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Publié : sam. nov. 08, 2008 1:23 pm
par Malike
Fourmi  a écritHi! Hi! J'me suis un peu emportée mais c'est tout de même ce que je ressens. Je n'avais pas allumé jusqu'ici que les dernière provinciales étaient en 2007 et depuis que je me suis réveillée, je suis en rogne. Aux 4 ans c'est un mal nécessaire mais aux ans? WTF!  

Bon ça y est, je suis repompée moi là!  

Soleil, t'inquiète. Je crois que si j'accouche le 8 (ce qui n'est pas exclue, je suis prévue le 6!), je vais rester bien sagement dans mon lit jusqu'à l'expulsion!  Je vais voter par anticipation les jours précédents si je n'ai toujours pas accouché et si c'est fait, ma puceronne sera sans doute le plus jeune enfant à se présenter dans un bureau d'élection!  

L'expulsion de qui?  Charest ou le bébé?

Publié : sam. nov. 08, 2008 1:48 pm
par Fourmi
Malike  a écrit

L'expulsion de qui?  Charest ou le bébé?  

Je parlais du bébé mais maintenant que tu le soulignes, l'expulsion de Charest serait aussi très satisfaisante!

Le pire c'est que je suis certaine que je pourrais bien m'entendre avec lui dans une soirée sans discuter politique, je ne déteste pas l'homme. Mais je déteste le policitien.

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:04 pm
par tipet
Malike  a écrit

Je l'ai rencontré une fois et je dois avouer que je l'ai trouvé sympa.    

C,est ce que la plupart des gens que je connais qui ont déjà rencontré Charest disent! Disons, qu'il a tellement l,air arrogant et baveux que tu restes surpris quand tu vois qu,il est ben fin dans le fond

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:06 pm
par Malike
Fourmi  a écrit

Je parlais du bébé mais maintenant que tu le soulignes, l'expulsion de Charest serait aussi très satisfaisante!

Le pire c'est que je suis certaine que je pourrais bien m'entendre avec lui dans une soirée sans discuter politique, je ne déteste pas l'homme. Mais je déteste le policitien.

Je l'ai rencontré une fois et je dois avouer que je l'ai trouvé sympa.  

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:12 pm
par tipet
Mimosa  a écritJamais je pourrai croire qu'il a un bon fond lui, JAMAIS

Ben oui voyons, soit imaginative!

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:16 pm
par tipet
Ely  a écritJ'ai eu un diner l'hiver dernier au Parlement avec des députés de l'ADQ et ils étaient vraiment sympa aussi. Je crois que les choix politique biaise beaucoup notre perception des gens qui y travaille malheureusement.

Là desuus je t'arrête tout de suite, je connais Mario Dumont et la raison pour laquelle je ne l'aime pas et que je l'aimerai jamais n'a aucun rapport avec ses idéaux politiques. Il serait chef du PQ, et je ne voterais pas pour lui --Message edité par tipet le 2008-11-08 22:19:06--

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:19 pm
par Mimosa
Jamais je pourrai croire qu'il a un bon fond lui, JAMAIS

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:22 pm
par Ely
J'ai eu un diner l'hiver dernier au Parlement avec des députés de l'ADQ et ils étaient vraiment sympa aussi. Je crois que les choix politique biaise beaucoup notre perception des gens qui y travaille malheureusement.

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:25 pm
par Mimosa
tipet  a écrit

Ben oui voyons, soit imaginative!




Hmm ...  


... .. ..... ....


Non, j'peux pas, vraiment !

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:27 pm
par tipet
Ely  a écrit

Tu as peut-être raison, je ne l'ai pas rencontré lui, seulement des députés adéquistes de ma région. J'ai visité son bureau par exemple (très propre en passant   ).




J'ai aucune misère à croire que ses députés sont des gens charmants

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:35 pm
par Ely
tipet  a écrit

Là desuus je t'arrête tout de suite, je connais Mario Dumont et la raison pour laquelle je ne l'aime pas et que je l'aimerai jamais n'a aucun rapport avec ses idéaux politiques. Il serait chef du PQ, et je ne voterais pas pour lui  

Tu as peut-être raison, je ne l'ai pas rencontré lui, seulement des députés adéquistes de ma région. J'ai visité son bureau par exemple (très propre en passant   ).



Publié : sam. nov. 08, 2008 5:36 pm
par Ely
Bon bon bon, la ministre des Finances traite Gilles Taillon de con, ca se bat a coup de poing devant les caméra de tv à l'investiture des péquistesdans l'Assomption... Non mais maudit que nos politiciens savent pas vivre

Des fois j'ai envie d'avoir le même système électoral que les francais ou les américains. On éli 1 président point pis on le garde 2 ans ou 4 ans.

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:46 pm
par Ely
Mimosa  a écritÀ coups de poing

Ben oui toi, ils montrent ça à LCN. Les péquistes ont refusé la candidature de leur candidat qui avait été défait au dernière élection et qui était député depuis un bout avant la vague adéquiste, tout ca parce qu'il est trop souverainiste! Des gens de la population son venue se plaindre à la soirée d'investiture et ça a finis par une bagarre générale  

Les péquistes connaissent pas ça la démocratie ? Si les citoyens veulent avoir ce messieurs comme représentant dans leur compté messemble qu'ils ont le droit de choisir eux autre même.

Publié : sam. nov. 08, 2008 5:47 pm
par Mimosa
À coups de poing

Publié : dim. nov. 09, 2008 2:59 am
par .anthurium.
Cadre financier de l’ADQ : L’ADQ présente un cadre financier qui correspond aux attentes des Québécois

2008-11-08, 18:12
En présence du chef de l’ADQ, M. Mario Dumont, Gilles Taillon, candidat de l’ADQ dans le comté de Chapleau, a rendu public le cadre financier pour une première année d’un gouvernement de l’ADQ.
« Ce que nous présentons, c’est un cadre financier qui propose un soutien accru au pouvoir d’achat des Québécois, un vrai remboursement de la dette et l’atteinte d’un véritable équilibre budgétaire », a mentionné Mario Dumont.

Une marge de manoeuvre pour le pouvoir d’achat des familles

Plus de 1,8 milliard de dollars seront directement utilisés afin de soutenir le pouvoir d’achat des familles et faciliter leur quotidien. L’ADQ propose notamment d’aider directement les familles et les aînés grâce à une enveloppe de 858 millions de dollars. Cette enveloppe permettra de financer des mesures concrètes qui seront annoncées en détail dans les prochains jours. « La crise économique appréhendée affectera directement le pouvoir d’achat des familles. L’ADQ répond à leurs craintes avec un plan musclé », a précisé Gilles Taillon.

« Climat d’investissement, sécurité des familles, éducation, intégration, environnement, culture, régions, autant d’enjeux dans lesquels un gouvernement de l’ADQ entend investir. Face à l’inaction des libéraux et au modèle dépassé du Parti québécois, l’ADQ va présenter aux Québécois dans les prochains jours des mesures qui amélioreront directement leur qualité de vie », a affirmé le candidat de l’ADQ dans le comté de Chapleau.

Des dépenses publiques enfin sous contrôle

Par ailleurs, Gilles Taillon a indiqué que la marge de manoeuvre que dégagerait un gouvernement de l’ADQ afin de financer ses diverses initiatives proviendrait, d’une part, de la privatisation partielle d’Hydro Québec à hauteur de 450 millions de dollars et, d’autre part, d’une réforme de l’État et d’une véritable révision générale des politiques publiques à hauteur de 2 milliards de dollars.

« Alors que les subventions aux entreprises atteignent des sommes inégalées au Québec, il est temps de faire le ménage. Plus de 3 milliards de dollars sont dépensés chaque année par Québec, mais ces milliards ne répondent pas toujours aux besoins des entrepreneurs. On dépense au Québec plus que dans l’ensemble du Canada et les résultats économiques ne sont pas au rendez-vous. Rationaliser les subventions aux entreprises nous permettra de nous assurer que les dépenses faites correspondent aux attentes des Québécois », a affirmé Gilles Taillon.

Enfin, face à l’échec total des libéraux de réformer notre État, l’ADQ présente aussi des solutions concrètes pour mieux maîtriser les dépenses publiques. « Premièrement, une réduction de 1 % de la croissance des dépenses de programmes du gouvernement permettra de dégager une marge de manoeuvre de 600 millions de dollars par an. Deuxièmement, une révision générale des politiques publiques permettra au gouvernement de se poser les bonnes questions sur le bien-fondé de son action et aura des objectifs clairs : une révision à la baisse du nombre de ministères et d’organismes publics et un recentrage sur leurs missions premières, l’introduction de cibles de performance liées à la satisfaction des citoyens, et la compétition au sein de l’appareil gouvernemental en valorisant l’atteinte des objectifs budgétaires. Cette démarche permettra également de dégager une marge de manoeuvre de 400 millions de dollars par an », a conclu M. Taillon.



Publié : dim. nov. 09, 2008 3:11 am
par .anthurium.
L'assemblée d'investiture du Parti québécois dans l'Assomption a viré à la foire d'empoigne hier. Une trentaine de militants et de manifestants des Jeunes Patriotes se sont affrontés dans les rues paisibles de cette circonscrïption, à tel point que les policiers ont dû intervenir.

Des partisans de l'ex-député Jean-Claude St-André, dont la candidature a été rejetée par l'état-major du parti, ont voulu empêcher la tenue de l'assemblée. Ils ont bloqué l'entrée du local où la candidature de Scott McKay, ex-chef du Parti vert, devait être confirmée.Le comité de direction local avait adopté le matin même une résolution qui demandait l'annulation de l'assemblée, au motif que le parti n'avait aucune raison valable de rejeter la candidature de M. St-André.

Les troupes de Pauline Marois n'en ont pas tenu compte.

Les deux camps ont d'abord échangé des insultes avant d'en venir aux coups à deux reprises. Personne n'a été blessé, mais des voitures de police ont immédiatement été dépêchées sur place.


Les trois policiers de l'Assomption qui étaient en service ont vite été dépassés par les événements. Deux agents en congé ont été appelés en renfort, puis deux autres du service de police de Repentigny, puis encore autant de la Sûreté du Québec.

«Les gens se poussaient, se bousculaient, j'ai dû séparer deux individus qui en venaient aux coups», a raconté hier Luc Picard, un policier de l'Assomption. Un avis d'expulsion a été lancé. «Nous avons sommé les manifestants de partir, ce qu'ils ont fait dans le calme», a-t-il dit.

L'assemblée s'est finalement déroulée sous l'oeil des policiers, dans un calme qui tranchait avec le tumulte des minutes précédentes. Mais pour éviter d'échauffer les esprits, les militants ont dû montrer patte blanche et seuls ceux qui possédaient une carte d'identité ont été admis.

Quant à Scott McKay, il ne s'est pas présenté à sa propre investiture «pour des raisons de sécurité». Son élection, par acclamation, s'est réglée en quelques minutes, ce qui a soulevé un tonnerre d'applaudissements. Une seule question a été posée par un militant, qui a demandé des explications sur le rejet de la candidature de M. St-André. «Mme Marois a déjà expliqué ses raisons en conférence de presse ce matin», a simplement répliqué le président de l'assemblée, Jacques Saint-Louis.

La chef péquiste a affirmé que M. St-André avait été évincé surtout parce qu'il ne s'était pas rallié à la décision du parti de larguer l'obligation de tenir un référendum le plus tôt possible dans un premier mandat.

«Décision antidémocratique»

Joint par La Presse, Jean-Claude St-André, associé aux souverainistes purs et durs, a été cinglant envers Pauline Marois. «Je trouve cela navrant que des militants qui oeuvrent à l'avancement de la même cause en viennent entre eux aux coups, mais je pense très sincèrement que Pauline Marois doit en porter seule la responsabilité. Elle a pris une décision antidémocratique», a dit celui qui est devenu député en 1996 puis a été battu en 2007 par l'ADQ.

«On veut écarter un candidat parce qu'il n'adhère pas à la pensée unique, et après on se demande pourquoi la population est cynique envers les politiciens», a dit Maryline Lassonde, une représentante de l'exécutif local. Le président du Syndicat des cols bleus de la Ville de Montréal, Michel Parent, qui est aussi membre du comité exécutif local, a condamné le geste «antidémocratique» de Pauline Marois. Il a nié qu'il cherchait à torpiller la campagne de la chef péquiste et souligné qu'«elle ne s'aide pas elle-même» en imposant son candidat aux militants.

Jean-Claude St-André, qui se dit «déçu et en colère», n'exclut pas d'entreprendre des recours judiciaires contre son propre parti. «Jamais un chef n'a renié le principe fondamental selon lequel ce sont les membres dans leur association de circonscrïption qui choisissent leur candidat», a dit celui qui fut candidat à la direction du parti en 2005.

Pauline Marois juge «inacceptable» la foire d'empoigne survenue dans l'Assomption. «Je blâme ceux qui ont fait ces gestes», a-t-elle dit.

«Je n'aime pas que ça se passe de cette façon. Mais il fallait prendre une décision. Nous en assumerons les conséquences.»

Nécessaire adhésion

La chef péquiste a défendu la décision d'écarter la candidature de M. St-André. «On a droit à la dissidence, au Parti québécois. Mais quand on est candidat, on doit adhérer aux orientations et à la plateforme», a-t-elle expliqué.

Elle a aussi invoqué une autre raison, administrative celle-là. L'association du PQ dans L'Assomption, présidée par M. St-André, n'a pas remboursé une dette d'environ 50 000 $ contractée au cours de la campagne électorale de l'an dernier.

Mais ce «contentieux administratif» semble bien secondaire. La présidente du parti, Monique Richard, n'en a même pas parlé lors d'un point de presse, rappelant seulement la dissidence de M. St-André. La décision respecte les statuts du parti, qui prévoient que des «raisons graves» justifient le rejet d'une candidature, a-t-elle noté, déplorant que des péquistes en viennent à «se taper sur la gueule».

À L'Assomption, un seul point a rassemblé tous les militants, quelle que soit leur allégeance : la crainte que cette bisbille ait un impact dévastateur sur l'issue du scrutin. «C'est horriblement malheureux, a observé Huguette Hotte, dans l'organisation depuis 10 ans. Cette controverse ne me plaît pas du tout.»

«Une bande de sauvages»

«On a l'air d'une vraie bande de sauvages, on va perdre des appuis avec ça», a soufflé son voisin.

Selon le président du SPQ-Libre, Marc Laviolette, «cette histoire-là risque d'être un caillou dans notre soulier pour le reste de la campagne». «On n'a pas besoin des policiers dans nos réunions... Ce n'est pas une bonne chose», a ajouté l'ex-syndicaliste, qui s'est rallié à la décision de Mme Marois après l'avoir condamnée.

Joint par téléphone, Scott McKay a tenté de minimiser l'affaire. L'investiture a été «un peu mouvementée», a-t-il dit, mais il affirme que son arrivée est «bien accueillie par les militants». S'il ne pourra vraisemblablement compter sur le comité exécutif local dans sa campagne, M. McKay dit avoir autour de lui « des organisateurs de l'époque de Jacques Parizeau», ancien député de la circonscrïption, et d'autres qui «étaient mécontents» de M. St-André.

Des péquistes ont créé le comité Solidarité St-André et tiendront une manifestation aujourd'hui devant l'école La Petite-Patrie, à Montréal, où Pauline Marois a une activité publique.





Publié : dim. nov. 09, 2008 3:55 am
par lucide
.anthurium.  a écritCadre financier de l’ADQ : L’ADQ présente un cadre financier qui correspond aux attentes des Québécois

2008-11-08, 18:12
En présence du chef de l’ADQ, M. Mario Dumont, Gilles Taillon, candidat de l’ADQ dans le comté de Chapleau, a rendu public le cadre financier pour une première année d’un gouvernement de l’ADQ.
« Ce que nous présentons, c’est un cadre financier qui propose un soutien accru au pouvoir d’achat des Québécois, un vrai remboursement de la dette et l’atteinte d’un véritable équilibre budgétaire », a mentionné Mario Dumont.

Une marge de manoeuvre pour le pouvoir d’achat des familles

Plus de 1,8 milliard de dollars seront directement utilisés afin de soutenir le pouvoir d’achat des familles et faciliter leur quotidien. L’ADQ propose notamment d’aider directement les familles et les aînés grâce à une enveloppe de 858 millions de dollars. Cette enveloppe permettra de financer des mesures concrètes qui seront annoncées en détail dans les prochains jours. « La crise économique appréhendée affectera directement le pouvoir d’achat des familles. L’ADQ répond à leurs craintes avec un plan musclé », a précisé Gilles Taillon.

« Climat d’investissement, sécurité des familles, éducation, intégration, environnement, culture, régions, autant d’enjeux dans lesquels un gouvernement de l’ADQ entend investir. Face à l’inaction des libéraux et au modèle dépassé du Parti québécois, l’ADQ va présenter aux Québécois dans les prochains jours des mesures qui amélioreront directement leur qualité de vie », a affirmé le candidat de l’ADQ dans le comté de Chapleau.

Des dépenses publiques enfin sous contrôle

Par ailleurs, Gilles Taillon a indiqué que la marge de manoeuvre que dégagerait un gouvernement de l’ADQ afin de financer ses diverses initiatives proviendrait, d’une part, de la privatisation partielle d’Hydro Québec à hauteur de 450 millions de dollars et, d’autre part, d’une réforme de l’État et d’une véritable révision générale des politiques publiques à hauteur de 2 milliards de dollars.

« Alors que les subventions aux entreprises atteignent des sommes inégalées au Québec, il est temps de faire le ménage. Plus de 3 milliards de dollars sont dépensés chaque année par Québec, mais ces milliards ne répondent pas toujours aux besoins des entrepreneurs. On dépense au Québec plus que dans l’ensemble du Canada et les résultats économiques ne sont pas au rendez-vous. Rationaliser les subventions aux entreprises nous permettra de nous assurer que les dépenses faites correspondent aux attentes des Québécois », a affirmé Gilles Taillon.

Enfin, face à l’échec total des libéraux de réformer notre État, l’ADQ présente aussi des solutions concrètes pour mieux maîtriser les dépenses publiques. « Premièrement, une réduction de 1 % de la croissance des dépenses de programmes du gouvernement permettra de dégager une marge de manoeuvre de 600 millions de dollars par an. Deuxièmement, une révision générale des politiques publiques permettra au gouvernement de se poser les bonnes questions sur le bien-fondé de son action et aura des objectifs clairs : une révision à la baisse du nombre de ministères et d’organismes publics et un recentrage sur leurs missions premières, l’introduction de cibles de performance liées à la satisfaction des citoyens, et la compétition au sein de l’appareil gouvernemental en valorisant l’atteinte des objectifs budgétaires. Cette démarche permettra également de dégager une marge de manoeuvre de 400 millions de dollars par an », a conclu M. Taillon.



L'ADQ propose sa rénovation de l'État


(Québec) Estimant que Jean Charest n'a pas eu le «courage politique» de mener à terme la réorganisation de l'État, l'ADQ propose de réduire de deux milliards les dépenses du gouvernement. S'il est élu, le parti sabrera du tiers les subventions versées aux entreprises, abolira des programmes et éliminera des ministères jugés inefficaces.

«Nous voulons moins de dette, nous voulons un véritable équilibre des finances publiques et nous voulons prendre des décisions courageuses pour aider la classe moyenne», a affirmé Mario Dumont, de passage à Québec pour dévoiler son cadre financier, hier.L'ADQ promet de réussir là où les libéraux ont échoué. Mais pour l'heure, le parti n'est pas en mesure de nommer les ministères qu'il entend remodeler ni de dire combien seront visés par la refonte.
Chose certaine, assure Gilles Taillon, porte-parole en matière de Finances, le parti éliminera «très facilement» un milliard en dépenses superflues. Et ce, sans qu'un seul fonctionnaire soit mis à pied.

«Il y a suffisamment de départs à la retraite pour financer cela», a-t-il assuré.


Quant à la façon dont il entend procéder, M. Taillon a reconnu qu'il est difficile de savoir où sabrer, car son parti n'est pas au pouvoir. C'est pourquoi, si elle remporte les élections, l'ADQ scrutera à la loupe tous les programmes et les organismes gouvernementaux afin de savoir lesquels n'en donnent pas pour leur argent aux contribuables.

«On va faire une approche d'analyse très sérieuse de ce qui est essentiel pour les citoyens en services publics et de ce qui est accessoire», explique le député sortant, qui porte les couleurs de l'ADQ dans Chapleau.

Il croit que l'État pourra économiser une fortune, notamment en éliminant des postes administratifs et des postes de consultation.

Rappelons que Jean Charest avait suscité une vive opposition des syndicats en lançant sa fameuse «réingénierie» de l'État après son élection en 2003. Les libéraux ont passé au peigne fin les programmes gouvernementaux et produit deux rapports sur le projet. Au total, ils ont éliminé 3000 postes en ne remplaçant qu'un fonctionnaire retraité sur deux. Le terme «réingénierie» a depuis disparu du vocabulaire libéral.

Réduction des subventions

Malgré la crise économique qui menace de frapper la province, un gouvernement adéquiste réduirait d'un milliard les subventions versées aux entreprises.
«On n'est pas des partisans des subventions, a affirmé le candidat Mario Charpentier, avocat fiscaliste. On est des partisans du travail, de l'effort, de la prise de risques et de l'entrepreneurship.»

Afin de stimuler la croissance économique, le parti propose de fournir 100 millions supplémentaires à des organismes comme la Société générale de financement, Investissement Québec ou le Fonds de solidarité FTQ. Avec cette somme et de nouvelles directives gouvernementales, ces organismes injecteront 1,5 milliard dans le soutien des PME.

Avec l'argent économisé par la refonte de l'État et les coupes dans les subventions, l'ADQ entend mettre en place une série de programmes pour la classe moyenne. La pièce maîtresse du plan adéquiste, révélé par La Presse la semaine dernière, est une mesure qui rendra déductible fiscalement la moitié des intérêts payés sur des prêts hypothécaires.

Mario Dumont entend aussi injecter plus de 850 millions dans des mesures d'aide aux familles et aux aînés.


On veut faire bien des choses, mais on sait rien et on sait pas comment...

On coupe de subventions a des entreprises... wow pour l'économie et on les redonne a des organismes qui vont faire la job a notre place ... ces memes organismes dont on a chialé contre depuis 5 ans.

On est pour le travail et l'autonomie des gens et on paye leur hypotheque...

en fin de compte on sait pas trop de quoi on parle.

Publié : dim. nov. 09, 2008 3:59 am
par lucide
Un candidat de l'ADQ s'oppose à la hausse du salaire
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Le candidat de l'ADQ dans Brome-Missisquoi, Mario Charpentier, et le chef du parti, Mario Dumont.


(Cowansville) Un candidat présenté comme une étoile montante de l'ADQ a créé la controverse, hier, en s'opposant au projet libéral d'augmenter le salaire minimum d'un dollar... avant de se raviser quelques minutes plus tard. Avocat fiscaliste à Montréal, Mario Charpentier affirme que la mesure nuirait à la productivité des entreprises québécoises.

«Une mesure sur le salaire minimum qu'ils ont sortie (jeudi), c'est avec ça qu'ils vont gagner la Coupe Stanley? Ça ne se tient pas debout, comme mesure», a-t-il raillé lors d'une conférence de presse aux côtés de son chef Mario Dumont.



Le candidat a confirmé son opposition au projet des libéraux quelques minutes plus tard dans un restaurant de Cowansville. Mais dans un autre point de presse, à l'extérieur, il s'est ravisé pour finalement se dire en faveur d'une hausse d'un dollar du salaire minimum.


«On n'est pas contre une hausse, mais ce n'est pas le bon remède», a-t-il précisé.

M. Charpentier maintient que les augmentations pour les travailleurs au bas de l'échelle ne feront rien pour stimuler la productivité des entreprises, qu'il présente comme le principal problème de l'économie québécoise.

«Un frisé»

Quelques minutes avant de tenir ces propos, celui qui tentera de déloger Pierre Paradis dans Brome-Missisquoi a écorché le premier ministre Jean Charest, laissant entendre que c'est un «frisé qui veut bien paraître à la télé».

«C'est un gars d'image, pas un gars de contenu, a-t-il lancé. Tout ce qu'il a dit sur l'économie cette semaine, je ne suis absolument pas impressionné. Ça se contredit.»

La SGF, dit-il, n'agit tout simplement pas assez vite pour venir en aide aux PME éprouvées par la crise économique, remettant en cause la principale promesse du plan économique libéral.

On veut ou on veut pas.... ou on chiale encore a travers notre chapeau



Publié : dim. nov. 09, 2008 4:02 am
par lolilou
oh lala... je suis complètement découragée...

Publié : dim. nov. 09, 2008 5:54 am
par .anthurium.
lucide  a écritUn candidat de l'ADQ s'oppose à la hausse du salaire
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Le candidat de l'ADQ dans Brome-Missisquoi, Mario Charpentier, et le chef du parti, Mario Dumont.


(Cowansville) Un candidat présenté comme une étoile montante de l'ADQ a créé la controverse, hier, en s'opposant au projet libéral d'augmenter le salaire minimum d'un dollar... avant de se raviser quelques minutes plus tard. Avocat fiscaliste à Montréal, Mario Charpentier affirme que la mesure nuirait à la productivité des entreprises québécoises.

«Une mesure sur le salaire minimum qu'ils ont sortie (jeudi), c'est avec ça qu'ils vont gagner la Coupe Stanley? Ça ne se tient pas debout, comme mesure», a-t-il raillé lors d'une conférence de presse aux côtés de son chef Mario Dumont.



Le candidat a confirmé son opposition au projet des libéraux quelques minutes plus tard dans un restaurant de Cowansville. Mais dans un autre point de presse, à l'extérieur, il s'est ravisé pour finalement se dire en faveur d'une hausse d'un dollar du salaire minimum.


«On n'est pas contre une hausse, mais ce n'est pas le bon remède», a-t-il précisé.

M. Charpentier maintient que les augmentations pour les travailleurs au bas de l'échelle ne feront rien pour stimuler la productivité des entreprises, qu'il présente comme le principal problème de l'économie québécoise.

«Un frisé»

Quelques minutes avant de tenir ces propos, celui qui tentera de déloger Pierre Paradis dans Brome-Missisquoi a écorché le premier ministre Jean Charest, laissant entendre que c'est un «frisé qui veut bien paraître à la télé».

«C'est un gars d'image, pas un gars de contenu, a-t-il lancé. Tout ce qu'il a dit sur l'économie cette semaine, je ne suis absolument pas impressionné. Ça se contredit.»

La SGF, dit-il, n'agit tout simplement pas assez vite pour venir en aide aux PME éprouvées par la crise économique, remettant en cause la principale promesse du plan économique libéral.

On veut ou on veut pas.... ou on chiale encore a travers notre chapeau




Il a raison. Si le salaire minimum est trop élevé on tue les pme et les proprio auront tendance a travailler eux même plutôt que d'engager du monde faute d'argent. Pour le reste c'est de la politique Il faut choisir ses mots ne pas déplaire à la masse c'est plate mais avec un système démocratique médiatisé tout est édulcoré. Et l'ADQ est tellement méprisé par les journalistes de gauche qu'il marchent sur des oeufs. Le pire c'est que la droite (pas l'extrème droite mais la droite) ne veux pas voter pour l'ADQ trouvant qu'ils sont trop a gauche.