LE DOMAINE BLEU

Beppo a écrit : [...]


Mais comment se fait-il qu'on n'ait pas les mêmes exigences pour le maire de la ville d'Ottawa qui devrait lui aussi être capable de s'adresser à un fort pourcentage de francophones? Qu'en est-il aussi de ces maires des grandes villes qui sont unilingues et qui ont sûrement dans leur ville une minorité linguistique assez forte peu importe le pays, on s'entend? Exige-t-on qu'ils parlent deux langues et en fait-on un plat?

Que l'anglais soit une langue universelle, j'en conviens. Mais des interprètes existent pour faciliter le dialogue entre deux personnes de langues différentes. Quand le représentant d'un pays asiatique, par exemple, rencontre un président anglophone, un interprète sert d'intermédiaire entre eux, non? Est-ce un mal si terrible que ça? Pourquoi ailleurs on n'en fait pas un plat mais ici...

Ely a écrit : [...]


Je fais beaucoup de travail en tant qu'interprète linguistique et je peux te dire que d'un interprète à l'autre, la traduction peux changer beaucoup. Quand tu gères des affaires aussi importantes qu'une métropole, c'est plus qu'important de pouvoir avoir un dialogue clair et non biaisé par un interprète.

Beppo a écrit : [...]


Ça devait sûrement être le cas avec Jean Chrétien...

pinote a écrit : On est au Québec et au Québec, la langue officielle, ben, c'est le français. Et si on veut le conserver, ben les anglos et les immigrés n'ont qu'à l'apprendre.
En plus, le maire Tremblay s'est fait élire surtout parce qu'il se disait être CONTRE les fusions. Il a ensuite changé d'idée comme c'est son habitude.
Pour moi, vaut mieux avoir une mairesse unilingue décidée à apprendre l'anglais qu'élire un maire bilingue qui dit n'importe quoi et qui est continuellement dans le champs.
Comment attirer les touristes quand pratiquement toutes les rues sont impassables? Les commerçants ne cessent de se plaindre avec raisons. Pour stationner, ça coûte une fortune. Bien sûr, on peut magasiner et traverser sur la rive-sud ou rive-nord avec plein de paquets en vélo. Ou encore en métro surpeuplé? Une sortie chic dans un resto en vélo?
Et que dire de la saleté de la ville!
Et pourtant, notre maire est bel et bien bilingue...............

pinote a écrit : On est au Québec et au Québec, la langue officielle, ben, c'est le français. Et si on veut le conserver, ben les anglos et les immigrés n'ont qu'à l'apprendre.
En plus, le maire Tremblay s'est fait élire surtout parce qu'il se disait être CONTRE les fusions. Il a ensuite changé d'idée comme c'est son habitude.
Pour moi, vaut mieux avoir une mairesse unilingue décidée à apprendre l'anglais qu'élire un maire bilingue qui dit n'importe quoi et qui est continuellement dans le champs.
Comment attirer les touristes quand pratiquement toutes les rues sont impassables? Les commerçants ne cessent de se plaindre avec raisons. Pour stationner, ça coûte une fortune. Bien sûr, on peut magasiner et traverser sur la rive-sud ou rive-nord avec plein de paquets en vélo. Ou encore en métro surpeuplé? Une sortie chic dans un resto en vélo?
Et que dire de la saleté de la ville!
Et pourtant, notre maire est bel et bien bilingue...............

pinote a écrit : L. Harel est une dame qui a toujours géré ses dossiers à fond. Peut-être même qu'avec une saine administration, les fusions auraient été avantageuses. Elle est très capable d'apprendre l'anglais convenablement, c'est d'ailleurs dans ses intentions, à ce qu'elle disait.
À Québec, pas de métro. Mais c'est largement compensé par la propreté de la ville malgré toutes les activités qui s'y tiennent.
J'ai vendu ma voiture dernièrement. Rêveuse, je m'imaginais le grand confort de l'autobus et du métro. WOW Je suis vite retombée sur terre et je suis à en magasiner une nouvelle.
1. Tu as travaillé debout toute la journée et épuisée, tu es debout encore tout le trajet du retour dans un bus rempli des mamans avec leur large poussette de bébés et de paquets; tu te fais pousser jusqu'à ton arrêt; les enfants ont souvent les meilleures places. Pourtant, je dois payer plein prix, car je ne suis pas une enfant et je n'ai pas 65 ans. Je suis simplement une commis d'épicerie.

2. Tu arrive à ton arrêt et là, tu dois attendre ton transfert. Certains arrêts n'ont pas d'abri-bus. Beau temps, mauvais temps, le bus passe quand ça lui tente.

3. Aller dans un souper chic en métro ou en bus. Désolée, c'est tellement sale. Sans compter qu'à la sortie des métros, on a souvent droit à des tites gangs et oui, très souvent, j'ai peur et je suis pas la seule.

4. Aller en vélo, c'est trop loin et tout le monde n'a pas cette capacité-là surtout après une journée de boulot ou j'ai peine à marcher.

Je pense pas que Tremblay aille faire ses emplettes à vélo là, même s'il aime bien se promener pour les caméras.

Finalement, la réalité a eu tôt fait de me rattrapper.
Ce que je peux m'ennuyer de ma voiture.

pinote a écrit : Je suis allée voir sur le site de Communauto. Je trouve ça vraiment bien et je vais prendre davantage d'informations. Mais ça ne pourra être qu'une solution à court terme, autrement ce sera trop cher pour mes moyens
Quand j'ai vendu ma voiture, je voyais ça comme un repos, me laisser conduire assise dans le bus et le métro. J'ai vite désenchanté hein. Le métro, comme tu dis, ça pue, on est tassé, debout très souvent et de la marche, oufffff...... et pour l'autobus, c'est pas beaucoup mieux. Surtout avec les larges poussettes deluxe (ils devraient charger au moins un extra pour ça), ça fait dur. Quand j'ai fini mes 8 heures debout à une caisse, j'ai juste le goût d'arriver au plus vite chez nous. Et il y en d'autres comme moi.

Tu es bien chanceuse de faire du vélo, j'ai souvent essayé, mais le plus que je pouvais faire, c'est une couple de rues et j'avais dans la trentaine. Mais j'aimais bien aller avec mes enfants et mon mari me promener, ils étaient patients, lol. Là, j'approche de mes 60 et j'aime encore ça malgré tout, j'essaie encore un peu des fois juste pour le plaisir, mais c'est pas fort, je perds tout le temps l'équilibre.

Alors, je pense bien que je n'aurai pas le choix, financièrement, je suis pas prête à arrêter le boulot encore. Et il y en a encore beaucoup dans ma situation.

Ely a écrit : [...]


Je vous accorde que le métro, ca l'a son odeur caractéristique. C'est pas à cause qu'on est à Montréal, c'est comme ça partout dans le monde. Mais une fois dans le wagon, c'est climatisé au moins. Mais perso, j'ai toujours préféré le train de banlieu. On en a pas à Québec de ça n'ont plus, maudit que ça me manque.

Les grosses poussettes c'est une plaie, je suis d'accord avec vous. C'est très américain comme mentalité, ca nous prend une grosse poussette qui va aller avec notre gros VUS, . Parce que normalement on devrait pouvoir faire du portage jusqu'à ce que bébé marche. Mais encore là, on aime pas ça forcer les enfants à marcher. On est pas la pour leur donner l'exemple non plus.

Le vélo c'est super pour faire les commissions, aller à la pharmacie, l'épicerie, etc. Mais pour les grands trajet faut être en forme et c'est pas tout le monde qui peux le faire. L'idéal c'est de faire un peu de vélo jusqu'à la station la plus proche.

Ely a écrit : [...]


Je vous accorde que le métro, ca l'a son odeur caractéristique. C'est pas à cause qu'on est à Montréal, c'est comme ça partout dans le monde. Mais une fois dans le wagon, c'est climatisé au moins. Mais perso, j'ai toujours préféré le train de banlieu. On en a pas à Québec de ça n'ont plus, maudit que ça me manque.

Les grosses poussettes c'est une plaie, je suis d'accord avec vous. C'est très américain comme mentalité, ca nous prend une grosse poussette qui va aller avec notre gros VUS, . Parce que normalement on devrait pouvoir faire du portage jusqu'à ce que bébé marche. Mais encore là, on aime pas ça forcer les enfants à marcher. On est pas la pour leur donner l'exemple non plus.

Le vélo c'est super pour faire les commissions, aller à la pharmacie, l'épicerie, etc. Mais pour les grands trajet faut être en forme et c'est pas tout le monde qui peux le faire. L'idéal c'est de faire un peu de vélo jusqu'à la station la plus proche.

pinote a écrit : Il devrait y avoir une charge supplémentaire pour ces poussettes, disons entre 16 et 20 hres, comme ça, il y en aurait moins aux heures de pointe où les travailleurs finissent de travailler. C'est assez enrageant quand tu paie le plein prix et que tu te fais pousser debout dans le bus après une longue journée de travail debout.

Malike a écrit : [...]


Attend d'avoir ton bébé, tu changeras peut-être d'avis. C'est bien beau le portage mais quand tu dois te déplacer avec des tas de trucs, couches, vêtements de rechange, un peu de nourriture, jouets, et j'en passe, que tu voudras faire des petites escapades, tu m'en reparlera. C'est pas une question de ne pas leur montrer à marcher, sauf qu'un jeune enfant ca ne tient pas très longtemps, et des fois aussi ca ne veut juste pas marcher, la poussette devient un indispensable. Il s'en fait de plus compactes quand tu as les moyens d'en avoir plus d'une, mais quand tu veux partir pour un plus long moment, c'est bien pratique que bébé puisse faire une sieste confortablement. La mienne était assez grosse mais je l'ai adoré, elle en a fait des rendonnées!!

Malike a écrit : [...]


Ok donc les parents qui n'ont pas de voiture devraient s'abstenir de circuler avec leurs enfants sur les heures de pointe? Parce que si tu te retrouves en métro ou en bus avec une poussette, on s'entend que c'est par nécessité, sûrement pas pour le plaisir.

pinote a écrit : [...]

Ils peuvent s'arranger pour ne pas revenir dans les heures de pointe et s'il le faut, ben, payer un petit supplément. Les enfants ne paient pas dans l'autobus. Et c'est pas juste que ceux qui paient le gros pris soient pognés pour rester debout à se faire bardasser après avoir passé une longue journée (commis d'épicerie, de magasin, de boutiques, serveurs et serveuse de restos)

pinote a écrit : [...]

Ils peuvent s'arranger pour ne pas revenir dans les heures de pointe et s'il le faut, ben, payer un petit supplément. Les enfants ne paient pas dans l'autobus. Et c'est pas juste que ceux qui paient le gros pris soient pognés pour rester debout à se faire bardasser après avoir passé une longue journée (commis d'épicerie, de magasin, de boutiques, serveurs et serveuse de restos)