Un nudiste enterré habillé contre ses dernières volontés
PEKIN, Illinois (AP) - Condamné vingt fois ces quarante dernières années parce qu'il souhaitait vivre nu, Robert Norton sera enterré habillé, contrairement à ses dernières volontés.
Depuis 1962, Robert Norton avait défendu jusque devant les tribunaux ce qu'il considérait comme son droit constitutionnel à la nudité. Il a été condamné vingt fois, pour avoir jardiné ou s'être promené nu dans son jardin.
L'ancien combattant décédé à l'âge de 82 ans avait exprimé le souhait d'être enterré nu. Mais sa famille a refusé de se plier à ces dernières volontés, dans l'espoir d'apaiser la controverse qu'il avait déclenché de son vivant. Il sera donc inhumé jeudi habillé d'un pantalon et d'une chemise gris.
Ses proches disent que Norton était légèrement dérangé par son expérience de la Deuxième guerre mondiale, mais ceux qui l'ont souvent traîné en justice disent qu'il était simplement borné.
Brenda Loete, qui a été la voisine de Norton pendant plusieurs dizaines d'années avant qu'il ne s'installe dans une maison de retraite, affirme qu'elle ne lui a jamais parlé. "On ne le connaissait pas vraiment. On le faisait seulement arrêter", se souvient-elle. "Normalement, quand on le faisait arrêter au printemps, il restait parti tout l'été et on n'avait plus à s'inquiéter de lui jusqu'au printemps suivant." AP
Un Monde de Fous...!! (et autres lectures de bol...)
Un livre explique "pourquoi les hommes ont des mamelons"
NEW YORK (Reuters) - Pourquoi les dents claquent-elles quand on a froid ? Attrape-t-on vraiment une maladie sur un siège de WC ? Le médecin new-yorkais Billy Goldberg, importuné des années par des questions bizarres, répond à ce type d'interrogations dans son livre "Pourquoi les hommes ont-ils des mamelons ?", qui sort mardi aux Etats-Unis.
"C'est étonnant comme on est souvent abordé ", confie Goldberg, 39 ans. "Il y a les questions d'ordre médical de la famille et des amis, mais aussi les questions scandaleuses de quelqu'un de soûl qui veut par exemple baisser son pantalon pour vous montrer une rougeur."
Le livre, qui a pour sous-titre "Des centaines de questions que vous ne poseriez à votre médecin qu'après votre troisième verre de Martini", est publié par Three Rivers Press et écrit en collaboration avec l'humoriste Mark Leyner.
"Les gens en savent si peu sur leur corps en comparaison de leurs connaissances sur leur ordinateur portable ou leur voiture!", note Leyner, 49 ans.
Les claquements de dents sont un moyen de produire de la chaleur. Quand le corps devient trop froid, la région du cerveau appelée l'hypothalamus avertit le reste de l'organisme qu'il doit commencer à se réchauffer. Le tremblement, ce rapide mouvement des muscles qui crée de la chaleur, commence alors - le claquement des dents étant un tremblement localisé.
Au fil de leurs recherches, Goldberg et Leyner ont découvert des rapports faisant état de la présence de gonocoques (microbe de la blennorragie), d'ascarides et d'autres parasites sur des sièges de toilettes, mais il est rare qu'une maladie en soit contractée.
Les auteurs ont constaté qu'un dessus de bureau pouvait être plus préjudiciable à la santé qu'un siège de WC. Charles Gerba, microbiologiste à l'Université d'Arizona, estime qu'un bureau standard abrite 400 fois plus de bactéries transmettant des maladies qu'un siège de toilettes.
QUESTIONS BRULANTES
Le livre répond avec humour à des questions brûlantes comme "Qu'est-ce qui cause la mauvaise haleine du matin ?" ou "Pourquoi les haricots donnent-ils des gaz ?"
Goldberg explique que la mauvaise haleine matinale provient d'une bactérie anaérobie, la xérostomie (bouche sèche) ou de composés de soufre volatile, déchets de la bactérie. Parmi les autres facteurs pouvant rendre l'haleine désagréable figurent des médicaments, l'alcool, le sucre, le tabac, la caféine et les produits laitiers.
Les haricots contiennent, eux, un fort pourcentage de sucres que notre corps n'est pas capable d'assimiler, indique Goldberg. Quand les sucres atteignent les intestins, la bactérie commence son travail et se met à produire une grande quantité de gaz.
Si vous êtes mordu par un serpent venimeux, aspirer le venin en suçant la plaie, comme dans les films, est non seulement inefficace mais susceptible de provoquer une infection.
L'endroit de la morsure doit plutôt être lavé au savon et à l'eau et immobilisé. La zone mordue doit aussi, dans la mesure du possible, être maintenue plus bas que le coeur et... une assistance médicale est souhaitable dans les meilleurs délais.
Mais pourquoi les hommes ont-ils des mamelons ? Seules les femmes ont des glandes mammaires, mais nos vies commencent de façon analogue dans l'embryon, rappellent les deux auteurs. L'embryon se conforme à un modèle féminin pendant six semaines environ, jusqu'à ce qu'intervienne le chromosome du sexe masculin.
Les hommes ont alors déjà développé des mamelons.
ben coup donc, m'a aller me coucher moins niaiseuse
NEW YORK (Reuters) - Pourquoi les dents claquent-elles quand on a froid ? Attrape-t-on vraiment une maladie sur un siège de WC ? Le médecin new-yorkais Billy Goldberg, importuné des années par des questions bizarres, répond à ce type d'interrogations dans son livre "Pourquoi les hommes ont-ils des mamelons ?", qui sort mardi aux Etats-Unis.
"C'est étonnant comme on est souvent abordé ", confie Goldberg, 39 ans. "Il y a les questions d'ordre médical de la famille et des amis, mais aussi les questions scandaleuses de quelqu'un de soûl qui veut par exemple baisser son pantalon pour vous montrer une rougeur."
Le livre, qui a pour sous-titre "Des centaines de questions que vous ne poseriez à votre médecin qu'après votre troisième verre de Martini", est publié par Three Rivers Press et écrit en collaboration avec l'humoriste Mark Leyner.
"Les gens en savent si peu sur leur corps en comparaison de leurs connaissances sur leur ordinateur portable ou leur voiture!", note Leyner, 49 ans.
Les claquements de dents sont un moyen de produire de la chaleur. Quand le corps devient trop froid, la région du cerveau appelée l'hypothalamus avertit le reste de l'organisme qu'il doit commencer à se réchauffer. Le tremblement, ce rapide mouvement des muscles qui crée de la chaleur, commence alors - le claquement des dents étant un tremblement localisé.
Au fil de leurs recherches, Goldberg et Leyner ont découvert des rapports faisant état de la présence de gonocoques (microbe de la blennorragie), d'ascarides et d'autres parasites sur des sièges de toilettes, mais il est rare qu'une maladie en soit contractée.
Les auteurs ont constaté qu'un dessus de bureau pouvait être plus préjudiciable à la santé qu'un siège de WC. Charles Gerba, microbiologiste à l'Université d'Arizona, estime qu'un bureau standard abrite 400 fois plus de bactéries transmettant des maladies qu'un siège de toilettes.
QUESTIONS BRULANTES
Le livre répond avec humour à des questions brûlantes comme "Qu'est-ce qui cause la mauvaise haleine du matin ?" ou "Pourquoi les haricots donnent-ils des gaz ?"
Goldberg explique que la mauvaise haleine matinale provient d'une bactérie anaérobie, la xérostomie (bouche sèche) ou de composés de soufre volatile, déchets de la bactérie. Parmi les autres facteurs pouvant rendre l'haleine désagréable figurent des médicaments, l'alcool, le sucre, le tabac, la caféine et les produits laitiers.
Les haricots contiennent, eux, un fort pourcentage de sucres que notre corps n'est pas capable d'assimiler, indique Goldberg. Quand les sucres atteignent les intestins, la bactérie commence son travail et se met à produire une grande quantité de gaz.
Si vous êtes mordu par un serpent venimeux, aspirer le venin en suçant la plaie, comme dans les films, est non seulement inefficace mais susceptible de provoquer une infection.
L'endroit de la morsure doit plutôt être lavé au savon et à l'eau et immobilisé. La zone mordue doit aussi, dans la mesure du possible, être maintenue plus bas que le coeur et... une assistance médicale est souhaitable dans les meilleurs délais.
Mais pourquoi les hommes ont-ils des mamelons ? Seules les femmes ont des glandes mammaires, mais nos vies commencent de façon analogue dans l'embryon, rappellent les deux auteurs. L'embryon se conforme à un modèle féminin pendant six semaines environ, jusqu'à ce qu'intervienne le chromosome du sexe masculin.
Les hommes ont alors déjà développé des mamelons.
ben coup donc, m'a aller me coucher moins niaiseuse
Le commerce d'objets de tueurs célèbres, reflet d'une fascination américaine
LOS ANGELES (AFP) - "A vendre: lettre autographe de Charles Manson, 300 dollars". Le commerce au grand jour d'objets ayant appartenu à des tueurs célèbres illustre la fascination morbide de certains Américains pour leurs criminels les plus monstrueux.
Ce phénomène a été mis en lumière par la décision récente d'un juge de permettre la mise en vente des objets personnels de l'"unabomber" Ted Kaczynski, qui, avant son arrestation en 1996, avait envoyé en 18 ans 16 bombes dissimulées dans des colis postaux aux Etats-Unis, faisant trois morts et 23 blessés.
Parmi ces objets, un dentier, une machine à écrire ou un exemplaire de "Des souris et des hommes", qui pourraient être vendus par l'Etat au profit des victimes du tueur, ce dernier, en prison pour le reste de ses jours, n'ayant pu acquitter les dommages auxquels il a été condamné.
Mais ces objets risquent fort de passer ensuite dans le circuit de la petite communauté de collectionneurs fascinés par tout ce qui touche de près ou de loin aux tueurs et prêts à débourser des sommes considérables pour assouvir leur passion.
"Au départ, j'étais juste un collectionneur, puis j'ai voulu voir ce que les autres avaient", explique à l'AFP Tod Bohannon, un habitant de Géorgie (sud-est) de 28 ans, créateur et animateur bénévole du site "murderauction.com", où pas moins de 800 articles sont proposés à la vente.
Une demi-douzaine de sites semblables se sont ouverts depuis que le numéro un des enchères sur l'internet, eBay, a cessé d'accepter ces objets en 2001, à la suite de plaintes d'associations de défense des victimes.
Vedette actuelle du site de M. Bohannon, une peinture de John Gacy, un entrepreneur de Chicago qui avait violé et massacré 33 hommes dans les années 1970. La toile de l'"artiste", exécuté en 1994, a trouvé preneur à 10.000 dollars.
A la bourse des criminels, Manson, dont les adeptes avaient sauvagement assassiné à Los Angeles au cours de l'année 1969 sept personnes, dont l'actrice Sharon Tate (femme de Roman Polanski), fait figure de valeur sûre. Un petit dessin signé de l'ancien gourou est proposé à 800 dollars sur le site "supernaught.com".
"Choquée" par la nouvelle de l'existence de ces sites, Terry Thornton, porte-parole de l'administration pénitentiaire de Californie, reconnaît que les détenus peuvent écrire des lettres et qu'ils disposent de comptes bancaires gérés par une tierce personne, ce qui pourrait en théorie leur permettre de vendre leurs "oeuvres".
Pour lutter contre ces dérives, quatre Etats américains, dont la Californie où Manson est incarcéré, ont voté depuis 2001 des lois empêchant les criminels de bénéficier de leur notoriété.
"Il n'y a rien de pire pour la famille d'une victime de crime que de voir un criminel obtenir de l'argent grâce à la célébrité obtenue par ce meurtre", souligne Andy Kahan, responsable de l'agence municipale d'aide aux victimes de Houston (Texas, sud), et qui mène un combat contre ce commerce à ses yeux "immoral".
Mais les objets d'"unabomber" ne sont pas concernés par cette loi, puisque ce seront ses victimes qui bénéficieront du produit de la vente. "C'est sans doute le moindre mal", estime M. Kahan, pour qui de tels échanges sont "inévitables dans un contexte de libre entreprise".
"Au premier abord, ce commerce fait froid dans le dos", indique Robert Thompson, professeur à l'Université de Syracuse à New York, spécialiste de la culture populaire. Mais dans une société américaine fascinée par la célébrité et par les tueurs en série, "une telle dérive était inévitable", assure-t-il.
Quant à M. Bohannon, il cherche toujours l'article qui fera la différence. "Gary Heidnik, qui avait séquestré, torturé et violé cinq femmes dans sa cave avant de tuer deux d'entre elles, n'a quasiment rien écrit avant d'être exécuté et ses objets sont vraiment rares", dit-il.
LOS ANGELES (AFP) - "A vendre: lettre autographe de Charles Manson, 300 dollars". Le commerce au grand jour d'objets ayant appartenu à des tueurs célèbres illustre la fascination morbide de certains Américains pour leurs criminels les plus monstrueux.
Ce phénomène a été mis en lumière par la décision récente d'un juge de permettre la mise en vente des objets personnels de l'"unabomber" Ted Kaczynski, qui, avant son arrestation en 1996, avait envoyé en 18 ans 16 bombes dissimulées dans des colis postaux aux Etats-Unis, faisant trois morts et 23 blessés.
Parmi ces objets, un dentier, une machine à écrire ou un exemplaire de "Des souris et des hommes", qui pourraient être vendus par l'Etat au profit des victimes du tueur, ce dernier, en prison pour le reste de ses jours, n'ayant pu acquitter les dommages auxquels il a été condamné.
Mais ces objets risquent fort de passer ensuite dans le circuit de la petite communauté de collectionneurs fascinés par tout ce qui touche de près ou de loin aux tueurs et prêts à débourser des sommes considérables pour assouvir leur passion.
"Au départ, j'étais juste un collectionneur, puis j'ai voulu voir ce que les autres avaient", explique à l'AFP Tod Bohannon, un habitant de Géorgie (sud-est) de 28 ans, créateur et animateur bénévole du site "murderauction.com", où pas moins de 800 articles sont proposés à la vente.
Une demi-douzaine de sites semblables se sont ouverts depuis que le numéro un des enchères sur l'internet, eBay, a cessé d'accepter ces objets en 2001, à la suite de plaintes d'associations de défense des victimes.
Vedette actuelle du site de M. Bohannon, une peinture de John Gacy, un entrepreneur de Chicago qui avait violé et massacré 33 hommes dans les années 1970. La toile de l'"artiste", exécuté en 1994, a trouvé preneur à 10.000 dollars.
A la bourse des criminels, Manson, dont les adeptes avaient sauvagement assassiné à Los Angeles au cours de l'année 1969 sept personnes, dont l'actrice Sharon Tate (femme de Roman Polanski), fait figure de valeur sûre. Un petit dessin signé de l'ancien gourou est proposé à 800 dollars sur le site "supernaught.com".
"Choquée" par la nouvelle de l'existence de ces sites, Terry Thornton, porte-parole de l'administration pénitentiaire de Californie, reconnaît que les détenus peuvent écrire des lettres et qu'ils disposent de comptes bancaires gérés par une tierce personne, ce qui pourrait en théorie leur permettre de vendre leurs "oeuvres".
Pour lutter contre ces dérives, quatre Etats américains, dont la Californie où Manson est incarcéré, ont voté depuis 2001 des lois empêchant les criminels de bénéficier de leur notoriété.
"Il n'y a rien de pire pour la famille d'une victime de crime que de voir un criminel obtenir de l'argent grâce à la célébrité obtenue par ce meurtre", souligne Andy Kahan, responsable de l'agence municipale d'aide aux victimes de Houston (Texas, sud), et qui mène un combat contre ce commerce à ses yeux "immoral".
Mais les objets d'"unabomber" ne sont pas concernés par cette loi, puisque ce seront ses victimes qui bénéficieront du produit de la vente. "C'est sans doute le moindre mal", estime M. Kahan, pour qui de tels échanges sont "inévitables dans un contexte de libre entreprise".
"Au premier abord, ce commerce fait froid dans le dos", indique Robert Thompson, professeur à l'Université de Syracuse à New York, spécialiste de la culture populaire. Mais dans une société américaine fascinée par la célébrité et par les tueurs en série, "une telle dérive était inévitable", assure-t-il.
Quant à M. Bohannon, il cherche toujours l'article qui fera la différence. "Gary Heidnik, qui avait séquestré, torturé et violé cinq femmes dans sa cave avant de tuer deux d'entre elles, n'a quasiment rien écrit avant d'être exécuté et ses objets sont vraiment rares", dit-il.
Un chien s'évade d'Alcatraz
SAN FRANCISCO (AFP) - Un golden retriever répondant au nom de Jake a terminé la course à la nage entre l'île d'Alcatraz et San Francisco, pour la première participation d'un chien à cette épreuve, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Jake et son maître Jeff Pokonosky avaient sauté d'un bateau près de l'ancienne île-prison au milieu de la baie de San Francisco, pour une course de deux kilomètres, dont c'était la dixième édition. Jake est arrivé 72e, en 41 minutes et 45 secondes.
Les golden retrievers, tout comme leurs cousins labradors, ont les pattes palmées et sont d'excellents nageurs.
SAN FRANCISCO (AFP) - Un golden retriever répondant au nom de Jake a terminé la course à la nage entre l'île d'Alcatraz et San Francisco, pour la première participation d'un chien à cette épreuve, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Jake et son maître Jeff Pokonosky avaient sauté d'un bateau près de l'ancienne île-prison au milieu de la baie de San Francisco, pour une course de deux kilomètres, dont c'était la dixième édition. Jake est arrivé 72e, en 41 minutes et 45 secondes.
Les golden retrievers, tout comme leurs cousins labradors, ont les pattes palmées et sont d'excellents nageurs.
Québec
Chassé de l’hôpital parce qu’il veut fumer
Audrey Tremblay -Journal de Montréal
09/08/2005 09h11
Malade du cœur, un patient de 66 ans a dû signer un refus de traitement et être chassé de l’hôpital après avoir demandé de sortir pour fumer une cigarette… Question de bon sens, plaide l’hôpital Saint-François-d’Assise, à Québec.
Malgré sa santé fragile, le patient est outré de l’attitude de l’hôpital.
«Ça n’a pas de sens, grogne Georges-Aimé Légaré de Québec. En quoi ça les dérange que je fume ? Je le sais que c’est mauvais, mais ça fait 55 ans que je fume et je n’arrive pas à arrêter. Sans cigarette, je me sens encore plus mal.»
L’événement s’est produit samedi, à l’urgence de l’hôpital Saint-François-d’Assise. Admis pour des problèmes respiratoires, le sexagénaire a demandé de sortir fumer après avoir passé près d’une quinzaine d’heures dans l’établissement. Un long moment, juge le patient qui fume habituellement deux paquets par jour.
Infirmière
Mais visiblement préoccupée par la santé du bénéficiaire, l’infirmière aurait refusé cette sortie à l’homme qui dit avoir reçu un diagnostic d’insuffisance cardiaque et d’eau sur le poumon droit. Un refus strict, à moins qu’il ne signe une entente disant qu’il refusait les traitements, ce qu’il a fait.
«On agit pour le bien-être des usagers, rappelle Jacinthe Lavigne de l’hôpital Saint-François-d’Assise sans commenter ce cas précis. On les traite pour qu’ils prennent du mieux. À partir de là, si quelqu’un refuse de suivre la prescrïption médicale, on ne peut aller contre son gré.»
Consentir
«La loi sur la santé et les services sociaux dit que le patient doit consentir pour recevoir un traitement mais qu’il peut aussi refuser d’être traité», ajoute Éric Lavoie de l’Agence de santé et de services sociaux, sans toutefois préciser si plusieurs usagers recourent au refus de traitement.
Mais tout cela n’empêche pas Georges-Aimé Légaré de s’être senti bafoué, lui qui soutient que son retour à la maison lui a plutôt été imposé.
«Parce que j’ai demandé de fumer une cigarette, on m’a peut-être condamné à la mort, juge-t-il. Qu’est-ce qui est pire : qu’on me retourne chez moi sans traitement ou que je fume ?»
M. Légaré n’entend pas prendre de recours contre l’hôpital. Sitôt dehors, il a plutôt pris le chemin de sa demeure du quartier Saint-Jean-Baptiste où depuis, il peine à quitter son lit. Il compte sur une visite chez son médecin de famille, vendredi, pour faire le point sur sa santé.
---
Aide-toi et le ciel t'aidera...!?
Chassé de l’hôpital parce qu’il veut fumer
Audrey Tremblay -Journal de Montréal
09/08/2005 09h11
Malade du cœur, un patient de 66 ans a dû signer un refus de traitement et être chassé de l’hôpital après avoir demandé de sortir pour fumer une cigarette… Question de bon sens, plaide l’hôpital Saint-François-d’Assise, à Québec.
Malgré sa santé fragile, le patient est outré de l’attitude de l’hôpital.
«Ça n’a pas de sens, grogne Georges-Aimé Légaré de Québec. En quoi ça les dérange que je fume ? Je le sais que c’est mauvais, mais ça fait 55 ans que je fume et je n’arrive pas à arrêter. Sans cigarette, je me sens encore plus mal.»
L’événement s’est produit samedi, à l’urgence de l’hôpital Saint-François-d’Assise. Admis pour des problèmes respiratoires, le sexagénaire a demandé de sortir fumer après avoir passé près d’une quinzaine d’heures dans l’établissement. Un long moment, juge le patient qui fume habituellement deux paquets par jour.
Infirmière
Mais visiblement préoccupée par la santé du bénéficiaire, l’infirmière aurait refusé cette sortie à l’homme qui dit avoir reçu un diagnostic d’insuffisance cardiaque et d’eau sur le poumon droit. Un refus strict, à moins qu’il ne signe une entente disant qu’il refusait les traitements, ce qu’il a fait.
«On agit pour le bien-être des usagers, rappelle Jacinthe Lavigne de l’hôpital Saint-François-d’Assise sans commenter ce cas précis. On les traite pour qu’ils prennent du mieux. À partir de là, si quelqu’un refuse de suivre la prescrïption médicale, on ne peut aller contre son gré.»
Consentir
«La loi sur la santé et les services sociaux dit que le patient doit consentir pour recevoir un traitement mais qu’il peut aussi refuser d’être traité», ajoute Éric Lavoie de l’Agence de santé et de services sociaux, sans toutefois préciser si plusieurs usagers recourent au refus de traitement.
Mais tout cela n’empêche pas Georges-Aimé Légaré de s’être senti bafoué, lui qui soutient que son retour à la maison lui a plutôt été imposé.
«Parce que j’ai demandé de fumer une cigarette, on m’a peut-être condamné à la mort, juge-t-il. Qu’est-ce qui est pire : qu’on me retourne chez moi sans traitement ou que je fume ?»
M. Légaré n’entend pas prendre de recours contre l’hôpital. Sitôt dehors, il a plutôt pris le chemin de sa demeure du quartier Saint-Jean-Baptiste où depuis, il peine à quitter son lit. Il compte sur une visite chez son médecin de famille, vendredi, pour faire le point sur sa santé.
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Aide-toi et le ciel t'aidera...!?
Je sème en moi ce que je souhaite récolter dans ma vie.
Une octogénaire piquée 400 fois par des abeilles
TUCSON, Arizona (AP) - Une femme de 83 ans a survécu à plus de 400 piqûres d'abeilles surgies de la cloison d'un entrepôt construit à côté de sa maison, ont déclaré vendredi soir les autorités de Tucson, en Arizona.
L'alerte a été donnée par un factotum qui a tenté de sauver la victime en l'aspergeant avec un tuyau d'arrosage jusqu'à ce que les abeilles se retournent contre lui. Il a alors couru appeler les secours d'urgence, selon le capitaine des pompiers Paul McDonough.
Les pompiers ont trouvé la femme gisant inconsciente face contre terre dans la rue. Ils ont pulvérisé de la mousse sur les abeilles et ont emmené l'octogénaire à l'hôpital. Placée en unité de soins intensifs, elle se trouvait dans un état satisfaisant vendredi soir.
"Elle a été piquée 400 fois! Tout le monde était surpris de la voir résister aussi bien", a constaté une responsable de la clinique, Kim Hilty. AP
st/v229
TUCSON, Arizona (AP) - Une femme de 83 ans a survécu à plus de 400 piqûres d'abeilles surgies de la cloison d'un entrepôt construit à côté de sa maison, ont déclaré vendredi soir les autorités de Tucson, en Arizona.
L'alerte a été donnée par un factotum qui a tenté de sauver la victime en l'aspergeant avec un tuyau d'arrosage jusqu'à ce que les abeilles se retournent contre lui. Il a alors couru appeler les secours d'urgence, selon le capitaine des pompiers Paul McDonough.
Les pompiers ont trouvé la femme gisant inconsciente face contre terre dans la rue. Ils ont pulvérisé de la mousse sur les abeilles et ont emmené l'octogénaire à l'hôpital. Placée en unité de soins intensifs, elle se trouvait dans un état satisfaisant vendredi soir.
"Elle a été piquée 400 fois! Tout le monde était surpris de la voir résister aussi bien", a constaté une responsable de la clinique, Kim Hilty. AP
st/v229
Une campagne britannique anti-tabac qui sent le cendrier
LONDRES (Reuters) - Les autorités sanitaires britanniques distribuent, dans le cadre d'une nouvelle campagne anti-tabac, plusieurs centaines de milliers de prospectus imprégnés d'une forte odeur de tabac, censée dissuader les adolescents de fumer.
Cette campagne du National Health Service (NHS) a également investi les magazines féminins Heat, OK! et Cosmopolitan.
"Les recherches ont montré que les femmes de cet âge sont moins sensibles aux messages ayant trait à la santé que ceux qui relèvent de l'apparence", a déclaré vendredi Marc Nohr de l'agence londonienne indépendante Kitcatt Nohr Alexander Shaw, à l'origine de cette campagne.
Les publicités présentent une femme séduisante, mais, sur le modèle des annonces de parfumeurs, le dépliant dégage une forte odeur une fois ouvert, suggérant ainsi les effets de la cigarette.
"Je crois que c'est la première fois que les bandes de parfums sont détournés de cette façon", a déclaré Nohr.
Ces publicités accompagnent une campagne plus vaste, à destination des adolescents, qui suggère que le cigarette favorise l'apparition des rides et le jaunissement des dents
LONDRES (Reuters) - Les autorités sanitaires britanniques distribuent, dans le cadre d'une nouvelle campagne anti-tabac, plusieurs centaines de milliers de prospectus imprégnés d'une forte odeur de tabac, censée dissuader les adolescents de fumer.
Cette campagne du National Health Service (NHS) a également investi les magazines féminins Heat, OK! et Cosmopolitan.
"Les recherches ont montré que les femmes de cet âge sont moins sensibles aux messages ayant trait à la santé que ceux qui relèvent de l'apparence", a déclaré vendredi Marc Nohr de l'agence londonienne indépendante Kitcatt Nohr Alexander Shaw, à l'origine de cette campagne.
Les publicités présentent une femme séduisante, mais, sur le modèle des annonces de parfumeurs, le dépliant dégage une forte odeur une fois ouvert, suggérant ainsi les effets de la cigarette.
"Je crois que c'est la première fois que les bandes de parfums sont détournés de cette façon", a déclaré Nohr.
Ces publicités accompagnent une campagne plus vaste, à destination des adolescents, qui suggère que le cigarette favorise l'apparition des rides et le jaunissement des dents
Une bouteille de whisky irlandais à prix d'or
DUBLIN (Reuters) - Une bouteille d'un rare whisky irlandais est à vendre à un prix record de 100.000 livres sterling (182.000 dollars).
Cette bouteille de whisky, datant de la fin du XIXe siècle, est considérée comme la dernière rescapée de la distillerie de l'Ile de la Nonne, dans le comté de Galway, dans l'ouest de l'Irlande, qui a cessé sa production en 1913.
"C'est très cher mais c'est comme si vous aviez sous les yeux le dernier dinosaure", a expliqué à Reuters Ken Thomas, un spécialiste des spiritueux qui tient un magasin dans le sud-ouest de l'Angleterre. "Cette bouteille est certainement l'une des plus rares au monde".
Thomas vend le précieux breuvage via son site internet - whiskyandwines.com - pour le compte de la propriétaire qui en avait hérité.
"Cette femme est entrée dans le magasin et a sorti la bouteille d'un vieux cabas en disant que cela pouvait peut-être valoir un peu d'argent, et plus je l'examinais, plus l'excitation montait", a déclaré Thomas.
Si l'acheteur venait à déboucher la bouteille, le whisky devrait être bien conservé, selon Thomas.
Un homme d'affaires avait déboursé il y a deux mois 32.000 livres sterling (58.110 dollars) pour une bouteille de whisky datée de 1943, ce qui reste pour l'instant le record.
DUBLIN (Reuters) - Une bouteille d'un rare whisky irlandais est à vendre à un prix record de 100.000 livres sterling (182.000 dollars).
Cette bouteille de whisky, datant de la fin du XIXe siècle, est considérée comme la dernière rescapée de la distillerie de l'Ile de la Nonne, dans le comté de Galway, dans l'ouest de l'Irlande, qui a cessé sa production en 1913.
"C'est très cher mais c'est comme si vous aviez sous les yeux le dernier dinosaure", a expliqué à Reuters Ken Thomas, un spécialiste des spiritueux qui tient un magasin dans le sud-ouest de l'Angleterre. "Cette bouteille est certainement l'une des plus rares au monde".
Thomas vend le précieux breuvage via son site internet - whiskyandwines.com - pour le compte de la propriétaire qui en avait hérité.
"Cette femme est entrée dans le magasin et a sorti la bouteille d'un vieux cabas en disant que cela pouvait peut-être valoir un peu d'argent, et plus je l'examinais, plus l'excitation montait", a déclaré Thomas.
Si l'acheteur venait à déboucher la bouteille, le whisky devrait être bien conservé, selon Thomas.
Un homme d'affaires avait déboursé il y a deux mois 32.000 livres sterling (58.110 dollars) pour une bouteille de whisky datée de 1943, ce qui reste pour l'instant le record.
Une Zimbabwéenne s'électrocute en faisant l'amour
HARARE (AFP) - Une Zimbabwéenne est morte électrocutée et son amant a eu les mains brûlées en faisant l'amour dans le local d'un transformateur électrique à Bulawayo, deuxième ville du pays, selon l'agence New Ziana.
La femme "apparemment une prostituée, a été électrocutée en ayant des rapports intimes avec son ami", selon un témoin cité par l'agence officielle zimbabwéenne.
Owen Phiri a raconté qu'il avait entendu une forte explosion venant du transformateur et "couru pour voir ce qui se passait".
Des hurlements provenant du local, ce témoin a ouvert la porte et découvert la femme grièvement brûlée, mais encore en vie. Elle est décédée peu après.
Son partenaire, âgé de 21 ans, a été légèrement brûlé aux mains et emmené au poste de police pour être interrogé, tandis que des électriciens de la compagnie nationale d'électricité (ZESA) inspectaient les dégâts causés au transformateur.
Il y a trois ans, un vigile avait également été électrocuté en ayant des rapports sexuels avec une prostituée dans un transformateur à Chitungwiza (25 km au sud-est de Harare).
HARARE (AFP) - Une Zimbabwéenne est morte électrocutée et son amant a eu les mains brûlées en faisant l'amour dans le local d'un transformateur électrique à Bulawayo, deuxième ville du pays, selon l'agence New Ziana.
La femme "apparemment une prostituée, a été électrocutée en ayant des rapports intimes avec son ami", selon un témoin cité par l'agence officielle zimbabwéenne.
Owen Phiri a raconté qu'il avait entendu une forte explosion venant du transformateur et "couru pour voir ce qui se passait".
Des hurlements provenant du local, ce témoin a ouvert la porte et découvert la femme grièvement brûlée, mais encore en vie. Elle est décédée peu après.
Son partenaire, âgé de 21 ans, a été légèrement brûlé aux mains et emmené au poste de police pour être interrogé, tandis que des électriciens de la compagnie nationale d'électricité (ZESA) inspectaient les dégâts causés au transformateur.
Il y a trois ans, un vigile avait également été électrocuté en ayant des rapports sexuels avec une prostituée dans un transformateur à Chitungwiza (25 km au sud-est de Harare).
81e anniversaire de mariage pour un couple de l'Indre, record mondial
ARGENTON-SUR-CREUSE (AFP) - Marguerite et André Debry, respectivement âgés de 100 et 107 ans, ont fêté vendredi leur 81e anniversaire de mariage à Argenton-sur-Creuse (Indre), égalant ainsi le record mondial, selon leur famille.
Marguerite et André Debry, qui totalisent 207 ans à eux deux, battent les Américains Herbert et Magda Brown, qui vivent à Philadelphie (Etats-Unis) et totalisent 205 ans à eux deux et 74 ans de vie commune. En juin, le livre Guinness des records les avait officiellement désignés comme "le plus vieux couple marié au monde" actuellement en vie.
Mais jusqu'alors, seul un couple de Britanniques, séparé par la mort il y a plus d'un siècle, à 105 et 104 ans, était parvenu à atteindre le record mondial de 81 ans de mariage, selon un historien britannique qui avait découvert leur histoire au Pays de Galles.
L'épouse, Elizabeth Morgan, était décédée le 19 janvier 1891 à 105 ans et deux jours. Son époux Thomas avait 104 ans et 260 jours, soit un âge combiné de 209 ans et 262 jours, un record pour un couple marié.
Le couple Debry a fêté l'événement entouré d'une douzaine de membres de leur famille, dans leur maison d'Argenton-sur-Creuse.
André Debry, l'un des neuf derniers poilus encore en vie, avait rencontré Marguerite peu après la Première guerre mondiale. Il l'a épousée le 12 avril 1924 à Rosières-en-Santerre (Somme), où lui-même était né en 1898.
Le couple a eu deux enfants: Daniel, 78 ans, et Michel, 55 ans.
Ils ont également quatre petits-enfants et six arrière-petits-enfants.
Ancien instituteur, puis professeur de mathématiques, devenu principal de collège, André est à la retraite depuis 1957.
ARGENTON-SUR-CREUSE (AFP) - Marguerite et André Debry, respectivement âgés de 100 et 107 ans, ont fêté vendredi leur 81e anniversaire de mariage à Argenton-sur-Creuse (Indre), égalant ainsi le record mondial, selon leur famille.
Marguerite et André Debry, qui totalisent 207 ans à eux deux, battent les Américains Herbert et Magda Brown, qui vivent à Philadelphie (Etats-Unis) et totalisent 205 ans à eux deux et 74 ans de vie commune. En juin, le livre Guinness des records les avait officiellement désignés comme "le plus vieux couple marié au monde" actuellement en vie.
Mais jusqu'alors, seul un couple de Britanniques, séparé par la mort il y a plus d'un siècle, à 105 et 104 ans, était parvenu à atteindre le record mondial de 81 ans de mariage, selon un historien britannique qui avait découvert leur histoire au Pays de Galles.
L'épouse, Elizabeth Morgan, était décédée le 19 janvier 1891 à 105 ans et deux jours. Son époux Thomas avait 104 ans et 260 jours, soit un âge combiné de 209 ans et 262 jours, un record pour un couple marié.
Le couple Debry a fêté l'événement entouré d'une douzaine de membres de leur famille, dans leur maison d'Argenton-sur-Creuse.
André Debry, l'un des neuf derniers poilus encore en vie, avait rencontré Marguerite peu après la Première guerre mondiale. Il l'a épousée le 12 avril 1924 à Rosières-en-Santerre (Somme), où lui-même était né en 1898.
Le couple a eu deux enfants: Daniel, 78 ans, et Michel, 55 ans.
Ils ont également quatre petits-enfants et six arrière-petits-enfants.
Ancien instituteur, puis professeur de mathématiques, devenu principal de collège, André est à la retraite depuis 1957.
Un ours polaire parcourt 74 km à la nage en une journée
OSLO (Reuters) - Une ourse polaire a réussi l'étonnante performance de nager sur une distance d'au moins 74 kilomètres en une seule journée dans les eaux de l'Arctique, ont rapporté vendredi des scientifiques.
L'ourse, surnommée Skadi, était équipée d'un dispositif de repérage par satellite. Elle a quitté le 20 juillet l'est de l'île norvégienne de Spitsbergen, située dans l'Océan arctique, a nagé en direction du nord-est et est sortie de l'eau environ 24 heures plus tard sur l'île d'Edgeoya.
"C'est une traversée stupéfiante", a déclaré Jon Aars, un chercheur de l'Institut polaire norvégien, qui a ajouté que cela prouvait que, par bien des aspects, les ours polaires pouvaient être considérés comme des mammifères marins, au même titre que les baleines ou les dauphins.
Les scientifiques se doutaient que les ours étaient capables de parcourir de telles distances à la nage mais n'avaient pas pu en avoir la preuve jusqu'ici. Cette preuve a été obtenue grâce à un nouveau capteur installé sur le système qui équipe Skadi et qui envoie un signal différent selon que l'animal est sur terre ou dans l'eau.
Aars a précisé que Skadi avait probablement nagé en fait près de 100 kilomètres, car il semble improbable qu'elle ait suivi une route parfaitement droite. La vitesse moyenne de l'animal au cours de son périple est évaluée à 3 ou 4 km/h, soit approximativement la vitesse d'un homme au pas.
Même s'ils saluent la performance de Skadi, les scientifiques rappellent que le réchauffement de la planète risque de rendre ce type de parcours dangereusement commun. Les chercheurs estiment en effet que la banquise pourrait avoir totalement disparu de l'Océan arctique d'ici la fin du siècle, ce qui risque de signifier la fin d'espèces telles que les ours polaires.
OSLO (Reuters) - Une ourse polaire a réussi l'étonnante performance de nager sur une distance d'au moins 74 kilomètres en une seule journée dans les eaux de l'Arctique, ont rapporté vendredi des scientifiques.
L'ourse, surnommée Skadi, était équipée d'un dispositif de repérage par satellite. Elle a quitté le 20 juillet l'est de l'île norvégienne de Spitsbergen, située dans l'Océan arctique, a nagé en direction du nord-est et est sortie de l'eau environ 24 heures plus tard sur l'île d'Edgeoya.
"C'est une traversée stupéfiante", a déclaré Jon Aars, un chercheur de l'Institut polaire norvégien, qui a ajouté que cela prouvait que, par bien des aspects, les ours polaires pouvaient être considérés comme des mammifères marins, au même titre que les baleines ou les dauphins.
Les scientifiques se doutaient que les ours étaient capables de parcourir de telles distances à la nage mais n'avaient pas pu en avoir la preuve jusqu'ici. Cette preuve a été obtenue grâce à un nouveau capteur installé sur le système qui équipe Skadi et qui envoie un signal différent selon que l'animal est sur terre ou dans l'eau.
Aars a précisé que Skadi avait probablement nagé en fait près de 100 kilomètres, car il semble improbable qu'elle ait suivi une route parfaitement droite. La vitesse moyenne de l'animal au cours de son périple est évaluée à 3 ou 4 km/h, soit approximativement la vitesse d'un homme au pas.
Même s'ils saluent la performance de Skadi, les scientifiques rappellent que le réchauffement de la planète risque de rendre ce type de parcours dangereusement commun. Les chercheurs estiment en effet que la banquise pourrait avoir totalement disparu de l'Océan arctique d'ici la fin du siècle, ce qui risque de signifier la fin d'espèces telles que les ours polaires.
La "meilleure bière" d'abbaye du monde est en rupture de stock
BRUXELLES (Reuters) - La bière de l'abbaye de Saint-Sixte de Westvleteren, en Belgique, est en rupture de stock depuis qu'elle a été élue meilleure bière du monde par un panel d'amateurs, a-t-on appris auprès des moines trappistes qui la produisent.
Les résultats d'un sondage réalise au mois de juin auprès de quelques milliers d'amateurs de bière de 65 pays sur le site www.ratebeer.com a fait de la Westvleteren 12 la meilleure bière du monde.
Mais la trentaine de moines cisterciens, qui ont fait le voeu d'une vie de réclusion, de prières et de tâches manuelles, ne produisent la bière qu'en quantité limité et, face à son succès soudain, les stocks ont vite été épuisés, sans que les ecclésiastiques n'envisagent d'en augmenter la production.
"Notre boutique est fermée parce que toute notre bière a été vendue", explique le répondeur téléphonique de l'abbaye, située dans l'ouest de la Belgique.
"Nous ne sommes pas des brasseurs, nous sommes des moines", explique le père abbé sur le site internet de l'abbaye. "Comme chacun, nous devons assurer notre subsistance. Nous devons donc essayer de gagner notre pain quotidien, tout en faisant partager à autrui le surplus de notre labeur. Nous devons en effet vivre 'de' et 'grâce à' notre brasserie, et non pas 'pour' notre brasserie."
Le moine Mark Bode a déclaré au quotidien De Morgen que "les gens de l'extérieur ne comprennent pas que nous n'augmentions pas notre production (...) mais la vie à l'abbaye vient en premier, pas la brasserie."
BRUXELLES (Reuters) - La bière de l'abbaye de Saint-Sixte de Westvleteren, en Belgique, est en rupture de stock depuis qu'elle a été élue meilleure bière du monde par un panel d'amateurs, a-t-on appris auprès des moines trappistes qui la produisent.
Les résultats d'un sondage réalise au mois de juin auprès de quelques milliers d'amateurs de bière de 65 pays sur le site www.ratebeer.com a fait de la Westvleteren 12 la meilleure bière du monde.
Mais la trentaine de moines cisterciens, qui ont fait le voeu d'une vie de réclusion, de prières et de tâches manuelles, ne produisent la bière qu'en quantité limité et, face à son succès soudain, les stocks ont vite été épuisés, sans que les ecclésiastiques n'envisagent d'en augmenter la production.
"Notre boutique est fermée parce que toute notre bière a été vendue", explique le répondeur téléphonique de l'abbaye, située dans l'ouest de la Belgique.
"Nous ne sommes pas des brasseurs, nous sommes des moines", explique le père abbé sur le site internet de l'abbaye. "Comme chacun, nous devons assurer notre subsistance. Nous devons donc essayer de gagner notre pain quotidien, tout en faisant partager à autrui le surplus de notre labeur. Nous devons en effet vivre 'de' et 'grâce à' notre brasserie, et non pas 'pour' notre brasserie."
Le moine Mark Bode a déclaré au quotidien De Morgen que "les gens de l'extérieur ne comprennent pas que nous n'augmentions pas notre production (...) mais la vie à l'abbaye vient en premier, pas la brasserie."
Un bikini qui sonne quand il est temps de se retourner au soleil
LONDRES (AFP) - Un nouveau bikini, muni d'un gadget électronique qui sonne toutes les quinze minutes afin d'avertir les vacancières bronzant au soleil qu'il est temps de se retourner, a été présenté officiellement lancé jeudi sur la plage de Brighton (sud de l'Angleterre).
Le bikini, qui sera mis en vente la semaine prochaine en Grande-Bretagne par une enseigne de magasins de vêtements féminins, pourrait éventuellement être suivi d'un modèle pour hommes.
Ce "minuteur de bronzage" est destiné non seulement à assurer une couleur uniforme, mais aussi à éviter que l'on s'endorme au soleil, selon ses concepteurs.
le pire c'est qu'ils vont en vendre
LONDRES (AFP) - Un nouveau bikini, muni d'un gadget électronique qui sonne toutes les quinze minutes afin d'avertir les vacancières bronzant au soleil qu'il est temps de se retourner, a été présenté officiellement lancé jeudi sur la plage de Brighton (sud de l'Angleterre).
Le bikini, qui sera mis en vente la semaine prochaine en Grande-Bretagne par une enseigne de magasins de vêtements féminins, pourrait éventuellement être suivi d'un modèle pour hommes.
Ce "minuteur de bronzage" est destiné non seulement à assurer une couleur uniforme, mais aussi à éviter que l'on s'endorme au soleil, selon ses concepteurs.
le pire c'est qu'ils vont en vendre
Une carte postale d'un prisonnier de la Seconde guerre arrive après 63 ans
BELGRADE (AFP) - Une carte postale écrite par un prisonnier de guerre serbe en 1942 en Allemagne est arrivée à son adresse après 63 ans, ont rapporté mercredi les médias à Belgrade.
Un antiquaire allemand a racheté cette carte postale, écrite par Vojislav Dzeletovic le 26 juin 1942 à sa femme Bosiljka, dans un marché aux puces en Allemagne pour la somme de 12 euros, a rapporté la télévision d'Etat serbe (RTS).
"Je ne sais pas si Bosiljka est toujours en vie, mais peut-être certains membre de la famille le sont (...) mieux vaut tard que jamais", a déclaré l'antiquaire Michael Cronenberg, qui a envoyé la carte postale à l'adresse inscrite en 1942.
Dzeletovic, qui était originaire de Kragujevac (120 kilomètres au sud de Belgrade), faisait partie des milliers de Serbes internés pendant la Seconde guerre mondiale en Allemagne.
"Je suis très inquiet car je ne sais pas ce qui se passe avec toi, ma chérie (...) s'il te plaît, écris, tu ne peux pas savoir à quel point il est difficile pour moi d'être sans nouvelles", écrit entre autres Dzeletovic à son épouse.
La famille Dzeletovic ayant déménagé après la guerre de Kragujevac à Belgrade, la lettre, qui est enfin arrivée à bon port, est actuellement gardée au musée de la Seconde mondiale local de Kragujevac.
"Cet acte de bonne volonté sans précédent aidera à surmonter les mauvais souvenirs du passé", a déclaré le conservateur du musée, Nenad Djordjevic, appelant "tout le monde à l'aider à retrouver la famille" Dzeletovic.
BELGRADE (AFP) - Une carte postale écrite par un prisonnier de guerre serbe en 1942 en Allemagne est arrivée à son adresse après 63 ans, ont rapporté mercredi les médias à Belgrade.
Un antiquaire allemand a racheté cette carte postale, écrite par Vojislav Dzeletovic le 26 juin 1942 à sa femme Bosiljka, dans un marché aux puces en Allemagne pour la somme de 12 euros, a rapporté la télévision d'Etat serbe (RTS).
"Je ne sais pas si Bosiljka est toujours en vie, mais peut-être certains membre de la famille le sont (...) mieux vaut tard que jamais", a déclaré l'antiquaire Michael Cronenberg, qui a envoyé la carte postale à l'adresse inscrite en 1942.
Dzeletovic, qui était originaire de Kragujevac (120 kilomètres au sud de Belgrade), faisait partie des milliers de Serbes internés pendant la Seconde guerre mondiale en Allemagne.
"Je suis très inquiet car je ne sais pas ce qui se passe avec toi, ma chérie (...) s'il te plaît, écris, tu ne peux pas savoir à quel point il est difficile pour moi d'être sans nouvelles", écrit entre autres Dzeletovic à son épouse.
La famille Dzeletovic ayant déménagé après la guerre de Kragujevac à Belgrade, la lettre, qui est enfin arrivée à bon port, est actuellement gardée au musée de la Seconde mondiale local de Kragujevac.
"Cet acte de bonne volonté sans précédent aidera à surmonter les mauvais souvenirs du passé", a déclaré le conservateur du musée, Nenad Djordjevic, appelant "tout le monde à l'aider à retrouver la famille" Dzeletovic.
Les vampires ont leur musée aux Lilas,en Seine-Saint-Denis
LES LILAS (Seine-Saint-Denis) (AFP) - Une allée peu engageante dans un quartier pavillonnaire, une porte métallique peinte en rouge, une courette : un étonnant musée des Vampires, premier du genre en France, a ouvert ses portes il y a quelques mois aux Lilas (Seine-Saint-Denis).
"Aujourd'hui, les vampires sont partout et ils sont plus dangereux qu'autrefois. J'ai décidé d'en enfermer quelques spécimens dans un musée pour les comparer avec ceux d'antan et aider les gens à s'en protéger", explique le plus sérieusement du monde Jacques Sirgent, seigneur et maître du musée.
Avant de raconter qu'un boucher croate a jeté une gousse d'ail devant la porte et qu'un rottweiler fantôme vient rôder régulièrement autour de la demeure.
Le musée est sis dans une grande salle de la maison familiale où l'ancien professeur d'anglais, la cinquantaine grisonnante, a installé les pièces de sa collection personnelle : des dizaines de livres rares, près de 400 films dont des éditions pirates introuvables, des affiches et tout un bric-à-brac d'objets évocateurs des légendes de vampire.
A l'entrée, un suceur de sang moderne - un mannequin en plastique portant sur son casque deux bouteilles de sang reliées à sa bouche par des tuyaux; au fond de la pièce, une comtesse Bathory - la "comtesse sanglante" - enterrée vivante dans un meuble; posés sur une table, une main couverte de bijoux tenant une rose, un dentier, des marteaux, une croix, un crâne factice; ici et là des chauves-souris, des miroirs, un loup-garou... tous ces objets de pacotille servent de support aux récits horrifiques de l'intarrissable maître des lieux.
"Les études scientifiques prouvent que si l'on boit du sang humain, on vit trente ans de plus que la moyenne", raconte sans sourciller M. Sirgent en exhumant de sa bibliothèque un ouvrage poussiéreux, +The Science of vampires+. "Savez-vous qu'autrefois les riches achetaient le sang des pauvres pour se fortifier et qu'aujourd'hui encore, on en abreuve les enfants en Amérique du Sud ? D'ailleurs, on emmenait bien ma grand-mère aux abattoirs de La Villette où elle buvait du sang de boeuf à même le seau".
Le musée a ouvert ses portes en mars. Depuis, il accueille sur réservation un public hétéroclite et volontiers excentrique - faut-il croire M. Sirgent lorsqu'il affirme avoir reçu des Italiennes qui disaient "se ponctionner du sang à la seringue et le boire entre elles" ?. Large de vue, le propriétaire n'exclut a priori que "les gens sans imagination, les fanatiques et les amateurs de parties sado-masochistes".
Les "gothiques" ont naturellement trouvé rapidement le chemin de la rue Jules-David; mais le musée accueille aussi des amateurs de littérature fantastique, des enfants à l'imagination fertile et, plus récemment, une flopée d'étudiants préparant l'agrégation d'anglais, le +Dracula+ de Bram Stocker étant inscrit à leur programme. Le lieu devrait d'ailleurs s'agrandir à l'automne, M. Sirgent ambitionnant d'installer une salle de projection et une salle de lecture dans les autres pièces de sa demeure.
A ses hôtes, il propose des visites thématiques de deux heures en journée, des dîners-débats autour d'un chili con carne et d'une projection qui peuvent se terminer à l'aube et même, aux plus imaginatifs d'entre eux, un pèlerinage sur la tombe secrète de Vlad Tepes au Père-Lachaise...
LES LILAS (Seine-Saint-Denis) (AFP) - Une allée peu engageante dans un quartier pavillonnaire, une porte métallique peinte en rouge, une courette : un étonnant musée des Vampires, premier du genre en France, a ouvert ses portes il y a quelques mois aux Lilas (Seine-Saint-Denis).
"Aujourd'hui, les vampires sont partout et ils sont plus dangereux qu'autrefois. J'ai décidé d'en enfermer quelques spécimens dans un musée pour les comparer avec ceux d'antan et aider les gens à s'en protéger", explique le plus sérieusement du monde Jacques Sirgent, seigneur et maître du musée.
Avant de raconter qu'un boucher croate a jeté une gousse d'ail devant la porte et qu'un rottweiler fantôme vient rôder régulièrement autour de la demeure.
Le musée est sis dans une grande salle de la maison familiale où l'ancien professeur d'anglais, la cinquantaine grisonnante, a installé les pièces de sa collection personnelle : des dizaines de livres rares, près de 400 films dont des éditions pirates introuvables, des affiches et tout un bric-à-brac d'objets évocateurs des légendes de vampire.
A l'entrée, un suceur de sang moderne - un mannequin en plastique portant sur son casque deux bouteilles de sang reliées à sa bouche par des tuyaux; au fond de la pièce, une comtesse Bathory - la "comtesse sanglante" - enterrée vivante dans un meuble; posés sur une table, une main couverte de bijoux tenant une rose, un dentier, des marteaux, une croix, un crâne factice; ici et là des chauves-souris, des miroirs, un loup-garou... tous ces objets de pacotille servent de support aux récits horrifiques de l'intarrissable maître des lieux.
"Les études scientifiques prouvent que si l'on boit du sang humain, on vit trente ans de plus que la moyenne", raconte sans sourciller M. Sirgent en exhumant de sa bibliothèque un ouvrage poussiéreux, +The Science of vampires+. "Savez-vous qu'autrefois les riches achetaient le sang des pauvres pour se fortifier et qu'aujourd'hui encore, on en abreuve les enfants en Amérique du Sud ? D'ailleurs, on emmenait bien ma grand-mère aux abattoirs de La Villette où elle buvait du sang de boeuf à même le seau".
Le musée a ouvert ses portes en mars. Depuis, il accueille sur réservation un public hétéroclite et volontiers excentrique - faut-il croire M. Sirgent lorsqu'il affirme avoir reçu des Italiennes qui disaient "se ponctionner du sang à la seringue et le boire entre elles" ?. Large de vue, le propriétaire n'exclut a priori que "les gens sans imagination, les fanatiques et les amateurs de parties sado-masochistes".
Les "gothiques" ont naturellement trouvé rapidement le chemin de la rue Jules-David; mais le musée accueille aussi des amateurs de littérature fantastique, des enfants à l'imagination fertile et, plus récemment, une flopée d'étudiants préparant l'agrégation d'anglais, le +Dracula+ de Bram Stocker étant inscrit à leur programme. Le lieu devrait d'ailleurs s'agrandir à l'automne, M. Sirgent ambitionnant d'installer une salle de projection et une salle de lecture dans les autres pièces de sa demeure.
A ses hôtes, il propose des visites thématiques de deux heures en journée, des dîners-débats autour d'un chili con carne et d'une projection qui peuvent se terminer à l'aube et même, aux plus imaginatifs d'entre eux, un pèlerinage sur la tombe secrète de Vlad Tepes au Père-Lachaise...
Une TV privée néerlandaise veut diffuser un "Sperme Show"
LA HAYE (AFP) - La chaîne de télévision commerciale néerlandaise Talpa va diffuser une émission intitulée "Je veux ton enfant et rien de plus" dans laquelle une femme célibataire pourra choisir le donneur de sperme avec lequel elle veut être inséminée, selon les médias néerlandais.
Cette émission, qui sera diffusée le 23 août, pourra devenir une série si les télespectateurs votent pour son maintien, précise le quotidien néerlandais Algemeen Dagblad.
L'idée d'un "Sperme show" comme l'appellent les médias néerlandais, avait déjà été lancée en 2001 mais avait suscité une tempête de protestations y compris au parlement et avait par conséquent été enterrée.
La chaîne Talpa a cependant décidé de ressortir le concept dans le cadre d'une compétition entre cinq producteurs qui pourront montrer chacun un épisode de la série qu'ils veulent diffuser. Les télespectateurs devront décider lequel des cinq pourra continuer à diffuser sa série sur Talpa.
LA HAYE (AFP) - La chaîne de télévision commerciale néerlandaise Talpa va diffuser une émission intitulée "Je veux ton enfant et rien de plus" dans laquelle une femme célibataire pourra choisir le donneur de sperme avec lequel elle veut être inséminée, selon les médias néerlandais.
Cette émission, qui sera diffusée le 23 août, pourra devenir une série si les télespectateurs votent pour son maintien, précise le quotidien néerlandais Algemeen Dagblad.
L'idée d'un "Sperme show" comme l'appellent les médias néerlandais, avait déjà été lancée en 2001 mais avait suscité une tempête de protestations y compris au parlement et avait par conséquent été enterrée.
La chaîne Talpa a cependant décidé de ressortir le concept dans le cadre d'une compétition entre cinq producteurs qui pourront montrer chacun un épisode de la série qu'ils veulent diffuser. Les télespectateurs devront décider lequel des cinq pourra continuer à diffuser sa série sur Talpa.
Un parc sur le thème du suicide proposé sur une île de Hong Kong
HONG KONG (AFP) - Un responsable local a proposé qu'une île de Hong Kong se dote d'un parc à thème d'un genre inhabituel en tablant sur une vague de suicides qui a fait sa quelque peu sinistre réputation.
Un conseiller municipal de la petite île de Cheung Chau, Lam Kit-sing, a proposé la création d'"appartements hantés" pour capitaliser sur le fait qu'une vingtaine de gens s'y sont donnés la mort dans des locations de congés au cours des huit dernières années et que cinq autres y ont tenté de se suicider, a rapporté mardi le quotidien South China Morning Post.
M. Lam a estimé que l'idée bien que macabre pourrait attirer une partie des millions de visiteurs attendus après l'ouverture d'un Disneyland à Hong Kong le mois prochain.
Selon le quotidien, la proposition n'a pas reçu le soutien des autres conseillers municipaux.
HONG KONG (AFP) - Un responsable local a proposé qu'une île de Hong Kong se dote d'un parc à thème d'un genre inhabituel en tablant sur une vague de suicides qui a fait sa quelque peu sinistre réputation.
Un conseiller municipal de la petite île de Cheung Chau, Lam Kit-sing, a proposé la création d'"appartements hantés" pour capitaliser sur le fait qu'une vingtaine de gens s'y sont donnés la mort dans des locations de congés au cours des huit dernières années et que cinq autres y ont tenté de se suicider, a rapporté mardi le quotidien South China Morning Post.
M. Lam a estimé que l'idée bien que macabre pourrait attirer une partie des millions de visiteurs attendus après l'ouverture d'un Disneyland à Hong Kong le mois prochain.
Selon le quotidien, la proposition n'a pas reçu le soutien des autres conseillers municipaux.
Un bébé tigre sauvé de la casserole en Malaisie
KUALA LUMPUR (AFP) - Un petit tigre a été sauvé de la casserole en Malaisie où il devait figurer au menu d'un restaurant chinois de Kuala Lumpur, a rapporté vendredi la presse.
S.H. Foo, représentant commercial de Malaisie en Papouasie Nouvelle Guinée, a déclaré au Star avoir appris lundi d'amis que le tigre agé de 3 mois avait été capturé par des villageois dans l'état de Pahang, dans le centre de la Malaisie, et remis à un restaurant.
"J'ai été choqué qu'un si noble animal puisse finir comme repas", a-t-il dit.
Il a proposé d'acheter le petit fauve au restaurant qui le lui a livré. M. Foo a ensuite donné l'animal au département de la faune.
Il n'a pas voulu dire combien il l'avait racheté mais, selon le journal, la somme dépsserait les 10.000 ringgits (2.666 dollars).
Des fonctionnaires du département de la faune ont déclaré que l'animal était faible, déshydraté et mangé par les parasites et nécessitait des soins.
KUALA LUMPUR (AFP) - Un petit tigre a été sauvé de la casserole en Malaisie où il devait figurer au menu d'un restaurant chinois de Kuala Lumpur, a rapporté vendredi la presse.
S.H. Foo, représentant commercial de Malaisie en Papouasie Nouvelle Guinée, a déclaré au Star avoir appris lundi d'amis que le tigre agé de 3 mois avait été capturé par des villageois dans l'état de Pahang, dans le centre de la Malaisie, et remis à un restaurant.
"J'ai été choqué qu'un si noble animal puisse finir comme repas", a-t-il dit.
Il a proposé d'acheter le petit fauve au restaurant qui le lui a livré. M. Foo a ensuite donné l'animal au département de la faune.
Il n'a pas voulu dire combien il l'avait racheté mais, selon le journal, la somme dépsserait les 10.000 ringgits (2.666 dollars).
Des fonctionnaires du département de la faune ont déclaré que l'animal était faible, déshydraté et mangé par les parasites et nécessitait des soins.
tuberale a écritUn parc sur le thème du suicide proposé sur une île de Hong Kong
HONG KONG (AFP) - Un responsable local a proposé qu'une île de Hong Kong se dote d'un parc à thème d'un genre inhabituel en tablant sur une vague de suicides qui a fait sa quelque peu sinistre réputation.
Un conseiller municipal de la petite île de Cheung Chau, Lam Kit-sing, a proposé la création d'"appartements hantés" pour capitaliser sur le fait qu'une vingtaine de gens s'y sont donnés la mort dans des locations de congés au cours des huit dernières années et que cinq autres y ont tenté de se suicider, a rapporté mardi le quotidien South China Morning Post.
M. Lam a estimé que l'idée bien que macabre pourrait attirer une partie des millions de visiteurs attendus après l'ouverture d'un Disneyland à Hong Kong le mois prochain.
Selon le quotidien, la proposition n'a pas reçu le soutien des autres conseillers municipaux.
j,espère ben ... vouloir profiter pour faire de l,argent avec ça
HONG KONG (AFP) - Un responsable local a proposé qu'une île de Hong Kong se dote d'un parc à thème d'un genre inhabituel en tablant sur une vague de suicides qui a fait sa quelque peu sinistre réputation.
Un conseiller municipal de la petite île de Cheung Chau, Lam Kit-sing, a proposé la création d'"appartements hantés" pour capitaliser sur le fait qu'une vingtaine de gens s'y sont donnés la mort dans des locations de congés au cours des huit dernières années et que cinq autres y ont tenté de se suicider, a rapporté mardi le quotidien South China Morning Post.
M. Lam a estimé que l'idée bien que macabre pourrait attirer une partie des millions de visiteurs attendus après l'ouverture d'un Disneyland à Hong Kong le mois prochain.
Selon le quotidien, la proposition n'a pas reçu le soutien des autres conseillers municipaux.
j,espère ben ... vouloir profiter pour faire de l,argent avec ça
Puisque les choses sont ainsi, je prétends moi aussi avoir mon franc parler, et, à l'exception des choses et des personnes auxquelles je dois respect, je dirai mon avis sur le reste.
Des noms de personnages de futurs romans vendus sur internet
NEW YORK (Reuters) - Combien êtes-vous à prêt à payer pour être immortalisé en tant que zombie dans un roman de Stephen King ou sous les traits d'un "type bien" dans un thriller de John Grisham ? King et Grisham font partie des 16 auteurs qui vendent aux enchères sur internet le nom d'un de leurs futurs personnages, pour défendre la liberté d'information et d'expression.
Les détails sur les auteurs concernés ont été mis en ligne sur le site eBay et les enchères auront lieu entre le 1er et le 25 septembre, annonce mardi le First Amendment Project, une association californienne qui défend la liberté d'information et d'expression.
Stephen King précise qu'il offre le nom d'un personnage de "CELL", un roman qui doit être publié en 2006 ou 2007.
"L'acheteur doit savoir que 'CELL' est une oeuvre violente, avec des zombies activés par un mauvais signal de téléphone portable qui détruit le cerveau humain", ajoute King.
"Comme du whisky bon marché, c'est très mauvais et extrêmement satisfaisant", détaille-t-il sur son site internet, ajoutant que si l'acheteur veut que son personnage meure, il doit s'agir d'un nom de femme".
David Greene, membre de First Amendment Project, qui fournit une assistance légale dans des affaires de liberté d'expression, affirme que les fans ont déjà montré un vif intérêt pour l'opération.
"Je dois être prudent dans ma prévision mais nous pensons récolter entre 40.000 et 50.000 dollars grâce à ces 16 auteurs", ajoute Greene.
Cette vente au enchère n'est pas sans précédent: l'écrivain de fiction religieuse Karen Kingsbury a récolté de la sorte près de 100.000 dollars pour des oeuvres de bienfaisance ces dernières années dans différentes ventes.
Sur ebay (http://www.ebay.com/fap, legal), John Grisham a promis que le personnage dont il vend le nom sera dépeint sous "un jour favorable" dans son prochain roman.
• Rubrique : Insolite
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NEW YORK (Reuters) - Combien êtes-vous à prêt à payer pour être immortalisé en tant que zombie dans un roman de Stephen King ou sous les traits d'un "type bien" dans un thriller de John Grisham ? King et Grisham font partie des 16 auteurs qui vendent aux enchères sur internet le nom d'un de leurs futurs personnages, pour défendre la liberté d'information et d'expression.
Les détails sur les auteurs concernés ont été mis en ligne sur le site eBay et les enchères auront lieu entre le 1er et le 25 septembre, annonce mardi le First Amendment Project, une association californienne qui défend la liberté d'information et d'expression.
Stephen King précise qu'il offre le nom d'un personnage de "CELL", un roman qui doit être publié en 2006 ou 2007.
"L'acheteur doit savoir que 'CELL' est une oeuvre violente, avec des zombies activés par un mauvais signal de téléphone portable qui détruit le cerveau humain", ajoute King.
"Comme du whisky bon marché, c'est très mauvais et extrêmement satisfaisant", détaille-t-il sur son site internet, ajoutant que si l'acheteur veut que son personnage meure, il doit s'agir d'un nom de femme".
David Greene, membre de First Amendment Project, qui fournit une assistance légale dans des affaires de liberté d'expression, affirme que les fans ont déjà montré un vif intérêt pour l'opération.
"Je dois être prudent dans ma prévision mais nous pensons récolter entre 40.000 et 50.000 dollars grâce à ces 16 auteurs", ajoute Greene.
Cette vente au enchère n'est pas sans précédent: l'écrivain de fiction religieuse Karen Kingsbury a récolté de la sorte près de 100.000 dollars pour des oeuvres de bienfaisance ces dernières années dans différentes ventes.
Sur ebay (http://www.ebay.com/fap, legal), John Grisham a promis que le personnage dont il vend le nom sera dépeint sous "un jour favorable" dans son prochain roman.
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