Le jeu favori du tueur: Super Columbine Massacre
Hugo Morissette
Le Journal de Montréal
14/09/2006 04h45 - Mise à jour 14/09/2006 06h14
Photo provenant d'un site Internet pour le moins très troublant...
Dans un site Internet troublant, Kimveer Gill se dévoile lui-même comme un meurtrier potentiel dont l'un des jeux vidéo préférés est Super Columbine Massacre.
Le Lavallois de 25 ans a dévoilé son profil complet dans un site dédié au style gothique.
Un test auquel il a participé révèle d'abord que le crime qu'il souhaiterait le plus commettre... est un meurtre.
L'un de ses jeux vidéo préférés est Super Columbine Massacre, un jeu sur la tuerie à l'école de Littleton, en 1999.
«Work sucks, school sucks, life sucks... What else can I say ?» (Le travail m'emmerde, l'école m'emmerde, la vie m'emmerde... Que puis-je dire de plus ?) écrit-il.
Un peu plus loin, on lit qu'il a récemment participé à un test indiquant comment sera sa mort. Résultat : le suicide à 100 %.
«Vengeance is coming», écrit-t-il.
Une autre fiche qu'il a remplie indique que son coeur est noir. On y apprend que, probablemet à cause de son passé, il ressent des émotions qui lui indiquent qu'il veut mourir et qu'à l'intérieur, il est déjà mort.
Photos
Toujours sur son site Internet, on trouve une série d'une trentaine de photos, dont plusieurs le montrant avec une panoplie d'armes à la main, que ce soient des couteaux ou des armes à feu.
Kimveer publie également sur son site une photo de l'ancien dictateur allemand Adolf Hitler, qu'il qualifie de «plus célèbre et psychotique mauvais homme».
Hier matin
Dans le journal de son site, il a laissé un message, hier matin à 10 h 41, un message qui n'avait toutefois rien à voir avec ses actes au Collège Dawson.
«Whiskey in the morning... mmmm... mmmm... good!» a-t-il apparemment rédigé quelques heures avant de se rendre à Dawson.
Kimveer aime les filles gothiques, les facteurs, la musique heavy metal, l'Allemagne, la vodka, la bière, le chanteur Marilyn Manson, les corbeaux et les vêtements noirs.
Ses films préférés sont Bang Bang you're dead, Natural Born Killer et... Roméo et Juliette.
Il a écrit détester la cruauté envers les animaux, la musique country, la religion, le gouvernement américain, Dieu et les gens en général. --Message edité par jael le 2006-09-14 07:52:19--
fusillade au College Dawson
Fusillade Collège Dawson
«Je pensais qu'il faisait un film»
Jessica Nadeau
Le Journal de Montréal
14/09/2006 04h45
Grand, gothique, tout de noir vêtu, avec un immense fusil accroché sur une épaule et une arme de poing dans la main gauche. Le suspect de 25 ans avait l'air si caricatural que les élèves qui l'ont vu ont d'abord cru qu'un film se tournait à l'école. Jusqu'à ce qu'il tire dans la foule.
Tard en soirée hier, le portrait que le Journal a pu obtenir du tueur confirme point par point l'image qu'il a laissée aux nombreux témoins de la fusillade.
Kimveer Gill, 25 ans, est né au Québec de parents indiens et habitait Laval.
Un look tout droit sorti d'un film
Les étudiants qui évacuaient le collège dans la cohue quelques minutes après le drame avaient des images très claires en tête et parlaient d'un jeune homme au look gothique.
«Quand je l'ai vu, juste avant de rentrer à l'école, je pensais qu'il faisait un film parce qu'il était tout en noir. Et son fusil était tellement gros que je ne pensais pas que ça pouvait être un vrai, raconte Alexis Roditi. Dix minutes plus tard, j'entendais les coups de feu et là, j'ai vu qu'on n'était pas dans un film.»
Gothique
Marie Vigoureux, étudiante en cinéma, a elle aussi aperçu le tireur fou devant l'entrée du collège sur de Maisonneuve quelques secondes avant qu'il ne tire dans la foule.
«Il avait un long imperméable noir avec des boucles métalliques et des grosses bottes noires. Il était très grand, avec un mohawk, et il tirait au hasard.»
Shreyas Sukumar a aussi été marqué par la vision de l'homme.
«J'ai vu un gars sortir de l'auto. Il avait un mohawk blond et la peau très pâle, probablement maquillée.
«Il avait l'air gothique, avec un long manteau noir et de longues bottes. Il tenait une mitraillette dans la main droite et un pistolet dans la main gauche.»
Professionnel
Dans la cafétéria où le tueur est entré quelques minutes plus tard, plusieurs étudiants l'ont vu arriver telle une apparition.
«Avec tout son kit, il ressemblait au gars de Matrix et j'ai vraiment pensé qu'un film allait être tourné à l'école», se rappelle péniblement Michael Zakem.
Avant de se précipiter sous la table pour ramper vers la porte arrière, à travers les flaques de sang, Michael a eu le temps de bien regarder le tueur, qui semblait très calme.
«Il savait ce qu'il faisait, il avait l'air tellement sérieux et professionnel, comme s'il s'était pratiqué avant. Ça rendait la chose encore plus terrifiante.»
«Je pensais qu'il faisait un film»
Jessica Nadeau
Le Journal de Montréal
14/09/2006 04h45
Grand, gothique, tout de noir vêtu, avec un immense fusil accroché sur une épaule et une arme de poing dans la main gauche. Le suspect de 25 ans avait l'air si caricatural que les élèves qui l'ont vu ont d'abord cru qu'un film se tournait à l'école. Jusqu'à ce qu'il tire dans la foule.
Tard en soirée hier, le portrait que le Journal a pu obtenir du tueur confirme point par point l'image qu'il a laissée aux nombreux témoins de la fusillade.
Kimveer Gill, 25 ans, est né au Québec de parents indiens et habitait Laval.
Un look tout droit sorti d'un film
Les étudiants qui évacuaient le collège dans la cohue quelques minutes après le drame avaient des images très claires en tête et parlaient d'un jeune homme au look gothique.
«Quand je l'ai vu, juste avant de rentrer à l'école, je pensais qu'il faisait un film parce qu'il était tout en noir. Et son fusil était tellement gros que je ne pensais pas que ça pouvait être un vrai, raconte Alexis Roditi. Dix minutes plus tard, j'entendais les coups de feu et là, j'ai vu qu'on n'était pas dans un film.»
Gothique
Marie Vigoureux, étudiante en cinéma, a elle aussi aperçu le tireur fou devant l'entrée du collège sur de Maisonneuve quelques secondes avant qu'il ne tire dans la foule.
«Il avait un long imperméable noir avec des boucles métalliques et des grosses bottes noires. Il était très grand, avec un mohawk, et il tirait au hasard.»
Shreyas Sukumar a aussi été marqué par la vision de l'homme.
«J'ai vu un gars sortir de l'auto. Il avait un mohawk blond et la peau très pâle, probablement maquillée.
«Il avait l'air gothique, avec un long manteau noir et de longues bottes. Il tenait une mitraillette dans la main droite et un pistolet dans la main gauche.»
Professionnel
Dans la cafétéria où le tueur est entré quelques minutes plus tard, plusieurs étudiants l'ont vu arriver telle une apparition.
«Avec tout son kit, il ressemblait au gars de Matrix et j'ai vraiment pensé qu'un film allait être tourné à l'école», se rappelle péniblement Michael Zakem.
Avant de se précipiter sous la table pour ramper vers la porte arrière, à travers les flaques de sang, Michael a eu le temps de bien regarder le tueur, qui semblait très calme.
«Il savait ce qu'il faisait, il avait l'air tellement sérieux et professionnel, comme s'il s'était pratiqué avant. Ça rendait la chose encore plus terrifiante.»
J'espère que les médias ne feront pas encore le procès des jeux vidéos, de Marilyn Manson, de ci et de ca...
Il faut quand même pas s'attendre à que ce genre d'individu aime Céline Dion, les promenades au Jardin Botanique et les Calinours. Ca ne prouve pas pour autant que ses intérêts sont la cause de son geste.
Il faut quand même pas s'attendre à que ce genre d'individu aime Céline Dion, les promenades au Jardin Botanique et les Calinours. Ca ne prouve pas pour autant que ses intérêts sont la cause de son geste.
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RedShadow2
- Caïd de la Causette
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- Inscription : lun. juil. 12, 2004 12:00 am
La victime venait d'entreprendre ses études collégiales
Hugo de Grandpré
La Presse
La famille d'Anastasia De Sousa, abattue au cours de la tragédie d'hier, l'a cherchée pendant toute la journée dans pratiquement tous les hôpitaux de la ville. En vain.
La jeune femme, en première session au collège Dawson, a été gardée sur les lieux par les enquêteurs, sans que la famille ne soit mise au courant.
Nathalia Hevey, sa tante, était folle d'inquiétude, à l'Hôpital général de Montréal vers 16h, lorsqu'elle est venue voir si sa nièce s'y trouvait.
« Elle n'y est pas et ils ne sont pas capables de dire où elle se trouve! », lançait-elle aux journalistes avec l'espoir, peut-être, que l'appel soit entendu.
Télévision
Pourtant la famille était certaine de l'avoir vue être embarquée à bord d'une ambulance à la télévision.
« Même si ses blessures sont mineures, on veut la trouver, c'est aussi simple que ça. Que quelqu'un nous donne des réponses », a-t-elle imploré.
La famille n'a appris la nouvelle qu'à 9h30, selon le quotidien The Gazette.
Au moment de mettre sous presse, on en savait peu sur Anastasia De Sousa, que ses amis appelaient Stacey. Elle étudiait en commerce international. L'an dernier, elle a fréquenté l'école secondaire Royal Vale, à Notre-Dame-de-Grâces.
Son âge est un mystère. La police lui a donné 22 ans. Selon la Gazette, elle en avait 18.
Hugo de Grandpré
La Presse
La famille d'Anastasia De Sousa, abattue au cours de la tragédie d'hier, l'a cherchée pendant toute la journée dans pratiquement tous les hôpitaux de la ville. En vain.
La jeune femme, en première session au collège Dawson, a été gardée sur les lieux par les enquêteurs, sans que la famille ne soit mise au courant.
Nathalia Hevey, sa tante, était folle d'inquiétude, à l'Hôpital général de Montréal vers 16h, lorsqu'elle est venue voir si sa nièce s'y trouvait.
« Elle n'y est pas et ils ne sont pas capables de dire où elle se trouve! », lançait-elle aux journalistes avec l'espoir, peut-être, que l'appel soit entendu.
Télévision
Pourtant la famille était certaine de l'avoir vue être embarquée à bord d'une ambulance à la télévision.
« Même si ses blessures sont mineures, on veut la trouver, c'est aussi simple que ça. Que quelqu'un nous donne des réponses », a-t-elle imploré.
La famille n'a appris la nouvelle qu'à 9h30, selon le quotidien The Gazette.
Au moment de mettre sous presse, on en savait peu sur Anastasia De Sousa, que ses amis appelaient Stacey. Elle étudiait en commerce international. L'an dernier, elle a fréquenté l'école secondaire Royal Vale, à Notre-Dame-de-Grâces.
Son âge est un mystère. La police lui a donné 22 ans. Selon la Gazette, elle en avait 18.
RedShadow2 a écritLa victime venait d'entreprendre ses études collégiales
Hugo de Grandpré
La Presse
La famille d'Anastasia De Sousa, abattue au cours de la tragédie d'hier, l'a cherchée pendant toute la journée dans pratiquement tous les hôpitaux de la ville. En vain.
La jeune femme, en première session au collège Dawson, a été gardée sur les lieux par les enquêteurs, sans que la famille ne soit mise au courant.
Nathalia Hevey, sa tante, était folle d'inquiétude, à l'Hôpital général de Montréal vers 16h, lorsqu'elle est venue voir si sa nièce s'y trouvait.
« Elle n'y est pas et ils ne sont pas capables de dire où elle se trouve! », lançait-elle aux journalistes avec l'espoir, peut-être, que l'appel soit entendu.
Télévision
Pourtant la famille était certaine de l'avoir vue être embarquée à bord d'une ambulance à la télévision.
« Même si ses blessures sont mineures, on veut la trouver, c'est aussi simple que ça. Que quelqu'un nous donne des réponses », a-t-elle imploré.
La famille n'a appris la nouvelle qu'à 9h30, selon le quotidien The Gazette.
Au moment de mettre sous presse, on en savait peu sur Anastasia De Sousa, que ses amis appelaient Stacey. Elle étudiait en commerce international. L'an dernier, elle a fréquenté l'école secondaire Royal Vale, à Notre-Dame-de-Grâces.
Son âge est un mystère. La police lui a donné 22 ans. Selon la Gazette, elle en avait 18.
Mes sympathies à la famille de la victime et mes pensées à tout les autres qui se trouvent dans un état critique à l'hôpital. --Message edité par tipet le 2006-09-14 08:10:07--
Hugo de Grandpré
La Presse
La famille d'Anastasia De Sousa, abattue au cours de la tragédie d'hier, l'a cherchée pendant toute la journée dans pratiquement tous les hôpitaux de la ville. En vain.
La jeune femme, en première session au collège Dawson, a été gardée sur les lieux par les enquêteurs, sans que la famille ne soit mise au courant.
Nathalia Hevey, sa tante, était folle d'inquiétude, à l'Hôpital général de Montréal vers 16h, lorsqu'elle est venue voir si sa nièce s'y trouvait.
« Elle n'y est pas et ils ne sont pas capables de dire où elle se trouve! », lançait-elle aux journalistes avec l'espoir, peut-être, que l'appel soit entendu.
Télévision
Pourtant la famille était certaine de l'avoir vue être embarquée à bord d'une ambulance à la télévision.
« Même si ses blessures sont mineures, on veut la trouver, c'est aussi simple que ça. Que quelqu'un nous donne des réponses », a-t-elle imploré.
La famille n'a appris la nouvelle qu'à 9h30, selon le quotidien The Gazette.
Au moment de mettre sous presse, on en savait peu sur Anastasia De Sousa, que ses amis appelaient Stacey. Elle étudiait en commerce international. L'an dernier, elle a fréquenté l'école secondaire Royal Vale, à Notre-Dame-de-Grâces.
Son âge est un mystère. La police lui a donné 22 ans. Selon la Gazette, elle en avait 18.
Mes sympathies à la famille de la victime et mes pensées à tout les autres qui se trouvent dans un état critique à l'hôpital. --Message edité par tipet le 2006-09-14 08:10:07--
Le jeudi 14 septembre 2006
BILAN DE SANTÉ À L’HÔPITAL GÉNÉRAL DE MONTRÉAL
La vie de deux patients en jeu
Cyberpresse
Des onze patients admis à l’Hôpital général de Montréal hier après les incidents de l’après-midi, six sont toujours dans un état de santé critique. Les médecins craignent pour la vie de deux d’entre eux.
Le Dr Tarek Razek, directeur du département de traumatologie de l’établissement, a confirmé ce matin que six patients étaient toujours aux soins intensifs. L’état de deux de ces patients, atteints à la tête, étaient dans un état très critique et leur vie est toujours en danger.
Les cinq autres patients reposent dans un état stable et leur morale est bon, aux dires du médecin. Les blessés, six hommes et cinq femmes, sont âgés entre 17 et 48 ans. Ils ont été blessés à la tête, au thorax, à l’abdomen ou aux membres.
BILAN DE SANTÉ À L’HÔPITAL GÉNÉRAL DE MONTRÉAL
La vie de deux patients en jeu
Cyberpresse
Des onze patients admis à l’Hôpital général de Montréal hier après les incidents de l’après-midi, six sont toujours dans un état de santé critique. Les médecins craignent pour la vie de deux d’entre eux.
Le Dr Tarek Razek, directeur du département de traumatologie de l’établissement, a confirmé ce matin que six patients étaient toujours aux soins intensifs. L’état de deux de ces patients, atteints à la tête, étaient dans un état très critique et leur vie est toujours en danger.
Les cinq autres patients reposent dans un état stable et leur morale est bon, aux dires du médecin. Les blessés, six hommes et cinq femmes, sont âgés entre 17 et 48 ans. Ils ont été blessés à la tête, au thorax, à l’abdomen ou aux membres.
Méchant malade!
Ce matin, mes trois enfants sont partis à l'école, et je n'ai pu m'empêcher d'espérer que ça ne donnera pas l'idée à un autre fucké de faire la même chose dans leur école. Quoi qu'en dise Françoisboucane, quand on a des enfants, on ne peut rester indifférent à un tel drame. On ne peut s'empêcher d'imaginer la peine et la peur des parents, le stress intense qu'ont vécu les élèves, les deuils qu'ils auront à vivre, les séquelles que plusieurs auront, et comme je le disais, on ne peut s'empêcher de penser que ça aurait pu être notre enfant ou qu'un jour ce sera peut-être le nôtre.
Je ne me considère pas hystérique, juste empathique, sensible, maternelle, humaine quoi.
Ce matin, mes trois enfants sont partis à l'école, et je n'ai pu m'empêcher d'espérer que ça ne donnera pas l'idée à un autre fucké de faire la même chose dans leur école. Quoi qu'en dise Françoisboucane, quand on a des enfants, on ne peut rester indifférent à un tel drame. On ne peut s'empêcher d'imaginer la peine et la peur des parents, le stress intense qu'ont vécu les élèves, les deuils qu'ils auront à vivre, les séquelles que plusieurs auront, et comme je le disais, on ne peut s'empêcher de penser que ça aurait pu être notre enfant ou qu'un jour ce sera peut-être le nôtre.
Je ne me considère pas hystérique, juste empathique, sensible, maternelle, humaine quoi.
L'Oasis
Bon, j'ai pas lu les 16 pages de ce topic, et je ne sais pas si ce point a été relevé. j'ai pas pu écouter les nouvelles ce matin, alors voici mon commentaire/question.
Hier soir avant d'aller au lit, j'ai écouté les nouvelles et ils disaient que le scénario ce serait passer comme suit: Les policiers n'étaient pas loin de l'endroit et ont entendu des coupes de feu, sont allés en vitesse devant le college Dawson et ont vu le suspect qui avait déjà tiré sur du monde sur la rue. Ils ont tenté d'attirer son attention et le gars leurs a montré qu'il était armé, ils auraient alors tiré et le gars est entré dans le college...on connait la suite.
Alors tout ce discours et ces références à la Poly ou a Columbine..j'espère que les bulletins de nouvelles se rétractent un peu. On sait pas si le gars s'en allait là ou si il a juste entré dans la première porte qu'il a trouvé. C'aurait pu être un édifica à bureau, un commerce, Si il avait été devant le Center Eaton, il aurait rentré dans le Centre Eaton!
Comme les policiers l'ont abattu, on le saura jamais, mais à moins de trouver une lettre, une piste, des éléments qui pointent vers ça, je crois qu'on doit arrêter de comparer ses intentions à celles déjà vécues dans d'autres établissements scolaires.
Cela étant dit, c'est arrivé dans un collège, mon coeur s'ouvre à toutes ses victimes, leurs parents, familles, amis...J'ai moi-même 4 enfants; une qui a fini ses études mais un qui rentre au cegep l'an prochain. Ca rassure personne, mais faut se dire que ce genre d'évènement, bien que terrible, est totalement imprévisible...est-ce que le gars aurait entré dans le college s'il n'avait pas vu les policiers? est-ce que le bilan serait aussi lourd, mais les victimes de simples piétons marchant sur le trottoir? le résultat aurait été le même...juste la version différente.
Encore une fois, je n'ai pas pu écouter les nouvelles ce matin. Mes questions sont peut-être même plus pertinentes, d'autres pièces du puzzle sont peut-être déjà venues se rajouter à l'histoire...
Hier soir avant d'aller au lit, j'ai écouté les nouvelles et ils disaient que le scénario ce serait passer comme suit: Les policiers n'étaient pas loin de l'endroit et ont entendu des coupes de feu, sont allés en vitesse devant le college Dawson et ont vu le suspect qui avait déjà tiré sur du monde sur la rue. Ils ont tenté d'attirer son attention et le gars leurs a montré qu'il était armé, ils auraient alors tiré et le gars est entré dans le college...on connait la suite.
Alors tout ce discours et ces références à la Poly ou a Columbine..j'espère que les bulletins de nouvelles se rétractent un peu. On sait pas si le gars s'en allait là ou si il a juste entré dans la première porte qu'il a trouvé. C'aurait pu être un édifica à bureau, un commerce, Si il avait été devant le Center Eaton, il aurait rentré dans le Centre Eaton!
Comme les policiers l'ont abattu, on le saura jamais, mais à moins de trouver une lettre, une piste, des éléments qui pointent vers ça, je crois qu'on doit arrêter de comparer ses intentions à celles déjà vécues dans d'autres établissements scolaires.
Cela étant dit, c'est arrivé dans un collège, mon coeur s'ouvre à toutes ses victimes, leurs parents, familles, amis...J'ai moi-même 4 enfants; une qui a fini ses études mais un qui rentre au cegep l'an prochain. Ca rassure personne, mais faut se dire que ce genre d'évènement, bien que terrible, est totalement imprévisible...est-ce que le gars aurait entré dans le college s'il n'avait pas vu les policiers? est-ce que le bilan serait aussi lourd, mais les victimes de simples piétons marchant sur le trottoir? le résultat aurait été le même...juste la version différente.
Encore une fois, je n'ai pas pu écouter les nouvelles ce matin. Mes questions sont peut-être même plus pertinentes, d'autres pièces du puzzle sont peut-être déjà venues se rajouter à l'histoire...
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tipet a écritLa tante de la jeune fille décédée vient de dire aux nouvelles qu'elle n'avait aucune sympathie pour les parents du tireur car ils n'ont pas su déceler combien leur fils était malade...
Combien de vies gâchées et tristes par cet évènements
Comment peut-elle savoir que les parents n'ont rien décélé ? :?? Peut-être bien qu'il n'avait plus de contact avec eux..
Il me semble que les parents doivent se sentir suffisamment coupable en ce moment..pas nécessaire d'en rajouter tsé..
J'ai lu ce matin qu'un journaliste s'est présenté chez les parents du jeune homme et le père lui a dit "pas maintenant"..
Il avait les yeux rougis..les policiers étaient à l'intérieur...visiblement il venait d'apprendre la nouvelle..il semblait boulversé..
Je trouve ça très triste...
Combien de vies gâchées et tristes par cet évènements
Comment peut-elle savoir que les parents n'ont rien décélé ? :?? Peut-être bien qu'il n'avait plus de contact avec eux..
Il me semble que les parents doivent se sentir suffisamment coupable en ce moment..pas nécessaire d'en rajouter tsé..
J'ai lu ce matin qu'un journaliste s'est présenté chez les parents du jeune homme et le père lui a dit "pas maintenant"..
Il avait les yeux rougis..les policiers étaient à l'intérieur...visiblement il venait d'apprendre la nouvelle..il semblait boulversé..
Je trouve ça très triste...