Minuit le soir
Modérateur : Elise-Gisèle
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Bonnn la fille s'appellerais Claudia Paquette
plusieurs personnages ont été jouer par 2 acteurs différents
Pour Yannick, c'est Sébastien Delorme pour la première fois et après Martin Laroche.
Isabelle Bélanger était joué par Suzanne Clément et après Claudia Paquette.
Rebecca Perez a été joué par Victoria Sanchez et par jessica welch
Aussi Marie-Claude a été remplacer par une autre comédienne qui est la soeur de David La haye....j'oublie son nom
plusieurs personnages ont été jouer par 2 acteurs différents
Pour Yannick, c'est Sébastien Delorme pour la première fois et après Martin Laroche.
Isabelle Bélanger était joué par Suzanne Clément et après Claudia Paquette.
Rebecca Perez a été joué par Victoria Sanchez et par jessica welch
Aussi Marie-Claude a été remplacer par une autre comédienne qui est la soeur de David La haye....j'oublie son nom
Clorophile a écrit
Claude n'a jamais joué dans Watatatow!
Bien oui! J'ai été vérifier dans son C.V. et c'est bien écrit Watatatow de 1992 à 1994 ;)
Merci Babychoux pour la photo de Claude, c'est vrai qu'elle est belle --Message edité par Laryngite le 2006-05-08 18:38:40--
Claude n'a jamais joué dans Watatatow!
Bien oui! J'ai été vérifier dans son C.V. et c'est bien écrit Watatatow de 1992 à 1994 ;)
Merci Babychoux pour la photo de Claude, c'est vrai qu'elle est belle --Message edité par Laryngite le 2006-05-08 18:38:40--
Coffret de Minuit, le soir en vente maintenant!
La solitude et le sentiment de ne pas être désiré sont les plus grandes pauvretés ~ Mère Teresa
J'pourrais pas te dire Babychoux... j'me souviens l'avoir vu dans Wata mais j'me souviens pas de son rôle.
Zoukie, tu viendras nous dire comment tu as trouvé la Petite séduction avec Julie
Zoukie, tu viendras nous dire comment tu as trouvé la Petite séduction avec Julie
Coffret de Minuit, le soir en vente maintenant!
La solitude et le sentiment de ne pas être désiré sont les plus grandes pauvretés ~ Mère Teresa
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J'ai trouvé un article de Nathalie Petrowski sur Louis, je ne me souviens pas si ça a déjà été mis ici et je ne me tapperai pas une cinquantaine de page pour le chercher, alors voilà!
Le dimanche 27 nov 2005
ENTREVUE
Louis Champagne: la fin de 11 ans d'anonymat
Nathalie Petrowski
Louis Champagne est sorti de l'École nationale en 1994, convaincu qu'il ne trouverait pas de travail. Il avait raison. Malgré sa carrure, il est demeuré invisible aux yeux des producteurs pendant une décennie. Minuit le soir, où il incarne un portier qui s'envoie en l'air en habit de Superman, l'a révélé au public et Au nom de la loi, où il partageait la vedette avec Patrick Huard, a confirmé sa popularité. Portrait d'un bûcheur qui a bûché longtemps avant de récolter.
Pour bien se préparer à jouer le dur à cuire Scorpion dans la télésérie Au nom de la loi, Louis Champagne s'est entraîné au centre de tir de Ville LaSalle. Il a tâté du Magnum 45, du Colt et du Brock, un redoutable revolver allemand. Le pacifiste en lui, traumatisé depuis l'âge de 11 ans par un épisode à peine violent de Terre Humaine, a trouvé l'expérience éprouvante. L'acteur, lui par contre, n'y a vu que du feu. En sortant du centre de tir, Louis Champagne s'est dit qu'il faisait un métier formidable, qui lui permettait de se dédoubler et de vivre des expériences qu'il n'aurait pas le courage de vivre dans la vraie vie.
Nous avons pris rendez-vous au téléphone sans passer par un intermédiaire, ce qui est rare avec les acteurs d'ici. Avant même de déterminer un lieu de rencontre, Louis Champagne avait déjà une idée: la taverne Normand au coin de Fabre et Mont-Royal, un lieu mythique et un brin folklorique qui lui a en partie inspiré la pièce L'Homme des tavernes, interprétée par 22 hommes et une femme et qui raconte la dernière journée d'un tavernier qui sait qu'il va mourir. C'est Champagne qui a écrit et monté la pièce pour le Grand Théâtre des Hommes.
Malgré les apparences, Louis Champagne n'est pas la brute épaisse, le fier-à-bras ni le costaud tordu qu'il incarne au petit écran. C'est un auteur doub
lé d'un metteur en scène et, à l'occasion, d'un cinéaste. Au théâtre, il a mis en scène une quarantaine de shows. Il a été professeur à l'École de l'humour et a dirigé les Denis Drolet à leurs débuts. C'est aussi un motocycliste aguerri qui ne craint pas de faire le tour de la Gaspésie sur sa Honda ST100, une moto de longue route, couleur rouge carmin.
Il était d'ailleurs à Carleton en Gaspésie lorsque Claude Legault l'a appelé pour qu'il vienne passer de toute urgence une audition pour Minuit le soir. Au même moment, un autre coup de fil lui apprenait que sa mère venait de succomber à une hémorragie cérébrale. De retour à Montréal le soir même, Champagne a répété son audition avec son copain Legault. Même s'il avait le coeur brisé par la mort de sa mère, il a travaillé jusque tard dans la nuit. Le lendemain, il a passé son audition en faisant abstraction de son deuil et de sa douleur. Il faut dire qu'il tenait à ce rôle énormément. Claude Legault et Pierre-Yves Bernard, les scénaristes de Minuit le soir, tenaient aussi à ce qu'il l'obtienne. À un point tel qu'ils ont fait exprès de donner au personnage le même prénom que Champagne et de lui dessiner des traits physiques qui étaient en tous points semblables aux siens.
" Ils ne voulaient pas prendre de chances, raconte-t-il. Ça faisait plusieurs fois que je passais proche d'avoir un premier rôle dans une télésérie et qu'à la dernière minute je le perdais parce que je n'étais pas assez connu. "
Le syndrome Luc Picard
Pour la petite histoire, Champagne a dû attendre un long mois avant de savoir s'il avait été retenu pour Minuit le soir. Les producteurs sont passés à un cheveu de choisir un autre que lui. Au bout du compte, c'est le numéro de Champagne qui a été tiré. Du jour au lendemain, l'acteur s'est mis à se faire reconnaître dans la rue.
" Quand les gens m'abordent dans la rue, ils me demandent tous d'où je viens et où j'étais depuis toutes ces années. De toute évidence, ils ignorent que ça fait 11 ans que je fais ce métier dans l'anonymat le plus complet. C'est ce que j'appelle le syndrome Luc Picard. Parce que tu apparais à la télé, t'existes comme acteur. T'as beau être le meilleur acteur de théâtre au monde, tant que t'as pas traversé au petit écran, ton travail n'est pas reconnu. "
Né à Toronto de parents souverainistes, amoureux et bohèmes qui revenaient d'une virée des États-Unis, Louis Champagne a grandi sur la Rive-Sud avec ses deux soeurs. L'une d'elle- Marie-Christine Champagne- est bien connue dans le milieu du showbiz. C'est elle qui a lancé les soirées C'est Extra au Musée Juste pour rire dont la popularité n'est pas étrangère au regain d'intérêt pour les chansons quétaines françaises. Elle est aujourd'hui directrice des communications aux Productions La Tribu. Son frère se souvient avoir fredonné avec elle, dans le sous-sol familial, les chansons de Johnny et Joe Dassin. Il ne savait pas encore qu'il deviendrait comédien. Il ne savait pas grand-chose en fait. Lorsqu'il pensait à son avenir, rien n'était clair. On l'avait refusé une première fois aux auditions du Conservatoire en lui conseillant de faire de la musique. L'année suivante, après avoir fait ses classes (et ses devoirs) avec Marie Cantin, il s'est représenté. Le Conservatoire ne l'a pas choisi mais l'École nationale, oui.
Un de ses profs d'impro s'appelle Robert Gravel. C'est le coup de foudre professionnel entre les deux. À sa sortie de l'école, Gravel l'invitera à se joindre à sa ligue d'impro. Mais en 1994, l'homme de théâtre est le seul à reconnaître le talent et le potentiel de Louis Champagne.
" J'avais beau faire le tour des boîtes de production, ça ne donnait rien. Alors, poussé par mon orgueil, je me suis mis à écrire, à monter mes propres shows et à créer mon propre emploi. "
De temps à autre, on lui confiait un petit rôle de rien du tout. C'est ainsi qu'au cours des 11 dernières années, on a pu l'entrevoir mais sans nécessairement le remarquer, dans Deux Frères, KM/h, Histoires de filles, Les Boys, J'en suis, K2 et La Bouteille. N'empêche, l'indifférence des producteurs le tarabustait et le tarabuste encore. Il ne comprend toujours pas pourquoi des dizaines d'acteurs bourrés de talent sont au chômage. Et surtout pourquoi ils mettent des années à se faire un nom dans le milieu.
" Comment se fait-il que des producteurs de cinéma et de télé, dont c'est le métier de suivre et de dépister les acteurs, vont si peu au théâtre alors que c'est là que ça se passe? C'est comme s'il y avait une rivière à saumon au sommet du mont Royal et que les producteurs préféraient acheter leur saumon chez Métro. Pour moi c'est un non-sens. "
Le plaisir de jouer
Louis Champagne n'est pas amer pour autant. Ça serait difficile vu que sa carrière d'acteur se porte à merveille. Il est d'ailleurs le premier à dire qu'il a non seulement retrouvé le plaisir de jouer mais qu'il aime ce métier plus que jamais.
" C'est certain que j'éprouve une grande gratification quand je joue un premier rôle. T'as du temps et de l'espace pour essayer toutes sortes de choses. Quand tu n'as qu'à faire un plombier qui passe, c'est pas très compliqué. Mais jouer un esprit violent et criminel comme Scorpion dans Au nom de la loi c'est tout un défi. Dans ce temps-là, t'enlèves toute la morale que t'as dans ton corps de costaud et tu te laisses porter en essayant d'en faire le moins possible. J'en ai croisé des bandits dans ma vie et j'ai remarqué qu'ils ont l'air de rien. C'est en situation de crise que tout se déclenche. "
Pour le rôle de Louis Bergeron dans Minuit le soir, qui reprend en janvier, l'approche est différente.
" D'abord c'est une série sur les hommes, qui porte sur l'angoisse d'être et où l'on parle peu. Ça me rejoint complètement. Cette année, on peut dire sans trop rien révéler de l'intrigue, que Louis va vivre une descente aux enfers. Les choses ne vont pas bien pour lui. Pendant le tournage cet été, j'ai tourné des scènes que je n'aurais pas tournées dans une autre série tellement elles étaient impudiques. Des fois j'appelais Podz, le réalisateur, et je lui demandais: t'es sûr que tu veux aller aussi loin? Mais puisqu'il le voulait, j'y allais. "
En principe, Minuit le soir reviendra pour une troisième saison et Louis Bergeron y vivra une sorte de rédemption. En attendant, son alter ego est en congé. Mais ce ne sont pas les projets qui manquent. Champagne tient à terminer Le Dernier Tango à Saint-Tite, un docu-fiction trash qu'il a produit et réalisé avec des bouts de chandelles et l'aide de ses amis et qui raconte un enterrement de vie de garçon à Saint-Tite. Il projette aussi d'envoyer sa moto par camion à Hollywood où il y a un immense parc à motos. Il la rejoindra par avion avant de remonter la longue route de Hollywood jusqu'à Montréal. Sa récente bonne fortune lui permet désormais de se payer ce qu'il considère comme un cadeau de vie. Pour le reste, Louis Champagne savoure les fruits du succès, longtemps attendu mais enfin arrivé.
Le dimanche 27 nov 2005
ENTREVUE
Louis Champagne: la fin de 11 ans d'anonymat
Nathalie Petrowski
Louis Champagne est sorti de l'École nationale en 1994, convaincu qu'il ne trouverait pas de travail. Il avait raison. Malgré sa carrure, il est demeuré invisible aux yeux des producteurs pendant une décennie. Minuit le soir, où il incarne un portier qui s'envoie en l'air en habit de Superman, l'a révélé au public et Au nom de la loi, où il partageait la vedette avec Patrick Huard, a confirmé sa popularité. Portrait d'un bûcheur qui a bûché longtemps avant de récolter.
Pour bien se préparer à jouer le dur à cuire Scorpion dans la télésérie Au nom de la loi, Louis Champagne s'est entraîné au centre de tir de Ville LaSalle. Il a tâté du Magnum 45, du Colt et du Brock, un redoutable revolver allemand. Le pacifiste en lui, traumatisé depuis l'âge de 11 ans par un épisode à peine violent de Terre Humaine, a trouvé l'expérience éprouvante. L'acteur, lui par contre, n'y a vu que du feu. En sortant du centre de tir, Louis Champagne s'est dit qu'il faisait un métier formidable, qui lui permettait de se dédoubler et de vivre des expériences qu'il n'aurait pas le courage de vivre dans la vraie vie.
Nous avons pris rendez-vous au téléphone sans passer par un intermédiaire, ce qui est rare avec les acteurs d'ici. Avant même de déterminer un lieu de rencontre, Louis Champagne avait déjà une idée: la taverne Normand au coin de Fabre et Mont-Royal, un lieu mythique et un brin folklorique qui lui a en partie inspiré la pièce L'Homme des tavernes, interprétée par 22 hommes et une femme et qui raconte la dernière journée d'un tavernier qui sait qu'il va mourir. C'est Champagne qui a écrit et monté la pièce pour le Grand Théâtre des Hommes.
Malgré les apparences, Louis Champagne n'est pas la brute épaisse, le fier-à-bras ni le costaud tordu qu'il incarne au petit écran. C'est un auteur doub
lé d'un metteur en scène et, à l'occasion, d'un cinéaste. Au théâtre, il a mis en scène une quarantaine de shows. Il a été professeur à l'École de l'humour et a dirigé les Denis Drolet à leurs débuts. C'est aussi un motocycliste aguerri qui ne craint pas de faire le tour de la Gaspésie sur sa Honda ST100, une moto de longue route, couleur rouge carmin.
Il était d'ailleurs à Carleton en Gaspésie lorsque Claude Legault l'a appelé pour qu'il vienne passer de toute urgence une audition pour Minuit le soir. Au même moment, un autre coup de fil lui apprenait que sa mère venait de succomber à une hémorragie cérébrale. De retour à Montréal le soir même, Champagne a répété son audition avec son copain Legault. Même s'il avait le coeur brisé par la mort de sa mère, il a travaillé jusque tard dans la nuit. Le lendemain, il a passé son audition en faisant abstraction de son deuil et de sa douleur. Il faut dire qu'il tenait à ce rôle énormément. Claude Legault et Pierre-Yves Bernard, les scénaristes de Minuit le soir, tenaient aussi à ce qu'il l'obtienne. À un point tel qu'ils ont fait exprès de donner au personnage le même prénom que Champagne et de lui dessiner des traits physiques qui étaient en tous points semblables aux siens.
" Ils ne voulaient pas prendre de chances, raconte-t-il. Ça faisait plusieurs fois que je passais proche d'avoir un premier rôle dans une télésérie et qu'à la dernière minute je le perdais parce que je n'étais pas assez connu. "
Le syndrome Luc Picard
Pour la petite histoire, Champagne a dû attendre un long mois avant de savoir s'il avait été retenu pour Minuit le soir. Les producteurs sont passés à un cheveu de choisir un autre que lui. Au bout du compte, c'est le numéro de Champagne qui a été tiré. Du jour au lendemain, l'acteur s'est mis à se faire reconnaître dans la rue.
" Quand les gens m'abordent dans la rue, ils me demandent tous d'où je viens et où j'étais depuis toutes ces années. De toute évidence, ils ignorent que ça fait 11 ans que je fais ce métier dans l'anonymat le plus complet. C'est ce que j'appelle le syndrome Luc Picard. Parce que tu apparais à la télé, t'existes comme acteur. T'as beau être le meilleur acteur de théâtre au monde, tant que t'as pas traversé au petit écran, ton travail n'est pas reconnu. "
Né à Toronto de parents souverainistes, amoureux et bohèmes qui revenaient d'une virée des États-Unis, Louis Champagne a grandi sur la Rive-Sud avec ses deux soeurs. L'une d'elle- Marie-Christine Champagne- est bien connue dans le milieu du showbiz. C'est elle qui a lancé les soirées C'est Extra au Musée Juste pour rire dont la popularité n'est pas étrangère au regain d'intérêt pour les chansons quétaines françaises. Elle est aujourd'hui directrice des communications aux Productions La Tribu. Son frère se souvient avoir fredonné avec elle, dans le sous-sol familial, les chansons de Johnny et Joe Dassin. Il ne savait pas encore qu'il deviendrait comédien. Il ne savait pas grand-chose en fait. Lorsqu'il pensait à son avenir, rien n'était clair. On l'avait refusé une première fois aux auditions du Conservatoire en lui conseillant de faire de la musique. L'année suivante, après avoir fait ses classes (et ses devoirs) avec Marie Cantin, il s'est représenté. Le Conservatoire ne l'a pas choisi mais l'École nationale, oui.
Un de ses profs d'impro s'appelle Robert Gravel. C'est le coup de foudre professionnel entre les deux. À sa sortie de l'école, Gravel l'invitera à se joindre à sa ligue d'impro. Mais en 1994, l'homme de théâtre est le seul à reconnaître le talent et le potentiel de Louis Champagne.
" J'avais beau faire le tour des boîtes de production, ça ne donnait rien. Alors, poussé par mon orgueil, je me suis mis à écrire, à monter mes propres shows et à créer mon propre emploi. "
De temps à autre, on lui confiait un petit rôle de rien du tout. C'est ainsi qu'au cours des 11 dernières années, on a pu l'entrevoir mais sans nécessairement le remarquer, dans Deux Frères, KM/h, Histoires de filles, Les Boys, J'en suis, K2 et La Bouteille. N'empêche, l'indifférence des producteurs le tarabustait et le tarabuste encore. Il ne comprend toujours pas pourquoi des dizaines d'acteurs bourrés de talent sont au chômage. Et surtout pourquoi ils mettent des années à se faire un nom dans le milieu.
" Comment se fait-il que des producteurs de cinéma et de télé, dont c'est le métier de suivre et de dépister les acteurs, vont si peu au théâtre alors que c'est là que ça se passe? C'est comme s'il y avait une rivière à saumon au sommet du mont Royal et que les producteurs préféraient acheter leur saumon chez Métro. Pour moi c'est un non-sens. "
Le plaisir de jouer
Louis Champagne n'est pas amer pour autant. Ça serait difficile vu que sa carrière d'acteur se porte à merveille. Il est d'ailleurs le premier à dire qu'il a non seulement retrouvé le plaisir de jouer mais qu'il aime ce métier plus que jamais.
" C'est certain que j'éprouve une grande gratification quand je joue un premier rôle. T'as du temps et de l'espace pour essayer toutes sortes de choses. Quand tu n'as qu'à faire un plombier qui passe, c'est pas très compliqué. Mais jouer un esprit violent et criminel comme Scorpion dans Au nom de la loi c'est tout un défi. Dans ce temps-là, t'enlèves toute la morale que t'as dans ton corps de costaud et tu te laisses porter en essayant d'en faire le moins possible. J'en ai croisé des bandits dans ma vie et j'ai remarqué qu'ils ont l'air de rien. C'est en situation de crise que tout se déclenche. "
Pour le rôle de Louis Bergeron dans Minuit le soir, qui reprend en janvier, l'approche est différente.
" D'abord c'est une série sur les hommes, qui porte sur l'angoisse d'être et où l'on parle peu. Ça me rejoint complètement. Cette année, on peut dire sans trop rien révéler de l'intrigue, que Louis va vivre une descente aux enfers. Les choses ne vont pas bien pour lui. Pendant le tournage cet été, j'ai tourné des scènes que je n'aurais pas tournées dans une autre série tellement elles étaient impudiques. Des fois j'appelais Podz, le réalisateur, et je lui demandais: t'es sûr que tu veux aller aussi loin? Mais puisqu'il le voulait, j'y allais. "
En principe, Minuit le soir reviendra pour une troisième saison et Louis Bergeron y vivra une sorte de rédemption. En attendant, son alter ego est en congé. Mais ce ne sont pas les projets qui manquent. Champagne tient à terminer Le Dernier Tango à Saint-Tite, un docu-fiction trash qu'il a produit et réalisé avec des bouts de chandelles et l'aide de ses amis et qui raconte un enterrement de vie de garçon à Saint-Tite. Il projette aussi d'envoyer sa moto par camion à Hollywood où il y a un immense parc à motos. Il la rejoindra par avion avant de remonter la longue route de Hollywood jusqu'à Montréal. Sa récente bonne fortune lui permet désormais de se payer ce qu'il considère comme un cadeau de vie. Pour le reste, Louis Champagne savoure les fruits du succès, longtemps attendu mais enfin arrivé.
Stanley Cup needs CHEMISTRY!
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Article sur Julie Perreault
Le samedi 06 mai 2006
L'intégrité avant la popularité
Michel Tassé
La Voix de l'Est
Granby
"Je n'ai jamais rêvé d'être populaire. Tout ce que j'espérais, c'était de gagner ma vie en jouant. Et honnêtement, je suis parfois un peu dépassée par les événements!"
Il n'y a pas si longtemps, peu d'entre vous, chers lecteurs, connaissiez Julie Perreault. Mais tout d'un coup, on l'a vu dans le 3 X rien des Mecs comiques, dans Horloge biologique puis, et peut-être même surtout, dans Minuit, le soir. Et voilà qu'on s'arrache littéralement la jeune femme, qui s'impose comme une des plus solides comédiennes de sa génération.
Sa performance dans Minuit, le soir, aux côtés des Claude Legault, Julien Poulin et Louis Champagne, a fait d'elle une véritable star de notre télé. Normal, car elle crève l'écran dans son rôle de Fanny, cette propriétaire de bar à la fois forte, très forte, et fragile, très fragile. Les critiques trippent sur la série de Radio-Canada et le jeu de Julie Perreault est clairement pour beaucoup là-dedans.
"Quand j'ai dit oui à l'aventure de Minuit, le soir, je ne me doutais pas un instant du succès que l'émission allait remporter, explique-t-elle. Tu sais, j'aime Fanny parce que c'est un personnage très complexe, un personnage qui est tellement loin de ce que je suis. Quand je parlais d'elle à mes amis, au début, certains doutaient même que je sois à l'aise dans la peau d'une fille comme celle-là..."
Mais à l'aise, elle l'est. Même que Fanny-la-tordue ( )est probablement devenue sa meilleure amie. Une trentaine de minutes d'entrevue téléphonique nous permettent de croire que les deux femmes n'ont effectivement pas grand-chose en commun. Julie parle doucement, emprunte le ton de la confidence, fait sentir le journaliste comme s'il était un ami. Fanny, elle, aime jouer les dures.
"Pour jouer un rôle comme celui-là, il faut vraiment que j'aille chercher à l'intérieur de moi ce petit quelque chose qui nous ressemble. Oui, c'est un beau défi..."
C'est tout de même avec les Mecs comiques et 3 X rien que cette native de Québec et conjointe du comédien Sébastien Delorme (La promesse) a apprivoisé la télévision.
"Franchement, 3 X rien reste ma plus belle expérience en télé. On jouissait d'une totale liberté créatrice et ça, c'était merveilleux. J'ai eu du fun avec Louis (Morrissette), Alex (Perron) et Jean-François (Baril) et c'est avec eux que j'ai appris à véritablement prendre ma place sur un plateau."
Partout!
Popularité oblige, Julie Perreault est partout. On l'a vue danser au Match des étoiles de Normand Brathwaite, on l'a vue à Tout le monde en parle de Guy A. et, cette semaine, elle était l'invitée de La petite séduction, cette nouvelle émission de Radio-Canada animée par Dany Turcotte. Et on ne parle ici que "d'à-côtés" à sa carrière de comédienne.
"Tu sais quoi? Je refuse les trois quarts des propositions d'émissions de variétés qui me sont faites, affirme-t-elle. Je suis consciente qu'il faut en donner au public mais, en même temps, je tiens à conserver mon intégrité de comédienne. Si je veux que les gens continuent à y croire quand ils voient Fanny toute décrissée, il faut que je fasse attention..."
Lourde, la popularité?
"Ce n'est pas lourd, mais il faut savoir gérer le tout comme il faut. En fait, il faut faire la distinction entre l'amour du public et la popularité. Écoute, y'a pas un comédien qui ne rêve pas d'être aimé du public, y'a pas un comédien qui ne rêve pas de voir son travail apprécié. Et quand ça t'arrive, c'est merveilleux. Mais il y a le reste et c'est avec ça qu'il faut dealer..."
Elle avouera même qu'elle a eu un "petit down" après avoir participé à Tout le monde en parle.
"Tout d'un coup, c'était beaucoup, c'était même un peu trop. Je n'aime pas sentir que je ne m'appartiens pas."
Les trois petits cochons
Au cours des prochains mois, Julie Perreault va tourner dans Les trois petits cochons, le premier film réalisé par Patrick Huard. Dans cette histoire qui traite d'infidélité et qui est inspirée de la célèbre fable, elle retrouvera Guillaume Lemay-Thivierge, Paul Doucet et... Claude Legault. ( Waouh )
"J'ai lu le scénario 15 fois et c'est un très beau projet, mentionne-t-elle. Mais surtout, cet été, j'entends passer beaucoup de temps avec mon fils."
Thomas est né le... 11 septembre 2001, "qui sera toujours, malgré tout, un très bel anniversaire pour moi", dira Julie.
"Thomas n'est pas très vieux, mais il comprend que, parfois, sa maman est occupée. Quand je suis là, par contre, je suis là à 100 %. Mon fils, c'est ma priorité. Et je te jure que rien ne viendra changer cela..."
Pas même la popularité.
Le samedi 06 mai 2006
L'intégrité avant la popularité
Michel Tassé
La Voix de l'Est
Granby
"Je n'ai jamais rêvé d'être populaire. Tout ce que j'espérais, c'était de gagner ma vie en jouant. Et honnêtement, je suis parfois un peu dépassée par les événements!"
Il n'y a pas si longtemps, peu d'entre vous, chers lecteurs, connaissiez Julie Perreault. Mais tout d'un coup, on l'a vu dans le 3 X rien des Mecs comiques, dans Horloge biologique puis, et peut-être même surtout, dans Minuit, le soir. Et voilà qu'on s'arrache littéralement la jeune femme, qui s'impose comme une des plus solides comédiennes de sa génération.
Sa performance dans Minuit, le soir, aux côtés des Claude Legault, Julien Poulin et Louis Champagne, a fait d'elle une véritable star de notre télé. Normal, car elle crève l'écran dans son rôle de Fanny, cette propriétaire de bar à la fois forte, très forte, et fragile, très fragile. Les critiques trippent sur la série de Radio-Canada et le jeu de Julie Perreault est clairement pour beaucoup là-dedans.
"Quand j'ai dit oui à l'aventure de Minuit, le soir, je ne me doutais pas un instant du succès que l'émission allait remporter, explique-t-elle. Tu sais, j'aime Fanny parce que c'est un personnage très complexe, un personnage qui est tellement loin de ce que je suis. Quand je parlais d'elle à mes amis, au début, certains doutaient même que je sois à l'aise dans la peau d'une fille comme celle-là..."
Mais à l'aise, elle l'est. Même que Fanny-la-tordue ( )est probablement devenue sa meilleure amie. Une trentaine de minutes d'entrevue téléphonique nous permettent de croire que les deux femmes n'ont effectivement pas grand-chose en commun. Julie parle doucement, emprunte le ton de la confidence, fait sentir le journaliste comme s'il était un ami. Fanny, elle, aime jouer les dures.
"Pour jouer un rôle comme celui-là, il faut vraiment que j'aille chercher à l'intérieur de moi ce petit quelque chose qui nous ressemble. Oui, c'est un beau défi..."
C'est tout de même avec les Mecs comiques et 3 X rien que cette native de Québec et conjointe du comédien Sébastien Delorme (La promesse) a apprivoisé la télévision.
"Franchement, 3 X rien reste ma plus belle expérience en télé. On jouissait d'une totale liberté créatrice et ça, c'était merveilleux. J'ai eu du fun avec Louis (Morrissette), Alex (Perron) et Jean-François (Baril) et c'est avec eux que j'ai appris à véritablement prendre ma place sur un plateau."
Partout!
Popularité oblige, Julie Perreault est partout. On l'a vue danser au Match des étoiles de Normand Brathwaite, on l'a vue à Tout le monde en parle de Guy A. et, cette semaine, elle était l'invitée de La petite séduction, cette nouvelle émission de Radio-Canada animée par Dany Turcotte. Et on ne parle ici que "d'à-côtés" à sa carrière de comédienne.
"Tu sais quoi? Je refuse les trois quarts des propositions d'émissions de variétés qui me sont faites, affirme-t-elle. Je suis consciente qu'il faut en donner au public mais, en même temps, je tiens à conserver mon intégrité de comédienne. Si je veux que les gens continuent à y croire quand ils voient Fanny toute décrissée, il faut que je fasse attention..."
Lourde, la popularité?
"Ce n'est pas lourd, mais il faut savoir gérer le tout comme il faut. En fait, il faut faire la distinction entre l'amour du public et la popularité. Écoute, y'a pas un comédien qui ne rêve pas d'être aimé du public, y'a pas un comédien qui ne rêve pas de voir son travail apprécié. Et quand ça t'arrive, c'est merveilleux. Mais il y a le reste et c'est avec ça qu'il faut dealer..."
Elle avouera même qu'elle a eu un "petit down" après avoir participé à Tout le monde en parle.
"Tout d'un coup, c'était beaucoup, c'était même un peu trop. Je n'aime pas sentir que je ne m'appartiens pas."
Les trois petits cochons
Au cours des prochains mois, Julie Perreault va tourner dans Les trois petits cochons, le premier film réalisé par Patrick Huard. Dans cette histoire qui traite d'infidélité et qui est inspirée de la célèbre fable, elle retrouvera Guillaume Lemay-Thivierge, Paul Doucet et... Claude Legault. ( Waouh )
"J'ai lu le scénario 15 fois et c'est un très beau projet, mentionne-t-elle. Mais surtout, cet été, j'entends passer beaucoup de temps avec mon fils."
Thomas est né le... 11 septembre 2001, "qui sera toujours, malgré tout, un très bel anniversaire pour moi", dira Julie.
"Thomas n'est pas très vieux, mais il comprend que, parfois, sa maman est occupée. Quand je suis là, par contre, je suis là à 100 %. Mon fils, c'est ma priorité. Et je te jure que rien ne viendra changer cela..."
Pas même la popularité.
Merci Cloro pour l'article sur Louis, je crois l'avoir déjà lu mais c'est l'fun de le relire
Et Merciii Waba pour l'article sur Julie
J'aime quand elle dit : "Si je veux que les gens continuent à y croire quand ils voient Fanny toute décrissée, il faut que je fasse attention..." Mais je trouve que c'est une peur que beaucoup d'artistes ont et qui en réalité je ne crois pas être super fondée. J'veux dire, quand le talent est là, le public croit au personnage peu importe ce que la personne est dans la vraie vie. Par exemple, si Julie était une comédienne avec peu de rigueur, là ça se pourrait qu'après avoir vu beaucoup d'émissions/entrevues avec elle on pense à Julie au lieu de voir Fanny... mais c'est pas le cas, car quand on voit Fanny, on voit Fanny et elle "existe" dans un sens, ce qui prouve que Julie est une comédienne de talent. En tout cas, j'sais pas si c'est clair mon affaire
C'est vrai que ça doit être gros de devenir "populaire" en si peu de temps... Mais bon, le public s'attache aux artistes sympathiques et qui sont excellents dans ce qu'ils font. Puis ça va sûrement lui ouvrir plein de portes pour sa carrière, avec des rôles qu'elle pourra choisir. Faut juste pas se faire happer par ça.
Et Merciii Waba pour l'article sur Julie
J'aime quand elle dit : "Si je veux que les gens continuent à y croire quand ils voient Fanny toute décrissée, il faut que je fasse attention..." Mais je trouve que c'est une peur que beaucoup d'artistes ont et qui en réalité je ne crois pas être super fondée. J'veux dire, quand le talent est là, le public croit au personnage peu importe ce que la personne est dans la vraie vie. Par exemple, si Julie était une comédienne avec peu de rigueur, là ça se pourrait qu'après avoir vu beaucoup d'émissions/entrevues avec elle on pense à Julie au lieu de voir Fanny... mais c'est pas le cas, car quand on voit Fanny, on voit Fanny et elle "existe" dans un sens, ce qui prouve que Julie est une comédienne de talent. En tout cas, j'sais pas si c'est clair mon affaire
C'est vrai que ça doit être gros de devenir "populaire" en si peu de temps... Mais bon, le public s'attache aux artistes sympathiques et qui sont excellents dans ce qu'ils font. Puis ça va sûrement lui ouvrir plein de portes pour sa carrière, avec des rôles qu'elle pourra choisir. Faut juste pas se faire happer par ça.
Coffret de Minuit, le soir en vente maintenant!
La solitude et le sentiment de ne pas être désiré sont les plus grandes pauvretés ~ Mère Teresa
J'viens d'allumer sur ce que je ne trouvais pas clair dans mon message
Juste préciser que je ne voulais pas dire que les artistes doivent tout dévoiler de leur vie privée, je suis contre ça. Par exemple je pense le public a pas à savoir les histoires de famille, voir des photos des enfants ou de la maison des artistes. J'trouve ça bien plus l'fun quand ils parlent de leurs rôles, de leur carrière. C'que je veux dire c'est que je ne crois pas que de les voir souvent en entrevue fait en sorte qu'on croit moins en leurs personnages.
Juste préciser que je ne voulais pas dire que les artistes doivent tout dévoiler de leur vie privée, je suis contre ça. Par exemple je pense le public a pas à savoir les histoires de famille, voir des photos des enfants ou de la maison des artistes. J'trouve ça bien plus l'fun quand ils parlent de leurs rôles, de leur carrière. C'que je veux dire c'est que je ne crois pas que de les voir souvent en entrevue fait en sorte qu'on croit moins en leurs personnages.
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- Inscription : sam. sept. 03, 2005 12:00 am
Paminformatic a écritC'est à quelle heure?
C'est passé :/ , c'était à 18h30 à TQS.
Je te résume ce qu'ils ont dit.
Julie fera le tour de l'île le 4 juin avec son chum et son fils.
Elle n'est pas une grande sportive, elle aime mieux faire des activités. Elle ne croit pas que son corps mérite l'effort physique
Le tour de l'île part de Christophe-colomb et St-Joseph. Trajet de 48 kilomètres que le monde fait en 2-3 heures.
Ce qu'elle fait cet été : bon équilibre entre vacances (un mois et demi) et travail. Elle va tourner les trois petits cochons, elle y jouera une policière. Et là elle dit que 75% des gens croient pas qu'elle est capable de jouer une policière, mais elle dit qu'elle n'a pas la force physique mais qu'elle va miser sur le talent de négociation des policiers.
Ça va faire 8 ans qu'elle a terminé ses études.
Elle sent et ressent dans le regard des gens que les choses changent. Elle dit qu'elle a toujours travailler du mieux qu'elle pouvait et s'améliorer, elle est contente de ce qui lui arrive et elle l'apprécie.
Personellement j'suis sûre qu'elle va faire une bonne policière dans son rôle, au Cégep j'ai fait un stage au Service de police de Mtl puis j'en voyais des policières petites (même si c'est plutôt rare quand même ) qui avaient vraiment l'air de super bien faire leur job pis d'être convaincantes... disons qu'elles étaient imposantes pareil! Sans généraliser... sont juste snobs sur les bords (autant gars que filles)!
C'est passé :/ , c'était à 18h30 à TQS.
Je te résume ce qu'ils ont dit.
Julie fera le tour de l'île le 4 juin avec son chum et son fils.
Elle n'est pas une grande sportive, elle aime mieux faire des activités. Elle ne croit pas que son corps mérite l'effort physique
Le tour de l'île part de Christophe-colomb et St-Joseph. Trajet de 48 kilomètres que le monde fait en 2-3 heures.
Ce qu'elle fait cet été : bon équilibre entre vacances (un mois et demi) et travail. Elle va tourner les trois petits cochons, elle y jouera une policière. Et là elle dit que 75% des gens croient pas qu'elle est capable de jouer une policière, mais elle dit qu'elle n'a pas la force physique mais qu'elle va miser sur le talent de négociation des policiers.
Ça va faire 8 ans qu'elle a terminé ses études.
Elle sent et ressent dans le regard des gens que les choses changent. Elle dit qu'elle a toujours travailler du mieux qu'elle pouvait et s'améliorer, elle est contente de ce qui lui arrive et elle l'apprécie.
Personellement j'suis sûre qu'elle va faire une bonne policière dans son rôle, au Cégep j'ai fait un stage au Service de police de Mtl puis j'en voyais des policières petites (même si c'est plutôt rare quand même ) qui avaient vraiment l'air de super bien faire leur job pis d'être convaincantes... disons qu'elles étaient imposantes pareil! Sans généraliser... sont juste snobs sur les bords (autant gars que filles)!
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