Guy Cloutier tentera aujourd'hui d'obtenir sa libération conditionnel
esger a écrit
Désolé, mais je suis vraiment tête dur et épais, mais je lis rien dans tout ça qui dit que si la commission reçoit un COURRIEL avec des plaintes non vérifiés, donc qu'il ne s'agit pas de preuves hors de tout doutes raisonnables, même qu'on ne semble même pas certain de la provenance, y a rien dans tout ça qui me dit qu'on doit refuser d'entendre une personne et lui refuser la libération. à ce que je sache, l'enquête sur ce "courriel" n'était pas faite ce matin.
La Loi donne à la CNLC le pouvoir absolu d’accorder ou de refuser la libération conditionnelle. Au moment de prendre leur décision, les membres de la Commission tiennent compte du risque que le délinquant pourrait représenter pour la société s’il était mis en liberté et déterminent si ce risque peut être géré dans la collectivité et dans quelle mesure il peut l’être. La protection de la société est le premier élément que la CNLC prend en considération lors de toute décision de mise en liberté sous condition.
En quoi un "courriel" sur lequel il n'y a pas eu d'enquête peut être une menace pour la société. ON NE SAIS PAS si les propos du courriel sont vrais.
Dire que ce courriel peut rendre Guy Cloutier une menace pour la société, c'est dire qu'on croit que ce courriel dit vrai, c'est donc déclarer coupable sans preuves. On le garde même en dedans pour ça...
Bref, j'mostinerai pas 2 semaines là dessus là.. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, vous ne le verrez jamais, pis tant miuex pour vous autres!
Si ce courriel s'avère faux et qu'il y a des poursuites, vous penserez à moi
On a jamais dit que c'était impossible que le courriel soit faux et qu'il y ait poursuite Esger, on dit que, selon la loi, la Commission n'avait pas d'autre choix que d'ajourner l'audience c'est tout.
Il se peut fort bien que la plainte soit fausse et que Cloutier poursuive la femme, mais il ne peut pas poursuivre la Commission parce qu'ils ont agis selon les règles.
Désolé, mais je suis vraiment tête dur et épais, mais je lis rien dans tout ça qui dit que si la commission reçoit un COURRIEL avec des plaintes non vérifiés, donc qu'il ne s'agit pas de preuves hors de tout doutes raisonnables, même qu'on ne semble même pas certain de la provenance, y a rien dans tout ça qui me dit qu'on doit refuser d'entendre une personne et lui refuser la libération. à ce que je sache, l'enquête sur ce "courriel" n'était pas faite ce matin.
La Loi donne à la CNLC le pouvoir absolu d’accorder ou de refuser la libération conditionnelle. Au moment de prendre leur décision, les membres de la Commission tiennent compte du risque que le délinquant pourrait représenter pour la société s’il était mis en liberté et déterminent si ce risque peut être géré dans la collectivité et dans quelle mesure il peut l’être. La protection de la société est le premier élément que la CNLC prend en considération lors de toute décision de mise en liberté sous condition.
En quoi un "courriel" sur lequel il n'y a pas eu d'enquête peut être une menace pour la société. ON NE SAIS PAS si les propos du courriel sont vrais.
Dire que ce courriel peut rendre Guy Cloutier une menace pour la société, c'est dire qu'on croit que ce courriel dit vrai, c'est donc déclarer coupable sans preuves. On le garde même en dedans pour ça...
Bref, j'mostinerai pas 2 semaines là dessus là.. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, vous ne le verrez jamais, pis tant miuex pour vous autres!
Si ce courriel s'avère faux et qu'il y a des poursuites, vous penserez à moi
On a jamais dit que c'était impossible que le courriel soit faux et qu'il y ait poursuite Esger, on dit que, selon la loi, la Commission n'avait pas d'autre choix que d'ajourner l'audience c'est tout.
Il se peut fort bien que la plainte soit fausse et que Cloutier poursuive la femme, mais il ne peut pas poursuivre la Commission parce qu'ils ont agis selon les règles.
tipet a écrit
On a jamais dit que c'était impossible que le courriel soit faux et qu'il y ait poursuite Esger, on dit que, selon la loi, la Commission n'avait pas d'autre choix que d'ajourner l'audience c'est tout.
Il se peut fort bien que la plainte soit fausse et que Cloutier poursuive la femme, mais il ne peut pas poursuivre la Commission parce qu'ils ont agis selon les règles.
Bien sûr qu'ils avaient le choix! Ils n'avaient qu'à faire l'écoute de la déclaration, juger Cloutier sur ce qu'il avait et prendre la décision qui s'impose. Ensuite, ils avaint juste à faire enquête sur l'autre dénonciation, faire un procès (s'il ne se déclare pas coupable) et le retourner en prison pour une sentence encore bien plus forte, puisqu'il n'aurait pas avoué ça en thérapie...
Pour que la commission ajourne l'audience, ele doit avoir des raisons de penser que Guy Cloutier est une menace pour la société. Donc si on ajourne à cause de ce courriel là, c'est dire qu'on croit se courriel là, donc, qu'on accuse... Parce que c'est pas pour le reste certain, il n'a pas été entendu!
En tout cas... I'm alone on my side, pis ce que j'avais à dire je l'ai pas mal tout dit là, on verra la suite
Ça me tente juste crissement pas de dédommager Cloutier, c'est toute! Parce que c'est la commission qui a jugé que Cloutier à cause de ce courriel là est une menace, donc coupable...
--Message edité par esger le 2006-04-12 19:08:30--
On a jamais dit que c'était impossible que le courriel soit faux et qu'il y ait poursuite Esger, on dit que, selon la loi, la Commission n'avait pas d'autre choix que d'ajourner l'audience c'est tout.
Il se peut fort bien que la plainte soit fausse et que Cloutier poursuive la femme, mais il ne peut pas poursuivre la Commission parce qu'ils ont agis selon les règles.
Bien sûr qu'ils avaient le choix! Ils n'avaient qu'à faire l'écoute de la déclaration, juger Cloutier sur ce qu'il avait et prendre la décision qui s'impose. Ensuite, ils avaint juste à faire enquête sur l'autre dénonciation, faire un procès (s'il ne se déclare pas coupable) et le retourner en prison pour une sentence encore bien plus forte, puisqu'il n'aurait pas avoué ça en thérapie...
Pour que la commission ajourne l'audience, ele doit avoir des raisons de penser que Guy Cloutier est une menace pour la société. Donc si on ajourne à cause de ce courriel là, c'est dire qu'on croit se courriel là, donc, qu'on accuse... Parce que c'est pas pour le reste certain, il n'a pas été entendu!
En tout cas... I'm alone on my side, pis ce que j'avais à dire je l'ai pas mal tout dit là, on verra la suite
Ça me tente juste crissement pas de dédommager Cloutier, c'est toute! Parce que c'est la commission qui a jugé que Cloutier à cause de ce courriel là est une menace, donc coupable...
--Message edité par esger le 2006-04-12 19:08:30--
esger a écrit
Désolé, mais je suis vraiment tête dur et épais, mais je lis rien dans tout ça qui dit que si la commission reçoit un COURRIEL avec des plaintes non vérifiés, donc qu'il ne s'agit pas de preuves hors de tout doutes raisonnables, même qu'on ne semble même pas certain de la provenance, y a rien dans tout ça qui me dit qu'on doit refuser d'entendre une personne et lui refuser la libération. à ce que je sache, l'enquête sur ce "courriel" n'était pas faite ce matin.
La Loi donne à la CNLC le pouvoir absolu d’accorder ou de refuser la libération conditionnelle. Au moment de prendre leur décision, les membres de la Commission tiennent compte du risque que le délinquant pourrait représenter pour la société s’il était mis en liberté et déterminent si ce risque peut être géré dans la collectivité et dans quelle mesure il peut l’être. La protection de la société est le premier élément que la CNLC prend en considération lors de toute décision de mise en liberté sous condition.
En quoi un "courriel" sur lequel il n'y a pas eu d'enquête peut être une menace pour la société. ON NE SAIS PAS si les propos du courriel sont vrais.
Dire que ce courriel peut rendre Guy Cloutier une menace pour la société, c'est dire qu'on croit que ce courriel dit vrai, c'est donc déclarer coupable sans preuves. On le garde même en dedans pour ça...
Bref, j'mostinerai pas 2 semaines là dessus là.. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, vous ne le verrez jamais, pis tant miuex pour vous autres!
Si ce courriel s'avère faux et qu'il y a des poursuites, vous penserez à moi
je vais te donner un exemple......peut-être boiteux mais je crois qu'il illustre assez bien ce qui s,est passé ce matin......
supposons que tu as un couple qui passe devant le curé ou le juge de paix pour se marier.....
à la phrase fatidique = est-ce que quelqu'un s'oppose au mariage de ces individus.......?............il y a une femme qui se lève et qwui dit = oui moi monsieur le juge.......cet homme est déjà marié, je suis sa femme......branle bas de combat.....
le prêtre va-t-il marier l,homme quand même......pour ne pas risquer de brimer son droit à un mariage?........et si c,est vrai on se retrouve avec de la bigamie....non..... il va suspendre la cérémonie, le temps d,aller dans son bureau privé avec la supposée première épouse, le temps de vérifier ses dires..........y peut pas les vérifier sans suspendre la cérémonie.....
donc c,est la même chose pour la commission des libérations conditionnelles......si quelqu'un s'oppose à la libération......faut qu'ils suspendent le temps d,enquêter.....et étant de la bureaucratie, bien la suspension dure 2 mois.......
Désolé, mais je suis vraiment tête dur et épais, mais je lis rien dans tout ça qui dit que si la commission reçoit un COURRIEL avec des plaintes non vérifiés, donc qu'il ne s'agit pas de preuves hors de tout doutes raisonnables, même qu'on ne semble même pas certain de la provenance, y a rien dans tout ça qui me dit qu'on doit refuser d'entendre une personne et lui refuser la libération. à ce que je sache, l'enquête sur ce "courriel" n'était pas faite ce matin.
La Loi donne à la CNLC le pouvoir absolu d’accorder ou de refuser la libération conditionnelle. Au moment de prendre leur décision, les membres de la Commission tiennent compte du risque que le délinquant pourrait représenter pour la société s’il était mis en liberté et déterminent si ce risque peut être géré dans la collectivité et dans quelle mesure il peut l’être. La protection de la société est le premier élément que la CNLC prend en considération lors de toute décision de mise en liberté sous condition.
En quoi un "courriel" sur lequel il n'y a pas eu d'enquête peut être une menace pour la société. ON NE SAIS PAS si les propos du courriel sont vrais.
Dire que ce courriel peut rendre Guy Cloutier une menace pour la société, c'est dire qu'on croit que ce courriel dit vrai, c'est donc déclarer coupable sans preuves. On le garde même en dedans pour ça...
Bref, j'mostinerai pas 2 semaines là dessus là.. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, vous ne le verrez jamais, pis tant miuex pour vous autres!
Si ce courriel s'avère faux et qu'il y a des poursuites, vous penserez à moi
je vais te donner un exemple......peut-être boiteux mais je crois qu'il illustre assez bien ce qui s,est passé ce matin......
supposons que tu as un couple qui passe devant le curé ou le juge de paix pour se marier.....
à la phrase fatidique = est-ce que quelqu'un s'oppose au mariage de ces individus.......?............il y a une femme qui se lève et qwui dit = oui moi monsieur le juge.......cet homme est déjà marié, je suis sa femme......branle bas de combat.....
le prêtre va-t-il marier l,homme quand même......pour ne pas risquer de brimer son droit à un mariage?........et si c,est vrai on se retrouve avec de la bigamie....non..... il va suspendre la cérémonie, le temps d,aller dans son bureau privé avec la supposée première épouse, le temps de vérifier ses dires..........y peut pas les vérifier sans suspendre la cérémonie.....
donc c,est la même chose pour la commission des libérations conditionnelles......si quelqu'un s'oppose à la libération......faut qu'ils suspendent le temps d,enquêter.....et étant de la bureaucratie, bien la suspension dure 2 mois.......
- EveLaVraie
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6941
- Inscription : mar. oct. 28, 2003 1:00 am
lucide a écrit
Si la personne s'était déjà dévoilée, elle ne pourrait pas porter plainte maintenant...
Tu ne peux garder une plainte délibérement et attendre la sortie de prison pour accuser et le faire retourner en prison c'est irrecevable devant la cour
Ce que je voulais dire.....c'était sans avoir porter plainte....elle pouvait être connue, mais n'était pas prête à porter plainet dans ce temps-là
Probablement que elle, quand Nathalie Simard a porté plainte, elle voulait le faire mais en était pas capable.....vu le cirque médiatique....mais là....trop près de sa libération.....s'étant sentie trop lâche la première fois...elle ne pouvais plus reculer....autant le faire maintenant....mais ça....ce ne sont que MES spéculations! --Message edité par EveLaVraie le 2006-04-12 19:13:41--
Si la personne s'était déjà dévoilée, elle ne pourrait pas porter plainte maintenant...
Tu ne peux garder une plainte délibérement et attendre la sortie de prison pour accuser et le faire retourner en prison c'est irrecevable devant la cour
Ce que je voulais dire.....c'était sans avoir porter plainte....elle pouvait être connue, mais n'était pas prête à porter plainet dans ce temps-là
Probablement que elle, quand Nathalie Simard a porté plainte, elle voulait le faire mais en était pas capable.....vu le cirque médiatique....mais là....trop près de sa libération.....s'étant sentie trop lâche la première fois...elle ne pouvais plus reculer....autant le faire maintenant....mais ça....ce ne sont que MES spéculations! --Message edité par EveLaVraie le 2006-04-12 19:13:41--
Je fais confiance à la vie :)
tuberale a écrit
je vais te donner un exemple......peut-être boiteux mais je crois qu'il illustre assez bien ce qui s,est passé ce matin......
supposons que tu as un couple qui passe devant le curé ou le juge de paix pour se marier.....
à la phrase fatidique = est-ce que quelqu'un s'oppose au mariage de ces individus.......?............il y a une femme qui se lève et qwui dit = oui moi monsieur le juge.......cet homme est déjà marié, je suis sa femme......branle bas de combat.....
le prêtre va-t-il marier l,homme quand même......pour ne pas risquer de brimer son droit à un mariage?........et si c,est vrai on se retrouve avec de la bigamie....non..... il va suspendre la cérémonie, le temps d,aller dans son bureau privé avec la supposée première épouse, le temps de vérifier ses dires..........y peut pas les vérifier sans suspendre la cérémonie.....
donc c,est la même chose pour la commission des libérations conditionnelles......si quelqu'un s'oppose à la libération......faut qu'ils suspendent le temps d,enquêter.....et étant de la bureaucratie, bien la suspension dure 2 mois.......
Effectivement, c'est très boiteux
je vais te donner un exemple......peut-être boiteux mais je crois qu'il illustre assez bien ce qui s,est passé ce matin......
supposons que tu as un couple qui passe devant le curé ou le juge de paix pour se marier.....
à la phrase fatidique = est-ce que quelqu'un s'oppose au mariage de ces individus.......?............il y a une femme qui se lève et qwui dit = oui moi monsieur le juge.......cet homme est déjà marié, je suis sa femme......branle bas de combat.....
le prêtre va-t-il marier l,homme quand même......pour ne pas risquer de brimer son droit à un mariage?........et si c,est vrai on se retrouve avec de la bigamie....non..... il va suspendre la cérémonie, le temps d,aller dans son bureau privé avec la supposée première épouse, le temps de vérifier ses dires..........y peut pas les vérifier sans suspendre la cérémonie.....
donc c,est la même chose pour la commission des libérations conditionnelles......si quelqu'un s'oppose à la libération......faut qu'ils suspendent le temps d,enquêter.....et étant de la bureaucratie, bien la suspension dure 2 mois.......
Effectivement, c'est très boiteux
- EveLaVraie
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EveLaVraie a écrit
Ce que je voulais dire.....c'était sans avoir porter plainte....elle pouvait être connue, mais n'était pas prête à porter plainet dans ce temps-là
Probablement que elle, quand Nathalie Simard a porté plainte, elle voulait le faire mais en était pas capable.....vu le cirque médiatique....mais là....au su de sa libération.....s'étant sentie trop lâche la première fois...elle ne pouvais plus reculer....autant le faire maintenant....mais ça....ce ne sont que MES spéculations!
Et des spéculations il y en a.....
Oui la personne peut être connue et sortir de l'ombre mais elle aurait pu le faire dans l'anonymat la première fois... la deuxième victime l'a fait et je pense que cela aurait augmenté de beaucoup la peine....
Ce que je voulais dire.....c'était sans avoir porter plainte....elle pouvait être connue, mais n'était pas prête à porter plainet dans ce temps-là
Probablement que elle, quand Nathalie Simard a porté plainte, elle voulait le faire mais en était pas capable.....vu le cirque médiatique....mais là....au su de sa libération.....s'étant sentie trop lâche la première fois...elle ne pouvais plus reculer....autant le faire maintenant....mais ça....ce ne sont que MES spéculations!
Et des spéculations il y en a.....
Oui la personne peut être connue et sortir de l'ombre mais elle aurait pu le faire dans l'anonymat la première fois... la deuxième victime l'a fait et je pense que cela aurait augmenté de beaucoup la peine....
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Représentant le Canada au Festival international de la chanson de Tokyo en juin 1974, René Simard remporte le trophée de la meilleure chanson et le Prix Frank-Sinatra, remis au meilleur interprète. Sa chanson "Midori iro No Yane" se vend à plus d'un million d'exemplaires au Japon. En décembre, il chante à l'Olympia de Paris en première partie de Daniel Guichard et fait des apparitions à la télévision aux émissions de Michel Drucker et Philippe Bouvard. Sur disques, il remporte d'importants succès avec "Un enfant comme les autres" (1972), [g]"Pascale" (1973),[/g] "Les dimanches après-midi" (1974) et "Maman, laisse-moi sortir ce soir" (1975) qui reçoit un disque d'or en France. En janvier 1975, René Simard chante au spectacle de clôture du MIDEM de Cannes. Depuis 1974, il a fait des apparitions au Mike Douglas Show (NBC), Merv Griffin Show (CBS, mai 1976) et Howard Cossell (NBC), en plus d'effectuer une autre tournée au Japon et de participer au spécial
Y a t-il quelqu'un qui se rappelle qui chantait cette chanson là avec lui ? Chanson`: Pascale
Y a t-il quelqu'un qui se rappelle qui chantait cette chanson là avec lui ? Chanson`: Pascale
esger a écrit
Bien sûr qu'ils avaient le choix! Ils n'avaient qu'à faire l'écoute de la déclaration, juger Cloutier sur ce qu'il avait et prendre la décision qui s'impose. Ensuite, ils avaint juste à faire enquête sur l'autre dénonciation, faire un procès (s'il ne se déclare pas coupable) et le retourner en prison pour une sentence encore bien plus forte, puisqu'il n'aurait pas avoué ça en thérapie...
Wow, minute là. La Commission n'est pas apte à juger si quelqu'un est coupable ou pas Elle est là pour décider si un détenu a suffisament cheminé dans sa thérapie pour pouvoir sortir de prison AVANT LA FIN DE SA SENTENCE. Si pour une raison ou une autre, la Commission juge que le détenu ne devrait pas sortir elle refuse sa demande et le retroune en prison pour encore un an. Dans ce cas-ci, la Commission a reçu des informations comme quoi Cloutier aurait pu faire une troisième victime, ce qu'il a caché à la justice. Donc, tout ce qu'elle peut faire c'est ajourner et remettre à plus tard, le temps de laisser aux policiers le temps d'enquêter.
La Commission n'est pas là pour décider si la plainte est vraie ou fausse, c'est le travail des policiers ça.
Citation :Pour que la commission ajourne l'audience, ele doit avoir des raisons de penser que Guy Cloutier est une menace pour la société. Donc si on ajourne à cause de ce courriel là, c'est dire qu'on croit se courriel là, donc, qu'on accuse... Parce que c'est pas pour le reste certain, il n'a pas été entendu!
Non! C'est ça que tu ne comprends pas, si on ajourne ce n'est pas parce qu'on croit que Cloutier est un danger pour la société. Si on ajourne c'est parce qu'on a pas toutes les informations nécessaires pour prendre une décision. Si on avait refusé la demande de libération de Cloutier, je dirais comme toi, mais là elle est seulement remise. C'est tout. C'est comme dans un procès, les avocats demandent souvent d'ajourner, le temps de pousser leurs enquêtes plus loin ou de permettre à des témoins de paufiner leur déclaration. Quand on ajourne on ne déclare pas l'autre coupable!
Citation :En tout cas... I'm alone on my side, pis ce que j'avais à dire je l'ai pas mal tout dit là, on verra la suite
Ça me tente juste crissement pas de dédommager Cloutier, c'est toute! Parce que c'est la commission qui a jugé que Cloutier à cause de ce courriel là est une menace, donc coupable...
LA COMMISSION N'A PAS JUGER CLOUTIER COMME UNE MENACE. Elle n'a fait que reporter une audience...j'ai du mal à comprendre ce que tu ne saisis pas là-dedans --Message edité par tipet le 2006-04-12 19:39:40--
Bien sûr qu'ils avaient le choix! Ils n'avaient qu'à faire l'écoute de la déclaration, juger Cloutier sur ce qu'il avait et prendre la décision qui s'impose. Ensuite, ils avaint juste à faire enquête sur l'autre dénonciation, faire un procès (s'il ne se déclare pas coupable) et le retourner en prison pour une sentence encore bien plus forte, puisqu'il n'aurait pas avoué ça en thérapie...
Wow, minute là. La Commission n'est pas apte à juger si quelqu'un est coupable ou pas Elle est là pour décider si un détenu a suffisament cheminé dans sa thérapie pour pouvoir sortir de prison AVANT LA FIN DE SA SENTENCE. Si pour une raison ou une autre, la Commission juge que le détenu ne devrait pas sortir elle refuse sa demande et le retroune en prison pour encore un an. Dans ce cas-ci, la Commission a reçu des informations comme quoi Cloutier aurait pu faire une troisième victime, ce qu'il a caché à la justice. Donc, tout ce qu'elle peut faire c'est ajourner et remettre à plus tard, le temps de laisser aux policiers le temps d'enquêter.
La Commission n'est pas là pour décider si la plainte est vraie ou fausse, c'est le travail des policiers ça.
Citation :Pour que la commission ajourne l'audience, ele doit avoir des raisons de penser que Guy Cloutier est une menace pour la société. Donc si on ajourne à cause de ce courriel là, c'est dire qu'on croit se courriel là, donc, qu'on accuse... Parce que c'est pas pour le reste certain, il n'a pas été entendu!
Non! C'est ça que tu ne comprends pas, si on ajourne ce n'est pas parce qu'on croit que Cloutier est un danger pour la société. Si on ajourne c'est parce qu'on a pas toutes les informations nécessaires pour prendre une décision. Si on avait refusé la demande de libération de Cloutier, je dirais comme toi, mais là elle est seulement remise. C'est tout. C'est comme dans un procès, les avocats demandent souvent d'ajourner, le temps de pousser leurs enquêtes plus loin ou de permettre à des témoins de paufiner leur déclaration. Quand on ajourne on ne déclare pas l'autre coupable!
Citation :En tout cas... I'm alone on my side, pis ce que j'avais à dire je l'ai pas mal tout dit là, on verra la suite
Ça me tente juste crissement pas de dédommager Cloutier, c'est toute! Parce que c'est la commission qui a jugé que Cloutier à cause de ce courriel là est une menace, donc coupable...
LA COMMISSION N'A PAS JUGER CLOUTIER COMME UNE MENACE. Elle n'a fait que reporter une audience...j'ai du mal à comprendre ce que tu ne saisis pas là-dedans --Message edité par tipet le 2006-04-12 19:39:40--
esger a écrit
En quoi un "courriel" sur lequel il n'y a pas eu d'enquête peut être une menace pour la société. ON NE SAIS PAS si les propos du courriel sont vrais.
Ce matin, Cloutier DEMANDAIT une libération CONDITIONNELLE, ce qui veut dire que les Commissaires avaient d`empiler sur leur bureau, tous les examens, devoirs, tests, comportements de Guy Cloutier et ces piles de documents ont tous été inspectés à la loupe ET à partir de celà, les conditions de sa remise en liberté s`appliquaient en conséquence de tous les documents que les Commissaires avaient sur Cloutier depuis ces 14 mois derniers derrière les barreaux.
On ne sait pas, toi non plus, si Guy Cloutier avait tout le nécessaire pour avoir une libération.
On ne sait pas non plus personne, si dans les thérapies qu`il a suivi en prison, s`il a TOUT avouer lors de ces scéances. Il fallait qu`il avoue TOUT sur son côté délinquant : sexuel donc. Et ce en dehors même des victimes pour lesquelles il purgeait une peine de 42 mois.
Ce matin, ce n`était pas un procès de Cloutier, mais une demande de sa part si les Commisaires acceptent de le laisser libre sachant qu`il aura des conditions rattachées à cette "liberté" et sachant aussi que pour demander cette lberté ce matin, il se devait lors de ses thérapies, DIRE LA VÉRITÉ ET NE RIEN CACHER SUR SA SEXUALITÉ.
Esger, je ne t`apprends pas que la vérité vient toujours qu`à sortir tôt ou tard. Alors, même si ca n`avait pas eu lieu ce courriel.....RIEN ne disait aujourd`hui qu`il aurait passer le test pour avoir une quelconque liberté. Et même s`il l`avait eu, il était exigible oui, mais ca ne veut pas dire qu`il aurait été libre aujourd`hui même.
En quoi un "courriel" sur lequel il n'y a pas eu d'enquête peut être une menace pour la société. ON NE SAIS PAS si les propos du courriel sont vrais.
Ce matin, Cloutier DEMANDAIT une libération CONDITIONNELLE, ce qui veut dire que les Commissaires avaient d`empiler sur leur bureau, tous les examens, devoirs, tests, comportements de Guy Cloutier et ces piles de documents ont tous été inspectés à la loupe ET à partir de celà, les conditions de sa remise en liberté s`appliquaient en conséquence de tous les documents que les Commissaires avaient sur Cloutier depuis ces 14 mois derniers derrière les barreaux.
On ne sait pas, toi non plus, si Guy Cloutier avait tout le nécessaire pour avoir une libération.
On ne sait pas non plus personne, si dans les thérapies qu`il a suivi en prison, s`il a TOUT avouer lors de ces scéances. Il fallait qu`il avoue TOUT sur son côté délinquant : sexuel donc. Et ce en dehors même des victimes pour lesquelles il purgeait une peine de 42 mois.
Ce matin, ce n`était pas un procès de Cloutier, mais une demande de sa part si les Commisaires acceptent de le laisser libre sachant qu`il aura des conditions rattachées à cette "liberté" et sachant aussi que pour demander cette lberté ce matin, il se devait lors de ses thérapies, DIRE LA VÉRITÉ ET NE RIEN CACHER SUR SA SEXUALITÉ.
Esger, je ne t`apprends pas que la vérité vient toujours qu`à sortir tôt ou tard. Alors, même si ca n`avait pas eu lieu ce courriel.....RIEN ne disait aujourd`hui qu`il aurait passer le test pour avoir une quelconque liberté. Et même s`il l`avait eu, il était exigible oui, mais ca ne veut pas dire qu`il aurait été libre aujourd`hui même.
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
lucide a écrit
Donc il est privé du privilège que les détenus ont de se faire entendre...
Je suppose que le courriel était relativement crédible pour que l'on prenne cette décision mais il me semble que la raison de la suspension de l'audience aurait dû rester confidentielle jusqu'à l'aboutissement de l'enquête. Parce que jusqu'à maintenant sans accusation elle porte préjudice au détenu. Je suis bien d'accord sur ce point.
Puis de toute manière, la décision n'aurait pas été rendue aujourd'hui, quant à sa libération; ils l'entendaient aujourd'hui, mais c'est pas certain qu'il serait sorti après, ils devaient délibérer sur son cas, j'imagine, après avoir entendu tous et chacun ce matin.
Pour ce qui regarde le courriel: je trouve quand même bizarre que cette personne justement ait envoyé son courriel hier, cette personne le savait qu'il devait passer devant la Commission ce matin????
Je ne dis pas que je ne crois pas en cette personne, mais je trouve quand même sa manière de procéder un peu bizarre... et si le courriel ne s'était pas rendu à temps ce matin???? Drôle de chance que cette personne a prise quand même.
Donc il est privé du privilège que les détenus ont de se faire entendre...
Je suppose que le courriel était relativement crédible pour que l'on prenne cette décision mais il me semble que la raison de la suspension de l'audience aurait dû rester confidentielle jusqu'à l'aboutissement de l'enquête. Parce que jusqu'à maintenant sans accusation elle porte préjudice au détenu. Je suis bien d'accord sur ce point.
Puis de toute manière, la décision n'aurait pas été rendue aujourd'hui, quant à sa libération; ils l'entendaient aujourd'hui, mais c'est pas certain qu'il serait sorti après, ils devaient délibérer sur son cas, j'imagine, après avoir entendu tous et chacun ce matin.
Pour ce qui regarde le courriel: je trouve quand même bizarre que cette personne justement ait envoyé son courriel hier, cette personne le savait qu'il devait passer devant la Commission ce matin????
Je ne dis pas que je ne crois pas en cette personne, mais je trouve quand même sa manière de procéder un peu bizarre... et si le courriel ne s'était pas rendu à temps ce matin???? Drôle de chance que cette personne a prise quand même.
star=étoile a écritReprésentant le Canada au Festival international de la chanson de Tokyo en juin 1974, René Simard remporte le trophée de la meilleure chanson et le Prix Frank-Sinatra, remis au meilleur interprète. Sa chanson "Midori iro No Yane" se vend à plus d'un million d'exemplaires au Japon. En décembre, il chante à l'Olympia de Paris en première partie de Daniel Guichard et fait des apparitions à la télévision aux émissions de Michel Drucker et Philippe Bouvard. Sur disques, il remporte d'importants succès avec "Un enfant comme les autres" (1972), [g]"Pascale" (1973),[/g] "Les dimanches après-midi" (1974) et "Maman, laisse-moi sortir ce soir" (1975) qui reçoit un disque d'or en France. En janvier 1975, René Simard chante au spectacle de clôture du MIDEM de Cannes. Depuis 1974, il a fait des apparitions au Mike Douglas Show (NBC), Merv Griffin Show (CBS, mai 1976) et Howard Cossell (NBC), en plus d'effectuer une autre tournée au Japon et de participer au spécial
Y a t-il quelqu'un qui se rappelle qui chantait cette chanson là avec lui ? Chanson`: Pascale
j ai mis une photo quelques pages avant celle ci de cette enfant la , je n ai rien trouver sur elle adulte car je n ai pas son nom , mais ma mere m a dit qu elle était certaine qu elle s appellait pascale
Y a t-il quelqu'un qui se rappelle qui chantait cette chanson là avec lui ? Chanson`: Pascale
j ai mis une photo quelques pages avant celle ci de cette enfant la , je n ai rien trouver sur elle adulte car je n ai pas son nom , mais ma mere m a dit qu elle était certaine qu elle s appellait pascale
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
LeeLou a écrit
j ai mis une photo quelques pages avant celle ci de cette enfant la , je n ai rien trouver sur elle adulte car je n ai pas son nom , mais ma mere m a dit qu elle était certaine qu elle s appellait pascale
Revoila la petite qui chantait la chanson pascale avec rené
j ai mis une photo quelques pages avant celle ci de cette enfant la , je n ai rien trouver sur elle adulte car je n ai pas son nom , mais ma mere m a dit qu elle était certaine qu elle s appellait pascale
Revoila la petite qui chantait la chanson pascale avec rené
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11:33 am, Patrick Lagacé / Au quotidien, 401 mots
Les commissaires auraient dû se taire
Coup de théâtre à Laval : la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) n'a pas entendu Guy Cloutier qui cherchait à obtenir une libération conditionnelle. La CNLC a reçu, mardi soir à ses bureaux d'Ottawa, un courriel d'une « troisième victime potentielle ». La CNLC a décidé d'attendre que la police fasse enquête avant d'entendre Cloutier. Mais l'information a filtré : « Une troisième victime ! ». Je précise tout de suite, même si complètement con d'avoir à le préciser, que je n'ai aucune sympathie pour Cloutier et/ou pour la pédophilie. Je le précise en vous disant ceci : la CNLC n'avait pas d'affaire à révéler cette information. Parce que c'est juste ça, une information, non vérifiée, non corroborée. Un simple courriel !
On vit dans un État de droit, bordel, et c'est à la police de faire enquête, pas à la CNLC. La CNLC n'avait qu'à dire que l'audience était annulée, point et refiler le dossier aux flics. Que dit-on aux journalistes ? Ce que les organisations gouvernementales font tout le temps : « No comment. » Mais non, on en fait tout un plat, on ébruite l'affaire, alors que la police n'a même pas encore enquêté sur les allégations de cette « troisième victime potentielle ». Écoutez, on vit dans un système où la protection de la vie privée est un concept si débile, que moi, comme journaliste, je ne peux pas savoir si un type est en prison. Pas de farces : les autorités carcérales ne révèlent pas qui est « en dedans ». Mais là, dans ce cas-là, paf, on annonce avoir reçu un courriel qui allègue — ALLÈGUE — d'autres crimes ! Juste ça ! Vous me direz que Cloutier va pourrir en prison encore plus longtemps et c'est tout ce qu'il mérite. Vous avez raison, mais c'est pas ça, la justice. Si Guy Cloutier a agressé d'autres gars/filles, récemment ou il y a longtemps, il y a une façon très simple pour les victimes d'obtenir justice : en portant plainte à la police. C'est ce que les deux victimes confirmées ont fait. Ce n'est pas à la CNLC à attiser la fureur du public, sorry. Et qu'on découvre, dans trois, quatre ou six mois que les allégations étaient fondées ne change rien à la gaffe. La présomption d'innocence, c'est aussi pour les écoeurants.
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http://pat.blogue.canoe.com/pat/2006/04 ... u_se_taire
Pour démerder mon frère,esger... tette bin là. Ché pas! --Message edité par Beppo le 2006-04-12 20:09:43--
Les commissaires auraient dû se taire
Coup de théâtre à Laval : la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) n'a pas entendu Guy Cloutier qui cherchait à obtenir une libération conditionnelle. La CNLC a reçu, mardi soir à ses bureaux d'Ottawa, un courriel d'une « troisième victime potentielle ». La CNLC a décidé d'attendre que la police fasse enquête avant d'entendre Cloutier. Mais l'information a filtré : « Une troisième victime ! ». Je précise tout de suite, même si complètement con d'avoir à le préciser, que je n'ai aucune sympathie pour Cloutier et/ou pour la pédophilie. Je le précise en vous disant ceci : la CNLC n'avait pas d'affaire à révéler cette information. Parce que c'est juste ça, une information, non vérifiée, non corroborée. Un simple courriel !
On vit dans un État de droit, bordel, et c'est à la police de faire enquête, pas à la CNLC. La CNLC n'avait qu'à dire que l'audience était annulée, point et refiler le dossier aux flics. Que dit-on aux journalistes ? Ce que les organisations gouvernementales font tout le temps : « No comment. » Mais non, on en fait tout un plat, on ébruite l'affaire, alors que la police n'a même pas encore enquêté sur les allégations de cette « troisième victime potentielle ». Écoutez, on vit dans un système où la protection de la vie privée est un concept si débile, que moi, comme journaliste, je ne peux pas savoir si un type est en prison. Pas de farces : les autorités carcérales ne révèlent pas qui est « en dedans ». Mais là, dans ce cas-là, paf, on annonce avoir reçu un courriel qui allègue — ALLÈGUE — d'autres crimes ! Juste ça ! Vous me direz que Cloutier va pourrir en prison encore plus longtemps et c'est tout ce qu'il mérite. Vous avez raison, mais c'est pas ça, la justice. Si Guy Cloutier a agressé d'autres gars/filles, récemment ou il y a longtemps, il y a une façon très simple pour les victimes d'obtenir justice : en portant plainte à la police. C'est ce que les deux victimes confirmées ont fait. Ce n'est pas à la CNLC à attiser la fureur du public, sorry. Et qu'on découvre, dans trois, quatre ou six mois que les allégations étaient fondées ne change rien à la gaffe. La présomption d'innocence, c'est aussi pour les écoeurants.
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Pour démerder mon frère,esger... tette bin là. Ché pas! --Message edité par Beppo le 2006-04-12 20:09:43--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit11:33 am, Patrick Lagacé / Au quotidien, 401 mots
Les commissaires auraient dû se taire
Coup de théâtre à Laval : la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) n'a pas entendu Guy Cloutier qui cherchait à obtenir une libération conditionnelle. La CNLC a reçu, mardi soir à ses bureaux d'Ottawa, un courriel d'une « troisième victime potentielle ». La CNLC a décidé d'attendre que la police fasse enquête avant d'entendre Cloutier. Mais l'information a filtré : « Une troisième victime ! ». Je précise tout de suite, même si complètement con d'avoir à le préciser, que je n'ai aucune sympathie pour Cloutier et/ou pour la pédophilie. Je le précise en vous disant ceci : la CNLC n'avait pas d'affaire à révéler cette information. Parce que c'est juste ça, une information, non vérifiée, non corroborée. Un simple courriel !
On vit dans un État de droit, bordel, et c'est à la police de faire enquête, pas à la CNLC. La CNLC n'avait qu'à dire que l'audience était annulée, point et refiler le dossier aux flics. Que dit-on aux journalistes ? Ce que les organisations gouvernementales font tout le temps : « No comment. » Mais non, on en fait tout un plat, on ébruite l'affaire, alors que la police n'a même pas encore enquêté sur les allégations de cette « troisième victime potentielle ». Écoutez, on vit dans un système où la protection de la vie privée est un concept si débile, que moi, comme journaliste, je ne peux pas savoir si un type est en prison. Pas de farces : les autorités carcérales ne révèlent pas qui est « en dedans ». Mais là, dans ce cas-là, paf, on annonce avoir reçu un courriel qui allègue — ALLÈGUE — d'autres crimes ! Juste ça ! Vous me direz que Cloutier va pourrir en prison encore plus longtemps et c'est tout ce qu'il mérite. Vous avez raison, mais c'est pas ça, la justice. Si Guy Cloutier a agressé d'autres gars/filles, récemment ou il y a longtemps, il y a une façon très simple pour les victimes d'obtenir justice : en portant plainte à la police. C'est ce que les deux victimes confirmées ont fait. Ce n'est pas à la CNLC à attiser la fureur du public, sorry. Et qu'on découvre, dans trois, quatre ou six mois que les allégations étaient fondées ne change rien à la gaffe. La présomption d'innocence, c'est aussi pour les écoeurants.
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Ça c'est vrai en titi par exemple...Je me demande ce qu'ils avaient à aller dire aux journaliste la raison du report de l'audience! Voyons donc!
De un, si c'est faux, ça porte préjudice à Cloutier, et de deux si c'est vrai, ça peut effrayer la victime suffisament pour qu'elle décide de retirer sa plainte.
Le public n'a pas à être au courant de toutes les raisons d'ajournement d'audience. À mon avis, la Commission a mal réagit.
Les commissaires auraient dû se taire
Coup de théâtre à Laval : la Commission nationale des libérations conditionnelles (CNLC) n'a pas entendu Guy Cloutier qui cherchait à obtenir une libération conditionnelle. La CNLC a reçu, mardi soir à ses bureaux d'Ottawa, un courriel d'une « troisième victime potentielle ». La CNLC a décidé d'attendre que la police fasse enquête avant d'entendre Cloutier. Mais l'information a filtré : « Une troisième victime ! ». Je précise tout de suite, même si complètement con d'avoir à le préciser, que je n'ai aucune sympathie pour Cloutier et/ou pour la pédophilie. Je le précise en vous disant ceci : la CNLC n'avait pas d'affaire à révéler cette information. Parce que c'est juste ça, une information, non vérifiée, non corroborée. Un simple courriel !
On vit dans un État de droit, bordel, et c'est à la police de faire enquête, pas à la CNLC. La CNLC n'avait qu'à dire que l'audience était annulée, point et refiler le dossier aux flics. Que dit-on aux journalistes ? Ce que les organisations gouvernementales font tout le temps : « No comment. » Mais non, on en fait tout un plat, on ébruite l'affaire, alors que la police n'a même pas encore enquêté sur les allégations de cette « troisième victime potentielle ». Écoutez, on vit dans un système où la protection de la vie privée est un concept si débile, que moi, comme journaliste, je ne peux pas savoir si un type est en prison. Pas de farces : les autorités carcérales ne révèlent pas qui est « en dedans ». Mais là, dans ce cas-là, paf, on annonce avoir reçu un courriel qui allègue — ALLÈGUE — d'autres crimes ! Juste ça ! Vous me direz que Cloutier va pourrir en prison encore plus longtemps et c'est tout ce qu'il mérite. Vous avez raison, mais c'est pas ça, la justice. Si Guy Cloutier a agressé d'autres gars/filles, récemment ou il y a longtemps, il y a une façon très simple pour les victimes d'obtenir justice : en portant plainte à la police. C'est ce que les deux victimes confirmées ont fait. Ce n'est pas à la CNLC à attiser la fureur du public, sorry. Et qu'on découvre, dans trois, quatre ou six mois que les allégations étaient fondées ne change rien à la gaffe. La présomption d'innocence, c'est aussi pour les écoeurants.
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http://pat.blogue.canoe.com/pat/2006/04 ... u_se_taire
Ça c'est vrai en titi par exemple...Je me demande ce qu'ils avaient à aller dire aux journaliste la raison du report de l'audience! Voyons donc!
De un, si c'est faux, ça porte préjudice à Cloutier, et de deux si c'est vrai, ça peut effrayer la victime suffisament pour qu'elle décide de retirer sa plainte.
Le public n'a pas à être au courant de toutes les raisons d'ajournement d'audience. À mon avis, la Commission a mal réagit.