier cours d'histoirs! "Rappelle-toi du coup de la Brinks, de la commission Bélanger-Campeau......"
Publié : lun. juil. 10, 2006 7:08 am
par brunetta
ZZ_Doc a écrit
Nuance! Pauline Marois n'a jamais parlé de tragédie économique et moi non plus! On joura pas au téléphone arable là!
on se calme svp j'ai seulement omis d'inscrire que la défense des fédéralistes étaient justement la tragédie économique avant le mot nuance. Et je n'ai jamais dit que Pauline Marois avait parlé de tragédie économique.
Publié : lun. juil. 10, 2006 7:58 am
par Beppo
ZZ_Doc a écrit
Mon petit cours d'histoire fesait référence à ton premier cours d'histoirs! "Rappelle-toi du coup de la Brinks, de la commission Bélanger-Campeau......"
Nier que les fédéralistes ne se sont pas servis de l'argument économique pour faire peur aux Québécois, c'est nier l'histoire même des deux référendums et de toute l'histoire récente du Québec. Bourassa n'a jamais reconnu la capacité financière du Québec à vivre par ses propres moyens. Charest l'a fait et de façon évidente on ne peut plus... Maintenant qu'il assume ses dires et ne cherche pas toutes les entourloupettes pour nier ses propres propos comme il tente de le faire maintenant.
Publié : lun. juil. 10, 2006 10:23 am
par ZZ_Doc
Beppo a écrit
Nier que les fédéralistes ne se sont pas servis de l'argument économique pour faire peur aux Québécois, c'est nier l'histoire même des deux référendums et de toute l'histoire récente du Québec. Bourassa n'a jamais reconnu la capacité financière du Québec à vivre par ses propres moyens. Charest l'a fait et de façon évidente on ne peut plus... Maintenant qu'il assume ses dires et ne cherche pas toutes les entourloupettes pour nier ses propres propos comme il tente de le faire maintenant.
Je ne dis pas le contraire! Je l'affirme même en disant que les extrêmistes sont les pires souteneur des causes! Je n'ai jamais dis que Bourassa avait affirmer que le Québec avait les moyens! J'ai rapporté le fait que dans l'histoire il y a eu affirmations beaucoup plus surprenant de la part de leader Libéral! Ne me prêté pas des propos non dit! Ce qu'il a dit aussi, et qui n'est pas répété c'est que oui nous avons les moyen mais ca ne veut pas dire que c'est le meilleur choix! C'est comme une peite famille qui dit nous avons les moyen de nous payer une Porsch, c'est un fait, mais dans la réalité avec 2 ou 3 enfants c'est pas un bon choix!
Publié : lun. juil. 10, 2006 11:17 am
par praeteritum
Charest, avec sa déclaration vient de couper l'herbe sous le pieds des fédéralistes, type Trudeau, Chrétien et autres, qui se servaient de l'argument économique pour faire peur aux gens.
Charest sait aussi que le PIB du Québec, par habitant, est un peu supérieur à celui de la France.
Il n'a pas eu besoin d'ajouter que cette supériorité du Quebec a été atteinte dans le cadre fédéral dans lequel nous vivons aujourd'hui.
Publié : lun. juil. 10, 2006 1:54 pm
par Chico_Fan
Je ne blâme pas Boisclair, c'est normal pour un politicien de récupérer à son avantage les propos de son adversaire, par contre, faut pas se demander après pourquoi les fédéralistes sont autant hésitants à reconnaître la nation québécoise, puisque le moindre commentaire est récupéré pour en faire une "victoire" souveraniste.
C'est normal donc que Charest tente de nuancer ses propos... Vu l'ampleur que Boisclair y donne (y voir une "victoire" souverainiste).
Je suis d'accord que tout extrémiste joue sur la peur... Et il y a en dans tous les clans, y compris les fédéralistes... Par contre, je pense que beaucoup de fédéralistes plus raisonnables vont très bien admettre que le Québec pourrait s'en tirer économiquement. Donc que Charest pense ainsi, ça fait peut-être changement, mais de là à en faire un plat...
Publié : lun. juil. 10, 2006 2:29 pm
par praeteritum
Chico_Fan a écritJe ne blâme pas Boisclair, c'est normal pour un politicien de récupérer à son avantage les propos de son adversaire, par contre, faut pas se demander après pourquoi les fédéralistes sont autant hésitants à reconnaître la nation québécoise, puisque le moindre commentaire est récupéré pour en faire une "victoire" souveraniste.
C'est normal donc que Charest tente de nuancer ses propos... Vu l'ampleur que Boisclair y donne (y voir une "victoire" souverainiste).
Je suis d'accord que tout extrémiste joue sur la peur... Et il y a en dans tous les clans, y compris les fédéralistes... Par contre, je pense que beaucoup de fédéralistes plus raisonnables vont très bien admettre que le Québec pourrait s'en tirer économiquement. Donc que Charest pense ainsi, ça fait peut-être changement, mais de là à en faire un plat...
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La réalité est que la nation québécoise existe bel et bien. Que certains fédéralistes hésitent a le reconnaitre ne change rien à cet état de fait.
On aurait pas a chercher bien longtemps pour trouver quelques fédéralistes extrémistes qui ne reconnaitraient pas que l'été suit le printemps, s'ils devaient rencontrer des québécois affirmant une telle évidence.
Publié : lun. juil. 10, 2006 2:37 pm
par vivier
ce que Pauline Marois a dit , elle l'a dit par frustation elle se voyais perdue devant Boisclair en désespoir de cause , elle était hors d'elle crois-moi j'y étais
Publié : lun. juil. 10, 2006 3:04 pm
par Chico_Fan
praeteritum a écrit
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La réalité est que la nation québécoise existe bel et bien. Que certains fédéralistes hésitent a le reconnaitre ne change rien à cet état de fait.
Ok?
Publié : lun. juil. 10, 2006 5:31 pm
par Boule à mites
Jumbo a écritLe Canada m'a très bien fait vivre et m'a permis d'élever une famille qui n'a jamais manqué de rien.
Il suffit que de voyager un peu pour voir combien on est bien vivre au Canada.
J'aimerais beaucoup connaitre le poucentage des souverainistes qui n'ont jamais sorti du Québec et qui sont les premiers à se battre la gueulle que pour être bien, il faut se séparer.Tu dis ça comme si le seul fait de voyager rendrait nécessairement les gens plus fédéralistes. Le Canada est loin d'être un pays parfait, alors je ne vois pas pourquoi, suivant cette logique, on ne pourrait pas également affirmer qu'il y a une bonne proportion de fédéralistes qui n'ont pas dû sortir du Québec pour constater qu'il pouvait y avoir mieux ailleurs. Tout ça pour dire que je ne vois pas trop la logique et que je trouve l'argument assez réducteur.
Et puis, diable, pourquoi faudrait-il absolument avoir des conditions de vie du tiers monde pour avoir seulement le droit d'aspirer à mieux que ce qu'on a déjà? Est-ce que ce n'est pas ça le but d'à peu près tout le monde dans la vie? Est-ce qu'une entreprise se dit "j'ai fait assez de profits cette année, maintenant je me contente de ce que j'ai et je ne n'essaierai plus d'améliorer ma position dans le marché"?
Publié : mar. juil. 11, 2006 5:25 am
par tuberale
Perspectives - Le parler «vrai» de Jean Charest
Christian Rioux
Édition du mardi 11 juillet 2006
C'est un phénomène connu. Les hommes politiques vivent dans une véritable marmite, que ce soit à Québec, à Londres ou à Paris. Une sorte de bulle médiatique qui a son vocabulaire, ses habitudes et ses conventions très rigides. Le langage y est codé et soigneusement contrôlé. Dans toutes les sociétés, les voyages des dirigeants politiques à l'étranger permettent donc de faire baisser la pression et d'oublier un instant la langue de bois qui se pratique dans les capitales. En changeant d'air, ceux-ci retrouvent une certaine fraîcheur et réapprennent à parler au commun des mortels. Interrogés par des journalistes qui ne cherchent pas nécessairement à les faire trébucher, ils oublient un instant leurs réflexes de bêtes politiques et tentent simplement de répondre aux questions qu'on leur pose, le plus honnêtement du monde. Les voilà même qui se laissent prendre au plaisir de l'interview.
C'est probablement ce qui est arrivé à Jean Charest la semaine dernière à Paris. Loin de la pression de la presse parlementaire, qui n'était pas du voyage, le premier ministre a accordé aux journalistes français l'une de ses meilleures interviews depuis longtemps. Visiblement intéressé par la qualité des questions, il s'est exprimé franchement comme il l'aurait fait loin des caméras et des micros. Voilà pourquoi il n'a pas hésité à reconnaître cette évidence, admise à peu près partout dans le monde (sauf dans certains cercles canadiens), à savoir que le Québec a tous les moyens économiques pour faire l'indépendance.
***
Pour bien comprendre la déclaration de Jean Charest, il importe de la resituer dans son contexte particulier. Jean Charest était non seulement à Paris loin de la presse parlementaire qu'il côtoie quotidiennement. Il était aussi face à trois journalistes français dans une émission qui n'a pas d'équivalent au Québec. Le Grand Rendez-vous Europe 1-TV5 dure plus d'une heure et permet de véritables échanges entre un invité et des journalistes d'expérience. Le premier ministre s'est visiblement pris au jeu de la conversation. Il a pris le temps de s'expliquer longuement et en détail en faisant toutes les nuances nécessaires.
Le meneur de jeu, Philippe Dessaint, fréquente le Québec depuis longtemps. La dernière fois que je l'ai croisé dans les studios de TV5, nous avions justement parlé du poids économique d'un Québec indépendant. Sachant parfaitement que le PNB par habitants du Québec le classerait dans les 20 premiers pays du monde, l'intervieweur n'a pas hésité. «On sait que le Québec aurait les moyens sur le plan financier, des budgets, de l'éducation et de la recherche, d'être une nation à part entière», a affirmé Philippe Dessaint. Le premier ministre n'avait pas d'autre choix que de répondre oui.
Ce qui arrive à Jean Charest n'est pas exceptionnel, loin de là. On se souvient de la célèbre question de Bruxelles que Robert Bourassa avait formulée dans la capitale belge. Au grand désespoir d'Ottawa, le chef libéral avait évoqué en 1992 la possibilité d'un référendum portant sur une souveraineté assortie d'une union économique avec le reste du pays. Il s'était même permis de formuler la question : «Voulez-vous remplacer l'ordre constitutionnel existant par deux États souverains associés dans une union économique, responsable devant un parlement commun ?». Inspiré par l'exemple européen qu'il connaissait sur le bout des doigts, Robert Bourassa s'était simplement accordé le droit de réfléchir posément, loin de toute
partisanerie.
Le syndrome ne touche pas que les hommes politiques. Je me souviens avoir talonné sans succès Robert Charlebois, à deux semaines du référendum de 1995, pour lui arracher une déclaration sur la souveraineté. Le chanteur évitait toutes les questions qui auraient pu laisser penser qu'il allait voter oui ou non. Quelques heures après avoir soigneusement évité mes questions, il confiait ses convictions à un collègue de la radio française. Convaincu que jamais personne au Québec n'écouterait cette émission, il parlait enfin librement et sans tabous.
Même la mairesse de Québec, de passage récemment en France, semble aujourd'hui touchée par la grâce des voyages à l'étranger. Après avoir dénoncé à tour de bras les idées de grandeur de son prédécesseur, Jean-Paul L'Allier, la voilà qui se dit inspirée par l'urbanisme et les systèmes de transports en commun français.
Comme Robert Bourassa a eu sa question de Bruxelles, Jean Charest devra assumer sa «déclaration de Paris». En affirmant que le Québec a tous les moyens de faire l'indépendance, le premier ministre n'est pourtant pas devenu plus souverainiste que Robert Bourassa à son époque. Loin des scénarios catastrophe que brandissent certains, il a simplement resitué le débat sur le terrain politique. Bref, là où il aurait toujours dû demeurer.
***
Si l'interview d'Europe 1 est une des meilleures que Jean Charest ait données depuis longtemps, c'est aussi pour une raison qui est pratiquement passée inaperçue. Oubliant les préoccupations terre à terre auxquelles on le ramène si souvent à Québec, Jean Charest semblait tout à coup se hisser à la hauteur d'un véritable chef d'État et non plus d'un simple premier ministre provincial. Pour tout dire, vendredi dernier à Paris, Jean Charest a eu beaucoup plus l'air d'un chef d'État que Stephen Harper qui, le même jour, était à Washington.
Le premier ministre s'est même permis de s'aventurer sur le terrain de la politique étrangère, domaine fédéral s'il en est un. Il a d'abord exprimé un attachement profond et viscéral aux relations privilégiées du Québec avec la France. Loin des dénonciations simplistes de l'action américaine en Irak, il s'est ensuite résolument rangé dans le camp des «atlantistes», aux côtés de personnalités comme la dirigeante allemande Angela Merkel. Le conflit en Irak et les relations avec le monde musulman, disait-il, «auraient besoin d'une relation étroite avec la France». Tout en précisant que «les Québécois ne sont pas anti-américains», parce que «la langue dégage un espace de confiance» (que n'ont pas les Canadiens anglais, faut-il croire), Jean Charest semble déplorer tout autant la rudesse de George Bush à l'égard de l'Europe que l'éloignement de celle-ci des États-Unis.
Ce faisant, le premier ministre souligne un trait essentiel et incontournable de toute politique étrangère québécoise. Il rappelle comment le Québec a tout à gagner d'une collaboration étroite entre ses deux principaux alliés naturels, qui sont en même temps deux des plus grandes démocraties du monde. Il souligne comment une telle alliance, que le Québec porte pratiquement dans ses gènes, peut à la fois permettre de tempérer les excès de la politique américaine et de secouer l'isolationnisme dont l'Europe fait si souvent preuve.
Plus que ses déclarations sur la possibilité économique de l'indépendance, c'est l'affirmation de l'impérieuse nécessité de l'alliance atlantique qui illustre le mieux l'originalité de la voix québécoise. À Paris, Jean Charest est loin d'avoir fait honte à qui que ce soit, il nous a même donné une idée de ce que nous pourrions apporter au monde si nous décidions un jour d'y parler de notre propre voix.
Correspondant du Devoir à Paris
Publié : mar. juil. 11, 2006 10:36 am
par Acrux
Ça me fait un peu rigoler l'association "fédéraliste-gang de peureux qui se sont laisser berner" dans ce que je peux lire…
Y a t-il plus à gagner qu'à perdre? Ce qui est clair c'est que les 5 premières années, minimum, serait pénibles. Et ça même Pauline Marois l'a dit, ancienne ministre des finances. --Message edité par Acrux le 2006-07-11 16:37:23--
Publié : mar. juil. 11, 2006 4:00 pm
par Beppo
Si tu donnes raison ou approuves ce que Pauline Marois a dit, en quoi nous serions si dans la misère que ça? Il y aura bien sûr des changements à vivre mais de là à les trouver pénibles... faut pas avoir peur de ce que nous ne connaissons pas encore. Me semble que je traverserais le pont rendu à la rivière. Je n'ai pas lu encore que le Monténégro demandait l'aide humanitaire pour poursuivre sa route...
Publié : mer. juil. 12, 2006 3:38 am
par Acrux
Beppo a écritSi tu donnes raison ou approuves ce que Pauline Marois a dit, en quoi nous serions si dans la misère que ça? Il y aura bien sûr des changements à vivre mais de là à les trouver pénibles... faut pas avoir peur de ce que nous ne connaissons pas encore. Me semble que je traverserais le pont rendu à la rivière. Je n'ai pas lu encore que le Monténégro demandait l'aide humanitaire pour poursuivre sa route... "Pénible" c'est un mot... À vrai dire ça dépend pour qui... Mais je ne crois pas que ce soit de la peur envers l'inconnu mais de la simple logique, du réalisme... Regardes le fonctionnement des marchés boursiers, la puissance de la spéculation... Un gars perd son chien et le nasdac perd de 10$
Publié : mer. juil. 12, 2006 5:52 am
par Beppo
Acrux a écrit "Pénible" c'est un mot... À vrai dire ça dépend pour qui... Mais je ne crois pas que ce soit de la peur envers l'inconnu mais de la simple logique, du réalisme... Regardes le fonctionnement des marchés boursiers, la puissance de la spéculation... Un gars perd son chien et le nasdac perd de 10$
Comment se fait-il que ça apeure Pauline Marois et que Pierre Péladeau ne craignait pas cette avenue? Bien évident qu'un changement amène des bouleversements mais pas au point de rester immobile me semble. Je suis convaincu qu'il y aura des ajustements à apporter mais pas au point de ne pas bouger.
Publié : mer. juil. 12, 2006 5:57 am
par brunetta
Je suis convaincue que le discours de Pauline Marois aurait été tout autre si elle avait gagné la course au leadership
Publié : mer. juil. 12, 2006 1:30 pm
par jumbo
Boule à mites a écrit Tu dis ça comme si le seul fait de voyager rendrait nécessairement les gens plus fédéralistes. Le Canada est loin d'être un pays parfait, alors je ne vois pas pourquoi, suivant cette logique, on ne pourrait pas également affirmer qu'il y a une bonne proportion de fédéralistes qui n'ont pas dû sortir du Québec pour constater qu'il pouvait y avoir mieux ailleurs. Tout ça pour dire que je ne vois pas trop la logique et que je trouve l'argument assez réducteur.
Et puis, diable, pourquoi faudrait-il absolument avoir des conditions de vie du tiers monde pour avoir seulement le droit d'aspirer à mieux que ce qu'on a déjà? Est-ce que ce n'est pas ça le but d'à peu près tout le monde dans la vie? Est-ce qu'une entreprise se dit "j'ai fait assez de profits cette année, maintenant je me contente de ce que j'ai et je ne n'essaierai plus d'améliorer ma position dans le marché"?
Je respecte tes idées, mais pour moi: j'ai vu trop de personnes qui, à voir trop grand sont maintenant sur le dos. Et pourtant avant, ils avaient une si belle vie.
Pour moi, mon bien-être et celui de mes enfants, c'est très important donc pourquoi je me tournerais vers l'inconnu.
Autre chose, je demeure à 1 heure de l'Ontario et je me vois mal me faire demander mon passeport à chaque fois que je vais faire un tournoi de billards où de golf, là c'est vrai que je me sentirais séparer du reste du monde.
Je ne crois pas au monde parfait.
Publié : mer. juil. 12, 2006 2:11 pm
par Red Ketchup
Jumbo a écrit
Je respecte tes idées, mais pour moi: j'ai vu trop de personnes qui, à voir trop grand sont maintenant sur le dos. Et pourtant avant, ils avaient une si belle vie.
Pour moi, mon bien-être et celui de mes enfants, c'est très important donc pourquoi je me tournerais vers l'inconnu.
Autre chose, je demeure à 1 heure de l'Ontario et je me vois mal me faire demander mon passeport à chaque fois que je vais faire un tournoi de billards où de golf, là c'est vrai que je me sentirais séparer du reste du monde.
Je ne crois pas au monde parfait.
Désolé d'être aussi sec mais, cet argument est totalement ridicule.
Présentement, le Canada se bat pour que le passeport ne soit pas obligatoire aux frontières américaines (à cause du terrrr'ism à Bush). Penses-tu qu'ils vont vouloir imposer un passeport aux frontières canado-québécoise sachant qu'il y a quand même passablement de commerce entre le Québec et l'Ontario entre autre?