sauf que si on parle de culture personnelle, il n'y en a pas qu'à l'université.GI.Joe a écrit : J'aimerais compléter ma pensée (pendant que je l'ai !)
Dans tous ces débats qu'on a depuis 3 mois, souvent est revenue la notion "science molle sans débouché". Justement si dans une disciple molle juste une petite gang se trouve un job sur le lot, réduire les admissions ne garantit pas que les finissants seront les meilleurs. Et oui, probablement un bon nombre ne travailleront peut-être jamais dans leur domaine mais ça fera du monde qui auront une vue plus grande de notre environnement et auront, du moins je l'espère, un esprit plus critique que si ils n'étaient pas allés à l'université.
Mais ces personnes qui auront peut-être des emplois précaires pendant très longtemps, comment vont-ils s'en sortir si ils ont accumulés des dettes d'études importantes ? C'est pourquoi je souhaite que les frais restent bas et je ne parle pas de gratuité. Juste un bon équilibre qui assure que l'individu ne va pas à l'université pour s'user le fond de culotte pour rien mais pas trop élevé pour qu'il ne soit pas étouffé si il ne trouve pas d'emploi après. Quel montant, je ne le sais pas mais je trouve important que nous soyons une société instruite et cultivée.
Je me dis que quelqu'un de curieux qui veut apprendre n'a pas nécessairement et je dis bien nécessairement besoin de fréquenter l'université. Je me dis , c'est bien beau les rêves, mais ce n'est pas nécessairement à tout le monde à payer pour des ambitions qui sont souvent très personnelles.