Course au leadership au PQ, vote #4
Le TVA 18 heures du 29 septembre 2005
Claude Charron
UNE SOIRÉE CHEZ LES PÉQUISTES
Beaucoup de monde, pas suffisamment de chaises, ce qui a fait que quelques centaines de ces personnes qui s'étaient déplacées ont dû assister au spectacle, appuyées le long des murs. Beaucoup de jeunes, dans la vingtaine, dans la trentaine, ce qui a dû réconforter les têtes grises et blanches qu'on y trouvait aussi. Une population très majoritairement blanche, peu de minorités visibles malgré leur importance dans la démographie de Montréal. Manifestement, le parti n'a pas réglé ce problème de son côté. Mais ce qui faisait de ce public un vrai public péquiste, comme j'en ai connu dans le temps, c'est son attention, sa patience devant les longues dissertations, son intérêt pour la chose publique, pour les affaires québécoises. Deux heures de débat suivi dans un silence qui témoignait par sa qualité de l'amour que ces gens ont envers un projet de pays qu'ils étaient neuf à l'avant à leur garantir enfin, si les membres faisaient le bon choix en novembre prochain. Il y a bien eu quelques huées déplaisantes pour les candidats qui en étaient victimes, en particulier André Boisclair, mais elles ne me sont pas apparues dramatiques. Après tout, faut que ça brasse un peu, une course à la direction d'un parti. Moi, je trouve même que ça ne brasse pas assez.
Mais le mérite que je suis prêt à reconnaître à tous ces gens, c'est d'être restés aussi attentifs et polis devant un débat aussi terne et fastidieux. La formule choisie par le parti de diviser les thèmes entre les sept villes que la caravane visitera avait réservé celui du développement durable pour la métropole, ce qui fait qu'on a abondamment parlé d'environnement et d'agriculture, à deux pas de l'autoroute métropolitaine. Et évidemment, tous les candidats se sont déclarés pour la vertu du développement durable, nouvelle religion. Personne, aucun des ténors, n'a même osé évoquer que choisir ce type de développement impliquerait des bouleversements dans les habitudes de vie des Québécois. Oh non! On n'en avait que pour le doux bruit des éoliennes, l'écoulement des mégawatts et l'économie sociale qui vient adoucir le capitalisme sauvage de la mondialisation. Ils étaient tous pour un Québec bleu et vert et présupposaient que les Québécois l'étaient aussi.
Les médias électroniques, hier soir, les journaux aujourd'hui, évoquent le moment chaud ou Richard Legendre est monté au filet contre André Boisclair en le tançant sur sa gestion de l'environnement qui aurait mis en péril l'agriculture et fait perdre les comtés ruraux au PQ. Le favori de la foule, lui, a retourné prestement la balle en lui rappelant que le moratoire sur la production porcine était une décision de tout le gouvernement, appuyée par le parti. Invité à son tour à dire comment il gérerait l'épineuse question, Legendre a bafouillé des généralités et son smash est allé mourir dans le filet. Victoire de Boisclair 6-0 dans le premier set.
Claude Charron
UNE SOIRÉE CHEZ LES PÉQUISTES
Beaucoup de monde, pas suffisamment de chaises, ce qui a fait que quelques centaines de ces personnes qui s'étaient déplacées ont dû assister au spectacle, appuyées le long des murs. Beaucoup de jeunes, dans la vingtaine, dans la trentaine, ce qui a dû réconforter les têtes grises et blanches qu'on y trouvait aussi. Une population très majoritairement blanche, peu de minorités visibles malgré leur importance dans la démographie de Montréal. Manifestement, le parti n'a pas réglé ce problème de son côté. Mais ce qui faisait de ce public un vrai public péquiste, comme j'en ai connu dans le temps, c'est son attention, sa patience devant les longues dissertations, son intérêt pour la chose publique, pour les affaires québécoises. Deux heures de débat suivi dans un silence qui témoignait par sa qualité de l'amour que ces gens ont envers un projet de pays qu'ils étaient neuf à l'avant à leur garantir enfin, si les membres faisaient le bon choix en novembre prochain. Il y a bien eu quelques huées déplaisantes pour les candidats qui en étaient victimes, en particulier André Boisclair, mais elles ne me sont pas apparues dramatiques. Après tout, faut que ça brasse un peu, une course à la direction d'un parti. Moi, je trouve même que ça ne brasse pas assez.
Mais le mérite que je suis prêt à reconnaître à tous ces gens, c'est d'être restés aussi attentifs et polis devant un débat aussi terne et fastidieux. La formule choisie par le parti de diviser les thèmes entre les sept villes que la caravane visitera avait réservé celui du développement durable pour la métropole, ce qui fait qu'on a abondamment parlé d'environnement et d'agriculture, à deux pas de l'autoroute métropolitaine. Et évidemment, tous les candidats se sont déclarés pour la vertu du développement durable, nouvelle religion. Personne, aucun des ténors, n'a même osé évoquer que choisir ce type de développement impliquerait des bouleversements dans les habitudes de vie des Québécois. Oh non! On n'en avait que pour le doux bruit des éoliennes, l'écoulement des mégawatts et l'économie sociale qui vient adoucir le capitalisme sauvage de la mondialisation. Ils étaient tous pour un Québec bleu et vert et présupposaient que les Québécois l'étaient aussi.
Les médias électroniques, hier soir, les journaux aujourd'hui, évoquent le moment chaud ou Richard Legendre est monté au filet contre André Boisclair en le tançant sur sa gestion de l'environnement qui aurait mis en péril l'agriculture et fait perdre les comtés ruraux au PQ. Le favori de la foule, lui, a retourné prestement la balle en lui rappelant que le moratoire sur la production porcine était une décision de tout le gouvernement, appuyée par le parti. Invité à son tour à dire comment il gérerait l'épineuse question, Legendre a bafouillé des généralités et son smash est allé mourir dans le filet. Victoire de Boisclair 6-0 dans le premier set.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritLe TVA 18 heures du 29 septembre 2005
Claude Charron
UNE SOIRÉE CHEZ LES PÉQUISTES
Beaucoup de monde, pas suffisamment de chaises, ce qui a fait que quelques centaines de ces personnes qui s'étaient déplacées ont dû assister au spectacle, appuyées le long des murs. Beaucoup de jeunes, dans la vingtaine, dans la trentaine, ce qui a dû réconforter les têtes grises et blanches qu'on y trouvait aussi. Une population très majoritairement blanche, peu de minorités visibles malgré leur importance dans la démographie de Montréal. Manifestement, le parti n'a pas réglé ce problème de son côté. Mais ce qui faisait de ce public un vrai public péquiste, comme j'en ai connu dans le temps, c'est son attention, sa patience devant les longues dissertations, son intérêt pour la chose publique, pour les affaires québécoises. Deux heures de débat suivi dans un silence qui témoignait par sa qualité de l'amour que ces gens ont envers un projet de pays qu'ils étaient neuf à l'avant à leur garantir enfin, si les membres faisaient le bon choix en novembre prochain. Il y a bien eu quelques huées déplaisantes pour les candidats qui en étaient victimes, en particulier André Boisclair, mais elles ne me sont pas apparues dramatiques. Après tout, faut que ça brasse un peu, une course à la direction d'un parti. Moi, je trouve même que ça ne brasse pas assez.
Mais le mérite que je suis prêt à reconnaître à tous ces gens, c'est d'être restés aussi attentifs et polis devant un débat aussi terne et fastidieux. La formule choisie par le parti de diviser les thèmes entre les sept villes que la caravane visitera avait réservé celui du développement durable pour la métropole, ce qui fait qu'on a abondamment parlé d'environnement et d'agriculture, à deux pas de l'autoroute métropolitaine. Et évidemment, tous les candidats se sont déclarés pour la vertu du développement durable, nouvelle religion. Personne, aucun des ténors, n'a même osé évoquer que choisir ce type de développement impliquerait des bouleversements dans les habitudes de vie des Québécois. Oh non! On n'en avait que pour le doux bruit des éoliennes, l'écoulement des mégawatts et l'économie sociale qui vient adoucir le capitalisme sauvage de la mondialisation. Ils étaient tous pour un Québec bleu et vert et présupposaient que les Québécois l'étaient aussi.
Les médias électroniques, hier soir, les journaux aujourd'hui, évoquent le moment chaud ou Richard Legendre est monté au filet contre André Boisclair en le tançant sur sa gestion de l'environnement qui aurait mis en péril l'agriculture et fait perdre les comtés ruraux au PQ. Le favori de la foule, lui, a retourné prestement la balle en lui rappelant que le moratoire sur la production porcine était une décision de tout le gouvernement, appuyée par le parti. Invité à son tour à dire comment il gérerait l'épineuse question, Legendre a bafouillé des généralités et son smash est allé mourir dans le filet. Victoire de Boisclair 6-0 dans le premier set.
Et Vincent Marissal de La presse a écrit : « On a eu droit à un excellent échange – le meilleur moment à ce jour dans cette course – entre Richard Legendre et André Boisclair. […] C’est définitivement Richard Legendre qui a gagné le point. »
La preuve que tout est dans l'oeil de celui qui regarde et qu'il ne faut pas se fier sur les autres pour se faire une opinion.
Perso, mon opinion sur le sujet va dans le même sens que Claude Charron... Legendre a fait un smash, mais il a pogné le filet d'applomb !
Claude Charron
UNE SOIRÉE CHEZ LES PÉQUISTES
Beaucoup de monde, pas suffisamment de chaises, ce qui a fait que quelques centaines de ces personnes qui s'étaient déplacées ont dû assister au spectacle, appuyées le long des murs. Beaucoup de jeunes, dans la vingtaine, dans la trentaine, ce qui a dû réconforter les têtes grises et blanches qu'on y trouvait aussi. Une population très majoritairement blanche, peu de minorités visibles malgré leur importance dans la démographie de Montréal. Manifestement, le parti n'a pas réglé ce problème de son côté. Mais ce qui faisait de ce public un vrai public péquiste, comme j'en ai connu dans le temps, c'est son attention, sa patience devant les longues dissertations, son intérêt pour la chose publique, pour les affaires québécoises. Deux heures de débat suivi dans un silence qui témoignait par sa qualité de l'amour que ces gens ont envers un projet de pays qu'ils étaient neuf à l'avant à leur garantir enfin, si les membres faisaient le bon choix en novembre prochain. Il y a bien eu quelques huées déplaisantes pour les candidats qui en étaient victimes, en particulier André Boisclair, mais elles ne me sont pas apparues dramatiques. Après tout, faut que ça brasse un peu, une course à la direction d'un parti. Moi, je trouve même que ça ne brasse pas assez.
Mais le mérite que je suis prêt à reconnaître à tous ces gens, c'est d'être restés aussi attentifs et polis devant un débat aussi terne et fastidieux. La formule choisie par le parti de diviser les thèmes entre les sept villes que la caravane visitera avait réservé celui du développement durable pour la métropole, ce qui fait qu'on a abondamment parlé d'environnement et d'agriculture, à deux pas de l'autoroute métropolitaine. Et évidemment, tous les candidats se sont déclarés pour la vertu du développement durable, nouvelle religion. Personne, aucun des ténors, n'a même osé évoquer que choisir ce type de développement impliquerait des bouleversements dans les habitudes de vie des Québécois. Oh non! On n'en avait que pour le doux bruit des éoliennes, l'écoulement des mégawatts et l'économie sociale qui vient adoucir le capitalisme sauvage de la mondialisation. Ils étaient tous pour un Québec bleu et vert et présupposaient que les Québécois l'étaient aussi.
Les médias électroniques, hier soir, les journaux aujourd'hui, évoquent le moment chaud ou Richard Legendre est monté au filet contre André Boisclair en le tançant sur sa gestion de l'environnement qui aurait mis en péril l'agriculture et fait perdre les comtés ruraux au PQ. Le favori de la foule, lui, a retourné prestement la balle en lui rappelant que le moratoire sur la production porcine était une décision de tout le gouvernement, appuyée par le parti. Invité à son tour à dire comment il gérerait l'épineuse question, Legendre a bafouillé des généralités et son smash est allé mourir dans le filet. Victoire de Boisclair 6-0 dans le premier set.
Et Vincent Marissal de La presse a écrit : « On a eu droit à un excellent échange – le meilleur moment à ce jour dans cette course – entre Richard Legendre et André Boisclair. […] C’est définitivement Richard Legendre qui a gagné le point. »
La preuve que tout est dans l'oeil de celui qui regarde et qu'il ne faut pas se fier sur les autres pour se faire une opinion.
Perso, mon opinion sur le sujet va dans le même sens que Claude Charron... Legendre a fait un smash, mais il a pogné le filet d'applomb !
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Je crois qu'il est normal de citer des jounalistes, qui sont des professionnels de l'écriture, quand dans leur texte ils peuvent avec plus d'aplomb que nous traduire notre pensée.
Tant qu'a moi j'y ai recours à plusieurs occasions. Ce sont quand même des citations de journalistes politique. Il ne font que ça suivre les politiciens à l'année longue. Ils en savent sûrement un bout de plus que moi qui ne baigne pas dans la politique à l'année longue.
D'ailleurs toutes les citations que j'ai lu ici, je les ai lus de long en large dans les journaux avec attention avec une pensée pour le forum dans certains cas.
J'ai remarqué que lorsqu'un article de journal est en faveur de Boisclair, c'est correct de le citer mais pas le contraire.
Tant qu'a moi j'y ai recours à plusieurs occasions. Ce sont quand même des citations de journalistes politique. Il ne font que ça suivre les politiciens à l'année longue. Ils en savent sûrement un bout de plus que moi qui ne baigne pas dans la politique à l'année longue.
D'ailleurs toutes les citations que j'ai lu ici, je les ai lus de long en large dans les journaux avec attention avec une pensée pour le forum dans certains cas.
J'ai remarqué que lorsqu'un article de journal est en faveur de Boisclair, c'est correct de le citer mais pas le contraire.
Je n'aime pas du tout la formule de débat actuelle. C'est causé par le trop grand nombre de candidats. Ça dénature la course. Nous ne pouvons jamais voir les candidats importants débattre ensemble sur un sujet en particulier.
J'aimerais bien en avoir un débat: Boisclair, Legendre, Marois et a la limite Bernard pour son expérience du rouage du gouvernement.
Pour tout de suite, il y a toujours un candidat mineur qui vient mettre à plat un bon débat engagé.
J'aimerais bien en avoir un débat: Boisclair, Legendre, Marois et a la limite Bernard pour son expérience du rouage du gouvernement.
Pour tout de suite, il y a toujours un candidat mineur qui vient mettre à plat un bon débat engagé.
3 post en ligne, c'est que j'avais trois sujets en tête.
L'espèce de drôle de procédure de système de votation serait-il en train de donner des chances à Legendre?
Si dans les sondages Boisclair est premier en pourcentage, Legendre est bon premier en deuxième. Et s'il était le deuxième de Marois et Boisclair, cela peut-il faire de lui le premier?
Pour tout de suite, il est pour moi le 2ième et je n'ai pas encore choisi mon premier.
Me suivez-vous?
L'espèce de drôle de procédure de système de votation serait-il en train de donner des chances à Legendre?
Si dans les sondages Boisclair est premier en pourcentage, Legendre est bon premier en deuxième. Et s'il était le deuxième de Marois et Boisclair, cela peut-il faire de lui le premier?
Pour tout de suite, il est pour moi le 2ième et je n'ai pas encore choisi mon premier.
Me suivez-vous?
Fabine a écritJe crois qu'il est normal de citer des jounalistes, qui sont des professionnels de l'écriture, quand dans leur texte ils peuvent avec plus d'aplomb que nous traduire notre pensée.
Tant qu'a moi j'y ai recours à plusieurs occasions. Ce sont quand même des citations de journalistes politique. Il ne font que ça suivre les politiciens à l'année longue. Ils en savent sûrement un bout de plus que moi qui ne baigne pas dans la politique à l'année longue.
D'ailleurs toutes les citations que j'ai lu ici, je les ai lus de long en large dans les journaux avec attention avec une pensée pour le forum dans certains cas.
J'ai remarqué que lorsqu'un article de journal est en faveur de Boisclair, c'est correct de le citer mais pas le contraire.
Y'a juste NetRoll qui a passé un commentaire, pas les autres
Tant qu'a moi j'y ai recours à plusieurs occasions. Ce sont quand même des citations de journalistes politique. Il ne font que ça suivre les politiciens à l'année longue. Ils en savent sûrement un bout de plus que moi qui ne baigne pas dans la politique à l'année longue.
D'ailleurs toutes les citations que j'ai lu ici, je les ai lus de long en large dans les journaux avec attention avec une pensée pour le forum dans certains cas.
J'ai remarqué que lorsqu'un article de journal est en faveur de Boisclair, c'est correct de le citer mais pas le contraire.
Y'a juste NetRoll qui a passé un commentaire, pas les autres
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Fabine a écrit3 post en ligne, c'est que j'avais trois sujets en tête.
L'espèce de drôle de procédure de système de votation serait-il en train de donner des chances à Legendre?
Si dans les sondages Boisclair est premier en pourcentage, Legendre est bon premier en deuxième. Et s'il était le deuxième de Marois et Boisclair, cela peut-il faire de lui le premier?
Pour tout de suite, il est pour moi le 2ième et je n'ai pas encore choisi mon premier.
Me suivez-vous? Il faudrait que je lise comme il faut les procédures pour le vote (et je compte le faire de long en large avant de voter), mais de ce que j'en comprends :
Si mon premier choix est Boisclair... et qu'il accumule assez de votes pour passer en deuxième round... mon deuxième choix ne comptera pas. Par contre, si je vote Boisclair, et qu'il ne fait pas le deuxième round... alors ça ira à mon deuxième choix... et ainsi de suite. Je ne suis pas certaine de ce que j'avance, comme je disais, je vais devoir lire
L'espèce de drôle de procédure de système de votation serait-il en train de donner des chances à Legendre?
Si dans les sondages Boisclair est premier en pourcentage, Legendre est bon premier en deuxième. Et s'il était le deuxième de Marois et Boisclair, cela peut-il faire de lui le premier?
Pour tout de suite, il est pour moi le 2ième et je n'ai pas encore choisi mon premier.
Me suivez-vous? Il faudrait que je lise comme il faut les procédures pour le vote (et je compte le faire de long en large avant de voter), mais de ce que j'en comprends :
Si mon premier choix est Boisclair... et qu'il accumule assez de votes pour passer en deuxième round... mon deuxième choix ne comptera pas. Par contre, si je vote Boisclair, et qu'il ne fait pas le deuxième round... alors ça ira à mon deuxième choix... et ainsi de suite. Je ne suis pas certaine de ce que j'avance, comme je disais, je vais devoir lire
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Oliver a écrit
Merci Oliver, tu tires plus vite que ton ombre.
Je stresse au plus haut point avec ce système.
Où vont ces votes: Dès lors, les votes de deuxième choix de la ou des candidatures éliminées seront reportés sur les candidatures toujours en lice.
Le deuxième choix des candidats reportés sont-ils reportés sur les mêmes deuxième choix des candidats en lice.
Par exemple, si Bernard est le deuxième choix de la majorité des éliminés, il s'insère où. Au pro-rata des 2ième choix des premiers ou tout ses votes se rajoutent à celui où il est en majorité.
Scusez, mais là, je suis nouille et ça m'énerve. C'est pire que la question référendaire, c'est tordu. --Message edité par fabine le 2005-09-29 22:40:51--
Merci Oliver, tu tires plus vite que ton ombre.
Je stresse au plus haut point avec ce système.
Où vont ces votes: Dès lors, les votes de deuxième choix de la ou des candidatures éliminées seront reportés sur les candidatures toujours en lice.
Le deuxième choix des candidats reportés sont-ils reportés sur les mêmes deuxième choix des candidats en lice.
Par exemple, si Bernard est le deuxième choix de la majorité des éliminés, il s'insère où. Au pro-rata des 2ième choix des premiers ou tout ses votes se rajoutent à celui où il est en majorité.
Scusez, mais là, je suis nouille et ça m'énerve. C'est pire que la question référendaire, c'est tordu. --Message edité par fabine le 2005-09-29 22:40:51--
Raven a écritComme je participe au vote test pour évaluer le système le 22 septembre, je viens de recevoir des informations par la poste pour expliquer en détail comment ça va fonctionner.
C'est bel et bien comme j'avais expliqué dans l'autre topic. Nous faisons nos 4 choix. Nous restons avec notre premier choix tant et aussi longtemps qu'il est dans la course, s'il est éliminé, c'est notre prochain choix dans notre liste qui embarque
Deux faits importants par contre. Premièrement, il est mentionné que nous serons obligés de faire 4 choix différents, donc la proposition de l'exécutif de je ne sais pu quelle région n'a pas passé comme je disais dans l'autre topic...
Deuxième information. C'est seulement pour le premier tour qu'il fait avoir 15% pour passer au 2e. Pour les autres tours, c'est le candidat avec le plus faible pourcentage qui est éliminé. Il y a un maximum de 4 tours, et ce jusqu'à un ou une des candidats obtienne 50% des votes
Donc pour reprendre encore une fois mon exemple, disons que je vote :
1. Gilbert Paquette
2. St-André
3. Legendre
4. Boislcair
Au premier tour, seulement Legendre, Marois et Boisclair obtienne le 15%. Alors, tous les autres candidats sont éliminés. Mon vote, qui était à l'origine pour Paquette, devient un vote pour Legendre. Au 2e tour, disons que les votes c'est :
Boisclair 40%
Marois 35%
Legendre 25%
Richard Legendre est le plus bas des 3, il est donc éliminé.
Mon vote, pour le troisième tour, devient alors un vote pour Boisclair. Et comme il ne reste que 2 candidats, alors c'est évident que l'un des deux obtiendra 50%
Dans cet exemple, on n’a pas eu besoin du quatrième tour. On aurait pu en avoir besoin par contre si 4 candidats avaient obtenu les 15% au premier tour.
Et c'est peu probable, mais j'imagine que s'il y a plus de 4 candidats avec 15%, et que personne n’obtient 50% dans les 3 premiers tours, ils garderont uniquement les deux plus haut pour le tour final... Mais de toute manière, selon moi ça va se jouer en 2 ou 3 tours...
Pour Fabine, je fais remonter ce message de raven qui explique bien le processus.
C'est bel et bien comme j'avais expliqué dans l'autre topic. Nous faisons nos 4 choix. Nous restons avec notre premier choix tant et aussi longtemps qu'il est dans la course, s'il est éliminé, c'est notre prochain choix dans notre liste qui embarque
Deux faits importants par contre. Premièrement, il est mentionné que nous serons obligés de faire 4 choix différents, donc la proposition de l'exécutif de je ne sais pu quelle région n'a pas passé comme je disais dans l'autre topic...
Deuxième information. C'est seulement pour le premier tour qu'il fait avoir 15% pour passer au 2e. Pour les autres tours, c'est le candidat avec le plus faible pourcentage qui est éliminé. Il y a un maximum de 4 tours, et ce jusqu'à un ou une des candidats obtienne 50% des votes
Donc pour reprendre encore une fois mon exemple, disons que je vote :
1. Gilbert Paquette
2. St-André
3. Legendre
4. Boislcair
Au premier tour, seulement Legendre, Marois et Boisclair obtienne le 15%. Alors, tous les autres candidats sont éliminés. Mon vote, qui était à l'origine pour Paquette, devient un vote pour Legendre. Au 2e tour, disons que les votes c'est :
Boisclair 40%
Marois 35%
Legendre 25%
Richard Legendre est le plus bas des 3, il est donc éliminé.
Mon vote, pour le troisième tour, devient alors un vote pour Boisclair. Et comme il ne reste que 2 candidats, alors c'est évident que l'un des deux obtiendra 50%
Dans cet exemple, on n’a pas eu besoin du quatrième tour. On aurait pu en avoir besoin par contre si 4 candidats avaient obtenu les 15% au premier tour.
Et c'est peu probable, mais j'imagine que s'il y a plus de 4 candidats avec 15%, et que personne n’obtient 50% dans les 3 premiers tours, ils garderont uniquement les deux plus haut pour le tour final... Mais de toute manière, selon moi ça va se jouer en 2 ou 3 tours...
Pour Fabine, je fais remonter ce message de raven qui explique bien le processus.
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Course à la direction du Parti québécois - Lebel concède la victoire à Boisclair
Le passé de l'éventuel chef péquiste lui causera toutefois bien des tracas face aux libéraux, dit l'ancien député bloquiste
Kathleen Lévesque
Édition du vendredi 30 septembre 2005
Le «mouton noir» de la campagne à la chefferie péquiste, Ghislain Lebel, laisse à d'autres la langue de bois. Souverainiste de la première heure, il se dit toujours motivé par la quête identitaire que d'aucuns ont rejetée au PQ. Soyons fiers, dit-il en rejetant le nationalisme civique dont se réclament ses adversaires.
Le passé de l'éventuel chef péquiste lui causera toutefois bien des tracas face aux libéraux, dit l'ancien député bloquiste
Kathleen Lévesque
Édition du vendredi 30 septembre 2005
Le «mouton noir» de la campagne à la chefferie péquiste, Ghislain Lebel, laisse à d'autres la langue de bois. Souverainiste de la première heure, il se dit toujours motivé par la quête identitaire que d'aucuns ont rejetée au PQ. Soyons fiers, dit-il en rejetant le nationalisme civique dont se réclament ses adversaires.
tuberale a écritCourse à la direction du Parti québécois - Lebel concède la victoire à Boisclair
Le passé de l'éventuel chef péquiste lui causera toutefois bien des tracas face aux libéraux, dit l'ancien député bloquiste
Kathleen Lévesque
Édition du vendredi 30 septembre 2005
Le «mouton noir» de la campagne à la chefferie péquiste, Ghislain Lebel, laisse à d'autres la langue de bois. Souverainiste de la première heure, il se dit toujours motivé par la quête identitaire que d'aucuns ont rejetée au PQ. Soyons fiers, dit-il en rejetant le nationalisme civique dont se réclament ses adversaires.
Je suis malheureusement d'accord avec lui
Bien sûr que les frasques passées de Boisclair ne dérangeront en rien les militants péquistes, mais j'ai bien peur aux prochaines élections...Bien peur.
Le passé de l'éventuel chef péquiste lui causera toutefois bien des tracas face aux libéraux, dit l'ancien député bloquiste
Kathleen Lévesque
Édition du vendredi 30 septembre 2005
Le «mouton noir» de la campagne à la chefferie péquiste, Ghislain Lebel, laisse à d'autres la langue de bois. Souverainiste de la première heure, il se dit toujours motivé par la quête identitaire que d'aucuns ont rejetée au PQ. Soyons fiers, dit-il en rejetant le nationalisme civique dont se réclament ses adversaires.
Je suis malheureusement d'accord avec lui
Bien sûr que les frasques passées de Boisclair ne dérangeront en rien les militants péquistes, mais j'ai bien peur aux prochaines élections...Bien peur.
tipet a écrit
Je suis malheureusement d'accord avec lui
Bien sûr que les frasques passées de Boisclair ne dérangeront en rien les militants péquistes, mais j'ai bien peur aux prochaines élections...Bien peur.
Si cela ne dérange pas les militants péquistes...
quant aux indécis une bonne majorité vote sur ce que le gouvernement a à offrir, si les libéraux s'entêtent à essayer de caler Boisclair avec son passé plutôt que d'énoncer pourquoi ils n'ont pas tenu leurs promesses électorales....
De plus en plus les gens veulent pas de personnes qui calent les autres mais bien des gens qui ont des idées et des solutions.
Alors je dirais que ce serait plutôt favorable.
Je suis malheureusement d'accord avec lui
Bien sûr que les frasques passées de Boisclair ne dérangeront en rien les militants péquistes, mais j'ai bien peur aux prochaines élections...Bien peur.
Si cela ne dérange pas les militants péquistes...
quant aux indécis une bonne majorité vote sur ce que le gouvernement a à offrir, si les libéraux s'entêtent à essayer de caler Boisclair avec son passé plutôt que d'énoncer pourquoi ils n'ont pas tenu leurs promesses électorales....
De plus en plus les gens veulent pas de personnes qui calent les autres mais bien des gens qui ont des idées et des solutions.
Alors je dirais que ce serait plutôt favorable.
lucide a écrit
Si cela ne dérange pas les militants péquistes...
quant aux indécis une bonne majorité vote sur ce que le gouvernement a à offrir, si les libéraux s'entêtent à essayer de caler Boisclair avec son passé plutôt que d'énoncer pourquoi ils n'ont pas tenu leurs promesses électorales....
De plus en plus les gens veulent pas de personnes qui calent les autres mais bien des gens qui ont des idées et des solutions.
Alors je dirais que ce serait plutôt favorable.
Je penche plutôt vers ce que lucide dit
Si cela ne dérange pas les militants péquistes...
quant aux indécis une bonne majorité vote sur ce que le gouvernement a à offrir, si les libéraux s'entêtent à essayer de caler Boisclair avec son passé plutôt que d'énoncer pourquoi ils n'ont pas tenu leurs promesses électorales....
De plus en plus les gens veulent pas de personnes qui calent les autres mais bien des gens qui ont des idées et des solutions.
Alors je dirais que ce serait plutôt favorable.
Je penche plutôt vers ce que lucide dit

lucide a écrit
Si cela ne dérange pas les militants péquistes...
quant aux indécis une bonne majorité vote sur ce que le gouvernement a à offrir, si les libéraux s'entêtent à essayer de caler Boisclair avec son passé plutôt que d'énoncer pourquoi ils n'ont pas tenu leurs promesses électorales....
De plus en plus les gens veulent pas de personnes qui calent les autres mais bien des gens qui ont des idées et des solutions.
Alors je dirais que ce serait plutôt favorable.
On a pas dû suivre les dernières élections, parce que Charest a remporté le débat (et les élections) en confrontant Landry, sur une déclaration, faite dans une obscure salle de conférence d'une université, déclaration même pas faites par Landry mais par un ancien membre du gouvernement (Parizeau). Déclaration qui revevait sur des propos vieux de 95...
Donc ta théorie qui dit que les québécois aiment pas ceux qui calent les autres....ça s'applique pas en campagne électorale...
Si cela ne dérange pas les militants péquistes...
quant aux indécis une bonne majorité vote sur ce que le gouvernement a à offrir, si les libéraux s'entêtent à essayer de caler Boisclair avec son passé plutôt que d'énoncer pourquoi ils n'ont pas tenu leurs promesses électorales....
De plus en plus les gens veulent pas de personnes qui calent les autres mais bien des gens qui ont des idées et des solutions.
Alors je dirais que ce serait plutôt favorable.
On a pas dû suivre les dernières élections, parce que Charest a remporté le débat (et les élections) en confrontant Landry, sur une déclaration, faite dans une obscure salle de conférence d'une université, déclaration même pas faites par Landry mais par un ancien membre du gouvernement (Parizeau). Déclaration qui revevait sur des propos vieux de 95...
Donc ta théorie qui dit que les québécois aiment pas ceux qui calent les autres....ça s'applique pas en campagne électorale...
tipet a écrit
On a pas dû suivre les dernières élections, parce que Charest a remporté le débat (et les élections) en confrontant Landry, sur une déclaration, faite dans une obscure salle de conférence d'une université, déclaration même pas faites par Landry mais par un ancien membre du gouvernement (Parizeau). Déclaration qui revevait sur des propos vieux de 95...
Donc ta théorie qui dit que les québécois aiment pas ceux qui calent les autres....ça s'applique pas en campagne électorale...
Je ne crois pas que la défaite du PQ est dû à ca une simple petite phrase... Ils étaient au pouvoir depuis un bout, stagnant sur la souveraineté et dans à peu pres tous les domaines, assis sur le steak de pouvoir élu et Charest est arrivé promesse de baisse d'impôt et du ménage dans la santé. D'ailleurs au départ c'était Mario Dumont en avance, donc les gens avaient envie de changement.
4 ans a l'opposition je pense que cela a fait du bien, pour rajeunir le parti et reformer le programme un peu oublié.
On a pas dû suivre les dernières élections, parce que Charest a remporté le débat (et les élections) en confrontant Landry, sur une déclaration, faite dans une obscure salle de conférence d'une université, déclaration même pas faites par Landry mais par un ancien membre du gouvernement (Parizeau). Déclaration qui revevait sur des propos vieux de 95...
Donc ta théorie qui dit que les québécois aiment pas ceux qui calent les autres....ça s'applique pas en campagne électorale...
Je ne crois pas que la défaite du PQ est dû à ca une simple petite phrase... Ils étaient au pouvoir depuis un bout, stagnant sur la souveraineté et dans à peu pres tous les domaines, assis sur le steak de pouvoir élu et Charest est arrivé promesse de baisse d'impôt et du ménage dans la santé. D'ailleurs au départ c'était Mario Dumont en avance, donc les gens avaient envie de changement.
4 ans a l'opposition je pense que cela a fait du bien, pour rajeunir le parti et reformer le programme un peu oublié.
lucide a écrit
Je ne crois pas que la défaite du PQ est dû à ca une simple petite phrase... Ils étaient au pouvoir depuis un bout, stagnant sur la souveraineté et dans à peu pres tous les domaines, assis sur le steak de pouvoir élu et Charest est arrivé promesse de baisse d'impôt et du ménage dans la santé. D'ailleurs au départ c'était Mario Dumont en avance, donc les gens avaient envie de changement.
4 ans a l'opposition je pense que cela a fait du bien, pour rajeunir le parti et reformer le programme un peu oublié.
Décidéemment on a vraiment pas suivi la même campagne
Avant le débat le PQ s'en allait vers un troisième mandat consécutif (rare), Charest a déstabilisé Landry au débat avec cette déclaration de Parizeau, et il a remporté le débat. Par la suite le PQ a dégringolé dans les sondages.
Dumont a été haut dans les sondages l'automne d'avant (quand il a remporté la quesi totalité des partielles) et quand les électeurs ont vu que son programme était très irréalisable et qu'en plus il n'était même pas capable de l'expliquer clairement, il est retourné vite à la troisième position. Au début de la campagne au printemps, Dumont était plus dans le coup.
Je ne crois pas que la défaite du PQ est dû à ca une simple petite phrase... Ils étaient au pouvoir depuis un bout, stagnant sur la souveraineté et dans à peu pres tous les domaines, assis sur le steak de pouvoir élu et Charest est arrivé promesse de baisse d'impôt et du ménage dans la santé. D'ailleurs au départ c'était Mario Dumont en avance, donc les gens avaient envie de changement.
4 ans a l'opposition je pense que cela a fait du bien, pour rajeunir le parti et reformer le programme un peu oublié.
Décidéemment on a vraiment pas suivi la même campagne
Avant le débat le PQ s'en allait vers un troisième mandat consécutif (rare), Charest a déstabilisé Landry au débat avec cette déclaration de Parizeau, et il a remporté le débat. Par la suite le PQ a dégringolé dans les sondages.
Dumont a été haut dans les sondages l'automne d'avant (quand il a remporté la quesi totalité des partielles) et quand les électeurs ont vu que son programme était très irréalisable et qu'en plus il n'était même pas capable de l'expliquer clairement, il est retourné vite à la troisième position. Au début de la campagne au printemps, Dumont était plus dans le coup.
tipet a écrit
On a pas dû suivre les dernières élections, parce que Charest a remporté le débat (et les élections) en confrontant Landry, sur une déclaration, faite dans une obscure salle de conférence d'une université, déclaration même pas faites par Landry mais par un ancien membre du gouvernement (Parizeau). Déclaration qui revevait sur des propos vieux de 95...
Donc ta théorie qui dit que les québécois aiment pas ceux qui calent les autres....ça s'applique pas en campagne électorale...
Il y a aussi le fait que Boisclair est un redoutable adversaire dans les débats... il sait très bien se défendre. Excellent orateur, réplique plus que facile... Comme je le disais, c'est pas pour rien que Landry avait nommé Boisclair comme leader parlementaire pour le P.Q.
C'est un côté de Boisclair que nous ne voyons pas beaucoup en ce moment, car c'est une course à la chefferie de son propre parti. Mais je t'assure que vous n'avez aucunement à vous inquiètez de comment Boisclair va s'en tirer contre les attaques de Charest et cie... Et même contre les attaques des médias. En ce moment, il est prudent, car dans une course à la chefferie.
Je maintiens encore que Boisclair est celui qui ira chercher le plus de non convaincus.
On a pas dû suivre les dernières élections, parce que Charest a remporté le débat (et les élections) en confrontant Landry, sur une déclaration, faite dans une obscure salle de conférence d'une université, déclaration même pas faites par Landry mais par un ancien membre du gouvernement (Parizeau). Déclaration qui revevait sur des propos vieux de 95...
Donc ta théorie qui dit que les québécois aiment pas ceux qui calent les autres....ça s'applique pas en campagne électorale...
Il y a aussi le fait que Boisclair est un redoutable adversaire dans les débats... il sait très bien se défendre. Excellent orateur, réplique plus que facile... Comme je le disais, c'est pas pour rien que Landry avait nommé Boisclair comme leader parlementaire pour le P.Q.
C'est un côté de Boisclair que nous ne voyons pas beaucoup en ce moment, car c'est une course à la chefferie de son propre parti. Mais je t'assure que vous n'avez aucunement à vous inquiètez de comment Boisclair va s'en tirer contre les attaques de Charest et cie... Et même contre les attaques des médias. En ce moment, il est prudent, car dans une course à la chefferie.
Je maintiens encore que Boisclair est celui qui ira chercher le plus de non convaincus.
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