LE DOMAINE BLEU

Gin*  a écrit


Ici on les mets par priorité mais y a tjrs quelqu'un qui s'informe d'eux en attendant...sinon ils vont à l'hopital.


J'ai travaillé aussi dans le domaine.






En santé mental le gros problème c'est la secteurisation (traité par code postale) Une personne en crise ne peut se présenté ou elle le veut, elle sera redirigé sans traitement point a la ligne.

Pensé que c'est facile de recevoir un traitement en santé mental relève plus du reve que de la réalité. Il est faux de croire que les médecin font un suivi auprès de leur patient si ils sont sans nouvelle.

Les familles sont toute aussi impuissante face a la maladie mental, il est faux de croire qu'un membre de la famille peut obtenir facilement le droit de faire traité un membre de sa famille contre son gré.

Donc tand que l'on traitera les problèmes de santé mental par code postale il y aura des histoires horrible comme celle la.

Nous ne pouvont pas juge trop vite cette situation sans connaitre tout les faits.... Pourquoi une mère de 22 ans tue son bébé de quelques heurs voir minute et le dépose dans un containeur.......... Ou va notre sociéte si nous ne pouvons pas venir en aide a ces personne qui en ont grandement besoin.

Peut importe le pourquoi ou le comment il y a un enfants qui a été victime d'une société qui se dit évolué mais qui n'arrive pas a aidé adéquatement son monde.

cette jeune femme se retrouvera soit en prison accusé de meurtre au 2eme degré ou en institutions ou elle ne recevra finalement rien de plus qu'en prison.

Citation :k9657227 a dit :

Nous ne pouvont pas juge trop vite cette situation sans connaitre tout les faits.... Pourquoi une mère de 22 ans tue son bébé de quelques heurs voir minute et le dépose dans un containeur.......... Ou va notre sociéte si nous ne pouvons pas venir en aide a ces personne qui en ont grandement besoin.

Peut importe le pourquoi ou le comment il y a un enfants qui a été victime d'une société qui se dit évolué mais qui n'arrive pas a aidé adéquatement son monde.

cette jeune femme se retrouvera soit en prison accusé de meurtre au 2eme degré ou en institutions ou elle ne recevra finalement rien de plus qu'en prison.


Je suis parfaitement d'accord avec toi.

k9657227  a écrit

...
cette jeune femme se retrouvera soit en prison accusé de meurtre au 2eme degré ou en institutions ou elle ne recevra finalement rien de plus qu'en prison.



J'ai une soeur qui a des problèmes comportementaux liés à divers abus et qui se trouve maintenant en prison. C'est la première fois que je suis confrontée à ce milieu. Un ex-criminologue qui œuvrait à  Pinel m'a dit que si le juge l'envoie à cet endroit elle recevra les soins pour sa condition. Il semblerait que les thérapeutes et psychiatres vont la casser malgré elle. Tant qu'elle ne pliera pas elle ne pourra sortir. ????
Présentement en prison, elle n'a aucun soin particulier sauf quelques petits cours qui ne changent strictement rien à son caractère. Je le décèle juste à lui parler au téléphone.

Savvy!  a écrit


J'ai une soeur qui a des problèmes comportementaux liés à divers abus et qui se trouve maintenant en prison. C'est la première fois que je suis confrontée à ce milieu. Un ex-criminologue qui œuvrait à  Pinel m'a dit que si le juge l'envoie à cet endroit elle recevra les soins pour sa condition. Il semblerait que les thérapeutes et psychiatres vont la casser malgré elle. Tant qu'elle ne pliera pas elle ne pourra sortir. ????
Présentement en prison, elle n'a aucun soin particulier sauf quelques petits cours qui ne changent strictement rien à son caractère. Je le décèle juste à lui parler au téléphone.



Le plus gros problème en santé mental c'est le temps..... oui le temps.

Pour voir un spécialiste les liste d'attente sont de plusieurs mois........ et si tu te présente a l'urgence bien souvent il ne font que géré la crise présente sans cherché plus loin

Sa peut prendre plusieurs années pour obtenir un diagnostic et une fois qu'il est établis le bal commence.... médicaments, visite souvent au 2 voir 3 mois ... quand le médicament fonctionne pas on essaye autre chose et sa peut duré comme ca des mois voir des années avant que le médecin trouve la bonne médication.

Dans plusieurs maladie mental le patient prend sa médication et au moment ou il se sent un peut mieux il l'arrete.... il fera alors une crise et on le retrouve a l'urgence ou on traite la crise et on le retourne chez lui sans prévenir son médecin traitant du récent problème dans plus de 75% des cas.

C'est tout le systeme au complet qu'il faut revoir....

Combien de fois devront nous entendre parlé de cas comme celui mentionné ici avant qu'on fasse des changement majeur en santé mentale...........

Saviez vous que nos soldats qui revienne de mission avec des choc post-tromatique n'ont meme pas accès a de réel soutien de la part de notre armée.....

Savvy!  a écrit


J'ai une soeur qui a des problèmes comportementaux liés à divers abus et qui se trouve maintenant en prison. C'est la première fois que je suis confrontée à ce milieu. Un ex-criminologue qui œuvrait à  Pinel m'a dit que si le juge l'envoie à cet endroit elle recevra les soins pour sa condition. Il semblerait que les thérapeutes et psychiatres vont la casser malgré elle. Tant qu'elle ne pliera pas elle ne pourra sortir. ????
Présentement en prison, elle n'a aucun soin particulier sauf quelques petits cours qui ne changent strictement rien à son caractère. Je le décèle juste à lui parler au téléphone.



C est que souvent dans de cas semblabe la personne JOUE le jeux que les thérapeutes veulent voir et semble guérit a leurs yeux ...Car quand tu es forcé de faire certaine chose contre ton gré tu ne t aides pas.........tu déjoues le systeme comme tant d d autre le font....

Son Excellence  a écrit


C est que souvent dans de cas semblabe la personne JOUE le jeux que les thérapeutes veulent voir et semble guérit a leurs yeux ...Car quand tu es forcé de faire certaine chose contre ton gré tu ne t aides pas.........tu déjoues le systeme comme tant d d autre le font....

ce qui n'empêche pas que ces personnes ont besoin de soin puisqu'elles sont aussi dangeureuses pour elles-mêmes que pour les autres.

brunetta  a écrit
ce qui n'empêche pas que ces personnes ont besoin de soin puisqu'elles sont aussi dangeureuses pour elles-mêmes que pour les autres.

Son Excellence  a écrit


C est que souvent dans de cas semblabe la personne JOUE le jeux que les thérapeutes veulent voir et semble guérit a leurs yeux ...Car quand tu es forcé de faire certaine chose contre ton gré tu ne t aides pas.........tu déjoues le systeme comme tant d d autre le font....


C'est ce que j'ai avancé comme argument et comme elle est maintenant championne manipulatrice. Moi qui l'a connaît depuis son enfance, elle me déjoue moins facilement mais je sais qu'elle est capable de donner le change. Le criminologue m'a répondu que les psychiatres au Centre Pinel avaient l'habitude de ce type de manipulateur et ne se laissaient pas berner facilement.

Savvy!  a écrit

C'est ce que j'ai avancé comme argument et comme elle est maintenant championne manipulatrice. Moi qui l'a connaît depuis son enfance, elle me déjoue moins facilement mais je sais qu'elle est capable de donner le change. Le criminologue m'a répondu que les psychiatres au Centre Pinel avaient l'habitude de ce type de manipulateur et ne se laissaient pas berner facilement.

Savvy!  a écrit

C'est ce que j'ai avancé comme argument et comme elle est maintenant championne manipulatrice. Moi qui l'a connaît depuis son enfance, elle me déjoue moins facilement mais je sais qu'elle est capable de donner le change. Le criminologue m'a répondu que les psychiatres au Centre Pinel avaient l'habitude de ce type de manipulateur et ne se laissaient pas berner facilement.




Oui d accord   mais il en passent quand meme .......faut pas oublier que l institut a des compte a rendre et plus leur tot de succes est bon plus ils ont de budget........

Je suis entierement d'accord avec tout ce que Gin a dis  ;)

joshua25  a écritJe suis entierement d'accord avec tout ce que Gin a dis  ;)  
Ce serait intéressant que tu continue le débat, que tu apportes tes arguments etc.

lélou  a écrit
Ce serait intéressant que tu continue le débat, que tu apportes tes arguments etc.


Tu vois Lélou, moi je ne tiens pas à débattre justement parce que j'ai travaillé avec des gens comme ça.

Ils le savent qu'ils ne doivent pas cesser leur médication, il le savent à quel endroit ils peuvent téléphoner jour et nuit 24 sur 24.

Ils assistent aux groupes d'entraide proposés, viennent à leurs rendez-vous mais lorsqu'ils se sentent mieux, ils voient tout en rose et arrête le traitement.  

La seule chose que je peux dire c'est que: lorsqu'ils arrêtent leur traitement, ils le font consciemment et ils connaissent très bien ce qui peut leur arriver.

Donc pourquoi faudrait-il que moi j'essaie de les comprendre ou compatir ...ou quoi que ce soit, lorsque je sais qu'ils sont sains d'esprit lorsqu'ils prennent la décision de cesser le médicament?


C'est le pourquoi je ne veux pas débattre...j'en ai trop vu, j'en connais trop et ça gruge épouvantablement les énergies.  Même lorsqu'on arrive à la maison on pense toujours à eux, sauf qu'à un moment donné il nous faut décrocher sinon c'est nous qui allons couler.


Ici je parle en général, je ne fais pas allusion aux exceptions. --Message edité par gin* le 2008-07-18 19:59:54--

Gin*  a écrit


Tu vois Lélou, moi je ne tiens pas à débattre justement parce que j'ai travaillé avec des gens comme ça.

Ils le savent qu'ils ne doivent pas cesser leur médicamentation, il le savent à quel endroit ils peuvent téléphoner jour et nuit 24 sur 24.

Ils assistent aux groupes d'entraide proposés, viennent à leurs rendez-vous mais lorsqu'ils se sentent mieux, ils voient tout en rose et arrête le traitement.  

La seule chose que je peux dire c'est que: lorsqu'ils arrêtent leur traitement, ils le font consciemment et ils connaissent très bien ce qui peut leur arriver.

Donc pourquoi faudrait-il que moi j'essaie de les comprendre ou compatir ...ou quoi que ce soit, lorsque je sais qu'ils sont sains d'esprit lorsqu'ils prennent la décision de cesser le médicament?


C'est le pourquoi je ne veux pas débattre...j'en ai trop vu, j'en connais trop et ça gruge épouvantablement les énergies.  Même lorsqu'on arrive à la maison on pense toujours à eux, sauf qu'à un moment donné il nous faut décrocher sinon c'est nous qui allons couler.


Ici je parle en général, je ne fais pas allusion aux exceptions.
C'est intéressant de connaître le pourquoi du comment de tes opinions. Par contre, j'espère que tu n'as pas vu mon invitation au débat à l'autre forumeur (euse) comme une critique au fait que toi tu ne sois plus intéressée à discuter de celà.
Je trouve simplement que ça n'amène pas beaucoup d'eau au moulin de dire: je pense pareil, mais sans rien ajouter, d'où mon invitation à élaborer.

Gin*  a écrit


Tu vois Lélou, moi je ne tiens pas à débattre justement parce que j'ai travaillé avec des gens comme ça.

Ils le savent qu'ils ne doivent pas cesser leur médicamentation, il le savent à quel endroit ils peuvent téléphoner jour et nuit 24 sur 24.

Ils assistent aux groupes d'entraide proposés, viennent à leurs rendez-vous mais lorsqu'ils se sentent mieux, ils voient tout en rose et arrête le traitement.  

La seule chose que je peux dire c'est que: lorsqu'ils arrêtent leur traitement, ils le font consciemment et ils connaissent très bien ce qui peut leur arriver.

Donc pourquoi faudrait-il que moi j'essaie de les comprendre ou compatir ...ou quoi que ce soit, lorsque je sais qu'ils sont sains d'esprit lorsqu'ils prennent la décision de cesser le médicament?


C'est le pourquoi je ne veux pas débattre...j'en ai trop vu, j'en connais trop et ça gruge épouvantablement les énergies.  Même lorsqu'on arrive à la maison on pense toujours à eux, sauf qu'à un moment donné il nous faut décrocher sinon c'est nous qui allons couler.


Ici je parle en général, je ne fais pas allusion aux exceptions.

Ils savent très bien, selon toi, qu'ils peuvent commettre l'irréparable? Je ne crois pas, moi. Quand ils cessent leur médication, ils pensent qu'ils peuvent vivre normalement comme tous les autres mais ils ne se doutent pas qu'ils peuvent poser des gestes irréfléchis ou irresponsables. D'ailleurs, pas besoin d'être atteint mentalement pour commettre l'irréparable...

lélou  a écrit
C'est intéressant de connaître le pourquoi du comment de tes opinions. Par contre, j'espère que tu n'as pas vu mon invitation au débat à l'autre forumeur (euse) comme une critique au fait que toi tu ne sois plus intéressée à discuter de celà.
Je trouve simplement que ça n'amène pas beaucoup d'eau au moulin de dire: je pense pareil, mais sans rien ajouter, d'où mon invitation à élaborer.  

Faisait longtemps que l'invitation était faite et pas par toi  

Beppo  a écrit

Ils savent très bien, selon toi, qu'ils peuvent commettre l'irréparable? Je ne crois pas, moi. Quand ils cessent leur médication, ils pensent qu'ils peuvent vivre normalement comme tous les autres mais ils ne se doutent pas qu'ils peuvent poser des gestes irréfléchis ou irresponsables. D'ailleurs, pas besoin d'être atteint mentalement pour commettre l'irréparable...




R'garde, t'as le droit à ton opinion.  Moi je te dis qu'ils le savent c'est dans les priorités de les aviser et de leur démontrer les conséquences. --Message edité par gin* le 2008-07-18 19:44:55--

Gin*  a écrit

R'garde, t'as le droit à ton opinion.  Moi je te dis qu'ils le savent c'est dans les priorités de les aviser et de leur démontrer les conséquences.  

Hé bien ........ ils savent pourtant.....


Les psychoses sont un ensemble de psychopathologies caractérisées par l'existence d'« épisodes psychotiques ». Au niveau des manifestations, l'épisode psychotique se traduit par une altération du « sens de la réalité » : idées délirantes, hallucinations. Celui-ci, de durée variable, peut-être transitoire (plus d'un jour, moins d'un mois, hors traitement) (exemple : épisode psychotique bref) ou prolongé. L'anosognosie, c'est-à-dire l'absence de conscience de l'état pathologique lors de l'épisode psychotique, est la règle.

Si la réalité est altéré...... ils pensent simplement etre bien donc tout les groupe de soutien, médicaments et médecin ne sont pas nécessaire selon leur perception...

Il y a combien de maladie mental qui justement entraine des épisode psychotique.......

Donc pour moi en période de crise ils ne savent pas.....

Gin*  a écrit

Faisait longtemps que l'invitation était faite et pas par toi  



Je ne parlais pas de toi. --Message edité par lélou le 2008-07-18 23:13:22--

Ely  a écrit

Je dis pas qu'il y a pas de lien entre la chute d'infanticide et la légalisation de l'avortement. J'ai juste dit que, dans ce cas précis de cette femme de Québec, lui n'a rien a voir avec l'avortement puisque que cette option est ouverte à toute les québécoises. La cause est ailleur, et je crois que la pauvreté pourrai avoir un lien dans cette histoire puisqu'elle habitait un quartier pauvre de québec.


la demoiselle est question est la voisine de derière de ma grande amie, qui a une vue spectaculaire sur le conteneur en question...

C'est un très beau secteur de Limoilou, faut faire attention pour ne pas trop généraliser...