Page 2 sur 3
Publié : mer. juin 25, 2008 12:58 pm
par apbt
Seniorita a écrit
Me semble que son costard était à fines rayures et/ou marine puis que c'est Julondon qui avait mis cette photo.
Publié : mer. juin 25, 2008 1:11 pm
par @M!CRO@
titine a écrit
haha c'est sur que c'est pas le même genre que ton homme.
Moi aussi le mien est plus calme que Guillaume.
héhé! Non pas tout a fait le même genre d'homme....j'aime mon homme tout doux et tout calme... mais c'est vrai que Guillaume peut avoir un certain charme...mais avec avec ses nouveaux cheveux..en tout cas, pas pour moi! ;)
Publié : mer. juin 25, 2008 2:13 pm
par jujube02
je confirme avec toaster , en vrai guillaume est super calme et posé et on peut avoir de belle discussion profonde
Publié : mer. juin 25, 2008 2:29 pm
par Muska
moi je l'aime de plus en plus lui...et je le trouve de plus en plus sexe aussi...
Publié : mer. juin 25, 2008 6:34 pm
par capella
On dirait Jenny sorti de sa bouteille.
Guillaume je le trouve plutôt beau gars, pour ses cheveux, me semble avoir lu que c'était pour un personnage qu'il va jouer...
Publié : mer. juin 25, 2008 6:45 pm
par Seniorita
Pas rapport à ses cheveux mais si yen a qui veulent lire....
"J’apprends à m’aimer"
Guillaume Lemay-Thivierge
Guillaume Lemay-Thivierge a un parcours plutôt unique. Enfant-vedette, il a eu une adolescence loin des projecteurs pour revenir en force une fois adulte. Maintenant dans la trentaine, il ne souhaite qu’une chose: apprendre à aimer l’homme qu’il est devenu.
Guillaume, Tu es très intense. Penses-tu que tu aurais pu développer une forme de, dépendance?
Je ne suis jamais tombé dans quelque chose de noir, mais oui, j’aurais pu. Il y a une chose dont je suis dépendant: je suis un éternel insatisfait. Je veux toujours être meilleur et j’ai besoin d’intensité. Ça me vide, ça me fait peur, mais ça me fait du bien. J’ai une grosse soif de sentiments forts. J’aurais été un joueur compulsif parce que j’ai cette même envie d’adrénaline et j’ai besoin de me sentir en danger. Quand je ne suis plus en danger, ma vie m’ennuie. Il faut que je provoque les choses.
Remplis-tu un vide?
Je ne sais pas, mais je suis à la veille d’aller en thérapie pour trouver la réponse. Je suis sérieux. J’ai toujours un sentiment de culpabilité, ça me gruge. Je suis bon pour donner des théories, mais pour les appliquer... On dirait qu’il faut que je serve à quelque chose. Le sentiment du devoir accompli m’est nécessaire et, parfois, je m’embarque dans des affaires qui me mettent dans des situations délicates. On dirait que je joue ma vie chaque fois.
Vas-tu être capable de t’ouvrir à un psychologue alors que tu es si connu?
Oui, même si je suis habitué à avoir un filtre, je vais trouver quelqu’un en qui j’ai confiance. J’ai déjà fait une thérapie fermée intensive d’une semaine. C’était juste avant d’avoir mon enfant, il y a sept ans. Mon père, ma mère et mon frère l’ont fait aussi; c’est bénéfique, on se recentre.
Le succès ne remplit pas mon vide. Parfois, je sors d’une journée pendant laquelle j’ai reçu des compliments et je me dis: «Si je pouvais penser de moi ce que j’ai entendu aujourd’hui, je serais heureux.» Je travaille sur moi, j’essaie de me complimenter et de voir mes bons côtés. Mes défauts, je les vois, mais les qualités, c’est plus ardu.
J’apprends à m’aimer. Il faut que je le fasse. En plus, toutes ces obligations que je m’impose m’empêchent de voir ma fille autant que je le voudrais. Je dois apprendre à dire non. Je ne veux plus disperser mon temps auprès de tout le monde. Si je me demande qui je suis vraiment, je ne suis pas capable de répondre. Si je me demande ce que je n’aime pas et ce que j’aime, je ne suis pas capable de répondre non plus.
Comment se sent-on quand on est la «muse» de Réjean Tremblay?
Je comprends sa façon de voir. J’ai passé deux heures seul avec lui dans sa voiture, entre Trois-Rivières et Québec. Il m’a raconté plein d’affaires, et là j’ai vraiment appris à le connaître. Avant, je ne l’aimais pas. J’avais joué dans un de ses téléfilms et je le trouvais très prétentieux. Nous vivions dans la même municipalité, et je l’avais croisé au dépanneur: il m’avait regardé comme si j’étais un moins que rien. Il a fait une thérapie et il a évolué. Moi aussi, j’ai vécu ce changement. Auparavant, je jugeais facilement les gens. Maintenant, je suis plus ouvert, et ça donne aussi le goût aux autres de s’ouvrir.
Avais-tu la tête enflée?
Oui. Dans le fond, je ne savais pas exactement ce que je voulais, je critiquais et je n’avais pas assez d’expérience. Plus jeune, j’étais très sûr de moi, j’étais appelé à gauche et à droite... C’est aussi le cas en ce moment! Il y a pas mal moins de chances que j’aie la tête enflée parce que j’ai compris que c’était éphémère et que ça ne servait à rien. Plus jeune, je me suis fait haïr. Je n’étais pas tenable, j’étais un petit monstre. Quand tu as beaucoup de succès, tu es dans une bulle, tu ne vois plus la réalité telle qu’elle est vraiment.
Ton père a été ton agent et il avait la réputation d’être surprotecteur avec toi.
Oui, il a été épouvantable avec certaines personnes, mais avec moi, il était protecteur. Il ne vient pas d’un milieu riche, il vient de la rue. Ma tête enflée, c’était dû aussi à son côté surprotecteur. J’avais besoin d’être couvé quand j’étais enfant, mais il a dû aussi me dire la vérité pour que je garde les pieds sur terre.
Comment vit-on le fait d’être un enfant-vedette?
Je ne m’en souviens plus... Ce que j’ai eu à réparer, c’est la surprotection de mon père, mais ça aurait pu être bien plus grave que ça. Il a protégé mon enfance en me faisant dormir plus tard. C’est sûr que la conséquence était que j’arrivais en retard sur les plateaux, alors il prenait cette responsabilité sur lui en trouvant des raisons. Je me souviens, après le lunch sur un tournage, je voulais aller jouer au parc. Il se disait: «Mon enfant n’a pas joué de la journée», alors il me donnait l’autorisation.
Aux yeux des autres, il passait pour un méchant parce qu’il voulait que j’aie une vie d’enfant. J’ai le souvenir de mon père m’enroulant dans une couverture avant de me mettre dans l’auto. On s’en allait à Montréal pour un tournage, et je me réveillais doucement. Il me disait: «Aujourd’hui, Guillaume, ce sont les lave-glaces qui ont brisé.» Et j’avais compris. Il m’avait fait dormir une heure de plus, et nous étions en retard. En plus, il aimait jouer au méchant avec les producteurs. Il avait été videur dans un bar et avait côtoyé la famille Dubois. C’était un vrai dur à cuire. Je suis content de pouvoir dire que mon père a été épouvantable avec le milieu pour me protéger.
Tes parents n’étaient pas conventionnels...
C’est vrai. Juste pour te dire: ma mère est orthopédagogue et, à l’âge de neuf ans, je ne savais pas lire! Tu vois, ma fille a six ans, bientôt sept, et elle sait lire et écrire. Je ne lui offre pas la même éducation. Mais ma mère savait qu’elle pouvait me prendre en charge et qu’elle m’enseignerait le français. C’étaient vraiment des marginaux.
Ferais-tu vivre la même chose à ta fille si c’était son désir?
Oui. Et je prendrais la méthode du videur de bar! J’aurais aimé être frondeur comme mon père. Ma joie de vivre vient de ma mère. Elle a un grand cœur. Mon père est déterminé et fonceur; mon intensité me vient de lui. Nous en avons vécu des choses ensemble. À l’adolescence, j’avais moins de contrats. Nous avons créé un spectacle de musique et de gymnastique avec mon frère. Ma mère confectionnait les costumes, et on se promenait partout au Québec. Ç’a été dur, avec tout ce que j’avais vécu, de faire de la tournée et d’essayer de vendre le spectacle dans des bars.
As-tu connu une crise avec ton père?
Ça s’est passé à l’adolescence. On s’est séparés professionnellement parce qu’on avait moins le goût de travailler ensemble. J’ai eu peur de ne pas savoir me définir comme individu à cause du métier bien plus qu’à cause de mon père. J’ai tellement voulu plaire et j’ai vécu dans le paraître. Je suis encore là-dedans, je me bats pour découvrir qui je suis. Je me suis longtemps senti comme une marionnette parce que j’avais peur de dire des choses qui déçoivent. Je voulais faire l’affaire de tout le monde. Je me suis senti obligé de dire oui à tout.
Mais le temps que je donne, même si ça peut faire du bien aux autres, ce n’est pas du temps que je m’accorde. Ce que je trouve dur, c’est que la journée où j’ai des problèmes, je ne peux pas dire aux personnes qui me saluent dans la rue: «Je suis content de vous rencontrer, mais là, je n’ai pas le goût de parler.» Non, je vais sourire même si j’ai de la peine.
Ta fille est-elle consciente de ta popularité?
Ses amis à l’école lui parlent de son père, qui joue dans Ramdam. J’essaie de la protéger. Mais c’est très délicat. Ce n’est pas une vie pour avoir des enfants. Pour les horaires et pour le côté «vie publique». J’évite de prendre des photos avec ma fille pour qu’elle puisse faire sa vie à elle.
Et la fidélité? Tu es sollicité partout et tu as beaucoup d’admiratrices…
Je suis fermé à l’infidélité, et ça doit se sentir. Je suis un charmeur: si je trouve quelqu’un beau, je lui dis tout de suite et c’est réglé. Je suis heureux en couple et je dis tout à Mariloup. Je vais lui raconter que je suis content de tourner avec cette belle actrice; elle va me dire «Ben là!» mais elle n’a pas à s’inquiéter. C’est quand tu ne parles pas et que tu cogites qu’il y a un problème. Le dire, ça enlève beaucoup de désir.
Avec un tel succès, il y a des couples qui ne tiennent pas le coup.
Mariloup et moi, on s’encourage beaucoup. Il n’y a pas de jalousie ni d’envie. On est chanceux, ça marche pour nous deux alors qu’une tension aurait pu s’installer. Quand l’un a du succès et de nombreux contrats et que l’autre reste à la maison, ça touche l’estime de soi. Je sais à quel point elle est charmante et talentueuse, alors je l’encourage au maximum. Et c’est la même chose pour elle: elle est la personne qui m’encourage le plus dans la vie. Nous évoluons côte à côte. On a un projet en ce moment: on veut produire et réaliser ensemble. J’ai entièrement confiance en elle.
Aimes-tu ta vie?
Oui, mon expérience de vie est incroyable. Mais je veux trouver un moyen d’aimer comment je la vis. Ce n’est pas ce que je fais qui n’est pas correct, c’est la façon dont je le fais.
Publié : mer. juin 25, 2008 6:48 pm
par Seniorita
M'a finir par la trouvé...
Publié : mer. juin 25, 2008 6:51 pm
par Seniorita
oh il y a des rayures!
--Message edité par seniorita le 2008-06-26 00:52:24--
Publié : mer. juin 25, 2008 6:52 pm
par apbt
Seniorita a écrit
M'a finir par la trouvé...
Je pense que c'est celle-là, mais il a pas de rayures, c'est moi qui devais être mêlée
t'es tenace!
Il est super élégant là-dedans --Message edité par apbt le 2008-06-26 00:56:22--
Publié : mer. juin 25, 2008 6:55 pm
par Seniorita
Publié : mer. juin 25, 2008 6:55 pm
par apbt
Seniorita a écrit
Nonnnnnnnnnnnnnnn
Publié : mer. juin 25, 2008 6:57 pm
par Seniorita
apbt a écrit
Nonnnnnnnnnnnnnnn
lol... c'est sa pire de toute..
cauchemar
comme ça sa finit mieux les photos de lui..
Publié : mer. juin 25, 2008 7:01 pm
par Seniorita
Publié : mer. juin 25, 2008 8:22 pm
par Pico82
croustille a écritNe pas bitcher se mec SVP
Elle pas de trouble
Elle? Ok...
Elle a vole la robe d'Annie Villeneuve!
Ca prend tu une nouille pour faire ca!!
Publié : mer. juin 25, 2008 8:23 pm
par Pico82
Ok je vais me coucher...
Publié : jeu. juin 26, 2008 5:17 pm
par *Raphaëlle*
Mon dieu qu'il est beau cet homme
Publié : jeu. juin 26, 2008 5:48 pm
par La Sulfureuse
*Raphaëlle* a écritMon dieu qu'il est beau cet homme Oui il est mignon. Je l'ai rencontré sur St-Denis je crois et il était tellement gentil avec les gens. Il faisait plein de blagues et jasait vraiment beaucoup. Mais crime qu'il est pas grand
Publié : ven. juin 27, 2008 12:57 am
par Lison48
La Sulfureuse a écrit Oui il est mignon. Je l'ai rencontré sur St-Denis je crois et il était tellement gentil avec les gens. Il faisait plein de blagues et jasait vraiment beaucoup. Mais crime qu'il est pas grand
Combien mesure-t-il? Lorsque je le voìs à la télévision, il n'a pas l'air si court que ça. En fait, la grandeur c'est relatif, mon mari mesure 5 pi 7po et je le trouve grand parce que je mesure seulement 5 pieds.
Publié : ven. juin 27, 2008 5:08 am
par Mirianne
Je l'ai rencontré à l'âge de 13 ans (il y a déjà 12 ans ce ca) je mesurais 5'5 et j'étais plus grande que lui (Il avait autour de 18-20 ans)
Publié : ven. juin 27, 2008 5:26 am
par toaster
selon le site de son agente, il mesure 5"6