LE DOMAINE BLEU

NainDeJardin a écrit : Je miserais sur celui *****édité****

Malike a écrit : [...]


Je le pensais aussi mais monsieur a des enfants avec madame donc ca l'exclus il me semble.

NainDeJardin a écrit : Je miserais sur celui *****édité****

Krysantheme a écrit :

edit : ca peut pas etre elle parce qu'il sortait encore ensemble a la fin de 2008 et que le cas dont on parle traine depuis plus longtemps.

Carnie a écrit : Il me semble de mémoire que lors de l'entrevue que j'avais regardée avec justement la madame de la photo ici, elle disais que ça faisait plusieurs années qu'elle était avec *****édité**** (style 10-20 ans) et ce m'avait bien surprise.

La jeune Brésilienne qui réclame des millions à titre de pension à son ex-conjoint de fait, un richissime Québécois, aimerait bien conserver le train de vie luxueux de ses belles années et acheter un hélicoptère.

Train de vie luxueux
Fabrice De Pierrebourg
Le Journal de Montréal
21/01/2009 07h58 - Mise à jour 21/01/2009 11h37

Lola (nom fictif) semblait décontenancée lors de son contre-interrogatoire hier.


Me Pierre Bienvenu, qui représente le multimillionnaire dont on doit taire aussi le nom, a tenté de rafraîchir la mémoire de l'ex-mannequin de 34 ans.


L'avocat voulait savoir comment elle avait estimé à 56 000 dollars ses besoins mensuels, montant réclamé à monsieur en plus d'un forfait de 50 millions de dollars.


Lola a répondu que cette somme correspondait à ce qu'elle dépensait du temps de sa vie de jet-set avec son ex. Le seul exemple concret qu'elle a cité faisait référence à «une seule pièce de vêtement achetée 10 000 dollars» pour un voyage à Paris.


Me Bienvenu l'a déstabilisée un peu plus lorsqu'il lui a demandé de confirmer si elle n'avait jamais dit à monsieur qu'elle souhaitait acheter un hélicoptère.


«Oui, j'ai déjà dit à [...] que j'aimerais avoir les moyens un jour de m'en acheter un.» Lundi, Lola avait évoqué dans son témoignage son désir de prendre des leçons de pilotage d'hélicoptère.


Agacée, elle a répliqué à l'avocat qu'elle ne demandait que 1 ou 2 % de la fortune de son ex, et non «la moitié, 100 % ou 10 %».


1 M$ de frais d'avocats


L'avocat l'a aussi longuement cuisinée au sujet des notes d'honoraire de ses avocats.


Des frais estimés à 1 million de dollars, experts inclus, qui seraient assumés par un autre homme d'affaires du nom de Herbert Black. Ouvrait-elle les enveloppes ? Connaissait-elle le montant de la dernière facture ? À voir ses réponses hésitantes, Lola ne semblait pas savoir exactement ce qu'il en retournait à ce niveau-là.


Celle-ci a expliqué être assez débordée ces derniers mois entre un voyage et sa maison contaminée aux moisissures (ce qui l'avait obligée à porter un masque) pour se «poser des questions» sur les factures.


Du coup, la juge Carole Hallée lui a demandé de fouiller dans ses boîtes hier soir pour les trouver.


Lola a aussi levé le voile sur la nature de ses relations avec M. Black. Les deux ont eu une relation amoureuse de 2004 à 2006.


Ils n'habitaient pas ensemble mais se voyaient souvent. «C'était une relation normale, a expliqué Lola. On allait au chalet le week-end, au restaurant, au cinéma, en voyage à New York, en Europe.»

Justice - Famille
Sexe, drogues et top modèles
Fabrice De Pierrebourg
Le Journal de Montréal
20/01/2009 06h40 - Mise à jour 20/01/2009 14h57

Lola (nom fictif) a répondu aux questions des journalistes après son témoignage.



© Photo Le Journal, Pablo Durant

Un procès retentissant qui s'est ouvert hier à Montréal, impliquant un multimillionnaire québécois et une ex-mannequin brésilienne, jette un éclairage aussi croustillant que pathétique sur une vie de jet-set tumultueuse où la drogue côtoie le sexe.



Le procès en question, qui se déroule en Cour supérieure, a pour toile de fond le sort réservé au Québec aux ex-conjoints de fait après une séparation.


La jeune femme en question, Lola (nom fictif), qui réclame une pension de 50 M$, n'avait que 17 ans en 1991, lorsque son regard a croisé celui de l'homme d'affaires, de quinze ans son aîné, sur une plage brésilienne.


Quelques mois plus tard, Éric (nom fictif) lui envoie un billet d'avion afin qu'elle le rejoigne lors d'une occasion spéciale.


Étant mineure, elle avait besoin d'une autorisation parentale pour se faire établir un passeport. «Mon père ne voulait rien savoir», a-t-elle dit. Il m'a dit: «Si tu pars, ne compte plus sur moi pour te payer ton école, les belles choses que tu aimes.»


«Ne t'inquiète pas, lui aurait répondu Éric, je prendrai soin de toi.»


Les deux tourtereaux multiplient les voyages jusqu'au bout du monde. En 1994, la jeune femme, qui ne se voit pas «habiter dans la même maison avec un homme sans être mariée», a évoqué cette hypothèse :


«J'ai une éducation traditionnelle, a-t-elle raconté. Après trois ans, j'aurais souhaité qu'il s'engage de façon plus sérieuse. [...] Mais lui m'a dit qu'au Canada, c'est normal. Au Brésil, ce n'est pas normal».


Consommation de cocaïne


Dès lors, à entendre son témoignage entre-coupé de sanglots, le conte de fées tant espéré semble tourner au mauvais roman-savon. Lola semble se morfondre dans sa maison alors que son chéri multiplie les voyages à l'étranger. Pour affaires ou assouvir sa passion de l'automobile. Et quand il est à Montréal, elle doit l'accompagner dans les soirées jet-set. Les temps consacrés à l'intimité semblent rares. C'est, soutient-elle, sans compter ses infidélités.


Jusqu'en 2002, date de leur séparation, Lola donnera naissance à trois enfants. Mais jamais elle n'aura pu réaliser son rêve de se marier. Selon elle, à chaque fois Éric trouvait des prétextes, familiaux ou professionnels, pour s'en tirer.


Spontanément, à la fin de son témoignage, Lola a pointé du doigt la «consommation assez forte» de cocaïne d'Éric comme la raison de ses «hauts et de ses bas».


«C'est ce qui a perturbé notre relation», a-t-elle estimé.


Le procès se poursuit aujourd'hui avec le contre-interrogatoire de Lola.


DES VERTES ET DES PAS MÛRES...


Ce que l'on a appris aussi lors du témoignage de Lola :


Lola a un «ami», qui assiste au procès, et qui paye la facture salée de frais d'avocats et d'experts estimée à 1 M$.

Il s'agit d'Herbert Black, un homme d'affaires connu pour avoir acheté 100 000 $ la cravate de Guy Carbonneau.

Lola est tombée enceinte après une relation «extra-conjugale» avec un sportif, et elle a subi un avortement.

Lola a surpris Éric avec une autre femme dans son lit dans un hôtel à l'étranger.

Lola a tenté de se suicider à au moins deux reprises, en se tailladant les veines et en ingurgitant des médicaments et du haschisch qu'Éric entreposait dans son frigo. Éric s'absentait souvent les week-ends pour suivre certaines compétitions dans le monde entier.

Éric aurait raté la naissance de son fils, en 1999, parce qu'il avait choisi de se rendre en Europe pour un party privé organisé par une équipe sportive.

Une fois, de retour du Brésil, Lola aurait vu des seringues joncher le sol du jardin, vestiges d'une fête organisée par Éric.

Des paparazzi ont surpris Éric en plein calin avec une femme à l'extérieur.

Éric a parlé à plusieurs reprises de séparation, mais Lola ne voulait pas.

Éric a obtenu un jugement au Brésil pour faire bloquer certains avoirs de Lola.