LE DOMAINE BLEU

Soleil47 a écrit : [...]


C'est quoi le lien avec Yves Lavigueur???

Pantera72 a écrit : oui mais c'est quoi le lien avec le meurtrier ici? je trouve ca inutile: on fait la chasse à ceux qui ont le malheur d'être amis Facebook avec des pas fins???

gazzoux1 a écrit : [...]


Elle ne fait pas le procès de Yves Lavigueur, elle a seulement mentionné qu'il faisait partie de ses amis. Il n'y a aucun lien mais ce n'est pas compromettant d'avoir mis son nom, je ne pense pas qu'elle avait de mauvaises intentions. Enfin moi ça m'importe peu qu'il soit ami ou parent avec lui.

Nikki a écrit : [...]


C'est que ce n'est pas long que dans la tête des gens, les associations se font...

Dans la mesure où il n'a absolument aucun lien avec cette histoire et n'est pas membre ici pour venir discuter là-dessus, je préfère qu'on le laisse en dehors de ça....

MME C a écrit : Meurtre de Joleil Campeau
Daudelin: un dangereux prédateur
Première publication 24 juin 2011 à 06h30

Par Éric Thibault / Journal de Montréal

Considéré comme un prédateur d'une extrême dangerosité, le présumé meurtrier de Joleil Campeau a violé une jeune Lavalloise de 18 ans sous la menace d'un tournevis, à peine 20 jours plus tard.

Des centaines de citoyens avaient ratissé le terrain boisé du quartier Auteuil, à Laval, où Joleil Campeau avait disparu, en juin 1995.

Eric Daudelin, un colosse de 1,78 m pesant plus de 100 kg, avait contraint sa victime à le suivre à son domicile d'Auteuil, dans la nuit du 2 juillet 1995. Six semaines seulement après être sorti de prison pour une autre agression sexuelle.

« Crie pas, tu sais ce qui peut t'arriver », l'avait-il prévenue, en la forçant à se déshabiller.

97 % de risque de récidive

Espérant se défaire de son agresseur, la jeune femme avait prétendu être porteuse du virus du sida. Daudelin avait réagi en utilisant un préservatif pour la violer à répétition. Après coup, il a poussé l'audace jusqu'à reconduire sa victime chez elle.

Condamné à cinq ans de pénitencier en décembre 1996, le mal était déjà fait quand la Commission nationale des libérations conditionnelles a refusé de le libérer d'office, aux deux tiers de sa peine. On estimait ses risques de récidive à 97 %...

Sans remords

Daudelin a avoué au psychiatre du pénitencier de Port-Cartier qu'il ne pourrait résister plus de 24 ou 48 heures avant de faire une autre victime, une fois libre.

« Narcissique, antisocial et sans remords », Daudelin a confié qu'il s'imaginait « en train d'arracher les ongles et les dents » de ses victimes, d'après les décisions rendues par la commission à son endroit.
Le récidiviste fait partie des rares prisonniers québécois à avoir dû purger sa peine au complet, derrière les barreaux. Il a refusé toute thérapie pour déviant sexuel au pénitencier.

Eric Daudelin, un individu calculateur qui suivait souvent ses proies pour connaître leurs déplacements avant de passer à l'acte, avait déjà sévi avant les crimes qu'on lui reproche aux dépens de Joleil Campeau.

En janvier 1992, une adolescente de 17 ans a eu le malheur de prendre le même autobus que lui, à Montréal. Il l'a suivie lorsqu'elle en est sortie, l'a entraînée dans un abri « Tempo » et l'a agressée sexuellement pendant plus de trois heures.
Daudelin s'en était tiré avec 24 mois de détention.

MME C a écrit : Meurtre de Joleil Campeau
Daudelin: un dangereux prédateur
Première publication 24 juin 2011 à 06h30

Par Éric Thibault / Journal de Montréal

Considéré comme un prédateur d'une extrême dangerosité, le présumé meurtrier de Joleil Campeau a violé une jeune Lavalloise de 18 ans sous la menace d'un tournevis, à peine 20 jours plus tard.

Des centaines de citoyens avaient ratissé le terrain boisé du quartier Auteuil, à Laval, où Joleil Campeau avait disparu, en juin 1995.

Eric Daudelin, un colosse de 1,78 m pesant plus de 100 kg, avait contraint sa victime à le suivre à son domicile d'Auteuil, dans la nuit du 2 juillet 1995. Six semaines seulement après être sorti de prison pour une autre agression sexuelle.

« Crie pas, tu sais ce qui peut t'arriver », l'avait-il prévenue, en la forçant à se déshabiller.

97 % de risque de récidive

Espérant se défaire de son agresseur, la jeune femme avait prétendu être porteuse du virus du sida. Daudelin avait réagi en utilisant un préservatif pour la violer à répétition. Après coup, il a poussé l'audace jusqu'à reconduire sa victime chez elle.

Condamné à cinq ans de pénitencier en décembre 1996, le mal était déjà fait quand la Commission nationale des libérations conditionnelles a refusé de le libérer d'office, aux deux tiers de sa peine. On estimait ses risques de récidive à 97 %...

Sans remords

Daudelin a avoué au psychiatre du pénitencier de Port-Cartier qu'il ne pourrait résister plus de 24 ou 48 heures avant de faire une autre victime, une fois libre.

« Narcissique, antisocial et sans remords », Daudelin a confié qu'il s'imaginait « en train d'arracher les ongles et les dents » de ses victimes, d'après les décisions rendues par la commission à son endroit.
Le récidiviste fait partie des rares prisonniers québécois à avoir dû purger sa peine au complet, derrière les barreaux. Il a refusé toute thérapie pour déviant sexuel au pénitencier.

Eric Daudelin, un individu calculateur qui suivait souvent ses proies pour connaître leurs déplacements avant de passer à l'acte, avait déjà sévi avant les crimes qu'on lui reproche aux dépens de Joleil Campeau.

En janvier 1992, une adolescente de 17 ans a eu le malheur de prendre le même autobus que lui, à Montréal. Il l'a suivie lorsqu'elle en est sortie, l'a entraînée dans un abri « Tempo » et l'a agressée sexuellement pendant plus de trois heures.
Daudelin s'en était tiré avec 24 mois de détention.

gazzoux1 a écrit : [...]


C'est celui qui avait gagné à la 6/49. La célèbre famille Lavigueur.

Malike a écrit : [...]


Comment on peut laisser un pareil individu avec une aussi longue feuille de route en liberté. C'est ce qui arrive quand on ne juge que le crime du moment. Donc on laisse des meurtriers en puissance courir les rues à la recherche de sa prochaine proie, peut-être un autre enfant qui perdra la vie. C'est inacceptable.

gazzoux1 a écrit : [...]
Et des récidivistes y'en a encore pleins en liberté. Je regrette mais des sales comme lui ce n'est pas réhabilitables. Je suis encore sur l'impression qu'en fouillant son passé, ils vont peut-être découvrir qu'il y a d'autres victimes. J'ai bien aimé ce que dit le Dr. Chamberland je ne sais pas si tu as écouté.

MME C a écrit : Meurtre de Joleil Campeau
Daudelin: un dangereux prédateur
Première publication 24 juin 2011 à 06h30

Par Éric Thibault / Journal de Montréal

Considéré comme un prédateur d'une extrême dangerosité, le présumé meurtrier de Joleil Campeau a violé une jeune Lavalloise de 18 ans sous la menace d'un tournevis, à peine 20 jours plus tard.

Des centaines de citoyens avaient ratissé le terrain boisé du quartier Auteuil, à Laval, où Joleil Campeau avait disparu, en juin 1995.

Eric Daudelin, un colosse de 1,78 m pesant plus de 100 kg, avait contraint sa victime à le suivre à son domicile d'Auteuil, dans la nuit du 2 juillet 1995. Six semaines seulement après être sorti de prison pour une autre agression sexuelle.

« Crie pas, tu sais ce qui peut t'arriver », l'avait-il prévenue, en la forçant à se déshabiller.

97 % de risque de récidive

Espérant se défaire de son agresseur, la jeune femme avait prétendu être porteuse du virus du sida. Daudelin avait réagi en utilisant un préservatif pour la violer à répétition. Après coup, il a poussé l'audace jusqu'à reconduire sa victime chez elle.

Condamné à cinq ans de pénitencier en décembre 1996, le mal était déjà fait quand la Commission nationale des libérations conditionnelles a refusé de le libérer d'office, aux deux tiers de sa peine. On estimait ses risques de récidive à 97 %...

Sans remords

Daudelin a avoué au psychiatre du pénitencier de Port-Cartier qu'il ne pourrait résister plus de 24 ou 48 heures avant de faire une autre victime, une fois libre.

« Narcissique, antisocial et sans remords », Daudelin a confié qu'il s'imaginait « en train d'arracher les ongles et les dents » de ses victimes, d'après les décisions rendues par la commission à son endroit.
Le récidiviste fait partie des rares prisonniers québécois à avoir dû purger sa peine au complet, derrière les barreaux. Il a refusé toute thérapie pour déviant sexuel au pénitencier.

Eric Daudelin, un individu calculateur qui suivait souvent ses proies pour connaître leurs déplacements avant de passer à l'acte, avait déjà sévi avant les crimes qu'on lui reproche aux dépens de Joleil Campeau.

En janvier 1992, une adolescente de 17 ans a eu le malheur de prendre le même autobus que lui, à Montréal. Il l'a suivie lorsqu'elle en est sortie, l'a entraînée dans un abri « Tempo » et l'a agressée sexuellement pendant plus de trois heures.
Daudelin s'en était tiré avec 24 mois de détention.

MME C a écrit : [...]


C'est sûr qu'il doit y en avoir pas mal en liberté, surtout s'ils sont relâchés après quelques mois seulement de prison. Briser les conditions, je pense qu'ils s'en fichent pas mal. Deupis quelque temps, ceux qu'on connait et qui se sont fait accuser de meurtre ou qui en sont soupçonnés (Jolène Riendeau), il a fallu qu'on en arrive jusque là pour qu'ils soient hors d'état de nuire.

Alors elle est où, la solution ou une partie de la solution?
Investir des fortes sommes dans les caméras de surveillance partout où il y a des sentiers, des parcs, des haltes routières, etc ?
Augmenter les sentences et les rendre fermes (sans possibilité de libération conditionnelle)?
Durcir les sentences pour les récidivistes?
Resserrer la surveillance pour les conditions imposées?
Faire faire une sérieuse évaluation psychiatrique avant de les relâcher?
Assouplir les normes pour déclarer délinquant dangereux et pas attendre les dégâts?
Toutes ces réponses?

En tout cas, y a un sérieux problème parce que là, c'est rendu qu'il faut attendre qu'une personne soit tuée pour qu'on les sacre en prison pour un bon bout de temps. On en a la démonstration avec Larouche, Daudelin et celui qui n'est pas nommé mais soupçonné dans le cas de Jolène. C'est inacceptable.

Malike a écrit : [...]
Moi la solution que je verrais c'est de prendre en compte le parcours de délinquance sexuelle et d'ajuster la peine en conséquence au lieu d'accumuler les victimes. Que les peines pour les récidives soient très sévères et peuvent même se rendre à la perpétuité. Qu'on n'attende plus qu'ils tuent pour les mettre à l'ombre. Le problème c'est qu'on traite les récidivistes comme s'ils étaient à leur première offense à chaque nouvelle victime qu'ils font, ils font quelques mois et hop liberté encore , ca n'a juste pas de sens qu'on laisse des bêtes sauvages comme ca en liberté dans nos rues.

MME C a écrit : [...]


Exact. Dans la majorité des cas, ils s'en tirent au bout du compte avec quelques mois et pas de suivi.

Il y a tellement de délinquants sexuels de toutes sortes, c'est épeurant. Je me demande si on devrait pas construire des centres de détention exprès pour ce type de crime, peu importe la sentence. Pas de libération conditionnelle, temps complet. Et qu'entre les murs, il y ait des équipes adéquates et sérieuses qui évaluent les prisonniers pour savoir exactement à quel genre de délinquant ils ont affaire, surtout quand ils auront fini leur peine. Que ce soit là directement que soit évaluée leur type de délinquance (à contrôler, dangereuse, etc.). Puis le tout révisé devant des comités compétents.
Mais est-ce que ça empêcherait un malade d'arriver à ses fins une fois dehors? Je le sais ben pas.

Malike a écrit : [...]
En même temps c'est le temps de la peine qui ne fait pas de sens. Si on prend ce cas-ci, c'est un multi-récidiviste qui continue d'accumuler les victimes indépendamment des peines qu'il recoit et de leur durée. Qu'il les purge au complet n'y change rien, après 24 mois de détention il est encore aussi dangereux qu'il l'était. Ca prendrait des changements drastiques, que les crimes contre la personne entraînent des peines très sévères, qu'on ne tolère pas la récidive . Que même s'il n'a pas tué encore un délinquant sexuel puisse être mis à l'ombre à perpétuité pour l'arrêter de faire des victimes.