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Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. déc. 23, 2009 10:44 am
par Red K
Placeress a écrit : Jacques Brassard =

Natif de l'Isle-Maligne (aujourd'hui Alma), Jacques Brassard est le fils d'Almas Brassard, mécanicien, et d'Anita Maltais. Après ses études universitaires à l'Université de Sherbrooke et à l'Université de Montréal, Brassard devient diplômé en pédagogie, avec une spécialisation en histoire. Il devient enseignant en 1962, ayant obtenu un diplôme à l'Université de Montréal. Il exerce sa profession à Alma jusqu'en 1976.


Hubert Reeves =

astrophysicien, B.S. Université de Montréal, 1953,

MSc McGill University 1955.

PhD, Cornell University, Ithaca N.Y., 1960.

Conseiller scientifique à la NASA Institute for Space Studies, New York, 1960-1964.

Directeur de Recherches au Centre National de la Recherche Scientifique, Paris, 1965.

Sujets de recherches au Service d'Astrophysique de Saclay : origine des éléments chimiques, origine du système solaire, origine de l'univers, astrophysique nucléaire, cosmologie.

Professeur Associé au Département de Physique de l'Université de Montréal.

Président de la Ligue ROC pour la Préservation de la faune sauvage.

Rechercher les deux noms sur Google = CV accessible


Écouter cette entrevue d'Hubert Reeves:

http://www.youtube.com/watch?v=UBW2xHIMc38" onclick="window.open(this.href);return false;


On peut bien étaler des textes d'opinion de Monsieur Brassard copier de son blogue, mais cela reste un texte d'opinion........ fait par un pédagogue peut-être à la limite "historien".

Donc, une opinion reste une opinion, surtout lorsque nous n'avons pas la compétence pour l'analyser correctement.

Un scientifique, peut confirmer une théorie vérifiable basée sur des données mathématiques entre autre.

On peut donner notre opinion en tant que personne connue, et il y aura des adeptes de celle-ci......

Si un jour Jacques Brassard donne son point de vue sur le fait qu'il est persuadé que 2 + 2 = 3..... c'est une opinion qui peut se débattre d'un point de vue philosophique, mais en bout de ligne, les faits ne peuvent pas être niés lorsqu'ils sont basés sur des éléments mathématiques aussi factuels que ceux qui confirment le réchauffement de la planète, et qui confirment le rôle de l'homme dans ce changement.


Et, lorsqu'on traite ceux qui se soucis de l'environnement de réchauffistes, communistes, anti-capitalisme.... etc...... un moment donné, on perd toute crédibilité selon moi.

:clap: :top:

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : sam. déc. 26, 2009 12:42 am
par Placeress
Autre vidéo d'Hubert Reeves, que je trouve vraiment intéressant pour ce débat.....

On pourrait selon moi, remplacer le terme religion/religieux..... pour opinions, philosophies, visions, croyances.......


http://www.youtube.com/watch?v=4A7_P6IFGnQ&feature=fvw" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. déc. 28, 2009 10:40 am
par tuberale
Power, La Presse et le pétrole sale


Dany Doucet
Rédacteur en chef du Journal de Montréal
27/12/2009 08h04


S'il y a une chose qu'un éditorialiste de La Presse ne devrait jamais faire, c'est donner des leçons de journalisme aux autres.

C'est pourtant ce que vient de se permettre l'éditorialiste en chef du quotidien de la rue Saint-Jacques, qui a consacré tout son éditorial d'avant Noël au Journal de Montréal.


Laissez-moi vous raconter ce qui est à l'origine de ces remontrances, histoire que je vous invite d'ailleurs à raconter aux lecteurs de La Presse que vous pourriez rencontrer dans vos familles à l'occasion du temps des Fêtes, car ce n'est certainement pas dans leur journal qu'ils pourront la lire.


Dans la foulée des négociations de Copenhague sur le réchauffement climatique, où le Canada s'est fait montrer du doigt à cause de l'exploitation de ses sables bitumineux, Le Journal de Montréal a d'abord rappelé une information d'intérêt public, que peu de gens connaissent et qu'ils devraient savoir: ce désastre écologique, probablement le pire sur la planète présentement, a des ramifications jusqu'ici.


En effet, la famille du milliardaire Paul Desmarais, propriétaire de l'empire Power Corporation et de sept des dix quotidiens francophones du Québec, dont La Presse, est celle au Québec qui a le plus d'intérêts financiers dans le développement des sables bitumineux. Par le biais de ses filiales, Power est l'un des principaux actionnaires de la multinationale française du pétrole Total. Or, Total est impliquée dans quatre gros projets d'exploitation de sables bitumineux qui pourraient lui rapporter cinq milliards de barils de pétrole au cours des 30 prochaines années. Un des membres de la famille a même été nommé au sein du conseil d'administration de Total et détient donc un réel pouvoir de décision au sein de cette entreprise.


Peu de gens savent tout ça, incluant une chroniqueuse de La Presse qui nous a écrit cette semaine pour nous dire, très candidement, qu'elle-même l'ignorait. Remarquez que ce n'est certainement pas dans les quotidiens de Power qu'elle aurait pu l'apprendre.

UN DRÔLE DE HASARD

Le Journal de Montréal a ensuite publié une chronique dans laquelle il était souligné que, par un drôle de hasard, deux chroniqueurs et l'éditorialiste en chef de La Presse avaient coup sur coup pris position en faveur des sables bitumineux en raison de ce qu'ils apportent comme revenus au Canada et au Québec. On a même pu lire que si le Québec pouvait se permettre des garderies à sept dollars, c'était en partie grâce aux sables bitumineux. Voici un bel argument pour convaincre une petite famille des bienfaits des sables bitumineux, non ?


Le problème, c'est que tout ce beau monde a «oublié» d'écrire que le propriétaire de leur journal avait tout intérêt à ce que rien ne vienne perturber l'exploitation des sables bitumineux. Quand on prend chaque jour plusieurs pages d'un journal pour dire au monde quoi penser, le minimum est de déclarer les intérêts de la maison: les siens, ceux de ses patrons et de ses propriétaires.


Donc, pour revenir au cours d'éthique 101 de monsieur le professeur, on repassera.

J'AI ARRÊTÉ DE COMPTER

Le pire dans tout ça, c'est que l'éditorialiste nous reproche d'avoir publié une chronique sans avoir cherché à obtenir la version de La Presse.


Pardon? C'est nouveau ça?


Savez-vous combien de fois des chroniques au sujet du Journal de Montréal La Presse a publiées ces dernières années, sans jamais nous demander notre version? J'ai fait une petite recherche et après vingt-cinq, j'ai arrêté de compter.


Et la dernière fois, savez-vous c'est quand? Seulement sept jours avant la leçon de journalisme de La Presse... Un chroniqueur consacrait alors tout son espace au Journal de Montréal dans lequel, dans une conclusion des plus tordues, il écrivait que nous étions une «menace pour notre démocratie», rien de moins. Ça, c'est de la liberté d'expression, monsieur! Remarquez que lorsque n'importe qui peut, du jour au lendemain, tenir une chronique sur n'importe quoi, c'est ça qui arrive.


La Presse n'a vraiment de leçon à donner à personne.

P.S. Cela fait dix ans que nous téléphonons en vain chez Power Corporation pour obtenir une entrevue.




http://www.canoe.com/infos/environnemen ... 80401.html" onclick="window.open(this.href);return false;



-----------


Ce qui me frappe dans ce texte, je sais pas si cela va être la même chose pour vous, c'est que l'on parle enfin de la collusion d'un média avec des intérêts économiques et/ou politiques de ses propriétaires mais dans un contexte petit de concurrence entre 2 médias et avec la tendance du " mon père est plus fort que le tien ". On parle de Desmarais non pas dans l'esprit d'éclairer la population sur l'étendu de la mainmise du contrôle de l'information mais plutôt pour marquer un petit point entre concurrents......ainsi autant je sens qu'au travers la politique je ne suis comme électeur qu'un pion insignifiant, autant au niveau de l'information il en va de même du lecteur.....on ne m'informe que si cela profite au média en question et l'éthique journalistique, comme bien d'autres valeurs a pris le bord dans la dernière décennie. :/

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. déc. 28, 2009 11:36 am
par Red K
Tu as raison.

Et une autre chose que je remarque est que, dans cette guerre entre 2, un est beaucoup plus visible et critiqué que l'autre. Personne ne peut passer à côté de la convergeance de Péladeau, de ses lock-out à répétition mais on semble oublier que dernièrement, la Presse menaçait de tout bonnement fermer si les négos n'aboutissaient pas (assez drastique merci) et que le réseau de Desmarais est beaucoup plus étendu et infiltré dans les foyers québécois avec ses quotidiens régionaux.

Sans être un fan de Péladeau, je trouve qu'il est souvent beaucoup plus ciblé par les gens que Desmarais et compagnie. Ouin, c'est peut-être parce que Péladeau est baveux, arrogant et aime se montrer par contre. Disons qu'il ne s'aide pas. :) Mais....bon.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. déc. 28, 2009 11:46 am
par Diane
Peut etre que Desmarais travaille la tete dans le sable
alors les dommages paraissent moins
Peladeau se sert plus de sa gueule

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. déc. 28, 2009 11:52 am
par Beppo
Diane a écrit : Peut etre que Desmarais travaille la tete dans le sable
alors les dommages paraissent moins
Peladeau se sert plus de sa gueule
Prends le temps de lire « Derrière l'état Desmarais », tu vas te rendre compte que le monsieur est loin d'avoir la tête dans le sable (bitumineux...)...

:)

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. déc. 28, 2009 12:00 pm
par tuberale
Red K a écrit : Tu as raison.

Et une autre chose que je remarque est que, dans cette guerre entre 2, un est beaucoup plus visible et critiqué que l'autre. Personne ne peut passer à côté de la convergeance de Péladeau, de ses lock-out à répétition mais on semble oublier que dernièrement, la Presse menaçait de tout bonnement fermer si les négos n'aboutissaient pas (assez drastique merci) et que le réseau de Desmarais est beaucoup plus étendu et infiltré dans les foyers québécois avec ses quotidiens régionaux.

Sans être un fan de Péladeau, je trouve qu'il est souvent beaucoup plus ciblé par les gens que Desmarais et compagnie. Ouin, c'est peut-être parce que Péladeau est baveux, arrogant et aime se montrer par contre. Disons qu'il ne s'aide pas. :) Mais....bon.

C'est vrai ce que tu dis.... Péladeau fait plus dans la mainmise culturelle à convaincre les gens avec ses petits magasines que Marie-Mai est la dernière merveille du monde ou qu'il est intéressant de savoir ce que mange Garou ou Céline au déjeuner..pour vendre des CD et des spectacles au bout de la ligne d'où sont intérêt récent pour l'achat du centre Bell. Alors que l'autre... :gluk: .ischhhh beaucoup plus dangeureux.. :/

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. déc. 28, 2009 12:41 pm
par Placeress
tuberale a écrit : Power, La Presse et le pétrole sale


Dany Doucet
Rédacteur en chef du Journal de Montréal
27/12/2009 08h04


Ce qui me frappe dans ce texte, je sais pas si cela va être la même chose pour vous, c'est que l'on parle enfin de la collusion d'un média avec des intérêts économiques et/ou politiques de ses propriétaires mais dans un contexte petit de concurrence entre 2 médias et avec la tendance du " mon père est plus fort que le tien ". On parle de Desmarais non pas dans l'esprit d'éclairer la population sur l'étendu de la mainmise du contrôle de l'information mais plutôt pour marquer un petit point entre concurrents......ainsi autant je sens qu'au travers la politique je ne suis comme électeur qu'un pion insignifiant, autant au niveau de l'information il en va de même du lecteur.....on ne m'informe que si cela profite au média en question et l'éthique journalistique, comme bien d'autres valeurs a pris le bord dans la dernière décennie. :/

C'est effrayant, oufffff.... ton analyse sur l'accès à l'information dans un contexte de concurrence est vraiment bonne....

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. déc. 31, 2009 6:51 pm
par Carmelle
Radiostar a écrit : [...]


Mais pour chauffer l'eau, ça prend du gaz ou de l'électricité... Est-ce vraiment moins chers?

J'ai un système de chauffage à eau combiné aux gaz naturel et c'est assez dispendieux. Est ce moins que le chauffage à l'huile ou à l'électricité? Je ne peux pas le dire. Ce que je peux dire par contre c'est que j'ai fait changé le gros boiler qu'il y avait par un récent qui est beaucoup plus petit qui m'a couté pratiquement $5000 vla de cela plus de 5 ans mais j'ai économisé plus de $700 par année en chauffage. Faut dire que j'ai aussi fait enlever le thermostat pour mon logement au sous sol car cela aurait couté encore plus chère et de plus j'avais un locataire qui chauffait le logment en novembre à plus de 27 j'en revenais pas car en allant chez lui un soir quand il a ouvert la porte j'ai eu une bouffé de chaleur incroyable. C'était un noir qui venait du Burundi. Je lui ai dit té pas au Burundi ici saprisi baisse le chauffage. Donc maintenant c'est moi qui controle le chauffage...lol

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : dim. janv. 03, 2010 9:44 pm
par .anthurium.
texte qui viens de vigile.net
Que contient le traité de Copenhague ?
La découverte d’un brouillon de l’éventuel traité inquiète par son contenu
Éric Granger
Tribune libre de Vigile
vendredi 6 novembre 2009 1883 visites 2 messages



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La signature d’un traité sur les changements climatiques est l’objectif de la présente Conférence sur les changements climatiques qui se tient à Copenhague. Ce traité, s’il venait à être signé, aurait pour but de régler les problèmes d’émissions de gaz à effet de serre (GES) afin de contrôler le réchauffement planétaire dont l’homme serait responsable. Un traité qui devrait sauver la planète de la destruction certaine, rien de moins ! Enfin, c’est ce qu’on essaie de nous faire croire.

Dans une lettre publiée le 25 octobre dans le New York Times, le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon demandait à ce que l’entente soit appuyée par beaucoup d’argent pour les pays en développement. Il demande une augmentation substantielle du financement pour ces pays à travers, entre autres, un marché du carbone. Il souhaite également une nouvelle structure de gouvernance globale afin de mener à bien ce projet ambitieux. Ban Ki-moon ajoute que « le leadership des États-Unis est crucial » et qu’il doit guider le reste du monde pour conclure une entente sur le changement climatique à Copenhague. (1)

Toutefois, certains et même plusieurs ne sont pas convaincus du bien-fondé de cette entreprise et des voix s’élèvent pour avertir la population.

Dans un article publié le 28 octobre dans le Wall Street Journal intitulé « Has anyone read the Copenhagen Agreement ? », Janet Albrechtsen (The Australian) exprime ses inquiétudes quant au contenu d’un tel traité. Il se trouve qu’une version brouillon a été découverte sur le site web des Nations-Unis et révèle qu’un des objectifs du traité serait la création d’un gouvernement transnational qui pourra agir directement dans les affaires financières, économiques, les taxes et l’environnement de tous les États qui signeront le traité. L’auteure de l’article déplore le fait qu’aucun média ne parle du contenu du traité, ni même nos propres élus. (2)

C’est tout d’abord Lord Christopher Monckton, un ancien conseiller de Margaret Thatcher, qui a alerté la communauté américaine lors d’une conférence à la Bethel University de St-Paul au Minnesota où il a affirmé que « dans les prochaines semaines, à moins que vous ne l’arrêtiez, votre président va signer la disparition de votre liberté, de votre démocratie et de votre humanité pour toujours. Et ni vous, ni aucun autre gouvernement que vous pourriez élire n’aura quelconque pouvoir pour renverser les choses. » (3) C’était le 15 septembre dernier. Une vidéo de son discours est disponible sur YouTube et a été vu par plus d’un million de personnes.

Selon ce que Lord Monckton a dit à l’émission d’Alan Jones sur Sydney radio (26 octobre), c’est la première fois à sa connaissance que l’ONU créera, à travers un traité transnational, une entité nommée « gouvernement ». Mais ce sont les pouvoirs qui seront éventuellement conférés à ce nouveau « gouvernement », complètement non-élu d’ailleurs, qui éffraye le plus.

Bien que Lord Monckton ait été critiqué pour sa sortie, aucun n’a encore pu le confronter sur les faits qu’il met de l’avant ou sur la substance même du sujet. Ce qui nous invite à croire que personne à l’ONU ou à l’intérieur de nos gouvernements respectifs n’est prêt à discuter ouvertement du contenu du traité de Copenhague.

Un gouvernement mondial, une taxe sur le carbone (qui se trouve à être une des composantes essentielles de la vie avec l’eau, l’oxygène et le soleil) et la possibilité de ne plus jamais en sortir ?

Pas sûr qu’on ait envie de ça !

Il faut exiger que l’on en discute ouvertement, afin que tous sachent dans quel train on s’embarque. Comment peut-on signer aveuglément un traité qui a le potentiel d’invalider la souveraineté de chaque nation impliquée ? Encore une fois, il y a davantage de questions que de réponses.

Si l’intention de ce traité est de sauver la planète, on veut savoir de quoi il en retourne, on veut participer au projet en direct et, surtout, on ne veut pas d’un traité conçu et signé derrière des portes closes. Il est écrit quelque part que les bonnes choses doivent être faites à la lumière du jour pour que tous puisse voir que c’est bon, et que les mauvaises choses sont faites dans l’obscurité parce nous savons tous qu’elles sont mauvaises.

Eric Granger

Notes :

(1) Ban Ki-moon, "We can do it !", New York Times, 25 octobre 2009 http://www.nytimes.com/2009/10/26/opini ... .html?_r=2" onclick="window.open(this.href);return false;

(2) Janet Albrechtsen, "Has anyone read the Copenhagen Agreement ?", Wall Street Journal, 28 octobre 2009 http://online.wsj.com/article/SB1000142 ... #printMode" onclick="window.open(this.href);return false;

(3) Discours de Lord Monckton sur YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=PMe5dOgbu40" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. janv. 04, 2010 10:28 am
par Fanfoi
Il faut prendre ce que Lord Monckton dit concernant les changements climatiques avec un grain de sel de quelques kilos. Il n'a aucune formation scientifique et n'est qu'un conseiller politique fondateur d'un think thank britannique pro-business et pro-privatisation. Il est évident qu'il voit toute tentative de règlementation des affaires d'un mauvais oeil.

Si quelqu'un a le temps de se tapper le document de 181 pages mentionné ci-dessus, je suis certain qu'il n'est pas aussi dangereux que ce que Lord Monckton prétend.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. janv. 04, 2010 10:49 am
par Placeress
Fanfoi a écrit : Il faut prendre ce que Lord Monckton dit concernant les changements climatiques avec un grain de sel de quelques kilos. Il n'a aucune formation scientifique et n'est qu'un conseiller politique fondateur d'un think thank britannique pro-business et pro-privatisation. Il est évident qu'il voit toute tentative de règlementation des affaires d'un mauvais oeil.

Si quelqu'un a le temps de se tapper le document de 181 pages mentionné ci-dessus, je suis certain qu'il n'est pas aussi dangereux que ce que Lord Monckton prétend.

:clap:


Toujours ben important selon moi de regarder par quoi une idéologie, une opinion, etc.. sont dirigées.....

Comme dit Hubert Reeves, les scientifiques informent, et par la suite, c'est aux gens de prendre la décision sur ce qu'ils font avec cet information.

Ensuite, avant de se positionner selon moi, c'est important de vérifier qui est-ce qui donne l'opinion et qu'elle sont les enjeux qui dirigent cette opinion.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. janv. 04, 2010 8:21 pm
par .anthurium.
Placeress a écrit : [...]



:clap:


Toujours ben important selon moi de regarder par quoi une idéologie, une opinion, etc.. sont dirigées.....

Comme dit Hubert Reeves, les scientifiques informent, et par la suite, c'est aux gens de prendre la décision sur ce qu'ils font avec cet information.

Ensuite, avant de se positionner selon moi, c'est important de vérifier qui est-ce qui donne l'opinion et qu'elle sont les enjeux qui dirigent cette opinion.
As-tu un lien ou quelques chose ou M. Reeves parle du climategate ?
Le lien que tu as mis il y a quelques temps date de plusieurs années.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : lun. janv. 04, 2010 10:45 pm
par Earendil
pis alan jones est pas une source tres crédible non pu il cherche des bébittes partout où il y en a pas

il voit des complots partout

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mar. janv. 05, 2010 12:13 pm
par .anthurium.
jeudi 24 décembre 2009 (blogue de Jacques Brassard)
Réponse
On me demande où peut-on lire la lettre des 141 scientifiques adressée a uSecrétaire Général des nations Unies. Vous pouvez la lire sur le site: skyfal changement climatique. Et je vous conseille aussi le meilleur site francophone sur le climat: pensée unique pour les scientifiques. Il y a aussi Climat Sceptique, un site désormais inactif mais les informations qu'on y trouve sont toujours pertinentes ( en particulier des analyses rigoureuses du dernier rapport du GIEC ).

Et je souhaite à tous ceux qui visitent ce site un très JOYEUX NOËL et une BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2010.

http://skyfal.free.fr/" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mar. janv. 05, 2010 3:11 pm
par Placeress
.anthurium. a écrit : [...]


As-tu un lien ou quelques chose ou M. Reeves parle du climategate ?
Le lien que tu as mis il y a quelques temps date de plusieurs années.

Hubert Reeves n'a pas à commenter une action d'une poignée de scientifiques qui auraient changés certaines données..... il n'est pas enquêteur, pas journaliste, pas politicien et pas idéologiste.... Il est scientifique....... il donne de l'information...

Cette enquête est en cours actuellement, attendons la suite.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mar. janv. 05, 2010 5:14 pm
par .anthurium.
Placeress a écrit : [...]



Hubert Reeves n'a pas à commenter une action d'une poignée de scientifiques qui auraient changés certaines données..... il n'est pas enquêteur, pas journaliste, pas politicien et pas idéologiste.... Il est scientifique....... il donne de l'information...

Cette enquête est en cours actuellement, attendons la suite.
Il se sers de sa condition de scientifique pour faire avancer une cause qui lui tiens a coeur. Il n'est pas qu'un scientifique qui ne fait que récolter ou analyser des données. Il est impliqué émotivement dans cette cause.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mar. janv. 05, 2010 5:29 pm
par Placeress
.anthurium. a écrit : [...]


Il se sers de sa condition de scientifique pour faire avancer une cause qui lui tiens a coeur. Il n'est pas qu'un scientifique qui ne fait que récolter ou analyser des données. Il est impliqué émotivement dans cette cause.

Ou encore, il est impliqué émotivement dans cette cause parce qu'il connait très bien la réalité.....

On ne peut pas savoir des faits mathématiquement confirmable et resté sans voix.

Si tu as des références de réels de scientifiques à mettre ici sur le fait que le réchauffement de la planète est un coup monté...... et non seulement des "opinionnistes" bien, met les en lien, cela va me faire plaisir de les lire.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. janv. 06, 2010 12:27 pm
par Placeress
.anthurium. a écrit : [...]


Il se sers de sa condition de scientifique pour faire avancer une cause qui lui tiens a coeur. Il n'est pas qu'un scientifique qui ne fait que récolter ou analyser des données. Il est impliqué émotivement dans cette cause.

Et autre élément, crois-tu réellement que Martin Massé, Jacques Brassard et cie n'ont aucune implication émotive dans ce débat....... en plus de ne pas avoir la compétence pour juger réellement de ce phénomène.....

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. janv. 06, 2010 3:31 pm
par .anthurium.
Voici un échantillon de quelques scientifiques qui ne croient pas au réchauffement climatique causé par l'homme. (source wikipédia)

Vous pouvez contribuer simplement à Wikibéral en vous créant un compte avec une adresse email valide. N'hésitez pas!

Liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique
De Wikiberal.

La version du 12 décembre 2009 de cet article a été reconnue comme « article de qualité », c'est-à-dire comme faisant honneur à Wikibéral, l’encyclopédie libre et gratuite. (comparer avec la version actuelle).
Pour toute information complémentaire, consulter sa page de discussion, la liste des articles de qualité et le vote l’ayant promu.

Fichier:Fairytale bookmark gold.png
Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique liste les scientifiques à travers le monde qui sont sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs.

Les idées de ces scientifiques sont détaillées sur leurs articles.

Cette liste est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon Petition. Vous pouvez la compléter librement en vous créant un compte utilisateur.

Liste détaillée de scientifiques sceptiques :

Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de l'académie des sciences russe: il montre que l'évolution de la température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a été inhabituellement élevée.

Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le GiEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses membres manquent de largeur de vue. ... Je suis étonné que le Prix Nobel ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont pas des géologues ».

Ralph B. Alexander, physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm[1].

Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui entraine des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la plupart" du réchauffement actuel soit du à l'effet de serre. [...] [Le GIEC] aurait du reconnaitre que les variations climatiques passées ne devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans fondement. »

Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 »
.
David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.

Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..] Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs »[2].

Sallie Baliunas, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan

Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique

Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est du à la sorti du Petit Age Glaciaire.

Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine »[3].

John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ».

Ian Clark, hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2 et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la variation de son activité qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé.
Piers Corbyn, astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme dont il fait une activité commerciale, notamment par le site http://www.weatheraction.com" onclick="window.open(this.href);return false;.

Vincent Courtillot, géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature

Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxide de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante ».

Diane Douglas, paléoclimatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2 dominent le climat
Geoffrey G. Duffy, physicien, professeur de mécanique des fluides au Department of Chemical and Materials Engineering de l'Université d’Auckland[4]. Selon Geoffrey Duffy, « même si l’on double ou triple la quantité de dioxide de carbone, cela aurait virtuellement peu d’impact, car la vapeur d’eau a dominé et domine tout l'effet de serre ».

Freeman Dyson, physicien, professeur émérite à l'université de Princeton, récompensé par de très nombreux prix : selon lui, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée »[5][6]

Don J. Easterbrook, professeur émérite de géologie à l'Université de Western Washington, spécialiste en glaciologie, auteur de 8 livres et de 150 papiers scientifiques. Même s'il croit à la nécessité d'une réduction des gaz à effet de serre, il critique les projections de températures du GIEC. Lors d'une présentation à la conférence annuelle de la Société de Géologie Américaine, en 2006, il affirma que "si les cycles continuent comme par le passé, le cycle de réchauffement actuel va bientôt se terminer et la température va se refroidir légèrement jusqu'en 2035 environ... Le réchauffement total pour le 21e siècle devrait être autour de 0,3°C et non celui catastrophique de 3-6°C prédit par le GIEC".[7]

David Evans, mathématicien, ex-collaborateur du Bureau Australien sur l’effet de serre. Il a mis au point des modèles du cycle du carbone destiné au mécanisme de réduction de CO2 dans le cadre du protocole de Kyoto (1999-2005). Sur la base de nouvelles données, il a déclaré ne plus croire à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique.

Chris de Freitas, professeur au sein de la faculté de géographie, de géologie et de sciences de l'environnement de l'université d'Auckland : « il y a des preuves du réchauffement climatique mais ce réchauffement ne confirme pas que c'est le dioxyde de carbone qui en est à l'origine. Le climat se réchauffe ou se refroidit perpétuellement ».

Serge Galam, physicien, docteur en physique, Ecole Polytechnique (France) : il estime que la cause des évolutions climatiques actuelles est encore inconnue et que le seul lien entre CO2 et réchauffement climatique est une coïncidence temporelle : « l'homme a été déclaré coupable simplement parce que pour l'heure on n'a pas trouvé d'autre coupable et aussi parce que les apparences sont contre lui »[8].

David Gee, géologue, président du Comité des sciences du Congrès International de Géologie, avec à son actif plus de 130 publications. Selon lui, la théorie du réchauffement anthropique ne relève pas de la science falsifiable : « Combien d'années la planète doit-elle se refroidir pour que nous commencions à comprendre qu’elle ne se réchauffe pas ? »

Ivar Giaever, Prix Nobel de physique : il s'oppose tout particulièrement aux dévoiements de l'écologie à des fins politiques qu'organisent des individus comme Al Gore, Phil Jones ou James Hansen et des organismes comme le GIEC. Il a ainsi déclaré : « je suis un sceptique, le réchauffement climatique est devenu une nouvelle religion »[5]

Stanley Goldenberg, météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA, ex-directeur au National Hurricane Center. Selon lui, « c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ».

Thomas B. Gray, météorologue américain au National Oceanic and Atmospheric Administration : Sur la base de ses travaux sur le climat passé, il s'est opposé à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique, insistant sur la dimension naturelle du phénomène. Il qualifia ainsi en 2007 le changement climatique de « phénomène naturel ». Il rappelle que « rien de ce qui est en train d'arriver sur le plan climatique ne peut être considéré comme anormal à la lumière de notre connaissance des variations climatiques passées ». Il accuse directement les tenants de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique (AGW ou Anthropologic Glowal Warming) de ne s'appuyer « sur aucune donnée fiable »[5].

Vincent R. Gray, scientifique britannique, Ph.D. en chimie, fondateur de la New Zealand Climate Science Coalition: il estime que les mesures du GIEC sont biaisées et pointe que rien ne montre un réchauffement exceptionnel du globe et, plus encore, une éventuelle origine humaine

William M. Gray, spécialiste des ouragans, Ph.D, auteur de très nombreux articles académiques : pour lui, le réchauffement climatique est essentiellement un phénomène naturel et non lié à l'activité humaine. Il s'est en particulier opposé à l'alarmisme de Gore et du GIEC en matière d'ouragans. Il a ainsi rappelé que les ouragans suivaient généralement un cycle multi-décennal et qu'il n'y avait rien d'anormal à observer des variations dans leur nombre et leur intensité.

Michael Griffin, ancien directeur de la NASA, astrophysicien réputé, Ph.D. : « Je ne doute pas qu'une tendance actuelle au réchauffement climatique. Je ne suis pas sur qu'il soit adapté de dire que le réchauffement climatique est un problème qu'il faut combattre. Supposer que c'est un problème, c'est supposer que le climat de la terre actuellement est le climat optimal, le meilleur climat que nous puissions avoir ou ayons jamais eu, et que nous devons prendre des mesures pour qu'il ne change plus. »[9]

William Happer, physicien, Ph.D. en physique à Princeton, faculté de physique atomique de l'université Princeton : il déclara à propos des tenants de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique et en particulier du GIEC que « ce qui était une science est devenue une religion »
Craig Idso, docteur en géographie de l'université d'état d'Arizona, fondateur du Center for the Study of Carbon Dioxide éditeur du site CO2science.org. Dr Idso fait la promotion du CO2 qui selon lui n'influence pas la température et est bénéfique à la croissance des plantes [10].

Kiminori Itoh, Ph.D. en chimie industrielle, diplômé de l'université de Tokyo, actuellement au Département d'Ingénierie de l'Université de Yokohama, contributeur au rapport 2007 du GIEC (AR4), auteur de quatre livres sur le changement climatique dont le dernier s'intitule Mensonges et Tromperies dans l'Affaire du Réchauffement Climatique (en japonais).

Zbigniew Jaworowski, Président du Conseil scientifique et professeur au Laboratoire Central de Protection radiologique de Varsovie, spécialiste de l'étude des carottes glaciaires. Après avoir réalisé 11 expéditions polaires entre 1972 et 1980 pour analyser des carottes glaciaires en vue d'étudier les disséminations radioactives dues aux essais des bombes nucléaires dans l'atmosphère, conclut que les mélanges gazeux contenus dans les glaces subissent des transformations physiques telles que leur composition ne correspond plus à celle de l'atmosphère captée à l'origine. Il conteste ainsi les mesures du GIEC, fondées pour une part importante sur des extrapolations issues de l'étude de ces carottes. Il parle de "manipulation impropre de données" et dénonce les supercheries dans la présentation statistique des résultats[11].

Andrei Kapitsa, géographe, spécialiste de l’Antarctique, membre de l’académie des Sciences de Russie. Selon lui, "les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. [L’étude des carottes glaciaires démontre que] c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire".

Richard Keen, climatologue américain au sein du département des sciences atmosphériques et océanographiques de l'université du Colorado : il est très critique vis-à-vis de l'existence même d'un réchauffement climatique et rappelle que les températures depuis 1998 ont baissé et que 2007 a été l'année la plus froide de la décennie.

Madhav Khandekar, docteur en météorologie de l'université d'état de Floride, il a travaillé plus de 51 ans dans la climatologie, la météorologie et l'océanographie. Il est expert reviewer du GIEC 2007, membre de l'AMS depuis 1966, de l'AGU depuis 1986 et de la Canadian Meteorological and Oceanographic Society depuis 1970. Selon Dr Khandekar, « le réchauffement des années 80 et 90 a été principalement d'origine naturelle et la contribution du CO2 d'origine humaine est et sera très faible »[12].

William Kininmonth, ancien directeur du centre national du climat australien, il a dirigé pendant douze ans son centre national du climat et a représenté l'Australie à l'organisation météorologique mondiale pendant seize ans (1982-1998) : Il s'oppose à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique actuel et met en valeur les phénomènes naturels qui l'expliquent, aujourd'hui comme au cours des variations passées du climat. Il critique par conséquent le simplisme des modèles climatiques du GIEC, qui parte du présupposé, non démontré, que c'est l'homme qui affecte le plus le climat, et occulte les facteurs naturels comme l'activité solaire.

Christopher Landsea, météorologue à la NOAA, spécialiste des ouragans, Ph.D. : « le réchauffement climatique augmente peut-être la force du vent des ouragans, mais de surement pas plus que 1 ou 2% ». Ancien rédacteur du rapport du GIEC, il l'a quitté en en dénonçant l'instrumentalisation : « je ne peux pas continuer, en conscience, à contribuer à un processus que je considère être et conduit par des objectifs préconçus et scientifiquement non valable »[13].

David Legates, Ph.D., climatologue américain, professeur associé à l'université du Delaware et climatologue de l'état. Il considère que l'homme a une influence sur le climat mais qu'il faut la minorer fortement et que les modèles climatiques actuels, utilisés pour prévoir des situations apocalyptiques, occultent les phénomènes naturels bien plus importants comme l'activité solaire. Il a signé l'Oregon Petition, qui liste plusieurs dizaines de milliers de scientifiques et de spécialistes qui rejettent cette thèse et l'existence d'un « consensus scientifique ».

Marcel Leroux, climatologue français, né le 27 août 1938, décédé le 12 août 2008. Professeur émérite de climatologie à l'Université Jean-Moulin - Lyon-III, il était directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement. Il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Palmes Académiques le 31 octobre 2002. Marcel Leroux était connu pour ses concepts scientifiques originaux comme celui des AMP, et ses remises en cause de concepts climatiques comme le réchauffement climatique. iMarcel Leroux (2003) résumait ainsi son point de vue sur la théorie du réchauffement climatique : « Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique".

Horst Malberg, professeur en météorologie et climatologie, ancien directeur de l'Institut de Météorologie de l'Université de Berlin. Il a été co-signataire d'une lettre ouverte de plus de 100 scientifiques allemands à la Chanlière allemande en juillet 2009 qui dénonce la croyance du réchauffement anthropique comme une pseudo-science.[14]

Jean-Louis Le Mouël, géophysicien français, ancien directeur de l'Institut de Physique du Globe de Paris, médaille d'argent du CNRS, lauréat de la Flemming Medal, spécialiste du magnétisme terrestre. Il souligne que l'origine humaine du réchauffement climatique n'est qu'une hypothèse et qu'un débat scientifique est nécessaire. Il estime en particulier que le rôle de l'activité solaire et du magnétisme terrestre sont très sous-estimés.

Richard Lindzen, climatologue au MIT, Ph.D. en climatologie à Harvard, il a publié plus de 200 livres et articles dans des revues à comité de lecture : il est sceptique de la réalité d'un réchauffement exceptionnel et écrit : « Les générations futures se demanderont avec une stupéfaction amusée pourquoi, au début du 21ème siècle, le monde développé s'est plongé dans une panique hystérique à propos d'une augmentation globale moyenne de température de quelques dixièmes de degré, et, sur la base d'exagérations grossières, de projections informatiques hautement incertaines, combinées en déductions improbables, il s'est trouvé en face d'un recul de l'âge industriel »[15]

Anthony Lupo, professeur de sciences de l'atmosphère à l'université du Missouri, Ph.D : « Je ne crois pas que le changement climatique soit une urgence, ou qu'il y ait de preuves valides pour accuser l'humanité du réchauffement climatique actuel. Il est indéniable que le réchauffement climatique a lieu, mais il pourrait ne rien devoir (0%) ou très peu (10%) à l'activité humaine »[5]

Augusto Mangini, paléoclimatologue et physicien à l'université de Heidelberg : sur la base de l'étude des climats anciens, il montre que les variations actuelles n'ont rien d'anormal : « Le GIEC estime que le CO2 a une influence déterminante sur les températures et que les variations naturelles sont négligeables. Or mes travaux montrent que le climat a toujours été soumis à des variations considérables, parfois lentes, parfois brutales. »[16]. Il accuse par ailleurs le GIEC de volontairement occulter ces variations passées pour faire naître la peur, ainsi que de nier le rôle du soleil, premier contributeur aux variations climatiques.

Ryan Maue, Florida State University : Maue a montré que l'activité cyclonique était en baisse depuis 30 ans, et que les prévisions alarmistes du GIEC étaient infondées.

Stephen McIntyre, Bachelor of science en mathématiques à l'université de Toronto : avec Ross McKitrick, il a fait reculer le GIEC sur l'utilisation de la courbe en crosse de hockey de Michael E. Mann, qui s'est révélée être une manipulation totale

Patrick Moore, Ph.D, co-fondateur de Greenpeace : il estime que le lien entre activité humaine et réchauffement n'est pas fondé scientifiquement.

Nils-Axel Mörner, océanographe suédois, ancien directeur du département de paléogéophysique et de géodynamique de l'université de Stockholm. Mörner s'oppose fermement à l'alarmisme d'organismes comme le GIEC sur une éventuelle montée du niveau des océans liée au changement climatique[17]. Il montre par exemple dans The Greatest Lie Ever Told que, sur trois cents ans, il existe des variations cycliques du niveau des eaux, sans tendance discernable. Il pointe également les lacunes des modèles informatiques sur lesquels est fondée l'hypothèse de l'origine humaine du réchauffement et dénonce l'instrumentalisation du GIEC à des fins politiques.

Kary Mullis, Prix Nobel de chimie. Il est sceptique de l'alarmisme actuel, pointant en particulier du doigt l'erreur de croire que l'on peut prévoir le climat à dix ou trente ans, alors que notre connaissance du climat est très parcellaire[18].

Tad Murty, Ph.D., océanographe indo-canadien, spécialiste des tsunamis et ancien président de la Tsunami Society.

James Peden, physicien atmosphérique, anciennement de la Space Research and Coordination Center à Pittsburgh. Il affirme que « de nombreux scientifiques cherchent maintenant une manière de s’en sortir facilement sans ruiner leur carrière professionnelle ».

Ian Plimer, géologue australien, Ph.D. et auteur de plus d'une centaine d'articles scientifiques. Il a également écrit six livres et reçu de nombreuses récompenses, professeur émérite de géologie à l'Université de Western Washington, spécialiste en glaciologie, auteur de 8 livres et de 150 papiers scientifiques.

Tom Quirk, Ph.D. en physique : il a montré que le CO2 émis par les activités humaines étaient très largement absorbés par l'écosystème et que la hausse des concentrations en CO2 atmosphériques ne pouvait pas être imputée à l'action humaine

Denis Rancourt, professeur de physique à l'Université d'Ottawa, spécialiste en spectroscopie. Rancourt, qui se déclare activiste de gauche, pense que les écologistes ont été trompés par la promotion du réchauffement climatique au rang de crise planétaire. Son essai contre la théorie du réchauffement climatique sur son blog a été qualifié par le journaliste Alexander Cockburn comme "un des meilleurs essais sur la fabrication du mythe de l'effet de serre dans la perspective d'un homme de gauche".[19]

Josef Reichholf, directeur du Département des Vertébrés au Conservatoire National Zoologique de Munich, professeur en science environnementale et conservation dans les 2 universités munichoises. Selon Reichholf, un climat plus doux est bon pour la diversité et ne va poser aucun problème majeur à l'humanité dans l'ensemble.[20]

Tom V. Segalstad,géologue norvégien au Museum Géologique de l'Université d'Oslo. Ancien directeur du Museum d'Histoire Naturelle et du Jardin Botanique d'Oslo, il a enseigné la géochimie et la géophysique à l'université d'Oslo et à l'université d'Etat de Pensylvanie USA. Selon Segalstad qui s'appuie sur des dizaines d'études de cycle de vie du CO2 atmosphérique, le CO2 d'origine humaine n'aurait qu'un effet de serre faible car la majorité de ce CO2 est absorbé par les océans bien plus rapidement que ne laisse entendre le GIEC.[21]

Nir Shaviv, physicien américano-israëlien, Ph.D., professeur associé à l'université de Jérusalem, spécialiste d'astrophysique et du changement climatique. Auteur de nombreux articles dans des revues de premier plan, il a été honoré par de nombreux prix. Il souligne le rôle de l'activité solaire et des rayons solaires pour expliquer le changement climatique, qui ne dépendrait que peu du CO2.

Joanne Simpson, météorologue américaine à la NASA, première femme Ph.D. dans cette discipline, récompensée par de nombreux honneurs et auteur de plus de 190 articles académiques : elle estime que la théorie de l'origine anthropique du réchauffement climatique ne s'appuie que sur des modèles informatiques à la fiabilité douteuse : « La thèse qui attribue le réchauffement climatiques aux émissions de gaz à effet de serre par l'homme se fonde quasi exclusivement sur des modèles climatiques. Nous connaissons tous la fragilité de ces modèles concernant le système air-terre »[22]

Hajo Smit, météorologiste hollandais, ancien membre du comité hollandais du GIEC. Il a déclaré : « Gore m’obligea à plonger dans la science de nouveau et je me retrouvai rapidement dans le camp sceptique. Les modèles climatiques sont utiles tout au plus à expliquer après-coup les changements climatiques. »

Willie Soon, Ph.D., astrophysicien américain au Solar and Stellar Physics Division du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Il a montré que le principal facteur influençant le climat était le soleil et non les gaz à effets de serre.

Oleg Sorochtin, scientifique russe, institut océanologique de l'académie des sciences russe : il est très critique de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique et insiste sur le rôle de l'évolution de l'activité solaire pour expliquer les variations de la température terrestre. Il écrit ainsi dans le journal russe Ria Novosti du 9 octobre 2007 que « l'augmentation de température a une origine humaine prononcée et n'est pas déterminée par l'"effet de serre" ou les "gaz à effet de serre". »

Gerald Stanhill, climatologue britannique, professeur au département de physique environnementale de l'institut des sols, de l'eau et des sciences environnementales d'Israël : il estime que le GIEC occulte l'influence solaire, en particulier le phénomène de global dimming (assombrissement mondial) et considère qu'il ne peut absolument pas être représentatif de la communauté scientifique : « Cette omission de référence à ces changements dans les rapports du GIEC amène à se poser la question de la confiance que l’on peut placer dans un système de consensus scientifique imposé par le haut (top-down) qui ignore un élément aussi majeur et significatif dans le changement climatique. Une autre question, plus fondamentale, est de savoir si notre compréhension du changement climatique est actuellement suffisante pour produire une vue consensuelle utile. »

Henrik Svensmark, physicien danois, directeur du Center for Sun-Climate Research au centre de la recherche spatiale danoise, lauréat de nombreux prix : il souligne que l'activité humaine a un effet négligeable par rapport aux effets du soleil sur le climat

Kunihiko Takeda, Vice Chancelier de l'Institut des Sciences et Technologies, Université de Chubu/Japon. Selon lui, « le CO2 n’a rien à voir avec le réchauffement global, quelle qu’en soit la quantité produite par l’activité humaine ».

Hendrik Tennekes, ancien directeur de la recherche de l'institut météorologique hollandais, pionner de la modélisation climatique : il dénonce l'utilisation de ces modèles, peu fiables selon lui, pour imposer le « dogme du réchauffement climatique » alors que le climat est à la « limite de la prévisibilité [scientifique] ».

Victor Manuel Velasco Herrera, physicien, institut de géophysique du National Autonomous University of Mexico (UNAM) : «[Les modèles et les prévisions du GIEC] sont incorrects car fondés uniquement sur des modèles mathématiques et les résultats prétendus de scénarios qui n'incluent pas, entre autres, l'activité solaire »[23]

Frank Tipler, physicien-mathématicien, professeur à l'Université de Tulane. Pour Dr Tipler, "la théorie du réchauffement anthropique est un parfait exemple de pseudo-science, comme l'astrologie" car n'importe quel événement confirme cette théorie, selon ses défenseurs.

Anastasios Tsonis, physicien, spécialiste de la théorie du chaos appliquée à la météorologie, Professeur au département de sciences mathématiques à l'Université de Wisconsin-Milwaukee, responsable du groupe de recherche en science atmosphérique. Selon lui, on ne peut pas dire grand chose sur la part de l'homme dans les changements climatique du siècle passé. Il a déclaré en 2009 : "la température a atteint un plateau et est en fait en baisse. Nous assistons à un nouveau changement de régime vers des températures plus basses qui va durer probablement trois décennies"[24].

William W. Vaughan, spécialiste de l'atmosphère à la NASA, ancien chef de division au Marshall Space Flight Center, récipiendaire de la Médaille de la NASA pour Service Exceptionnel et auteur de plus de 100 articles dans des revues à comité de lecture. Selon lui, les changements climatiques récents sont de causes naturelles : "les causes de ces changement globaux sont dues au soleil et aux mouvements de la Terre sur son orbite. Pas les activités humaines".

Robert Vivian, glaciologue, docteur en glaciologie : il souligne que les glaciers sont plutôt en extension qu'en recul, mais que l'on occulte les endroits où ils se développent pour se focaliser sur les reculs locaux. Il rejette l'explication du réchauffement climatique par l'activité humaine : « [...] Ce disant, c'est oublier que les hommes ne sont pas grand chose au regard des vicissitudes de la planète-terre dans l'univers. [...] La part du réchauffement provoqué par les industries humaines est tout à fait insuffisante pour expliquer, seule, les variations glaciaires. Elle n'en est pas la cause première. »[25]

Duncan Wingham, professeur de physique climatique à University College London et directeur du centre pour l'observation polaire et la modélisation, Ph.D. en physique : il a montré que, contrairement à l'idée reçue propagée par des organismes comme le GIEC, la banquise antarctique était en stable ou en expansion. D'après ses travaux de 2006, 72% de la banquise antarctique croit, au rythme de cinq millimètres par an.

Frederick Wolf, climatologue américain qui a enseigné la météorologie et la climatologie au Keene State College dans le New Hampshire pendant 25 ans. Il est très critique de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique. Il insiste en particulier sur la compréhension très incomplète que les scientifiques ont actuellement de l'atmosphère terrestre et rappelle que les variations climatiques de bien plus grande ampleur qu'aujourd'hui ont toujours existé.

Antonino Zichichi, professeur émérite de physique nucléaire à l'université de Bologne et président de la World Federation of Scientists : il souligne que l'alarmisme du GIEC n'est fondé que sur des modèles informatiques qui sont « incohérents et invalides d'un point de vue scientifique »[26].
Notes et références
1.↑ Global Warming False Alarm par Raph B. Alexander
2.↑ [pdf]Regarding the National Policy Statement on Climate Change of the APS Council: An Open Letter to the Council of the American Physical Society
3.↑ "High price for load of hot air", [lire en ligne]
4.↑ Présentation sur le site de l'université d'Auckland
5.↑ 5,0, 5,1, 5,2 et 5,3 [pdf]U. S. Senate Minority Report: More Than 700 International Scientists Dissent Over Man-Made Global Warming Claims.
6.↑ "The Civil Heretic", The New York Times, 25 mars 2009, [lire en ligne]
7.↑ The cause of global warming and predictions for the coming century, Don Easterbrook
8.↑ « Pas de certitude scientifique sur le climat », Le Monde, 7 février 2007, [lire en ligne]
9.↑ NASA Chief Questions Urgency of Global Warming
10.↑ "Center for the Study of Carbon Dioxide", [lire en ligne]
11.↑ "Climate change, incorrect information on pre-industrial CO2", 19 mars 2004. [lire en ligne].
12.↑ "Dr. Madhav Khandekar, Retired Environment Canada Scientist", [lire en ligne]
13.↑ Chris Landsea Leaves, Colorado University.
14.↑ Lettre ouverte à la Chancelière allemande 26/07/2009
15.↑ Cité par Václav Klaus dans "Freedom, not climate, is at risk", Financial Times, 13 juin 2007, [lire en ligne]
16.↑ Augusto Mangini, physicien: «Ce débat est trop émotionnel», Le Matin, 17 janvier 2009, [lire en ligne]
17.↑ "Estimating future sea level changes from past records", Global and Planetary Change, 40, 1-2, 2004, pp.49–54
18.↑ Talks Kary Mullis celebrates the experiment, TED
19.↑ Denis Rancourt, page Wikipedia
20.↑ Nous sommes originaires des tropiques
21.↑ CO2 and the "Greenhouse Effect" Doom by Tom V. Segalstad
22.↑ [pdf]U. S. Senate Minority Report: More Than 700 International Scientists Dissent Over Man-Made Global Warming Claims.
23.↑ "The models and forecasts of the U.N. IPCC "are incorrect because they only are based on mathematical models and presented results at scenarios that do not include, for example, solar activity."
24.↑ « The temperature has flattened and is actually going down », Anastasios Tsonis [lire en ligne]
25.↑ « Ne faisons pas dire aux glaciers ce qu'ils ne disent pas », Robert Vivian, [lire en ligne]
26.↑ "Global Warming Natural, Says Expert", Zenit, avril 2007, [lire en ligne]