LE DOMAINE BLEU

Le procès est-il arrêté?

Lilianne  a écritLe procès est-il arrêté? Oh la la, voilà qui me surprendrait allègrement.... Pourquoi son procès POURRAIT-il être arrêté, selon toi ?

Il me semble avoir entendu à la télé la semaine dernière que le procès reprendra dans deux semaines, je me demande bien pourquoi ce temps d'arrêt.  On l'examine peut-être à son tour pour lui montrer ce que ça fait se faire baver là où ce n'est pas supposé.

Schnell  a écrit Oh la la, voilà qui me surprendrait allègrement.... Pourquoi son procès POURRAIT-il être arrêté, selon toi ?


Habituellement lorsqu'un procès commence nous avons l'information au jour le jour et par la suite (si jury /ou juge) délibération et le jugement.  Maintenant personne parle de rien.

Joannie  a écritIl me semble avoir entendu à la télé la semaine dernière que le procès reprendra dans deux semaines, je me demande bien pourquoi ce temps d'arrêt.  On l'examine peut-être à son tour pour lui montrer ce que ça fait se faire baver là où ce n'est pas supposé.

Bon je présume que c'est encore en "s'enfargeant" dans l'appareil judiciaire.  Vice de procédure ou ........  comme dans toutes les cause avec plusieurs "experts" et "expertises" avec opinions dissidantes.

On doit lui faire subir la même chose qu'il a fait aux gamins; le monsieur n'appréciera pas ça se faire éternuer dessus...
             

Joannie  a écritIl me semble avoir entendu à la télé la semaine dernière que le procès reprendra dans deux semaines, je me demande bien pourquoi ce temps d'arrêt.  On l'examine peut-être à son tour pour lui montrer ce que ça fait se faire baver là où ce n'est pas supposé.

Bien la raison de cet intermède, c'est que la défense a présenté le témoignage de l'accusé.  Ce témoignage marathon a duré une semaine et quelques jours!!! (faut dire qu'il y avait ausi une quinzaine d'accusations).  Et la couronne devait attendre la fin du témoignage de Lussier pour pouvoir le contre-interroger.  

Alors on comprend facilement que la Couronne avait besoin de quelques semaines pour préparer le contre-interrogatoire d'un si long témoignage.  

j'espere qu'il va etre declaré coupable

nancy31f  a écritj'espere qu'il va etre declaré coupable
ben moi aussi, ces jeunes n'ont pas du tous halluciner taboire j'me demande à qui on peux faire confiance aujourd'hui dans ce monde de malade

[cit]Tannante  a dit :Pour avoir déjà agi à titre de témoin expert, et pour en avoir vu des comiques, je crois que le Docteur Lussier se pense dans les culottes d'un témoin expert qui a la vérité absolue et réalise pas qu'il est un accusé.

Pour sa femme, j'aime pas sa coupe de cheveux avec les couettes par en l'air  :/

Hé que ça doit pas être facile dans cette famille... Ils ont des enfants. Mes pensées sont avec eux. La femme et les enfants ont besoin d'amour et de respect. Je leur envoie des ondes positives.

Citation :Pour avoir déjà agi à titre de témoin expert, et pour en avoir vu des comiques, je crois que le Docteur Lussier se pense dans les culottes d'un témoin expert qui a la vérité absolue et réalise pas qu'il est un accusé.

c ce que je pense aussi

Voici ce qu'on peut lire au sujet du procès dans un quotidien de Drummondville, endroit où se déroule présentement le procès.

"Accusé d’agressions sexuelles sur 14 garçons âgés de 12 à 17 ans, le pédiatre Jocelyn Lussier a complété un long témoignage durant lequel il a tenté de justifier médicalement tous les gestes qu’on lui reproche.

Questionné par un de ses avocats, Me Pierre Poupart, l’accusé a affirmé sous serment qu’il était «résolument hétérosexuel» et qu’il n’a jamais eu de relation homosexuelle.

Tout au long de son témoignage, le docteur Lussier a tenté de démontrer la pertinence du mesurage du pénis. Il a aussi justifié l’utilisation d’un cathéter pour le prélèvement d’urine, une méthode décriée par le témoin expert de la Couronne, le docteur Marc Girard, professeur à l’Université de Montréal et chef du département de pédiatrie de l’hôpital Sainte-Justine. Il a également parlé du Versed, un sédatif qu’il administrait à ses patients avant certaines interventions. Le médecin a également eu à répondre à des questions sur sa technique qui consiste à placer une débarbouillette sur les yeux de ses patients dans le but, dit-il, de les calmer, avant de procéder à certaines techniques.

Interprétation

À plusieurs reprises, le pédiatre a affirmé être surpris que ces gestes pouvaient comporter des «interprétations d’ordre sexuel».

Et, de toute évidence, les jeunes plaignants n’ont pas eu les mêmes perceptions. C’est du moins ce qui ressort des témoignages livrés lors de l’enquête préliminaire et qui ont ensuite été admis en preuve par la Couronne et par la défense.

Entre autres, un plaignant, aujourd’hui âgé de 18 ans, affirme avoir eu une «sensation de chaleur» sur le pénis lors d’une intervention du pédiatre à l’hôpital Sainte-Croix.«Il me tripotait le pénis. C’était chaud, mais pas mouillé. C’est pour ça que je me demande s’il n’avait pas mis un condom. Je ne suis pas sûr. C’était comme un sac d’eau chaude sur le bout du pénis», de déclarer le patient, qui n’était pas en mesure de voir ce que faisait précisément le docteur Lussier.

Le jeune plaignant se souvient aussi que le pédiatre prenait beaucoup de temps avant de répondre à ses questions.

Le médecin lui aurait également dit qu’il était pour prendre sa température en plaçant un thermomètre dans son anus. Le plaignant a plutôt eu l’impression que c’est un doigt qui est entré par cette voie naturelle.

Selon le plaignant, le docteur Lussier lui aurait déjà demandé s’il avait déjà eu une fellation par une fille. «Il m’a demandé si je m’étais déjà fait sucer par une autre personne», a affirmé le garçon dans son témoignage.

Un autre plaignant, aujourd’hui âgé de 17 ans, affirme que le docteur Lussier ne portait pas de gants lorsqu’il procédait à la mesure de son pénis.

«Il m’a déjà posé des questions pour savoir si j’étais gai ou si j’aurais voulu être une fille», affirme le garçon.

Le jeune soutient aussi que le docteur ne lui aurait jamais parlé de sédatif. «Il m’a dit qu’il devait me donner un liquide pour colorer ma colonne (pour une radiographie). Il m’a dit que je devais m’attendre à un goût amer, mais qu’il avait ajouté du jus de pomme», d’affirmer le plaignant.

Selon lui, le docteur s’est ensuite approché puis il se serait penché vers son pénis. «Son dos me cachait», ajoute-t-il. Le plaignant prétend que Jocelyn Lussier ne se serait servi d’aucun instrument médical. Il ne peut toutefois pas affirmer si Jocelyn Lussier a mis son pénis dans sa bouche. «Tout au long de l’examen, je n’ai jamais ressenti de douleur», de dire le garçon.

Un autre jeune patient, aujourd’hui âgé de 13 ans, raconte que Jocelyn Lussier lui aurait donné un liquide «pour colorer ses intestins». Il aurait ensuite demandé à sa mère de quitter le local où se trouvaient le patient et son médecin.

Le pédiatre aurait ensuite mesuré la longueur du pénis du garçon. «Il a déposé des serviettes sur mon ventre. Il m’a placé une débarbouillette sur les yeux», d’affirmer le plaignant.

«Il s’est ensuite mis à jouer avec mon pénis avec ses doigts», affirme-t-il.

«Mais pourquoi tu n’as pas posé de question ?», lui demande un des avocats. «C’est mon médecin; je lui fais confiance», de répondre le garçon.

«Il a ensuite mis son pénis dans ma bouche», déclare le plaignant.

Selon le docteur Lussier, il s’agirait plutôt d’une seringue sans aiguille avec laquelle il a injecté une seconde dose de Versed.

Contre-interrogatoire

Tout au long de son interrogatoire, le pédiatre Jocelyn Lussier a eu réponse à tout, même s’il commençait à démontrer des signes de fatigue aux derniers jours de son témoignage. Il faut dire que la défense avait sans doute préparé avec minutie tout le déroulement de cette étape.

Le procureur de la Couronne, Me André Rompré, entrera en scène le 8 juin prochain avec son contre-interrogatoire. L’accusé aura alors à répondre à des questions beaucoup plus déstabilisantes. Il sera sans doute questionné d’une façon plus persistante sur des gestes qu’il a posés sur ses patients.

Après quoi, la défense pourrait appeler à la barre d’autres témoins-experts qui viendront appuyer les techniques utilisées par le docteur Lussier.

Outre les 14 chefs d’accusation d’agression sexuelle, le pédiatre de l’hôpital Sainte-Croix doit faire face à neuf autres accusations pour avoir administré un sédatif dans le but de commettre un acte sexuel. Les victimes étaient âgées de 12 à 17 ans.

Les gestes reprochés au pédiatre de 38 ans se seraient produits entre juin et décembre 2002, à l'hôpital Sainte-Croix de Drummondville et à la clinique privée du docteur Lussier."

Drôle de médecine que celle que pratique le Dr. Lussier!

moi je le jeterais en prison

Le Dr Lussier a des trous de mémoire


Alors que le procureur de l’État suggérait que des notes aux dossiers de patients concernaient des mesures prises sur des organes sexuels en érection, le docteur Jocelyn Lussier, à deux reprises, n’a pas su quoi répondre.
Le docteur Lussier est ce pédiatre de Drummondville qui est accusé de quatorze agressions sexuelles sur autant d’adolescents. On lui reproche aussi, dans neuf cas, d’avoir administré des sédatifs aux garçons.

Depuis le début du procès, le médecin a réponse à tout. Mais hier, interrogé par Me André Rompré, du ministère public, à savoir si la note « ER 15 » apparaissant à une ligne contenant des mesures de pénis signifiait qu’on avait pris les mesures du sexe en érection de l’adolescent, le spécialiste protestait, disant ne jamais avoir posé un tel geste. Il ajoutait qu’il ne se souvenait plus de la signification de cette note au dossier.

L’anecdote en serait probablement restée là si, dans un autre dossier, le procureur n’avait trouvé une note semblable. Reprenant ses protestations, le docteur Lussier se faisait beaucoup plus hésitant avant d’affirmer, pour la deuxième fois, que sa mémoire le trahissait et qu’il ne se souvenait plus de la signification de cette note.

La journée avait pourtant bien débuté pour le médecin. Le procureur du ministère public le contre-interrogeait sur ses habitudes de mesurer les pénis et les testicules.

L’avocat voulait connaître l’utilité d’une telle pratique. C’est alors que Me Longpré a abordé le dossier d’un des jeunes plaignants.

Réponse percutante

Le médecin, jetant un œil au dossier, donnait sa réponse la plus percutante depuis qu’il est à la barre des témoins.

Ainsi, disait-il, si on regarde les mesures des testicules de l’adolescent, celui-ci n’a eu aucune augmentation de la dimension des testicules entre l’âge de quatorze et de dix-sept ans.

La chose, indiquait le médecin, est notable, d’autant plus que le patient affichait un retard pubertaire. Et à cela il faut ajouter que, paradoxalement, le pénis, lui, poursuivait son développement.

«La mesure pénienne, précisait le docteur, est importante car ça nous indique que le développement du pénis est normal et ça nous dit que les testicules, malgré cela, fonctionnent normalement.»

Exception faite des questions relatives aux mesures de pénis en érection, le docteur a pu justifier chacun de ses gestes dans les autres dossiers.

Tout un homme lui !!! Tres bon manipulateur....grand parleur...Il pourrais vendre un frigdaire a un esquimaux mais cibole que j'ai hâte que les juges et avocats s'ouvre les yeux !! Je dis pas si y aurais juste un garçon mais a gang qui sont voyons !! loll Si lui y a rien fais a ses jeunes la...moi je me presente...Mere Théresa ! loll --Message edité par ladyblues le 2004-06-12 13:39:35--

Citation :Tout un homme lui !!! Tres bon manipulateur....grand parleur...Il pourrais vendre un frigdaire a un esquimaux mais cibole que j'ai hâte que les juges et avocats s'ouvre les yeux !! Je dis pas si y aurais juste un garçon mais a gang qui sont voyons !! loll Si lui y a rien fais a ses jeunes la...moi je me presente...Mere Théresa ! loll
met en t'as raison ce gars la est coupable sur toute la ligne c flagrant

En tout cas, de tout ce que j'ai entendu à présent sur ce procès aux nouvelles, je trouve cela louche.  Et le fait qu'il ait toujours réponse à tout

Me semble qu'un examen médical fait normalement ne devrait pas laisser chez les patients un sentiment de doute quant à de possibles agressions sexuelles.  

jaskab  a écritEn tout cas, de tout ce que j'ai entendu à présent sur ce procès aux nouvelles, je trouve cela louche.  Et le fait qu'il ait toujours réponse à tout

Me semble qu'un examen médical fait normalement ne devrait pas laisser chez les patients un sentiment de doute quant à de possibles agressions sexuelles.  


Après avoir lu tout ça, je me demande si ce doc est vraiment naïf au point de penser que tout le monde va croire à ses sornettes?

J'espère que certains membres du jury ont quelques notions médicales...

D'abord quand on veut un prélèvement d'urine, le meilleur moyen c'est de demander au patient d'uriner, on garde les cathétérisme pour les incontinents, c'est déjà louche. De plus chaque cathétérisme comporte un risque d'infection...

Ensuite, quelles genres d'interventions pouvaient justifier la prise de versed, extrêmement étrange...il leur arrachait des dents ou quoi?

Il disait vouloir colorer leur intestin ou leur colonne, d'habitude ça se fait en radiologie ça et soit le patient boit du baryum , liquide blanc épais , soit il boit une solution iodée, dans du jus de pommes...ah ben c'est une nouveauté celle-là!

Les serviettes sur le ventre ben oui, pour essuyer quoi???

Débarbouillette sur les yeux, il joue à colin-maillard avec ses patients? J'ai jamais vu une telle pratique.

Mesurer des pénis, des testicules et poser des questions sur la vie sexuelle des patients,ça fait très pédophile ça, médecin ou pas...

Il est allergique aux tites culottes, tiens donc toi...une bonne raison d'éternuer sur le sexe de ses patients, faut pas lui en vouloir ya pas de claritin à Drummondville! (excusez celle-là!)

J'espère sincèrement que ce profiteur, maniaque, manipulateur, abuseur, menteur sera reconnu coupable et fera de la prison après avoir perdu son permis à vie!

des fois je me demande si en cour ils voient clair c sur que yé coupable c trop louche