Comédien Jean-François Harrisson accusé de porno infantile

[Nikki]

http://technaute.cyberpresse.ca/nouvell ... ietant.php" onclick="window.open(this.href);return false;

Cyberprédateurs: un constat inquiétant
Louise Leduc, La Presse
13 mars 2009 | 07 h 38 | 3 commentaires

Quelques cas très médiatisés de pédophiles qui ont lancé des invitations à des enfants par l'entremise du Web ont fait les manchettes ces derniers temps, mais l'ampleur du problème demeure difficile à cerner. Statistique Canada a néanmoins levé une partie du voile, hier, sur ce que risquent les enfants quand ils surfent sans filet sur l'internet.

Au cours des années 2006 et 2007, les services de police de l'ensemble du Canada ont eu à traiter 464 affaires de leurre d'enfants, le leurre impliquant ici le fait d'aborder un enfant dans l'internet dans le but de commettre ensuite une infraction plus facilement. Une agression sexuelle ou un enlèvement, par exemple.

Tout en dévoilant ces données, Statistique Canada note, en s'appuyant sur des études canadiennes et américaines, à quel point il est difficile de brosser un portrait complet en la matière parce que «peu de ces affaires sont signalées aux autorités. Par exemple, moins de 10% des enfants et des adolescents américains qui ont fait l'objet d'avances sexuelles dans l'internet en 2005 ont signalé l'affaire aux autorités.»

Dans le même souffle, Statistique Canada signale aussi qu'il est important de ne pas sauter aux conclusions trop vite. Vrai, le nombre d'affaires de leurre d'enfants déclarées à la police en 2006 était de 1,5 fois plus élevé que le nombre noté en 2005; en 2007, la hausse était de 30%.

Cependant, «les augmentations du nombre d'affaires de leurre d'enfants qui viennent à l'attention de la police découlent de l'accroissement des efforts qui sont déployés pour sensibiliser le public à cette infraction», écrit l'agence fédérale.

Mais quand il y a plainte, comment se conclut l'affaire?

Un peu plus de six affaires de leurre d'enfants sur dix signalées à la police en 2006 et 2007 n'ont pas été classées. Cependant, quand des accusations sont bel et bien portées, près des trois quarts des cas mènent à un verdict de culpabilité. Et depuis 2003, environ le tiers des causes impliquant des infractions de leurre d'enfants comportaient également une accusation d'incitation à des contacts sexuels ou une accusation de pornographie sexuelle.

Le fait que le leurre d'enfants ait été ajouté au Code criminel en 2002 facilite grandement le travail des policiers, note Guy Bianchi, lieutenant-détective au Service de police de la Ville de Montréal spécialisé dans les questions d'agressions sexuelles ou d'exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales. «Beaucoup de représentations ont été faites en ce sens, notamment du côté de la Gendarmerie royale du Canada, dit-il. Avant (l'ajout du leurre au Code criminel), on notait que nous n'avions presque pas le choix d'attendre que la fille soit agressée pour agir.»

L'intérêt de cet ajout, c'est qu'il peut permettre de prévenir d'autres crimes plus graves, d'arrêter les gens avant qu'il ne passe réellement à l'acte.

En effet, comme l'explique le criminaliste Gilles Ouimet, on peut être accusé de leurre sans avoir commis d'autres infractions, puisque la question d'intention, ici, est importante.

Cela étant dit, comme l'indique M. Bianchi, cet article du Code criminel ne peut pas tout. «Dans le cas du Belge, par exemple, nous sommes arrivés après les faits.»

M. Bianchi évoque ici le cas de ce Liégeois qui est débarqué à Montréal en juin dernier et qui a été accusé d'avoir enlevé une jeune Montréalaise de 13 ans.

L'an dernier, une enquête d'un journal montréalais avait bien démontré qu'un nombre important de prédateurs sexuels naviguent sur les sites très prisés de jeunes Québécois pour chercher ensuite à rencontrer des mineurs.

Selon l'étude toute fraîche de Statistique Canada, six auteurs présumés de leurre d'enfants sur dix étaient de jeunes hommes de 18 à 34 ans.

Cyberaide, l'un des réseaux les plus actifs dans la lutte contre la criminalité contre les enfants dans l'internet est l'un des organismes qui collaborent le plus avec les corps policiers. Dans son site web, l'organisme pancanadien soutient que sa transmission de signalements a mené, depuis 2002, à 44 arrestations et à la fermeture de 2850 sites internet.

Sa directrice, Signy Arnason, note que les cas de leurre comptent pour 8% des signalements du public reçus à Cyberaide. Le leurre d'enfants est d'autant plus inquiétant qu'il est souvent associé à des accusations plus graves, mais les signalements les plus communs ont trait à la pornographie juvénile aperçue dans l'internet (90% des signalements à Cyberaide.ca)

[Nikki]

Il semble que ce n'est pas facile de coincer les prédateurs, mais les lois et les techniques s'améliorent...

Mais j'ai tellement de mal à me rentrer dans la tête qu'il y a tant de gens pour abuser d'enfants...

[EveLaVraie]

Il semble que ce n'est pas facile de coincer les prédateurs, mais les lois et les techniques s'améliorent...

Mais j'ai tellement de mal à me rentrer dans la tête qu'il y a tant de gens pour abuser d'enfants...

Ouin et croyez-vous que c'est pire qu'avant ou c'est seulement pcq les médias en parlent davantage?

[Tiffanys]

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Cyberprédateurs: un constat inquiétant
Louise Leduc, La Presse
13 mars 2009 | 07 h 38 | 3 commentaires

Quelques cas très médiatisés de pédophiles qui ont lancé des invitations à des enfants par l'entremise du Web ont fait les manchettes ces derniers temps, mais l'ampleur du problème demeure difficile à cerner. Statistique Canada a néanmoins levé une partie du voile, hier, sur ce que risquent les enfants quand ils surfent sans filet sur l'internet.

Au cours des années 2006 et 2007, les services de police de l'ensemble du Canada ont eu à traiter 464 affaires de leurre d'enfants, le leurre impliquant ici le fait d'aborder un enfant dans l'internet dans le but de commettre ensuite une infraction plus facilement. Une agression sexuelle ou un enlèvement, par exemple.

Tout en dévoilant ces données, Statistique Canada note, en s'appuyant sur des études canadiennes et américaines, à quel point il est difficile de brosser un portrait complet en la matière parce que «peu de ces affaires sont signalées aux autorités. Par exemple, moins de 10% des enfants et des adolescents américains qui ont fait l'objet d'avances sexuelles dans l'internet en 2005 ont signalé l'affaire aux autorités.»

Dans le même souffle, Statistique Canada signale aussi qu'il est important de ne pas sauter aux conclusions trop vite. Vrai, le nombre d'affaires de leurre d'enfants déclarées à la police en 2006 était de 1,5 fois plus élevé que le nombre noté en 2005; en 2007, la hausse était de 30%.

Cependant, «les augmentations du nombre d'affaires de leurre d'enfants qui viennent à l'attention de la police découlent de l'accroissement des efforts qui sont déployés pour sensibiliser le public à cette infraction», écrit l'agence fédérale.

Mais quand il y a plainte, comment se conclut l'affaire?

Un peu plus de six affaires de leurre d'enfants sur dix signalées à la police en 2006 et 2007 n'ont pas été classées. Cependant, quand des accusations sont bel et bien portées, près des trois quarts des cas mènent à un verdict de culpabilité. Et depuis 2003, environ le tiers des causes impliquant des infractions de leurre d'enfants comportaient également une accusation d'incitation à des contacts sexuels ou une accusation de pornographie sexuelle.

Le fait que le leurre d'enfants ait été ajouté au Code criminel en 2002 facilite grandement le travail des policiers, note Guy Bianchi, lieutenant-détective au Service de police de la Ville de Montréal spécialisé dans les questions d'agressions sexuelles ou d'exploitation sexuelle des enfants à des fins commerciales. «Beaucoup de représentations ont été faites en ce sens, notamment du côté de la Gendarmerie royale du Canada, dit-il. Avant (l'ajout du leurre au Code criminel), on notait que nous n'avions presque pas le choix d'attendre que la fille soit agressée pour agir.»

L'intérêt de cet ajout, c'est qu'il peut permettre de prévenir d'autres crimes plus graves, d'arrêter les gens avant qu'il ne passe réellement à l'acte.

En effet, comme l'explique le criminaliste Gilles Ouimet, on peut être accusé de leurre sans avoir commis d'autres infractions, puisque la question d'intention, ici, est importante.
Cela étant dit, comme l'indique M. Bianchi, cet article du Code criminel ne peut pas tout. «Dans le cas du Belge, par exemple, nous sommes arrivés après les faits.»

M. Bianchi évoque ici le cas de ce Liégeois qui est débarqué à Montréal en juin dernier et qui a été accusé d'avoir enlevé une jeune Montréalaise de 13 ans.

L'an dernier, une enquête d'un journal montréalais avait bien démontré qu'un nombre important de prédateurs sexuels naviguent sur les sites très prisés de jeunes Québécois pour chercher ensuite à rencontrer des mineurs.

Selon l'étude toute fraîche de Statistique Canada, six auteurs présumés de leurre d'enfants sur dix étaient de jeunes hommes de 18 à 34 ans.

Cyberaide, l'un des réseaux les plus actifs dans la lutte contre la criminalité contre les enfants dans l'internet est l'un des organismes qui collaborent le plus avec les corps policiers. Dans son site web, l'organisme pancanadien soutient que sa transmission de signalements a mené, depuis 2002, à 44 arrestations et à la fermeture de 2850 sites internet.

Sa directrice, Signy Arnason, note que les cas de leurre comptent pour 8% des signalements du public reçus à Cyberaide. Le leurre d'enfants est d'autant plus inquiétant qu'il est souvent associé à des accusations plus graves, mais les signalements les plus communs ont trait à la pornographie juvénile aperçue dans l'internet (90% des signalements à Cyberaide.ca)

Merci pour l'article.

Ce que j'ai surligner, c'est ce que je retiens le plus.

ON essaie de les retracer le plus tôt possible avant qu'ils ne passent à l'acte. C'est une excellent chose d'être aussi aux aguets. Car lorsqu'on éprouve du plaisir à consulter ce genre de matériel à un moment donné ils doivent bien finir par passer à l'acte étant donné que c'est ce qu'ils les attires.
En fait, ils leur rend service avant que leur cas s'agrave ainsi que ceux des enfants.

[Tiffanys]

Il semble que ce n'est pas facile de coincer les prédateurs, mais les lois et les techniques s'améliorent...

Mais j'ai tellement de mal à me rentrer dans la tête qu'il y a tant de gens pour abuser d'enfants...

C'est vraiment incroyable et ça fait peur à nous parents qui devont sans cesse protéger nos enfants de tout ce monde de malade.

C'est vraiment décourageant.

[Nikki]

[...]


Ouin et croyez-vous que c'est pire qu'avant ou c'est seulement pcq les médias en parlent davantage?

Je pense que c'est le côté sombre de l'internet... Probable que les prédateurs ne deviennent pas prédateur à cause de l'internet, mais cela leur facilite la tâche... Parce que des images illégales, tu ne peux pas trouver ça au dépanneur comme tu trouves des playboy ou autres revues de porno légale, alors ils se tournent vers la seule façon de pouvoir visionner du matériel illégal que l'on connaisse...

Cependant, il m'est arrivé souvent de me questionner sur les intentions des postes de télévision, que lorsque les autorités coincent un cyber prédateur d'enfants, il nous montrent très souvent quelques photos où ils mettent une barre noire sur les yeux et les parties... Je me suis toujours demandé quel était le but de faire ça, sinon pour exciter davantage ceux que ça excite... Parce que moi, ça ne fait que me dégoùter de voir ça, c'est vraiment de trop pour moi...

[Nikki]

[...]


C'est vraiment incroyable et ça fait peur à nous parents qui devont sans cesse protéger nos enfants de tout ce monde de malade.

C'est vraiment décourageant.

Oui, moi je suis contente que mes enfants soient rendus plus grands et que les risquent diminuent que ça leur arrive...

[Tiffanys]

[...]


Oui, moi je suis contente que mes enfants soient rendus plus grands et que les risquent diminuent que ça leur arrive...

T'as pas fini. Après ses pour tes p'tits enfants que tu vas t'inquiéter.

C'est pas fin dire ça mais c'est ça notre réalité maintenant.

[Nikki]

[...]


T'as pas fini. Après ses pour tes p'tits enfants que tu vas t'inquiéter.

C'est pas fin dire ça mais c'est ça notre réalité maintenant.

Ouin, tu as bien raison...

[cassiopee2009]

Article paru dans The Gazette où on explique comment ils ont pris Harrisson, ils parlent entre autres du mec avec qui il échangeait les photos et ce dernier a plaindé...coupable. Je souligne les passages pertinents.

Harrisson child-porn investigation began a year ago


By Paul Cherry, The GazetteMarch 10, 2009

The events that would dramatically alter Montreal actor Jean-François Harrisson's life started a year ago when U.S. authorities began investigating a U.S. navy sailor for trading child pornography over the Internet.


The 34-year-old actor, known for his roles on French-language television programs aimed at youth, was arrested last week by members of the Montreal police child-exploitation squad and charged with possessing and distributing child pornography.


Since then, his life has turned upside down.


One television network has pulled shows he is on off the air; a video starring Harrisson has been yanked from youth-employment centres and the TVA network announced Monday it has withdrawn his recent nomination for an award. A letter informing Harrisson of the nomination, accompanied by a box of chocolates, had been sent to his home the same day he was arrested.


The Gazette has learned the chain of events that produced Harrisson's arrest began on March 12, 2008, when customs investigators with the U.S. Department of Homeland Security searched a locker on the USS Abraham Lincoln, an aircraft carrier docked in Everett, Wa. Investigators were looking for evidence related to a person who called himself "Billyboy 1231" while exchanging child pornography files with others on the Internet.

The person used Internet accounts belonging to Billy Wayne Welch, an aviation ordnance chief aboard the aircraft carrier. Most of the files shared through the account depicted girls, in some cases believed to be between the ages of 9 and 11, in sexual situations, often with men.

Welch was questioned by investigators and initially denied trading child pornography through Internet accounts traced to him. But as the customs agents approached his locker, Welch broke down and told them they'd find what they were looking for on a laptop inside it.


According to U.S. court documents filed in the case against Welch, investigators also found other computer equipment, including two hard drives.


"On (Welch's) computer systems and other memory storage devices, agents found more than 16,000 images and more than 600 videos which depicted images of children engaged in sexually explicit conduct."
The agents also found evidence Welch used Google Hello ­ a software program that lets users trade computer files over the Internet with like-minded people while building a support network ­ to send and receive child pornography.


Because Harrisson's case is before the courts, Montreal police are unable to provide details of their investigation. But they confirmed the evidence that initiated the investigation in Montreal came from Welch's case.


Welch entered a guilty plea last week to one count of possession of sexually explicit child pornography. It was accepted by a judge in a U.S. district court Tuesday. Sentencing is scheduled for May 29. He faces a maximum sentence of 10 years and a $250,000 fine.

The Montreal case against Harrisson returns to court on April 3.


pcherry@thegazette.canwest.com

© Copyright (c) The Montreal Gazette

[cassiopee2009]

Autre chose qui me fait capoter, je fais référence ici à l'émission d'hier de Denis Lévesque, où on disait qu'il fallait y aller mollo avec, qu'on a droit à l'erreur etc.... A la limite, je veux bien , et ce à long terme mais pour cela, il faudrait qu'il commence par plaider coupable, par avouer ce qu'il a fait, et que s'en suive des remords, sa sentence et une thérapie complétée. Mais on ne peut demander à la population de pardonner à quelqu'un qui n'avoue même pas sa faute car d'après ce que j'ai su il veut plaider non coupable!!! Alors qu'il ne s'attende pas à des doléances de la part du public. La nature humaine pardonne lorsqu'il y a remords et regret de la partie opposée, sans cela on pie ardonne quoi rien. On fait l'autruche et on continu comme si rien ne c'était passé. C'est pas un processus banal mais en ce moment la campagne d'empathie collective dans les médias est train de banaliser tout cela.

[Masse-chaussette]

Merci pour l'article.... wahhhh

Mon cerveau ne s'y fait pas... Moi qui disais qu'il faut attendre le procès, je commence à avoir de la misère grrrr

[Pico82]

Ou mon ex travaille... Une grosse boite de la Rive-sud de Montreal, y'a 2 ans
environ ils ont arrete et mis a la porte une dizaine d'hommes qui etaient
dans un reseau de porno juvenile... Il y avait des tonnes de fichiers, meme
sur les ordi du bureau...

J'ai jamais entendu parle de ca a la tele... On sait pas tout ce qui se passe
a ce sujet la...

Et si Harisson avait eu un alibi, ca aurait ete dans son interet de le divulguer
dans les 48 heures suivant son arrestation. La presomption d'innocence
j'y crois de moins en moins dans son cas malheureusement....

[EveLaVraie]

Après avoir lu l'article de la Gazette...

[Lucie08]

Y'a une chose qui me chicotte en lisant l'article de La Gazette...

L'américain, Welch, a plaidé coupable au chef d'accusation de possession de matériel pornographique juvénile, mais on ne parle pas de la distribution de matériel pornographique. Est-ce à dire qu'il ne sera jugé que pour avoir possédé les photos? Pourtant, ils ont bien remonté jusqu'à JF Harrisson, qui lui, est accusé de possession, de fabrication et d'échange de matériel porno. Ils devraient tous les deux avoir les mêmes chefs d'accusation de possession et distribution de matériel pornographique, non???

[cassiopee2009]

Y'a une chose qui me chicotte en lisant l'article de La Gazette...

L'américain, Welch, a plaidé coupable au chef d'accusation de possession de matériel pornographique juvénile, mais on ne parle pas de la distribution de matériel pornographique. Est-ce à dire qu'il ne sera jugé que pour avoir possédé les photos? Pourtant, ils ont bien remonté jusqu'à JF Harrisson, qui lui, est accusé de possession, de fabrication et d'échange de matériel porno. Ils devraient tous les deux avoir les mêmes chefs d'accusation de possession et distribution de matériel pornographique, non???

En fait si j'ai bien compris, dans l'article, on précise que Welch a plaidé coupable à ce chef d'accusation. Peut-être qu'il plaide non coupable pour l'autre chef d'accusation de distribution de matériel pornographique? Je ne sais pas trop.

[Tiffanys]

Y'a une chose qui me chicotte en lisant l'article de La Gazette...

L'américain, Welch, a plaidé coupable au chef d'accusation de possession de matériel pornographique juvénile, mais on ne parle pas de la distribution de matériel pornographique. Est-ce à dire qu'il ne sera jugé que pour avoir possédé les photos? Pourtant, ils ont bien remonté jusqu'à JF Harrisson, qui lui, est accusé de possession, de fabrication et d'échange de matériel porno. Ils devraient tous les deux avoir les mêmes chefs d'accusation de possession et distribution de matériel pornographique, non???

Ca dépend dans quel état des Etats Unis il est ce gars. Chaque Etat ont leur lois me semble.
Et ici nos propres lois.
Je ne saurais dire.

[AngelOfDistress]

Y'a une chose qui me chicotte en lisant l'article de La Gazette...

L'américain, Welch, a plaidé coupable au chef d'accusation de possession de matériel pornographique juvénile, mais on ne parle pas de la distribution de matériel pornographique. Est-ce à dire qu'il ne sera jugé que pour avoir possédé les photos? Pourtant, ils ont bien remonté jusqu'à JF Harrisson, qui lui, est accusé de possession, de fabrication et d'échange de matériel porno. Ils devraient tous les deux avoir les mêmes chefs d'accusation de possession et distribution de matériel pornographique, non???

Peut-être qu'il n'en distribuait pas non plus de materiel..il en avait peut-être juste possession. Qui sait, c'est peut-être Harrisson qui lui faisait parvenir, d'où les chefs d'accusation plus graves pour Harrisson.

Je ne fais que suppositions ici.

[Beppo]

Y'a une chose qui me chicotte en lisant l'article de La Gazette...

L'américain, Welch, a plaidé coupable au chef d'accusation de possession de matériel pornographique juvénile, mais on ne parle pas de la distribution de matériel pornographique. Est-ce à dire qu'il ne sera jugé que pour avoir possédé les photos? Pourtant, ils ont bien remonté jusqu'à JF Harrisson, qui lui, est accusé de possession, de fabrication et d'échange de matériel porno. Ils devraient tous les deux avoir les mêmes chefs d'accusation de possession et distribution de matériel pornographique, non???

Il ne me semble pas avoir lu que JF Harrison fabriquait du matériel pornographique juvénile. Suis-je dans l'erreur?

[tipet]

[...]


Il ne me semble pas avoir lu que JF Harrison fabriquait du matériel pornographique juvénile. Suis-je dans l'erreur?

Ouais, il me semble que c'était possession et distribution, mais j'en ai peut-être manqué un boutte.