Votez pour la Présidence des USA
jme suis couchée vers les 11h15 après avoir vu 295 /135? (pu sure du chiffre des rép.) mais ouufff.. jai poussé un soupir de soulagement et jme suis endormie heureuse et réveiller heureuse ! cé incroyable ! et la jviens de voir son discours sur you tube !! WOW !!! quel homme ! jveux m'exiler tout suite au statesssssss bon ! dire quon est pogner ak des libéraux et conservateur au pouvoir sibolleee...
Soledade a écrit
Si j'peut me permettre :
http://www.youtube.com/watch?v=ato7BtisXzE
Ça c'est son discours à la convention démocrate, quand il a ccepté d'être candidat à la présidence
Si j'peut me permettre :
http://www.youtube.com/watch?v=ato7BtisXzE
Ça c'est son discours à la convention démocrate, quand il a ccepté d'être candidat à la présidence
tipet a écritSeulement des mots
Agrandir
André Pratte
La Presse
«Il n'y a pas une Amérique libérale et une Amérique conservatrice, il n'y a que les États-Unis d'Amérique. Il n'y a pas une Amérique noire, une Amérique blanche, une Amérique latino et une Amérique asiatique, il n'y a que les États-Unis d'Amérique.»
Ces paroles, prononcées par Barack Obama lors de la convention démocrate de 2004, resteront gravées dans l'histoire politique américaine. Elles ont propulsé Obama à l'avant-scène et ouvert la voie à son extraordinaire candidature à la présidence. Une candidature marquée par des discours remarquables, qui n'ont laissé personne indifférent. On se souviendra, en particulier, de son allocution sur les relations raciales, prononcée dans la foulée de la controverse déclenchée par son pasteur?: «Je ne peux pas plus le renier que je ne peux renier ma grand-mère blanche, une femme qui a fait tant de sacrifices pour moi, une femme qui m'aime plus que tout au monde, mais aussi une femme qui m'avouait sa peur des Noirs qu'elle croisait dans la rue et que, plus d'une fois, j'ai entendu faire des remarques racistes qui m'ont répugné. Ces personnes sont une partie de moi. Et elles font partie de l'Amérique, ce pays que j'aime.»
Comme beaucoup de grands leaders, Barack Obama s'est d'abord démarqué par ses talents oratoires. Ce n'est pas minimiser son mérite que de le souligner. Convaincre, unir, galvaniser, calmer?: autant de tâches essentielles du leader, tâches qu'il accomplit d'abord par la parole.
Et surtout, surtout, les mots peuvent insuffler de l'espoir. L'espoir sans lequel rien n'est possible. Pensons à Churchill, à la Chambre des communes, le 13 mai 1940?: «Vous vous demandez?: quelle va être notre politique?? Je vous répondrai?: mener la guerre, sur la mer, sur terre et dans les airs, avec toute la volonté et toute la force que Dieu voudra nous donner.»
Pensons à de Gaulle, à Londres, un mois plus tard?: «Mais le dernier mot est-il dit?? L'espérance doit-elle disparaître?? La défaite est-elle définitive?? Non?! Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France.»
Pensons à Martin Luther King, le 28 août 1963?: «Je fais le rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour le contenu de leur personne.»
Tout au long de cette campagne, les paroles de Barack Obama ont exprimé et canalisé l'espoir que les États-Unis retrouvent leur sens moral et leur réputation dans le monde, reprennent la route de la prospérité et sachent faire la paix autant que la guerre. «Seulement des mots?», ont raillé ses adversaires. La réplique de Barack Obama fut foudroyante?: «?Ne me dites pas que les mots ne comptent pas. J'ai un rêve. Seulement des mots?? Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes?: tous les hommes sont créés égaux. Seulement des mots?? Il est vrai que les discours ne règlent pas tous les problèmes. Mais il est également vrai que si nous ne parvenons pas à insuffler l'espoir à ce pays, toutes les politiques, tous les plans seront inutiles.»
Il arrive que les mots changent le cours de l'histoire.
Il n'y a pas de Canada français et de Canada anglais, Il n'y a que le Canada
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André Pratte
La Presse
«Il n'y a pas une Amérique libérale et une Amérique conservatrice, il n'y a que les États-Unis d'Amérique. Il n'y a pas une Amérique noire, une Amérique blanche, une Amérique latino et une Amérique asiatique, il n'y a que les États-Unis d'Amérique.»
Ces paroles, prononcées par Barack Obama lors de la convention démocrate de 2004, resteront gravées dans l'histoire politique américaine. Elles ont propulsé Obama à l'avant-scène et ouvert la voie à son extraordinaire candidature à la présidence. Une candidature marquée par des discours remarquables, qui n'ont laissé personne indifférent. On se souviendra, en particulier, de son allocution sur les relations raciales, prononcée dans la foulée de la controverse déclenchée par son pasteur?: «Je ne peux pas plus le renier que je ne peux renier ma grand-mère blanche, une femme qui a fait tant de sacrifices pour moi, une femme qui m'aime plus que tout au monde, mais aussi une femme qui m'avouait sa peur des Noirs qu'elle croisait dans la rue et que, plus d'une fois, j'ai entendu faire des remarques racistes qui m'ont répugné. Ces personnes sont une partie de moi. Et elles font partie de l'Amérique, ce pays que j'aime.»
Comme beaucoup de grands leaders, Barack Obama s'est d'abord démarqué par ses talents oratoires. Ce n'est pas minimiser son mérite que de le souligner. Convaincre, unir, galvaniser, calmer?: autant de tâches essentielles du leader, tâches qu'il accomplit d'abord par la parole.
Et surtout, surtout, les mots peuvent insuffler de l'espoir. L'espoir sans lequel rien n'est possible. Pensons à Churchill, à la Chambre des communes, le 13 mai 1940?: «Vous vous demandez?: quelle va être notre politique?? Je vous répondrai?: mener la guerre, sur la mer, sur terre et dans les airs, avec toute la volonté et toute la force que Dieu voudra nous donner.»
Pensons à de Gaulle, à Londres, un mois plus tard?: «Mais le dernier mot est-il dit?? L'espérance doit-elle disparaître?? La défaite est-elle définitive?? Non?! Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France.»
Pensons à Martin Luther King, le 28 août 1963?: «Je fais le rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés pour la couleur de leur peau, mais pour le contenu de leur personne.»
Tout au long de cette campagne, les paroles de Barack Obama ont exprimé et canalisé l'espoir que les États-Unis retrouvent leur sens moral et leur réputation dans le monde, reprennent la route de la prospérité et sachent faire la paix autant que la guerre. «Seulement des mots?», ont raillé ses adversaires. La réplique de Barack Obama fut foudroyante?: «?Ne me dites pas que les mots ne comptent pas. J'ai un rêve. Seulement des mots?? Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes?: tous les hommes sont créés égaux. Seulement des mots?? Il est vrai que les discours ne règlent pas tous les problèmes. Mais il est également vrai que si nous ne parvenons pas à insuffler l'espoir à ce pays, toutes les politiques, tous les plans seront inutiles.»
Il arrive que les mots changent le cours de l'histoire.
Il n'y a pas de Canada français et de Canada anglais, Il n'y a que le Canada
lucide a écritJ'ai pas vu nulle part... est ce que Bush a parlé?
Bush félicite son successeur
Agence France-Presse
Washington
Le président George W. Bush a appelé mardi soir celui qui doit lui succéder, le démocrate Barack Obama, pour le féliciter de sa victoire lors d'une «superbe» soirée électorale, a indiqué la porte-parole de la Maison Blanche, Dana Perino.
«Monsieur le président élu, mes félicitations ! Quelle nuit superbe pour vous, votre famille et vos partisans. Laura et moi appelons pour vous féliciter, vous et votre charmante épouse», a dit M. Bush selon sa porte-parole.
«Je promets que cette transition se passera en douceur. Vous êtes sur le point d'entreprendre l'un des plus grands voyages de votre vie. Félicitations, je vous souhaite d'y trouver du plaisir», a dit M. Bush, selon Mme Perino.
M. Bush a invité M. Obama et sa famille à venir à la Maison Blanche prochainement, a dit Mme Perino.
M. Bush a ensuite appelé l'adversaire malheureux de M. Obama, John McCain.
«John, vous avez donné tout ce que vous pouviez. Je suis fier de vous, et je suis désolé que cela n'ait pas marché», a dit M. Bush.
M. Bush a rendu hommage au ton de l'intervention par laquelle M. McCain a reconnu la victoire de M. Obama.
«Vos propos ont été fabuleux et de haute tenue», a dit M. Bush selon sa porte-parole.
Selon Mme Perino, M. Bush sortira de plusieurs jours de silence en faisant une déclaration mercredi à 10H40 HNE à la Maison Blanche.
M. Bush est resté invisible du public dans les derniers jours d'une campagne qui aura été impitoyable pour lui.
L'impopulaire président sortant s'est entouré de ses proches pour suivre les résultats à la Maison Blanche, loin des regards du public.
Les Bush ont commencé la soirée électorale avec des amis et des membres de l'équipe présidentielle autour d'un «agréable» dîner dans les quartiers personnels du président à la Maison Blanche, a dit Mme Perino.
Pour M. Bush, cette soirée était aussi l'occasion de célébrer l'anniversaire de son épouse Laura, qui fêtait ses 62 ans.
«Le président a porté un toast au début du dîner, il a remercié ceux qui étaient présents pour tout le travail qu'ils ont accompli et pour leur amitié. Il a fini en disant: que Dieu bénisse celui qui gagnera ce soir, quel qu'il soit», a dit Mme Perino.
M. Bush a ensuite suivi l'évolution des résultats avec certains de ses collaborateurs. Il a aussi passé des coups de fil pour féliciter des républicains victorieux aux élections au Congrès.
M. Bush, fui par John McCain -- pourtant républicain comme lui -- et utilisé comme épouvantail par le favori démocrate Barack Obama, a pris une part de plus en plus réduite dans la campagne à mesure que l'élection approchait. Au cours des derniers jours, il ne s'est plus guère montré que pour prendre l'hélicoptère vers la retraite présidentielle de Camp David et en revenir.
Ses porte-parole ont invoqué la charge de travail des dernières semaines, qui ont mis M. Bush aux prises avec la crise financière, la guerre en Géorgie ou les ouragans.
Mais ils ont aussi reconnu la préoccupation de M. McCain de ne pas être associé à un président battant des records d'impopularité.
M. Bush «se rend compte qu'il ne s'agit pas de lui dans cette élection (...) Nous n'ignorons pas non plus que le parti républicain voulait qu'il s'agisse de M. McCain dans cette élection, et c'est bien comme ça», a dit Mme Perino lundi.
M. Bush avait voté dès le 24 octobre par anticipation en faveur de M. McCain, selon Mme Perino.
Le prochain président prend ses fonctions le 20 janvier.
Bush félicite son successeur
Agence France-Presse
Washington
Le président George W. Bush a appelé mardi soir celui qui doit lui succéder, le démocrate Barack Obama, pour le féliciter de sa victoire lors d'une «superbe» soirée électorale, a indiqué la porte-parole de la Maison Blanche, Dana Perino.
«Monsieur le président élu, mes félicitations ! Quelle nuit superbe pour vous, votre famille et vos partisans. Laura et moi appelons pour vous féliciter, vous et votre charmante épouse», a dit M. Bush selon sa porte-parole.
«Je promets que cette transition se passera en douceur. Vous êtes sur le point d'entreprendre l'un des plus grands voyages de votre vie. Félicitations, je vous souhaite d'y trouver du plaisir», a dit M. Bush, selon Mme Perino.
M. Bush a invité M. Obama et sa famille à venir à la Maison Blanche prochainement, a dit Mme Perino.
M. Bush a ensuite appelé l'adversaire malheureux de M. Obama, John McCain.
«John, vous avez donné tout ce que vous pouviez. Je suis fier de vous, et je suis désolé que cela n'ait pas marché», a dit M. Bush.
M. Bush a rendu hommage au ton de l'intervention par laquelle M. McCain a reconnu la victoire de M. Obama.
«Vos propos ont été fabuleux et de haute tenue», a dit M. Bush selon sa porte-parole.
Selon Mme Perino, M. Bush sortira de plusieurs jours de silence en faisant une déclaration mercredi à 10H40 HNE à la Maison Blanche.
M. Bush est resté invisible du public dans les derniers jours d'une campagne qui aura été impitoyable pour lui.
L'impopulaire président sortant s'est entouré de ses proches pour suivre les résultats à la Maison Blanche, loin des regards du public.
Les Bush ont commencé la soirée électorale avec des amis et des membres de l'équipe présidentielle autour d'un «agréable» dîner dans les quartiers personnels du président à la Maison Blanche, a dit Mme Perino.
Pour M. Bush, cette soirée était aussi l'occasion de célébrer l'anniversaire de son épouse Laura, qui fêtait ses 62 ans.
«Le président a porté un toast au début du dîner, il a remercié ceux qui étaient présents pour tout le travail qu'ils ont accompli et pour leur amitié. Il a fini en disant: que Dieu bénisse celui qui gagnera ce soir, quel qu'il soit», a dit Mme Perino.
M. Bush a ensuite suivi l'évolution des résultats avec certains de ses collaborateurs. Il a aussi passé des coups de fil pour féliciter des républicains victorieux aux élections au Congrès.
M. Bush, fui par John McCain -- pourtant républicain comme lui -- et utilisé comme épouvantail par le favori démocrate Barack Obama, a pris une part de plus en plus réduite dans la campagne à mesure que l'élection approchait. Au cours des derniers jours, il ne s'est plus guère montré que pour prendre l'hélicoptère vers la retraite présidentielle de Camp David et en revenir.
Ses porte-parole ont invoqué la charge de travail des dernières semaines, qui ont mis M. Bush aux prises avec la crise financière, la guerre en Géorgie ou les ouragans.
Mais ils ont aussi reconnu la préoccupation de M. McCain de ne pas être associé à un président battant des records d'impopularité.
M. Bush «se rend compte qu'il ne s'agit pas de lui dans cette élection (...) Nous n'ignorons pas non plus que le parti républicain voulait qu'il s'agisse de M. McCain dans cette élection, et c'est bien comme ça», a dit Mme Perino lundi.
M. Bush avait voté dès le 24 octobre par anticipation en faveur de M. McCain, selon Mme Perino.
Le prochain président prend ses fonctions le 20 janvier.
Donc pendant que Charest et Couillard essayent de privatiser notre système de santé, Obama va rendre le leur publique. Pendant que Harper va tout faire pour extraire la moindre goutte de pétrole en Alberta à n'importe quel prix sans égards pour l'environnement, Obama va s'en débarrasser tranquillement.
Déjà que le gouvernement américain et plusieurs états (Avec Bush!) ont boycottés le pétrole Albertain parce qu'il est trop sale, Harper monte la cadence en terme de production.
Charest coupe dans l'éducation et l'aide aux élèves alors qu'Obama veut rendre le système plus accessible. Obama veut des emplois "Payant" pour les américains, alors qu'ici tout ceux qui ont des bonnes conditions sont traités de "syndicaleux gâtés" et devraient être "découpés en morceaux pour faire du macramé"...
Mc Cain affirmait que de redistribuer les richesses aux pauvres et à la classe moyenne relevait du communisme. Hier on a pu voir ce que les pauvres et la classe moyenne avaient à lui répondre.
J'espère juste que les québécois vont se réveiller et arrêter de se prosterner devant le corporatisme à outrance et regardez les faits. Ce n'est pas parce que tu plis l'échine devant les grosses cie en acceptant des conditions de merde que tu t'enrichie.
Libéraliser les marchés pour que les riches puissent puissent redistribuer, développer et protéger ça ne fonctionne pas et ce n'est pas faute d'avoir essayé.
À l'heure du lobbying et des pots-de-vin, Obama a réussi à se faire élire à coup de 5-10-20$ envoyé par le "petit monde" et va travailler pour ce "petit monde".
Alors à tout ceux qui pensent que seul le "gros cash" compte pour réussir et qui veulent que le Québec se débarrasse de tout ses acquis pour faire plaisir aux riches qui aspirent uniquement à être "plus riche" sur votre dos... Il est temps de changer de discours.
Si Obama fait la moitié de ce qu'il veut faire, le Québec en sortira gagnant puisqu'il le fait depuis des décennies... À moins que les cie américaines cherchent à nous transformer en république de banane pour continuer de faire ici ce qu'ils ne pourront plus faire chez eux et que des "colons" d'ici acceptent de continuer de se faire plumer pour les beaux yeux de la marquise, André Arthur et Jeff Filion...
Déjà que le gouvernement américain et plusieurs états (Avec Bush!) ont boycottés le pétrole Albertain parce qu'il est trop sale, Harper monte la cadence en terme de production.
Charest coupe dans l'éducation et l'aide aux élèves alors qu'Obama veut rendre le système plus accessible. Obama veut des emplois "Payant" pour les américains, alors qu'ici tout ceux qui ont des bonnes conditions sont traités de "syndicaleux gâtés" et devraient être "découpés en morceaux pour faire du macramé"...
Mc Cain affirmait que de redistribuer les richesses aux pauvres et à la classe moyenne relevait du communisme. Hier on a pu voir ce que les pauvres et la classe moyenne avaient à lui répondre.
J'espère juste que les québécois vont se réveiller et arrêter de se prosterner devant le corporatisme à outrance et regardez les faits. Ce n'est pas parce que tu plis l'échine devant les grosses cie en acceptant des conditions de merde que tu t'enrichie.
Libéraliser les marchés pour que les riches puissent puissent redistribuer, développer et protéger ça ne fonctionne pas et ce n'est pas faute d'avoir essayé.
À l'heure du lobbying et des pots-de-vin, Obama a réussi à se faire élire à coup de 5-10-20$ envoyé par le "petit monde" et va travailler pour ce "petit monde".
Alors à tout ceux qui pensent que seul le "gros cash" compte pour réussir et qui veulent que le Québec se débarrasse de tout ses acquis pour faire plaisir aux riches qui aspirent uniquement à être "plus riche" sur votre dos... Il est temps de changer de discours.
Si Obama fait la moitié de ce qu'il veut faire, le Québec en sortira gagnant puisqu'il le fait depuis des décennies... À moins que les cie américaines cherchent à nous transformer en république de banane pour continuer de faire ici ce qu'ils ne pourront plus faire chez eux et que des "colons" d'ici acceptent de continuer de se faire plumer pour les beaux yeux de la marquise, André Arthur et Jeff Filion...
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
Jumbo a écritC'est si beau rêver que tout est beau et que tout est parfait.
Mais on verra plus tard où que la réalité nous conduira.
En espérant que ce soit un plus pour le Canada.
A vrai dire c'est pas vraiment une bonne nouvelle pour le Canada
Notre premier ministre à des positions complètement différentes de celle d'Obama et les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Mais ont peux pas être triste de cette élection, c'est tellement un grand pas pour l'homme que dans ma tête, notre futur mal en vaut la peine.
Mais on verra plus tard où que la réalité nous conduira.
En espérant que ce soit un plus pour le Canada.
A vrai dire c'est pas vraiment une bonne nouvelle pour le Canada
Notre premier ministre à des positions complètement différentes de celle d'Obama et les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Mais ont peux pas être triste de cette élection, c'est tellement un grand pas pour l'homme que dans ma tête, notre futur mal en vaut la peine.
Ely a écrit
A vrai dire c'est pas vraiment une bonne nouvelle pour le Canada
Notre premier ministre à des positions complètement différentes de celle d'Obama et les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Mais ont peux pas être triste de cette élection, c'est tellement un grand pas pour l'homme que dans ma tête, notre futur mal en vaut la peine.
C'est exactement ce que je me dit. Cette soirée électorale en soi est une immense victoire, le reste va être difficile mais ça n'enlèvrea rien à cette victoire et à cette avancée!
A vrai dire c'est pas vraiment une bonne nouvelle pour le Canada
Notre premier ministre à des positions complètement différentes de celle d'Obama et les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Mais ont peux pas être triste de cette élection, c'est tellement un grand pas pour l'homme que dans ma tête, notre futur mal en vaut la peine.
C'est exactement ce que je me dit. Cette soirée électorale en soi est une immense victoire, le reste va être difficile mais ça n'enlèvrea rien à cette victoire et à cette avancée!
Lucky Luke a écrit
Voici la transcrïption de son discours . :
http://elections.foxnews.com/2008/11/05 ... ry-speech/
merci merci
Voici la transcrïption de son discours . :
http://elections.foxnews.com/2008/11/05 ... ry-speech/
merci merci
[img]http://i44.tinypic.com/28lten9.gif[/img]
lucide a écritJ'ai pas vu nulle part... est ce que Bush a parlé?
il viens tout juste de faire un point de presse.
Et heum.... y'a comme pas dit grand chose et à l'air sur le choc
En tout cas, il a invité le futur président et sa femme à Washigton.
pour la première partie de sa petite intervention, j'avais l'Impression qu'il voulait rassurer les gens que Obama va continuer son bon travail à la sécurité des USA
il viens tout juste de faire un point de presse.
Et heum.... y'a comme pas dit grand chose et à l'air sur le choc
En tout cas, il a invité le futur président et sa femme à Washigton.
pour la première partie de sa petite intervention, j'avais l'Impression qu'il voulait rassurer les gens que Obama va continuer son bon travail à la sécurité des USA
[img]http://i44.tinypic.com/28lten9.gif[/img]
Ely a écrit
les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Moi je vois ça différemment. J'ai toujours été contre le libre-échange. J'ai applaudis quand Mulroney a déchiré le traité en pleine télé, malheureusement il en avait une autre copie.
Faire des échanges pour aller chercher ce qui nous manque et approvisionner les autres de ce qui leur fait défaut... OK.
Mais consommer des fraises californiennes ou des légumes Chinois alors que ceux du Québec restent dans les champs, non. Exporter du bois d'oeuvre à un prix ridicule au lieu de le transformer au Québec et de conserver des emplois, non. Fermer des usines ici pour faire la même choses en Chine et nous le revendre, non plus.
C'est un non-sens à tous les points de vues, en commencant par le transport.
Si les américains deviennent plus protectionnistes de leurs industries, nous on fera la même chose. Les échanges se feront de façon plus réfléchi et moins volatile, ce qui est parfait. --Message edité par Gillo le 2008-11-05 10:28:55--
les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Moi je vois ça différemment. J'ai toujours été contre le libre-échange. J'ai applaudis quand Mulroney a déchiré le traité en pleine télé, malheureusement il en avait une autre copie.
Faire des échanges pour aller chercher ce qui nous manque et approvisionner les autres de ce qui leur fait défaut... OK.
Mais consommer des fraises californiennes ou des légumes Chinois alors que ceux du Québec restent dans les champs, non. Exporter du bois d'oeuvre à un prix ridicule au lieu de le transformer au Québec et de conserver des emplois, non. Fermer des usines ici pour faire la même choses en Chine et nous le revendre, non plus.
C'est un non-sens à tous les points de vues, en commencant par le transport.
Si les américains deviennent plus protectionnistes de leurs industries, nous on fera la même chose. Les échanges se feront de façon plus réfléchi et moins volatile, ce qui est parfait. --Message edité par Gillo le 2008-11-05 10:28:55--
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
Gillo a écrit
Moi je vois ça différemment. J'ai toujours été contre le libre-échange. J'ai applaudis quand Mulroney a déchiré le traité en pleine télé, malheureusement il en avait une autre copie.
Faire des échanges pour aller chercher ce qui nous manque et approvisionner les autres de ce qui leur fait défaut... OK.
Mais consommer des fraises californiennes ou des légumes Chinois alors que ceux du Québec restent dans les champs, non. Exporter du bois d'oeuvre à un prix ridicule au lieu de le transformer au Québec et de conserver des emplois, non. Fermer des usines ici pour faire la même choses en Chine et nous le revendre, non plus.
C'est un non-sens à tous les points de vues, en commencant par le transport.
Si les américains deviennent plus protectionnistes de leurs industries, nous on fera la même chose. Les échanges se feront de façon plus réfléchi et moins volatile, ce qui est parfait.
Contrairement à ce que beaucoup pensent naïvement, le protectionnisme ne profite pas aux pays qui le pratiquent. Son seul effet, résultant de la fermeture du marché, est d'augmenter les coûts des produits dans le pays protectionniste, et ceci au profit de quelques producteurs qui s'enrichissent indûment.
Moi je vois ça différemment. J'ai toujours été contre le libre-échange. J'ai applaudis quand Mulroney a déchiré le traité en pleine télé, malheureusement il en avait une autre copie.
Faire des échanges pour aller chercher ce qui nous manque et approvisionner les autres de ce qui leur fait défaut... OK.
Mais consommer des fraises californiennes ou des légumes Chinois alors que ceux du Québec restent dans les champs, non. Exporter du bois d'oeuvre à un prix ridicule au lieu de le transformer au Québec et de conserver des emplois, non. Fermer des usines ici pour faire la même choses en Chine et nous le revendre, non plus.
C'est un non-sens à tous les points de vues, en commencant par le transport.
Si les américains deviennent plus protectionnistes de leurs industries, nous on fera la même chose. Les échanges se feront de façon plus réfléchi et moins volatile, ce qui est parfait.
Contrairement à ce que beaucoup pensent naïvement, le protectionnisme ne profite pas aux pays qui le pratiquent. Son seul effet, résultant de la fermeture du marché, est d'augmenter les coûts des produits dans le pays protectionniste, et ceci au profit de quelques producteurs qui s'enrichissent indûment.
Ely a écrit
A vrai dire c'est pas vraiment une bonne nouvelle pour le Canada
Notre premier ministre à des positions complètement différentes de celle d'Obama et les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Mais ont peux pas être triste de cette élection, c'est tellement un grand pas pour l'homme que dans ma tête, notre futur mal en vaut la peine.
Je pense que l'avenir le dira. Tu sais c'est loin d'etre la lune de miel ce matin aux USA. Il faut se promener un peu sur les forums américains pour voir comment les gens sont en colere.
Je suis loin de croire que ce sera l'abolition du racisme, au contraire je prévois une montée de violence des groupes extremistes anti raciaux.
Il ne faut pas non plus se cacher que malgré le charisme de Monsieur Obama, son expérience politique est tres limité. Il ne faut pas dénier non plus que sa victoire est basée sur le fait qu'il était noir et qu'il a fait sortir les votes de milliers de personnes qui ne votaient jamais, de tous les gens anti guerre en Irak et des jeunes non politisés qui trouvait plutot cool historiquement de nommer un noir a la tete des USA.
Et que malgré la beauté de ses projets sociaux, il herite d'un pays en grande crise économique. Et que si les riches dirigeants républicains des compagnies américaines décident de le boycotter, de fermer leur porte et d'aller investir leur argent ailleurs il se retrouvera en grande difficulté malgré le fait qu'il en soit pas la cause.
Je suis loin d'etre convaincue que l'avenir est aussi rose que la journée d'hier voudrait le faire croire.
A vrai dire c'est pas vraiment une bonne nouvelle pour le Canada
Notre premier ministre à des positions complètement différentes de celle d'Obama et les démocrate sont reconnu pour être protectionniste ce qui implique une diminution des exportations canadienne vers les États-Unis ce qui n'est vraiment pas une bonne nouvelle durant cette crise économique et de plus, Obama est contre l'ALÉNA se qui implique une cassure dans notre système de libre-échange.
Mais ont peux pas être triste de cette élection, c'est tellement un grand pas pour l'homme que dans ma tête, notre futur mal en vaut la peine.
Je pense que l'avenir le dira. Tu sais c'est loin d'etre la lune de miel ce matin aux USA. Il faut se promener un peu sur les forums américains pour voir comment les gens sont en colere.
Je suis loin de croire que ce sera l'abolition du racisme, au contraire je prévois une montée de violence des groupes extremistes anti raciaux.
Il ne faut pas non plus se cacher que malgré le charisme de Monsieur Obama, son expérience politique est tres limité. Il ne faut pas dénier non plus que sa victoire est basée sur le fait qu'il était noir et qu'il a fait sortir les votes de milliers de personnes qui ne votaient jamais, de tous les gens anti guerre en Irak et des jeunes non politisés qui trouvait plutot cool historiquement de nommer un noir a la tete des USA.
Et que malgré la beauté de ses projets sociaux, il herite d'un pays en grande crise économique. Et que si les riches dirigeants républicains des compagnies américaines décident de le boycotter, de fermer leur porte et d'aller investir leur argent ailleurs il se retrouvera en grande difficulté malgré le fait qu'il en soit pas la cause.
Je suis loin d'etre convaincue que l'avenir est aussi rose que la journée d'hier voudrait le faire croire.
tipet a écrit
http://www.cyberpresse.ca/international ... dentielle/
Ici on l'a, il n'y a que la Caroline du nord qui est pas déterminé puisque les 2 sont à égalité.
ah merci, je l'ai cherché sur cyberpresse, mais j'ai mal du regarder.
Ils vont faire quoi pour l'égalité de la Caroline? Ça va vraiment être hyper serré.
http://www.cyberpresse.ca/international ... dentielle/
Ici on l'a, il n'y a que la Caroline du nord qui est pas déterminé puisque les 2 sont à égalité.
ah merci, je l'ai cherché sur cyberpresse, mais j'ai mal du regarder.
Ils vont faire quoi pour l'égalité de la Caroline? Ça va vraiment être hyper serré.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ely a écrit
Contrairement à ce que beaucoup pensent naïvement, le protectionnisme ne profite pas aux pays qui le pratiquent. Son seul effet, résultant de la fermeture du marché, est d'augmenter les coûts des produits dans le pays protectionniste, et ceci au profit de quelques producteurs qui s'enrichissent indûment.
Les peuples d'amérique et d'europe étaient naïvement plus forts économiquement avant l'arrivée du libre-échange et pour ce qui est des producteurs, c'est toujours mieux de traiter "naïvement" avec ceux qui sont en place qu'avec ceux qui magasinent la main-d'oeuvre la moins cher dans un pays à exploiter jusqu'à la lie. Même les Chinois sont rendu trop cher en frais de main d'oeuvre...
Et protectionnisme ne veut pas dire nécessairement fermeture. Ça veut dire "Régulariser et négocier les échanges à la pièce" pour que tout le monde y trouve son compte.
De toute façon ça achève. Avec les coûts des transports qui ne cessent de monter, bientôt ce ne sera plus rentable de faire parcourir 3000 km pour sauver 10 cents sur le prix des carottes ou sur 15 cents sur un 2X4 et tant mieux.
Contrairement à ce que beaucoup pensent naïvement, le protectionnisme ne profite pas aux pays qui le pratiquent. Son seul effet, résultant de la fermeture du marché, est d'augmenter les coûts des produits dans le pays protectionniste, et ceci au profit de quelques producteurs qui s'enrichissent indûment.
Les peuples d'amérique et d'europe étaient naïvement plus forts économiquement avant l'arrivée du libre-échange et pour ce qui est des producteurs, c'est toujours mieux de traiter "naïvement" avec ceux qui sont en place qu'avec ceux qui magasinent la main-d'oeuvre la moins cher dans un pays à exploiter jusqu'à la lie. Même les Chinois sont rendu trop cher en frais de main d'oeuvre...
Et protectionnisme ne veut pas dire nécessairement fermeture. Ça veut dire "Régulariser et négocier les échanges à la pièce" pour que tout le monde y trouve son compte.
De toute façon ça achève. Avec les coûts des transports qui ne cessent de monter, bientôt ce ne sera plus rentable de faire parcourir 3000 km pour sauver 10 cents sur le prix des carottes ou sur 15 cents sur un 2X4 et tant mieux.
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
Gillo a écrit
De toute façon ça achève. Avec les coûts des transports qui ne cessent de monter, bientôt ce ne sera plus rentable de faire parcourir 3000 km pour sauver 10 cents sur le prix des carottes ou sur 15 cents sur un 2X4 et tant mieux.
Et bien tu vois, les marché peuvent se régulariser tout seul, ca prend quelques temps mais ont a pas besoin du protectionnisme pour ca. Et l'Europe va très bien avec le libre-échange, leur Euro est une des devises les plus florissantes de notre époque. Même moi quand je travaille, je demande de me faire payer en euro --Message edité par ely le 2008-11-05 11:25:34--
De toute façon ça achève. Avec les coûts des transports qui ne cessent de monter, bientôt ce ne sera plus rentable de faire parcourir 3000 km pour sauver 10 cents sur le prix des carottes ou sur 15 cents sur un 2X4 et tant mieux.
Et bien tu vois, les marché peuvent se régulariser tout seul, ca prend quelques temps mais ont a pas besoin du protectionnisme pour ca. Et l'Europe va très bien avec le libre-échange, leur Euro est une des devises les plus florissantes de notre époque. Même moi quand je travaille, je demande de me faire payer en euro --Message edité par ely le 2008-11-05 11:25:34--
Ely a écrit
Et bien tu vois, les marché peuvent se régulariser tout seul, ca prend quelques temps mais ont a pas besoin du protectionnisme pour ca. Et l'Europe va très bien avec le libre-échange, leur Euro est une des devises les plus florissantes de notre époque. Même moi quand je travaille, je demande de me faire payer en euro
Ce n'est pas la même chose pour la main-d'oeuvre Européenne. Les salaires ont baissés depuis que les bassins d'Europe de l'est, d'Afrique et du moyen-orient vont occuper des emplois à salaire moindre. Au début l'allemand de l'ouest contactait un plombier de l'est qui chargeait moins cher puisque celui-çi avait moins de charges que celui de l'ouest.
Le phénomène s'est propagé comme une tache d'huile dans toutes les sphères de l'économie et ils en sont à rechercher des solutions viables pour tout le monde avant que le couvercle ne lève.
Et bien tu vois, les marché peuvent se régulariser tout seul, ca prend quelques temps mais ont a pas besoin du protectionnisme pour ca. Et l'Europe va très bien avec le libre-échange, leur Euro est une des devises les plus florissantes de notre époque. Même moi quand je travaille, je demande de me faire payer en euro
Ce n'est pas la même chose pour la main-d'oeuvre Européenne. Les salaires ont baissés depuis que les bassins d'Europe de l'est, d'Afrique et du moyen-orient vont occuper des emplois à salaire moindre. Au début l'allemand de l'ouest contactait un plombier de l'est qui chargeait moins cher puisque celui-çi avait moins de charges que celui de l'ouest.
Le phénomène s'est propagé comme une tache d'huile dans toutes les sphères de l'économie et ils en sont à rechercher des solutions viables pour tout le monde avant que le couvercle ne lève.
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]