Décès de Steve Jobs
Re: Décès de Steve Jobs
J'ai mit cet article plus posé qui sans jeter un caillou dans la marre, amène un coup d'oeil légèrement différent de l'homme.
Steve Jobs est un personnage mythique et comme dans bien des cas, les mythes sont fabriqués. Plusieurs inventions lui ont été attribuées dans les médias alors que ce n'est pas le cas : la plus flagrante est cet expert à Radio-Canada qui a dit que Steve Jobs était l'inventeur du premier ordinateur personnel : le TRS80 a été le premier PC de masse.
Moi ce que je retiens de Steve Jobs est son soucis du détail et la capacité de valoriser "ses" produits. Son véritable génie n'était pas dans l'invention technologique à proprement dit mais dans le marketing et la direction d'entreprise.
Steve Jobs est un personnage mythique et comme dans bien des cas, les mythes sont fabriqués. Plusieurs inventions lui ont été attribuées dans les médias alors que ce n'est pas le cas : la plus flagrante est cet expert à Radio-Canada qui a dit que Steve Jobs était l'inventeur du premier ordinateur personnel : le TRS80 a été le premier PC de masse.
Moi ce que je retiens de Steve Jobs est son soucis du détail et la capacité de valoriser "ses" produits. Son véritable génie n'était pas dans l'invention technologique à proprement dit mais dans le marketing et la direction d'entreprise.
http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... cueil_POS2" onclick="window.open(this.href);return false;
Le ver dans la pomme
Rima Elkouri
La Presse
Quel rôle les produits Apple ont-ils joué dans le printemps arabe? La question a été posée avant-hier par CNN, dans le délire qui a suivi la mort de Steve Jobs. Une question qui m'a semblé parfaitement absurde. Comme si la lutte pour la liberté était désormais téléchargeable sur iTunes... Pouvez-vous m'indiquer l'application à acheter pour se débarrasser de deux ou trois dictateurs?
«Le rôle d'Apple dans le printemps arabe? Vous êtes sérieux?» a lancé une militante égyptienne qui a refusé la demande d'entrevue de CNN. «Dis-leur que le vinaigre de pomme a été utilisé pour combattre les effets du gaz lacrymogène», lui a-t-on suggéré avec ironie sur le fil Twitter. Le rôle de la pomme s'arrête là...
Les nouvelles technologies de l'information sont évidemment de plus en plus utilisées comme outils de soulèvement. De là à sanctifier Steve Jobs comme un artisan de la révolution arabe, il y a un pas. Pour faire une révolution, cela prend surtout du courage et des convictions. Aucun téléphone, aussi intelligent soit-il, ne peut s'y substituer, ça va de soi.
J'ai beaucoup d'admiration pour le génie de Steve Jobs. Mais il me semble que l'hommage qui lui a été rendu a été marqué par une bonne dose d'exagération. C'est le propre des éloges funèbres de déifier un mort qui était critiqué la veille, c'est vrai. Mais ici, la déification a l'effet d'un miroir grossissant. Elle souligne à gros traits les valeurs d'une société si avide de trouver du sens qu'elle accepte de croire qu'elle peut en acheter.
Je dis tout ça en étant consciente d'être moi-même une victime consentante du marketing d'Apple. Je suis mal placée pour faire la leçon à qui que ce soit. À la maison, nous avons un iMac, un MacBook, un iPhone, deux iPad et trois iPod. Steve Jobs nous a créé des besoins et nous a vendu ce qu'il faut pour les assouvir. Il réussit à nous faire avaler que le bidule acheté il y a à peine six mois doit absolument être remplacé par un nouveau, plus beau et plus intelligent. Loin de nous en plaindre, nous en redemandons. Son génie est là.
«Think different», nous disait une pub d'Apple qui utilisait habilement des images révolutionnaires. On y voyait défiler des gens qui ont changé le monde, dont Gandhi et Martin Luther King. «Les gens qui sont assez fous pour croire qu'ils peuvent changer le monde sont ceux qui y arrivent», disait la pub. En tentant de penser différemment, comme Apple nous ordonne de le faire, on finit peut-être par penser comme tout le monde. On ne peut s'empêcher de songer au génie de Jobs, enfant adopté, décrocheur entêté, qui, dans le garage de sa maison, a créé l'une des entreprises les plus florissantes de la planète. Une entreprise, aussi habile qu'une secte, qui a réussi à nous faire croire qu'en achetant un logo de pomme, on achetait finalement un état d'esprit. Et peut-être même une révolution...
Révolutionnaire, Steve Jobs? Ça dépend bien sûr de quelle révolution on parle. Mais il me semble plus juste de le qualifier d'as du marketing. Le hisser sur un piédestal comme s'il était Gandhi ou un prix Nobel de la paix a quelque chose de profondément troublant. D'autant plus que, dans le concert d'éloges suivant sa mort, on a balayé un peu vite le côté plus sombre d'Apple, le ver qui grugeait la pomme. Le peu d'égards que Steve Jobs semblait avoir, par exemple, pour le bien-être des ouvriers fabriquant ses produits en Chine. L'an dernier, l'usine de Foxconn, à Shenzhen, a été surnommée l'usine du suicide après que 14 employés s'y furent donné la mort. Des jeunes de 18 à 25 ans, travailleurs migrants ruraux sans espoir, se sont jetés par la fenêtre les uns après les autres.
Selon l'ONG China Labour Watch, l'usine était telle une prison pour ses employés. Ils y étaient soumis à une pression extrême, traités comme des machines, privés de vie familiale et amoureuse, avec un salaire de misère. Rien d'exceptionnel en Chine, mais tout de même... Rien de glorieux non plus pour qui aspire à changer le monde. Qu'en a dit Steve Jobs? Il a défendu les conditions de travail des employés et qualifié l'usine incriminée de «plutôt chouette». Pas sûre que Gandhi aurait approuvé.
Le ver dans la pomme
Rima Elkouri
La Presse
Quel rôle les produits Apple ont-ils joué dans le printemps arabe? La question a été posée avant-hier par CNN, dans le délire qui a suivi la mort de Steve Jobs. Une question qui m'a semblé parfaitement absurde. Comme si la lutte pour la liberté était désormais téléchargeable sur iTunes... Pouvez-vous m'indiquer l'application à acheter pour se débarrasser de deux ou trois dictateurs?
«Le rôle d'Apple dans le printemps arabe? Vous êtes sérieux?» a lancé une militante égyptienne qui a refusé la demande d'entrevue de CNN. «Dis-leur que le vinaigre de pomme a été utilisé pour combattre les effets du gaz lacrymogène», lui a-t-on suggéré avec ironie sur le fil Twitter. Le rôle de la pomme s'arrête là...
Les nouvelles technologies de l'information sont évidemment de plus en plus utilisées comme outils de soulèvement. De là à sanctifier Steve Jobs comme un artisan de la révolution arabe, il y a un pas. Pour faire une révolution, cela prend surtout du courage et des convictions. Aucun téléphone, aussi intelligent soit-il, ne peut s'y substituer, ça va de soi.
J'ai beaucoup d'admiration pour le génie de Steve Jobs. Mais il me semble que l'hommage qui lui a été rendu a été marqué par une bonne dose d'exagération. C'est le propre des éloges funèbres de déifier un mort qui était critiqué la veille, c'est vrai. Mais ici, la déification a l'effet d'un miroir grossissant. Elle souligne à gros traits les valeurs d'une société si avide de trouver du sens qu'elle accepte de croire qu'elle peut en acheter.
Je dis tout ça en étant consciente d'être moi-même une victime consentante du marketing d'Apple. Je suis mal placée pour faire la leçon à qui que ce soit. À la maison, nous avons un iMac, un MacBook, un iPhone, deux iPad et trois iPod. Steve Jobs nous a créé des besoins et nous a vendu ce qu'il faut pour les assouvir. Il réussit à nous faire avaler que le bidule acheté il y a à peine six mois doit absolument être remplacé par un nouveau, plus beau et plus intelligent. Loin de nous en plaindre, nous en redemandons. Son génie est là.
«Think different», nous disait une pub d'Apple qui utilisait habilement des images révolutionnaires. On y voyait défiler des gens qui ont changé le monde, dont Gandhi et Martin Luther King. «Les gens qui sont assez fous pour croire qu'ils peuvent changer le monde sont ceux qui y arrivent», disait la pub. En tentant de penser différemment, comme Apple nous ordonne de le faire, on finit peut-être par penser comme tout le monde. On ne peut s'empêcher de songer au génie de Jobs, enfant adopté, décrocheur entêté, qui, dans le garage de sa maison, a créé l'une des entreprises les plus florissantes de la planète. Une entreprise, aussi habile qu'une secte, qui a réussi à nous faire croire qu'en achetant un logo de pomme, on achetait finalement un état d'esprit. Et peut-être même une révolution...
Révolutionnaire, Steve Jobs? Ça dépend bien sûr de quelle révolution on parle. Mais il me semble plus juste de le qualifier d'as du marketing. Le hisser sur un piédestal comme s'il était Gandhi ou un prix Nobel de la paix a quelque chose de profondément troublant. D'autant plus que, dans le concert d'éloges suivant sa mort, on a balayé un peu vite le côté plus sombre d'Apple, le ver qui grugeait la pomme. Le peu d'égards que Steve Jobs semblait avoir, par exemple, pour le bien-être des ouvriers fabriquant ses produits en Chine. L'an dernier, l'usine de Foxconn, à Shenzhen, a été surnommée l'usine du suicide après que 14 employés s'y furent donné la mort. Des jeunes de 18 à 25 ans, travailleurs migrants ruraux sans espoir, se sont jetés par la fenêtre les uns après les autres.
Selon l'ONG China Labour Watch, l'usine était telle une prison pour ses employés. Ils y étaient soumis à une pression extrême, traités comme des machines, privés de vie familiale et amoureuse, avec un salaire de misère. Rien d'exceptionnel en Chine, mais tout de même... Rien de glorieux non plus pour qui aspire à changer le monde. Qu'en a dit Steve Jobs? Il a défendu les conditions de travail des employés et qualifié l'usine incriminée de «plutôt chouette». Pas sûre que Gandhi aurait approuvé.
À votre serviceAnya a écrit : Merci GI.Joe, deux bons articles

Je commençais à trouver que j'en avais manqué un bout avec tous les articles qui encenssaient Steve Jobs en escamotant certains faits. Et je ne suis pas fier du forum de Radio Canada qui ont censuré la majorité des commentaires pas "politicaly correct".
GI.Joe a écrit : http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... cueil_POS2" onclick="window.open(this.href);return false;
Le ver dans la pomme
Rima Elkouri
La Presse
Quel rôle les produits Apple ont-ils joué dans le printemps arabe? La question a été posée avant-hier par CNN, dans le délire qui a suivi la mort de Steve Jobs. Une question qui m'a semblé parfaitement absurde. Comme si la lutte pour la liberté était désormais téléchargeable sur iTunes... Pouvez-vous m'indiquer l'application à acheter pour se débarrasser de deux ou trois dictateurs?
«Le rôle d'Apple dans le printemps arabe? Vous êtes sérieux?» a lancé une militante égyptienne qui a refusé la demande d'entrevue de CNN. «Dis-leur que le vinaigre de pomme a été utilisé pour combattre les effets du gaz lacrymogène», lui a-t-on suggéré avec ironie sur le fil Twitter. Le rôle de la pomme s'arrête là...
Les nouvelles technologies de l'information sont évidemment de plus en plus utilisées comme outils de soulèvement. De là à sanctifier Steve Jobs comme un artisan de la révolution arabe, il y a un pas. Pour faire une révolution, cela prend surtout du courage et des convictions. Aucun téléphone, aussi intelligent soit-il, ne peut s'y substituer, ça va de soi.
J'ai beaucoup d'admiration pour le génie de Steve Jobs. Mais il me semble que l'hommage qui lui a été rendu a été marqué par une bonne dose d'exagération. C'est le propre des éloges funèbres de déifier un mort qui était critiqué la veille, c'est vrai. Mais ici, la déification a l'effet d'un miroir grossissant. Elle souligne à gros traits les valeurs d'une société si avide de trouver du sens qu'elle accepte de croire qu'elle peut en acheter.
Je dis tout ça en étant consciente d'être moi-même une victime consentante du marketing d'Apple. Je suis mal placée pour faire la leçon à qui que ce soit. À la maison, nous avons un iMac, un MacBook, un iPhone, deux iPad et trois iPod. Steve Jobs nous a créé des besoins et nous a vendu ce qu'il faut pour les assouvir. Il réussit à nous faire avaler que le bidule acheté il y a à peine six mois doit absolument être remplacé par un nouveau, plus beau et plus intelligent. Loin de nous en plaindre, nous en redemandons. Son génie est là.
«Think different», nous disait une pub d'Apple qui utilisait habilement des images révolutionnaires. On y voyait défiler des gens qui ont changé le monde, dont Gandhi et Martin Luther King. «Les gens qui sont assez fous pour croire qu'ils peuvent changer le monde sont ceux qui y arrivent», disait la pub. En tentant de penser différemment, comme Apple nous ordonne de le faire, on finit peut-être par penser comme tout le monde. On ne peut s'empêcher de songer au génie de Jobs, enfant adopté, décrocheur entêté, qui, dans le garage de sa maison, a créé l'une des entreprises les plus florissantes de la planète. Une entreprise, aussi habile qu'une secte, qui a réussi à nous faire croire qu'en achetant un logo de pomme, on achetait finalement un état d'esprit. Et peut-être même une révolution...
Révolutionnaire, Steve Jobs? Ça dépend bien sûr de quelle révolution on parle. Mais il me semble plus juste de le qualifier d'as du marketing. Le hisser sur un piédestal comme s'il était Gandhi ou un prix Nobel de la paix a quelque chose de profondément troublant. D'autant plus que, dans le concert d'éloges suivant sa mort, on a balayé un peu vite le côté plus sombre d'Apple, le ver qui grugeait la pomme. Le peu d'égards que Steve Jobs semblait avoir, par exemple, pour le bien-être des ouvriers fabriquant ses produits en Chine. L'an dernier, l'usine de Foxconn, à Shenzhen, a été surnommée l'usine du suicide après que 14 employés s'y furent donné la mort. Des jeunes de 18 à 25 ans, travailleurs migrants ruraux sans espoir, se sont jetés par la fenêtre les uns après les autres.
Selon l'ONG China Labour Watch, l'usine était telle une prison pour ses employés. Ils y étaient soumis à une pression extrême, traités comme des machines, privés de vie familiale et amoureuse, avec un salaire de misère. Rien d'exceptionnel en Chine, mais tout de même... Rien de glorieux non plus pour qui aspire à changer le monde. Qu'en a dit Steve Jobs? Il a défendu les conditions de travail des employés et qualifié l'usine incriminée de «plutôt chouette». Pas sûre que Gandhi aurait approuvé.
Bel article et qui remet les choses en place. C'est un peu dans le fond comme ce qui a entouré la mort de Layton, on a ratissé large dans un but typiquement journalistique pour faire de la nouvelle.

Cet article (en anglais) résume parfaitement ma pensée:
http://www.independent.co.uk/opinion/co ... 67793.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.independent.co.uk/opinion/co ... 67793.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Pour être impliqué dans la modération des médias sociaux, je peux dire ceci: Radio-Canada ne pourra jamais faire l'unanimité peu importe ce qu'ils feront. Bien des gens n'acceptent pas que leurs taxes soient utilisés pour polémiquer sur un mort, par exemple.GI.Joe a écrit : [...]
À votre service![]()
Je commençais à trouver que j'en avais manqué un bout avec tous les articles qui encenssaient Steve Jobs en escamotant certains faits. Et je ne suis pas fier du forum de Radio Canada qui ont censuré la majorité des commentaires pas "politicaly correct".
Le problème plus général, c'est les menaces de poursuites à droite et à gauche qui forcent les gros sites Internet à appliquer une censure plus stricte.
Anya a écrit : STEVE JOBS
La biographie autorisée lancée le 26 octobre
07-10-2011 | 15h45
MONTRÉAL – La biographie autorisée du créateur d’Apple, Steve Jobs, décédé plus tôt cette semaine, sera lancée en français le 26 octobre au Québec.
L’auteur Walter Isaacson, PDG de l’Institut Aspen, qui a dirigé CNN et Time Magazine, a écrit le livre avec la complicité de M. Jobs, dont la mort a créé une immense vague de sympathie à travers le monde depuis le 5 octobre.
Déjà reconnu comme un visionnaire ayant modifié le cours de nos vies avec les produits iPod, iPhone et iPad, M. Jobs a été salué depuis l'annonce de sa disparition comme un génie et un entrepreneur de la trempe d'Henry Ford.
M. Jobs aurait souhaité que la biographie soit un lègue à ses enfants et une source d’inspiration pour la planète.
Le livre, dont le titre est simplement Steve Jobs, sera publié aux Éditions Jean-Claude Lattès.
http://fr.canoe.ca/divertissement/livre ... 1-qmi.html" onclick="window.open(this.href);return false;
J'avoue bien humblement que je ne connaissais pas du tout l'homme derrière Apple



Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
Re: Décès de Steve Jobs
Mais là, G.I. Joe vient de venir peter ma balloune




Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
L'article que tu as mit résume bien ma pensée aussiChico_Fan a écrit : [...]
Pour être impliqué dans la modération des médias sociaux, je peux dire ceci: Radio-Canada ne pourra jamais faire l'unanimité peu importe ce qu'ils feront. Bien des gens n'acceptent pas que leurs taxes soient utilisés pour polémiquer sur un mort, par exemple.
Le problème plus général, c'est les menaces de poursuites à droite et à gauche qui forcent les gros sites Internet à appliquer une censure plus stricte.

C'est inquiétant ce que tu écris pour la censure. Beaucoup (trop) d'internautes se cachent derrière l'anonymat pour cracher des insanités mais dans ce cas ci, RC a mit les bouchées doubles : pratiquement aucun commentaire ne soulève les demi-vérités, pour ne pas dire faussetés, qui se sont dites cette semaine et je ne crois pas que tous les commentaires censurés étaient du "venin".
C'est bien qu'on nous montre aussi l'envers de la médaille, oui c'était un homme de génie pour la business mais ce n'était définitivement pas un homme de coeur. Ca faisait un peu spécial de voir tout le battage autour de lui cette semaine, comme si l'humanité lui devait une partie de son existence.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois

- Krysantheme
- Immortel du Domaine
- Messages : 15692
- Inscription : dim. sept. 16, 2007 12:00 am
Re: Décès de Steve Jobs
J'osais pas venir déclarer haut et fort que c'était loin d'être un saint, j'avais trop peur de me faire battre 

Je me permets un p'tit anecdote, je ne sais pas si tu écoutes: Je connais la chanson à TVA le dimanche soir entre 7h30 et 8h30 pm.Jadomo a écrit :
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Ce soir, il y avait une dame qui participait à l'émission et dont son fils était là, et il avait apporté un sac brun pour se mettre sur la tête si sa mère chantait trop mal


J'ai pensé à toi


Soleil47 a écrit : [...]
Je me permets un p'tit anecdote, je ne sais pas si tu écoutes: Je connais la chanson à TVA le dimanche soir entre 7h30 et 8h30 pm.
Ce soir, il y avait une dame qui participait à l'émission et dont son fils était là, et il avait apporté un sac brun pour se mettre sur la tête si sa mère chantait trop mal![]()
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J'ai pensé à toi![]()



Non, je n'écoute pas cette émission... j'y pense jamais.

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