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Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. janv. 20, 2010 4:31 pm
par Diane
Tiens donc les mea culpa commence


Glaciers de l'Himalaya: le GIEC fait son mea culpa


Associated Press
Genève

Le GIEC est allé un peu vite en annonçant que les glaciers de l'Himalaya fondaient plus rapidement qu'ailleurs et risquaient d'avoir disparu en 2035: le groupe d'experts climatiques internationaux a reconnu mercredi que cette affirmation n'était pas établie scientifiquement. Un aveu qui pourrait donner du grain à moudre aux «climatosceptiques».

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) avait affirmé, dans son quatrième rapport d'évaluation sorti en 2007, que les glaciers himalayens reculaient plus vite que partout ailleurs sur la planète. A l'époque, ils écrivaient que «la probabilité de leur disparition en 2035 ou peut-être plus tôt est très élevée, si la Terre continue à se réchauffer au rythme actuel.» L'instance onusienne fait désormais marche arrière. Le rapport de 2007 se fonde sur «des estimations peu corroborées de taux de recul et de date de disparition des glaciers himalayens», précise le GIEC dans un communiqué. «Les normes claires et bien établies de preuves exigées par les procédures du GIEC n'ont pas été appliquées correctement» dans ce paragraphe.

Ce passage, qui figure dans la contribution du Groupe de travail II au rapport de 2007, avait suscité peu de commentaires avant que le «Sunday Times» n'évoque dimanche une projection apparemment basée sur un article de presse.

Les responsables du GIEC ont ouvert une enquête pour déterminer comment cette prévision douteuse s'était retrouvée dans le volumineux rapport, a déclaré à l'Associated Press Chris Field, directeur du département d'écologie de l'Institution Carnegie pour la science, basée à Washington.

Dans son communiqué, le GIEC s'abstient de toute nouvelle prévision sur la date de la disparition éventuelle des glaciers himalayens, mais souligne que «les pertes massives et généralisées des glaciers (...) au cours des décennies récentes devraient s'accélérer au XXIe siècle». Le phénomène réduira «la disponibilité de l'eau» et le potentiel hydroélectrique dans de grandes chaînes de montagne, dont l'Himalaya, précise-t-il.

Mardi, le ministre indien de l'Environnement, Jairam Ramesh, avait réitéré ses critiques sur l'évaluation initiale du GIEC. «La santé des glaciers (himalayens) est une source de grande préoccupation, mais la position alarmiste du GIEC selon laquelle ils fondraient d'ici 2035 n'était pas fondée sur une once de preuve scientifique», a-t-il déclaré au «Times of India».

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Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. févr. 10, 2010 12:27 pm
par .anthurium.
Publié le 09 février 2010 à 07h05 | Mis à jour le 09 février 2010 à 07h06


Revenir à la science André Pratte
La Presse


Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), LA référence scientifique en matière de changements climatiques, est plongé dans une controverse qui n'en finit plus de prendre de l'ampleur. Après avoir dû admettre que sa prévision concernant la fonte des glaciers de l'Himalaya ne s'appuyait pas sur des données scientifiques, voici qu'une autre assertion du Groupe est contestée.

Dans le rapport synthèse publié en 2007, le GIEC affirmait: «Dans certains pays (africains), le rendement de l'agriculture pluviale pourrait chuter de 50% d'ici 2020.» Ce phénomène aurait évidemment des conséquences catastrophiques sur ce continent déjà affamé. Or, le coprésident d'un des groupes de travail du GIEC, l'Américain Chris Field, et l'ancien président de l'organisation, l'Anglais Robert Watson, affirment tous deux aujourd'hui n'avoir pas trouvé de littérature scientifique crédible pour appuyer cette prétention.



Le GIEC est présidé depuis 2002 par un ingénieur indien, Rajendra Pachauri. Celui-ci est lui-même l'objet de plusieurs controverses. On lui reproche son arrogance (lorsqu'un rapport du gouvernement indien a contesté la thèse de la fonte des glaciers de l'Himalaya, il l'a qualifié de «science vaudou»). On souligne les nombreux liens d'affaires qu'il a tissés avec des entreprises d'énergie et des institutions financières. Il y a quelques jours, le président du GIEC a nourri l'incendie en publiant son premier roman. Le livre raconte la vie d'un ingénieur indien (comme M. Pachauri), dans la soixantaine (comme M. Pachauri), spécialiste des changements climatiques (comme...). Or ce monsieur aime non seulement l'environnement, il aime les femmes. Beaucoup. Le livre raconte dans le détail plusieurs séances de baise.


Rajendra Pachauri explique qu'il a écrit le roman lors de ses nombreux déplacements en avion. Certains critiques estiment qu'il lui aurait mieux valu relire attentivement les rapports du GIEC...

Ces incidents font évidemment les délices des «sceptiques» autant qu'ils embarrassent les militants écologistes. Des voix s'élèvent pour réclamer la démission de M. Pachauri. On craint que la crédibilité du GIEC soit minée au point que la population et les gouvernements ressentent moins l'urgence d'agir pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Cela risque d'arriver, en effet.

L'éventuelle démission de l'actuel président ne suffira toutefois pas à rétablir la confiance presque totale qu'on accordait au GIEC, gagnant du prix Nobel de la paix en 2007. Avant tout, le groupe doit quitter le terrain du militantisme pour revenir sur celui de la science. Or, sur ce terrain-là, le doute et la discussion sont non seulement permis, ils sont encouragés; il n'y a pas de certitude absolue, encore moins de religion.

apratte@lapresse.ca

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. févr. 10, 2010 5:24 pm
par Placeress
Je pense qu'effectivement Pachauti devrait être foutu à la porte à coup de pied dans les fesses...... mais évidemment, à me lire antérieurement, je ne remet pas en cause le réchauffement de la planète..... qui lui, semble être prouvé par des scientifiques renommés....

Mais évidemment, s'il y a des pommes pourrites dans le lot........ kiq out selon moi.......

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. févr. 10, 2010 5:37 pm
par Placeress
Dans la revue Référence...... je ne peux pas mettre l'article en lien, car il est papier....


On affirme, que le Canada a intérêt a ignorer les effets du réchauffement de la planète.... car, la fonte des glaciers arctiques serait bénéfique à l'exploitation de gaz naturel et de pétrole dans des zones inaccessibles actuellement avec les glaciers......... :/

Du cash, du cash...... et toujours de l'ostif......... de cash........ :/

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. févr. 10, 2010 6:05 pm
par tuberale
Placeress a écrit : Je pense qu'effectivement Pachauti devrait être foutu à la porte à coup de pied dans les fesses...... mais évidemment, à me lire antérieurement, je ne remet pas en cause le réchauffement de la planète..... qui lui, semble être prouvé par des scientifiques renommés....

Mais évidemment, s'il y a des pommes pourrites dans le lot........ kiq out selon moi.......

regarde qui écrit là c'est Pratte.....vaut mieux vérifier l'information avec une autre source quand lui écrit là-dessus...

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. févr. 10, 2010 6:13 pm
par Placeress
tuberale a écrit : [...]



regarde qui écrit là c'est Pratte.....vaut mieux vérifier l'information avec une autre source quand lui écrit là-dessus...

Sais ben....... mais bon, je tentais de faire preuve d'ouverture envers ma collègue DB avec qui je ne pense vraiment pas souvent pareil...... :lol: :lol: :lol:


Mais effectivement, attendons la suite..... avec d'autres sources........ j'tané de cette désinformation, ça me tue....... :/ :/

Il me semble que s'il y a une chose qui devrait être une préoccupation commune, peut importe notre allégeance...... c'est bien le bien-être de notre "planète" commune.... genre notre habitat.... notre maison...... notre milieu...... cibole......... :/ :/ :/

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : mer. févr. 10, 2010 6:45 pm
par lucide
tuberale a écrit : [...]



regarde qui écrit là c'est Pratte.....vaut mieux vérifier l'information avec une autre source quand lui écrit là-dessus...

evidemment... on l'a pas vraiment entendu parler par contre des faussetés emises par l'oms... quel hasard !

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 9:27 am
par .anthurium.
Réchauffisme: Une pléthore de nouveaux scandales impliquant les fraudeurs du GIEC
par Martin Masse

Vous ne lirez pas ces histoires sous la plume de nos idéologues réchauffistes, les François Cardinal de La Presse, Éric Moreault du Soleil, ou encore Yanick Villedieu de Radio-Canada(1). Mais depuis quelques semaines, de nouveaux scandales impliquant les fraudeurs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ne cessent d'être mis au jour.

Le Climategate avait ouvert les vannes à l'automne en suscitant un immense intérêt envers les dessous de la «science» réchauffiste de la part des internautes partout dans le monde. L'histoire des glaciers de l'Himalaya est venue confirmer de manière spectaculaire l'amateurisme flagrant qui caractérise la rédaction des rapports du GIEC. Depuis, des chercheurs et journalistes ont fouillé d'autres exemples de manipulations des données qui enlèvent toute crédibilité aux apparatchiks onusiens. Voici quelques-unes de ces révélations.

- Pour revenir tout d'abord sur le dossier des glaciers de l'Himalaya, l'auteur principal qui coordonnait le chapitre du rapport du GIEC sur les glaciers, Murari Lal, a admis que la prédiction d'une disparition en 2035 n'avait pas été vérifiée, mais qu'il l'avait laissée dans le texte parce que «Nous pensions que si nous pouvions mettre l'accent là-dessus, cela aurait un effet sur les décideurs et les politiciens et les encouragerait à entreprendre des actions concrètes». Selon la propre déclaration de principes de l'organisme, les rapports du GIEC sont pourtant censés offrir une information scientifique objective et neutre sur le plan des politiques à adopter. Cette histoire démontre qu'ils servent en fait de support à une campagne de manipulation de l'opinion publique et des décideurs.

- Par ailleurs, l'institut de recherche indien dirigé par le patron du GIEC, Rajendra Pachauri, The Energy and Resources Institute (TERI) a reçu pour des millions de livres en subventions de recherche sur les glaciers himalayens depuis la publication des prédictions alarmistes du GIEC, prédictions qui rendent encore plus urgente la nécessité d'étudier l'état des glaciers pour produire d'autres rapports prédisant qu'ils vont bientôt disparaître, etc. Conflit d'intérêt? Meuh non!!! Il y a consensus au sein des organisations de fascistes verts sur le fait que leurs intérêts pécuniaires personnels n'ont absolument rien à voir avec leur volonté purement altruiste de sauver la planète.


- Dans un article publié en 2004, un chercheur britannique, Nigel Arnell, a calculé que d'ici 2085, entre 867 et 4,5 milliards de personnes subiraient davantage de pénuries d'eau à cause du réchauffement climatique. Le rapport de 2007 du GIEC (qui est le plus récent) a repris les conclusions de l'étude, mais d'une façon pour le moins incomplète. Tout d'abord, il ne parle pas des autres raisons citées dans l'étude qui expliquent l'augmentation du «stress hydrique», comme la croissance de la population et l'utilisation accrue des ressources, ce qui laisse croire que c'est le réchauffement qui est responsable de toutes ces pénuries. Mais il y a mieux: le GIEC ne parle pas de l'autre conclusion cruciale de l'étude, qui est que de 1,7 à 6 milliards de personnes subiront moins de pénurie à cause du réchauffement Selon les modèles de M. Arnell, en utilisant les moyennes des deux prédictions, l'accès à l'eau pourrait donc s'améliorer pour 2,7 milliards de personnes grâce au réchauffement. La propagande du GIEC laisse croire exactement le contraire.
- Dans son rapport de 2007, le GIEC écrit que le réchauffement provoque des réductions de la couverture de glace dans les Andes, les Alpes et les montagnes en Afrique. Il cite pour cela deux sources. On apprend que l'une de ces sources est une dissertation de maîtrise rédigée par un étudiant en géographie de l'Université de Berne en Suisse, qui a interviewé des guides de montagne dans les Alpes pour tirer ses conclusions. L'autre source est un article de Climbing magazine, une publication consacrée à l'alpinisme. L'auteur de cet article mentionne des témoignages anecdotiques de la part d'alpinistes pour appuyer son affirmation. Climbing magazine, voilà la source hautement scientifique d'une autre nouvelle écocatastrophique largement diffusée par nos fraudeurs réchauffistes!!!

- Un auteur du GIEC, Chris Field, a admis cette fin de semaine qu'une autre prédiction contenue dans le rapport de 2007, voulant que le réchauffement entraînerait une réduction de 50% des récoltes irriguées par l'eau de pluie d'ici 2020 en Afrique du Nord, n'avait aucun fondement scientifique. Il aurait été invraisemblable qu'un changement de cette ampleur se produise en une si courte période de temps. Malgré cela, cette prédiction a été régulièrement citée dans des discours par le président du GIEC, Rajendra Pachauri, et le secrétaire-général de l'ONU, Ban Ki-moon. La source provient d'un article rédigé par un chercheur marocain n'ayant pas été révisé par des pairs, publié par un institut canadien subventionné notamment par le gouvernement du Canada, l'Institut international pour le développement durable. Le chercheur marocain cite d'autres sources qui elles non plus n'ont pas été révisées.

-Toujours dans le rapport de 2007, le GIEC prétendait que le nombre de désastres naturels tels les ouragans et les inondations provoquaient des dommages de plus en plus importants et allaient continuer d'augmenter dans l'avenir. L'étude sur laquelle cette affirmation s'appuyait n'avait toutefois ni été révisée par des pairs, ni été publiée au moment où le rapport de 2007 est sorti. Lorsqu'elle a été publiée en 2008, elle contenait une nouvelle mise en garde: «Nous n'avons pas trouvé suffisamment de preuves pour affirmer qu'il existe un lien statistique entre l'augmentation des températures globales et les pertes dues aux catastrophes.»

- L'histoire la plus dommageable selon moi (mise au jour par une blogueuse canadienne, Donna Laframboise, et reprise par plusieurs médias étrangers) est le fait que le GIEC cite des études de Greenpeace et du World Wildlife Fund comme sources principales de plusieurs de ses prédictions alarmistes. Les réchauffistes nous répètent pourtant que le GIEC représente le summum de la probité scientifique et que toutes la science du réchauffement est fondée sur de sérieuses et objectives études ayant été révisées par des pairs. Greenpeace et le WWF sont pourtant deux organisations militantes écofascistes dont les publications n'ont rien d'objectif ni de scientifique.

Le GIEC admet maintenant qu'il se doit d'inclure de telles publications relevant de la littérature dite «grise» dans le but de «remplir son mandat d'évaluation exhaustive» des différents aspects de la question. Toutefois, la seule littérature grise utilisée est celle des groupes de pression environnementalistes qui font des prédictions alarmistes. Et si ce genre d'«étude» est valable, comment les réchauffistes peuvent-il prétendre que tous les chercheurs qui ne font pas partie de l'establishment (parce qu'ils ne comptent pas parmi les scientifiques liés au GIEC, parce qu'ils travaillent en dehors des universités ou centres de recherche, parce qu'ils n'ont pas eu de formation spécialisée en sciences du climat, parce que leurs articles sont publiés sur des blogues plutôt que dans des revues universitaires ayant une révision par les pairs, etc.) n'ont aucune crédibilité? Si on est un militant écofasciste qui annonce la fin du monde pour bientôt, on est crédible, mais si on est un Steve McIntyre ou un Vincent Courtillot, alors on ne l'est pas?

À lire par ailleurs, cet article http://www.spectator.co.uk/spectator/th ... llas.thtml" onclick="window.open(this.href);return false; de l'excellent journaliste scientifique Matt Ridley dans le Spectator sur le rôle crucial des blogueurs et des scientifiques amateurs dans l'écroulement rapide du supposé «consensus» sur le réchauffement climatique ces derniers mois.

**********

1. Dans un commentaire sur le blogue de son émission Les années lumière en fin de semaine, M. Villedieu croit même déceler un complot mondial bien orchestré de la part des sceptiques pour discréditer le GIEC: «Si j'y reviens aujourd'hui, c'est parce que les sceptiques ont continué leur charge à fond de train contre le GIEC et les scientifiques du climat en général. Dans ce qui ressemble à une campagne de calomnie bien orchestrée, ils ont sorti à intervalles réguliers de nouveaux "scandales", par exemple celui des glaciers de l'Himalaya, qui ne fondent pas de la façon que dit le rapport du GIEC. Ils ont aussi attaqué la probité du président de GIEC, l'ingénieur indien Rajendra Pachauri.»

C'est moi qui rêve ou bien le très scientifique animateur se révèle être un partisan d'une théorie de la conspiration?!! Et dire que c'est nous qui, il n'y a pas longtemps, se faisaient traiter de crackpots parce que nous observons une vaste coalition d'intérêt entre militants écofascistes, chercheurs subventionnés, journalistes incompétents et complaisants et apparatchiks en quête de budgets et de pouvoir, pour nous imposer cette idéologie verte et ce contrôle accru sur nos vies.

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Je vous place le lien vers le texte original ,car il contient les liens de tout les articles ou personnes dont il parle et je n'ai pas le temps d'aller chercher.

http://www.leblogueduql.org/2010/02/r%C ... .html#more" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 9:47 am
par Placeress
Des archives de glace


Il n'y a pas que le soleil - nous avons notre part de responsabilité...


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Une partie du réchauffement que l'on observe pourrait donc s'expliquer par le soleil.
Mais le soleil, c'est aussi notre source de chaleur et depuis quelques décennies il semblerait qu'il fonctionne à un plus haut régime...
En réalité, la situation est plus compliquée que ça. Car en même temps, la Terre se trouve plus isolée qu'autrefois. Elle retient donc de plus en plus efficacement la chaleur du soleil. On appelle cela l'effet de serre, ce qui réchauffe aussi notre planète.
Ce phénomène est lié au gaz carbonique, le CO2 et à d'autres gaz que nous rejetons dans l'environnement. C'est ce qui se passe chaque fois, par exemple, que nous utilisons notre voiture.

Et ça, c'est incontestable, ça relève bien de notre responsabilité.


Ça fait plusieurs années que les experts sonnent l'alarme quant à notre contribution au réchauffement de la planète. Mais aujourd'hui, les observations sont devenues tellement évidentes qu'on ne peut plus nier notre part de responsabilité. Depuis 10 ans surtout, la preuve repose sur deux éléments-clé assez inattendus.

1- Les bulles d'air qui se sont formées dans les calottes glaciaires. Tous les secrets du CO2, le principal gaz à effet de serre, y sont enfouis.

2- Les foraminifères. Grâce à ces petits organismes marins, on peut connaître les climats d'autrefois, car ils sont d'excellents indicateurs de la température et de la salinité des océans.



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Parlons d'abord des bulles d'air.



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Ian Clark, spécialiste des climats anciens.


Voici Ian Clark, un spécialiste des climats anciens. Comme tous les experts dans ce domaine, il s'intéresse à ces petites bulles d'air emprisonnées dans la glace. Elles permettent de vérifier comment, dans le passé, le CO2 a varié en fonction des grands changements climatiques: glaciations, périodes de réchauffement, etc.

« Ces petites bulles d'air sont des archives de l'atmosphère dans le passé », image Ian Clark. Des archives de glace qui datent de milliers d'années. Seules les grandes calottes glaciaires: l'Antarctique, le Groenland et les Lies canadiennes de l'Arctique peuvent fournir des archives aussi bien conservées. Ces calottes ont capté dans leur glace l'atmosphère telle qu'elle était au moment où elles se sont formées.

Plus on creuse en profondeur, plus on remonte dans le temps.


Dans cette pipette de verre, de l'air vieux de milliers d'années.

Ian Clark, qu'on voit ici en train d'extraire les bulles d'air de la glace, ne s'intéresse pas à l'air comme tel, mais plutôt au CO2.

« Si on peut retrouver un échantillon de ces atmosphères et retrouver la teneur des gaz à effet de serre, le CO2 et le méthane, on sera en mesure de voir comment elle varie de concert avec les changements climatiques »
Ian Clark est tout particulièrement intéressé à l'analyse des échantillons recueillis dans l'Arctique canadien. Un travail qui exige une grande précision car le CO2 est toujours présent en quantité infime dans l'atmosphère. Quelques parties par million.


L'air dans sa prison de glace.


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Ce CO2, c'est lui le grand coupable. Depuis une dizaine d'années, des milliers d'échantillons d'atmosphère ont été analysés dans différents laboratoires. Aujourd'hui, pour les teneurs en CO2, on est donc en mesure de faire un long retour en arrière.


 
 
Lien: http://www.radio-canada.ca/tv/decouvert ... o2_1a.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 10:34 am
par myrage22
Je n'ai qu'une chose à dire sur le sujet...c'est tellement facile de trouver certains rapports pour nous prouver que nous avons raison et pour cautionner notre immobilisme...car ne pas bouger demande si peu d'énergie!

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 2:16 pm
par .anthurium.
Le réchauffement amène une plus grande concentration du co2 dans l'atmosphère. Ils sont lié mais le réchauffement arrive en premier.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 4:40 pm
par .anthurium.
La stratégie de l’autruche
Le Journal de Montréal, p. 25 / Nathalie Elgrably-Lévy, 11 février 2010



Un incident cocasse, mais également très révélateur, s’est produit le 27 janvier dernier lors du discours du président Obama sur l’État de l’Union. Alors qu’il invoquait sans sourciller «le poids écrasant de preuves scientifiques des changements climatiques», il déclencha dans la salle un rire spontané et généralisé qui l’obligea à se taire pendant plusieurs secondes, lesquelles lui parurent très certainement interminables. Manifestement, la religion verte est maintenant ouvertement contestée, et même l’aplomb du président des États-Unis ne parvient pas à restaurer le «prêt à penser» climatique!

Soulignons, par ailleurs, que la réaction du Congrès n’est pas marginale. Au contraire, elle symbolise l’incrédulité croissante des populations qui, à la lumière de la série de scandales qui éclaboussent la science du climat, se rendent compte chaque jour un peu plus qu’elles ont été bernées par les discours alarmistes des gourous de l’environnement sans scrupules.

Quels scandales, me direz-vous? Il est vrai que la plupart des médias québécois sont restés plutôt muets à la suite de la divulgation d’une kyrielle de faits troublants touchant les rapports du GIEC. Quant aux spécialistes des questions environnementales qui ont rapporté l’information, c’était essentiellement pour en minimiser l’importance, ou pour suggérer implicitement qu’il ne s’agit là que d’une vulgaire campagne de salissage complotée par des climatosceptiques malveillants.

Pourtant, depuis le Climategate, il ne s’écoule pas une semaine sans que des informations compromettantes ne viennent éroder la crédibilité du GIEC et de scientifiques qui y sont rattachés. En décembre, on découvre que:

(1) Ben Santer, un des rédacteurs du rapport de 1995 du GIEC, admet avoir supprimé des passages affirmant que l’homme n’est pas responsable des changements climatiques;
(2) le président du GIEC, Rajendra Pachauri, est accusé de conflit d’intérêts : il possède des intérêts financiers dans des organisations qui dépendent des conclusions du GIEC. Puis, en janvier, on apprend que:
(3) l’Antarctique ne montre aucun signe de réchauffement;
(4) la disparition des glaciers de l’Himalaya d’ici 2035 est une prédiction sans fondement scientifique dont l’unique objectif était de manipuler l’opinion publique et la classe politique;
(5) la réduction de la couverture de glace des Alpes et des Andes annoncée par le GIEC est une prophétie tirée d’un magazine consacré à l’alpinisme et d’entrevues menées avec des guides de montagne par un étudiant à la maîtrise en géographie;
(6) la réduction de 50% des récoltes africaines irriguées par l’eau de pluie n’est que pure invention;
(7) le GIEC cite des études soumises par des groupes de pression comme Greenpeace et le World Wildlife Fund, sans les avoir soumises au préalable à la procédure de révision par des pairs, alors que le GIEC se targue de suivre rigoureusement la démarche scientifique.
Bien que ces nouvelles fassent régulièrement les manchettes des journaux britanniques en particulier, mais aussi européens et australiens, le Québec passe en grande partie ces faits sous silence.

On peut cacher l’information à la population, on peut entretenir le mensonge et défendre un consensus fallacieux, mais les révélations des derniers mois ont sérieusement ébranlé l’édifice climato-catastrophique. Pour l’instant, ceux qui adoptent la stratégie de l’autruche permettent à la fraude de perdurer. Mais les fondations empiriques de la théorie du réchauffement climatique anthropogénique sont sérieusement endommagées et ce ne pourrait être qu’une question de temps avant que l’édifice ne s’écroule.

Ceux qui choisissent d’ignorer les événements récents et de se complaire dans l’hystérie climatique pourront bénéficier pendant quelque temps encore de l’indulgence de la population. Mais le jour viendra où, comme ce fut le cas pour Obama, ils feront rire d’eux!

Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.

* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 6:11 pm
par Placeress
Lettre à Nathalie Elgrably-Levy
Par Dominique Fortier • 19 sept, 2009 à 19:42


Chacun a ses opinions sur divers sujets, c’est bien normal. Tout le monde a sa vision bien à lui d’analyser son environnement et les événements qui surgissent. Toutefois, lorsqu’on vous offre une tribune pour vous exprimer dans un journal lu par des millions de lecteurs, il serait bien de peser ses mots avant d’écrire n’importe quelle énormité.

Dans un article paru dans le journal de Montréal du 17 septembre 2009, la chroniqueuse économique Nathalie Elgrably-Levy nous met en garde contre la menace écologique. Dès le début de son article, la délicieuse économiste affiche déjà ses couleurs de façon assez intense.

« Pendant des siècles, et jusqu’à la Révolution tranquille, les comportements humains et les relations interpersonnelles étaient sous les diktats de l’Église. Aujourd’hui, les hommes en soutane exercent peu d’influence, et les valeurs religieuses s’effaçent au profit de l’extrémisme écologique. »

Pardon ? Vient-on de comparer une religion qui est responsable de millions de morts, de génocides épouvantables basée sur des croyances aveugles en un Dieu-Tout-Puissant à la sauvegarde de la planète ? Il semblerait que oui, mais avant de condamner la succulente chroniqueuse capitaliste, laissons-lui au moins le bénéfice du doute et regardons sur quoi elle base cette énorme affirmation.

« Pour faire preuve d’écocivisme, recycler, composter et se servir des sacs réutilisables est jugé maintenant insuffisant ».

C’est à ce moment que la chronique de la délectable génie de la haute finance devient des plus intéressantes. Elle s’enflamme en citant toute une série de mesures vertes qui dérangent son petit confort et qui selon elle ne sont pas valables puisque la planète ne serait pas dans un si piteux état. Pourtant lorsqu’on voit des villes aux prises avec des problèmes d’enfouissement de déchets, lorsqu’on se rend compte qu’on gaspille de l’eau inutilement pour arroser son gazon l’été et si on ressent de la misère à respirer au centre-ville de Montréal en plein été à cause du smog très visible et très tangible, je ne comprends pas en quoi nous avons besoin de plus de preuves que la planète n’est pas au meilleur de sa forme…

Dans sa liste d’épicerie, la sulfureuse amante du dollar « dénonce » les gestes verts proposés par certains environnementalistes comme prendre le transport en commun et s’éclairer avec des ampoules fluo compactes. Premièrement, j’aimerais savoir en quoi Mme Elgrably juge que « ça nuit à son confort » d’utiliser une ampoule fluocompacte plus verte et qui dure plus longtemps que la bonne vieille ampoule traditionnelle. Dans le pire des cas, son ampoule fluocompacte lui sauvera quelques précieux dollars au bout du compte puisqu’elle a une durée de vie 6 fois plus longue. Quant au transport en commun, a-t-on vraiment besoin d’encore faire la preuve de la pollution causée par les émissions de gaz des voitures traditionnelles ? Il suffit de passer quelques minutes au centre-ville en plein heure de pointe pour réaliser que l’air respirable n’est pas génial. Et adopter le transport en commun comme l’autobus et le métro n’est pas seulement un principe vert « dicté par les écologistes extrémistes », c’est également une question de gros bon sens. Plus besoin de chercher des places de stationnement, fini les bouchons de circulation et surtout… ça coûte moins cher ! Voilà un argument que la savoureuse analyste économique devrait être en mesure d’apprécier.

Dans sa chronique, Mme Elgrably soulève sept questions qui trouvent des voix discordantes au sein de la population scientifique. Mais avoir des opinions différentes et des points de vue partagés sur un sujet donné fera toujours partie des débats de notre société. Ce n’est pas parce qu’une poignée de scientifiques marginaux remettent en question le véritable réchauffement de la planète qu’il faut automatiquement reprendre le débat et se laver les mains de sa conscience écologique. Il y aura toujours des opposants à tout. Toujours. C’est la nature humaine. Il y aura toujours un illuminé quelque part pour dire que la table de cuisine autour de laquelle vous êtes assis n’est pas ronde mais bien carrée. Il n’a aucune preuve de ce qu’il avance. Vous allez me dire qu’on a pas de preuve du contraire ! Vrai ! Mais dans le doute, vaux mieux s’abstenir et se servir de son gros bons sens, non ?

Je veux bien qu’on pose des questions, qu’on remette en doute certaines théories avancées par les environnementalistes mais de là à accuser les amants de la nature d’extrémistes et de radicaux « sectataires » parce qu’ils suggèrent de faire attention à la planète sur laquelle nous vivons par de petits gestes sans grande conséquence sur notre « confort si chèrement acquis », il y a des limites! Et dire que les environnementalistes sont dangereux est tout aussi énorme! À ce que je sache, le Parti Vert et le NPD, qui prônent un respect de l’environnement, demeurent des partis marginaux sans grande influence au parlement. On est loin des curés qui venaient dicter à nos grands-mères dans leur chambre à coucher de sacrifier leur santé au profit d’une famille nombreuse. Tant qu’à comparer, comparons des tomates avec des tomates !

La croustillante experte des chiffres termine sa chronique en disant ceci :

« Notre niveau de confort actuel est le résultat de milliers d’années de travail et d’efforts. Allons-nous vraiment y renoncer sans réel débat ? »

Faire des gestes pour protéger notre environnement, la planète que nous habitions, ce n’est pas sacrifier son confort, c’est au contraire, s’assurer que nous allons pouvoir y demeurer le plus longtemps possible. Se fermer les yeux, c’est ce qui est irresponsable et dangereux Mme Elgrably.


Lien: http://dimanchematin.com/2009/09/19/let ... ably-levy/" onclick="window.open(this.href);return false;

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C'est pas mal ce que je pense de super Nathalie HEC et de tout le reste d'ailleurs :sarcastic:

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 6:30 pm
par Earendil
pareil pour moi je pense la meme chose

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 6:36 pm
par Placeress
Je n'es aucun problème avec les gens passionnés de finances ainsi qu'avec ceux qui on à coeur le redressement des finances publiques et des entreprises..... Bref, aucun problème avec les économistes....... mais quand certains nient l'évidence...... je ne les trouve pas plus intelligents qu'un Raélien qui croit en la domination des extras-terrestres sur la terre..... :sarcastic:

Heureusement, ils ne sont vraiment pas tous de ce genre..... :top:

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 6:54 pm
par Earendil
si a dirigerait le Québec ou le Canada avec la facon de sa petite tribune dans le journal de Montréal ont retournerait au début du capitalisme sauvage du 19 ième siècle

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 7:10 pm
par Placeress
Earendil a écrit : si a dirigerait le Québec ou le Canada avec la facon de sa petite tribune dans le journal de Montréal ont retournerait au début du capitalisme sauvage du 19 ième siècle

Effectivement...... et pour la lire parfois........ je trouve vraiment que cette femme manque d'intelligence...... elle prend les concepts au sens pure et ne fait aucune nuance...... bref..... peut crédible pour ma part.

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 11, 2010 8:27 pm
par lucide
Placeress a écrit : Lettre à Nathalie Elgrably-Levy
Par Dominique Fortier • 19 sept, 2009 à 19:42


Chacun a ses opinions sur divers sujets, c’est bien normal. Tout le monde a sa vision bien à lui d’analyser son environnement et les événements qui surgissent. Toutefois, lorsqu’on vous offre une tribune pour vous exprimer dans un journal lu par des millions de lecteurs, il serait bien de peser ses mots avant d’écrire n’importe quelle énormité.

Dans un article paru dans le journal de Montréal du 17 septembre 2009, la chroniqueuse économique Nathalie Elgrably-Levy nous met en garde contre la menace écologique. Dès le début de son article, la délicieuse économiste affiche déjà ses couleurs de façon assez intense.

« Pendant des siècles, et jusqu’à la Révolution tranquille, les comportements humains et les relations interpersonnelles étaient sous les diktats de l’Église. Aujourd’hui, les hommes en soutane exercent peu d’influence, et les valeurs religieuses s’effaçent au profit de l’extrémisme écologique. »

Pardon ? Vient-on de comparer une religion qui est responsable de millions de morts, de génocides épouvantables basée sur des croyances aveugles en un Dieu-Tout-Puissant à la sauvegarde de la planète ? Il semblerait que oui, mais avant de condamner la succulente chroniqueuse capitaliste, laissons-lui au moins le bénéfice du doute et regardons sur quoi elle base cette énorme affirmation.

« Pour faire preuve d’écocivisme, recycler, composter et se servir des sacs réutilisables est jugé maintenant insuffisant ».

C’est à ce moment que la chronique de la délectable génie de la haute finance devient des plus intéressantes. Elle s’enflamme en citant toute une série de mesures vertes qui dérangent son petit confort et qui selon elle ne sont pas valables puisque la planète ne serait pas dans un si piteux état. Pourtant lorsqu’on voit des villes aux prises avec des problèmes d’enfouissement de déchets, lorsqu’on se rend compte qu’on gaspille de l’eau inutilement pour arroser son gazon l’été et si on ressent de la misère à respirer au centre-ville de Montréal en plein été à cause du smog très visible et très tangible, je ne comprends pas en quoi nous avons besoin de plus de preuves que la planète n’est pas au meilleur de sa forme…

Dans sa liste d’épicerie, la sulfureuse amante du dollar « dénonce » les gestes verts proposés par certains environnementalistes comme prendre le transport en commun et s’éclairer avec des ampoules fluo compactes. Premièrement, j’aimerais savoir en quoi Mme Elgrably juge que « ça nuit à son confort » d’utiliser une ampoule fluocompacte plus verte et qui dure plus longtemps que la bonne vieille ampoule traditionnelle. Dans le pire des cas, son ampoule fluocompacte lui sauvera quelques précieux dollars au bout du compte puisqu’elle a une durée de vie 6 fois plus longue. Quant au transport en commun, a-t-on vraiment besoin d’encore faire la preuve de la pollution causée par les émissions de gaz des voitures traditionnelles ? Il suffit de passer quelques minutes au centre-ville en plein heure de pointe pour réaliser que l’air respirable n’est pas génial. Et adopter le transport en commun comme l’autobus et le métro n’est pas seulement un principe vert « dicté par les écologistes extrémistes », c’est également une question de gros bon sens. Plus besoin de chercher des places de stationnement, fini les bouchons de circulation et surtout… ça coûte moins cher ! Voilà un argument que la savoureuse analyste économique devrait être en mesure d’apprécier.

Dans sa chronique, Mme Elgrably soulève sept questions qui trouvent des voix discordantes au sein de la population scientifique. Mais avoir des opinions différentes et des points de vue partagés sur un sujet donné fera toujours partie des débats de notre société. Ce n’est pas parce qu’une poignée de scientifiques marginaux remettent en question le véritable réchauffement de la planète qu’il faut automatiquement reprendre le débat et se laver les mains de sa conscience écologique. Il y aura toujours des opposants à tout. Toujours. C’est la nature humaine. Il y aura toujours un illuminé quelque part pour dire que la table de cuisine autour de laquelle vous êtes assis n’est pas ronde mais bien carrée. Il n’a aucune preuve de ce qu’il avance. Vous allez me dire qu’on a pas de preuve du contraire ! Vrai ! Mais dans le doute, vaux mieux s’abstenir et se servir de son gros bons sens, non ?

Je veux bien qu’on pose des questions, qu’on remette en doute certaines théories avancées par les environnementalistes mais de là à accuser les amants de la nature d’extrémistes et de radicaux « sectataires » parce qu’ils suggèrent de faire attention à la planète sur laquelle nous vivons par de petits gestes sans grande conséquence sur notre « confort si chèrement acquis », il y a des limites! Et dire que les environnementalistes sont dangereux est tout aussi énorme! À ce que je sache, le Parti Vert et le NPD, qui prônent un respect de l’environnement, demeurent des partis marginaux sans grande influence au parlement. On est loin des curés qui venaient dicter à nos grands-mères dans leur chambre à coucher de sacrifier leur santé au profit d’une famille nombreuse. Tant qu’à comparer, comparons des tomates avec des tomates !

La croustillante experte des chiffres termine sa chronique en disant ceci :

« Notre niveau de confort actuel est le résultat de milliers d’années de travail et d’efforts. Allons-nous vraiment y renoncer sans réel débat ? »

Faire des gestes pour protéger notre environnement, la planète que nous habitions, ce n’est pas sacrifier son confort, c’est au contraire, s’assurer que nous allons pouvoir y demeurer le plus longtemps possible. Se fermer les yeux, c’est ce qui est irresponsable et dangereux Mme Elgrably.


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C'est pas mal ce que je pense de super Nathalie HEC et de tout le reste d'ailleurs :sarcastic:

J'adore :love:

Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : sam. févr. 20, 2010 10:30 am
par Placeress
19 février 2010
Climat : De Boer s’en va, Phil Jones revient




Alors qu’Yvo De Boer, le plus haut responsable du climat à l’ONU en tant que secrétaire exécutif de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, vient d’annoncer sa démission, le chercheur britannique Phil Jones accorde ses premières entrevues depuis le scandale du Climategate.

Dans l’édition de cette semaine du magazine Nature, le directeur de la Climate Research Unit de l’University of East Anglia s’explique sur la fameuse histoire du Climategate, alors qu’un millier de courriels et documents supposément compromettants avaient été rendus publics par des pirates informatiques peu de temps avant la conférence de Copenhague.

À l’origine de toute cette histoire, un article scientifique publié dans Nature par Phil Jones et son équipe en 1990 à propos des ilots de chaleur urbain, dans lequel les chercheurs basaient une partie de leurs conclusions sur des stations météos situées notamment en Chine.

Or en 2007, Doug Keenan, un climatosceptique amateur, révélait que certaines de ces stations météo chinoises avaient été déplacées au cours de l’étude, ce qui selon lui rendaient caduques les conclusions de Jones et de ses collègues.

Phil Jones reconnaît aujourd’hui que Keenan avait probablement raison sur le fait que les stations avaient été déplacées, et qu’il a effectivement fait une erreur en ne vérifiant pas assez la qualité des données sur lesquelles il s’était appuyé.

Le chercheur annonce qu’il publiera un rectificatif dans une prochaine édition de Nature. Dans une autre étude publiée en 2008, Jones et son équipe ont montré toutefois que la localisation précise des stations en question n’a en réalité pas d’impact sur leurs conclusions.

C’est principalement cette erreur qui a valu à Phil Jones sa réputation de sale tricheur auprès des climatosceptiques. Son erreur est certes bien réelle, mais pourtant sans grandes conséquences. Une goutte d’eau dans un océan d’études qui prouvent que les changements climatiques n’ont rien d’une vue de l’esprit.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la sanction a été sévère pour le chercheur : dans une autre entrevue plus personnelle accordée au Times, Phil Jones raconte qu’il a sérieusement pensé au suicide avoir reçu plusieurs menaces de mort suite au Climategate. Des enquêtes ont été ouvertes par la police.


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Re: Climategate (Tout un scandale)

Publié : jeu. févr. 25, 2010 2:43 pm
par Anya
Claude Allegre a t il raison ? Imposture climatique

Après les torrents de discours sur le réchauffement climatique et la météo de ces jours-ci, beaucoup de gens commencent à penser que Claude Allègre n’a peut-être pas tort en prétendant que la théorie du réchauffement climatique n’est pas prouvée et sert surtout de prétexte à des tas de gens malhonnêtes pour se faire de l’argent.

Claude Allègre a des arguments scientifiques (Claude Allègre est un scientifique reconnu) et comme il le dit, la science n’est pas la politique, les faits et arguments scientifiques ne se votent pas.

Claude Allègre n’aime pas les peoples écolo à la mode. Pour Claude Allègre qui trouve effrayant la non culture scientifique de Nicolas Hulot, l’adage de celui-ci est “tout le monde en vélo moi en hélico”. Nicolas Hulot et ses 30000 euros par mois sur TF1, ses 5% de vente sur Ushuaia et sur les ventes d’un 4x4 …

Claude Allègre met en avant les millions gagnés par Al Gore comme conseiller de Lehman Brothers avec ses théories sur el climat.

Claude Allègre met en avant qu’aucun chef d’état n’était présent au sommet de l’eau ou de la faim alors que ce sont les vrais problèmes d’avenir.

Claude Allègre parle des + 3 degrés depuis le début du siècle, dont personne ne s’est aperçu .. ou des canicules et périodes de froid sous Louis XIV, qui ont tué beaucoup de gens.

Claude Allègre dénonce le mysticisme d’ Al Gore et autres qui se croient sauveurs du monde.

Claude Allègre rappelle qu ‘ Al Gore a été condamné par la Cour de Londres pour 9 mensonges dans son film qui est diffusé en Angleterre avec un avertissement notifiant ces mensonges.

Pour Claude Allègre, les neiges du Kilimandjaro qui fondent ne sont pas causées par le réchauffement climatique mais par l’assèchement de l’ Afrique qui dure depuis 1 million d’années.

Pour Claude Allègre, les îles du Pacifique ne seront pas submergées mais cherchent à avoir des subventions.

Claude Allègre rappelle que de la même manière que la fonte d’un glaçon qui font dans le whisky ne fait pas monter le niveau d’eau, la fonte des glaces ne fait pas monter le niveau de la mer…

On se rappelle au passage ce qui a été découvert sur le fameux GIEC et le climategate … (lire http://www.marianne2.fr/Climategate-pou ... 82984.html" onclick="window.open(this.href);return false; et http://fr.wikipedia.org/wiki/Incident_d ... earch_Unit" onclick="window.open(this.href);return false; )

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