Page 2 sur 5
Publié : ven. août 19, 2005 2:34 pm
par Fabine
Merci, c'est bien ce que je pensais. Et c'est vrai que ce doit être passionnant et surtout c'est du concret car tu vois le résultat de ton travail immédiatement.
Publié : ven. août 19, 2005 2:41 pm
par funny36
lucide a écrit
Dans une école secondaire, c'est la personne qui prépare pour les élèves et qui assiste l'enseignant lors des cours scientifiques.
en secondaire 1: écologie (sorties dans la nature, préparation pour lamelles de microscopes, entretien des hamsters et des poissons, achat des plantes et culture de haricot....)
en secondaire 2: sciences physiques ( expérience de météo, roches et minéraux ainsi qu'initiation a la chimie)
en secondaire 3: biologie ( labo sur les aliments, illusions d'optique, tests sanguins et naturellement les dissections oeil de boeuf, coeur de boeuf et requins
secondaire 4 et 5: il y a les cours de chimie, biologie, physique.
Donc mon rôle est de préparer le matériel pour la classe, aider les élèves lors des expériences et bien sur apres tout laver et ranger. De plus avec la venue d'internet, je m'occupe de rechercher des idées interessantes, d'enrégister des documentaires pertinents, de faire participer l'école ou des élèves interessés à des concours scientifiques ( génie inventif, expo sciences etc)
En conclusion.... je m'occupe de tout ce qui est expérimental et maintenant avec la réforme, je donne aussi un coup de main dans les autres matières pour les gros projets.
C'est un travail passionnant... car j'ai toujours presque juste le beau coté des élèves.
Quand j'arrive en classe.. je suis la récompense, de plus je vois les élèves pendant 3 ans, à mon école secondaire 1, 2 et 3 alors je peux développer une belle complicité.
Wow ca semble super interressant et stimulant comme boulot.
Publié : ven. août 19, 2005 5:00 pm
par mousseline
Pour plusieurs Cégep c'est déjà confirmé...Le vieux-montréal avise ses étudiants qu'il y aura débrayage des employés de soutien le 29 août donc suspension des cours (c'était la premìère journée! )
Publié : ven. août 19, 2005 5:08 pm
par Automne
Saint-laurent commence aussi le 29... comment on peut savoir si on commence ou pas?
Publié : ven. août 19, 2005 7:33 pm
par tuberale
Secteur public
En route vers une rentrée mouvementée!
Attendez-vous à une rentrée des classes très mouvementée parce que les employés des secteurs public et parapublic se préparent à toute une offensive.
La rentrée aura en effet une saveur bien particulière cette année, la rentrée à l'école et celle à la garderie. Ce n'est pas à l'enseigne de la stabilité qu'elle s'effectuera. Il y aura des débrayages-surprises, question d'envoyer des signaux au gouvernement qui ne veut pas aller au-delà des budgets préétablis.
Les moyens de pression vont commencer dès lundi dans les cégeps, avec des journées de grève en rotation des employés de soutien, exaspérés par la lenteur des négociations.
«Si c'est pas réglé quelque part vers le 15 octobre, il y aura sûrement d'autres moyens plus lourds que ceux actuellement en cours», prévient Jean-Pierre Porlier, président du Syndicat des employés de soutien du cégep de Sept-Îles.
Le premier ministre n'aime pas ce genre de menace, surtout que les CPE pourraient aussi tomber en grève dans la semaine du 29 août, les écoles primaires et secondaires la semaine suivante, touchées elles aussi par des grèves des employés de soutien.
Il n'y a rien qui, à mes yeux, justifie les moyens de pression dans un contexte comme celui-là», soutient la ministre de la Famille, Carole Théberge. «Négocier avec des pancartes dans la rue, c'est pas une bonne façon. C'est à la table de négociations que ça se fait. On a une belle offre sur la table. Encore une fois, elle est raisonnable, elle est responsable.»
Les syndicats promettent une lutte sans merci, même si la menace d'une loi spéciale plane toujours dans le secteur public.
Selon le négociateurs CSN pour les CPE, Jeff Begley, «le gouvernement peut choisir bien des moyens pour tenter de nous écraser. Ça lui appartient. On va tenter d'être le plus stratégique qu'on peut afin d'arriver à notre objectif. Mais le gouvernement doit s'asseoir de bonne foi pour régler cette question d'équité salariale, parce que c'est ça qui échoppe à ce moment-ci.»
Le gouvernement veut négocier; les syndicats veulent négocier. Le problème, c'est que personne ne s'entend sur les chiffres. Le premier ministre dit sur tous les tons que les coffres sont vides.
«C'est une réalité incontournable. On peut pas faire semblant que ça existe pas, c'est là», martèle Jean Charest.
Dimanche, la CSN et la FTQ feront connaître leurs stratégies pour cet automne.
En vidéo, écoutez le reportage d’Yves Malo.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 00935.html
Publié : sam. août 20, 2005 2:55 am
par Rénatane
Les infirmières et les employés de la santé , on attend ???
La dernière grève , c'est nous qui avons partie le bal , et c'est nous qui avons eu le coup de masse ; les amendes poivrés....
Les profs et les employés de soutiens , attendez vous a une loi spéciale.....
Publié : sam. août 20, 2005 3:10 am
par tipet
Sibole, ça-va donc bien mal au québec!
Me semble que ça fait 2 ans que tout le monde est en grève.
Publié : sam. août 20, 2005 3:13 am
par NetRoll
tipet a écritSibole, ça-va donc bien mal au québec!
Me semble que ça fait 2 ans que tout le monde est en grève.
Depuis que Charest au pouvoir
Publié : sam. août 20, 2005 3:15 am
par tipet
NetRoll a écrit
Depuis que Charest au pouvoir
La question que je me pose, est-ce que Charest est vraiment aussi mauvais politicien ou bedonc ça aurait fait probablement la même chose avec un autre gopuvernement, parce qu'anyway, la fonction publique était rendu à ce point?
Publié : sam. août 20, 2005 3:25 am
par NetRoll
Je pense qu'il est vraiment pauvre comme négociateur, mais outre ça, c'est ça la politique... Tout ce qui arrive de bon, c'est le gouvernement en place qui l'a réalisé, tout ce qui arrive de moins bon, c'est le gouvernement précédent qui l'a créé.
Il prend bien le crédit de choses qui sont en branle depuis des années et se sont achevés pendant qu'il était là...
Par exemple, des choses comme le taux de chômage. Oui, le gouvernement peut influer sur le taux de chômage, s'il participe directement à la création d'emploi, mais je n'ai pas vu le gouvernement Charest créer des emplois en grande quantité, mais dans son "point" de mi-mandat, il disait que le taux de chômage avait diminué grâce à son gouvernement...
Publié : sam. août 20, 2005 3:28 am
par tipet
NetRoll a écritJe pense qu'il est vraiment pauvre comme négociateur, mais outre ça, c'est ça la politique... Tout ce qui arrive de bon, c'est le gouvernement en place qui l'a réalisé, tout ce qui arrive de moins bon, c'est le gouvernement précédent qui l'a créé.
Il prend bien le crédit de choses qui sont en branle depuis des années et se sont achevés pendant qu'il était là...
Par exemple, des choses comme le taux de chômage. Oui, le gouvernement peut influer sur le taux de chômage, s'il participe directement à la création d'emploi, mais je n'ai pas vu le gouvernement Charest créer des emplois en grande quantité, mais dans son "point" de mi-mandat, il disait que le taux de chômage avait diminué grâce à son gouvernement...
Ouais...Comme Couillard qui mettait l'autre jour sur le dos du gouvernement Bouchard, la crise du système de santé...
Ah! vivement des élections.
Publié : sam. août 20, 2005 3:34 am
par orve
Le pire c'est que le PQ va faire la même chose une fois au pouvoir. Tout ce que je souhaite c'est que le PQ nous donne un pays pour pouvoir enfin voter autrement.
Publié : sam. août 20, 2005 3:35 am
par Rénatane
Peu importe le gouvernement , lorsqu'il y a renouvellement de convention collective , c'est toujours de la m......
Publié : sam. août 20, 2005 9:14 am
par kolem
Alors si j'ai bien lu, et bien entendu les nouvelles, les universités ne sont pas touchées?
Publié : dim. août 21, 2005 6:54 am
par Myr!am
Pour l'instant, je ne crois pas. Dès demain, c'est les cégeps qui seront touchés.
Publié : dim. août 21, 2005 6:56 am
par Myr!am
Cégeps
Un retour en classe perturbé par une grève de 24 heures
Près d'une vingtaine de cégeps risquent d'être fermés demain.
C'est que les employés de soutien du secteur collégial déclencheront une grève de 24 heures pour faire pression sur le gouvernement Charest en cette première journée de la rentrée scolaire.
Ces travailleurs seront sur des lignes de piquetage qu'entendent respecter certaines associations enseignantes et étudiantes.
Le personnel de soutien de ces établissements s'oppose à la sous-traitance et réclame un rattrapage salarial.
Les employés sont sans contrat de travail depuis juin 2003.
Une autre journée de débrayage aura lieu le 29 août prochain et touchera une dizaine d'établissements.
D'autres journées de grève pourraient être déclenchées au cours du mois de septembre.
À la veille de cette rentrée scolaire dans de nombreux établissements collégiaux, la Fédération des cégeps déplore la grève de 24 heures annoncée par le personnel de soutien affilié à la CSN.
Au total, au moins 31 établissements seront touchés par la grève, ce qui représente environ 73 000 étudiants.
Pour la Fédération, ce moyen de pression est nettement prématuré, puisqu'une négociation intensive est prévue à l'automne, selon ce qu'ont convenu le gouvernement et les syndicats. Le calendrier des rencontres a déjà été établi.
La Fédération des cégeps fait partie, avec le ministère de l'Éducation, du Comité patronal de négociation des collèges.
Publié : dim. août 21, 2005 1:02 pm
par lélé
Mise à jour: 21/08/2005 17h
LCN
Grève dans les cégeps
Québec demande aux enseignants de franchir les piquets de grève
Le ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, demande aux enseignants et aux étudiants de franchir les piquets de grève qui seront dressés par les employés de soutien du réseau de l'éducation à compter de lundi.
Le ministre tient pour acquis que les cours se donneront normalement, malgré la série d'arrêts de travail d'un jour prévus au cours des prochaines semaines dans les écoles et collèges du Québec.
Dès lundi, les employés de soutien de 20 cégeps débraieront pendant 24 heures.
Contrairement à ce que souhaite le ministre, il est probable que les enseignants et les étudiants rebrousseront chemin en voyant les piquets de grève. Dans les syndicats et les associations étudiantes, le mot d'ordre a en effet été donné de respecter la tradition voulant qu'on ne franchisse pas un piquet de grève.
M. Fournier a répété que le gouvernement ne donnerait pas davantage que les 12,6 % sur six ans déjà sur la table, incluant l'équité salariale. «On n'a pas les moyens de payer plus. Le portefeuille, il est vide», affirme le ministre.
Publié : dim. août 21, 2005 3:45 pm
par Raven
C'est vraiment normal de respecter le piquet de grève, ils ont respectés le notre eux l'an passé.. Je vais être très décu si les étudiants ne les respectent pas.....
Publié : dim. août 21, 2005 3:55 pm
par Fabine
Pourquoi seulement 20 cégeps. N'ont-ils pas tous le même syndicat? Avons-nous aussi la liste de ces 20 cégeps?
Publié : dim. août 21, 2005 8:43 pm
par tuberale
Le lundi 22 août 2005
La rentrée, au cégep du Vieux-Montréal
Débrayage de 24 heures
Rentrée perturbée dans une vingtaine de cégeps
Raymond Gervais
La Presse
La rentrée scolaire des cégépiens risque d'être perturbée ce matin dans 20 cégeps du Québec en raison du débrayage de 24 heures des employés de soutien.
Du 22 août au 6 septembre, la majorité des cégeps et des commissions scolaires seront paralysés durant la première journée de classe par la grève des employés de soutien et des professionnels membres du font commun CSN-FTQ. Pour les deux centrales syndicales, il s'agit d'un premier coup de semonce afin de protester contre la lenteur des négociations et l'offre de 12,6% en six ans faite par le gouvernement, qualifiée de ridicule et nettement insuffisante par les syndicats.
«Notre objectif est de régler la convention collective échue depuis le 30 juin 2003. Nous désirons régler les conditions de travail des employés de soutien des commissions scolaires, des cégeps, des organismes gouvernementaux dont l'Aide juridique, la Régie des installations olympiques, la Société des traversiers et le Palais des congrès de Montréal. Depuis le début des négociations, on n'a jamais senti le moindre soupçon de bonne foi de la part du gouvernement. Au printemps, nous avons exercé des moyens de pression légers, cela n'a rien donné. Nous estimons maintenant que nous n'avons pas le choix et que nous devons passer à des moyens plus lourds», a déclaré Ginette Guérin, présidente de la Fédération des employés de services publics-CSN.
D'autres débrayages
Le 29 août, le personnel de soutien de 11 autres cégeps sera en grève. Puis, du 26 août au 1er septembre, ce sera au tour des employés de soutien et des professionnels des commissions scolaires de déclencher leurs moyens de pression.
Par ailleurs, les employés de soutien et professionnels des commissions scolaires ainsi que le personnel de soutien collégial de la FTQ pourraient déclencher plusieurs débrayages de 24 heures cet automne. Pour leur part, les syndiqués de la CSN ont en poche un mandat de grève de deux jours.
Mme Guérin a rappelé que plus de 70% des membres de la CSN sont des femmes et que 50% ont un statut précaire.
Dans les faits, une vingtaine de cégeps seront perturbés aujourd'hui, 14 autres la semaine prochaine ainsi que 47 commissions scolaires. À partir du 1er septembre, ce sera le tour des organismes gouvernementaux.
Michel Murray, coordonnateur de la mobilisation pour la FTQ, a précisé que le débrayage des syndiqués ne se faisait pas de gaieté de coeur et que les employés préféreraient travailler. «Néanmoins, le droit de grève est reconnu par le Code du travail et nos membres peuvent l'exercer.
«L'offre gouvernementale est insultante pour les syndiqués lorsque le gouvernement Charest inclut l'équité salariale due aux femmes à l'intérieur du règlement global de la négociation du secteur public», a soutenu le porte-parole syndical.
Par ailleurs, les syndicats se défendent bien de prendre la population en otage, précisant que, contrairement à ce que Québec laisse entendre, ces débrayages «ne sont pas prématurés après deux années de négociations infructueuses».
12,5% en trois ansLe front commun intersyndical réclame une hausse de 12,5% en trois ans, sans compter le règlement portant sur l'équité salariale.
Mme Guérin a ajouté qu'elle avait eu l'assurance des syndicats et des associations d'enseignants qu'ils respecteraient les piquets de grève. Du côté des fédérations étudiantes, le mot d'ordre est le même. «Il y a donc de fortes chances pour que les 20 cégeps visés aujourd'hui demeurent fermés», a dit la syndicaliste.
Pour le moment, il n'est pas question de grève générale dans le secteur public et M. Murray a précisé: «On n'en est pas là et qu'il n'est pas question de faire peur à personne.»
Au cours des prochaines semaines, près de 35 000 personnes débrayeront dans toutes les régions du Québec.
Au total, 47 commissions scolaires seront touchées, ainsi que 34 cégeps et 17 établissements des organismes gouvernementaux.
Le ministre Fournier
Le ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, a déploré hier la décision des centrales syndicales de déclencher une grève de 24 heures sur le dos des étudiants.
«Je peux comprendre que le travail des leaders des centrales syndicales consiste à toujours en demander plus, mais notre portefeuille est vide et on ne peut en faire plus. L'offre est correcte et raisonnable», a déclaré le ministre.
La Fédération des cégeps déplore elle aussi que la rentrée scolaire soit perturbée, précisant qu'il s'agit d'un moment important, en particulier pour les jeunes qui arrivent du secondaire.
«Perturber cette journée et compromettre le début des cours affecte en tout premier lieu nos élèves», a indiqué Gaétan Boucher, président-directeur général de la Fédération des cégeps.